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DP Compagnie Georges Momboye
DP Compagnie Georges Momboye
Le spectacle P/ 5
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LA COMPAGNIE GEORGES MOMBOYE
Un artiste éclectique
Georges Momboye a signé la chorégraphie de l’opéra “Harry Janos” de ZOLTAN KODALY, mise en scène
par Jean-Paul Scarpitta et dont le récitant est Gérard Depardieu. Commande de Radio France pour l’ou-
verture du Festival de Montpellier les 15 et 16 juillet 2002, à l’Opéra Berlioz-Le-Corum reprise à Montpel-
lier en mai 2004 et au théâtre du Châtelet à Paris en juin 2004.
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2/ La compagnie
Il fonde en 1992 en France, sa compagnie, qui comporte une vingtaine d’artistes, danseurs et musiciens
tous issus des grands ballets africains ou de compagnies contemporaines.
Georges Momboye impulse à ses danseurs la même volonté de se dépasser, une recherche qui puise son ins-
piration dans la danse africaine traditionnelle, pour élaborer un langage chorégraphique contemporain.
Figure de proue de la danse africaine contemporaine, il impose un style, un nouveau souffle à la créati-
vité africaine.
Un créateur fédérateur
Soucieux de fédérer les créateurs, Georges Momboye est à l’initiative de la création en juin 1998, du pre-
mier Centre de danse pluri africaines et des cultures du monde. Un lieu qui se déploie en 5 studios de danse
insonorisés.
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LE SPECTACLE
Boyakodah
Chorégraphie Georges Momboye
Créateur lumière François Eric VALENTIN
Costumes Erica- Ann MARCUS
Co-production : Théâtre Romain Rolland de Villejuif, Centre culturel des bords de marne-Le Perreux, Aide
à la création chorégraphique du Conseil général du Val de Marne, avec l‘aide à la diffusion de la Biennale
nationale de danse du Val de Marne.
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LA DANSE AFRICAINE
D’après le mémoire «La danse africaine, phénomène de mode?» de Babette, consultable sur www.danse-africaine.net
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EN SAVOIR PLUS SUR LA DANSE
« Bien que l’Art de la Danse ait toujours été reconnu l’un des plus hon-
nêtes et plus nécessaires à former le corps et lui donner les premières et
plus naturelles dispositions à toutes sortes d’exercices, et entr’autres à
ceux des armes, est par conséquent l’un des plus avantageux et plus
utiles à notre Noblesse, et autres qui ont l’honneur de Nous approcher,
non seulement en tems de guerres dans nos Armées, mais même en tems
de Paix dans les divertissements de nos Ballets. Néanmoins il s’est pen-
dant les désordres et la confusion des dernières guerres, introduit dans
ledit art, comme en tous les autres, un si grand nombre d’abus capables
de les porter à leur ruine irréparable, que plusieurs danse, se sont ingé-
rés de la montrer publiquement ; en sorte qu’il y a lieu de s’étonner que
le petit nombre de ceux qui se sont trouvés capables de l’enseigner,
ayant par leur étude et leur application si longtemps résisté aux essen-
tiels défauts, dont le nombre infini des ignorans ont tâché de la défigu-
rer et de la corrompre en la personne de la plus grande partie des gens
de qualité : Ce qui fait que Nous en voyons peu dans notre Cour et suite,
capables et en état d’entrer dans nos Ballets et autres semblables diver-
tissemens de Danse, quelque dessein que Nous eussions de les y appeler.
A quoi étant nécessaire de pourvoir, et désirant rétablir ledit Art dans sa
Le roi soleil perfection, et l’augmenter autant que faire se pourra : Nous avons jugé
à propos d’établir dans notre bonne Ville de Paris, une Académie Royale
de Danse, à l’exemple de celle de Peinture et Sculpture, composée de treize des Anciens et plus expéri-
mentés au fait dudit Art, pour faire par eux en tel lieu et maison qu’ils voudront choisir dans ladite Ville
l’exercice de toutes sortes de Danses, suivant les Statuts et règlemens que Nous en avons fait dresser en
nombre de douze principaux articles. A ces causes et autres bonnes considérations à ce Nous mouvans,
Nous avons par ces présentes signées de notre main, et de notre pleine puissance et autorité Royale, dit,
statué et ordonné ; disons, statuons et ordonnons, voulons et Nous plaît, qu’il soit incessament établi en
notre dite Ville de Paris, une Académie Royale de Danse, que Nous avons composée de treize des plus ex-
périmentés dudit Art, et dont l’adresse et la capacité Nous est connue par l’expérience que Nous en avons
souvent faite dans nos Ballets, où Nous leur avons fait l’honneur de les appeler depuis quelques années ;
sçavoir, de François Galland, Sieur du Désert, Maître ordinaire à danser de la Reine notre très chère Épouse
; Jean Renauld, Maître ordinaire à danser de notre très cher et unique frère le Duc d’Orléans ; Thomas Le
Vacher, Hilaire d’Olivet, Jean et Guillaume Raynal, frères ; Guillaume Queru, Nicolas de l’Orge, Jean-Fran-
çois Piquet, Jean Grigny, Florent Galand Désert et Guillaume Renaud : lesquels s’assemblerons une fois le
mois, dans tel lieu ou maison qui sera par eux choisie et prise à frais communs, pour y conférer entr’eux du
fait de la Danse,aviser et délibérer sur les moyens de la perfectionner et corriger les abus et défauts qui peu-
vent avoir été ou être ci-après introduits ; tenir et régir ladite Académie, suivant et conformément auxdits
Statutts et Règlemens ci-attachés… »
« Il faut avoir un chaos en soi pour donner naissance à une étoile qui danse »
Friedrich Nietzche
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2/ Les grandes dates de la danse moderne
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1962 : Premier « concert » collectif à la Judson Church (New-
York)
1965 : Création de Equipment Pieces de Trisha Brown
1967 : Création de Messe pour le temps présent de Maurice
Béjart, sur une musique de Pierre Henri
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L’ACTION CULTURELLE
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L’Opéra de Massy est subventionné par