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Royaume Du Maroc

Université Ibn Zohr


Ecole Nationale de Commerce et de Gestion
AGADIR

PROJET GESTION DE PRODUCTION


Sous le thème:

La gestion de production assistée par


ordinateur

Projet élaboré par:


• ELHADDAD Youssef (Groupe 4)
• ELMORTAJI Chouaib (Groupe 2)
• REGUERAGUI Med Amine (Groupe 2)

Encadré
par :
• Dr. BLIHI Hassan

1
Année universitaire : 2008/2009

1
Introduction :

La production est le processus conduisant à la création de


produits par l'utilisation et la transformation de ressources. Les
opérations sont les activités composant le processus de
production.
La gestion de la production (et des opérations) est la fonction
de gestion ayant pour objets la conception, la planification et le
contrôle des opérations.
Les activités de conception portent sur la définition des
caractéristiques du système productif (capacité, localisation,
technologie, etc.) ET des produits.
La planification décrit l'utilisation projetée du système productif
dans l’objectif de satisfaire la demande. En d’autres termes, elle
a pour objectif de coordonner la capacité disponible avec la
demande (un thème récurrent en gestion de la production).
L’activité de contrôle s’efforce d’évaluer l’adéquation des
résultats obtenus par rapport aux plans.
Pour accroitre sa compétitivité, toute entreprise industrielle doit
organiser sa gestion. La gestion de production est une clé
essentielle de cette organisation : il faut maîtriser les flux de
matières et les flux d’information s’y rapportant en fonction des
objectifs de l’entreprise. La méthode de gestion et le système
retenus (MRP, Kanban, OPT, multi-PERT) devront être adaptés
au profil de l’entreprise et au type de production.
L’informatique fournit un outil prodigieux pour cette adaptation
et pour la gestion de production toute entière à condition de ne
pas informatiser les problèmes mais de les résoudre
auparavant.
Par ses multiples possibilités (mémorisation, accès à
l’information, circulation, traitement des données),
l’informatique est un outil excellent au service des diverses
fonction de l’entreprise et notamment de la gestion de
production dans tous les domaines.
Il faut noter que grâce à l’explosion de la micro-informatique et
de l’accroissement du rapport performances/prix des
ordinateurs, l’informatique est maintenant disponible au niveau
des petites entreprises et des différentes fonctions des
entreprises.

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Généralités sur la GPAO :
La gestion de production est un ensemble d'actions complémentaires,
organisé et structuré, visant la satisfaction des clients.

Objectifs et enjeux :
Dans une entreprise, la coordination des services va être confrontée à :

 Un volume d'informations très important

 Une variété d'information très large

 Des délais de traitement courts

 Un haut niveau de fiabilité dans les résultats obtenus

 Une actualisation souple et fréquente des données

 Des coûts d'obtention des informations

 La périodicité des calculs à réaliser

Le facteur temps et la fiabilité de l'information deviennent des paramètres


prépondérants dans les réponses à tous les niveaux décisionnels.
Toutes ces raisons nécessitent d'avoir recours à l'assistance de
l'informatique.
La gestion de production devient donc assistée par ordinateur.

Le projet GPAO :

Les relations entre les différentes fonctions de l'entreprise sont d'autant


plus complexes que les intérêts de chacune sont opposés.

Pour la fonction commerciale, il faut vendre le plus possible, et satisfaire le


client. Pour la fonction production, il faut satisfaire les demandes du
commercial, moyennant des possibilités de production limitées.

Des situations conflictuelles naissent entre la fonction achat et la fonction


production de la détermination des conditions d'approvisionnement : du

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côté production, on souhaite disposer d'approvisionnement de qualité
dans les meilleurs délais et du côté achat, on cherche à faire rentrer des
produits au meilleur coût et le plus tard possible pour diminuer les stocks
et pour regrouper le maximum de commandes.

Ces conflits engendrent des répercussions très graves sur la production et


par conséquent sur l'ensemble de l'entreprise.

Il faut en conclure que la mise en place d'une GPAO doit s'accompagner


d'une réflexion regroupant tous les services : c'est l'équipe de projet GPAO.

L'équipe GPAO pourra être constituée par exemple de :

• Un responsable du service qualité

• Un responsable informatique

Et selon les thèmes abordés lors des réunions de travail, on fera intervenir
:

• Un responsable des ventes

• Un responsable de bureau d'étude

• Un responsable de la production

• Un responsable des achats

Mais dans tous les cas, le projet GPAO de l'entreprise doit être une volonté
de la Direction !

Axe 1 : les fichiers de la GPAO :


Tout projet GPAO nécessite des fichiers mis en place pour sa bonne
organisation et son bon déroulement. Ces fichiers sont : la codification des
articles, la nomenclature des produits, la gamme.

1- la codification des articles :


C’est une étape nécessaire pour un projet GPAO, elle permet une
recherche rapide et structurée des articles, une bonne communication
entre le service commercial et le service production, ainsi elle constitue
une base statistique facile de l’exploiter.

La codification des articles dans la GPAO est différente de tout langage


utilisé par les clients ou les fournisseurs de la société, elle est interne à la
GPAO, donc le code doit être différent du compte comptable associé au

1
produit, de la référence catalogue s’il figure sur un catalogue, du code
chez le fournisseur s’il est acheté, du code chez le client s’il est vendu.

Il faut juste noter que ce code doit éviter les espaces, les minuscules et
tout caractère bizarre.

2- la nomenclature :
C’est un outil puissant qui s’impose comme une étape indispensable dans
un projet GPAO. Toute nomenclature comprend deux parties :

• liste des articles constitutifs et leurs caractéristiques.

• Les liens qui unissent les articles, chaque lien est caractérisé par un
coefficient de montage.

Les nomenclatures d’assemblage peuvent se présenter sous trois formes :

A-les nomenclatures matricielles :

C’est un tableau à double entrée, une colonne par composant et une ligne
par composé. Cette présentation est utilisée lorsque les produits fabriqués
comportent un grand nombre de composants communs a de nombreux
composés.

Le tableau ci dessous illustre un exemple de


nomenclature matricielle

Composants

a b c d e f

1
C A 1 1 2 1
o
m B 1 1 1 3 1 2
p
C 2 1 1 1 1
o
s D 1 2 1 1 1
é
s E 1 1 1 2

B-les nomenclatures arborescentes :

Chaque produit fabriqué est décrit selon le processus de réalisation et


d’assemblage en atelier. Ces nomenclatures définissent de façon
hiérarchisée les composants de chaque composé. Cette forme est plus
visuelle.

Et voici un exemple de nomenclature arborescente :

C-les nomenclatures modulaires

1
Elles concernent les sous ensembles communs à plusieurs produits.
Lorsqu'une famille de produits est constituée d'un grand nombre de
versions réalisées à partir de sous-ensembles standardisés, il est
préférable de faire uniquement des nomenclatures pour ces sous-
ensembles plutôt qu'une nomenclature générale.

3- la gamme :
La gamme de fabrication d’un article est la liste ordonnée des opérations à
effectuer pour amener le produit dans son état final. Elle est établie par le
bureau des méthodes.

Les opérations de la gamme comportent :

• le poste sur lequel doit se dérouler la tâche.

• Le temps fixe: c’est le temps nécessaire pour préparer l’opération.


Ce temps ne dépend pas de a quantité a produire.

• Le temps unitaire : c’est le temps nécessaire pour fabriquer une


pièce, a condition que le poste soit prêt.

Grâce à la gamme, l’entreprise peut déterminer sa capacité de production


et de la comparer avec la demande du marché pour connaître sa position.

Axe 3 : Les fonctions de la GPAO :


1. Planification :
La planification est la première étape à entamer dans la gestion de la
production. Elle puise ses soubassements dans la politique commerciale
pratiquée par l’entreprise, qui est la forme opérationnelle d’un plan
stratégique dont le but est la détermination des objectifs de l’entreprise à
long terme dans les services industriel et commercial. La planification
consiste à prévoir le passage des opérations sur les postes de charge
(centres de charges) et à déterminer les charges sur les postes ainsi que
les dates prévues de début et de fin des opérations. Ce qui veut dire
l’élaboration d’un budget de fabrication qui englobe les capacités et les
charges les approvisionnements et la sous-traitance. Le plan directeur de
production est l’analyse en valeur des aspects matière, machines, main
d’œuvre, frais généraux ou en temps. On parle ici, des gammes simplifiées
qui vont permettre l’adéquation entre le carnet de commandes et la
meilleure utilisation des moyens de production.
1
L’assistance de l’informatique créera la possibilité de simulations et
interactions successives qui seraient impossible manuellement. Dans
l’élaboration du programme directeur de production on intègre les
prévisions commerciales (commandes clients fermes, planifiées et
prévisionnelles) les ressources humaines et matérielles (capacités) et des
données techniques (gammes simplifiées).

Plusieurs interactions conduiront un programme de production à produire


selon un calendrier d’où la gestion du temps vient pour accentuer son rôle
dans la gestion de production en général. L’entreprise est contrainte par la
suite d’élaborer un calcul des besoins qu’on va le traiter dans le chapitre
suivant.

2. Calcul des besoins :


C’est l’étape qui détermine les besoins en composants ou matières à la
fabrication d’un produit, et la date où les composants doivent être
disponibles. Les informations nécessaires à la détermination des besoins
sont fournies par les fichiers décrits précédemment qui sont les fichiers
des nomenclatures. A partir de ces nomenclatures le logiciel calcule les
besoins bruts échelonnés dans le temps de tous les composants et
matières nécessaires à la fabrication, puis les besoins nets en tenant
compte des stocks et des en-cours.

Ce calcul se fait méthodiquement en commençant par les articles des


niveaux élevés qui sont les produits finis puis en passant à des niveaux
inférieurs afin de déterminer progressivement tous les besoins en matières
élémentaires. Vient par la suite la détermination des besoins nets qui sont
le solde entre les besoins bruts et les stocks et en-cours disponibles. Si les
stocks et en-cours ne parviennent pas à couvrir les besoins bruts, donc on
se trouve dans une insuffisance en matières et composants ce qui va
déclencher des ordres d’approvisionnement. Si dans le cas contraire ou les
stocks et en-cours parviennent à prendre en charge les besoins bruts,
alors on va se dispenser de l’approvisionnement et passe à l’étape de la
fabrication.

A ne pas oublier aussi que le progiciel doit considérer les commandes


dépendantes (qui sont liées entre elles par des nomenclatures) et les
commandes indépendantes (par exemple les pièces de rechange).

3. Ordonnancement :
Après le calcul des besoins, vient l’étape organisationnelle qui a pour but
l’organisation des opérations nécessaires à la fabrication visant à

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optimiser les ressources utilisées en fonction des objectifs fixés, en
qualités et en délais. Cette étape est intitulée ordonnancement.

Avant de se lancer dans la fabrication d’un produit, il faut savoir le produit


qu’on va fabriquer, les ateliers et machines utilisés, le moment ou on va
démarrer la fabrication, les employés concernés à la fabrication de ce
produit et enfin le temps nécessaire de la fabrication en tenant compte de
certains éléments tels que les pannes éventuelles, la cadence des
machines, les temps de transfert, les temps d’attentes… .Toutes ces
informations sont déjà disponibles dans les fichiers des gammes et de
moyens de fabrication qui indiquent d’une façon détaillée les taches à
effectuer et le temps et moyens nécessaires pour les réaliser.

L’ordonnancement se situe à deux niveaux :

a) Ordonnancement centralisé qui vise à établir le jalonnement des


opérations élémentaires (date de début, temps opératoire, temps
d’attente…) à la fabrication des lots et à assurer le suivi de ces
prévisions à court terme.

Les progiciels concernés à ces calculs et diagrammes ne prennent


pas en considération la capacité maximale des postes, c'est-à-dire
que le calcul des charges est effectué à capacité infinie. Or
l’opérateur a la possibilité d’interagir sur le système à l’aide d’un
simple clic d’une souris, il faut par exemple effectuer :

 Le positionnement obligatoire d’une phase

 Une variation locale de capacité

 Le passage d’un OF sur un poste de remplacement

 Le passage d’un OF avec une gamme de remplacement

Il faut donc considérer l’ordinateur comme un outil d’aide à la


décision ou l’intervention de l’homme est un élément essentiel.

b) Ordonnancement local qui est une simple gestion de fil d’attente


selon des règles de priorités définies, comme par exemple : la date
de fin la plus proche, durée opératoire la plus courte ou la plus
longue, le lot qui a le plus petit nombre d’opération…

Ce deuxième niveau est normalement la réalisation du premier,


toute fois l’ordonnancement centralisé n’a d’utilité que s’il tient
compte de la situation réelle de l’atelier. Il y a donc une certaine
interaction entre les deux niveaux dont l’outil informatique joue un
rôle très important.

1
4. Lancement et suivi de production :
C’est l’étape qui concrétise l’ensemble des fonctions vues jusqu’à
présent de la planification au calcul des besoins jusqu’à
l’ordonnancement. C’est la mise en application de tous ce qu’on a vu
précédemment comme fichier de nomenclature et gamme de
fabrication qui vont être transformés par la suite en une forme
tangible et physique afin d’obéir à un ordre de fabrication déjà
prévu. Tous se passent dans un atelier ou sont livrés les matières
premières et les autres composants qui sont déjà en stock, afin de
les transformer en produits finis. On parle ici du lancement de la
fabrication, tandis que le suivi de fabrication permet de connaitre la
situation réelle d’un OF. Il nécessite un enregistrement des données
pour pouvoir comparer ce qui était prévu par ce qui est réalisé.

1
Commandes Programmes de
fermes ventes

Fichiers Centre de
des charges
articles
Gammes
simplifiée
s Plan directeur de
Appros production
critiques

Programme de
production

Calcul des besoins bruts


Fichier des
nomenclature en composants et
s
matières
Etat stock

Et en-cours

Calcul des besoins


nets

Composants à Besoins nets en composants et


approvisionner matières

Ordres Fichier
achats fournisseur Composants à
s fabriquer

Réception
s Fichier des
gammes
Ordonnancement à court
Fichier terme
moyen de
fabrication

Lancement
Matières
première
s Atelier Suivi
production

Semi
finis
Produits
1
finis
Axe 3 : Choix des progiciels :
Beaucoup d'entreprises affirment que leur cas est unique et qu'elles ont
besoin d'un logiciel de GPAO étudié spécialement à leur mesure.

Pourtant, les progiciels standards de GPAO ont fait leurs preuves dans le
monde industriel.

L'intérêt que représente un progiciel standard, par rapport à une


application spécifique, est représenté par les paramètres suivants :

• Economie de temps de développement

• Moindre coût

• Fonctionnalités étudiées et testées en grandeur réelle et améliorées


en fonction des constats réalisés par les utilisateurs

• Compatibilité avec d'autres applications

• Maintenance et évolution possibles

Cependant, le progiciel nécessite souvent de légères adaptations en


fonction des spécificités de l'acquéreur. Celui−ci devra donc offrir des
possibilités de paramétrages.

Par ailleurs, la mise en œuvre d'un logiciel standard permettra à


l'entreprise de "mettre à plat" ses méthodes habituelles de gestion et
pourra reconnaître finalement que son activité peut reposer sur des
nouvelles méthodes de gestion classiques, mais éprouvées.

A- Classification des progiciels :


Les progiciels de la gestion de production les plus répandus en
France on été objet d’une comparaison et un classement selon des
critères de fonctionnalité et de cout. On distingue entre quatre
classes :

A- Progiciels simplifiés qui effectuent le suivi de fabrication, l’édition


des documents de lancement et de fabrication, positionnent les
opérations en cours dans le temps, font la tenue de stock et le calcul
des besoins mais ne planifient pas les besoins dans le temps et
n’effectuent aucun ordonnancement.

1
B- Outre les fonctions de la classe A, ils comportent un module
d’ordonnancement qui les oriente vers la gestion d’atelier.

C- Ils développent la philosophie MRP. La planification est presque


toujours effectuée à capacité infinie.

D- Progiciels de très grosses capacités fonctionnant sous base de


donnés et offrant de nombreuses possibilités.

Une qualité essentielle d’un projet de GPAO est d’être modulaire. Ne serait-
ce que pour des raisons financières, il sera alors possible d’envisager une
informatisation relativement étalée selon un calendrier. Il n’est évidement
pas envisageable d’effectuer l’implantation dans un ordre aléatoire mais
cet aspect peut notamment intéresser une petite entreprise.

EXEMPLE DE MODULES D’UN PROGICIEL DE


GPAO

Programme
directeur de
production

Calcul des

Gestion des articles,


Gestion des en-cours
Gestion des
(planification,
nomenclatures
lancement, suivi)
Gestion des gammes,
Prix de revient (prix de
Gestion des postes de
revient de fabrication,
charge
valorisation des en-
Gestion des stocks cours)

Saisie d’atelier Saisie d’atelier

Gestion commerciale

Comptabilité
Salaires

B- Les scénarios de l’informatisation de la gestion de production :


1
L’informatisation de la gestion de production peut se faire selon deux
démarches :

• Approche par le progiciel : la société choisit le progiciel qui lui


convient, après elle choisit le matériel nécessaire.
• Approche par le matériel : Au cas où la société ne trouve pas le
progiciel adéquat, elle choisit d’abord le matériel et après cherche le
progiciel convenable.

La première démarche est fonctionnellement plus logique (rechercher un


progiciel adapté à l’organisation de la gestion de production adaptée aux
paramètres de l’entreprise), s’il n’existe pas ce progiciel, l’entreprise
choisira d’abord le matériel puis cherche le progiciel.

Scénarios de l’informatisation de la GP

Informatiser la
gestion de
production

Choisir le progiciel Choisir le


matériel

S’il n’existe pas de progiciel


Par le Par le
progiciel progiciel

Développ Choisir
er un un
logiciel progiciel

Choisir un En Par un Sté


matériel interne de service

1
Conclusion :
Il est bien évident d'après ce qu'on a vu, que la GPAO fournit
plusieurs avantages à la production en terme de l'organisation
et la bonne gestion des étapes à effectuer depuis la commande
des clients jusqu'à la livraison. Toutefois, il faut signaler que la
GPAO ne gère pas quelques opérations telles que:

• les plans à consulter (plans de détail pour usinage ou


assemblage, ...)

• les spécifications de fabrication et de contrôle

• la référence des programmes CN à utiliser

• les documents modèles de feuilles de relevé de mesure

• les renseignements à stocker pour le futur dossier qualité

• les notices relatives au composé

Chose qui n'est pas compatible avec les exigences de la


certification Assurance Qualité ISO9000.

Il vient ici le rôle des SGDT (systèmes de gestion des données


techniques) qui a pour but la résolution de ces problèmes tout

1
en étendant les données relatives à un article de la GPAO en
super−codification ou métadata.

D’autre part, la mise en œuvre d’un projet complet de GPAO


s’évalue en mois et parfois en années. Le succès des premières
applications créera une dynamique : un bon démarrage est un
gage de réussite des étapes suivantes.

Bibliographie :
• Gestion de production, Alain COURTOIS, EO
SUP, Les éditions d’organisation, 1993.
• Précis d’organisation et de gestion de
production, L.BOYER
• http://perso.wanadoo.fr/gpao.net
• Gestion de production, François BLONDEL,
DUNOD, 1999.

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