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CARTES OTHOGEOMETRIQUES

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par Raymond TERRASSE


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CARTE n° 6 : LES FIGURES EXOTIQUES :

Clôturons la série des deux cercles par des figures exotiques. Par
cette définition, lisez des quadrilatères, réguliers ou non, qui présentent des
caractéristiques particulières.
Tout d’abord, simplicité de présentation, puisqu’un seul croquis
suffit pour chaque groupe de cercles. Ensuite tous les trois sont des rectangles.
Toutefois, si l’un est normal, mais quelconque, le deuxième est
harmonieusement déformé, ses angles diagonalement opposés étant égaux. Le
dernier est un carré long, c’est à dire que sa longueur est double de sa largeur.
C’est le fameux rectangle de base servant au calcul du nombre d’Or. De plus, il
est le seul dans son genre, dont deux de ses angles ne prennent pas appui sur les
cercles. A croire que les Responsables des OVNI l’ont destiné à être le prototype
de l’orthogéométrie.

Croquis N°1 :

carte ortho N° 6 1
Commençons par le plus régulier, dont les cercles paternels sont
le classique Chambord-Gisors, et un plus inattendu : Mouriéras-Chenonceaux.
Mouriéras est ce hameau de Corrèze, à proximité duquel un
brave paysan rentrait de son travail dans les champs à la tombée de la nuit du 10
septembre 1954 ; deux heures avant l’atterrissage sur la voie ferrée de
Quarouble.
Monsieur Antoine Mazaud donc rencontra un ufonaute, qui
l’attira vers lui pour lui donner un semblant d’accolade. C’est le premier, et l’un
des rares cas de ce genre dans toute l’histoire de l’ufologie.
Il était tout à fait normal que Mouriéras figurât comme centre
d’un cercle. Notez en passant, que les initiales de notre témoin évoquent celles
des Apparitions Mariales ; fantaisie de nos chers farceurs d’outre-dimension ?
Mouriéras, logique direz-vous, mais pourquoi Chenonceaux ?
bah, lubie d’un chercheur. Les châteaux de la Loire étant concernés par
l’orthogéométrie, j’ai voulu inscrire celui-ci, comme limite de rayon de 196
kilomètres.
Chenonceaux a été offert par Henri II à sa maîtresse, Diane de
Poitiers. Cheverny ayant aussi appartenu à cette dernière, en l’achetant avec son
mari Louis de Brezé, aurait pu être le second partenaire. Mais je l’ai écarté, car
trop près de Chambord.
Les cercles sont dessinés, et l’inévitable Mont-Saint-Michel /
Trans-en-Provence est tracée. Elle dionne l’angle sud-est C du rectangle.
Ensuite, c’est le tâtonnement habituel – la pêche à la ligne – ( trop facile, je n’ai
pu m’empêcher de l’écrire ).
En définitive, elles sont quatre, après de nombreux coups de
règle, à se partager les angles.
Riec-sur-Belon / Marliens pour le coin nord-ouest.
Lourdes-Stenay, qui en l’occurrence remplace Tournai, pour le
nord-est.
Enfin, il fallut aller chercher les grottes d’Altamira en Espagne,
pour qu’avec l’aide de Prémanon, l’angle sud-ouest termine ce rectangle, de 360
par 336 kilomètres.
Ce qui en terme de rapport nous donne : 1, 0714, qui la racine
cinquième de la racine carrée de deux ( 1, 414 ).
Quant aux périmètres des cercles et du rectangle, nous avons
2386 et 1392 kilomètres. Le quotient est de 1, 714, dont la racine carrée de 1,
309, est tout simplement la moitié de PHI carré ( 2, 618 ).
Comme quoi, le châteaux de Chenonceaux, et surtout la belle
Diane, participent agréablement à l’orthogéométrie.
Deuxième série de cercles :

carte ortho N° 6 2
Pellevoisin-Lascaux de 213 kilomètres de rayon, et La Celle-
sous-Gouzon / Marliens ( 251 kms ), forment le duo de cette nouvelle figure très
particulière.
Ne parlons pas de Lascaux. Pellevoisin est le quatrième
partenaire de la ligne primordiale. Bourgade située à 71 kilomètres au sud de
Chambord, son centre ville est à 1000 mètres à l’ouest de Gisors-Lascaux.
Remarquable apparition mariale de février1876, et la suite, car il y en eut quinze
en tout. Une mourante au dernier degré, fut entièrement guérie au bout du
cinquième jour.
Là aussi, il me semblait normal dé l’associer à la célèbre grotte,
afin de rester sur cette ligne primordiale. De même, La Celle-sous-gouzon,
premier atterrissage sur le sol français en 1906, méritait d’être le centre d’un
cercle ; d’autant que Marliens en est située à 251 kilomètres.
Les 251 kilomètres sont légion en Orthogéométrie. Citons
Marliens justement – Stenay, Chambord / Mont-Saint-Michel, Belleville-sur-
Mer / Stonehenge ; et comme nous le verrons avec le dernier groupe, Lascaiux-
Rennes-le-Château, ou peu s’en faut ( 250, 6 ). C’est une des constantes
kilométriques, qui fait dire à Guy Tarade, m’écrivant à ce sujet, que c’était en
rapport avec le rythme de la Terre.

Croquis N° 2 :

carte ortho N° 6 3
Exceptionnellement, le Mont-Saint-Michel se trouve privé de son
équipier habituel, remplacé par La Celle-sous-Gouzon. La ligne prolongée
contribue à former l’angle sud-est C du parallélogramme.
Pae contre, le couple Tournai-Lourdes reste soudé, et donne
naissance à D. Curieusement, et de façon inattendue, c’est une nouvelle
association qui obtient la palme, par la création des angles nord-ouest et est ( A
et B ) : Riec-sur-Belon / Domrémy.
Etrange rectangle, déformé régulièrement, puisque les angles
diagonalement opposés sont égaux ; A et C mesurent 83 degrés, tandis que B et
D, par voie de conséquence, atteignent 97 degrés. Donc pas de rapports des
côtés droits inexisrants. En compensation, Gisors-Cotignac, l’apparition mariale
de 1519, est perpendiculaire aux grottes d’Altamira-Marliens.
Les rapports obtenus dans les différentes configurarions, frôlent
l’extraordinaire : surface des cercles : 142459 + 197823 = 340282 kilomètres
carrés. Surface du parallélogramme : 133984.
Le quotient des deux s’élève à ; 2, 540 ; c’est exactement la
moitié de : PI X PHI ( 3.14 X 1, 618 = 5 ,081 ).
De même, si on compare ces superficies à celle de la France,
comme nous l’avons fait dans d’autres articles, les résultats sont aussi positifs.
551500 divisé par 340282 = 1,621 ; sans commentaire.
551500 divisé par 133984 = 4,116 ; c’est ( PHI X racine carrée
de PHI ) X2 ( 1,618 X 1,272 ) X2. Mais aussi : ( PI X PHI carré ) divisé par 2.
On est à 6 millièmes d’écart avec : 4, 110.

Troisième groupe de cercles :

Le dernier rectangle va apporter à son tour une moisson de


surprises. Déjà par le peu de lignes mises en œuvre pour le créer ; ensuite, par le
fait que deux de ses angles ne sont pas circonscrits sur le cercle. C’est l’unique
fois que cela se produira dans mon orthogéométrie.
J’ai déjà fait allusion à la distance qui sépare Lascaux de Rennes-
le-Château, approchant les 251 kilomètres. Le second cercle paraissait donc tout
trouvé. Quant au premier, et nul ne s’en étonnera, c‘est bien sûr Chambord-
Gisors.
La première ligne à tracer, c’est celle qui passant par le
croisement est des deux cercles. Elle nous mène de Tournai, en coupant le cercle
en B, à la spectaculaire – par la technologie mise en œuvre- apparition mariale
de 1873, à Saint-Bauzille-de-la-Sylve. Elle se prolonge jusqu’à la circonférence
en C.
La deuxième partira de Stonehenge, pour rejoindre Lascaux.
Auparavant, elle coupe le cercle en E.
La troisième, dont le départ se situe encore à Stonehenge,
aboutira à Rennes-le-Château.

carte ortho N° 6 4
Croquis N° 3 :

Pour le moment, tout ceci ne génère aucune figure évidente,


indubitable. Sans doute parce que nous cherchons des points d’appui sur les
circonférences, comme d’habitude.
Mais si du croisement F, nous nous dirigeons vers Rennes, une
perpendiculaire va recouper le grand cercle en G. Une vérification à la règle
entre C et G, fait ressortir un lieu précis : Nouilhan, à 30 kilomètres au nord de
Lourdes. Apparition mariale de 1848, la précédant de dix ans, mais éclipsée par
sa sœur cadette.
Mesure effectuée, on s’aperçoit que de B à C il y a 566
kilomètres, contre 283 entre C et Nouilhan ; qui plus est, ce petit côté est
perpendiculaire. C’est déjà un triangle rectangle-demi carré long.
Que va donner la règle à partir de B vers l’ouest ?.
La perpendiculaire mène à E sur le cercle. Mais l’immense
cadeau vient du recoupement en A, rencontre avec Stonehenge-Rennes, situé
précisément à 283 kilomètres. Le double carré ou rectangle long est désormais
formé.
Accessoirement, la distance de G à F est de 498 kilomètres. Elle
est égale à celle de Tournai au milieu du côté B-C.

carte ortho N° 6 5
La diagonale su rectangle est de 633 kilomètres ; c’est 498 X par
1, 272, racine carrée de PHI, à 600 mètres près.
Et si les surfaces ne donnent rien de probant, les périmètres
approchent le nombre d’Or ( 1156 + 1574 / 1698 = 1,608 ). Ce sont 17
kilomètres carrés d’écart, soit 0, 64 %.
Nous verrons prochainement ce qu’apportent les trois cercles.

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Raymond TERRASSE, février 2006

carte ortho N° 6 6

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