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Paranormal e Ovnis « Mystéres e Dossiers secrets SE RCH A a6 des sectes lina aaa a owe e Vd cary au Brésil a C=C Ol FACTEUR X... i im 96 - 20,00 F mi UII YO urant les années 1970, les autorités brési- liennes entegistrérent une multitude de témoignages attestant de Ia visite régu- sem litre d’ovnis dans le ciel des Etats de Para et de Maranhao, Dans cette vaste zone au nord~ est du Brésil, plus grande que Etat de Californie, ce furent des centaines de milliers de personnes ui affirmérent avoir vu téguliérement des objets volants et beaucoup d’entre eux prétendaient méme avoir été la cible de leurs rayons lumineux. Certains racontaient aussi qu’ils avaient été pour- vis par des boules tumineuses qui, en les frap- pant, Ieur faisaient perdre conscience et leur lais- saient d’étranges blessures. Les autorités brésiliennes ne purent garder longtemps secréte cette vague de visites mysté- rieuses et, rapidement, de nombreux ufologues sillonnérent les routes isolées de la région. Ayant délibérément citconscrt leur enquéte au triangle formé par les cités de Belem, Teresina et la ville cétiére de Sao Luis of avaient été apergus le plus grand nombre d’engins, ils apprirent par les autochtones que ces derniers avaient deja regu la visite d’enquéteurs de l'armée brésilienne. ETRANGE OPERATION Les multiples demandes offcielles (comme offi- cieuses) éat-major militaire brésilien restérent sans réponse. Et, a chaque interview d'une per sonnalité, personne ne confirmait, ni ne démen- tat es affirmations selon lesquelles P'armée sinté ressait de prés a la question des ovnis. C'est Venquéte d’Ademar José Gevaerd, un des meilleurs ufologues du Brési, qui permit d’éclair- cir la question. Il obtint une interview exclusive un colonel de V'armée de Pair Lorsque Gevaerd rencontra, chez lui, le colo- ‘nel Uyrange Hollanda, depuis peu a la retraite, il apprit dés le début de entretien qu'il avait en face de lui le chef de 'équipe chargée d’enquéter sur les prétendues attaques extraterrestres. Bapti- sée «Opération soucoupe volantes, cette mission top-secréte, initialement fixée & trois mois, avait commence en septembre 1977 a la demande des autorités de PEtat qui s'inguiétaient des témoi- gages faisant état d’attaques ré ear eu UNE DES PLUS INCROYABLES AFFAIRES D/OVNIS DES 50 DERNIERES ANNEES EST BRESILIENNE. C’EST LA, QU’A LA FIN DES ANNEES 1970, UNE EQUIPE PUN eee Mem cl D’ENQUETER SUR UNE SERIE D’ATTAQUES D’OVNIS SUR DES CIVILS. Les autorités avaient envoyé des équipes de médecins pour examiner les victimes et elles avaient été tellement troublées par leurs décou- vertes qu’elles insistérent pour que Parmée de air entre en action. Vu la fréquence inouie des attaques, on ordonna au colonel Hollanda, qui était en poste au quartier général du COMAR (Commande- ment du premier district de P'armée de Pair) & Belem, de prendre la téte d'une équipe pour enquéter dans la jungle. Selon le récit de Hollanda Iui-méme, Péquipe était composée d’environ qua- rante hommes, a Ia fois des militares et des scien tifiques civls,biologistes, médecins, physiciens et chimistes, Hollanda avait ordre de recueillir les témoignages des villageois, de déterminer quelle Grait la source des attaques et dentegistrer toute activité en utilisant un équipement photogra- phique spécial. A Yen croire, il aurait aussi recu ordre d'essayer de se mettre en contact avec les agresseurs pour connaitre leurs objectifs. ‘A Cet ovni, photographie ‘ou-dessus du Brésll ‘en 1977, est un des nombreux engine opersus av-dessus du pays lors d'une intense vague 'opparitions d’evnis. Une fois agrandie (en vignette), Yimoge rmontreindiscutoblement ‘une soucoupe volante dassique. STELaA) pa ee ee On ‘Au cours de sa rencontre avec Hollanda, Gevaerd découvrit que la plupart des activites de POpération soucoupe s'étaient concentrées autour de Tile de Colares, juste au nord de Belem, pparce que c'est la que Pactivité des ovnis était la plus grande. Le soir, l'équipe examinait le ciel en esperant filmer le passage d'un ovni. ‘Dans les premiéres semaines, "équipe de Hol- Tanda observa des ovnis tous les deux ou trois jours. Rapportant les propos de Hollands, Gevaerd raconte: «Ils voyaient des boules lumi- neuses ainsi que de grands engins aux formes clai- rement visibles passer juste au-dessus de leurs tes. Ces boules ne les attaquaient pas, mais elles commencérent 4 se rapprocher de plus en plus prés. Comme si c'était le phénoméne qui les bservait, bien plus qu’eux ne 'observaient.» Par pedal CUO Oe ce Lg Ce es Peete eRe er at cree ee eens Un des cos les plus extraordinaires relevés par Pratt est celui Carer Leet ee ey ee Read Pre eared eee pecs dun coup et je me sus sent comme si je venais de receveir tune déchargo électrique. J'ai alors perdu conn: 3 Bogea affirme que, lorsqu'l est revenu lui 0 PPI ane US Seer ear catey 37 \\/TT - 24:30/22:30 4. COLAR LAT OO' S240" S Pendant ce temps, les attaques sur les chas- seurs et les pécheurs de a région continuaient. Les témoignages oculaies fisaient état de divers objets comme des ovnis de modéle cylindrique, appelés camburoes par les villageois, dont les puis- sents rayons lumineux balaaient le so. Le témoin Joao de Brito raconte qu'un de ses amis a été atiaque: Ila eu Timpression que la Jumiéze pesait sur son corps evil a senti toutes ses forces Pabendonner. I était sir quilalat mourt La chose volante avait la forme dun eylindre et i pouvaitentendre les voix qui en provenaient par- Jerdans une langue inconnue... Elle Pa leissé sans forces etil a ater Phépital!» A L/ABRI DE LA TEMPETE Les gens de la région racontérent & Hollanda que lorsqu'ls essayaient d’échapper aux rayons Iumi- neux en s‘abritant dans leurs maisons, ils s'aper~ ccevaient avec horrcur que ces rayons traversaient les murs et les toits, Alors, les habitants se regrou- paient autour de grands feux qu’lls allumaient au bord de a riviére. Au début, cela sembla dissuader les attaques, mais, aprés quelques semaines, elles reprirent comme auperavant, Lorsque les enquéteurs de Hollanda sillonné- rent la région, ils découvrirent qu’au plus fort de la panique créée par les ovnis, la plupart des habi tants de Pe de Colares s’ étaient enfuis,terorisés, Wellaide Cecin, le docteur de I , Faconta qu'il avait examiné trente-cing patients gravement blessés par les attaques. Les personnes qui avaient & frappées par les rayons lumineux présentaient toute une série de symptmes étranges, tels qu’un noircissement de la peau, des pertes de cheveux, des taches rouges, des paralysies, des eremble- ments, de Panémie, et des traces de pigires. Tous acontaient avoir été frappés par un rayon d’éner- 19:00 WR ~1LHA DE ee. Ren pn ode aL Ae a

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