Introduction et conclusion d’Hugo et Julien

Au dernier trimestre 2008, la croissance des Etats-unis était de 0,6 %, une croissance molle due en partie à la
crise financière qui n'épargne pas ce pays. Ce ralentissement fort de la croissance a une conséquence sur
l'emploi ; en effet, sur l'année 2008, l'économie américaine a détruit 2,6 millions d'emplois dont 584 000 en
novembre et 524 000 en décembre. Face à cela, le nouveau président américain Barack Obama a déclaré qu'il
souhaitait relancer la croissance économique qui on peut le voir est le facteur essentiel pour relancer l'emploi
et donc baisser le chômage, qui en 2008 était de 7,2 %, du jamais vu depuis 1993.
Mais l'augmentation du PIB se répercute de manières diverses sur la population active.population active et
emploi sont deux notions différentes
Afin d'éclaircir les diverses conséquences de la croissance sur la population active, nous verrons dans une
première partie les effets positifs de l'augmentation du PIB, à savoir des effets quantitatifs et qualitatifs. Puis
dans une seconde partie verrons quels effets négatifs a eut la croissance du PIB sur l'emploi, à savoir une
croissance extensive étouffée par une croissance intensive et l'apparition d’un grand nombre d'emplois
précaires.excellente intro qui présente bien toutes les exigences

Nous avons donc vu qu'il y avait des effets positifs et négatifs. En effet, on a observé qu'en temps de
croissance il y avait une augmentation du nombre d'emplois, en particulier dans le secteur tertiaire; Et une
amélioration du type d'emploi et des conditions de travail.
Cependant, il y a eut en parallèle d'importantes pertes d'emploi en raison de la croissance intensive qui
surpasse la croissance extensive; et une précarisation de l'emploi.
Ainsi le gouvernement français essaie de faire voter une loi sur l'assouplissement du travail dominical, dans
les commerces et sur la base du volontariat. Or on pourrait citer l'exemple de ce vendeur du Géant-Casino à
Salon de Provence qui en novembre 2008, a cordialement expliqué par lettre à sa direction qu'il ne serait pas
volontaire pour travailler les dimanches ouverts du mois de décembre. Or pour non présentation sur son lieu
de travail de 14 heure à 20 heure le dimanche 14 décembre, la direction l'a mis à pied le 15, 16 et 17 janvier
2009.
On voit donc bien ici, que le gouvernement Fillon par cette loi, espère entre autre favoriser la croissance par
des jours supplémentaire travaillés dans l'année; mais que malgré la close du travail dominical volontaire, il y
a une précarisation de l'emploi. En effet on voit mal un employé face à sa direction, refuser de travailler le
dimanche
Nous pouvons alors nous demander s'il est possible de relancer la croissance économique sans pour autant
précariser l'emploi.