WWW.FEB.
BE
>INFORFEB
[ 19 MARS 2009 – N° 11 ]
Supprimer la distinction ouvriers-employés ?
Oui, mais sur la base d’une vision moderne
du marché du travail !
Jeudi dernier, la CSC a présenté une solution
soi-disant globale dans le dossier ouvriers-
employés et demande qu’elle fasse rapidement
l’objet d’une concertation. Cette proposition a le
mérite d’exister. Il s’agit d’une approche concrè-
te avec des propositions concrètes. Elle donne
une impression d’ouverture sur le débat relatif
au chômage temporaire des employés. Mais ça
ne va malheureusement pas plus loin. Les
autres propositions engendrent soit des coûts
supplémentaires pour les entreprises, soit une
rigidité accrue.
Coûts supplémentaires : 1 mois de délai de pré-
avis par année d’ancienneté entamée. Ainsi, les
délais de préavis pour les ouvriers sont multi-
pliés par cinq ou plus encore. Même au niveau
des employés, où nous battons déjà tous les
records mondiaux, quelques mois supplémen-
taires viennent encore s’ajouter dans de nom-
breux cas. La mise en œuvre de cette mesure
signifie ni plus ni moins que la mort de
l’industrie dans notre pays.
Rigidités supplémentaires : enregistrement du
temps de travail. Pour tout travailleur – à tous
les échelons de la hiérarchie -, il faudra à
l’avenir instaurer l’un ou l’autre système de
A EPINGLER
> SOMMET EUROPÉEN DE PRINTEMPS
> FAILLITES > Pour la suppression des privilèges du fisc
> RAPPORT DU FMI > Les coûts salariaux belges dérapent toujours
La newsletter pour décideurs
pointage. Le syndicat veut savoir à la minute
près qui fait quoi quand. Apparemment, peu
importe de savoir si c’est compatible avec la
culture de l’entreprise. Or, cela sape la dyna-
mique de bon nombre d’entreprises, alors que
cette dynamique est précisément souvent la
planche de salut en période difficile.
Attention, cela ne veut pas dire que la FEB
n’est pas favorable à la suppression de la dis-
tinction entre ouvriers et employés, mais sur la
base d’une vision moderne du marché du tra-
vail. En effet, depuis près de dix ans, elle tente
de faire progresser ce dossier lors de chaque
cycle de négociations pour l’accord interprofes-
sionnel. Dans ce cadre, elle insiste chaque fois
sur les principes suivants :
1. Le nouveau statut de salarié doit découler
d’une concertation sociale et être mis en pla-
ce de manière phasée et planifiée. Tout ne
peut être réalisé du jour au lendemain.
2. Les propositions doivent résister à un étalon-
nage européen. Elles ne peuvent avoir pour
conséquence que nos travailleurs deviennent
trop chers parce que leur statut est soit trop
onéreux, soit trop rigide par rapport à celui de
leurs collègues étrangers.
3. Toutes les différences doivent être traitées
dans le cadre de la nouvelle approche : droit
individuel du travail (embauche, pendant
l’exécution du contrat, suspension et cessa-
tion du contrat de travail), droit collectif du
travail (commissions paritaires, élections
sociales, …) et conséquences en termes de
sécurité sociale.
> Une approche économique véritablement intégrée SVP ! >
[ HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
4. Cette opération ne peut hypothéquer davanta-
ge la position concurrentielle des entreprises.
Le nouveau régime doit au contraire stimuler
leur bon fonctionnement. C’est une condition
indispensable pour pouvoir continuer à finan-
cer les pensions et la sécurité sociale.
5. Commençons par des propositions qui sont
tellement évidentes qu’elles ne devraient plus
nécessiter de discussions, comme la suppres-
sion des listes distinctes pour les ouvriers et
les employés lors des prochaines élections
sociales.
Depuis près de dix ans, la FEB
tente de faire progresser ce
dossier lors de chaque cycle
de négociations pour l’accord
interprofessionnel.
6. D’ici à la fin de l’année, la solution globale et
toutes les mesures y afférentes devraient être
prêtes.
Dans l’intervalle, il importe d’éviter des licen-
ciements en cette période difficile. Une mesure
ad hoc bien définie permettant de suspendre
temporairement le contrat de travail des
employés en cas de manque de travail effectif
au sein de l’entreprise doit être adoptée sans
plus tarder. Cela permettrait de rassurer les
dizaines de milliers d’employés qui craignent en
ce moment pour leur emploi.
PIETER TIMMERMANS,
ADMINISTRATEUR - DIRECTEUR GÉNÉRAL
]
[ INFOR FEB 11 — 19 MARS 2009 ]
> FAILLITES
Pour la suppression des
privilèges du fisc
Dans bon nombre de faillites, on constate que
les créanciers ordinaires du commerçant failli,
qui sont pour la plupart eux-mêmes des com-
merçants, ne récupèrent pas un centime de
leurs créances. En revanche, le Trésor jouit
d’un privilège lui permettant de récupérer tou-
te dette fiscale par priorité. Afin de tendre à
l’égalité entre les citoyens et les pouvoirs
publics, des parlementaires Open-VLD ont
déposé une proposition de loi qui vise à sup-
primer les privilèges et les hypothèques du
fisc. Selon les auteurs, cette mesure renforce-
ra non seulement le sentiment de justice, mais
profitera aussi à l’esprit d’entreprise. Le risque
d’être confronté à un débiteur totalement insol-
ACTION FEB
> Le président de la FEB
invité à parler de la crise
économique
Le 13 mars dernier, le président de la FEB,
Thomas Leysen, a été invité comme orateur au
Groupement interprofessionnel des experts-
comptables, avocats et notaires (I.V.A.A.N.) à
Courtrai. Dans son discours sur ‘la Belgique et
la crise mondiale’, il a attiré l’attention sur les
diverses causes de la crise économique et sou-
ligné la nécessité de parvenir rapidement à
une stabilité financière. Il a également évoqué
les limites écologiques de notre planète. Dans
le cadre de la relance de l’économie, il préco-
nise d’accorder suffisamment d’attention aux
investissements dans des produits et des ser-
vices durables. Enfin, il a clôturé son allocution
par plusieurs défis lancés aux experts-comp-
vable dont l’actif a été prélevé par tion internationale comme le FMI est, grâce à
l’administration fiscale devrait en grande par- sa connaissance approfondie des réformes
tie disparaître. menées dans d’autres pays, idéalement placée
La FEB, entendue par la commission pour estimer à leur juste valeur les efforts
de droit commercial de la Chambre, s’est pro- consentis dans notre pays. Cette fois encore,
noncée positivement en faveur de cette propo- son rapport contient un certain nombre de
sition de loi. Les privilèges du fisc, qui messages très clairs. Tout d’abord, le FMI pré-
reposent sur l’idée de la défense de l’intérêt voit, pour 2009 et 2010, un déficit budgétai-
collectif, ont engendré l’effet contraire à celui re de respectivement -3,4% et -4,5% du PIB.
escompté : ils reviennent à faire supporter le Un petit 40% de ce déficit est de nature struc-
poids de l’échec du commerçant failli sur turelle, ce qui signifie que les dépenses
l’ensemble des créanciers ordinaires, qui sont publiques ont atteint un niveau très élevé inte-
le plus souvent les fournis- nable sur la durée, surtout dans la perspecti-
seurs, c’est-à-dire d’autres ve du vieillissement de la population. Un
acteurs économiques. La tou- second constat est la poursuite du dérapage
te nouvelle loi relative à la des coûts salariaux belges par rapport à ceux
continuité des entreprises des trois pays voisins. Cela porte atteinte à la
montre l’exemple à suivre : compétitivité de l’économie belge, prolonge
elle prévoit l’abandon du pri- l’impact d’un choc externe sur l’inflation bel-
vilège général dont jouissait ge à la suite des effets de second tour et met
l’administration fiscale dans en péril l’intensité de main-d’œuvre de notre
l’ancienne loi sur le concor- croissance économique.
dat judiciaire. Ce reposition- En période de haute conjoncture, on
nement des créances de l’État avait tendance à ignorer assez facilement les
est unanimement salué par le conclusions du FMI. Aujourd’hui, ce serait
monde des entreprises. absolument déraisonnable. Si nous voulons
Charles Gheur – cg@vbo-feb.be sortir renforcés de la récession actuelle, nous
devons aborder les recommandations du FMI
> RAPPORT DU FMI dans un esprit d’ouverture et examiner com-
ment elles peuvent effectivement être mises en
Les coûts salariaux œuvre à court terme.
belges dérapent toujours Geert Vancronenburg – gva@vbo-feb.be
Chaque année, le FMI évalue les atouts et
faiblesses de l’économie belge. De telles ana-
lyses sont intéressantes parce qu’une institu-
tables, aux avocats et aux notaires. En relevant
© Tryptique
ces défis, ils pourraient, eux aussi, soutenir
les entreprises belges pendant la crise écono-
mique.
Stefaan Verhamme – sv@vbo-feb.be
> Mobilys – Rail Meets Road
Les 10 et 11 mars a eu lieu la première édi-
tion du forum commun Mobilys-Rail meets
Road (voir INFOR 10 dans cette même
rubrique), sur le thème 'Greening transport'. A
cette occasion, les représentants des secteurs mobilité, juste avant la signature. De g. à dr.
des transports privé et public ainsi que du Rudi Thomaes (FEB), Jannie Haek (SNCB-
monde des entreprises ont signé un mémoran- Holding), Luc Bontemps (Febiac), Roger
dum conjoint dans lequel ils valident leurs Kesteloot (De Lijn), Kris Lauwers (STIB), Jean-
engagements. Les voici rassemblés ici, sur la Marc Vandenbroucke (SRWT/TEC), Marc
photo, lors des conclusions générales de la Descheemaecker (SNCB), Luc Lallemand
seconde journée de ce grand rendez-vous de la (Infrabel).
 [ INFOR FEB 11 — 19 MARS 2009 ]
> SOMMET EUROPÉEN DE PRINTEMPS

Une approche économique véritablement intégrée SVP !

Les 19 et 20 mars prochains aura lieu le Sommet européen de prin- pertes d’emploi en temps de crise, il s’agit de maintenir les objectifs à
temps des chefs d’État et de gouvernement. La crise économique et long terme de réforme du marché du travail, en poursuivant la mise en
financière figure en bonne place à l’ordre du jour. En vue de préparer œuvre au niveau national des principes communs en matière de flexi-
la réunion du G-20 à Londres, les États membres doivent proposer une sécurité.
approche commune. De grands objectifs de la Stratégie de Lisbonne, Le Sommet prépare également la conférence climatique internationa-
tels qu’une industrie compétitive et un marché intérieur qui fonction- le, qui se déroulera à Copenhague en décembre. L’Union européenne
ne bien, sont plus que jamais d’application. Les plans de relance des doit atteindre un accord sur un mandat en vue des négociations. L’UE
États membres doivent viser la consolidation de notre économie à long s’engage à réduire ses émissions de CO2 de 30% à condition que les
terme et les investissements intelligents en infrastructures. Ils ne peu- autres pays développés s’imposent des réductions similaires et que les
vent en aucun cas engendrer de distorsions de concurrence entre États pays en développement les plus avancés prennent également des enga-
membres. gements. La Commission souhaite créer de nouveaux fonds ou méca-
En outre, la flexisécurité au sein de l’entreprise est essentielle pour fai- nismes de financement pour les actions contre les changements
re face à la crise. Les ministres européens de l’Emploi et des Affaires climatiques. Il paraît toutefois essentiel d’évaluer préalablement les sys-
sociales ont déjà soutenu le chômage partiel. En Belgique, ceci devrait tèmes existants et de contrôler scrupuleusement la répartition actuel-
également pouvoir se faire via le chômage temporaire pour les employés. le des moyens.
A côté des mesures ciblées et temporaires visant à lutter contre les La FEB attend beaucoup de l’Union européenne dans cette situa-
tion économique exceptionnelle. Elle
demande que les chefs d’État et de
gouvernement reconnaissent l’urgence
de la situation et agissent en fonction.
Cela signifie qu’une approche écono-
Il s’agit de maintenir les mique européenne intégrée est une
objectifs à long terme de condition sine qua non dans le cadre
réforme du marché du d’une action mondiale visant à rétablir
travail. la confiance et à mettre l’économie sur
la bonne voie.
Michael Voordeckers – mv@vbo-feb.be
Olivier De Decker – odd@vbo-feb.be

> FISCALITÉ
Accord sur les taux
réduits de TVA
Après de nombreux mois de discussions labo-
rieuses, les ministres européens des Finances
sont enfin parvenus, le 10 mars dernier, à un
accord sur l’application des taux réduits de
TVA au sein de l’Union européenne. L’accord
précédent expire en effet le 31 décembre
2010. La liste actuelle des biens et services
pour lesquels les États membres peuvent appli-
quer un taux réduit de TVA est élargie aux ser-
vices de restauration et aux livres, sur support
tant papier qu’électronique. D’ici peu, les
ministres des Finances devront également se
pencher sur une seconde proposition de la
Commission européenne concernant
l’application de taux réduits de TVA aux biens
et services écologiques. La Commission ne
semble toutefois pas être très favorable aux
taux de TVA ‘verts’, de sorte que la portée de
cette proposition sera probablement restreinte.
La FEB se réjouit que ce premier accord
mette un terme à l’incertitude quant à l’avenir
de certains taux réduits. En effet, ces derniers
ont sans aucun doute prouvé leur utilité en
Belgique et peuvent constituer un des instru-
ments permettant d’enrayer la crise écono-
mique. La FEB ne manquera pas de suivre
avec attention les discussions relatives aux
taux réduits pour les biens et services verts.
Alain Lecocq – ale@vbo-feb.be
> HEURE D’ÉTÉ
Le 29 mars à 2 heures
Lors du passage à l’heure d’été, le dimanche
29 mars prochain à 2 heures du matin, il fau-
dra avancer les pendules d’une heure (2 heures
deviendront 3 heures), et ce en application de
l’AR du 19 décembre 2001 (MB du 28
décembre 2001) exécutant la directive euro-
péenne du 21 janvier 2001 en la matière. Cet
AR fixe, pour une durée indéterminée, le pas-
sage à l’heure d’été le dernier dimanche du
mois.
La convention collective de travail n° 30,
conclue au Conseil national du Travail du 28
mars 1977 (www.cnt-nar.be), règle les pro-
blèmes de rémunération de certains tra-
vailleurs lors du passage à l’heure d’été.
Vivienne Dumoulin – vd@vbo-feb.be
> FISCALITÉ
Un groupe de travail
'simplification' de l’impôt
des personnes physiques
Le formulaire de déclaration de l’impôt des
personnes physiques s’allonge chaque année,
alors que 50% des contribuables n’utilisent
que les 9 mêmes cases de la déclaration. C’est
la raison pour laquelle le secrétaire d’Etat
Bernard Clerfayt vient de constituer un groupe
[ INFOR FEB 11 — 19 MARS 2009 ]

AGENDA

Réforme du concordat judiciaire 25 MARS 2009 LIEU : FEB, Bruxelles

La loi relative à la continuité des entreprises INFO: Daisy Marits

T 02 515 09 11
La loi du 31 janvier 2009 relative à la continuité des entreprises F 02 515 09 15
devrait entrer en vigueur le 1er avril 2009. Cette nouvelle loi, qui dma@vbo-feb.be
remplace celle de 1997 sur le concordat judiciaire, était attendue
de longue date par le monde des entreprises.

7e European Business Summit 26 ET 27 MARS LIEU: Tour & Taxis Brussels

2009
"Dare and Care : sustaining Europe's ambitions" INFO: www.ebsummit.eu

FEB, Bruxelles
FEB Social Academy 2009 26 MARS LIEU:
INFO: Nathalie Petit, T 02 515 09 64
Gestion innovatrice du temps de travail F 02 515 09 15, np@vbo-feb.be

Plus d’infos : www. feb.be > manifestations

de travail chargé d’examiner un certain
nombre de mesures visant à simplifier l’impôt
des personnes physiques. Un des grands
thèmes abordés est la déclaration préremplie.
Ainsi, l’administration fiscale envoie au contri-
buable une proposition de déclaration réalisée
sur la base des informations qui sont en sa
possession. Le contribuable doit ensuite mar-
quer son accord sur cette proposition. Dans le
cas contraire, il doit compléter les données
correctes. Ce groupe de travail aura également
pour mission d’améliorer la sécurité juridique
en simplifiant la législation et en tâchant
d’éviter les problèmes d’interprétation.
La déclaration préremplie peut repré-
senter une simplification considérable pour
la plupart des contribuables. En revanche,
cette simplification pour les personnes phy-
siques ne peut s’accompagner d’une aug-
> RÉDUCTION DES
CHARGES FISCALES DES
EMPLOYEURS
Compensation de la per-
te liée à l’application du
‘jobkorting’ flamand
Le ‘jobkorting’ flamand a été octroyé en une
fois, en février 2009. Cette réduction forfai-
taire du précompte professionnel pour les tra-
vailleurs domiciliés dans une commune
flamande était jusqu’ici appliquée sur une
base mensuelle. La modification introduite en
2009 a été décidée en l’absence de toute éva-
luation préalable des conséquences qu’elle
induit sur les dispenses de versement du pré-
compte professionnel dont bénéficient les
employeurs : la correction salariale interpro-
pour les travailleurs concernés en février s’est
révélé trop limité en raison du ‘jobkorting’. De
ce fait, les employeurs se sont vu priver tota-
lement ou partiellement du bénéfice de leur
réduction de charges, sans possibilité de récu-
pération ultérieure. Etant donné que ce ‘job-
korting’ est financé par les autorités
flamandes, l’énorme perte en termes de
réduction de charges patronales constitue, de
manière involontaire, une recette supplémen-
taire pour les autorités fédérales. Cette réper-
cussion ne cadre pas avec l’objectif du plan de
relance mis en place par le gouvernement,
lequel souligne l’importance des réductions de
charges (existantes et supplémentaires).
La FEB a proposé au ministre des
Finances, Didier Reynders, une solution
simple pour pallier ce problème, à savoir le
report du solde de réduction de charges dont
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

mentation des charges pour les entreprises, fessionnelle, pour le travail en équipes et de l’entreprise n’a pas pu bénéficier sur le pré-
qui seront mises à contribution pour fournir nuit, les heures supplémentaires et les cher- compte professionnel des mois suivants. Pour
une grande partie des informations requises. cheurs. Conséquence : dans de nombreux cas, ne pas aggraver la situation difficile dans
Alain Lecocq – ale@vbo-feb.be le précompte professionnel effectivement dû laquelle se trouvent les entreprises du fait de
la crise économique, cette correction doit être
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL effectuée dans les meilleurs délais.
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15
Jean Baeten – jb@vbo-feb.be
RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be Bart Buysse – bb@vbo-feb.be
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles
ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba – tél. 03 448 07 57 – nele.brauers@ademaronline.com
CHANGEMENTS D’ADRESSE : FEB – Service mailing – tél. 02 515 09 06 – fax 02 515 09 55 – mailing@vbo-feb.be
COPYRIGHT : Reproduction autorisée moyennant mention de la source

L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de
l'écosystème forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indigènes et des travailleurs forestiers*) et est
responsable d'un point de vue économique.