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La newsletter pour décideurs
[ 30 OCTOBRE 2009 – N° 36 ]

La pension à 67 ans :
utopie ou nécessité ?
Au second semestre de 2010, la Belgique
assurera la présidence de l’Union européenne.
Le Sommet social tripartite a eu lieu récem-
ment dans cette perspective. En sa qualité de
représentant des employeurs belges, la FEB a
pu se prononcer, tout comme ses collègues
suédois et espagnols. Notre message était clair :
si l’Europe, et partant la Belgique, veut encore
avoir sa place dans un monde de plus en plus
globalisé, des adaptations structurelles
s’imposent d’urgence. Il importe d’agir sur le
plan socio-économique, et en particulier eu
égard à la problématique du vieillissement de
la population.
Pourquoi des adaptations structurelles ?
Comme l’indique le terme, cela signifie qu’il
faut intervenir au niveau des structures, en vue
de modifier fondamentalement et durablement
certains mécanismes de dépenses. Si la
Belgique laisse systématiquement croître ses
allocations sociales plus vite que la croissance
économique réelle, c’est fondamentalement
malsain, car on reporte ainsi la facture à la
ment arrive systématiquement plus vite chez
nous, c’est très préoccupant car bientôt on
dénombrera plus de personnes âgées de 50 ans
ou plus que de personnes plus jeunes. Tout
sujet bien-pensant comprend d’emblée qu’une
telle situation est intenable. Dans d’autres pays
de l’UE, des changements ont déjà eu lieu ou
sont en cours. Pourquoi pas chez nous ?
L’époque où nous comptions parmi les cinq
pays les plus riches du monde est révolue
depuis longtemps. Nous ne parvenons même
plus à faire partie du G20, contrairement aux
Pays-Bas !
Pourquoi faut-il avant tout réaliser des interven-
tions structurelles visant à allonger la carrière
et à reculer l’âge de la pension ? Les tensions
présentes sur le marché du travail vont
s’intensifier, augmentant ainsi le handicap des
entreprises en termes de coûts salariaux. C’est
pour cela que la FEB accorde tellement
d’importance à une Conférence nationale des
pensions dynamique. Mais la nécessité d’agir
dès à présent est également dictée par d’autres
raisons sociétales. Nous étudions plus long-
temps, vivons plus longtemps, mais travaillons
moins longtemps tout en réclamant des pen-
sions plus élevées. C’est un cercle vicieux ! La
moitié des pays de l’UE-15 ont déjà mené des
réformes liées à l’âge de la (pré)retraire.
Qu’attendons-nous ? Les deux tiers de ces pays
sanctionnent lourdement les retraites antici-
récent est celui des Pays-Bas, qui a relevé l’âge
de la pension à 67 ans, suivant ainsi l’exemple
du Danemark, de l’Allemagne, de la Finlande,
de l’Irlande, de la Suède et de la Grande-
Bretagne qui ont, eux aussi, augmenté d’une
manière ou d’une autre l’âge de la (pré)retraite.
Pourquoi pas une telle politique téméraire chez
nous ?
Il faut préparer la période post-
crise maintenant, et non attendre
l’année électorale 2011.
C’est pourquoi nous lançons un appel urgent à
tous les responsables politiques : il faut prépa-
rer la période post-crise MAINTENANT, et non
attendre l’année électorale 2011. C’est aujour-
d’hui qu’il faut prendre des mesures dans le
secteur des pensions et de la fin de carrière,
pour qu’elles commencent à porter leurs fruits
d’ici quelques années. Chaque mois perdu en
tergiversations ne fait qu’accroître considéra-
blement la facture reportée sur la génération
suivante. Le ministre Daerden doit dès à pré-
sent annoncer la couleur, tout comme ses col-
lègues étrangers l’ont déjà fait.
La dette publique ne disparaîtra pas d’elle-
même, pas plus que la facture des pensions !
Le moment est venu d’agir et de sortir de
l’immobilisme.
PIETER TIMMERMANS,

génération suivante. Si la vague de vieillisse- pées. Pourquoi pas nous ? L’exemple le plus ADMINISTRATEUR-DIRECTEUR GÉNÉRAL

A EPINGLER LE CHIFFRE DE LA SEMAINE

LOI SUR LA CONTINUITÉ DES ENTREPRISES >
Les grandes entreprises paient

Premier bilan positif
> SUBSTANCES CHIMIQUES > Les amendes 'REACH' peuvent
s'élever à 4.000.000 EUR
SÉCURITÉ ET SANTÉ AU TRAVAIL > qui représentent environ 0,1% de l’ensemble des entreprises du pays,
Bonnes pratiques d’évaluation des risques
HEBDOMADAIRE — BUREAU DE DÉPÔT : SINT-NIKLAAS — P409959
26,5%
une part substantielle de
l’impôt des sociétés
Les 500 plus grandes entreprises de Belgique,
assument 26,5% de l’impôt des sociétés perçu par le fisc. Telle est la réponse
du ministre des Finances Didier Reynders à une question parlementaire.
www.feb.be > publications > chiffres et faits
[ INFOR FEB 36 — 30 OCTOBRE 2009 ]
> SUBSTANCES CHIMIQUES
Les amendes 'REACH'
peuvent s'élever à
4.000.000 EUR
Depuis le 1er juin 2007, le règlement REACH
impose des obligations aux fabricants, aux
importateurs et aux utilisateurs de substances
chimiques et de mélanges. Ils sont respon-
sables de l’utilisation sûre de ces substances
et doivent limiter le risque pour l’homme et la
nature. Ce règlement est directement appli-
ACTION FEB
> La FEB en mission princiè-
re en Arabie Saoudite
Cette semaine, le président de la FEB, Thomas
Leysen, et son administrateur délégué, Rudi
Thomaes, ont pris part à la mission commer-
ciale commune en Arabie Saoudite, présidée
par le prince Philippe. A cette occasion, le Dr.
John Sfakianakis, Chief Economist de la
Banque Saudi Fransi, a fait un exposé sur la
situation socio-économique du pays lors d’un
petit déjeuner de travail organisé par la FEB.
Depuis l’an 2000, l’Arabie Saoudite a connu
une transformation économique importante.
Le pays évolue de fournisseur mondial de
pétrole et de gaz vers une économie plus dif-
férenciée, où le secteur privé joue un rôle de
plus en plus important. Au cours de la mission,
d'intéressantes rencontres ont par ailleurs eu
lieu avec les ministres de la Santé publique et
du Pétrole, ainsi qu’avec SABIC, une des prin-
cipales entreprises chimiques au monde.
Elizabeth De Wandeler – edw@vbo-feb.be
cable dans tous les États membres et ne doit
donc pas être transposé dans la législation bel-
ge. La Belgique doit malgré tout adapter sa
législation pour garantir l’application totale et
l’efficacité de REACH. Pour permettre la péna-
lisation des infractions à REACH, la loi fédé-
rale relative aux normes de produits a été
adaptée. Concrètement, cette adaptation per-
met d’adopter un régime de sanction
pour les infractions aux dispositions
REACH, celles-ci étant réparties en
'infractions légères' et 'infractions
graves', selon leur impact sur l’homme
et l’environnement. Les amendes admi-
nistratives peuvent atteindre 4 millions
EUR et les peines de prison, 3 ans.
La FEB demande une applica-
tion efficace et transparente de REA-
CH, comparable à celle des autres
États membres européens, de manière
à créer effectivement un 'level playing
field' en Europe. Cette loi sur les
normes de produits permet aux services
d’inspection fédéraux de contrôler la
mise sur le marché des substances chi-
miques. Toutefois, REACH impose éga-
lement des obligations concernant
l’utilisation des substances chimiques
et leur impact sur la santé publique, la santé
des travailleurs et l’environnement. D’autres
services d’inspection fédéraux (par ex. bien-
être) et régionaux (par ex. environnement) sont
donc également concernés. Une bonne coor-
> 2e édition de la FEB
Social Academy
La première édition de la FEB Social Academy
– un cycle de formation sur la concertation
sociale – a connu un réel succès. La FEB
renouvelle dès lors l’expérience : une 2e édi-
tion se déroule d’octobre ‘09 à mai ‘10 et
offre, en 5 sessions de base et 2 sessions
bonus, un aperçu des fondements et de
l’actualité en concertation sociale. Le pro-
gramme de cette 2 édition capitalise sur les
e
points forts de l’année précédente et apporte
des améliorations et innovations. Pour un pro-
gramme détaillé par session (contenu & ora-
teurs), infos pratiques et inscriptions,
rendez-vous sur le site de la FEB.
Nathalie Petit – np@vbo-feb.be
www.feb.be > rubrique Social Academy
dination entre les différents niveaux de com-
pétence et une cohérence de la législation en
la matière sont essentielles. La FEB organise
le 23 novembre 2009 une session
d’information pour préparer les entreprises aux
inspections REACH (voir rubrique Agenda).
Birgit Fremault – bf@vbo-feb.be
> SÉCURITÉ ET SANTÉ
AU TRAVAIL
Bonnes pratiques
d’évaluation des risques
L’évaluation des risques constitue la première
étape du processus de prévention des acci-
dents du travail et des maladies profession-
nelles. C’est le message au cœur de la
campagne d’information européenne sur
l’évaluation des risques 'Lieux de travail sains.
Bon pour vous. Bon pour les affaires' mise en
œuvre par l’Agence européenne pour la
Sécurité et la Santé au Travail (EU-OSHA) et
lancée officiellement en juin 2008 à Bruxelles.
Cette campagne s’étale sur deux ans (2008-
2009) et connaît aujourd’hui son apogée pen-
dant la Semaine européenne de la sécurité et
de la santé au travail. Le Service public fédé-
ral Emploi, Travail et Concertation sociale a
organisé au début de cette semaine un sym-
posium international mettant l’accent sur les
exemples de bonnes pratiques rassemblées par
la Belgique et les pays voisins.
> Sommet européen :
la crise à bras le corps,
une fois le Traité ratifié !
En vue du Sommet européen de cette semai-
ne, la FEB a fait part au Premier ministre H.
Van Rompuy de ses préoccupations sur cer-
tains points figurant à l’ordre du jour. Elle
demande que l’UE se consacre entièrement à
la sortie de la crise économique et financière
dès que le Traité de Lisbonne sera ratifié. Par
ailleurs, lors de la Conférence Climatique à
Copenhague, l’UE doit négocier un accord
international équilibré en ce sens que toutes
les économies développées participent aux
efforts de réduction d’émissions de CO2. Enfin,
des mesures ambitieuses s’imposent pour
remettre l’économie européenne sur les rails.
Parmi celles-ci, la garantie de l’accès au cré-
dit pour les entreprises, surtout les PME, est
prioritaire.
Arnaud Thysen – at@vbo-feb.be
 [ INFOR FEB 36 — 30 OCTOBRE 2009 ]
> LOI SUR LA CONTINUITÉ DES ENTREPRISES

Un premier bilan positif

Le 1er avril 2009, la loi sur la continuité des entreprises entrait en
vigueur. Elle remplaçait la loi de 1997 sur le concordat judiciaire, qui
n’avait pas atteint ses objectifs. La nouvelle loi offre une plus grande
marge de manœuvre pour aider les entreprises en difficulté, selon une
procédure plus souple et moins onéreuse que l’ancien concordat judi-
ciaire. Six mois après l’entrée en vigueur de la loi sur la continuité des
entreprises, les premiers chiffres sont tombés : 316 procédures en
réorganisation judiciaire ont été accordées en six mois, c’est quatre fois
plus que le nombre de concordats judiciaires accordés au cours de tou-
te l’année 2008. Parmi les autres enseignements de ces premières sta-
tistiques, on constate que, proportionnellement, un nombre plus élevé
de petites entreprises font appel à la réorganisation judiciaire. Une
excellente nouvelle, quand on se rappelle qu’un des grands reproches
350
à l’encontre de la loi de 1997 était le coût de la procédure en concor-
dat, impayable pour les PME. Par ailleurs, on remarque que la procé-
dure est plus souvent appliquée par les tribunaux flamands qu’elle ne
l’était sous l’ère de la loi sur le concordat.
La loi du 31 janvier 2009, portée par la FEB, avait suscité un
grand espoir dans le monde des entreprises. En pleine période de cri-
se, elle tombait à point nommé. S’il est encore trop tôt pour tirer des
conclusions, les premiers résultats sont encourageants. Un bémol peut-
être : il pourrait être fait davantage appel aux instruments de
'réorganisation douce', ou pré-procéduraux, tels que le médiateur
d’entreprise et l’accord amiable. Plus que jamais, il est important de
bien informer les entreprises et leurs conseils des possibilités élargies
qu’offre la nouvelle législation, et de rompre le cou définitivement à
l’image négative héritée de
l’ancien concordat judiciaire.

300 Plus que jamais, il Charles Gheur – cg@vbo-feb.be

Nombre de procédures

250 faut bien informer les Source : www.graydon.be

200 entreprises et leurs
150
conseils des possibi-
100
lités élargies qu’offre
50
la nouvelle législa-
0
tion.
2004 2005 2006 2007 2008 2009

Au cours de cette semaine, on anticipera éga-
lement la campagne européenne 2010-2011
dont le thème sera 'L’entretien et son impor-
tance pour la sécurité générale'.
Une politique de prévention doit
s’attaquer aux problèmes réels qui menacent la
continuité de chaque entreprise ainsi que la
sécurité et la santé des collaborateurs. Or, une
analyse de risques de qualité indique la voie à
suivre.
Une brochure FEB
Pour une gestion efficace de votre
Le prix du Conseil supérieur, attribué à la raf-
finerie TOTAL à Anvers pour son projet nova-
teur de collaboration avec les sous-traitants
dans les travaux d’entretien, prouve que les
entreprises n’hésitent pas à encourager la pri-
se de conscience en matière de sécurité et à
améliorer les conditions de travail dans la pra-
tique dans un esprit créatif, pragmatique et
innovateur.
Kris De Meester – kdm@vbo-feb.be
> UNION EUROPÉENNE
Une Class Action pour le
droit des ententes ?
La Commissaire N. Kroes tente, quasi à la fin
de son mandat, de faire adopter par le Collège
des Commissaires, une directive sur l’action de
groupe pour infraction au droit des ententes.
Ceci alors que la DG 'Santé et protection des
consommateurs' (Sanco) publiera incessam-
ment une étude d’évaluation des systèmes
d’ADR d’une part, et qu’elle a élaboré une étu-
de d’impact dans le prolongement du Livre

propriété intellectuelle Vert sur les recours collectifs des consomma-

Dans cette brochure – réalisée par la FEB et ICC Belgique, en collaboration
avec Gevers –, les auteurs expliquent de manière claire et concise, à l’appui
d’un certain nombre de cas concrets, le vaste éventail de droits de propriété
intellectuelle susceptibles de revêtir une importance pour les entreprises.
Elle se veut un instrument pratique s’adressant principalement aux dirige-
ants de PME, qui sont souvent créateurs de valeur ajoutée intellectuelle,
mais ne savent pas toujours comment protéger ce savoir-faire. En effet, la
propriété intellectuelle de l’entreprise accroît sa valeur économique et lui confère des
instruments et des avantages concurrentiels sur un marché très compétitif.
La brochure peut être commandée auprès de Paola Bulot, fax 02 515 09 55, publicaties@vbo-feb.be
ou via le site de la FEB (www.feb.be / rubrique Publications / brochures payantes).
Elle coûte 35 EUR (TVA comprise).
teurs, d’autre part. Cette initiative appelle de
nettes réserves de la part de la FEB et de
BUSINESSEUROPE. En effet, elle implique
un revirement radical par rapport à la pratique
dans les États membres en ce qu’elle ferait
passer le contrôle de l’application des règles de
concurrence – qui relève traditionnellement
des pouvoirs publics – aux mains d’entités pri-
vées (ex. organisations de consommateurs), et
ce à l’instar de ce qui se fait aux États-Unis.
De plus, ce système s’appliquerait indépen-
damment du constat préalable par un Tribunal
[ INFOR FEB 36 — 30 OCTOBRE 2009 ]

AGENDA REACH, pour les utilisateurs de substances chimiques 23 NOVEMBRE

de 14h00 à
LIEU : FEB, Bruxelles

Obligations, inspections et application en Belgique INFO: Nathalie Petit

16h30
T 02 515 09 64
Cette après-midi d’étude donnera aux utilisateurs de substances chi-
F 02 515 09 15
miques un aperçu clair de leurs obligations en matière de réglemen-
tation REACH et les aidera à se préparer à d’éventuelles inspections. np@vbo-feb.be
Les pouvoirs publics prendront la parole et expliqueront comment ils
organisent l’inspection et l’application en Belgique.

24 NOVEMBRE LIEU : FEB, Bruxelles

2e édition de la FEB Social Academy de 14h00 à
INFO: Nathalie Petit
Investir dans le social, facteur de réussite ? 17h00
T 02 515 09 64
Vu le succès de la première édition de la FEB Social Academy, la
F 02 515 09 15
FEB a lancé une deuxième édition de cette formation en concerta-
np@vbo-feb.be
tion sociale. Elle se déroule d’octobre 2009 à mai 2010. Cette nou-
velle édition offrira, en sept après-midi, un aperçu des fondements
de base et de toute l’actualité en matière de concertation sociale.

Plus d’infos > www.feb.be > Manifestations

ou par une Autorité de concurrence d’une vio-
lation du droit des ententes.
Malgré l’avis négatif du Parlement euro-
péen, une formule de ‘opt-out’ est prévue.
Aussi, la Commissaire entend ajouter une
seconde base légale à son initiative, à savoir
le fonctionnement du marché intérieur pour
plaire au PE qui, de ce fait, devient co-déci-
deur. La FEB a exhorté le Commissaire Karel
De Gucht à bloquer cette proposition. Le point
aurait été retiré de l’ordre du jour du Collège.
Toutefois, la vigilance reste de mise…
Diane Struyven – ds@vbo-feb.be
> DÉVELOPPEMENT DURABLE
essenscia et Agoria
présentent un premier
rapport
L’entrepreneuriat durable entre de plus en
plus dans les mœurs, et ce aussi chez nos
fédérations sectorielles. Le premier rapport
de durabilité publié la semaine dernière par
Product. Les chiffres indiquent que le sec- biais de la commercialisation de nouveaux
teur de l’industrie chimique et des sciences de produits nous permettant à tous d’adopter une
la vie est essentiel pour la Belgique, qu’il crée attitude plus ‘verte’.
des emplois surtout pour le personnel spécia- Birgit Fremault – bf@vbo-feb.be
lisé et qu’il est efficace en termes d’énergie.
Agoria (Flandre), le secteur de l’industrie tech- Pour les rapports complets,
nologique, a également publié un rapport vous pouvez consulter les sites
www.essenscia.be et
reflétant ses performances environnementales
www.agoria.be
et énergétiques. Il en ressort que, dans ce
secteur, il y a un découplage manifeste entre
la croissance économique et l’impact envi-
ronnemental.
La FEB félicite essenscia et Agoria pour
leur communication transparente au sujet des
résultats de leur secteur en termes de déve-
Vous cherchez des
loppement durable et d’environnement. Le salles de réunion
rapport de durabilité d’essenscia revêt pour sa au cœur de
part un caractère unique, au niveau tant natio-
nal qu’international. La collecte de chiffres Bruxelles ?
clairs et objectifs est importante pour la cré-
dibilité du secteur. La recherche d’une éco-
nomie éco-efficiente figure en bonne place
sur tous les agendas politiques. Des secteurs
tels que l’industrie chimique et technologique
y contribuent largement. Non seulement ils
Graphisme et production : The Mailshop – tél. 03 771 12 30 – mail@themailshop.be

essenscia en est un bel exemple. Cette publi- ont réduit leur empreinte écologique ces der-
cation analyse 30 indicateurs couvrant 4 cha- nières années, mais ils apportent également
pitres, à savoir Profit, People, Planet et des solutions écologiques essentielles par le La FEB propose un large éventail
de salles polyvalentes et
modernes, à des prix
FEB – Fédération des Entreprises de Belgique ASBL
concurrentiels.
rue Ravenstein 4 – 1000 Bruxelles – tél. 02 515 08 11 – fax 02 515 09 15

RÉDACTION : Anne Michiels – tél. 02 515 09 44 – am@vbo-feb.be

Infos : Service Events
Thérèse Franckx – tél. 02 515 09 50 – tf@vbo-feb.be events@vbo-feb.be - T +32 2 515 09 83
ÉDITEUR RESPONSABLE : Olivier Joris – rue du Wolvenberg 17 – 1180 Bruxelles F +32 2 515 09 15
PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes – tél. 02 515 08 43 – sm@vbo-feb.be
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L’Infor est imprimé sur du papier issu de la gestion durable des forêts. La gestion durable des forêts tient compte de
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