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Le'principe de contradiction. I] est le point de départ de
Ja critique. ‘Les philosophes modernes
la conscience pure ou de la p
tant que telle doit atteindre
quent une coextensivité entre
parlent toujours de
ensée pure comme de ce qui en
ltobjet. Ils cherchent par consé-
ce ensée pure dépourvue
tt;
dlobjet,et lfobjet, et ils veulens’Beete pensée formellenent
envisage comme pure,i.e, tide dlobjet,atteigne l'objet.
z,Respondeo vero dicendum quod il existe une double coextensi-
vité entre notre intelligence et l'étre, et cette double
coextensivité est donnée immédiatement dans le principe de
contradiction. Primo,coextensivité absolue entre l'étre et
je non-étre,car l'opposition est est absolument universelle.
Vide JP,II,609a26 et sq. Secundo,coextensivité entre étre et
intelligence; et cette coextensivité iterumxdupiexceskx
duo implicat: coextensivité & 1'étre et coextensivité au
non-8tre. Attendas vero,noyitie: elle se rapporte A i'étre
comme ens naturee; au non-étre comme A ens rationis. Cette
différence est imnédiatement perque: car le nongetre est
imédiatement conmu comme "impossible d'étret, et dtautre
part comme objet de pensée. A.v. i] est donné dtune part
un objet qui est impossibilité de non-étre, et un objet
gui est impossibilité dtétre. Bt ici maniféstetur tout de
suite la nature de notre intelligence laquelle, dépourvue
de 1'éns naturee comme objet,est absolument tabula rasa.
st perce que ltinteliigence ntest pas son objet, et qutelle
je dit dans le principe de contradiction par le fait dtixken-
tute d'y introduire un objet de pensée cui est donné comme
Ampossibilité d'étre, elle maintient cette distinction en
Snonecant dens le premier petaéiple tout de liétre et le
yide de ls pensée pure.A.y. Je consis le nonéétre comme
impossibilité a'étre en méme temps que comme objet de pensée
seulement. Donc,le pensée dépourvue de 1'étre comme objet,
se trouve devant le vide a'étre,
le premier principe,A la fois 1
et sa propre potentialité pure.
ligence n'e pas pour cela d'une
Done l'intelligence volt dans |
universalité absolue de 1'étre
Ajoutons du reste que 1!intes
part un objet qui est et ung
gbjgt oud nest pas d'autre part en ce sens quiils seraient
indépendants l'un de l'autre: l'objet étre de raison est
postéricur & l'étre & deux points de vue: il est le négation
ge itétre, et il est constitué come objet ad instar entiss
Roxrgskmy L'étre au contraire n'est pas conmu come fondé sur
se négation.tandis que le non-étre ntest connmu que comme
fondé sur 1'étre en méme temps gus gutobjet de pensée seulement,
On peut voir ici liorigine de le confusion entre l'ordre
logigque et ltordre de i'étre, et aussi la fausseté de la
maniére dont on pose le problime de la connaissancesitem, mx
fausxekéxiz l'erreur de ceux cui donnent la priorite 4 14
guestion du vrai et du faux(aéja Platon), au lieu de ltaccorder
& celle de l'étre et au non-étre; & celle de la contrad. su
quia celle de le contrariété.Devunbtete entis, “et ‘priticipio contradictionis.:
atidentité. étaitIe premier. on aurait. une.-conndissance ‘;,:
purement. affirmative del
L pas:
besoin de passer. par ‘1a négation. Item,si, liunité.de:.1!étre’
était établi sur le multi
muxduzitunites ser:
tunité ‘de. L!étre il nly: aumait:’pa:
ple. dans .1'étre,1la- connaissance: tm