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Les vents de printemps

Aux alentours de Pâques, la terre était livrée aux vents.


Ils se levaient, brusques, rageurs, puis tout à coup retombaient, abattus.
Ils s'en allaient haut, dans le ciel, chercher du renfort, puis ils revenaient, plus furieux, pour
faire la guerre.
Alors, les arbres rassemblaient leurs forces pour lutter fort. Les vieux ormeaux se mettaient à
gémir tous ensemble et leurs branches, qui portaient sans peine la neige de l'hiver, se mêlaient,
se tordaient comme des bras désespérés. Il semblait, alors, que dans un craquement terrible
tout allait s'écrouler. Puis les vents retombaient de nouveau et les arbres fatigués se reposaient
en poussant un long soupir.

Les vents de printemps


Aux alentours de Pâques, la terre était livrée aux vents.
Ils se levaient, brusques, rageurs, puis tout à coup retombaient, abattus.
Ils s'en allaient haut, dans le ciel, chercher du renfort, puis ils revenaient, plus furieux, pour
faire la guerre.
Alors, les arbres rassemblaient leurs forces pour lutter fort. Les vieux ormeaux se mettaient à
gémir tous ensemble et leurs branches, qui portaient sans peine la neige de l'hiver, se mêlaient,
se tordaient comme des bras désespérés. Il semblait, alors, que dans un craquement terrible
tout allait s'écrouler. Puis les vents retombaient de nouveau et les arbres fatigués se reposaient
en poussant un long soupir.

Les vents de printemps


Aux alentours de Pâques, la terre était livrée aux vents.
Ils se levaient, brusques, rageurs, puis tout à coup retombaient, abattus.
Ils s'en allaient haut, dans le ciel, chercher du renfort, puis ils revenaient, plus furieux, pour
faire la guerre.
Alors, les arbres rassemblaient leurs forces pour lutter fort. Les vieux ormeaux se mettaient à
gémir tous ensemble et leurs branches, qui portaient sans peine la neige de l'hiver, se mêlaient,
se tordaient comme des bras désespérés. Il semblait, alors, que dans un craquement terrible
tout allait s'écrouler. Puis les vents retombaient de nouveau et les arbres fatigués se reposaient
en poussant un long soupir.

Les vents de printemps


Aux alentours de Pâques, la terre était livrée aux vents.
Ils se levaient, brusques, rageurs, puis tout à coup retombaient, abattus.
Ils s'en allaient haut, dans le ciel, chercher du renfort, puis ils revenaient, plus furieux, pour
faire la guerre.
Alors, les arbres rassemblaient leurs forces pour lutter fort. Les vieux ormeaux se mettaient à
gémir tous ensemble et leurs branches, qui portaient sans peine la neige de l'hiver, se mêlaient,
se tordaient comme des bras désespérés. Il semblait, alors, que dans un craquement terrible
tout allait s'écrouler. Puis les vents retombaient de nouveau et les arbres fatigués se reposaient
en poussant un long soupir.
Retrouve et corrige les 20 erreurs que j’ai glissé dans cette dictée.
Les vent de primtemps
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Aux alentours de Pâques, la terre était livré au vents. Ils se levaient, brusque, rageurs, puis tout
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à coup retombait, abattus. Ils s'en aller haut, dans le ciel, chercher du renfort, puit ils
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revenaient, plu furieux, pour faire la gerre. Alor, les arbres rasemblaient leurs forces pour
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luter fort. Les vieux ormeaux se mettait à gémir tous ensemble et leurs branches, qui portaient
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sans peine la neige de l'hiver, se mêlaient, se tordaient comme des bras désespéré. Il semblait,
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alors, que dans un craquement térible tout allait s'écroulé. Puis les vents retombaient de
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nouvau et les arbres fatigés se reposaient en poussant un lond soupir.
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Retrouve et corrige les 20 erreurs que j’ai glissé dans cette dictée.
Les vent de primtemps
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Aux alentours de Pâques, la terre était livré au vents. Ils se levaient, brusque, rageurs, puis tout
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à coup retombait, abattus. Ils s'en aller haut, dans le ciel, chercher du renfort, puit ils
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revenaient, plu furieux, pour faire la gerre. Alor, les arbres rasemblaient leurs forces pour
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luter fort. Les vieux ormeaux se mettait à gémir tous ensemble et leurs branches, qui portaient
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sans peine la neige de l'hiver, se mêlaient, se tordaient comme des bras désespéré. Il semblait,
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alors, que dans un craquement térible tout allait s'écroulé. Puis les vents retombaient de
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nouvau et les arbres fatigés se reposaient en poussant un lond soupir.
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