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Code civil :
Article 1382 du Code Civil concernant la responsabilité délictuelle :
• prouver la faute
• le préjudice
• le lien de causalité
• La responsabilité civile, l’action en concurrence déloyale et le parasitisme
Les lois :
Loi Toubon : obligation d’informer en langue française pub, mode d’emploi, garanties etc…, sauf pr les pdts typiques,
spécialités d’appellation étrangères connus du grand public
Loi de 1880 – liberté de la presse : permet un écrit, insertion gratuite d’une rép (si préjudice), action en justice = Art
1382 : prouver : la faute, le préjudice et le lien de causalité
Loi EVIN 1991 : règles sur les publicités des boissons et du tabac, concerne tous les supports sauf en PLV et presse
pro
Loi Galland : sur les prix abusivement bas
Loi 1836 : autorisation loteries, pr les actes de bienfaisances et activités sportives à but non lucratifs sinon respect des
conditions sinon interdites
Loi de 1989 : condition loteries uniquement pr les opérations publicitaires réalisées par écrit
Loi de 1996 : régit les soldes
Code du commerce :
Art L442-2 : interdit revente à perte et relativement bas (<prix ha)
Art L442-5 : interdit revente à prix imposés
Les traités communautaires ont créer des institutions et leur a donné des pouvoirs (règles qui seront mise en vigueur
dans les Etats-membres :
- Règlement : est obligatoire et directement applicable dans les Etats-membres
- Directive : fixe un obj à atteindre et elle laisse chaq Etats-membres prendre les mesures nécessaires pour atteindre
cet obj (transposé par une loi au niveau national)
- Décision : ne concerne que certain pays ou certaines personne, actes obligatoires
- avis et recommandations : purement incitatif, pas de caractère obligatoire
Juridictions répressives :
• Tribunal de Police : contraventions
• Tribunal Correctionnel : délits
• Cour d’Assises : crimes
Recours :
Cour d’Appel : compétente pour les affaires sont la valeur excède 4 000€ (pas d’appel possible pour une valeur
inférieure = jugement rendu en premier et dernier ressort)
En droit pénal, tout est possible si ce n’est pas interdit par la loi. Sur le plan civil, il y a des actions en mauvaise
exécution de contrat et des actions en parasitisme.
Si tout ok = agrément pour 5 ans renouvelable, Ex : Association de consommateur UFC – Que Choisir, fédération des
familles de France etc…
Le législateur donne aux asso de conso des pouvoirs dérogatoires au Droit Commun, pr engager la responsabilité de
qlq1 il faut :
• 1faute
• 1préjudice
• 1lien de causalité
Sanctions :
• demandera l’€ symbolique
• la cessation de la pratique illégale
• la publication de l’information aux frais du condamné
D’autres actions :
• Action en réparation conjointe : l’association dem réparation de plrs préjudices individuels qui ont une origine
commune au moyen d’une seule action. L’asso représente les consos, agit en leur nom et à leur place
• L’action de gpe : n’existe pas en France existe aux Etats-Unis. Suit les mêmes conditions françaises sauf
qu’elle n’est pas forcément mandatée, intente directement une action et va essayer d’obtenir la condamnation
du professionnel sur le principe. S’il est reconnu coupable, publication des décisions dans un journal, chq conso
concernés et intéressés pourront demander à bénéficier de la décision rendue
• Contre publicité : les asso peuvent utiliser les medias pour critiquer un produit, 1 , un S (dénigrement, publicité
e
comparative). Les entreprises n’ont jamais agis contre les associations de consommateurs (contre publicité)
• Boycott : grève des achats
La responsabilité des asso de conso : On regarde les moyens utilisés et le but qu’elles poursuivent. Les sommes sont
souvent limitées à l’€ symbolique ou atteignent des sommes démesurées. Le plus souvent, il y a une publication du
jugement.
Actions :
- enquêtes
- constate des infractions et dc dresse des procès verbaux
- saisir des documents et engendrer des poursuites pénales en saisissant le Procureur de la République
- n’inflige pas la sanction
- cessation de ts agissements préjudiciables à l’intérêt du conso
- saisie de ts les produits dangereux pour la santé et la sécurité du conso et cela sans autorisation du juge
- destruction des produits (sils sont cert1 de leur position)
- simplement consigner ces produits pour une période de 15 jours (si soupçons)
- fermeture de l’établissement (en restauration).
Pblm de preuve en cas de litige, il faudra prouver et c’est le professionnel qui aura la charge de la preuve qu’il ait
exécuté son obligation et elle pourra être prouvée par tous les moyens
Fondement : Article 1382 du Code Civil concernant la responsabilité délictuelle. On peut demander des dommages &
intérêts en l’absence d’un contrat.
Stade contractuel :
- une obligation contractuelle d’info mais il est difficile de faire la distinction entre l’information précontractuelle et
contractuelle
- n’existe que dans certain type de contrat (avec un banquier, médecin, avocat) : c’est l’obligation de conseil.
Le banquier à également une obligation de mise en garde. Ils n’en on pas tous conscience, c’est el pblm. Il existe des
obligations d’informations spéciales : Article L111-1 du Code de la Consommation ‘‘Tout professionnel vendeur de
biens ou prestataire de services doit, avant la conclusion du contrat, mettre le consommateur en mesure de connaître
les caractéristiques essentielles du bien ou du service.’’. C’est au pro de prouver qu’il a fourni l’information.
Ex : Ha d’1 imprimante en mag, + de stock, on me donne celle en expo, jme rend cpte en rentrant chez moi, je ne peut
pas invoquer cet article car le pblm ne porte pas sur les caractéristiques essentielles du pdts ATTENTION !
Pblm dans la défense des caractéristiques essentielles, comment ce définissent elles ?
‘‘Loi Toubon’’ :
dérogations :
Prévues dans ce même Art 2 ‘‘Les dispositions du présent article ne sont pas applicables à la dénomination des
produits typiques et spécialités d'appellation étrangère connus du plus large public.’’
Cad :
- pas obliger d’utiliser la langue française pr la dénomination des pdts typiques et pr les spécialités d’appellation
étrangères connus du plus large public. Ex : Paella, couscous, vodka etc.
Sanctions :
- autant d’amende que de pdt (multiplie par le nbre de pdts en infraction)
- étiquette des pdts irlandais en France ds supermarchés (habillement), infos devaient être en français (car condition
d’entretiens en anglais), mais poss d’utiliser autre langue si facilement compréhensible de tous !
Le Droit Communautaire a supprimé les MERK, cad les quotas d’importation (Traité de Rome) ou tout autre mesure
assimilées à des quotas, chq mesure doit être justifiée = exigence impérative. Mesure restrictive sauf si :
- Exception raisonnable et non discriminative
- Règle justifiée par des exigences impératives (santé du consommateur)
La marque :
- peut être protégée
- doit être enregistrée
- Il est interdit de reproduire, d’imiter une marque enregistrée
Sanction :
- est pénale et civile
- l’emballage et l’étiquette peuvent être sanctionnée au titre de la publicité trompeuse
- l’utilisation d’une marque peut être sanctionnée si elle laisse croire que le produit à une origine différente que son
origine réelle
NB AOC :
- chq AOC est défini par décret
- a été créé pour le vin puis a été applicable à tous les produits agricoles ou alimentaires
- pour en bénéficier, le produit doit répondre à la définition donnée :
• doit posséder une notoriété dûment établie
• avoir reçu un agrément
- AOC déf par un décret : on trouvera une aire géographique de production délimitée, un cahier des charges (conditions
de production et d’agreement du produit)
- L’ AOC est français mais il existe un projet de création d’un AOC sur le plan communautaire, et sauf INPI protection ds
d’autres pays mais coûte cher
- L’AOC communautaire : mem principe mais surtout sur des régions double. ex : pays basque à cheval entre la France
et Espagne
Pblm des pdts qui viennent d’un pays qui ne fait pas parti de l’UE donc passe souvent par un pays qui en fait parti. Ex :
Chine, Allemagne, France
Section 3 : Les informations fournies par les asso de conso et INC (institut national conso)
- cherchent à rétablir l’équilibre avec des infos émises par les E
- servent de contrepoids, info des conso, mission essentielle des assos de conso par le biais de revues commerciales
(60 millions de conso et Que choisir ?)
- INC et UFC : ne visent qu’une partie des consos
- les assos peuvent utiliser les médias mais coût élevé (radio et TV ont missions de S pu et CO, sont tenus de proposer
des plages horaires pr qu’ils puissent informer les conso adaptés :
• heures de grandes écoute : toucher le Gd pu
• tps bref : messg doit être court, clair et simple, pas de débat, pas de polémique
- peuvent effectuer des essais comparatifs pr proposer une étude rapport qualité/prix, ce n’est pas une pub comparative
E
car les essais n’ont pas un but lucratif, mais le mem essai fait pas 1 peut faire l’objet d’1 pub comparative, pas de
réglementation G sur celle-ci, mais :
Risques :
- que l’essai soit repris par 1E concurrente, pblm des reprises de seulement quelques phrases
- attention aux essais tendancieux cad de manière à induire le conso en erreur
L’action en justice :
- le pro peut dem réparation devant la justice :
- difficulté du choix du tribunal (svnt ordre judiciaire)
- fondement : 1382 du C. Civil :
• prouver la faute
• le préjudice
• le lien de causalité
- pas de sanction pénale pr pub trompeuse
L’action en concurrence déloyale repose sur l’article 1382 du C. Civil sur la responsabilité civile
Le brevet :
- peut ê une invention ou tt autre procédé pourvu que l’invention soit nouvelle
- doit ê déposé INPI
- celles faites par un salarié ds le cadre de son activité pro appartient à l’E à condition qu’elle reverse 1cert1 somme au
créateur
- protection 20 ans à partir de la date du dépôt
1. Responsabilité :
- contractuelle : inexécution ou mauvaise exécution du contrat
- délictuelle : ad pas de contrat, prouver la faute et le lien de causalité
• La faute : cptmt anormal
• Dommage : faudra l’évaluer le + souvent grâce à des experts
• Lien de causalité : dur à prouver
3. parasitisme : c’est un acte de concu déloyale cpdt les E ne sont pas directement concu, pas le mem secteur. Ex :
E
radio pris le même slogan qu’un parfum, on profite des I fait par 1 et on va profiter ss I de nouveau (= glisser ds le
sillage) ex : parodies, pblm ds l’évaluation du préjudice il faut prouver la faute, le domg et l de causalité.
Article L711-1 du Code de la Propriété Intellectuelle, ‘‘La marque est un signe susceptible de représentation
graphique servant à distinguer les produits ou les services d’une personne physique ou morale.’’
Conditions de protection :
• La marque doit être distinctive
• La marque doit respecter l’ordre public
• La marque doit être non déceptive
• La marque doit être libre
On peur déposer une marq sans tous ces éléments ms 1E pourra reprendre nos idées et la protection ne marchera pas
sous prétexte qu’on aura pas respecté les critères ex : NGV Navire à gde vitesse n’a pas pu ê protégé car trop banal.
Sanctions :
- amendes, emprisonnement
- fermeture de l’etb
- publication du jugement
- dommage et intérêts
Utilisation de la marque de manière ironique : parodie, ex : Greenpeace avec logo de ESSO parodié : dénigrement car
moquerie. Où utilisation de la marque en caricature : c’est un dt en France (guignols, Laurent gerrat) mais doit ê clair,
n’admet pas de confusion.
L’article L711.1 du Code de Propriété Intellectuelle : ‘‘Peuvent notamment constituer un tel signe :
a) Les dénominations sous toutes les formes telles que : mots, assemblages de mots, noms patronymiques et
géographiques, pseudonymes, lettres, chiffres, sigles ;
b) Les signes sonores tels que : sons, phrases musicales ;
c) Les signes figuratifs tels que : dessins, étiquettes, cachets, lisières, reliefs, hologrammes, logos, images de
synthèse ; les formes, notamment celles du produit ou de son conditionnement ou celles caractérisant un service ; les
dispositions, combinaisons ou nuances de couleurs et odeurs (ex : fil à brodé parfumé à la fleur de frangipane).’’
Exceptions :
• L’AOC ne peut constituer une marque
• On ne peut protéger un signe sonore que s’il peut être traduit sous la forme d’une écriture (ex : le bruit du
moteur n’a pu être protégé faute d’avoir pu être écrit)
• La couleur peut faire l’objet d’une protection si elle est spécifique (combinaison, assemblage de couleurs)
• La forme peut être protégée au titre de la marque sous réserve qu’elle ne soit pas liée à la finalité du produit
• Les odeurs comme celles des fils à broder et l’huile pour voiture peuvent être protégés
Une marque com nom de site Web : non ce n’est pas poss, car risq de confusion
Chapitre 3 : La communication
Section 1 : La publicité
Sont visés tous supports quel qu’il soit même les allégations verbales. Sont visés également les professionnels comme
les consommateurs.
• Indication fausse : suppose des allégations mensongères, facile à démontrer
• Publicité trompeuse (de nature à induire en erreur) : publicité tendancieuse, plus délicat à cerner car elle
dépend de celui qui la reçoit (certain ne seront pas tromper de la même façon). La jurisprudence se réfère au
consommateur moyen. On va regarder si la publicité présente un caractère imaginaire, fictif ou irréel. On va
également tenir compte du degré de discernement du consommateur moyen.
- Des procès verbaux peuvent être dressés par les agents de la DGCCRF
- les transmettront au Procureur de la République et celui-ci décidera ou non de poursuivre au pénal
- Toute personne qui a un intérêt à agir et qui justifie d’un préjudice subi pourra intenter une action civile :
• associations de consommateurs,
• les concurrents qui s’estiment lésés,
• les consommateurs,
• les syndicats qui agissent au nom de la profession
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Qui doit supporter la preuve ?
- En général, c’est au demandeur de prouver que ce qu’il dit est vrai
- mais le Code de la Consommation précise que se sera à l’annonceur d’apporter tous les éléments qui peuvent justifier
la publicité : l’annonceur est la personne responsable (personne pour le compte de qui la publicité est diffusé)
- Les sanctions prévues sont l’amende qui peut s’élever jusqu’à 50% du budget publicitaire, une peine
d’emprisonnement, le retrait de la publicité mensongère ainsi que la publication de la décision de justice qui condamne.
• Demande de dommages & intérêts : tribunal civil ou de commerce ;
• Demande du retrait de la publicité : tribunal pénal ;
• Joindre l’action civile à l’action pénale : tribunal pénal en se portant partie civile.
Notes :
‘‘Dans la limite des stocks disponibles’’ : le stock doit être proportionnel à la diffusion de la publicité.
‘‘Offre valable jusqu’au …’’ : le stock devra être illimité pendant cette période.
Sinon, il s’agira d’une publicité mensongère.
Consentement doit :
- être expresse, cad donné pour une utilisation précise (à demander autant de fois que de campagnes publicitaires
menées, à titre de précaution)
- S’il s’agit d’une personne connue, l’autorisation sera demandée à celle-ci ou à son agent
- Si cette personne est décédée, il faudra demander l’autorisation aux héritiers
A- La publicité comparative
A l’origine, la publicité comparative était interdite car il était interdit de citer la marque d’autrui. On risquait une action en
contrefaçon. Pour peut que la publicité soit trompeuse, on risquait une plainte pénale pour publicité mensongère.
En 1997, une nouvelle directive européenne transposée en France 2001. Il n’y a plus d’obligation préalable
d’information. Concernant le champ d’application de la loi, il est très large et s’applique à toute publicité qui met en
comparaison des biens ou des services en identifiant implicitement ou explicitement un concurrent ou des services
offerts par eux.
Il faut un but lucratif et identifier la publicité de l’information comparative. La législation s’applique à toute publicité
même celle qui vise les professionnels. Il faut comparer des biens ou des services vendus concomitamment c'est-à-dire
à la même période.
Auj :
• plus besoin d’information
• champ d’application de la loi très large car s’applique à tous les pubs qui met en comparaison des biens ou
des S, en identifiant implicitement ou explicitement un concu ou des S offerts par un concu
• différence entre info et pub comparative
• vise que les pro
• comparaison poss entre les pdt et S vendus en m tps, m période seulement
• pub comp pas interdite mais licite sous réserve
La publicité comparative est licite sous réserve d’être soumise à certaines conditions :
• Il faut comparer des biens ou des services qui répondent aux même besoins ou qui ont le même objectif
• Il faut une comparaison objective et non subjective (esthétique) et encore plus si la comparaison est dénigrante
• Si l’on fait une comparaison sur le prix, pour qu’elle soit objective, il faut faire sur la globalité du prix (coût total)
• Il faut que les caractéristiques utilisées pour la comparaison doivent être vérifiable, pertinente et représentative
• La publicité ne doit pas être trompeuse
• La publicité ne doit pas tirer indûment profit de la notoriété attachée à une autre marque
• ‘‘Il est interdit de faire figurer des annonces comparatives telles que définies aux articles L. 121-8 et L. 121-9
sur des emballages, des factures, des titres de transport, des moyens de paiement ou des billets d'accès à des
spectacles ou à des lieux ouverts au public.’’ Article L121-11 du Code de la Consommation
C’est l’annonceur qui fait la publicité comparative qui supporte la charge de la preuve de ce qu’il prétend. Il n’y a pas de
sanction spécifique, on applique le Droit Communautaire. La cessation de la campagne et les dommages et intérêts
sont obtenus sur le fondements de l’article 1382 du Code Civil. On peut engager une action en contrefaçon s’il y a un
dénigrement de la marque.
L’ANPAA (Association Nationale pour la Prévention en Alcoologie et Addictologie) est la seule association qui peut
attenter une action en justice contre les publicités sur les boissons.
Le non respect de la loi constitue un délit et l’amende peut atteindre 75 000€ avec un plafond de 50% du budget
publicitaire. En cas de récidive, le produit peut être interdit à la vente pendant 5 ans. On peut attenter une action en
justice pour obtenir des dommages et intérêts (en général, 1€ symbolique est obtenu par l’ANPAA)
C- La publicité sur le tabac
La Loi Evin encadre la publicité sur le tabac. Toute publicité ou propagande en faveur du tabac est interdite.
- L’interdiction est absolue
- concerne tous les supports (radio, presse…) sauf la publicité sur le lieu de vente et la presse professionnelle
- Il est interdit de distribuer des échantillons et des objets publicitaires en soirée
- Tous medias confondus, le parrainage est interdit.
- sanctions sont les mêmes que celles prévues pour la publicités sur les boissons
- doivent comporter le mess obligatoire sur au moins 30% de la surface du pdt
Le véritable problème concerne les produits et services qui ont le même nom qu’une marque de cigarettes (ex : Camel
Trophée). Il est interdit de faire de la publicité pour les produits et services qui ont une marque de cigarettes sauf :
• Les marques qui ont été mises sur le marché avant le 1 janvier 1990
er
Section 2 : Les promotions par les jeux et les concours, les ventes à prime et les produits à l’essai
Ce sont des moyens de communication.
D’après la loi, pour qu’une loterie soit interdite, il faut vérifier 4 choses :
• L’espérance d’un gain
• Une publicité
• L’intervention du hasard pour sélectionner le gagnant
• L’exigence d’une participation financière
Si les 4 points sont réunis, la loterie sera interdite. En revanche, si l’un de ses points fait défaut, elle sera autorisée. Les
2 derniers pts pose souvent pblm
La loi de 1989 a imposé d’autres conditions uniquement pour les opérations publicitaires réalisées par écrit :
• La participation à une loterie doit être gratuite
• Il faut un bon de participation distinct du bon de commande
• Il faut que le document ne ressemble pas à un document administratif ou bancaire
• Il faut fournir la liste des lots avec leur nombre et leur valeur
• Il faut préciser que le règlement sera envoyé gratuitement à toute personne qui en fait la demande et le
règlement devra être déposé chez un huissier
Loteries organisées sans l’intervention du hasard, on sélectionne les gagnants en leur posant des questions. Elles sont
licites encore faut il que les questions soit sérieuses et que la sélection ne soit pas aléatoire. Basé sur les
connaissances de la pers
Les risques sont :
• La requalification si les questions sont trop faciles
• Si les lots promis ne sont plus disponibles, il y aura une plainte pour publicité mensongère
La loteries à double accès : ce sont les loteries ouvertes à des participants qui ont payés et à d’autres qui n’ont pas
payés. Dans les 2 cas il y a un tirage au sort. C’est autorisé de part son coté non payant, on participe librement et
gratuitement donc licite.
- Les primes sont des produits ou services (la diminution de prix ou bon de réduction ne sont pas des primes ainsi que
toutes somme d’argent)
- La prime doit être différente de l’objet principal vendu (la formule ‘‘13 à la douzaine’’ n’est pas une prime). La prime
suppose un achat principal
Le contrat de vte est un contrat consensuel, pas nécessairement écrit, est valable si :
- un px déterminé, déterminable (cad svnt pr des produits dont on ne peut pas connaître le px à l’avance, dépend du
marché ex : baril essence), sinon contrat nul
C/ Procédés suggérant des réductions de prix, soldes, liquidations, couponnage, vente à primes etc.
Les soldes :
- loi de 1996, codifiée au code du commerce
- n’interdit pas les soldes mais les réglementent
- st autorisées 2 fois par an
- début à la même date avant différent selon les départements
- dure au max 6 semaines
Il faut :
- une pub qlq soit sa forme
- faut une réduction de px, mêm en dessous du px d’ HA effectif, tt est permis, on peut revendre à perte
- les mdes soldés doivent permettrent le baisse du stock, la mdses à déjà été proposé à l’avance pas de
réapprovisionnement poss mais ou est le stock ? Peut on avoir un stock com1 avec psl mags en France ?
- la loi exige que les mdses vendues en soldes soient payées de + d’un mois au frs
La loi précise que tte pub non commerciale l’emploi du mot « solde » est interdit, autre que ds le cadre des vraies
soldes
Sanctions :
- amendes
- publication presse
si les soldes ont lieux en dehors des périodes de soldes : sanctions car soldes déguisées.
Si ce st des véritables ventes promotionnelles, elles st autorisées ss réserves de respecter la législation sur le revente à
perte et pub trompeuse ou mensongère etc…
Il faut respecter :
- la loi de la pub mensongère, pdt doit ê dispo
- pas de condition juridique particulière
Règles générales :
• La loi ne sanctionne pas la rupture de stock mais la pub mensongère.
• La quantité en stock doit être proportionnée à la parution de la pub.
• La réglementation sur les prix
Paragraphe 1 : Les règles relatives à la publicité des prix, au marquage ou à l’étiquetage des produits
- Les règles sur les prix ne s’applique qua l’égard du consommateur et que dans le cadre de la vente au détail (différent
de professionnel)
- Le prix qui est indiqué doit être mentionné TTC (obligation) par rapport au consommateur
- Une réduction a la baisse est toujours possible mais pas une augmentation
- On peut toujours ajouter au prix annoncé les frais qui correspondent à des prestations supplémentaires comme les
frais de livraison. (Dites exceptionnelles dans la loi)
Ex pour le jouet qui ne comprend pas les piles à mentionner !!! si piles non fournit il faut une mention
- Si la personne ne peut ne pas emporter le produit la livraison doit être inscrite dans le prix.
- Tout produit commandé pendant la période de promo doit être livré au prix annoncé dans le catalogue même si le
produit est livré âpres la période de promo.
- Concernant les lieux de livraison c pas simple donnez les zones ainsi que les prix pour chaque zone
- si un pdt à 2px différents, le conso peut demandé à bénéficier du px le + faible
- tous les pdts que le conso peut voir (même vitrine), doivent ê marqués, les pdts factice doivent avoir un px, sauf déco
Etiquetage :
Le mode d’info la loi est très large marquage étiquetage ou tt autre procédé. Un simple ecrito suffit. Si il a eu un double
étiquetage le consommateur peut demande de payer le prix le plus faible car ca peut constituer une pub trompeuse.
Sont concerné par l’affichage des pris tous les produits que le consommateur peut voir (ex de la vitrine, ou sur une
étagère) Cette règle s’applique que le produit soit neuf ou d’occasion.
Les produits factices doivent comporter les pris sauf s’il s’agit d’un produit de déco.
Rq : les prix sont indiqués TTC et le pourboire n’est pas inclus dans le prix et il n’est pas obligatoire.
Pour certains services on ne pourra pas donner une indication précise car ça dépendra de la situation particulière du
service. Dans tous les cas il doit donner les éléments tels que le coût de la MO horaire le prix au m² le prix des
paramètres à utiliser. Ex : pourboire pas obligatoire, l’est en Angleterre, le prix sera connu du conso par un devis, poss
de cert1 changement
Les sanctions :
- c’est la DGCCRF qui constate le non affichage des prix on risque une amende de 1500€ sur le produit qui est exposé
a la vente.
- On peut également utiliser la législation sur la pub trompeuse.
Mais il existe des exceptions. Par exemple, l’assurance qui est obligatoire quand on veut acheter une maison. Mais
également en matière agricole : le SAFERE impose le contractant.
En règle générale, on peut tout faire concernant la vente et la distribution mais il y a des limites. Le législateur est
intervenu en interdisant certaines pratiques soit afin de protéger les consos soit afin d’organiser la distribution.
Concernant la vente du muguet et du gui que jour de l’an pas d’autorisation obligatoire. Pas de vte sauvage
Pour le muguet il faut que ce soit du muguet sauvage sinon on risque des contraventions, confiscations.
- les agriculteurs ne st pas considérés com commerçants, ils échappent à tt les réglementations ms doivent avoir une
autorisation
La vente au déballage :
autre technique de vente lorsque les marchandises sont vendues dans des locaux ou sur des emplacements non
destinés à la vente au public ainsi qu’a partir de véhicules spécialement aménagés à cette effet. Ex : le commerçant de
campagne vendant du pain, ou Décathlon avec les produits de ski.
Les espaces concernés sont soit des espaces publics ou privés.
Echappe à la réglementation :
- les foires et les salons, ainsi que les ventes organisés a l’initiative dune association ou d’un Comité d’Entreprise dans
un local qui est accessible aux seuls adhérents ou seuls salaries.
Peu importe que les marchandises soient neuves ou d’occasion.
- les professionnels qui effectuent des tourné de vente a domicile de produit de consommation courante ex : véhicule,
boulangerie, boucherie
Les foires et les salons : il y a une législation spéciale. Ils doivent être autorise par le préfet du département. Le maire
peut s’opposer au déroulement d’un salon. Il y a une réglementation vraiment a part concernant les foires et les salons.
B/ La vente à distance
C’est une technique de vente les plus vieilles !!!
La vente à distance était utilisée par la VPC. La vente à distance vise le contrat de vente mais également le contrat de
prestations de services.
La réglementation s’applique à tout contrat dont la conclusion a eu lieu par une technique de communication à distance
ce qui est important c’est le moyen par lequel le contrat a été conclu.
L121-7 et suivants du code de la conso pour qu’il y a vente a distance il faut que deux éléments soient réunis : pas
présences physique simultané des deux parties lors de la conclusion et il faut qu'on utilise une technique de
communication a distance.
Il y a des contrats exclu arbitrairement par la loi : contrat établi grâce a des distributeurs auto les ventes aux enchères…
Il y a des contrats exclu partiellement par ex les contrats de restauration, d’hôtel : contrat a distance mais on n’applique
pas la totalité de la réglementation pas de droit de rétractation.
La réglementation prévoit un certain nombre de règles l’obligation d’informer le consommateur. Ex : les caractéristiques
essentielles du produit les prix l’adresse du vendeur…
On doit surtout trouver l’existence dans les droits de rétractation. Le conso a 7 jours après la réception du produit pour
se rétracter des l’offre.
A chaque fois que l’on pratique le démarchage par téléphone le prof doit décliner son identité et l’objectif de son appel.
C’est au prof de prouver qu’il a rempli ses obligations.
Concernant l’acceptation, a partir de quand il y a véritablement contrat = date d’acceptation.
S’il y a contrat alors il y a obligation on ne revient pas sur sa décision.
En matière de vente à distance l’offrant doit maintenir son offre pendant un certain délai. Le consommateur a également
un délai de rétractation.
Il y a donc contrat des lors qu’on s’est dessaisi du papier.
Le plus important est le droit de rétractation il dispose de 7 jours francs sans avoir à se justifier ni a payer aucune
pénalité. On peut juste exiger de payer les frais de retour.
C’est 7 jour à compter de la réception d’un bien et pour un service 7 jours a partir de l’acceptation de l’offre.
Lorsqu’ on exerce la rétractation le remboursement doit être effecteur dans les 30 jours.
Si on n’a pas fourni les infos dans l’offre le délai de è jours est porté à 3 mois.
Il y aura toujours un problème de preuve : comment prouver la date de réception du produit ?
On ne peut pas exercer le droit de rétractation de 7 jours lorsque il s’agit d’un contrat de fourniture de service dont
l’exécution a commence avant l’expiration du délai de 7 jours et cela avec l’accort du consommateur. Il n’y a pas de
délai de rétractation pour les journaux magasines périodiques.
Ventes à distance :
- fournir les infos quand on fait l’offre
- confirmer les infos par écrit
- droit de rétractation : confert au conso, délais de 7jrs à compté de la réception du bien ou de l’acceptation de l’offre pr
les S (hors dimanche (si dernier jr du delais) à 1jr suppl, et jr férié)
- conso droit de remboursement ds les 30jrs au +tard
- poss au pro de commencer à exercer le S avant l’expiration du délai de 7jrs
ex :abonnement internet, portable etc…
Exceptions :
- vte périodique : journaux, à distance pas de délais de rétractation de 7jrs
- parfois le contrat prévoit 1 délais de livraison en G donné à titre indicatif, si non respect du délais pas forcément faute
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- si pas de date de livraison elle doit avoir lieu dans 1 délais de 30jrs à partir du moment ou le conso à transmit sa
commande
- si le contrat n’est pas executé, si le pdt n’est pas dispo, il faut informer le conso et le rembours le cas échéant ds les
30jrs du paiement
- si le pdt n’est pas dispo et que ds le contrat il est stipulé qu’il peut fournie 1 bn équivalent, ds ce cas c’est poss si le
conso a été averti de manière claire, si ce n’est pas le pdt dem le conso à la poss de le retourné ds les 15jrs environ
- si non exécution du contrat : obtention poss de domg et interet, prouver 1 faute, préjudice et lien de causalité
Art L211-1 : transposition d’une directive nouvelle, s’applique, uniquement pr 1vte entre pro et conso
- si la mdses n’est pas conforme, le conso à la choix
- soit dem réparation ou remplacement ds un délais raisonnable
- soit, si le défaut est grave il peut dem la résolution de la vte avec des domg et intérêts
3 délais :
- de 6 mois a partir de la délivrance du pdt lesquels ts les défauts qui app st présumés existés depuis la délivrance sauf
contraire : pblm de conformité
- de 2 ans pr agir en justice à compté de la délivrance, délais de prescription
- de 10 ans si le vendeur est un commerçant
C/ Le démarchage à domicile :
- loi qui protège exclusivement les pers fi
- démarcheur pet ê une pers indépendante, mandataire, salarié, peut imp, ss conséquences
- concerne le démarchage en vue d’une vente, crédit ou au comptant
- loi vise aussi le démarchage à la location
- vte et location, que ce soit sur des biens meubles ou immeubles
- est réglementé lorsqu’il est effectué :
au domicile du conso
- à sa résidence
- lieu de travail
- en mag, phoning etc…
- seule les invitations personnalisées st valables : 1 sollicitation individuelle puis évolution en 2006
- auj + besoin de l’aspect personnalisé, si pas de démarchage à domicile on ne peut pas revenir sur l’acte d’Ha
Autres cas :
- démarchage réglementé qd est pratiqué ds des lieux non destinés à la commercialisation d’un bien
ex : proposition d’HA : tableaux ds les restaurants, vte de roses en boites etc…
Attention, foires et salons st des endroits considérés com des lieux autorisés pr la vte
En G, c’est le pro qui prend l’initiative du démarchage, on admet qu’il puisse y avoir démarchage à domicile même s’il
est à l’initiative du conso !
Ex :ds une foire, le conso a dem au technicien de se déplacer à dom effectuer 1devis, mem suite a 1c de téléphone à
l’origine si le clt à dem, il ya qd mem démarchage à domicile
Ds certain cas c’est le juge qui doit rechercher d’où vient l’engagement de départ
Ne s’applique qu’entre un pro et un conso, si entre 2 pro le démarchage à dom pourra s’appliquer que s’il a pas de
rapport direct avec l’activité du pro démarché
- ne s’applique pas aux ventes de pdts de conso courante ex : boulangerie, épicerie
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Attention
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il n’a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr.