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Paranormal e Ovnis e Mystéres e Dossiers secrets
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EN PLEINE SECONDE GUERRE MONDIALE, LES PILOTES ET
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ers la fin 1941, les chefs militaires des
forces allies étaient préoccupés par un
nombre impressionnant de phénoménes
mmm inexpliqués dans les cieux. La chose
‘état reproduite trop souvent pour qu’on puisse
la tenir pour insignifiante: des pilotes regagnant
leur base prétendaient avoir vu d’étranges
lumiéres en suspens dans le ciel, rout prés de leur
avion, Ces lumigres semblaient aussi capables de
se mouvoir a des vitesses vertigineuses. Chose
encore plus étrange, au méme instant, les appa-
reillages électriques des avions les plus proches
étaient fortement perturbés. Bien que le terme
nveit pas encore été forgé, ces lumiéres avaient
aspect et le comportement de ce qu'on appela
parla suite des esoucoupes volantes
UN QUART MOUVEMENTE
Les plotesn’étaient pas les seus faire ces abser-
vations. Un soir du mois de septembre 1941, le
Pulaski, un viewx bitiment polonais que les Bri-
tanniques avaient affecté au transport de troupes,
croisait dans Pocéan Indien. Soudain, levant les
yeux, un marin du nom de Mark Doroba vit oun
xrange globe verditre et lumineux, dont la di-
‘mension correspondait é peu prés a la moitié de la
lune lorsqu’elle est pleine . D’aprés Doroba, 'ob-
jet, qui suivit le navire pendant une bonne heure,
volait & une altitude de 1 500 métres.
‘Quelques mois plus tard, le 26 fevrier 1942, un
autre marin, William Methorst, vécut une expé-
eanyu at
RAingows,
rience semblable & bord d’un navire dans la
‘mer de Timor. + Alors que j'étais de quart,
scrutant le ciel la recherche d’avions enne-
mis, peu aprés midi, j’apercus dans mes
jumelles un grand disque éclairé qui se diri-
seait vers nous a une vitesse terrifante». Ainsi
Sexprimait-il en 1957 devant une impre:
sionnante société australienne de recherch
sur les soucoupes volantes. «Les offciers de
quart, informés par moi du phénomene,
furent incapables de Videnti
sait d’aucun avion connu, Nous suivimmes la. ser a =
tajectoire de Fobjet pendant trois quatre
heures, tandis quill décrivait de grands
cercles dans le cel, voujours a la méme altitude;
subitement, 'aéronef accéléra de fagon verte
neuse et disparut
La premitre réaction des autortés alliges fut
apparitions a de simples
changes d’électricté statique. Mais dans la mesure
oi le phénoméne fut signalé de plus en plus fré=
quemment, les services de renseignement mili-
taires commencérent
de lumiére étaient une sorte d’arme
loppée par les Allemands ou les Japonais. On bap-
tisa le phénoméne «foo fighter: dire
+chasseurs fantémess), selon une formule souvent
répétée par Smokey Stover, héros d'une bande
dessinée trés populire & Péepoque.
Dés 1943, les Britanniques s'inguiétaient tant
de la menace potentielle que ces chasseurs pou-
2s boules
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valent représenter, qu'ls mitent sur pied un grou-
ppe spécial pour les érudier. Ce groupe devait étr
dlirigé par un certain licutenant-général Massey,
personage jeux que le phénoméne
quill était charge niner; selon 'ufologue
Timothy Good, il n'existe pas la moindre tr
ddudit lieutenant-général Massey + dans Védition
1943 du Who's Who, Cependant, le programme
Massey collecta sur us plusieurs
années des centaines de témoignages oculaires
et pas les moins intéressants-relatifs aux foo
fighters. D’aprés les temoigna
plupart du temps de lumiéres sans forme
période
1s, il Sagissat la
articu-
liére, sans substance apparente. Les objets provo=
quaient rarement un écho sus les radars.
DES AVIONS Qui
PERDENT LA BOULE
‘Autre témoignage trés étonnant: nous som
it 1945. Leonard Stringfield, qui devait
PHOTOGRAPHIE FANTOME
Aen croire le temoignage dun informateur connu uniquement
par les intiales C.J.J., ce qui serait peutétre l'une des meilleures
photographies d’ovnis reste enfoui dans les archives des services
Ce ee eee
Stringfield raconte comment pendant la guerre C.J.J. fut attaché
@ une escadrille anti-sous-marine chargée de patroviller le golfe
de Gascogne, au sud-ouest de la France, Un jour de novembre 1942,
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subitement apparu derriére le bombardier. Etonné par cette étrange
‘opparition, il alerta le reste de I'équipage, y compris C.J.J., qui
se trouvait dans la fourelle avant. Lorsqu'leut atteint le poste de
Varilleur central, tout le personnel de bord regardait 'ebjet qui resta
pee ee eer ee ea
rapidement et fit abruptement demi-tour avant de disparaitre.
Pendant ce temps, un certain sergent M.F.B. état occupé
Cen ee ee eo
Pree een See ree ty
«photographie parfaite». Plus de trente ans aprés cet étrange
incident, cette photographie n’a toutefois pas encore été divulguée.