MIEUX
Paranormal e Ovnis e Mystéres e Dossiers wt:
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Des cas troublants,
les explications
HAZIEL, l'homme
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EN AFRIQUE
LES OBSERVATIONS D’OVNIS N’ONT PAS LIEU QU’AUX
UN RRA ela as an]
PASSANT PAR ADDIS-ABEBA ET TANANARIVE, L’ AFRIQUE
EST AUSSI LE THEATRE DE RENCONTRES RAPPROCHEES
ET D’AFFAIRES D’ENLEVEMENTS BIEN DECONCERTANTES...
ne chose est sire: en Afrique comme — cinquante
ailleu ies dovnis, y compris les pays au méme rang que ceux d
enldvemens, montent les mEmes RA Wa yiTES
sme tcristiques quailleur, preuve s'l en fal
Init de Puniversalité et de Punité du phénomine UFOLOGIQUES
‘ovni. Mais Vinformation ufologique n'y circule
pas du tout de Ia méme maniére suivant le pays o
Fon se trouve. Sans compter que les populations
afficaines associent plus volontiers les ovnis & des Dogons
esprits qu’a des manifestations dune technologie ‘Personne ne peut expliquer de manié
extraterrestre elles auront done moins tendan incante T'étendue et Ia précision des be famous popyrus
rapporter ce genre de manifestations aux autorités s Aécouvert au Care
compétentes. 5 par Alberto Tuli en
La proximité des pays du Maghreb avec I'E
rope fait que les témoignage
régulifrement la Méditerranée, Is man d’un savoir venu d’ailleurs (voir
quent trop souvent de préci n° 30). Quant au papyrus découvert a
rates sont, en revanche 1934 par Pégyptologue italien Alberto Tull, il
nance d’ Afrique noire. En fait, seule la po constitue ce qui est peut-étre Ia plus ancienne
du continent, de loin la plus occidentalis, offre relation écrite connue d’une observation d
le Touthmésis III parla presse uologiue,
apparition "Internet. C’est ainsi que de la - ‘comme en timoigne
République Sud-Africaine et du Zimbabwe (c “Mais histoire des omnis en Afrique ne com- ce numéro de le rewe
Rhodésie du Sud) parviennent depuis itablement que dans les années trente. _ Lumiéres dans la nit.ate
PRR
«Dans la vingt-deuxiéme année, au troisiéme mois de Vhiver, & la
sixiéme heure du jour les scribes de la Maison de Vie découvrirent
que ‘était une boule de feu qui venait du cel (Bien qu’) elle n’edt
ppas de téte, le souffle de sa bouche (avait) une odeur fétide. Son
corps avait une canne de long (environ 52 métres) et une canne de
large. Elle n‘avait pas de voix. Leurs cours en furent bouleversés,
ee eee ee ee ep oa
rendre compte. Or, aprés que quelques jours se furent écoulés, voi
{que ces choses furent plus nombreuses que tout! Elles brillaient dans
le ciel plus que le soleil jusqu’aux limites des quatre piliers du
firmament. Puissante état la position des boules de fev, Varmée du
roi les observait et le roi était au milieu d’elles. ’était aprés le repas
du soir. Sur ce, elles s’élevérent plus haut en direction du sud, Des
Poissons et des volatiles tombérent du cel, (C’était) une mervelle
jomais vue depuis la fondation de ce pays. Elle détermina Sa Mojesté
4 se faire apportor de l'encens pour apaiser la Terre (et & écrire) ce
ui était arrivé dans le livre de la Maison de Vie (afin qu’en s’en
souvienne) dans I'ternité.»
D’aprés la traduction en anglais du prince Boris de Rachelwitz
Ans, la fin de Pannée 1935 est marquée par deux
belles observations. Lune a lieu en octobre 1935
{4 Addis-Abeba (Ethiopie), alors que la capitale
attend a étre bombardée par les Italiens. Dans le
ciel limpide apparait soudain un disque argenté
Sumommée par
les archéologues le
«Martion du Tass»
8 cause do sa dele
allure, cote gravure
quireste immobile durant plusieurs minutes, sous rupestre rouvée
les regards médusés de la foule. Parmi les témoins au Sahara fut perfois
se trouve Pafricaniste francais Pierre Ichac, qui au tenve pour une
début avait pris l'ovni pour un avion italien. Un représentation
‘mois plus tot, Marcel Clairac, magistrat au tribu- d’extraterestre,
nal de Casablanca (Maroc) et son frre Jean, pilo-
te chez Latécoére, avaient observé au milieu de la
nuit une véritable escadrille d'une vingtaine de
‘cigares volants® de couleur sombre, se détachant
sur le fond clair du ciel et se déplagant dest en
ouest. Le Jendemain, Marcel Clairac avait fait un
apport aux autorités, resté sans suite,
A la mi-septembre 1946, on trouve un écho
ddans le Maghreb de la vague dite des «fusées fan-
mes scandinaves, La ville marocaine de Fez est
survolée par un étrange +missile», comme en
témoigne ce rapport de Pépoque: «Une sorte de
noyau en fusion, rouge, suivi d'une assez longue
trainée jaune et or et d’un filet vert trés mince, en
forme de queue, a éé apergu dans le ciel de Fez,
venant de lest et se dirigeant vers le nord, Cette
sorte de fusée semblait voler a basse altitude et
plus rapidement qu'un avion de grande vitesse.
LES ANNEES CINQUANTE
Le 22 novembre 1952 a Bocarangua, en Afrique
quatoriale frangaise (aujourd'hui en République
centrafricaine), eut lieu une observation aérienne
PaaS a
intéressante en raison du nombre de témoins
(hit) et de sa durée (une demi-heure environ),
Le pére Carlos Maria, un commergant nommé
Lasimone et six employés noirs roulent & bord |
@un camion dans la brousse, lorsqurils voient
passer un grand disque derrire ls arbres. Un peu
plus tard, vers 22 heures, ce sont quatre disques
angentés, deux en haut, deux en bas, qui surge
66 SC
Ce soir-la, la corvette espagnole
Atrevida croise non loin des cates
de V'ile de Fuerteventura, lorsque
Véquipage apersoit une grande
lumiére ronde et jaune vif, teintée
de bleu sur ses contours,
_ a, 33
sent dans le ciel nocturne. Ces disques vont se
déplacer durant presque une demi-heure, chact-
ne de ces évolutions étant accompagnée par une
augmentation importante de Ia luminosité, Lors
de sa déposition au Service météorologique de
POubangui-Chari, Lasimone insistera sur le fait
ue, ors des évolutions, les contours dune sorte
engin» apparurent au coeur des disques. On
retrouve ici le cbté dramatique typique des obser-
vations d’ovnis
Mais si les ovnis de Bocarangua avaient éservé
leur démonstration pour un petit groupe, ce ne fut
pas le cas pour apparition qui eut liew le 16 aotit
1954 4 18 heures au-dessus de Tananarive,
capitale de Madagascar. Des centaines de per-
sonnes virent surgir dans le ciel une sorte de boule