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Culture Documents
UN
NUAGE
D'INCERTITUDES,
2011,
encre,
verre,
plexiglas,
18
x
24
x
16,5
cm.
Entretien
entre
Guillaume
Constantin
et
François
Aubard
(extrait
de
l’entretien
réalisé
en
février-‐mars
2011)
François
Aubart
:
D’où
vient
le
titre
de
cette
exposition
?
Guillaume
Constantin
:
C’était
le
titre
d’un
article
de
journal
à
propos
du
nuage
de
cendres
provoqué
par
l’éruption
d’un
volcan
islandais
qui
a
perturbé
le
trafic
aérien
européen
en
avril
et
mai
2010.
C’est
le
genre
de
titre
fabriqué,
au
«
catastrophisme
calculé»
avec
une
symbolique
presque
anecdotique,
voire
fictionnelle
qui
reste
malgré
cela
assez
évocateur
et
mystérieux
lorsqu’on
s’y
arrête
un
peu.
FA
:
En
fait
j’ai
aussi
l’impression
que
ce
titre
peut
être
lu
comme
une
définition
de
ton
travail
puisqu’un
nuage
est
quelque
chose
de
mouvant
dans
sa
constitution
même.
Par
ailleurs
un
nuage
c’est
aussi
un
"tag
cloud"
fait
d’un
ensemble
de
mots
clés
liés
et
éparpillés
qui
composent
une
identité.
Qui
plus
est,
le
nuage
que
tu
évoques
est
fait
d’incertitude
ce
qui
me
paraît
proche
de
ta
façon
d’opérer.
Souvent
tes
productions
deviennent
des
sortes
de
motifs
que
tu
réemplois
dans
différents
contextes
et
qui
peuvent
ainsi
passer
d’un
matériau
à
un
autre.
Est
ce
que
c’est
une
raison
pour
le
choix
de
ce
titre?
GC
:
Un
nuage
est
quelque
chose
d’assez
paradoxal.
Ce
n’est
pas
évident
d’imaginer
que
c’est
une
grande
quantité
d’eau
en
suspension
dans
l’atmosphère
qui
change
d’aspect
selon
les
circonstances.
C’est
donc
quelque
chose
d’apparemment
très
simple
mais
qui
est
en
réalité
assez
complexe.
Ce
caractère
mouvant
m’intéresse
beaucoup
en
effet.
J’ai
aussi
choisi
ce
titre
pour
les
dysfonctionnements
produits
par
ce
nuage
de
cendres.
Comme
une
métaphore
de
mon
travail
:
une
pratique
tout
en
dysfonctionnement,
en
fragilité,
en
instabilité,
truffée
de
références
mortuaires
plus
ou
moins
directes
comme
par
exemple
une
réplique
en
noir
sur
noir
d’un
catalogue
des
Blacks
Paintings
d’Ad
Reinhardt
(1),
l’extinction
de
plus
de
lumière,
un
néon
de
Claude
Lévêque
qui
reprend
Goethe
(2),
de
faux
néons
qui
ne
fonctionnent
pas
(3)
ou
encore
les
everyday
ghosts
(4).
Je
souscris
complètement
à
ton
idée
de
tag
cloud,
un
nuage
de
mots-‐
clés,
ça
me
semble
assez
juste,
car
ce
que
je
fais
sont
des
combinaisons
d’éléments
qui
gravitent
ensemble
et
se
relient
à
un
endroit
et
à
un
moment
donnés.
Tu
évoques
des
mots-‐clés,
je
pourrais
ajouter
des
«
matériaux-‐clés
»
qui
définissent
très
bien
la
notion
de
motifs.
Des
matériaux
qui
s’assemblent,
qui
se
confrontent
mais
pas
toujours
de
manière
très
contrôlée.
Ma
pratique
se
définit
beaucoup
plus
maintenant
par
ce
jeu-‐là
que
par
sa
relation
à
la
fragilité
ou
par
rapport
à
la
mort.
FA
:
Est-‐ce
que
tu
peux
préciser
ce
que
tu
entends
par
«
matériaux-‐
clés
»
?
Je
te
pose
la
question
parce
que
certains
reviennent
assez
régulièrement,
comme
des
motifs
ou
des
objets.
C’est
le
cas
par
exemple
des
draps
ou
les
pierres
auxquels
tu
es
revenu
régulièrement.
Quels
rapports
entretiens
tu
avec
les
matériaux
et
les
objets
que
tu
traites
et
utilises?
GC
:
De
mon
point
de
vue,
tout
est
matériau
et
un
matériau-‐clé
«
ouvre
»
littéralement
une
porte
d’entrée
vers
un
sentiment,
un
propos,
une
idée.
Il
peut
s’agir
d’un
matériau
précis:
le
liège
d’isolation,
le
plastique
thermoformable
ou
les
bâtons
de
plexiglas
mais
aussi
du
caractère
figuratif
d’une
pièce
ou
de
sa
lisibilité,
s’il
s’agit
d’un
fragment
de
texte
comme
je
le
fais
avec
les
spams
ou
les
citations.
Tous
ces
éléments
forment
une
sorte
de
palette
dans
laquelle
je
puise
pour
avancer
des
formes
et
des
propositions.
La
récurrence
des
motifs
dont
tu
parles,
comme
les
rochers
ou
les
drapés,
sont
des
référents
classiques
voire
archaïques
de
la
sculpture
que
je
revisite
et
détourne
à
ma
manière.
Ce
qui
induit
ainsi
une
certaine
lecture
du
passé,
de
la
tradition
et
un
jeu
avec
elle.
Ce
sont
des
éléments
qui
se
télescopent
avec
les
matériaux
industriels,
chimiques,
standards
que
j’utilise.
________________________
1.
Print
it
black,
2008,
impression
laser
noire
sur
papier
canson
noir
28x20cm
(format
fermé).
Reproduction
intégrale
du
catalogue
«Black
paintings»
(1970)
d’Ad
Reinhardt.
2.
Plus
de
lumière
(reprise),
2007,
plexiglas,
câbles
électriques,
carton,
supports
en
pvc.
Reprise
du
néon
de
Claude
Lévêque
(1999).
3.
Let’s
just
imitate
the
real
until
we
find
a
better
one,
2009,
plexiglas
peint,
carton
plume
noir,
supports
acryliques,
câbles
électriques
et
prise
murale.
400x
200
cm.
Imagination
aveugle,
2011
plexiglas,
peinture
phosphorescente,
supports
acryliques,
silicone,
90x30
cm.
4.
Veille
d’écran
téléchargeable
«Everyday
ghosts»
réalisée
pour
la
revue
Hypertexte
n°3
http://www.projet-‐hypertexte.com/index.php?page=10_No3-‐Constantin&sommaire=s_no3
Interview
between
Guillaume
Constantin
and
François
Aubard
(excerpt
from
the
interview
conducted
in
Feb.-‐March,
2011)
François
Aubart:
Where
does
this
show's
title
comes
from?
Guillaume
Constantin:
It
was
a
newspaper
article
title
on
the
ash
cloud
caused
by
the
eruption
of
a
volcano
in
Iceland,
it
had
disrupted
the
air
traffic
over
Europe
between
April
and
May
2010.
This
is
the
kind
of
title
which
is
fabricated
with
'calculated
catastrophism',
with
a
near
anecdotical,
even
fictional
symbolism
that,
nevertheless,
remain
quite
evocative
and
mysterious
when
we
take
the
time
to
consider
it.
FA
:
Actually
I
feel
that
this
title
can
be
read
as
a
definition
of
your
work
since
a
cloud
is
something
for
which
movement
is
built-‐in
its
own
properties.
Furthermore,
a
cloud
is
also
a
'tag
cloud',
a
set
of
keywords
linked
and
scattered
to
compose
an
identity.
Moreover,
the
cloud
you
suggest
is
made
of
uncertainty
which
seems
to
me
close
to
your
way
of
operating.
Often
your
productions
become
patterns
that
you
reuse
in
different
contexts
and
can
be
thus
translated
from
one
material
to
another.
Is
this
a
reason
for
choosing
this
title?
GC:
A
cloud
is
something
quite
paradoxical.
It
is
not
easy
to
imagine
that
it
is
a
large
amount
of
water
suspended
in
the
atmosphere
and
prone
to
change
its
appearance
depending
on
the
circumstances.
So
this
is
something
seemingly
very
simple
but
is
actually
quite
complex.
This
changing
property
interests
me
very
much
indeed.
I
also
chose
this
title
for
the
dysfunctions
produced
by
this
ash
cloud,
as
a
metaphor
for
my
work:
a
practice
made
of
dysfunction,
fragility,
unbalance,
replete
with
direct
or
oblique
references
to
death,
for
example
a
black
on
black
replica
of
Ad
Reinhardt's
(1)
'Black
Paintings'
catalogue,
or
the
extinction
of
more
light,
a
Claude
Lévêque
neon
that
cites
Goethe
(2),
also
the
false
neons
that
do
not
work
(3),
and
the
series
'Everyday
Ghosts
(4).
I
agree
fully
with
your
idea
of
tag
cloud,
a
cloud
of
keywords,
it
seems
to
me
quite
fair,
since
what
I
do
are
combinations
of
elements
that
gravitate
together
and
connect
to
a
given
location
in
space
and
time.
You
mention
keywords,
I
might
add
'key
materials'
that
define
very
well
the
pattern
notion.
Materials
that
fit
together,
facing
each
other
but
not
always
in
a
controlled
manner.
My
practice
is
now
defined
much
more
by
this
notion
than
by
its
relation
to
fragility
or
over
death.
FA:
Can
you
clarify
what
you
mean
by
"key
materials"?
I'm
asking
this
question
since
some
of
them
come
back
regularly
as
patterns
or
objects.
This
applies
to
bed
sheets
or
stones
for
example.
What
kind
of
relationship
to
you
have
with
the
materials
and
objects
that
you
process
and
use?
GC:
From
my
point
of
view,
everything
is
a
material
and
thus
a
'key
material'
literally
'opens'
a
gateway
to
a
feeling,
a
notion,
an
idea.
It
may
be
a
specific
material
such
as
cork
insulation,
thermoformed
plastic,
or
Plexiglas
sticks
but
also
the
figurative
character
of
a
room,
its
'readability',
or
as
I
do
with
text
fragments
such
as
spams
of
quotes.
All
the
elements
form
a
kind
of
palette
in
which
I
draw
in
order
to
bring
forward
forms
and
proposals.
The
recurrent
patterns
that
you
mention,
such
as
draperies
or
rocks,
are
classical,
even
archaic
references
in
sculpture
that
I
enquire
and
divert
in
my
own
way.
That
induces
a
certain
reading
of
the
past,
the
tradition
and
a
play
with
it.
These
elements
collide
with
standard
industrial
and
chemical
materials
that
I
use.
(1)
'Print
in
black',
2008,
black
laser
print
on
black
Canson
paper,
28x20
(closed
format),
full
reproduction
of
Ad
Reinhard's
'Black
Paintings',
1970
(2)
'Plus
de
lumière
(retake)',
2007,
Plexiglas,
electrical
wires,
cardboard,
pvc
stands,
retake
of
Claude
Lévêque
neon,
1999.
(3)
'Let's
just
imitate
the
real
until
we
find
a
better
one',
2009,
painted
Plexiglas,
black
feather
cardboard,
phosphorescent
paint,
acrylic
stands,
silicone,
90x30cm
(4)
'Everyday
Ghosts',
downloadable
screensaver,
produced
for
the
Hypertexte
magazine,
n°3:
http://www.projet-‐hypertexte.com/index.php?page=10_No3-‐Constantin&sommaire=s_no3
(Translation
by
Samy
Da
Silva)
Curriculum
Vitae
Guillaume
CONSTANTIN
07/08/1974
EXPOSITIONS
PERSONNELLES
/
(sélection)
2011
UN
NUAGE
D’INCERTITUDES,
Galerie
Bertrand
Grimont,
Paris.
OF
OF
FOSSIL
OF,
Galerie
Bonneau-‐Samames,
Marseille.
2010
CE
SOIR
J’AVALE
avec
Arnaud
Rivière
et
Damien
Schultz,
DAF,
Nantes.
PATTERN
RECOGNITION
#4,
Chapelle
Saint
Gildas,
L’art
dans
les
Chapelles,
Bieuzy-‐
les-‐Eaux.
2009
COPIES
CACHÉES
hors-‐les-‐murs,
Parc
Saint
léger,
Pougues
les
Eaux.
LET’S
JUST
IMITATE
THE
REAL
UNTIL
WE
FIND
A
BETTER
ONE,
Galerie
Bonneau-‐
Samames,
Marseille.
2008
TOUTES
SORTES
D’OMISSIONS,
Ecole
Supérieure
d’Arts,
Lorient.
EXPOSITIONS
COLLECTIVES/
(sélection)
2011
DRAWING
NOW
PARIS,
salon
du
dessin
contemporain,
Carousel
du
Louvre,
Paris
UNE
CHAMBRE
EN
VILLE
commissariat
CODE
2.0
(Clément
Dirié
&
Laetitia
Chauvin),
Fondation
Bullukian,
Lyon.
2010
CARNETS
D’INSPIRATION
+
Musée
d’art
moderne
de
la
ville
de
Paris,
Paris.
LA
GAMME
PÉROUSE,
commissariat
Maxime
Thieffine
&
Alexandre
Ovize
Atelier
Lamarche-‐Ovize,
Aubervilliers.
CARGO
CULTE,
commissariat
Axelle
Banc
et
Tiphanie
Chateigné-‐Blanc
La
vitrine,
Paris.
LES
INTERLOCUTEURS,
commissariat
Mathilde
villeneuve
Printemps
de
Septembre
/
Palais
des
Arts,
Toulouse.
SUR
LA
TERRE
COMME
AU
CIEL…,
centre
d’art
contemporain,
Pontmain.
THÉORÈME,
Galerie
Bertrand
Grimont,
Paris.
DERRIÈRE
LA
FORME
/
DOUCES
COMBINAISONS,
commissariat
Colin
Champsaur,
Galerie
Bonneau-‐Samames,
Marseille
QUELLE
ÉNERGIE
METTONS-‐NOUS
À
TRANFORMER
LES
CHOSES,
AVEC
UN
PLAISIR
NON
DISSIMULÉ,
une
proposition
de
Rada
Boukova,
la
Générale
en
Manufacture,
Sèvres.
COLLÈGE
ROBINSON,
commissariat
Cécilia
Bécanovic
Ateliers
des
Arques.
INS
BLICKSFELD
GERÜCkT,
commissariat
Gaëlle
Boucand
&
francisca
würz,
Institut
français,
Berlin.
LES
BELLES
IMAGES
SECOND
SCÉNARIO,
commissariat
Céline
Poulin
&
Grégory
Castéra,
La
Box,
Bourges.
ESPÈCES
D’HYBRIDES,
une
proposition
du
Buy-‐Sellf
Art
Club,
40mcube,
Rennes.
2009
PLUS
RÉEL
QUE
L’HERBE
:
LES
CRATÈRES
DE
L’INFINI,
commissariat
Ernesto
Sartori,
ZOO
Galerie,
Nantes.
PLUS
RÉEL
QUE
L’hERBE
:
LOW
PROFILE,
HI-‐RESOLUTION
commissariat
Armand
Morin
ZOO
Galerie,
Nantes.
SLICK
ART
FAIR
2009,
Invitation
de
la
Galerie
Bertrand
Grimont
au
104,
Paris.
TOILET
ENCOUNTERS
#2,
Invitation
de
Charlie
jeffery,
Paris.
NOUS
NE
VIEILLIRONS
PAS
ENSEMBLE,
commissariat
Label
hypothèse,
galeries
Nuke/Bertrand
Grimont
/
la
Générale/
0fr
-‐
Paris.
ART
AThINA,
foire
d’Athènes,
Galerie
Bonneau-‐Samames
(Marseille).
RÉPERTOIRE
POUR
UNE
fORME
commissariat
M.villeneuve
La
vitrine,
Paris.
2008
PARADOXE
DU
TRÉSOR
...
/...
A
SPLIT
SINGLE,
avec
Raphaël
Zarka,
Interface,
Dijon.
Avec
Raphaël
Zarka
Cardenas-‐Bellanger,
Paris.
Une
invitation
de
Claude
Lévêque
frac
haute
Normandie,
Sotteville-‐Lès-‐Rouen.
PLAYTIME
A
DISTANCE
(BEHIND
THE
BACK
OF
R.DEACON)
,
Galerie
Bernard
Jordan,
Paris.
POWER
ON,
avec
Anthony
Duchêne
&
hugo
Schüwer-‐Boss
Le
13Bis,
Clermont-‐
Ferrand.
CE
QUI
REvIENT
une
exposition
de
françois
Aubart,
Galerie
ACDC,
Brest.
THE
WHITE
PATCH
HAD
BECOME
A
PLACE
OF
DARKNESS,
commissariat
G.Constantin.
619.jPG
XS
UN
VOYAGE
D’HIVER
CE
VOLUME
D’AIR
CONTENU,
La
Générale,
Paris.
2007
HORIZONS
SYNTHÉTIQUES,
RÉCURRENCES
DÉROBÉES,
commissariat
Mélanie
Bouteloup
&
Grégory
Castéra
Bétonsalon,
Paris.
2006
XS
PARIS,
commissariat
E.wetterwald,
Fondation
d’Entreprise
Ricard,
Paris.
10
SAISONS,
1996-‐2006,
Galerie
du
haut
Pavé,
Paris.
AVEC
LESQUELLES
J’EXERÇAIS
DANS
L’OMBRE,
Galerie
villa
des
Tourelles,
Nanterre,
Histoire
de
l’oeil,
Marseille,
Commissariat
l’Ambassade,
Appt
619,
Cité
Radieuse,
Marseille.
Commissariat
E.wetterwald
Espace
Mica,
St
Grégoire,
Rennes.
Avec
Raphaël
Zarka
une
invitation
de
Tripode,
Espace
Diderot,
Rezé/Nantes.
Commissariat
l’Ambassade
Mains
d’œuvres,
Saint
Ouen.
Cardenas
Bellanger,
Bruxelles.
commissariat
Raphaël
Zarka
Bétonsalon,
Paris.
2005
MEMOIRE
COLLECTIVE
SERENDIPITY
OU
LA
PRODUCTIVITÉ
DU
HASARD,
Console/Galerie
Frédèric
Giroux,
Paris.
2004
BUY-‐SELF,
Ateliers
d’Artistes,
Marseille.
PRINTROOM,
Het
wilde
weten,
Rotterdam,
Pays-‐Bas.
2003
DASEIN,
Ernst-‐Barlach
Museum,
hambourg.
2001
Centre
d’Art
Contemporain,
Pontmain.
SINCÈRES
FÉLICITATIONS,
Diplômés
en
2000,
Ensb-‐a,
Paris.
FORMATION
1999/2000
DNSAP
obtenu
à
l’ENSB-‐A,
Paris,
avec
les
‘félicitations
du
jury
‘
à
l’unanimité.
Atelier
Richard
DEACON.
1997/1999
DNSEP,
Ecole
Supérieure
d’Arts
d’Angers.
1994/1997
DNAP
obtenu
avec
mention,
Ecole
Supérieure
d’Arts
d’Angers.
ENSEIGNEMENT,
CONféRENCES
-‐
Enseignant
en
sculpture,
Parsons
Paris,
depuis
septembre
2008.
-‐
jury
DNAP,
ENSA
Limoges,
juin
2010.
-‐
Artiste
intervenant
dans
l’ARC
Paysage
avec
les
étudiants
l’ESA
de
Clermont–ferrand,
Sète,
novembre
2009.
-‐
Conférence
au
Crac
de
Sète,
novembre
2009.
-‐
jury
DNSEP,
ESA
Lorient,
juin
2009.
-‐
Conférence,
Collège
de
Dornes,
mai
2009.
-‐
Conférence,
Les
Arcades
Ecole
Municipale
d’arts,
Issy-‐Les-‐Moulineaux,
janvier
2009.
-‐
Présentation
de
la
Sonate
hoboken,
Séance
d’écoute
proposée
par
Grégory
Castéra,
Bétonsalon,
Paris
décembre
2008.
-‐
Conférence
et
visites
d’ateliers,
Ecole
Régionale
des
Beaux-‐Arts,
Rouen
octobre
2008.
-‐
Conférence
et
visites
d’ateliers,
Ecole
Supérieure
d’Arts,
Lorient
janvier
2008.
-‐
workshop
de
sculpture
(1ère
et
2ème
années),
faculté
d’arts
plastiques,
Université
de
Lille,
octobre
-‐
novembre
2007.
COMMISSARIAT
D’EXPOSITIONS
Depuis
2002,
programmation
arts
visuels
aux
Instants
Chavirés,
salle
de
concerts
dédiée
à
la
diffusion
des
musiques
improvisées
et
expérimentales
à
Montreuil
(93).
www.instantschavires.com
RIEN
À
vOIR
2002
-‐
2010
programmation
mensuelle
de
vidéos
d’artistes,
LIEUX
COMMUNS
2004
-‐
2007,
festival
arts
sonores,
concerts
et
arts
visuels,
CE
MOMENT
D’ATTENTE
de
Dominique
PETITGAND
(exposition
personnelle)
2008
lA
SPéCIfICITé
DES
SOLS
-‐
ART
GRANDEUR
NATURE
2008
(exposition
collective)
PAR
DES
RIGOLES,
DES
CANAUX,
LA
fORME
EST
CONDUCTRICE
2009
(exposition
collective)
L’éTAT
DE
SURfACE
2010
(exposition
collective)
RÉSIDENCES
Collège
Robinson
(commissariat
C.
Bécanovic)
Ateliers
des
Arques,
2010
Immanence
Paris-‐Berlin
,
2008
Atelier/Résidence
Astérides,
Marseille
2007
‘Corps
et
biens’
Chapelle
St
Eman,
Chartres
2003
Centre
d’Art
Contemporain,
Pontmain
2001
BOURSES
Aide
individuelle
à
la
création,
Drac
Ile-‐de-‐france,
2009
Aide
de
la
ville
de
Paris,
département
l’Art
dans
la
ville,
2008
PUBLICATIONS
«HYPERTEXTE
#3
Des
fantômes
à
l’oeuvre»
éditions
Ed
Spector,
2010
«Une
forme
pour
toute
action»
notices
de
Mathilde
vILLENEUvE,
Printemps
de
septembre,
2010
«Nous
ne
vieillirons
pas
ensemble»
catalogue
collectif
texte
de
C.
ALANDETE
2010
«
L’art
dans
les
chapelles»
texte
de
Pl
CONSTANTIN
2010
«
BOOK»
projet
collectif
éditions
Lendroit
2008
‘the
white
patch
had
become
a
place
of
darkness’
Galerie
hO
-‐
histoire
de
l’oeil,
Marseille
2008
“10
saisons
–
1996/2006”
Galerie
du
haut-‐Pavé,
texte
de
Maxime
THIEFFINE
2007
“Rond-‐points
de
Novembre”,
CAPI,
Saumur
2007
“l’excuse
du
vide”
publication
numérique,
résidence
chez
Astérides,
Marseille
2007
“Nos
amours
de
vacances”
catalogue
de
l’exposition,
texte
de
Cecilia
BECANOVIC
2006.
“Memoire
Collective”
Catalogue
de
l’exposition,
texte
de
Richard
DEACON
2005.
Catalogue
‘Buy-‐Sellf
n°4»,
2004.
‘résidence
2001’,
Centre
d’Art
Contemporain,
Pontmain,
texte
de
Pierre
GIQUEL
2001.
‘sincères
félicitations’,
Diplômés
en
2000,
Ensb-‐a,
Paris,
texte
d’Anne
TRONCHE
2001.
Remerciements
à
François
Aubard,
Samy
da
Silva
et
à
la
Direction
Régionale
des
Affaires
Culturelles
d’Ile
de
France.
Photographies
Aurélien
Mole.