Expliquant Columbine

Par ALEX ALTMAN

Il ya dix ans, le 20 avril, les étudiants Eric

Harris et Dylan Klebold marcha en lycée de

Columbine, à Littleton, au Colorado et a tué

15 personnes, y compris eux-mêmes. Depuis, des

dizaines de journalistes - et des millions

d'Américains - ont essayé de donner un sens à

un massacre absurde. Personne ne l'a fait

aussi complètement que Dave Cullen. Un

journaliste d'investigation, Cullen a accéléré

à la scène comme la fusillade s'est déroulée,

et a rendu compte de l'histoire depuis. De

Columbine, sorti ce mois-ci, il expose une

grande partie de la mythologie de l'événement,

offre des profils de rivetage des deux tueurs

très différentes et les chroniques les

tentatives d'une ville à composer avec une

tragédie inimaginable. TEMPS parlé Cullen par

téléphone au sujet des dangers de travailler

sur un projet douloureux, les problèmes liés à

blâmer et ce Columbine nous a enseigné.

Comment avez-vous commencé avec ce projet?

Lorsque la fusillade a commencé, je l'ai vu

sur les nouvelles locales et fait monter à

l'école. J'ai travaillé environ un mois sur

l'histoire pour Salon et je pensais faire. Je

voulais vraiment faire. Mais il ne cesse de

creuser me back. Le matin après Columbine, les

enfants avaient changé. Le premier jour, ils

étaient étreintes, pleurer, crier. Et le

lendemain matin, rien. Les garçons étaient

complètement vides. Ça m'a vraiment énervé.

C'est pourquoi je revenais à ce livre.

Comment avez-vous gagné la confiance de vos

sujets tout en faisant rapport sur un sujet

aussi douloureux?

Après Columbine, il y avait beaucoup de jeunes

qui ont envie de parler. Mais je l'ai approché

avec précaution. Vous devez vous établir comme

un être humain qui se soucie avant de prendre

le bloc-notes Out. Il ne suffit pas plonger po

Quels sont les effets ne vous plonger si

profondément dans un événement aussi horrible

- de 10 ans - ont sur vous personnellement?

J'ai eu deux épisodes de post-secondaire des

troubles de stress traumatique au cours du

processus. J'ai eu un combat pour la première

année, puis j'ai eu il ya un 2 ½ rechute ans.

La difficulté était l'écriture?

J'ai essayé de rythme à la rédaction des

chapitres dur. Celle de l'enterrement du

Klebolds 'pour [Dylan] a été très dur, que je

ne m'attendais pas. Faire preuve d'empathie

avec un tueur est dur. Vous ne voulez pas y

aller, mais tu dois le faire. Nous avons tous

des bons et mauvais et méchant engage en nous.

J'ai passé cinq mois seulement ingérer Eric.

Je n'ai fait que lire ses journaux, écouter sa

musique et regarder quelques-uns des films

qu'il a aimé. Ensuite, j'ai passé 4 mois et

demi sur Dylan. La partie Eric était O.K.

C'était comme l'inspection d'une maladie. Il

ya un moment dans le journal d'Eric - c'est

juste une ligne ou deux - où il parle de

tourner sur ses opérations hors de ses

sentiments de sympathie. Il a une sorte de

prise de conscience [que ce qu'il fait est

mal]. Et qui le rend presque un peu plus

diabolique.

À la fin je trouve Dylan beaucoup plus

intéressants. Eric a commencé à vouloir

devenir un tueur, et est devenu un tueur.

Dylan d'abord voulu me suicider.

Je me demande si vous étiez plus intéressés

par Dylan, car Eric, comme vous dites, était

un psychopathe né, et il n'y avait pas

vraiment quelqu'un à blâmer.

Exactement. Je ne me sentais pas vraiment de

sens de parenté avec Eric. Évidemment ce que

Dylan a fait était mal, mais j'ai pu

identifier avec beaucoup de choses qu'il

traversait. J'étais un adolescent aussi. Je me

souviens de se vautrer dans mon propre auto-

pitié.

Une chose que je ne pouvais tout simplement

pas de pellicule ma tête était le processus

par lequel Dylan est passé d'un enfant déprimé

à l'un capable de commettre assassiner en

masse.

Je ne sais pas s'il ya jamais de la

compréhension finale de cela. Il n'a jamais

fait de nous expliquer pourquoi il fait cela.

Pourquoi les tueurs garder de sauter à travers

des cerceaux - travaillant leur emploi, de

papier à écrire, aller au bal - à droite

jusqu'à l'attaque? Il rend l'attaque

ressemblent plus à un spectacle que comme un

acte de colère.

Absolument. C'est ce que le terrorisme est la

suivante: la violence comme théâtre. 9 / 11

was un spectacle, un spectacle pour l'Amérique

de nous faire séisme. Ce fut une performance

pour Eric en particulier.

Vous avez clairement la sympathie pour le

Klebolds. Qu'en est-il vers les Harris?

Je pourrais voir de ce qu'Eric a écrit à leur

sujet qu'elles semblent très clairement à être

de bons parents. Après [Eric et Dylan ont été

arrêtés en Janvier 1998 pour s'introduire dans

un van] Journal Wayne Harris était truffé

d'activité. Il n'a pas d'envoyer Eric à un

psy. Il a appelé tout un tas de lui-même. Il

essayait de faire les choses.

Alors, où ont-elles mal tourner?

Je ne sais pas ce qu'ils faisaient. Si

quelqu'un leur avait dit que leur gamin était

un psychopathe, qu'ils auraient pu faire les

choses différemment. Mais comment pourraient-

ils jamais su?

Eric tout le monde dupé. J'ai juste fait une

lecture où quelqu'un a dit qu'elle avait

travaillé en étroite collaboration avec Eric

et avait une mémoire distincte de lui soit

aussi un jeune homme impressionnant: polis,

charmants, respectueux envers les adultes.

Tout comme ce que vous voulez tous les petits

marmots d'études secondaires étaient

similaires. Elle a dit que tous les

professeurs étaient dupes. Lorsque vous

demandez à quelqu'un de plus en plus pour être

un escroc professionnel, il est assez

difficile pour les Harris de voir à travers

cela. Les parents des psychopathes jamais

comprendre.

Et le Klebolds? Pourquoi n'ont-ils pas

réaliser Dylan était si déprimé, pour

commencer?

J'ai demandé à des psychiatres à ce sujet. Ils

ont dit: "Oh, vous avez un morose 16-year-old

boy. Welcome to America." Les parents ont

juste pensé qu'il allait à l'adolescence, et

l'école secondaire a été dur. Ils savaient

qu'il était déprimé; Ils n'ont tout simplement

pas réalisé à quel sévèrement. Père de Dylan

était proche avec son fils. Il savait qu'il

avait eu un enfant en difficulté. Mais Dylan

était timide péniblement de quand il était

petit garçon. Vous ne voyez pas cette venue.

Beaucoup de mythes se leva immédiatement après

Columbine. Pourquoi étions-nous si prompts à

sauter sur les récits Pat?

Le problème avec Columbine a été nous avons

ressenti le besoin de s'en expliquer

immédiatement. Elle était si horrible, et le

public a voulu savoir pourquoi c'est arrivé.

Nous, dans les médias voulaient savoir

pourquoi aussi, et nous avons pensé que nous

devions d'y répondre. Ce que nous aurions dit

seulement: «Nous n'avons pas de bonnes

informations, et il serait irresponsable de

notre part de dire pourquoi." Lorsque vous

spéculer dans un cas comme celui-ci, il se

métamorphose très vite en «fait». Nous avons

commencé avec l'hypothèse que les tireurs de

l'école ont tendance à être solitaires, exclus

et victimes d'intimidation. Qui s'est révélée

être un mythe: certains sont victimes

d'intimidation, mais même pas 50%. La majorité

n'est pas l'une de ces choses.

The Meaning Of Assassiner

Par Lev Grossman

Ils n'étaient pas homosexuels. Ils ne

faisaient pas partie de la mafia trench-coat

(même si il y avait un réel Trench Coat

Mafia). Ils n'étaient pas nerds ou des parias

ou Goths, et ils ne visent pas les jocks ou

les Noirs ni personne en particulier. Ils ne

vont pas Bowling for Columbine. Ils ont sauté

la classe ce matin-là à la place. Dave Cullen

est un journaliste qui a passé les 10

dernières années dans le Colorado à essayer de

comprendre exactement ce qui s'est passé à

Columbine High School, le 20 avril 1999, et

pourquoi, et quelles étaient les conséquences.

Il a lu des journaux des tueurs, regardaient

les cassettes de surveillance et a interrogé

un grand nombre des survivants. Le résultat

est globalement cauchemardesques son livre

Columbine (Douze; 417 pages), publié quelques

semaines plus timides de ce 10e anniversaire

de sinistre. Cullen tâche est difficile, non

seulement parce que les événements en question

sont presque littéralement innommable, mais

aussi parce que même quand il raconte

l'histoire d'un massacre qui a coûté la vie à

15 personnes, dont les tueurs, il doit untell

les histoires qui ont déjà été dit . (Voir

photos de la criminalité dans l'Amérique

Centrale.)

Cette histoire doit être racontée à tous? Il

ya un élément de la maladie, la fascination

voyeuriste à lui - nous n'avons pas besoin

d'un exercice dans le porno en cas de

catastrophe. Mais Columbine est un livre

nécessaire. Relatant un événement est une

façon d'apprivoiser, de lui donner un sens, et

le massacre de Columbine est une façon

agressive, catastrophiquement événement de

sens, une déchirure dans le tissu lisse d'un

monde par ailleurs compréhensible. C'est un

vide qui exige de toute urgence à pourvoir.

La question est: Qui va le combler? Dès que la

nouvelle de cette atrocité ont commencé à fuir

hors du bâtiment - et c'était à la télévision

locale 28 minutes après le premier coup de feu

- propriété de l'histoire d'Eric Harris et

Dylan Klebold a été violemment attaquée.

Etaient-ils naturels nés tueurs? Ou ont-ils

été victimes eux-mêmes - de l'intimidation, de

la parentalité mauvaise, de maladie mentale?

Ont-ils été envoyés par le diable, comme

certains prédicateurs locaux évangélique a

fait valoir? Les tueurs ont une version de

leur histoire aussi, qui ils ont dit dans les

revues et des vidéos qu'ils ont laissé. Ils

ont cru qu'ils étaient deux dieux vivants

piégés dans un monde de zombies. (Voir

l'histoire de 1999 HEURE couvrent environ

Columbine.)

Mais la première leçon de Columbine est qu '

«ils» ne sont pas elles. Pour comprendre

Harris et Klebold, vous devez apprendre à les

distinguer. Harris a été l'extraverti: «Il

fumait, il buvait, il daté. Il a été invité à

des fêtes. Il s'est élevé", écrit-Cullen. Un

Fils de militaire, la navette de l'école à

l'école, il avait ramassé le truc d'être

charmant, mais il avait aussi une humeur qui a

éclaté quand il n'a pas sa manière. Klebold

était physiquement plus imposant - à 6 pi 3

po, il était de 6 po Taller - mais il était

moins sûr de lui.

Klebold a gravement souffert de ce qui semble

avoir été diagnostiqué une dépression. Harris

avait une maladie non diagnostiquée aussi,

mais ça ne sonne pas comme si elle lui a causé

beaucoup de souffrance. Le consensus entre les

psychiatres, c'est qu'il était un psychopathe.

Les psychopathes sont neurologiquement

différentes de personnes saines. Ils sont

arrogants et obsédé par le pouvoir et le

contrôle, et ils sont cognitivement presque

incapable de remords ou d'empathie. Harris

avait un site Web où il à plusieurs reprises,

de façon répétitive répété ses griefs: "Tout

ce que je veux faire, c'est tuer et blesser le

plus grand nombre d'entre vous pique comme je

peux!" (Parmi ses bêtes noires: les gens qui

prononcent espresso "Expresso".) Le journal

qu'il gardait fut appelé "Le Livre de Dieu."

Klebold appelé son journal, plus poétiquement,

«existences: un livre virtuel." Il alterne

entre odes à sa misère, de solitude et des

pages entières de coeurs ailés, symboles de

son amour pour une fille Cullen appelle

«Harriet», à qui Klebold apparemment jamais

parlé. Considérant que Harris rêvait

d'homicide, Klebold rêvé de suicide: «Penser

au suicide me donne l'espoir que je serai à ma

place, partout où je vais, après cette vie -

que les mauvais finalement pas en guerre W.

moi, le monde, l'univers ». Klebold était le

disciple, et non le planificateur. Sous la

direction attentive de Harris, il a appris à

tourner sa douleur intérieure à l'envers, en

une folle envie de punir les autres. Au

printemps de 1999, lui et Harris étaient tous

deux se disant dieux. Le reste d'entre nous

étaient des zombies, des perdants, des robots,

enfermés dans notre vie inférieure, peu à peu

nos esprits inférieurs. Ils étaient prêts à

tuer. (Lire "Les Rubans Columbine.") Les

événements réels du 20 avril 1999, sont

exactement aussi détestable que vous vous

attendez, et Cullen ne nous épargne pas une

seconde d'entre elles. Pour assembler un

calendrier définitif de l'attaque, Cullen a eu

à résoudre des centaines de témoignages

extrêmement divergentes. Ce fut, comme il dit,

«la première confrontation en otage majeurs à

l'ère téléphone cellulaire», de sorte que le

cauchemar s'est déroulée, les élèves ont des

stations d'appel des nouvelles locales, qui

ont transmis leurs paniqué Stories Retour dans

les classes par l'intermédiaire de téléviseurs

en temps réel, créant une boucle de

rétroaction qui a dénaturé leur expérience de

l'événement alors même qu'il se passait. Peut-

être la chose la plus surprenante de sortir

une version de Cullen est de savoir comment

tout est arrivé rapidement. Qu'est-ce ressenti

comme une journée entière épreuve a duré

seulement 49 minutes avant le tir au terme de

leur vie. Tous les meurtres qui s'est passé

dans le premier 16. (Voir le top 10 des non-

livres de fiction de 2008.)

Américains ont pris quelques leçons de

Columbine, mais pas toujours les bonnes.

Colorado renforcé les restrictions sur les

ventes d'armes à feu à des salons gun ... mais

la législation nationale est mort au Congrès.

Une épidémie de profilage balayé les écoles

secondaires américaines, mais elle était

largement fondée sur l'idée erronée que les

tueurs étaient victimes d'intimidation des

parias. Armées tactiques impasse aussi changé.

Équipes d'intervention sont désormais plus

nombreuses à se précipiter dans un bâtiment et

de retrait tireurs immédiatement plutôt que

d'établir un périmètre et attend de plus

amples informations. Que la stratégie de mai

ont sauvé des vies à Virginia Tech, où en

2007, Cho Seung-Hui a tué 32. (Voir photos de

la fusillade de Virginia Tech.)

Que pouvons-nous apprendre de Columbine, qui

est maintenant la plus convaincante, la

narration fiables, nous avons du massacre? Si

elle remplit la signification de cette

barbarie insensée, qu'est-ce que c'est? Harris

histoire »ne nous aident pas tout. Il est

familier et unilluminating: il a été câblé

pour tuer. S'il ya une leçon à retenir ici,

elle se trouve dans l'histoire de Klebold, qui

est le plus inquiétant parce qu'il était, au

fond, comme nous. Il était capable d'amour et

de sympathie, et il les a jetés. Certains

assassins sont naturels nés. Klebold a été

faite.

Eric Harris et Dylan Klebold: Portrait Of A

Deadly Bond

Par ERIC POOLEY / Littleton, John Cloud, SC

GWYNNE, Maureen Harrington et Jeffrey SHAPIRO

/ Littleton, Elaine Rivera / PLATTSBURGH, et

Richard WOODBURY / Denver Lundi, Mai. 10, 1999

Vous n'allez pas croire qui est s'avère être

un gentil garçon à l'école, "Brooks Brown a

dit à ses parents un soir à la mi-avril. Ils

étaient à la table du dîner dans leur maison

de style ranch de Columbine Knolls, une

subdivision modestes à Littleton, au Colorado,

et le grand angulaire 18-year-old connaissait

le commentaire serait pas sans susciter des

poussières. Sa mère et son père, Judy et Randy

Brown, se pencha et demanda: "Qui?" Eric

Harris. "

Randy presque étouffé avec sa fourchette. «Je

ne peux pas croire que tu parle même de lui

après ce qu'il a fait." Judy posa une main sur

son cœur. «On peut dire tout autre nom à cette

école secondaire et il serait bien", dit-elle.

«Mais pas celui-là.

L'an dernier, Eric Harris avait jeté un

morceau de glace sur la voiture de Brooks, à

la fissuration de son pare-brise. Peu après,

les Browns avaient découvert les spewings sur

le site Web de Harris, des geysers de la haine

comme celui qui dit Harris avait envie de

"faire sauter et tirer sur tout ce que je

peux. Aucun remords, aucun sentiment de honte

... I don't care if je vivre ou de mourir dans

la fusillade, tout ce que je veux faire, c'est

tuer et blesser le plus grand nombre d'entre

vous [juron] que je peux, en particulier de

quelques personnes. Comme Brooks Brown. "

Harris prétendu avoir les armes pour mener à

bien sa menace contre Brown. Sa bombe site web

proposé de renforcement des instructions et se

vantait que lui et un ami, au nom de code

«vodka», a fait quatre bombes artisanales ont

explosé et l'un ( "chose Flipping avait le

cœur battant gut-brain-arrachement secousses

du sol se déplacent incroyablement cool! »).

Et si tout cela ne suffisait pas, Brooks

savait que «vodka» était son vieil ami le

mieux, Dylan Klebold, qui était devenu nouveau

meilleur ami de Harris, mais avait alerté

Brooks sur le site haineux. Effrayé, les

Browns ont fouillé leurs biens pour les bombes

et les plaintes déposées avec le département

du shérif et America Online, qui a été l'hôte

du site. Ils disent qu'ils n'ont obtenu aucune

réponse à partir non plus. (Département du

shérif dit qu'il n'a pas poursuivi Harris

parce qu'aucun crime n'avait été commis et les

Browns ont souhaité rester anonymes.) Mais en

avril 1998, Harris a pris son site hors ligne,

et la vie dans le quartier semblait se calmer.

Aujourd'hui, un an plus tard, Brown était à

dîner dire à sa mère et le père que Harris

était un bon gars, après tout. Brown a été

prise la philosophie et les cours d'écriture

créative avec Harris et Klebold, et les trois

passé du temps ensemble - Bright, inadapté

enfants, unis dans leur intelligence et son

dédain pour la culture marginé de Columbine

High. "Au dîner, j'ai fait une grande affaire

pour Eric", Brown a déclaré TEMPS la semaine

dernière. "J'ai dit qu'il avait grandi. Il

était un gosse effrayant réels l'an dernier,

tout le monde avait peur de lui. Mais il ya

six mois, nous avons enterré la hache de

guerre, et j'ai vraiment pensé qu'il avait

changé. J'ai pensé qu'il était un nouveau

Eric." Brown admet qu'il a réalisé quelle

erreur il avait cinq jours plus tard, quand

Harris et Klebold lancé le massacre de

Columbine, tuant 13 personnes et en blessant

23 avant de se donner la mort dans des

circonstances (Double suicide? Assassiner-

suicide?) Que les autorités n'ont pas encore

clarifiée. Brown avait passé beaucoup de temps

avec ces amis mortel, et il les comprend mieux

que quiconque aujourd'hui en vie. Mais il

insiste sur le fait qu'il n'a jamais eu la

moindre idée de ce qu'ils faisaient. Et bien

que son association avec Harris et Klebold a

attiré des soupçons - "Je ne sais pas ce qu'il

est», dit le procureur Dave Thomas, "et nous

n'excluons pas que quelqu'un Out" - l'amitié

mai ont également sauvé la vie. Harris Brown

découvre par hasard dans le parc de

stationnement de l'école quelques minutes

seulement avant le tournage a commencé. Harris

a été tirant un sac de matériel de sa voiture;

Brown dit qu'il ne savait pas ce qu'il

contenait. Il a mentionné un test de la

philosophie Harris avait manqué ce matin.

"Doesn't Matter Anymore", a déclaré M. Harris.

Brown dit qu'il ne savait pas ce que cela

signifie - ni ce que Harris avait l'intention

quand il a dit Brown à sortir de l'école, en

disant: "Brooks, je vous le souhaitez.

Maintenant, sortez d'ici. Rentrez chez vous."

D'autres qui savent Harris pense sentiment

n'avait rien à voir avec la décision de Harris

pour épargner Brown. Ils pensent que Brown

était tout simplement trop loin de la

cafétéria pour Harris pour tuer, parce que

cela aurait donné à ceux de l'intérieur une

chance de s'en tirer, gâter son plan

soigneusement poli match. Brown dit: "Je hais

ce qu'ils ont fait, mais ils étaient mes amis.

Peu de gens diront que sur eux. Peu de gens

vraiment les connaître." Littleton enterré sa

dernière semaine de jeunes, et le ciel avait

le bon sens à pleurer. Quand 5000 se sont

réunis pour célébrer la courte vie d'Isaïe

Shoels, un homme chaleureux, jeune cœur tué

parce qu'il était African American, Colombine

survivants de marche sous la pluie pour le

Centre de l'Héritage chrétien n'a pas pris la

peine d'ouvrir leurs parapluies; si l'on

pouvait sentir la la pluie sur leurs visages,

ils doivent être en vie. L'intérieur du

sanctuaire moderne, vaste, les explications

avaient tendance à être très simple: Satan

avait pris le contrôle de Harris et Klebold.

Tout au long de la semaine, la police a

fouillé pour les complices (Aucune arrestation

n'a été faite, mais les autorités à la fin de

semaine, ont dit qu'ils avaient encore de 10 à

15 suspects potentiels) et a répondu aux

accusations selon lesquelles ils ont omis de

tenir compte des signes précurseurs de

l'intrigue. Beaucoup d'étudiants étaient à la

recherche d'explications séculier. Ils se sont

réunis dans des maisons de parler et de

pleurer et de spéculations, parfois les

garçons fantasmé sur ce que les tactiques de

commando qu'ils auraient pu servir à mettre

fin à la tuerie - la prochaine étape logique,

mais triste pour une tragédie alimenté dès le

début par la violence, des fantasmes

cartoonish. Et comme tant d'autres personnes à

travers le pays, ils ont tâtonné pour les

réponses qui ne viendraient pas. Bien qu'il y

ait toujours quelque chose inconnaissable sur

les motivations de ces assassins de masse des

étudiants, le rôle de Harris dans le massacre

fut pas une surprise pour certains étudiants

de Columbine: ils pensent que ce sont Harris

dès qu'ils réalisé quelqu'un tirait. Le fils

d'un officier à la retraite de la Force

aérienne et un traiteur - décent, des

personnes bien intentionnées qui semblent

avoir été entièrement emporteront par leurs

froid, fils de manipulation - Harris n'était

pas un candidat improbable pour Mayhem

banlieue. Dans son enfance, se déplaçant avec

sa famille depuis des bases aériennes de la

Force dans l'Ohio et du Michigan et de New

York, il a été inoubliable pour tous. "Il

était juste un garçon calme essaie de

s'intégrer, dit Plattsburgh, NY, Little League

coach Terry Condo. Mais à Columbine, il

préférait rester à l'écart de la foule. Bien

que l'antidépresseur Luvox a été prescrit pour

garder sa chimie du cerveau plus ou moins en

équilibre, il était capable de débordements

violents, Slow-faire bouillir l'intimidation

et la rage meurtrière. Il venait d'être rejeté

par le corps des Marines et aurait plusieurs

collèges. Sa classe se déplaçait à venir, mais

en dépit de son intelligence, il l'était pas.

Klebold a été le grand mystère. Timide et un

peu triste, avec une where's-la parole-regard

et une raie sombre, il s'installe plus vite

quand il était dans le sillage de Harris, en

tirant de l'énergie et la confiance de sa

part. Pourtant, il semblait regarder vers un

avenir qui ne comportait pas les fusils et les

bombes. Il disait aux gens que les pseudo

Harris-Nazisms dérangé. Au bal des finissants,

il eut un petit rire et lente a dansé avec sa

date, et même tenus la main - une initiative

majeure pour un trop grand gamin qui n'avait

pas encore eu sa première petite amie. Lui et

son père Tom, un géophysicien qui s'étaient

installés dans l'hypothèque de services aux

entreprises, vient de passer cinq jours à

visiter l'Université de l'Arizona, où Dylan

était d'assister à l'automne. Sa mère, Sue,

qui a travaillé dans le placement des

personnes handicapées, était inquiet pour lui,

mais jamais entrevu la portée du problème.

Elle pensait le faire sortir de Columbine

ferait l'affaire, et Dylan semblent d'accord.

Quelques jours seulement avant le tournage,

Dylan a dit à son ami Terra Oglesbee qu'il «ne

pouvait pas attendre pour obtenir leur

diplôme." Il jouait bien-aimée dans sa ligue

de fantasy baseball jusqu'à la nuit avant le

siège, élaborer des plans pour les joueurs sur

le commerce le jour où il a tué tant et puis

il mourut. Etait-ce couvrent une magistrale,

ou son esprit ne manquera pas de processus de

ce que la tuerie ne signifie? Pourquoi aurait-

il suivi Harris dans l'enfer sur terre, en

riant comme ceux qu'ils avaient tués ou

mutilés de personnes qu'il connaissait, les

gens, dans certains cas, il se souciait

vraiment?

Des gens comme Rachel Scott, une présence

béatifique à l'école secondaire qui espère

devenir un missionnaire. Après qu'elle eut été

enterré, certains de ses camarades de classe

de Scott a rappelé un spectacle d'artistes

amateurs l'an dernier dans ce qu'elle a fait

une danse mime illustrant Simon de Cyrène, qui

a porté la croix de Jésus sur une partie de la

Via Dolorosa. En milieu de sa performance la

musique découpée, la laissant en plan. Le gars

dans la cabine de son, qui évidemment lui

plaisait, brouillés de brancher une platine

cassette de réserve à temps pour sauver sa

performance. The Sound Guy était Klebold.

Comment le même garçon s'amuser perpétrer le

massacre qui a eu sa vie? "Si Dylan pouvez le

faire, qui n'est pas capable?" demande le père

Brown, Randy Brooks, un ami de longue date de

Tom et Sue Klebold. "A un certain point Dylan

fissuré, et personne ne savait. Sa maman est

Rippin 'se redressant, en essayant de savoir

pourquoi. Mais Dylan est parti et il n'y a pas

de pourquoi." Klebold ne peut pas expliquer ce

qui venait sur lui, mais Brooks et quelques

autres peuvent essayer. «Dylan était un

suiveur, mais il ne voulait pas suivre

n'importe qui, explique Brooks. "Il était

aussi beaucoup d'un individu comme un disciple

peut l'être." C'est presque deux heures du

matin, et Brown, qui a rasé tous ses cheveux

et sa barbe de la semaine dernière parce qu'il

avait besoin d'un «nouveau départ», est

allongé sur le tapis dans le salon de sa

famille, en essayant d'expliquer

l'inexplicable : Qu'est-ce qui Klebold

raccrocher à Harris? "Eric était un

individualiste incroyable», il commence

lentement. "Charismatique, un orateur

éloquent, bien lire, le genre de gars qui

pourrait bulls___ pendant des heures sur

n'importe quoi et être spirituelle et

brillante." Il n'y avait aucun signe de cette

érudition sur le site Web de Harris, mais

peut-être qu'il a été le rôle à jouer dans ces

jours. Il est clair que Brown se sent encore

Eric tirer ainsi. Il sait qu'il va manquer

assis autour de l'après-midi avec lui, de

manger et de parler des idées comme

l'objectivisme Ayn Rand, qui voit l'homme

comme un "être héroïque" dont le bonheur est

le but de sa vie. Il va me manquer leur

fiction perturbés (dans une classe-écriture

créative, Brown lire à haute voix mémoire

violents Harris au sujet de sauter par-dessus

les journaux et affrontant des étrangers dans

son jardin à l'âge de cinq ans; Dylan a écrit

quelque chose à propos de Satan l'ouverture

d'une garderie en enfer) . Et il va manquer

l'inverse de solidarité snob qui se développe

chez les personnes qui se sentent délaissés

par deux et plus intelligente que la majorité.

Qu'est-ce Harris et Klebold partagée, dit

Terra Oglesbee, qui était dans leur création

littéraire classe aussi, était d'une

sensibilité poétique », sombre et triste.

Leurs poèmes étaient toujours sur les plantes

meurent et le soleil brûlant Out. Chaque fois

que je les ai entendus, je voudrais Il suffit

de brancher mes oreilles parce que je ne peux

pas supporter ce genre de choses. " Dylan

rarement lu ses travaux à haute voix, dit-

elle, mais Eric "a été très bavard. Il était

un écrivain très bon. Il m'aidait à tricher,

parfois, passe-moi les réponses dans les tests

et tout ça." Bien qu'elle soit African

American, elle n'a jamais senti le racisme qui

se sont répandues contre Shoels Isaïe pendant

le massacre. Peut-être que ce jour-là ils

étaient rôle à jouer.

Bien que les élèves de Columbine a tagué

groupe Harris 'The Trench Coat Mafia, un nom

qui suggère un certain degré d'organisation

quand il n'y en avait pas, chaque lycée a ses

outsiders intellectuelle. Il ya ceux qui se

dressent fièrement (si, parfois avec envie) en

plus des rassemblements PEP et les rituels

datant de la cool kids, et ceux qui sont

suspendus jusqu'au collège seulement sur les

délivre de la tyrannie du beau et

athlétiquement doué. À Columbine, qui a

remporté 32 championnats sportifs échelle de

l'État dans cette décennie, les athlètes et

les cheerleaders ne dérange pas cacher qu'ils

sont l'élite. «C'est la plus grande école avec

les enfants plus grands," dit piste d'or-boy

et star du football Scott Schulte. «Nous

sommes parfaits, et l'ambiance est parfaite."

Ceux qui sont imparfaites plutôt pas d'accord.

Columbine athlètes, un grand nombre des non-

athlètes-dire bénéficier d'un traitement

favorable des responsables de l'école et

souvent harceler ceux à qui ils regardent vers

le bas. Un certain nombre d'étudiants de

Columbine, qui ne veulent pas être nommés

parce qu'ils craignent des représailles, a

décrit les athlètes bousculer

systématiquement, jurant et jetant des roches

et des bouteilles sur Harris, Klebold et

autres. L'école nie avoir joué vos favoris et

les jocks nier harceler quiconque. La presse,

dit Schulte, "croire n'importe quoi à ces

enfants disent. Ils vous disent que les jocks

pointés sur eux, et vous l'imprimer. C'est

ridicule." Il ya sept mois, le département du

shérif du comté de Jefferson a averti le

Conseil des commissaires propos de la violence

croissante dans la région de Columbine,

notamment la lutte contre les groupes ganglike

des athlètes. Les responsables des écoles à

l'époque appelée le rapport exagéré. Double

normes et harceler, un certain nombre de

Harris et les amis Klebold dire, a contribué à

les conduire à des bombes et des balles.

Personne ne suggère que l'obtention harcelé

est une excuse pour commettre assassiner

masse, mais ils appellent cela le contexte de

Harris et de rage Klebold's. "Ont-ils snap? Je

pense qu'ils claquer un tas de fois, dit

Brooks Brown. «Chaque fois que quelqu'un leur

a claqué contre un casier et a jeté une

bouteille à eux, je pense qu'ils iraient

Retour à Eric ou la maison de Dylan et

l'intrigue un peu plus - d'abord comme une

gaffe, mais de plus en plus au sérieux au fil

du temps. C'est une théorie, mais il est

logique de toutes les personnes qui les

connaissaient. "

Le complot semble avoir commencé en avril

1998, mais personne n'a encore pu établir avec

précision ce qu'il partit. C'était une période

tendue à Columbine, avec des combats de

brassage entre les sportifs et amateurs de

skateboard, jocks et les Goths, et presque

tous picking sur les gars du trench-coats.

Quel que soit le catalyseur, le printemps de

cette année a marqué un dernier point tournant

pour Harris. La rage qu'il avait affiché sur

son site Internet ne se calmait pas, mais ça

ne va souterraines, comme il a pu

perfectionner sa capacité de tromper les

figures d'autorité, surtout les parents. "Je

dirais que ses parents étaient dans le déni,

mais la vérité est, ce gamin était bon», dit

Randy Brown. «Il avait une personnalité forte

et manipulatrice. Il ne pouvait convaincre son

papa de rien." Après Harris pare-brise

endommagé voiture Brooks avec cette boule de

glace l'hiver dernier, par exemple, Harris a

dit à son père qu'il croyait lancer une boule

de neige inoffensifs. Son père l'a cru, mais

Judy Brown n'a pas. "Vous pouvez jeter de la

poudre sur les yeux de ton père, at-elle dit

Eric,« mais vous ne pouvez pas tirer sur la

mienne. " Il fit semblant d'être offensé. "Tu

me traites de menteur? qu'il demandait. «Oui,

je suppose que je suis, dit-elle. Harris

piétiné loin. En Mars, selon le site Web de

Harris, lui et Klebold étaient occupés à

fabriquer leurs bombes première pipe. Mais ils

ont donné peu d'indices pour les gens autour

d'eux. Comparaissant devant le Comté de

Jefferson magistrat DeVita John sur Mars 25,

après avoir été arrêté pour s'introduire dans

une voiture et le vol d'équipements

électroniques, Harris et Klebold faite comme

ci-journée Eddie Haskells: "Oui, Votre Honneur

... Non, Votre Honneur. Qui a persuadé DeVita

(qui ne savait rien du site de Harris) à

convenir de les mettre dans un programme de

déjudiciarisation pour mineurs, et les charges

ont été abandonnées en échange de leur service

pratiquant la communauté et s'inscrire dans la

«gestion de la colère" des classes. Une

semaine après Harris yanked son site Web hors

ligne venimeux, il l'avait remplacé par un

journal secret tout aussi venimeuse - celle

dans laquelle, les autorités ont dit, il a

tracé sa campagne pour prendre une Columbine

High. Le journal n'a pas été rendu public.

Mais dans les mois de la fin 1998 et début

1999, il y avait beaucoup de préparations:

canons à acquérir, des bombes pour faire, les

lieux en éclaireur, le calendrier pour se

perfectionner. À l'automne de 1998, Klebold et

Harris a fait une vidéo pour un projet de

classe - une vidéo dans laquelle ils

s'habillent en trench-coats, porter des armes

et Soufflez les sportifs, un fantasme

meurtrier attisant une réalité meurtrière.

Pour Klebold, la planification et de

préparation mai ont pris une qualité

abstraite: quelque chose de lui et Harris a

parlé seulement les uns aux autres, quelque

chose qui ont alimenté leur relation, ce

qu'ils ne feraient jamais plan, mais que cela

ne m'arriverait jamais réellement. Jusqu'à ce

qu'il s'est passé.

Lorsque Harris a été rejetée par les Marines

le 15 avril, c'est à cause de ses

antidépresseurs. Un jour avant, Brandi

Tinklenberg avait refusé son invitation à la

Prom. Se sont-elles lui partit? C'est

impossible à dire. Mais cinq jours plus tard,

lui et Klebold commencé à tirer. À bon droit,

ils avaient déjà modélisé par ordinateur leur

crime. Le Centre Simon Wiesenthal, qui suit

les groupes haineux sur Internet, a découvert

la semaine dernière dans ses archives une

copie du site de Harris avec une version de la

fusillade sanglante-em-up de jeu vidéo Doom,

il avait personnalisé. Dans la version de

Harris, il ya deux tireurs, chacun avec des

armes supplémentaires et des munitions

illimitées, et les gens qu'ils rencontrent ne

peuvent pas riposter. Lorsque Harris et

Klebold entra dans Columbine le 20 avril, dit

un enquêteur Internet associé avec le Centre

Wiesenthal, «ils jouaient leur jeu en mode

Dieu».

Brooks Brown, plus ou moins la même. «Ce

qu'ils ont fait n'était pas sur la colère ou

la haine», dit-il. «Il était environ vivent

dans l'instant, comme ils étaient à

l'intérieur d'un jeu vidéo." Tant qu'ils

roulaient avec le plan, Brown fait valoir, à

l'abattage ne semble pas réel pour eux. Mais

cette explication absout les assassins trop

facilement: Est-il vraiment possible que la

chair et le sang des mutilés et mourir n'est

plus réel pour eux que des pixels sur un

moniteur vidéo? Brown croit que oui. «Ensuite,

ils ne peuvent pas sortir de la bibliothèque,

et ils ont un moment de remords écrasante, at-

il conjectures. "Ou bien l'on fait, tandis que

l'autre se perd encore dans le jeu». Harris

personnalisés jeu Doom a été programmé de

telle sorte que le tireur qui est à court de

munitions décède en premier. Au coeur de

Columbine, qui n'a jamais été un problème.

Peut-être l'un d'eux courut d'abord, mais de

la fantaisie. "Je pense que Dylan aurait mordu

dedans, tandis que Eric est encore en ce

moment", affirme Brown. "Peut-être que c'est

quand ils prennent place dans leur propre

fusillade. Les rumeurs sont tourbillonnant

parmi les étudiants que la fin n'est pas livré

avec un double suicide. «Je n'arrête pas

d'entendre que les balles d'Eric ont été

trouvées dans le corps de Dylan," dit Terra

Oglesbee. Une autre version a Harris et

Klebold compter jusqu'à trois, puis

l'exécution de l'autre, une loi d'application

de sources affirment qu'elle pourrait même

être vrai. Bien que les résultats balistiques

n'ont pas été libérés, District Attorney Dave

Thomas a dit que la médecine légale TEMPS

suggèrent double suicide. Mais étant donné

l'emplacement d'une blessure et le fait que la

balle qui a traversé la tête Klebold n'a pas

été retrouvées, il ne rejette pas la

possibilité d'un assassiner-suicide. Affirme

Thomas: «Nous mai never know." Game Over.

L'héritage de Colombine

Par John Cloud; WENDY COLE ET DAVID Thigpen /

CHICAGO, NANCY Harbert / Albuquerque, RITA

HEALY / Denver, DAVID S. JACKSON / TWENTYNINE

PALMS, JEANNE McDowell / LOS ANGELES, TIM

ROCHE / Atlanta et Rebecca Winters / NEW YOR

Lorsque j'étais adolescent, grandit dans

l'Arkansas, j'ai mis dans mon fusil de calibre

12 sous mon lit. Je l'ai sorti quand je suis

allé avec papa pour tirer les pigeons

d'argile. Ce n'était pas dans les années 1950,

mais plutôt la fin des années 80, même dans

cette dernière décennie, je n'étais pas

considéré comme un paria. Beaucoup d'enfants

qui a conduit à l'école avec des fusils qu'ils

avaient oublié de prendre de râteliers d'armes

au cours des week-end. Un enseignant pourrait

désapprobateur Cluck, mais personne n'a appelé

une équipe SWAT. A seulement 15 ans plus tard,

mes parents et mon école doit spectaculaire

semblent négligents. Au cours des dernières

années, 17 États ont fait un crime de laisser

une arme à feu chargée à la portée d'un

mineur. Et vous n'avez pas de porter une arme

à feu à l'école pour obtenir suspendue. Dans

l'ère post-Columbine, un coupe-ongle va faire,

ou une paire de ciseaux, selon un rapport de

Harvard publié l'an dernier sur la politique

de tolérance zéro contre les «armes».

Bien sûr, rien ne pouvait être la même après

Columbine, et maintenant Santee. Tant que

triste petits garçons peuvent trouver des

armes, les écoles doivent être vigilants. Mais

à quel prix? Aujourd'hui, il semble qu'une

course aux armements a commencé dans les

écoles américaines de haut: un tout petit

nombre de canons mécontents enfants stocks et

bombes artisanales à imiter Columbine, Eric

Harris et Dylan Klebold (ou du moins menacer

de), les collectivités investissent des

millions de de dollars pour mettre flics armés

- er, "les agents des ressources" - sur le

campus, avec des détecteurs de métaux et de

caméras de sécurité.
Pendant ce temps, la culture des écoles

secondaires se modifie d'une manière plus

subtile. Une sorte de course aux armements

psychologique a éclaté. Quelques adolescents

s'identifient avec les tueurs et aspirent à

l'attention qu'ils reçoivent. Ces enfants font

des listes de leurs ennemis, créer des sites

web commémorer Harris et Klebold, même avertir

qu'ils «tirera une Colombine». Mais un groupe

beaucoup plus important d'adolescents est plus

que jamais vigilants et prêts à signaler toute

menace, quelle que soit ridicule qu'il n'y

paraît. Il n'est pas clair quel genre de gens

diplômés des écoles secondaires, où quelques

enfants avec tant de mal, ils veulent tuer,

tandis que d'autres enfants craignent

tellement qu'ils veulent faire rapport

farceurs inoffensifs. Mais nous savons déjà

que le secondaire ne sera jamais le même.

Columbine n'était pas la première messe tuer à

l'école, mais elle était si richement gore et

si profondément navrant que c'est devenu un

point de référence culturelle. "Les

inquiétudes et les colères qui étaient

auparavant de flottement libre chez les

adolescents aujourd'hui il suffit de joindre à

des événements comme Columbine", explique

l'Université de Californie à Berkeley,

professeur de droit Franklin Zimring. «Au lieu

de simplement en parler, maintenant ils ont un

modèle." Harris et Klebold souriez à leur

descendance non seulement à Santee, mais aussi

à Lake Worth, Floride, Fort Gibson, en

Oklahoma, et Deming, NM (voir graphique, page

30).

Cependant, en partie parce qu'ils ont vu les

survivants des massacres de l'école en

pleurant après l'abattage, de nombreux enfants

contribuent à arrêter le tir avant qu'il ne

commence par le partage d'informations sur les

pairs en difficulté. "Le meilleur détecteur de

métaux est à l'étudiant», explique Ronald

Stephens du Centre national de la sécurité

scolaire. C'est parce que dans plus de 75% des

incidents de violence en milieu scolaire,

l'attaquant avait dit à quelqu'un d'abord,

selon une étude post-Columbine par les

services secrets qui a appliqué ses méthodes

d'évaluation des menaces à la sécurité

scolaire. Mouchards deviennent des anges. Le

mois dernier à Fort Collins, Colorado, deux

jeunes filles a prévenu la police au sujet de

trois étudiants qui ont ensuite découvert des

armes et des plans d'attaque contre Preston

Junior High. La semaine dernière à Twentynine

Palms, en Californie, Victoria Sudd, 17 ans,

regardait l'horreur Santee déplier et a alors

dit à sa mère ce qu'elle avait entendu deux

garçons faire des commentaires sur le bus de

tuer les gens. Sudd père a contacté les

autorités, qui a rapidement obtenu un mandat

de perquisition visant les maisons des

garçons. Les flics trouvé un fusil et une

liste de 16 étudiants que les garçons auraient

été va cible. Loin d'être ridiculisé comme une

causeuse, Sudd a été saluée comme une héroïne

à Twentynine Palms, où les camarades d'études

serrer dans mes bras et la ville prévoit de

son honneur. De même, les deux garçons ont été

arrêtés mercredi dernier après camarades de

classe à l'école chrétienne d'amitié au Liban,

au Tennessee, a déclaré à des enseignants les

garçons les ont menacés et ont parlé de

détruire l'amitié. Les étudiants ont aussi

tourné dans éventuels imitateurs semaine

dernière à Miami, où les deux garçons ont été

suspendues pendant 10 jours après ils ont dit

ce qui s'est passé à Santee n'était rien

comparativement à ce qu'ils pourraient y

faire.

Mais si tous ces incidents font penser que la

violence dans les écoles a atteint des

proportions épidémiques, nous devrions prendre

un peu de recul. Il n'a pas. Selon le journal

de justice pénale pour l'éthique, plus de

99,99% des écoles publiques n'ont jamais eu un

homicide d'aucune sorte, sans parler d'un

meurtre de masse. Durant l'année scolaire

1992-93, il y avait 54 décès violents sur les

campus; l'an dernier il y avait 16. «Les

données suggèrent que la plupart des écoles

sont des lieux très sûrs pour les enfants, et

ils n'obtiennent plus sûres», déclare Thomas

Connelly, un consultant en sécurité qui a

travaillé dans les écoles dans 22 Etats.

Les écoles sont néanmoins sévir, selon la

théorie que la foudre peut frapper partout.

Les flics sont un incontournable dans de

nombreuses écoles (Houston Independent School

District emploie à lui seul d'officiers 177

étourdissement), et sont donc une carte-clé

pour l'entrée. Et partout dans la nation, les

écoles ont installé des lignes téléphoniques

pour obtenir des conseils anonymes, les

administrateurs doivent passer des heures à

donner suite aux appels. "Nous poussons le

personnel est presque au point de rupture pour

enquêter sur tout le monde,» a déclaré Tom

Miller, un responsable de l'école à Port

Huron, au Michigan Dans certaines écoles - y

compris Columbine, et c'est compréhensible -

les conseils mène automatiquement à une

enquête policière, même quand ils sont les

commentaires bénigne pris hors contexte.

Ce fut le cas avec l'élève du secondaire

représenté par Micki Moran, une famille,

avocat droit dans la banlieue de Chicago. En

1999, neuf jours après Columbine, l'étudiant,

un garçon de neuvième année de Wheeling,

Illinois, a été arrêté et accusé de conduite

désordonnée, si la police a examiné des

accusations plus graves, y compris grabuge.

Classmates pensé à lui comme un nerd

"impopulaires", dit Moran, et se moquaient de

ses vêtements noirs. Un jour, au déjeuner, un

groupe d'enfants s'approcha de lui: l'un dit:

«Tu es comme ces gamins de Columbine. Le

garçon a répondu: «Je pourrais être." Sur la

foi de ces trois petits mots, Moran dit,

l'hystérie s'est déclarée à l'école comme des

rumeurs tourbillonnent sur son intention

possible. Son casier, a été fouillé, et le

bâton de baseball a été trouvé à l'intérieur

marqués d'une arme. Toute l'école a été

évacuée. Le garçon a passé six mois en

counseling et s'épanouit désormais dans une

autre école. L'école a dit que dans les

circonstances, elle a agi de manière

appropriée. Mais l'après-histoire de Columbine

n'est pas toujours à propos des réactions

excessives. Des responsables de certaines

écoles, y compris ceux qui ont vécu des

tragédies, ont trouvé des moyens de persuader

les élèves à communiquer sereinement leurs

inquiétudes pour les enseignants qui ils ont

confiance. Au Deming Middle School au Nouveau-

Mexique, où Araceli Tena a été touché à la

tête par un camarade de classe en 1999, le

principal Mike Chavez a visité chaque classe

pour parler des dommages de répandre des

rumeurs sans fondement. Les nouvelles Santee

n'a pas provoqué une vague de menaces bidons

ou des conseils de panique à Deming cette

semaine, comme il l'a fait dans les écoles

tant d'autres. De même, les responsables de

Jefferson County, Colorado, la maison de

Columbine, disent les résultats de deux

enquêtes - l'une prise l'an dernier et l'un

juste avant le carnage - montrent que les

élèves de l'arrondissement ne se sentait pas

moins sûr d'un an après les tueries. Ce qui

est triste dans un sens: ne craignez-vous pas

ce que tu connais bien. C'est le reste d'entre

nous qui sont hystériques. Pour être sûr,

certaines bonnes, est venu à la suite de l'âme

de la recherche. En Hoyt, Kans., Où trois

étudiants ont été arrêtés le mois dernier

après qu'ils auraient prévu de bombarder Royal

Valley High School, les étudiants-président du

conseil Tara Goodman, 18, dit les obstacles

qui, autrefois, divisé les élèves par les

enseignants en ont disparu. À Oxnard, en

Californie, où les flics ont tué un Hueneme

High School étudiant qui tenait un camarade de

classe en otage en Janvier, les directeurs

d'ensemble du district ont maintenant deux

émetteurs-récepteurs à être utilisés si les

lignes de téléphone, rendez-morts. Ceux qui

vous sera utile pendant tout type de

catastrophe.

Tout semble possible après Columbine, mais

doit-elle? Les élèves de nos écoles

secondaires mai être la meilleure autorité sur

cette question, et ils sont beaucoup moins

inquiets que leurs parents pour se séparer.

Bien que 70% des adultes dans un sondage

réalisé en 2000 Avril, ont dit croire une

fusillade a probablement été à l'école de leur

quartier, dans un sondage d'automne 1999, un

pourcentage similaire d'élèves ont dit se

sentir personnellement à l'abri de violence

sur les campus. Déclare Joanne McDaniel,

directrice du Centre pour la prévention de la

violence à l'école: «Nous avons encore

beaucoup de gens dire qu'il ne pourrait pas

arriver ici, mais nous avons beaucoup d'autres

qui se rendent compte qu'ils doivent être

vigilants." La question est, peut

administrateurs et des étudiants sans être

vigilants vigiles être?

Pourquoi nous sommes retournés à Columbine

Par Walter Isaacson

Je tiens à expliquer pourquoi nous sommes

retournés à Columbine, cette semaine, la

gestion d'une photo de couverture de la

réfrigération et des histoires sur des tueurs

que nous préférerions oublier. Même si nous

avons travaillé dur en avril dernier de

rapporter les nouvelles dans les jours suivant

la fusillade, on a estimé qu'il s'agissait de

questions qui restent à résoudre. Donc, il ya

six semaines, nous avons envoyé une équipe de

revenir à Littleton, au Colorado, pour

enquêter sur ce qui s'est réellement motivé

les tueurs et découvrir ce qu'ils étaient

vraiment. Que pourrions-nous apprendre sur la

façon de détecter - et traiter - les démons

qui peuvent se cacher dans les âmes des

enfants apparemment en moyenne? Quelle a été

la communauté pour panser ses plaies et

prévenir les fusillades dans l'avenir?

Dans le cadre de nos rapports, correspondant

Tim Roche a été autorisé à voir les cinq

cassettes vidéo réalisé par Eric Harris et

Dylan Klebold avant leur massacre. En eux, ils

expliquent leurs craintes, les haines, les

préoccupations, les désirs et motivations.

Quand vous lisez ce qui se passait dans leur

esprit, vous allez avoir peur et du dégoût,

mais vous permettra de mieux comprendre les

motifs qui les poussent tordus. On nous a

aussi donné accès à la plupart des éléments de

preuve recueillis par les enquêteurs, y

compris sur vidéocassette des tireurs prises

par une caméra de sécurité de l'école, ce qui

donne une image plus claire de ce qui s'est

réellement passé.

Rédacteur en chef adjoint Dan Goodgame, qui a

dirigé notre équipe, est le père de trois

collégiens, et le mari d'un enseignant, et il

s'est montré sensible aux préoccupations des

survivants et d'autres dans la communauté. «La

famille après famille nous ont dit ce qu'ils

voulaient le plus, c'était de tout savoir sur

ce qui s'est passé et pourquoi, afin que les

décès aurait une certaine signification et

pourrait aider les autres à cesser de telles

choses, dit-il. "Ce que nous avons découvert

est bien plus que n'importe quel d'entre eux

ont été racontées. Bien qu'ils ne seront pas

heureux de voir que les tueurs en arrière dans

les nouvelles, ils vont avoir plus de réponses

qu'ils avez été chercher."

Klebold et Harris sur les bandes qu'ils ne

veulent pas être considérée comme imitateurs

et qu'ils étaient la planification de leur

propre horreur avant de fusillades en milieu

scolaire a fait des nouvelles des autres.

Néanmoins, nous avons dû lutter avec de savoir

si la gestion d'une photo d'eux puisse

paraître, un effet pervers, de les glorifier à

d'autres esprits tordus ou donnez-leur la

publicité qu'ils voulaient, même s'ils sont

morts.

En effet, il serait bien si nous avons

toujours pu éviter de montrer des gens mal sur

nos couvertures. "Ce n'est pas notre tendance

à dramatiser la criminalité ou ne porte sur le

crime de la semaine», déclare le rédacteur en

chef Norman Pearlstine. «Parfois, cependant,

une image choquante - d'une exécution en temps

de guerre, une brutalité, un enfant avec une

arme à feu - ainsi qu'une analyse de

l'histoire derrière elle sert à concentrer nos

yeux sur des choses que nous préférerions

ignorer, mais devrait plutôt essayer à

comprendre. Je pense qu'il vaut la peine si

elle nous oblige à affronter les questions des

armes à feu et à la violence et la colère

cachés dans nos écoles, les communautés et les

familles. "

Cette histoire n'est pas tant de choses sur

les enfants cherchent la gloire comme il est

adultes propos ne cherche pas et de voir, sur

les gens qui ont préféré sugarcoat plutôt que

d'affronter la réalité. Nous sommes

susceptibles d'obtenir des lettres de gens

disant qu'ils avaient à cacher la question de

leurs enfants. Je comprends. Certains d'entre

nous qu'il soit de mai se cacher de nos

propres enfants moins bien. Mais je ne crois

pas qu'il faille cacher les images choquantes

et histoires de nous-mêmes. Le concept d'un

gamin dans une cafétéria de l'école avec un

fusil est une qui devrait nous inquiéter.

Avant de procéder à un jugement, s'il vous

plaît lire les histoires, écrit par Nancy

Gibbs, Andrew Goldstein et Sam Gwynne. Je

pense que vous les trouverez sensibles, et

j'espère que vous serez d'accord qu'ils

fournissent un nouveau niveau, prendre

conscience de ce qui s'est passé à Columbine.

Vous apprendrez aussi comment les parents de

cette collectivité ont essayé de trouver des

façons d'aider les autres à éviter une

tragédie similaire. Si elle vous donne envie

de joindre à leur cause, vous pouvez le faire

en contribuant au fonds qu'ils soutiennent:

HOPE Columbine Atrium et Library Fund, c / o

La Fondation Denver, PO Box 24035, Denver, CO

80224-0035 www.hopecolumbine.org) qui a

annoncé sa volonté de lever au moins 3,1

milliards de dollars pour construire une

nouvelle bibliothèque pour l'école.

Bienvenue sur les œuvres du trench-coat

Par Roger Rosenblatt

«Ils portaient la même chose tous les jours -

habits noirs, des trucs comme ça." - Un élève

de Columbine High School. Deux scènes de

carnage et de douleur, côte à côte à la

télévision. Flip: une adolescente se trouve

sur une civière, sa gorge des taches de

rousseur avec taches de sang. Flip: une mère

en Keens Kosovo sur le corps de son enfant.

Flip: des enfants qui courent à l'école de

Columbine. Flip: les réfugiés se traîner

jusqu'à une route de montagne. Flip: les

meurtriers de masse serbe. Flip: «Trench Coat

meurtriers de masse Mafia". Deux lignes de

haine catégorique rencontrent en un point

devant nos yeux, mais il est impondérable

encore, hors de question, irréel - tout ce que

la mort.

On essaye de donner un sens à la tuerie

d'études secondaires, et les purifications

ethniques au Kosovo mai être une manière po

Une tribu de haters en Serbie et un groupe ad

hoc tribu des ennemis dans le Colorado ont une

parenté sombre. Tous deux découvrent l'estime

de soi par haïr l'ennemi. Tous deux se définir

par opposition à «l'autre». Les deux semblent

bénignes pendant de longues périodes de temps

et puis bouillonnent et explosent dans une

furie meurtrière.

Dans une étrange façon, je pense que beaucoup

peut être expliqué par le trench-coats, non

pas parce qu'ils sont longs et noirs et les

enfants appellent gothique, mais parce qu'ils

se ressemblent, elles se cachent des

disparités. Les gens qui sont attirés par les

clans et les sectes cherchent à perdre leur

individualité et de découvrir la puissance et

la fierté d'un groupe. En tant qu'individus,

les tueurs, Eric Harris et Dylan Klebold,

étaient vulnérables, raillé par les autres

tribus à l'école - les cliques, les athlètes -

comme les geeks et les nerds. "Il a juste mis

un pistolet sur ma tête," une fille signalés.

"Et il se mit à rire en disant que c'était

parce que les gens ont l'intention de lui

l'année dernière."

Que se joindre à un groupe ad hoc de la tribu,

et vous appartiennent. Vous pouvez tous mis

sur un maquillage blanc et eyeliner. Vous

pouvez tous porter des trench-coats. Vous

pouvez vous anéantir et disparaissent à la

vue.

Serbe nettoyeurs ethniques peuvent s'appuyer

sur la mémoire longue évolution à la haine

tribale: il doit maintenant penser que la

haine, à l'instar d'autres caractéristiques

tribales, est transportée dans les gènes.

Tribus banlieues ont pour affiner les

inimitiés sur place, ils ont donc besoin des

incitations immédiates. Les tueurs doivent

être perçues comme faibles et ridicules par

leurs propres moyens avant de rechercher une

protection du groupe et de justice. Raison

principale du groupe pour être devient

vengeance.

Flip: "Ils haïssent tout le monde," a dit un

garçon de deux qui a fait la mise à mort.

Rupture de sentiments d'infériorité poussent

les cérémonies, les rituels sacrés et les

symboles du pouvoir de contrefaçon - croix

gammées, trench-coats. Un garçon, Eric Harris,

établit une page d'accueil sur le Web:

«Bienvenue dans les œuvres du trench-coat".

Ils sont devenus le symbole. Déguisé, sûr, ils

sont libres de cultiver ce WB Yeats condamné

comme «une haine intellectuelle". Pour les

membres de la mafia Trench Coat pas moins de

nettoyage ethnique, la haine devient un objet

d'étude intense, une majeure, une croyance. Il

ya du plaisir en elle, en étant en froid avec

la société. Les garçons forment un fan club

nazi. Ils ramassent assez d'allemand pour se

vanter, «Ich bin ein Auslander». Ils sont en

elle par être hors de lui, et maintenant tout

ce qui reste est d'éradiquer les initiés afin

que devient hors po Mieux encore: coffre-fort

et invisibles à l'intérieur de leurs trench-

coats, ils peuvent enfin "s'exprimer". Le

monde du cinéma et de télévision qui applaudit

les jeunes hommes pour destructif, affiche des

passionnés, comme de mettre les poings à

travers des portes en verre, est soudainement

leur. Ils ne s'occupent pas même l'idée de

mourir. Peur de l'autre les a pris au-delà de

cette peur. «Je crois qu'ils pensaient qu'ils

ne seraient jamais connues dans leur vie," un

de leurs amis spéculé, essayant d'expliquer

leurs suicides. La mort, la disparition

définitive, leur donne leur individualité

retour, leur donne vie. Pas étonnant que l'on

riait. Passé de leur humiliation anciens, ils

ont su retourner la situation à ceux qui se

moquaient d'eux. Il est de leur rire sans joie

dernière, se moquant de lui-même. Et qui sont-

ils tuer après tout, mais les membres d'autres

tribus déshumanisé?

Voici le tribalisme pur et mortel. Les gens

qu'ils ont systématiquement tué ne devaient

pas être considérées comme des personnes,

elles ont été le générique «eux». Plein de

sentiments humains ne obtenir de la manière de

voir les tribus ennemies, car ils doivent être

considérés - comme des cibles. Harris et

Klebold abattu un boy-African American, Isaïe

Shoels, directement en face et a fait

remarquer que ses restes ont été éclaboussés

"awesome."

Flip: le père d'Esaïe Michael et un garçon

blanc, Craig Scott, assis côte à côte sur le

Today Show. Craig soeur Rachel a également été

assassiné dans l'école, et Craig était un ami

d'Isaïe. Comme Craig pourparlers au sujet de

combien il aimait Isaïe, Mike Shoels prend la

main. Comme Craig pourparlers au sujet de

Rachel, il place son autre main sur Shoels ».

Nul canaux changements maintenant.

Bienvenue sur les œuvres du trench-coat.

Bienvenue à l'ouvrage des ennemis tribaux -

pour la vie décimés, la douleur insupportable,

l'absence, les larmes, les nuits sans sommeil,

les souvenirs, les morts.