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Rebiere Florie

Duchose Cylia

1ESA

Synthèse sur les différentes visions de la famille vues par les lycéens
français de Djibouti et ceux France (Périgueux Jay de Beaufort)

Le lien de sang semble l'élément le plus important pour caractériser la famille selon les
élèves du lycée français de Djibouti. On remarque également que pour eux, la famille, s'étend vers
l'entourage proche et les personnes ayant des liens de parenté éloignés.
Les lycéens de Périgueux adopte une autre vision de la famille. Cette vision est plus restreinte, et
par conséquent le nombre de membres dans la famille diminue.
La définition de filiation varie selon les lycéens de Djibouti et de France. On remarque par
exemple que ceux de Djibouti parlent peu d'adoption. Selon leurs différentes réponses, la filiation
est un lien de parenté qui se transmet à chaque génération. Elle peut être bilinéaire (venir du père et
de la mère), matrilinéaire ( venir de la mère) ou patrilinéaire( venir du père). Dans cette logique, des
parents adoptant ne transmettent pas de filiation familiale. Cette descendance aurait pour but de
transmettre l'identité et le statut d'un individu. A linverse, les lycéens Français de Jay de Beaufort,
ont un sens plus étendu de la filiation car d'après eux, la filiation se transmet autant dans des
familles consanguines, que dans des familles qui adoptent ou qui sont recomposées.
Les avis sur le lien le plus important entre les parents et les enfants sont très différent selon
les individus du lycée Jay de Beaufort et également entre les individus du lycée de Djibouti. Il n'y a
donc pas de classement unanime des liens entre parents et enfants selon le lien du sang, le nom de
famille ou le quotidien. Tout dépend de l'individu. Malgré cela, quelques élèves de Djibouti ont
formulés un classement identique mais ne peut pas être pris en exemple pour autant car l'échantillon
de personnes interrogées est trop faible. Il apparaît timidement que le lien le plus important entre les
parents et les enfants serait le lien du sang car se serait la base de la famille et une indication
biologique. Viendrait ensuite le nom qui unis les individus au sein d'un groupe et fixe le statut
social. Et pour finir le quotidien, moins important car il prendrait seulement en compte l'éducation
des parents donnée à l'enfant. En France, les élèves semble faire passer l'éducation, les liens
affectifs avant l'identification social. La consanguinité entre parents et enfants restent tout de même
en première place car c'est un lien indéniable. Viens ensuite le quotidien, car en se confrontant
chaque jours aux parents que les enfants vont évolués, s'affirmer, apprendre, être élevés... Et le nom
est placé en dernier car mis appart le fait que les membres d'une même famille est un nom en
commun cela ne les relis pas réellement car il sert juste à l'identification.
La question sur les différentes sortes de familles donne des réponses différents selon les
élèves Français et Djiboutien. En effet, les lycéens de Djibouti attribue 4 sortes de famille: la
famille nucléaire ( un père, une mère et les enfants), la famille monoparentale ( un père ou une mère
et des enfants), la famille recomposée ( père ou mère, enfant(s) et nouveau conjoint) et la famille
étendue ( qui regroupe tous les liens de parenté de l'entourage). Pour les élèves de Jay de Beaufort,
les sortes de familles sont plus nombreuses. Il y a les familles biologiques, les familles adoptives,
les familles recomposées, les familles monoparentales, les familles homosexuelles et les familles
d'accueil. Les élèves de Jay de Beaufort semblent donc plus ouverts sur la définition de la famille
ou en tout cas font moins cas que les élèves de Djibouti du statut biologique de la parentalité et
pensent avant tout à l'affection et l'éducation entre les individus.

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