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- Yve Menie, Politique Comparée (ressemble au droit strat mais violet): très
descriptif, infos très riche et actualisée.
- Les démocraties occidentales, Hans Spetter, Kriesi (chez economica, ancien
1994). Plus problématique, rend compte d'un nombre de dynamique de
manière relativement fine.
- Bertrand Badie et Guy Hermet, la politique comparé chez Armand Colin.
2001. – Ouvrage le plus sophistiqué sur le plan théorique.
Comparer est spécifier, confronter et classer ce que l'on étudie dans le but de
parvenir a une généralisation. C'est rechercher des singularités et des points commun
qu'on essaye ainsi de mieux expliquer. C'est comprendre les dynamiques, l'histoire des
phénomènes sociaux, caractériser les formes provisoirement adoptée par ces derniers.
La science politique s'est constituer autour de cette méthode et les travaux
comparatif forment aujourd'hui une part importante des analyses conduite sur la
diversité des phénomènes sociaux politiques.
A. La crise du comparatisme
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La méthode comparée est rentrée en crise dans les années 60s du fait que des
nombreux nouveaux états vont intervenir dans la scène politique internationale. Ces
nouveaux états vont avoir des caractéristiques qui vont ne plus représenter l'œuvre
définit par le model occidental.
Quand on commence a se dire qu'il ne s'agit plus de comparer le parlement
français avec le parlement britannique, mais français/égyptien, vie politique
britannique, avec vie politique Burkina Faso – les différences sembles bien trop
importante pour qu'elles bénéficient a la science politique. Si on compare la cour
constitutionnel marocaine, et la cour suprême des USA, est-ce que ca peut réellement
servir?
La théorie du developementalisme avait pour ambition de sauver la méthode
comparée. L'argument de cette théorie était simple, il stipulait que si la comparaison
entre les sociétés extra-occidental était difficile a mettre en œuvre il était plus efficace
de postuler que les conditions présentées du fonctionnement étaient finalement
comparables, proche du mode de fonctionnement qu'avait connu les sociétés
occidental historiquement. Il s'agissait juste d'un léger retard.
Robert Dahl considère la polyarchie (la forme moderne de la démocratie). Pour
lui c'est les USA des années 60/70s. Robert Dahl considère qu'il s'agit de comparer
toutes les sociétés et il calculait un certain nombre d'indicateur. Il considérait aussi le
niveau d'éducation comme indicateur. Plus le PNB était élevé plus la modernité
politique était en mesure d'être atteinte.
Parmi ces théoriciens du developementalisme Karl Dutsch et Daniel Lerner vont
procéder par comparaison de niveau de mobilisation sociale. Cela est le degré de
déliquescence des allégeances communautaires traditionnelles, les liens au sein des
ethnies, au sein des villages, familiaux. C'est la destruction de ces liens qui permet de
construire de nouveaux liens autour de l'état; plus ces premières allégeance sont
détruit plus la modernité est atteinte.
Les développementalistes faisaient échos a une théorie universel, toutes les
sociétés changent, vers une modernité unique uniforme assimilable a l'état
démocratique occidental. Dans les années 60, la théorie développementaliste a eu un
succès énorme car il a été utilisé pour légitimer l'aide au tiers monde. Cela a permit
l'importation massive de model occidentaux au sein de pays en voie de
développement. Ca légitimise le pouvoir du prince dans les pays en voie de
développement avec l'idée que pour moderniser un certain nombre de ces pays il
fallait passer par la voie du régime autoritaire qui permettait de mobiliser
suffisamment de ressources pour rattraper les retards dans le développement de ces
pays.
On voit ainsi les dangers du developementalisme. Les différences sont considérées
comme des archaïsmes qu'il faut éradiquer par rapport au model unique du
développement unique. Hors toute les différences qu'on peut identifier ne peuvent se
déduire a des retards ou avancée différentes sur une ligne unique du développement.
Il se pourrait ainsi que la théorie développementaliste ai en fait accélérer le
mouvement de crise de la méthode de comparaison.
B. Le problème de l'universalisme
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Le developementalisme considère que l'on peut identifier du politique de manière
identique dans toutes les sociétés contemporaine, et que lorsqu'on parle de politique
autour d'un concept comme la légitimité de pouvoir on fait l'hypothèse de mécanisme
fondamentalement identique aux démocraties occidentales.
Il ne peut pas y'avoir une science de politique comparée sans un certain nombre de
concept applicable a l'ensemble des situations politiques. La culture des sociétés
n'interviendrai pas de façon significative dans les catégories d'analyses qui permettent
la création des ordres politiques.
Hors ce postulat est totalement discutable dans le sens que le politique ne recouvre
pas la même chose d'une société a une autre. Les pratiques politiques ont tendance a
se diversifier au fur a mesure de l'histoire. A mesure que ces états ont construit leurs
vies politiques des processus irréductibles sont apparus. On a mis en évidence des
mécanismes d'hybridation des pratiques politique qui ne répond pas aux conditions
d'un model universel de développement. On s'organise de plus en plus par rapport a la
spécificité de la pratique politique.
L'échec en Afrique et en Asie du model occidental. C'est un retour de
l'anthropologie politique qui va mettre l'accent sur la grande diversité des
scènes/cultures politiques.
Sur la base de la vaste déconstruction, ou du comparatisme, c'est bien la définition
même du politique qui a fini par poser problème; est-il raisonnable de fonder une
science politique sur une définition du politique tellement extensive qu'elle peut
s'appliquer a toutes les sociétés contemporaines?
On compare dorénavant des modes de définition du politique. Si on définit des
concepts de manière relativement abstraite, dégagée de leur contexte spécifique, on
peut miser que certain de ces concept peuvent être utilisés comme mode de
comparaison d'une société a une autre.
On peut penser que les concept de centre politique ou de périphérie, de
mobilisation, d'obligation, de domination politique, les concepts de norme sont autant
de concept qui peuvent permettre de répondre a cette crise de l'universalisme. Il
y'aurai donc des phénomènes sociaux et politique qui transcenderai des cultures qui
serait universel, et d'autre qui auraient qu'une valeur locale située dans tel ou tel
société.
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La spécificité première des société occidentales est l'état moderne. Un espace
social différencié au sein de la société avec ses règles propres fonctionnant avec des
acteurs spécialisé dans la politique.
Le propre de l'état c'est le control de moyen de coercition, police extérieure et
intérieure. Weber: l'état est une organisation politique qui gouverne dans un territoire
donnée et est capable de mobiliser des moyens coercitifs afin de pouvoir s'imposer.
L'une des spécificités de l'état, c'est que ses organes fixent les règles du jeu pour
toutes les autres organisations sociales au sein d'un territoire donné.
Ce serai sur la base du développement de l'état qu'on peut identifier une
identité entre les 5 démocratie qu'on va étudier. Il y'a un même phénomène de
centralisation politique, il y'a aussi des différences dans le processus de construction.
L'état fort, c'est le model français, l'état faible, le model de l'UK ou USA. Nous avons
a la foi des caractéristiques commune dans le processus de centralisation, mais y'a
quand même des divergences.
L'une des théorisations les plus courantes, et les plus heuristiques en science
politique, est de considérer cette sphère politique autonome comme un système dont
les différents éléments seraient liées les un au autre dans un environnement
d'interaction.
L'état ne se confond pas entièrement avec le système politique. Il y'a un des
éléments comme le pouvoir militaire qui n'appartient pas au système politique. Les
appareils de l'état inclus dans le système politique sont les trois pouvoirs classiques,
législatif exécutif et judiciaire (interrogation sur le dernier). Le système politique est
constitué par toutes les actions et tout les acteurs qui participent a la mise en œuvre de
la politique.
On trouve surtout deux types d'organisation, les partis politiques d'une part, et
les groupes d'intérêt d'autre part (lobbies, syndicats, associations), ces derniers font
guise d'intermédiaire entre le citoyen et le système central avec les acteurs centraux
participant directement a la politique.
Dans chaque société des groupes de citoyen ne sont pas représenté de manière
adéquate, et n'ont pas accès a ce système politique, ils constituent des potentiels
contestataires qui peuvent se mobiliser par un mouvement sociale lorsque une
opportunité politique se présente. Les actions contestataires ne s'orientent pas
exclusivement vers les autorités politiques, mais elles sont toujours des défis lancée a
ces autorités.
On oppose les modèles synchroniques, qui ont pour but de décrire un état du
system a un moment donnée, au model diachronique qui décrivent le développement
historique des systèmes en donnant de la profondeur. Il faut essayer de marier les
deux types de modèles.
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l'action met l'accent sur la volonté des acteurs et la possibilité d'accomplir des action
par leur volonté.
Giddens essaye de parvenir a une synthèse entre ces deux paradigme autour de
la théorie de la structuration. Les structures sociales se reproduisent a travers les
actions individuels des membres de la société. Il n'existe pas d'extériorité de la société
par rapport a la structure sociale.
Skocpol, insiste sur l'idée que les acteurs n'exécuteraient que les lois de
l'histoire, que les révolutions ne sont pas faites, elles viennent. La société devient un
monstre qui définit tout les événements politiques, et notamment les révolutions
sociales.
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En 1450 l'Europe été prête a la création d'un monde capitaliste. A partir de ce
moment une division du travail fonctionnel, géographique, économique sur le plan
mondial s'est développée, entre un centre, une périphérie, et une semi-périphérie au
long 16eme siècle.
Le capitalisme moderne serait né dans le centre, avec tous ses éléments CAD
mécanisme de libre circulation des marchandises, une production spécialisée, le
perfectionnement du système bancaire. L'agriculture s'est faite avec des formes
nouvelles, et a formée la base de l'économie du centre; spécialisation de l'élevage
intensif –des Etats de la périphérie développement l'approvisionnement en blé du
centre.
Le centre se développait grâce a l'exploitation du travail agricole des régions
périphérique, et la domination du centre sur les régions périphérique était assurée par
le mécanisme de l'économie marchande, l'enrichissement des classes dominante des
personnes du centre.
Certains états du centre vont se trouver progressivement bouger ver la
périphérie, tel l'Italie, le sud de la France, l'Espagne –et font partie de la semi-
périphérie.
Wallerstein met en évidence une structure économique au niveau mondial entre
ce centre qui a une production sophistiquée ou né une forme embryonnaire du
capitalisme, et une périphérie fonctionnant sur la base de la propriété foncière
produisant du blé pour le centre. Il y'aurai un lien étroit entre la place d'un état dans
l'économie mondial et le type d'état qui se développe en son sein.
Ils ont été mis en évidence par deux auteurs français ; Bertrand Badie, et
Biernbaum. Ils ont remarqué que Wallerstein a oublié d'admettre que les facteurs
politiques rentrent en jeu dans le développement de ce type d'état. Ils contestent l'idée
que l'état aurait aidé le développement du capitalisme, c'est plutôt l'agent protecteur
de la société rural et féodale; pas celui de la classe élitiste.
A mesure que l'état français va être renforcé, il va mettre en place une politique
d'intervention qui va chercher a développer pour son compte l'appareil de production
économique en développant des structure bureaucratique pour intervenir dans le
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monde politique. L'absolutisme royal control un certain nombre de domaine
économique, par ex. il possède l'exploitation de la poudre pour ses besoins militaire.
L'état va essayer de prévenir des mouvements qui vont essayer de fissurer la
structure sociale en place; favoriser la domination de l'ancienne classe féodale, et la
rendre la principal bénéficiaire – un état qui ne serait pas le défenseur de la classe
marchande naissante.
Ils constatent que le développement des structures étatique était moins net dans
les sociétés qui se sont développées le plus précocement, que dans celles qui
formaient leur immédiate périphérie. Au Pays Bas ne s'est jamais développée d'état
fort, ni en UK, mais l'état a été dirigée par une caste oligarchique sans structure
bureaucratique spécialisée - pas d'état fort au centre du system monde.
Ils essayent de mettre en évidence l'idée que le développement d'un état fort est
lié au fait de société dans lequel le système féodale s'est imposé de manière
contraignante et non pas au développement du capitalisme. Ce serai la crise du
féodalisme du a la monétarisation de l'économie qui aurait participé a la dislocation de
cette structure féodale traditionnel, autorisant la forme alternative de control sur les
masses paysannes.
En France et dans les sociétés féodales de l'est de l'Europe, l'état se serait imposé
progressivement dans des interstices laissés libre par le féodalisme. En opposition a
ces structures féodales contraignante la société civil se serait organisée de sorte a
suppléer la dislocation du model féodale (UK et Hollande).
Ces Etats auraient intégrée leur population au sein de la société politique sans
avoir créé de structure différenciée autonome, propre a l'état moderne. C'est donc dans
ces sociétés que se serait développée l'état a institution autonome et coercitif.
L'état moderne aurait dépossédée l'aristocratie de ses pouvoirs politiques
traditionnels en reprenant à son compte les fonctions coercitive que remplissait cette
aristocratie face aux paysans.
Néanmoins il va protéger la classe noble de sorte que Badie et Biernbaum se
différencient de Wallerstein, en disant que l'état n'a jamais soutenu la bourgeoisie
commerçante. L'état a d'abord contribuée a soutenir la classe noble, parce qu'il a
contribuée a instituer la propriété privée, la rendant absolu, la domination des noble
sur leur terre…
Cet état a aussi contribuée a développer des éléments coercitif pour mater les
luttes paysanne. L'état en développant ses intérêts sur le plan de mécanisme
économique, et bureaucratique, a aidée la noblesse. L'état aura du composée avec la
société civil.
L'état ne s'est jamais imposée comme centre de tentions, mais que des le
départ, l'état joue le jeu de la noblesse traditionnel, de grande mesure. Elle est évacuée
de la domination politique. Dans ses modèles, l'état est confrontée a l'état civil qui
sera instituée a l'institution parlementaire naissante. Ce n'est que tardivement que ces
états vont parvenir a se faire reconnaitre un rôle de représentation de la nation.
Selon Badie et Biernbaum c'est pour lutter contre les luttes paysannes que
l'état aurai affirmé son pouvoir et s'est particulièrement développé. C'est dans les
sociétés ou l'état aurait rencontré les résistances les plus importante, que l'état aurai
développé les structures coercitives les plus différenciées, comme l'UK ou la
Hollande.
Ils proposent une causalité contraire a celle de Wallerstein autour de l'idée que
ce serai dans les sociétés qui ont connu le développement des formes de capitalisme le
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plus moderne, le plus tardif que les formes les plus différenciées de l'état serai né et
aurait émergé. Seuls les états faibles se seraient développée en fin de compte.
Charles Tilly ; c'est le renforcement des capacités militaire de l'état qui serai à
l'origine des états nations.
Selon lui, les états nations sont des sous produits de la guerre. Il donne 5
raisons théoriques pour expliquer ce paradoxe qui ferai de la guerre le principe de la
pacification interne au sein des sociétés de l'Europe occidentale.
4. les participants directe a cet effort de guerre ont revendiquée des droits
politique, et ainsi l'intégration politique des nation se serait agrée par les
promesses faite par le pouvoir politique pour mobiliser ces masses.
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de l'état augmente sous la pression de l'effort de guerre, poids qui se stabilise après la
guerre au niveau le plus élevée nécessitée par la guerre.
Il faut prendre en compte les ressources que les centres politiques ont été
susceptible de mobiliser pour parvenir a l'avènement de l'état occidental moderne. Il
semble néanmoins que les états modernes sont le fruit de la société féodale.
Les carolingiens ont commencée a concéder les bénéfices d'une terre a des nobles en
échange de leur service armée et leur fidélité. Ils disposent de guerriers nombreux, les
vassaux pouvaient a leur tour concédait une partie de cette terre a leur vassaux en
échange de leur fidélité et service armée.
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pouvoir. Ce dernier permet de répondre a la nécessite de maitriser le territoire a
l'intérieure et a l'extérieure.
A l'intérieure les carolingiens ont crus pouvoir ainsi renforcer leur pouvoir sur un
territoire étendu. Y'a eu succès de cette forme politique car la sécurité fut la
préoccupation principale des hommes libres, étant dans une période troublée par les
guerres et les invasions barbares qui nécessitent la possibilité d'une réponse efficace.
Progressivement, il devient coutume qu'un vassal qui a bien respecter les termes du
contrat de vassalité ait la possibilité transmettre son bénéfice a son fils. Cette pratique
va avoir tendance a se développer a la fin du 9eme siècle – c'était une manière de
consolidée les liens avec le seigneur, bien que les liens peuvent être de plus en plus
fragile. Ca deviendra d'une féodalité de bénéfice à une féodalité de fief, un système
ou les vassaux deviennent les propriétaire de plein droit de leurs fiefs, bien qu'a un
premier temps ils ne l'étaient pas.
Charles le Chauve dans une ordonnance royale de Quierzy sur l'Oise, 877, le
vassal possède la pleine propriété de son fief, alors la politique suivi par les rois
carolingien n'a pas produit les liens qui étaient censée unir le roi par ses sujets en cas
de conflits entre les devoirs envers le roi/seigneur.
Puisque les liens du serment vassalique sont plus forts, le pouvoir du roi va
s'étioler au profit des vassaux, les vassaux royaux vont tenter de se rendre
indépendant.
- Il y'a une confusion des fonctions entre une même personne, le seigneur est
grand propriétaire, chef des guerriers, juge, arbitre entre vassaux, il est
protecteur des prêtres qui sont sur son domaine. (indifférenciation sociale).
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autorité militaire. Il doit discuter au cas par cas ses alliances militaires
au cas où il voudrait rallier ses ressources armées.
La sortie de la féodalité
Il y'a l'apparition d'un marché de produit de luxe couteux, qui nourri l'appétit des
seigneur les plus fortunée – ils veulent plus de territoire.
Cette est caractérisée par l'incertitude du déroulement, dont l'issue est toujours
incertaine. Les jeux d'alliance et les hasards de la descendance jouent un rôle
important dans l'élimination de concurrents; ainsi on va assister a l'élimination des
maisons ou des concurrents des unités politiques les moins importantes au profit des
unités les plus importantes. Petit a petit, c'est la guerre des titans. Des terrains
deviennent plus large, il y'a une constitution progressive d'état sous la forme d'état
absolu, absolutisme royale.
C'est la construction du royaume de France qui constitue l'exemple sur lequel
s'appuie Elias comme construction de l'état moderne. Les grandes familles s'affrontent
en jouant leur suprématie (maison de Flandre, de Normandie, du Maine, Blois, de la
Plantagenet (prendront l'Angleterre et l'Aquitaine, et menacer les rois de France
jusqu'au 14eme siècle)). Si les capétiens n'auraient pas pu prendre le pouvoir central
des le début, une autre famille l'aurait pris. Elias développe l'idée que Malgré tout le
rois avait des ressources qu'il pouvait utiliser pour réussir a s'imposer aux autres
maisons, aussi puissantes que lui.
Le titre de roi lui vaut le soutient de l'église, donc d'une certaine bureaucratie
ecclésiastique. Le succès du roi est du a un facteur seulement économique,
indépendant de la puissance royale elle même, car du 10eme au 14eme siècle, on est
dans une période d'essor économique qui permet le développement de l'agriculture et
l'apparition d'une nouvelle classe urbaine de bourgeois: commerçants.
Ces derniers vont offrir des auxiliaires a la monarchie sur le plan humain et
économique. Puis sur une partie de l'avant-garde bourgeoise recrutée sur la base de
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leur aptitude a la gestion du domaine. Si le roi s'est appuyer sur ces bourgeois
enrichis, c'est car on trouvait la des soutient soumis a leur pouvoir.
Cet essor économique met en place une contestation de la noblesse, au profit
du roi, qui va aussi profiter des rentrées fiscales importantes que permet le
développement de cette bourgeoisie urbaine enrichi.
Dernière série de combat décisif au 14eme siècle avec les dernières maisons
concurrente ; on rentre dans une phase différente a la précédente selon Elias, on est
plus entre rivaux d'un autre sang, mais entre adversaire sont des proches. C'est par ce
dernier genre de combat que l'état se finalise ; il détruit définitivement les derniers
restes du système féodal. Le résultat de ces nombreuses actions est la monarchie
absolue, bien que ce fût un effet non voulu de leurs actions. L'état absolu s'est imposé
contre des modèles alternatifs moins centralisé.
Ex. un réseau de cité-état autonome, la permanence du système féodal, la constitution
d'empire; De ce point de vue la sortie de la féodalité a produit d'autre forme d'organisation politique
que l'état. Les luttes entre les princes en Europe centrale, ne conduisent pas a la construction de
royaume stable et centralisée (ex. Italie). La solution alternative d'un vaste empire a été voué a l'échec
car le territoire sur lequel le saint empire a tenté de bâtir un empire était trop vaste pour une
domination politique. Les empereurs qui ont tente cet empire ont été concurrencé par le pouvoir de la
papauté, avec des conflits interminables avec Rome.
Les constructeurs d'empire n'ont pas su maitriser les alliances entre prince et territoires. La
faiblesse principal été le manque de ressources financière pour construire une administration forte
consolidée autour de ce centre. On considère que la tentative d'un centre politique, la plus notable,
était celle de la maison des Habsbourg, avec l'empereur Charlequin – car ce dernier possédait des
ressources formidables, (Espagne, Italie du nord, une partie de la Flandre), mais ses possession étaient
discontinue sur le plan géographique et dispersée. Il n'a pu constituer une armée et une administration
indépendante capable de centraliser le pouvoir au sein de cette espace extrêmement large. En fait la
taille de l'unité politique est un facteur décisif pour constituer un état et un centre politique.
On considère ainsi que l'UK avait des dimensions réduites, et son insularité a
donné moins de nécessité de construire une défense performante de sorte qu'elle aurait
remplit objectivement les conditions pour optimiser l'exercice de la souveraineté, et
pour optimiser la construction d'une armée d'un état contraignant. La France avait
besoins d'une pression fiscale plus contraignante, pour préserver l'unité malgré sa
grande taille. On verra la création d'une bourgeoisie enrichi par le commerce élargie
avenue par la dislocation de la féodalité.
En UK, la sortie de la féodalité est faite différemment avec la conquête de
Guillaume de Normandie. L'autorité des seigneurs est directement reconnu pour de
nombreuse raisons; elles maintiennent les coutumes Anglo-Saxonne et assurent des le
départ un système d'auto gouvernement sur la base de domination de la bourgeoisie et
de la noblesse.
Au lieu de constituer une administration forte et décentralisée, le centre
politique va utiliser les services d'agents non spécialisée dans sa construction,
notamment de l'aristocratie et une bourgeoisie enrichi et assimilée – de sorte que de
manière général en UK, les notables de province participe au niveau local.
Il y'a eu l'hypothèse d'une taille optimale dans la construction des états, illustrée par l'empire romain,
et Anglais. L'Angleterre aurait la taille optimale pour parvenir a la construction d'un état, le saint
empire aurait une taille trop grande.
Badie développe l'idée de l'importance de la taille des unité politique ; les souverains
ont besoins d'un terrain de taille optimale, qui est suffisante pour pouvoir mobiliser un
ensemble de ressources humaines et matérielles (qui doivent permettre de constituer
des ressources pour des expéditions/conquêtes militaires), il faut que ces espaces ne
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soient pas trop vaste pour permettre un exercice relativement facile d'une domination
politique.
Ce qu'il faut conclure est qu'il est impossible de développer au sein de l'Europe
occidental un vaste empire, et que seul la forme étatique absolutiste est adaptée a la
centralisation politique. On peut noter que le centre de l'Europe sera durablement
marquée par l'impossibilité de construire en son sein des centres étatiques/états
relativement consolidées. L'Allemagne, l'Italie, verront émerger seulement a la fin du
19eme siècle.
Les rois français vont s'efforcer de consolider le pouvoir, contrôler un domaine qui
fait 4/5 fois la superficie de l'espace territorial anglais, ils sont poussée par le
processus de concurrence avec des seigneurs sur un territoire qui est ouvert
contrairement a l'insularité britannique. Cet étendu du territoire français va rendre le
contrôle plus difficile pour le centre politique, plus couteux pour lui, de sorte qu'il
devra développer une pression fiscale plus importante qu'en Angleterre, et donc
d'imposer une pression coercitive beaucoup plus importante sur les instances
représentatives régionales/médiéval pour imposer cette pression fiscale.
L'état français doit prendre a sa charge le poids d'un appareil fiscal et d'un appareil
militaire plus lourd que l'état britannique. L'autorité même de l'état en France va se
constituer sur la base de la force contre les périphéries plutôt que sur ce processus
d'adhésion volontaire qui caractérise la construction de l'état britannique.
On va essayer de construire les grands traits de la forme d'état qui s'impose dans cet
Europe occidental, au sortir de la féodalité, autour de l'état absolutiste qui apparait a
partir du 16eme siècle.
Anderson définit les origines de cet état dans "L'Etat absolutiste, ses origines et ses
voies" de 1978. Ces états se caractérisent par leur forme centralisée qui se déduit de
l'existence d'une armée puissante et une bureaucratie permanente, de l'existence
d'impôts nationaux ainsi que par l'existence d'une législation codifiee et des debuts
d'un marchée économique unifiee.
Pour Anderson l'Etat absolutiste c'est la nouvelle carapace politique d'une noblesse
menacée. Une noblesse affaibli par la sortie de la féodalité, et une structure politico-
économique qui lui assurait le monopole du surplus économique. L'etat absolutiste a
été investit de l'autorité collective, par la noblesse pour mater les révoltes paysannes
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et pour gérer les déplacement des nombreuses populations rurales vers les centres
urbains en extension.
La forme que prend cet etat repose sur la mobilisation propre aux éléments de la
féodalité et un élément propre a l'antiquite, un melange redecouvert au 16eme siècle,
autour du fait qu'on redecouvre des traces de structures de l'antiquite romaine. Des
traces qui serait l'existence de ville, l'existence de popriete libre non soumise au
pouvoir politique, des règles juridiques sur la propriété, permettant d'absolutiser la
propriété de la noblesse, des règles sur l'autorité autour de la redecouverte de la notion
de souverainte.
L'absolutisme serait a la foi une sorte d'idéal pour les grands legistes qui reconstitue la
souveraineté étatique au 17eme et 18eme siècle. Ce serai d'abord pour les grands
seigneures l'occasion d'accroitre leur pouvoir économique et ressources financières et
leur possibilité d'action au sortir de la féodalité. Pourtant il va avoir un certain nombre
de conflits au XVII entre les nobles et le pouvoir royal.
Cela est car ils sont confrontée a la montee en puissance de la bourgeoisie qui est
souvent associee au postes administratif et bureaucratique. Cela dans une certaine
mesure au profit des nobles qui sont en partie expulser de ces fonctions politiques que
la noblesse monopolisait traditionnellement.
La noblesse perd l'usage privée des armes par la monopolisation par le pouvoir royal
de la justice armée, perdent le monopole de justice sur le territoire féodale.
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Le roi au 17eme, va abandonner la pratique de ces états et considère qu'il n'est plus
tenu par ces pouvoirs intermédiaires (les nobles), les derniers états généraux avant la
révolution française se réunissent tous dans le 16eme siècle dans tout les états. Ca
marque le pouvoir absolus du roi. On assiste a une cassure de plus en plus profonde
entre la monarchie et l'aristocratie. Ainsi vont s'expliquer les modes de sorti du
féodalisme. Le nouvel etat va se construire autour de la concurrence entre aristocrates
et bourgeoi –
Par ailleurs la pratique des rois par le biais des ventes de bien d'église confisquer au
nobles marchand, la multiplication des offices, va avoir pour conséquence de
renforcer a terme le pouvoir de l'aristocratie, le pouvoir de la bourgeoisie
commercante, le rôle même du parlement britannique comme contre pouvoir au
pouvoir central/royal. C'est ce qui explique cette montee en puissance d'une classe
soudee composée de la bourgeoisie marchande et l'aristocratie qu'a la place d'un etat
différencier emmerge en UK une classe sociale qui dirige l'UK qui est une sorte
d'establishement, qui sont a la fois liée les classes moyenne et la petite noblesse
locale, et cette classe qui dirige la UK, et rassemble l'aristocratie.
Cette bouregoisi marchande se caractérise par le fait que l'aristocratie anglaise avait le
droit de commercer contrairement a sa voisine française, donc pouvait entrer dans les
affaires. Cette identité entre noblesse et bourgeoisie vont faciliter la fusion entre ces 2
classes sociales qui vont dominer le centre et qui vont participer au développement de
mécanisme de représentation et du rôle du parlement qui va prévenir l'apparition d'un
centre politique fort.
En UK c'est la société civile qui est première et non l'etat. Alors qu'en France c'est
l'etat qui organise la société civile.
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L'autorité royale va essayer de réduire l'autonomie des communes et des nobles en
créant une administration centralisée qui va tenter de se renforcer, s'institutionnaliser
de manière progressive. L'etat tente de surplomber la société civile et de la faconner
par le biais de sa bureaucratie.
Le roi d'abord constitut les pouvoirs de son administration autour des bailli et de
sénéchaux qui vont avoir pour but de ronger les pouvoirs des autorités traditionnelles.
Cette première tentative d'institutionnlisation va echouer car ces offices vont être
achetee et passe par voie hereditaire.
En 1561 des commissaires pour l'exécution du roi sont crée chargée d'inspecter les
officiers royaux dans les provinces du royaume. Les agents royaux vont essayer
d'accroitre la centralisation du pouvoir royale, ces commissaires ne pourront racheter
leur charge. Leur fonction sont donc des veritables instruments de l'etat, sont les
premiers vrais fonctionnaires d'etat. Plus tard au XVII, ce processus d'instauration de
bureaucratie va se produire au profit des généralités qui en quelque sorte prefigure les
départements. Dans chacune de ces circonscription, le pouvoir royal place un
attendant charger de la police, de la justice et de la finance, il est en relation directe
avec le pouvoir central.
Il n'aura pas le droit de se marier dans la généralité ou il sera envoyee. On choisira des
membres de la bourgeoisie enrichi – on veut casser les influences locales au profit du
seul pouvoir royale. On vise ainsi les villes, avec une politique du pouvoir royal
simbolisee par la destruction des chateaux forts a Richelieu, afin d'eliminer toute
autonomie des pouvoirs locaux vis-à-vis du pouvoir central étatique. Le pouvoir royal
va également créer une armée permanente en 1726 qui va réaliser la monopolisation
de l'usage de la force en mettant a terme a l'usage des grands seigneurs de troupes
personnels. Louis XIV aura 14,000 soldats. Y'a une nationalisation des regimens. Y'a
aussi le développement de la politique fiscal de la politique royal, des le 17eme siècle
l'etat français va avoir des rentrée fiscales 4 fois supérieurs aux rentrée fiscales
anglaise a la même période. L'etat va intervenir plus systématiquement dans le
domaine public, en tant qu'entrepreneur public, sous l'impulsion de Colbert (ministre
de louis XIV).
L'etat est pénétré par des agents issue des catégories dominante. Dans une certaine
mesure la noblesse en ayant un certain nombre de position officiel au sein de cette
bureaucratie regagne en partie le pouvoir qu'elle perd par l'affirmation du pouvoir
royal.
16
On peut dire pour conclur que par opposition a l'angletterre, c'est la société civil qui
est gouvernee par l'état, qui est différenciée, qui gouverne la société civile, qui
caractérise le type idéal de l'état moderne au tour de la domination qu'il exerce sur la
société civile.
L'Allemagne;
Y'a la création de grandes écoles techniques qui sont des entreprises qui visent a
profesionnaliser les cadres de la bureaucratie Allemande avec la Bauakademie, c'est
sur quoi l'interventionnisme de l'état allemand dans l'économie se fait par les junkers.
Cet interventionnisme va empêcher la sortie d'une expension des classes inferieurs –
la noblesse va avoir tendance a bloquer tout mécanisme de représentation politique
propre a limiter le pouvoir royal comme c'est le cas en UK.
Le système politique va être dominant jusqu'à récemment, de sorte que l'on peut
considérer largement qu'il y'a une sorte de fusion en Allemagne entre la fonction
allemande public et la noblesse allemande. De nos jours les fonctionnaires allemand
forme le gros des parlementaire au sein du Bundestag. – les fonctionnaires dominent
le système public allemand.
En Italie et en Espagne ;
Pas de differenciation de la sphère étatique par rapport aux autres spheres sociales.
17
Unification italienne s'est réalisée tardivement a la fin du 19eme siècle autour du
piedmont qui a subit une forte influence française – a connu une centralisation du
pouvoir, un droit public spécialisée et des fonctionnaires. Le Piedmont va imposer a
l'ensemble de l'Italie ce système. Il s'agit d'un état importee.
Il s'est heurtee au pouvoir de l'église catholique qui exerce encore un forte domination
sur le pouvoir politique, de sorte qu'il n'y a pas de differenciation entre pouvoir
politique et église catholique.
Il y'a la forte influence des partis politique sur les structures étatiques. Ils ont des
postes politique et administratif réserves a la proportionnel aux partie politique, de
sorte que la structure étatique vis a vi de la structure des partie. Les deux mouvement
profitent et participent de la faible institutionnalisation de l'état.
Ce qui caractérise le cas americain des différents pays d'Europe, c'est l'absence de
passé féodale. Y'a pas eu besoin de contrer le développement de grands domaines
feodaux, ni la puissance de la noblesse. La société americaine n'était pas constituée de
cette multitude de pouvoirs autonome.
Elle n'a pas eu besoin de développer un état fort pour briser ces pouvoirs autonomes
périphérique comme se fut le cas dans la pluspart des pays européen. On a bénéficier
de l'importation par les colons des grands principes des droits de l'homme, renforcant
l'égalité devant la loi, et limitant le pouvoir exécutif par le biais de l'importation de la
magna carta – principe favorisant le recours a l'election.
Badi et Biernbaume disent que USA n'a pas eu de centre politique, pouvoir central, ils
ont refusé viollement l'idée de la souveraineté de l'état. Ils se sont mefiee de tout
développement du pouvoir exécutif, mais ont également combatu des le départ – l'idée
de la souveraineté parlementaire. A la place d'un état, on insiste sur le fait que c'est un
groupe d'elite dotée d'un pouvoir légitime qui va constituer le pouvoir politique.
18
Le monde des affaires est installée dans la plus part des institutions politique
américaines au sein des commission.
On peut rajouter que les agences de l'executifs qui sont chargée… sont dominée de ce
genre de personnes. y'a plus de mal a resister a cette elite économique… dans les états
americains, les états sont comme des organes politiques independant, ce qui divise le
pouvoir politique central tout au plus. C'est ce qui explique cette existence et cet
importance/autonomie des états fédérés, la fragilité de la bureaucratie centrale, le
Pendelton act de 1883 permet la codification de la fonction publique en mettant fin au
système des dépouilles (spoils system).
La classe domminante des états absolutiste n'était pas parvenu a créer un consensus
autour d'elle comprenant l'ensemble des société et l'usage de l'ensemble des société.
La plus grande partie des groupes sociaux est exclu des discours de legitimation du
pouvoir royal. L'espace publique dans la mesure ou il se développe au 18eme siècle
n'integre pas l'opposition au pouvoir royal. Ce qui caractérise le système de
legitimation politique de ces états c'est l'ethymologie ideologique du roi
exclusivement a destination ayant pour principaux interlocuteurs les superieurs de
l'administration civil et militaire, laissant de coté la plus large partie de la population.
On pensait que le roi était soumis au pouvoir divin. La nation au sens de la
communauté des citoyens était limité a la couche supérieure, dominante. Le débat
politique ne concernait qu'une infime partie de la population.
La guerre joue un rôle important dans l'intégration politique des populations plus
larges. Les guerres font appel de manière massive au citoyen des états et la
mobilisation de masse que ces guerres vont nécessité, vont avoir besoin de ces
19
ideologie pour mobiliser les masses, elle se fera sans doute sur la base de la défense
du groupe national autour du patriotisme. C'est dans ce processus que le débat
politique va toucher les couches de plus en plus étendu de la société, c'est la question
même de la légitimité du pouvoir politique qui commence a être mis en cause.
L'ideologie qui devait convaincre les classes dominante, la classe nation, doit
convaincre un plus grand nombre de personne, la nation.
Le concept de nation a emerger au XIXeme siècle en Europe, mais toute les theories
de la nation, ainsi que le lien entre l'émergence de l'état moderne et la production des
nations. Toutes ces theories assis sur le fais que ces états était les premier batisseurs
des nations.
Une foi ces nations constituées et consolidees par les états, leur reconnaissance sur la
scène politique allait de paire avec la citoyenneté (ensemble des droits et devoirs du
citoyen par rapport a l'état) ; il y'aurai un differend selon lequel il existe des
citoyenneté europpeene variée qui renverrait a des relations différentes entretenu par
les citoyens avec leur état.
A. la production de la nation
La grande nouveaute par rapport aux états absolutiste, est la capacité a penetrer a
l'intérieure même de leur société civil et d'être capable de regir plus précisément les
relations existant au sein de cette société civil. Si les pouvoirs intermédiaires entre
l'état et le peuple ont été supprimée dans l'état absolutiste, l'état nation et son
administration vont prendre le relai de ces pouvoirs intermédiaire.
Cette bureaucratie au sein de l'état nation se caractérise par deux points principaux :
- la distinction très nette qui existe entre le domaine privée et le domaine publique
et travail a l'intérêt général et se proclame distincte des intérêts privés exterieures
de l'administration et intérieure même de l'administration.
- Les fonctionnaires sont recrutee exclusivement sur la base de leur compétence
propre. C'est pour cela que la bureaucratie peut être caractérisée comme rationnel
au sens de Weber.
o Cela a été le corolaire des guerres revolutionnaires – ou le développement
du processus a été spécialisée par des guerres revolutionnaires, on est
20
passe de 50,000 fonctionnaires avant la révolution a 250,000 après la
révolution.
o Les citoyens sont relayee par le levee de masse (1793), alors que l'armée
française culminee a 300,000 soldats, a partir de 1814 on decendra jamais
sous une armée de 800,000 autour de la construction général. Tout citoyen
français est un soldat et il est de son devoir de defendre la partie. On lie la
mobilisation militaire de masse et le statu de citoyen. On accord le statu
en échange de la mobilisation.
Les autres états européen vont suivre le model français pour répondre au levee de
masse des armée revolutionnaire et napoleonienne ; la prusse va introduire le service
militaire universel en 1814. des reformes vont être introduites pour procéder a la
profesionnalisation des corps armée, des officiers. Ce corps echapera au influences de
la noblesse, vers la fin du 19eme siècle tout les états européen et les USA ont des
systèmes bureaucratique d'avancement dans la carreiere militaire et des academies
militiare. Cela est important car on consacre définitivement le pouvoir militaire et
politique, le premier devient autonome avec des règles propres différencier de
l'administration civil et politique. En prusse cette differenciation a été rendue moins
rapide par le rôle des Junkers au sein de l'état et des structures de domination de
l'armée prussienne.
21
L'état produit la nation : les constructeurs d'état prennent l'initiative de la
création, de sorte que la nation apparait comme une construction politique par le haut.
C'est l'état qui fait la nation plutôt que le contraire. On est dans le cadre du
nationalisme courant du 19eme siècle. Les Etats impliqués dans des guerres de masses
vont exiger de plus en plus de la nation, au nom de la nation, et c'est aussi le fait qu'il
est de moins en moins possible aux états de s'assurer de la loyauté de la nation.
Le nationalisme a la recherche d'un état : les nationaux n'ont pas d'état a leur
disposition, et vont réclamer au nom de cette population un statut spécifique,
indépendant et souverain. C'est en réaction par rapport au premier nationalisme que
ce type de travail de revendication d'une nation et d'un état s'est développé. Ce
nationalisme va renforcer, marginaliser, les groupes minoritaires a l'intérieure d'un état
– ils vont essayer d'échapper a l'homogénéisation mise en place par la majorité du
premier type.
Selon un certain nombre d'auteur, il s'agit d'un processus politique soutenu par
le développement économique qui aurait participé de l'uniformisation culturel au sein
des sociétés du XIX siècle.
On a insiste sur le fait qu'au cour du XIXème siècle on est passé d'une économie
agraire a une économie industrielle. Dans l'économie de type agraire les sociétés se
caractérisent par une grande fragmentation culturelle. Des cultures locales autour de
communauté paysanne se développent, qui ne serait pas compatibles entre elles. Y'a
aussi la culture des élites. Cette segmentation culturelle commencerai a causer
problème dans le processus d'industrialisation car on est en présence d'une extension
des marchée industriel et commerciaux nécessitant un nouveau principe qui est de
l'employabilité immédiate de masse pour répondre au demandes de plus en plus
lourde d'industrie. Il sera exigé des membres de la société d'avoir un niveau
homogène et élevée sur le plan culturel pour avoir une interchangeabilité des ouvriers.
Cette industrialisation nécessiterai la perfection d'un outil performant uniformisant la
culture et participant a l'avènement de la nation.
22
B. les définitions des citoyennetés
Les individus sont mis de manière plus immédiate en contact avec le pouvoir
politique étatique, l'allégeance a l'état ainsi va se poser plus directement. Il y'a
l'existence d'un lien horizontal de solidarité entre tout les membres du groupe
nationale formant ainsi une même communauté politique.
Dans l'état absolu y avait un rapport hiérarchique, le lien politique était horizontal
liant tout les individus de la nation. Cela impose des obligations et des droits vis-à-vis
de la nation, qui peut être incarné dans un pouvoir central.
Tout les membres de la nation ont la caractéristique d'être égaux entre eux au
regard des droits et des devoirs. Ainsi le bon citoyen va assumer ses obligations vis-à-
vis de la communauté politique (qui peuvent être extrêmement nombreuse, ex. le fait
de voter, de faire le service militaire, payer ses impôts).
C'est dans la sphère politique que le citoyen se voit reconnaitre l'égalité par
rapport aux autres citoyens. Néanmoins cette égalité de statut doit se prendre au
moyen de différentes dimensions de la citoyenneté mise en évidence par T. Marshal ;
des dimensions, civil, politique, et sociale. La conquête de la citoyenneté se fait
progressivement dans cet ordre d'une dimension à l'autre.
Les droits civils d'abord accordés au cours des 17eme et 18eme siècle (liberté de
parole, propriété) comportent surtout un droit de justice égale pour tous, portée par
une philosophie libérale; une justice libéralisée, impartial et professionnalisée.
Entre le 19eme et 20eme siècle l'accès a la citoyenneté politique fait son
apparence. La citoyenneté devient fondée sur le droit de vote et le droit d'éligibilité.
La troisième phase : acquisition de droit sociaux, accès au système d'assurance et
de retraite, assurance chômage, assurance en ce qui concerne les personnes démunies
sans ressources.
La société aurait abordé ces trois dimensions et il y aurait un processus constant
de l'extension de la citoyenneté, fixant les allégeances a l'égard de l'état.
23
Y a des citoyennetés exigeante/exclusive (l'exemple français) et des citoyennetés
ou la loyauté a l'égard de la nation est considérée comme compatible a l'appartenance
d'autres groups sociaux.
Dans l'exemple de la France, la citoyenneté est qualifiée comme abstraite
(inventée par la révolution française) imposée par l'état contre toutes les formes
d'appartenance secondaire. Selon ce premier model le fait d'appartenir a la
communauté nationale, d'entretenir des liens d'allégeance vis-à-vis de la nation est
susceptible d'entrer en conflit avec l'appartenance a d'autres groupe sociaux ou
politique, tel la famille, la corporation, l'identité territoriale, même l'appartenance a
une ethnie. Dans la sphère publique le bon citoyen accepte de prendre toutes ses
distances vis-à-vis des préceptes de sa religion, des valeurs de sa famille, de son
groupe ethnique ou toute autre identité. C'est le citoyen arraché à l'appartenance
primaire.
Ce type d'identité nationale est le fruit d'une histoire particulière; il s'agit de
fonder la citoyenneté en abstrayant les individus des allégeances traditionnelles. Ainsi
les individus pourront faire valoir leur autonomie de jugement.
La citoyenneté étatique est directement liée a la révolution française; elle signifiait
l'acquisition de la citoyenneté politique; favorisant un type de citoyen qui doit investir
dans la chose publique avec un état nation qui participe a son éducation et qui veille a
la conformité des valeurs du citoyen au groupe nationale en s'assurant qu'elles
échappent a l'influence des groupes concurrent, tel l'église catholique. On peut dire
que la citoyenneté française est directement liée a la laïcité.
Dans cette partie de l'Europe la citoyenneté se définit différemment du fait de l'aspect tardive de
l'apparition de l'état nation, ni dans les relations avec les différents groupes sociaux, - se définit
essentiellement dans les relations que le citoyen entretien avec la communauté politique et ses valeurs
culturelles.
24
Puisque l'état travail dans la construction d'une nation, on peut essayer de définir
une tendance par rapport au pouvoir politique.
Badie et Hernier disent que les anglais acceptent les rôles qui leur sont données,
participant peu au processus politique. Ces masses sont portée a remettre entre les
mains de cette élite leur destin sur la base de leur compétence présumée. Le
recrutement élitiste et hiérarchique du système politique anglais est accepté et fait
partie de la culture politique. La supériorité attribuée à la société civil par rapport a
l'état justifie communément un fort soutien a la justice britannique – le fondement
même de leur système politique.
Les bases culturelles du sens civique allemand reposeraient sur l'idée que
l'individu doit être appréhendé dans son environnement réelle plutôt que des termes
universalistes.
25
Le citoyen allemand ce conçoit comme allemand au sens culturelle du terme,
et ensuite comme citoyen d'une entité étatique. L'idée est que l'unification allemande
tardive est remise en cause perpétuellement. L'état allemand a eu du mal a imposer
une identité nationale et alors il y'a eu une compensation dans les universités, dans
l'identité culturelle (XIXème) qui se serait affirmée en dehors de l'état se marquant par
un attachement systématique au particularisme allemand.
Pendant la période Bismarckienne, on met en suspend l'accession au suffrage
politique pour favoriser la construction de la nation allemande. L'autoritarisme
Bismarckien sera accepté ainsi par l'ensemble du peuple allemand sur la base du
particularisme allemand. Ce sera également en s'appuyant sur la tradition totalitaire
que le parti nazi prendra le pouvoir dans les années 1930.
L'état pied monté est apparu dans les autres régions italiennes comme un état
étranger, imposant sa bureaucratie sur l'ensemble du territoire – s'est imposée comme
un état extérieure a l'état italien. Il fait l'unification italienne – mais mal vu.
Ces facteurs se sont greffées a des facteurs plus anciens – notamment autour
de la prégnance de l'idéologie catholique, transnationale du Vatican, demeuré comme
une référence constante et importante de la population qui se sent catholique italienne
plutôt qu'italienne (tout court). D'autre part la faiblesse de l'état italien explique que
d'autres institutions sociales rivalisent avec l'état, dont la citoyenneté. Les groupes
concurrent de l'état sont puissants; ils bénéficient d'avantages que l'état n'a pas tel
l'allégeance de l'état ainsi constituant la matrice de leur identité civile.
Ils sont des concurrents d'une allégeance unique de la nation, sans que le
pouvoir central le domine, en dehors de ses fonctions traditionnelles centrales,
pourvoyeur de subside et de fonctions multiples.
ii.
26
Section II : l'avènement de la démocratie
27
le libre échange, ce qui va briser l'agriculture tout en permettant de procurer des
subsides plus chers, permettant la classe industrielle de se nourrir et avoir un niveau
de vie acceptable.
Les partisans du vote des femmes en France pendant la IIIème république ont
toujours étaient des conservateurs. On considère que les femmes sont sous l'emprise
catholique plus que les hommes, ce qui les aurait faits plus à droite que pour les
républicains.
Les républicains progressistes ont toujours systématisée des procédés
d'éducation des femmes, en prônant l'émancipation par le savoir. Les femmes à la fin
du 19eme siècle sont largement dépendante des consignes du prêtre/curée.
28
B. Du notable au professionnel de la politique :
29
2. l'avènement du suffrage universel et l'intensification de la lutte politique
En France se sont les radicaux et radicaux socialistes qui vont fonder les premiers
partis politiques. On discute dans quel mesure il s'agit d'un parti moderne, car ce parti
en 1901 est une sorte de grande fédération de comite locaux, d'association qui
soutenait le projet républicain en France; association hétérogène sans véritable
30
programme définit. Y a un ensemble hétérogène ne définissant pas du tout ce qu'on
pouvait appeler un parti moderne, sur le plan hiérarchique.
31
Ce que ces derniers vont distribuer sont des biens d'état, ex. entretien des routes,
voies ferrées – par les sources financières de l'état. Les entrepreneurs politiques sont
avantagés, et vont faire jouer leurs capacités politiques sur la base de leur maitrise de
l'état. Dans des pays ou l'état est moins différencié comme en UK ou en Italie, la
domination traditionnelle des notables se trouvera entamée par les entrepreneurs
politiques. Le mouvement général est progressif, de paupérisation de ces notables qui
vont voir a la foi les dépenses politiques s'accroitre, et voir leur fortune personnel
diminuer (effet du au changement sociaux, diminuant les rentes terriennes/foncières).
Ces notables vont devoir chercher d'autres manières de faire de la politique pour
pouvoir participer à cette compétition électorale.
Conclusion
De manière générale l'activité politique demeure une activité couteuse que seul les
individus fortunées peuvent assurer; ce sont des personnes de la haute société, le
notable se perpétue en Italie et en UK encore, même aujourd'hui car l'état n'était pas
fort.
Aux USA une des conditions d'une carrière politique, avec un état faible, est une
fortune personnelle importante, elle attrait à deux profils, un profil d'industriel
enrichie directement dans les affaires, un profil de juriste intermédiaire de ces
industriels et porte parole des intérêts de classe avec l'exemple du président de la
lignée Bush -
Les partis politiques sont le fruit de l'extension du suffrage ; avant la deuxième moitié
du 19eme siècle on ne pouvait parler de partis politique.
32
Benjamin constant : "réunion d'homme qui professe la même idée politique".
Pour Pombeni le parlement n'est le lieu de création des partis politique que dans les
pays ou se parlement exerce un rôle d'intégration des conflits sociaux. Ainsi y'aura
une relation entre les groupes parlementaires et les différents clivages existant au sein
de la société (UK division sociale se sont exprimées au sein du parlement). En France
pendant la révolution française, y'a eu la création de club, hostile a
l'institutionnalisation de partis au sein du parlement. Le club des jacobins ne peut pas
être considéré comme un précurseur de partis politique car n'avait pas pour ambition
de représenter une partie de la société. Il ne fallait pas représenter une partie de la
société mais de représenter la société elle même dans son aspect révolutionnaire.
Quatre formes précurseurs du parti politique (la forme parti) au sein des différent pays
européen; les organisations mutualiste, les organisations de mouvement sociaux, les
organisations secrètes et la franc maçonnerie.
Des organisations qui vont jouer un rôle dans la formation des partis en ce qui
concerne les partis qui ont pour ambition de représenter des problèmes sociaux. CAD
les partis d'origine ouvrière ou dans une certaine mesure les partis d'origine religieuse,
ayant institué une culture de secours mutuelle, au sein de leur organisation collective,
que l'on trouve dans les structures partisane. A la fin du XIX, liant les adhérant de ces
partis politiques.
Ont eut un rôle important dans l'avènement des partis politiques; ils ont introduit des
instruments et techniques de mobilisation; participent a la systématisation des partis
politique. Le mouvement des chartistes; pro démocratique, pro suffrage universel.
1830 en UK ; vont se retrouver systématiquement utilisée des grandes conférences
publics. Il s'agit de faire appel à des aspects émotionnels pour mobiliser les foules
plutôt que sur des aspects argumentés et rationnalisés. Ca instaure la matière plus
passionnelle de faire de la politique.
33
Pombeni insiste sur le fait que on retrouve dans cette organisation la plupart des traits
qui caractérisent les partis politique, un programme individuel politique, des militant,
un système de financement sur la base de cotisation, et de souscription de ces
militants, et une organisation qui va progressivement s'organiser sur la totalité du
territoire concernée par la vie politique et qui est hiérarchisée avec un centre
maintenant systématiquement les différentes organisation locales.
Structure qui avait toute les caractéristiques de la forme partis, sauf les fins
proprement politique. Se distinguant des partis politique modernes en ce sens que ne
s'appuyait pas sur la publicité de ses décision. Les francs maçonneries, auraient joué
un rôle décisif dans les luttes pour les changements de régime au sein des états
Européen. Elle a des rapports hiérarchiquement organisés, ainsi que de la capacité de
transformation des individus au sein d'une organisation avec des normes différentes
des sociétés environnantes.
Elle a été particulièrement important en ce qui concerne la France (parti
radical et radical socialistes s'appuyait sur les loges maçonnes) décisif en ce qui
concerne l'Italie. La charbonnerie, société secrète, libérale, humaniste, va œuvrer pour
la construction de cette république italienne.
Il y a des adhérent qui s'unissent autour d'un objectif général, et se soumettent
a la coordination d'un organe capable de représenter l'association en tant que tel et
composés selon des modalités par l'acte constitutif.
Section I : les clivages sociaux politiques dans la construction des partis politiques
Le système des partis au sein d'un état est déterminé par les divisions sociales
qui caractérisent le pays à l'époque de la formation du système de partis. L'idée est
que l'extension du suffrage a crée des liens permanent entre certains groupe de la
population mobiliser par les partis politiques. Un lien cristallisé lors des premières
mobilisations partisanes à la fin du XIXème siècle.
On parle de clivage social qui implique la séparation de la population en deux
groupes distinguée sur la base d'un critère social tel que la classe, la religion ou
l'ethnie. Y'a une base réelle et objective, division qui existe a l'état uniquement latent;
pour qu'il se réalise positivement il faut que ces groupes soient entretenu dans leur
mobilité, et puisse avoir une expression politique; qu'un parti politique prenne en
charge la construction. les ouvriers existent en tant que classe social, qui peut être une
force politique.
On trouve le gel du clivage social ; fondée sur l'idée de la prégnance de l'histoire des
partis politique. Au sein des états européens des événements historiques majeurs sont
venus cliver la société et ont promue et cristalliser des identité politique sur la base de
ces clivages.
34
Ce que permet la mise en évidence de ces clivages politiques c'est de comprendre
les différences qui existent entre les systèmes des partis politiques européens. Il faut
comprendre que le model de Rokkan insiste sur les différences entre les systèmes de
partis européens sans prendre en compte les points commun entre ces systèmes.
35
écoles, des associations de jeunesses, des syndicat confessionnel religieux, des clubs
de sports etc. ayant pour but de créer une contre société par rapport a l'état laïque.
Ce qui intéresse ici c'est comment ces clivages se transforment en partis politiques, il
faut distinguer plusieurs scenarios donnant naissance à plusieurs types de clivage.
L'état contrôle dans un premier temps l'église nationale, c'est le cas des pays
protestant comme l'UK ou l'Allemagne. Il se peut que l'état soit allié à l'église
catholique comme en France, Italie, ou Espagne.
- la révolution démocratique
- la révolution industrielle
Il y'aurait 2 possibilités soit, les forces soutenant les états nations sont rurales, c'est le
cas des grand propriétaires terriens comme en Allemagne; soit urbaine, dans les forces
issues de la bourgeoisie construisant l'état, en France et en Italie.
Au total il y'aurai trois types de trajectoire historique, le type Ier représenté par l'UK,
ou l'état est soutenu par une église protestante dominante, ou il existe une collusion
entre la religion protestante et la construction de l'état, ou les milieux des grands
propriétaires terrien (protestants le plus souvent) l'on emporté et soutenu la
construction de l'état.
36
Type II sont les pays religieusement divisée comme l'Allemagne, les pays bas ou la
Suisse. La formation de l'état nation en Allemagne a été dominée par les Junkers, les
grands propriétaires fonciers protestants, l'opposition contre cette force dominante va
venir de la bourgeoisie urbaine, l'opposition libérale.
Ils insistent sur le fait que les clivages sociaux économiques ne sont pas assez pris en
compte par Rokkan, et insisterai trop exclusivement sur les divisions religieuses dans
la structuration du système partis politique.
Selon Kriesi il convient de faire une place identique au clivage de classe par rapport
au clivage culturelle religieux mis en évidence par Rokkan.
Selon Kriesi, les partis chrétien démocrate se sont développée dans les pays
développées ou religieusement mixte; ce type de partie est devenu dominant. En
France, un tel partis démocrate chrétien n'a pas pu se développer notamment en raison
des liens trop étroit qui existeraient en France entre les populations catholique et la
droite monarchiste. De ce fait l'église catholique a toujours restée hors système au
sein de la république, notamment tout au long du XIXème siècle, malgré les tentative
de ralliement de l'église a la république, qui ont échoué a l'occasion de la séparation
de l'église et de l'état ; loi de 1905.
Les partis démocrates chrétien auraient du poids dans les zones sud ouest de l'Europe
; l'église a médiatisée les intérêts de la volonté politique des catholique par le biais de
partis politique. Donc cette figuration caractérise les pays mixtes comme l'Allemagne
qui a développé un parti chrétien démocrate avec la CDU, synthèse des catholiques et
protestants après la seconde guerre mondiale. C'est le cas de la Belgique, pays bas et
Autriche, mixte religieusement.
37
suffrage universel très tôt, et donc n'a pas eu a développée des instrument, ou de
processus répressif contre la presses ouvrière – ne provocant pas en retour la
structuration de la classe ouvrière sous la forme politique.
4 cas :
Les partis libéraux et les partis socio démocrates se trouvent dans tous les états
européens, c'est pour cela que Rokkan ne les prend pas en compte. Cette typologie, ne
rend pas compte de la spécificité historique de chaque système, et de la combinaison
des clivages, et histoires offerts dans leur sein, sa rend monolithique le lien entre un
clivage et un partis politique.
La volonté de remonétisation, ne rend pas compte des clivages dont la société fait
objet, parfois le clivage se superpose sur un groupe, ainsi un groupe aura une
spécificité linguistique, concentrée sur une partie du territoire, pratiquera la même
religion, et appartiendra largement a la même classe sociale.
L'exemple de la Belgique : y'a d'un cote le territoire des flamants, catholique et
orientée a droite, et d'un autre cotée les wallons, laïque francophones a gauche – y'a
une superposition et une différence sociale avec des wallons plutôt dominants
économiquement par rapport au flamant. Les clivages s'entrecroisent, et ainsi
contribuent à leur neutralisation au sein de la société. Le regroupement des clivages
contribue à construire de la solidarité entre les groupes de manière transversale,
atténuer la conflictualité entre ces groupes.
En reprenant les clivages traditionnels on montre la prégnance diffuse des
clivages. Le clivage bourgeois/ouvrier est sans doute le clivage le plus prégnant au
sein des sociétés européennes.
UK ou éclosion du parti travailliste, a pour base l'industrialisation du pays,
s'oppose à la bourgeoisie. Aujourd'hui 75% des ouvriers votent labour malgré les
redéfinitions interclassiste inaugurée par Tony Blair dans les années 1990. Le clivage
a tendance à perdre de son importance, devenu moins productif ; lors des élections de
2002, 42% des ouvriers votent a gauche, 30% a droite, et 28% pour l'extrême droite.
Ces évolutions sont liées à la baisse continue du nombre d'ouvrier dans la population
active des pays occidentaux. Par ailleurs c'est la transformation même de la classe
ouvrière qui est au principe d'un affaiblissement de la conscience de classe. Cette
transformation porte sur la différenciation interne, ouvrier qualifiée et non qualifiée ;
38
sur le changement dans le type d'organisation du travail industriel, et la disparition des
grandes unités de production.
39
- l'enseignement religieux est facultatif a l'école
- remplacement de ce financement étatique institutionnalisée par un financement sur
la base du volontariat des citoyens catholique.
En Allemagne les rapports entre l'état et l'église sont caractérisée par le pluralisme
religieux entre catholiques et protestants et par la transformation dans l'équilibre des
forces entres ces deux due a la partition de l'Allemagne. Après la seconde guerre
mondiale il y avait une égalité entre la confession protestante et catholique dans
l'Allemagne de l'ouest. Y'a le sentiment d'être minoritaire, qui façonne le
comportement de l'église catholique allemande. Ce sentiment d'oppression a eu des
conséquences tragique durant la domination nazie.
Aux USA, les ressources des églises viennent des contributions volontaires des
croyants (défiscalisée). Un système qui organise la séparation de l'église et de l'état
par le biais d'un des 10 amendements de 1791, qui garantie la liberté religieuse. Le
protestantisme est la religion dominante, car elle est la religion privilégiée des classes
dominantes. Les catholiques sont a la fois minoritaire en nombre et appartiennent aux
classes dominée au sein de la société américaine. Kennedy était un catholique, les
catholiques ont voté pour Kennedy. La religion dans la sphère politique a fait que les
candidats ont pu mobiliser leur appartenance religieuse, c'est le cas récemment en ce
qui concerne G.W. Bush jr.
Les protestants sont plutôt attachés aux partis républicains, tandis que les catholiques
et les juifs sont attachés d'avantage aux partis démocrates. Il y'a l'idée que la variable
ethnique a tendance a accentuer le processus d'identification, les lois catholiques
votent de manière encore plus régulière que les blancs pour le parti démocrate.
40
La religion pourrait avoir tendance a faire reporter plus souvent son vote au parti de
gauche, ces derniers permettant l'expression de l'identité minoritaire et émancipation
religieuse dans le système politique en question. La population minoritaire qui se
définit sur le plan territorial organise une représentation politique dans un parti
politique.
Les partis régionaux se sont constitué en UK, et ont acquis un poids relativement
important au sein du système politique britannique, laminé par le scrutin majoritaire a
un tour. Ce sont les partis de la ceinture celte, le scottish national party qui a
actuellement six sièges, le parti nationaliste gallois (plad cymru) avec 3 sièges a la
suite des dernières législatives de 2005.
En Italie, on insiste en général sur la présence de la ligue du nord, qui participe a forza
italia (coalition de Berlusconi, de droite) avec 4,6% des voix en 2006. Le système des
partis politique italien étant fractionné ce montant n'est pas négligeable. Le parti de
Umberto Rossi revendique l'indépendance du nord d'Italie.
41
L'extension du suffrage au vingtième siècle a permis d'incorporer les masses au sein
du système politique. A cette occasion les masses de citoyen ont adopté des identités
partisanes, et cela a en retour, contribuer a figer les systèmes de partis au sein de ces
états européen. Une étude indiquant la consistance a cette hypothèse d'entre porte sur
les phénomènes de volatilité électoral dans les différents pays occidentaux depuis un
siècle (1890, a 1990) afin d'évaluer les hypothèses du gel des clivages.
Il ressort de cette étude que la volatilité électorale (changer de vote d'un parti a un
autre), ne diminue pas pendant la totalité de cette période. Il n'y aurai pas
d'attachement de plus en plus fort a tel ou tel parti. On va dans l'invalidation dans
l'hypothèse du gel des clivages des partis.
Les sociétés subiraient une révolution, de même type que Rokanne avait mis en
évidence avec la révolution industrielle et nationale ; mais la révolution silencieuse
serait postmoderne, constituée sans mobilisation collective. Il faut dire que cette
révolution postindustriel, connu dans les années 1960/70, a été décrite comme
l'avènement de la société de risque (Beck). Cette révolution aurait donné lieu au
moins a un nouveau clivage.
Ce sont donc dans les sociétés poste moderne que les préoccupations ont disparus. Le
système de valeur se base aussi sur le fait qu'on n'accepte pas les tutelles exercée par
l'état comme par la famille.
42
En ce qui concerne le milieu de travail, la classe moyenne bénéficiaire de ce
processus, aura une priorité des accroissements de profit économique, mais va
privilégier la possibilité de s'exprimer et faire un travail qui a un sens pour sois. Les
valeurs de tolérance se présente, de confiance en autrui. Mise en avant de l'importance
des loisirs par rapport au travail, le partage entre amis, l'importance de se réaliser
subjectivement au sein de la société plutôt que de se liée a une collectivité.
Les partis de gauche prennent ses valeurs en mains plus que la droite, car elle est
intéressée par ce qui est nouveau.
Ce que Kriesi appel les technocrates sont des experts de la gestion de la société,
privilégient l'amélioration de la qualité de vie, et le développement de valeurs tels que
définis par Inglehart. Ce sont les bénéficiaires des révolutions post modernes.
Le 2eme clivage oppose les perdants et les gagnants de la révolution silencieuse. Les
gagnants profitent des transformations sociales et culturelles dus au changement de la
société, les perdants sont les ouvriers non qualifié les chômeurs, les personnes âgée,
certaines catégorie d'agriculteur ou d'artisans qui ne bénéficie pas d'avantages culturel
de la révolution silencieuse. Y'a une structure de classe hiérarchisée entre les gagnants
et les perdant dans cette nouvelle société.
L'impact sur le système des partis n'est pas le même au sein de chaque système selon
même les configurations partisane qui existent. L'impacte de la révolution silencieuse
est conditionné par le cadre institutionnel, par les dynamiques internes des systèmes
de partis, ainsi que par les stratégies des partis eux mêmes au sein de chaque système
partisan. Y'a une transformation globale – y a une influence accru des medias, la
télévision ; on considère en générale que la télévision tente a renforcer le rôle des
leaders des partis.
Soit on se trouve dans un cas de pluralisme limité, CAD, entre deux et 5 partis, soit un
pluralisme extrême avec plus de 5 partis. Le pluralisme limite est un pluralisme
modéré tandis que le pluralisme extrême est un pluralisme polarisé. Que sont les
pluralisme modéré?
C'est la ou les partis sont proches l'un de l'autre dans leur idéologie. Le pluralisme
polarisée se caractérise par la présence de partis qui sont très éloignée les uns des
autres sur le plan idéologique et par la présence de parti antisystème, et par une
compétition centrifuge qui tend a faire exploser le parti. Les partis anti systèmes sont
ceux d'extrêmes gauche et fasciste et d'extrême droite.
43
Processus d'adaptation des partis eux mêmes au phénomène de la révolution
silencieuse; depuis la fin des années 60s, on a observé une tendance a s'ouvrir a tout
les milieux socioculturel pour être en mesure de prendre en compte les nouveaux
intérêts qui émergeraient.
Si cette tendance a l'avènement des partis peut être mise en évidence, on peut nuancer
le propos en considérant que les grands partis continue a privilégier les publics
traditionnels.
Les effets mecaniques des modes de scrutin sur le plan théorique : les lois d'airain
Le mode de scrutin pèse de manière décisive ; Duverger a développer trois lois jamais
remise en cause entièrement. Les lois électorales des différents pays ont suivi les lois
établis.
Pour être élu il faut nécessairement avoir l'investiture d'un des deux grands partis qui
donnent leurs crédits politique au concurrent, de sorte que les candidats doivent
nécessairement faire allégeance au parti politique, notamment a l'idéologie du parti
politique et a la discipline de vote établis par la direction du partis politique.
La représentation proportionnelle :
44
Les partis sont dis rigide, car ce sont les directions de partis qui établissent l'ordre des
listes électorales de sortes que la encore c'est largement la direction des partis qui fait
l'élection des candidats. Les candidats sont la encore très dépendant de leur direction
politique pour avoir une chance de pouvoir être élu.
Ce système proportionnel démontre des partis indépendants les uns des autres ; CAD
ils doivent particulièrement se demarquer sur la plan ideologique les uns des autres
pour pouvoir avoir le plus de suffrage au premier tour de sorte qu'ils sont
ideologiquement indépendant les uns des autres.
Ce système a l'avantage d'organiser une offre électorale nombreuse, tout les partis ont
intérêt a se présenter, et de rendre compte de la diversité des courrant d'opinion
présent au sein du corps électorale. Ce système a un défaut majeure, c'est que puisqu'il
augmente la fragmentation de la représentation parlementaire il a pour principale
défaut d'augmenter la responsabilité ministerielle, pour construire une majorité
parlementaire il faut élaborer des coalition au sein des parlement. Coalition qui se
construise sur des accords entre partis, qui ont des ideologies et intérêts qui peuvent
être distinct.
Une des conséquence de ce mode de scurtin est que les groupes parlementaires ont la
possibilité d'élaborer des coalition qui échappent au contrôle parlementaire. C'est
l'exemple d'israel, ou les coalitions se construisent avec l'aide de partis religieux qui
ont des influence sur la politique de la coalition parlementaire. Ce système qui se
présente comme démocratique fini par se retourner potentiellement contre l'électeur
sur la base de tractation qui s'effectue entre les membre de la coalition sur la base de
l'influence sur estimée de partis qui sont très minoritaire.
Cherche a créer un partis a deux partis souple et dépendant ; y'a moins de pression au
premier tour qu'au système majoritaire a un tour, les phénomènes de vote utile sont
moins pregnant, y'a un relatif emietement de la compétition électorale au premier tour.
Au premier tour on choisi au deuxième tour on elimine. Le second tour est propice au
développement d'alliance au partis de gauche et de droite d'un autre cotée – y'a une
bipolarisation de la vie politique. Les autres tendances minoritaire se dessaississent en
faveur du candidat le plus proche d'arriver en tete le premier tour. On ne favorise pas
la construction de majorité parlementaire stable.
45
les deux grands partis represtente que casiment 66% des voix. On considère que ce
mouvement d'érosion du système britannique a commencer lors de 1974 au cour de
l'émergence d'un courrant centrsites dont vont bénéficier les libéraux democrates. En
1997, le parti des libéraux democrates obtient de tel score que Tony Blair va faire
rentrer dans son cabinet pour la première foi le leader du partis constituant une sorte
de coalition parlementaire a gauche au sein du système politique britannique.
Aux USA c'est certainement la faiblesse des partis politique qui constitue la
spécificité du système américain. Il faut avoir a l'esprit que chaque membre du conres
est élu par une coalition particulière a sa circonscription. Il s'agit d'un partis
bipartisan.
Le midwest est plus republicain, et une ceinture democrate ; les partis américains sont
très faibles, participent encore de cette affaiblissement le système des primaires – il a
provoqué l'individualisation de la lutte politique, c'est désormais autour des candidats
individuels que ce construit la lute politique. Ce sont donc désormais des ecueries
groupee autour d'un candidat plutôt que tel ou tel camps, ou membres de chacun des
deux camps. Chacune de ces structuration permet de comprendre qu'il convient de
posséder une fortune personnelle importante pour concourir car les partis ne jouent
pas de rôle déterminent dans la construction de la campagne.
490 millions de dollar en 2004 depensee par Bush, 130 million par Gore en 2000
46
Les conséquences d'un scrutin mixte a dominante majoritaire sur le système des
partis: L'Italie
Au moment le plus intense de cette affaire, plus de 3000 hommes politques, patron et
fonctionnaires, étaient mis en examen dans le cadre de malversation dans le cadre de
marchée publique, mais pas seulement. L'une des conséquences immediates de ces
affaires était la fin de la partitocratie avec le changement du mode de scrutin. Le
système a été modifiée avant les élections de 1994. en 1994, de manière un peu
rapide, va être instituée un scrutin mixte ou 75% des deputes sont élus au scrutin
majoritaire a un tour, et 25 au niveau national.
Coalition de centre gauche et au centre droit la maison des libertés formée de forza
italia (berlusconi), aliance nationale (partis populiste/extrême droite) et la ligue du
nord de Rosi. Ce mode de scrutin aurait structuree la vie politique. Lors des élections
de 2006, la coalition d'union, a gagnee de justesse avec 49.8 des voix contre 49.7% a
berlusconi.
47
Quelle est la place des parlements aujourd'hui dans les systèmes politiques.
Historiquement les parlements se sont d'abords imposés comme représentants de la
nation, et de se fait la théorie constitutionnel classique sanctionne l'idée selon laquelle
les parlements ont vocation a monopoliser le pouvoir législatif. En faisant cela ces
parlements seraient dans la situation de définir les grandes options politiques de ces
sociétés occidentales.
Model britannique (Westminster : il peut tout faire sauf changer l'homme en femme)
le model français (Age d'or du parlementarisme, début IIIème république). Le model
britannique s'est imposé après une longue évolution, en France il s'est imposé de
manière plus théorique.
Ces deux systèmes distincts insistent sur l'idée que le parlement doit être l'organe
essentiel de la nation souveraine.
A partir de l'entre 2 guerres, les gouvernement n'ont cessé d'accroitre leur emprise sur
cette définition de la loi et des politiques publics dans les démocraties européennes.
On a souvent l'idée, une présentation des rôles de parlements a tendance a insister sur
le fait que dans ce moment particulier, les parlements seraient pleinement omnipotent
ne rencontrant aucune domination, aucune emprise/concurrence de l'exécutif, mais ces
modèles sont essentiellement des modèles théoriques, on est jamais arrivé a la
situation de plein monopole.
1
That word, he made up.
48
dans le domaine politique. Ils participent de plus en plus a la définition de la politique
des états.
49
i. le model d'Arend Ligphart
Tout les éléments du système politique tant a concentrer ce pouvoir le plus possible ;
tandis que la configuration du système politique au sein du model de consensus a
pourvu de diffuser le plus possible le pouvoir politique et le partager de différentes
manières. Les 8 éléments caractérisant le model majoritaire, contribuent tous a la
concentration du pouvoir politique entre les mains du gouvernement. Y a la fusion du
pouvoir entre la majorité parlementaire et le gouvernement, avec la domination du
gouvernement sur la majorité parlementaire.
Le deuxième critère c'est un gouvernement soutenue par un seul parti. Avec une
majorité séré.
Ligphart remarque que la condition nécessaire pour que ce model puisse fonctionner,
est que la société dans laquelle il est établi doit être homogène sur le plan culturel et
social. S'il existe des minorités importantes dans une société ou ce model majoritaire
fonctionne, ce model risque d'aboutir a la tyrannie de la majorité sur la minorité, et
sans doute a une guerre civile. Ces conséquences qui ont poussé ligphart a s'intéresser
a des modèles politiques ou des clivages culturels demeurent important, et largement
polarisée en considérant que ces sociétés, plus diverses sociologiquement, doivent se
structurer selon un model alternatif concessionnel.
50
8. une constitution écrite organisant le veto des minorités.
Dans les pays ou la représentation des intérêts est considérée comme secondaire, les
parlements ont pour fonction le soutient aux exécutifs. La fonction de fabrication de la
loi a été vidée de son sens par les exécutifs. Ces parlements qui ont fait de leurs seules
fonctions politiques la fabrication de la loi se trouvent démunis de toute fonction
politique. Les parlements continuent a jouer un rôle important, au moins au niveau de
la représentation des intérêts –
Les parlements les plus puissants sont le congres américain, le parlement italien,
allemand – bicaméralisme relativement égalitaire, permettant un accès plus important
en leur sein des groupes d'intérêts. Ils sont moins propice a l'influence des groupes
d'intérêt. Ils cherchent a concentrer le pouvoir politique pour soutenir l'exécutif.
Y a deux sortes de Lords, ceux qui siègent a vie et des lords qui ont se privilège de
manière héréditaire, les lords a vie sont nommée sois parmi les membres de la
majorité soit parmi les membres de l'opposition. La chambre des lords a connue une
reforme en 1999, personne ne peut être lord héréditairement, ils sont nommées a vie
de manière viagère. Le pouvoir de la chambre des lords sont également sans doute
ceux d'une chambre haute – la plus limité car elle ne peut s'opposer a la majorité de la
chambre des communes, elle a seulement la capacité de retarder les textes qui seraient
votés par les communes, et n'a pas de pouvoir spécifiques en matière financière.
On peut parler du sénat français, qui reste contesté et qui a été reformée une première
fois en 2003. les sénateurs ne sont élus que pour 6 ans a la place de 9 ans, le sénat a
augmenter le nombre de ses membres, passant de 321 membres a 346 – cela est du a
la modification du scrutin, qui est majoritaire ET proportionnel, car 180 sièges sont
attribués au scrutin proportionnel, dans 30 départements ; le reste sont élus
majoritairement a deux tours, dans les départements et collectivités d'outre mère.
rapidement le senat français s'est imposée comme une forme essentiellement rurale,
deconnectee de l'évolution sociologique du pays, et sous la 5eme république, mode
d'élection indirecte, les zones rurales sont largement surreprésentés.
51
Le Senat italien, majoritaire et consensus – a un rôle important au sein du système
politique, a un rôle essentiel ; il participe de l'émiettement du pouvoir politique propre
a ses modèles de consensus. Les différences avec le mode de scrutin de la chambre
des députés ; on a des résultats identiques a la foi dans le mode de recrutement des
sénateurs et députés, et dans la définition de leur majorité ; c'est pourquoi un certain
nombre d'acteur politique important soumettent régulièrement des idées de reforme,
qui ressemble a la chambre des députés. Il y au bicaméralisme parfait, donc en cas de
désaccord sur un texte, est organisé une navette qui peut se prolonger sans que l'une
des deux chambre puissent l'emporter l'une sur l'autre, dans le vote de la loi.
La seul contrainte est qu'il ne peuvent se prononcer en seconde lecture que sur les
amendements des textes votés par les autres chambres ; de sortes que les discussions
mènent a un accord sur le fond d'un texte. ca c'est dans le système italien qui s'oppose
aux secondes chambre, légitimité des chambres hautes ; elle est beaucoup plus
immédiate compte tenus du fait que dans les systèmes fédéraux, elles représentent le
clivage entre le centre et la périphérie. D'après le model de consensus, jouent le rôle
de la représentation des intérêts.
Aux USA, les sénateurs et députés sont élus par suffrage universel directe. 2 sénateurs
par état malgré les disproportion de représentation. Le bicaméralisme est considérée
comme égalitaire, même si du fait de la durée de mandat plus long des sénateurs (6
ans). Un refus de compromis entre les 2 chambre va faire tomber le texte, les
commissions mixtes proposent des solutions, et en général on suit les solutions.
52
En France et en UK le pouvoir concentré au sein de l'exécutif va tendre diminuer l'
Importance des groupes d'intérêt ; des parlement comme cible priviligiee des groupes
d'intérêt, en France et en UK les groupes d'intérêt ont aucune influence limitée sur la
définition des lois au sein du parlement.
Le pouvoir législatif est de plus en plus dans les mains de l'exécutif, soit par transféré
soit par substitution de l'exécutif au législatif dans le contenue des normes adoptées
par le parlement. Si les parlements votent encore des lois, ils les fabriquent de moins
en moins. En raison de la systematisation des procédés de délégation législative, avec
différents modèles de délégation exécutif au législatif. La délégation au profit de
l'exécutif ne peut intervenir qu'après que le parlement ait fixé les principes et
l'orientation de la matière délégué au profit du nombre de l'exécutif. La duré de cette
délégation est également limité ; son objet doit être définit, et dans le cas ou le
gouvernement adopterai des normes a valeur législative, il doit les présenter le jour
même au chambre sous forme de décret, et ces décrets seront convertis en loi dans les
60 jours qui suivent leur adoption. Un système extrêmement encadree de la
législation, mais ce mécanisme constitutionnel a été balayee – le nombre de décret loi
en Italie n'a pas cessé d'augmenter.
L'exécutif joue un rôle de plus en plus pregnant presque partout dans l'elaboration des
lois, c'est le cas en Italie, c'est le cas en Allemagne federale (70% des lois sont
d'origine gouvernementale) – model initie en UK, ou le gouvernement est a l'origine
de 82% des lois adoptés par le parlement, 95% des propositions de lois déposés par
l'exécutif.
53
fait de la séparation stricte des pouvoirs qui permet seulement un pouvoir d'influence
plutôt qu'un pouvoir directe sur le pouvoir législatif.
La maitrise de l'ordre du jour : sous la 5eme république, l'ordre du jour comporte une
priorité pour les projets de loi, et que c'est le gouvernement qui fixe l'ordre même de
discussion des projets de loi. Depuis la reforme constitutionnel de 1995, une séance
par mois est réservée au parlementaires. Ce sont des textes tirés au sort parmi les
propositions des parlementaires qui sont discutés.
En Italie c'est la conférence des presidents de groupe qui reunie l'ensemble des
presidents de groupe, qui doit statuer a l'unanimite sur l'ordre du jour. En cas de
désaccord, c'est le président de la chambre des députés/senat qui peut fixer lui même
l'ordre du jour, et donc departager les différents groupes parlementaires. Le parlement
en Italie peut établir sa predominance sur cette ordre du jour.
Aux USA – il faut prendre en compte le rôle de la commission des règlements, qui
sélectionne parmi les propositions importantes, parmi celles qui seront susceptible ou
non de faire l'objet d'amendements parlementaire.
La procédure législative dans la chambre des communes : le texte est d'abord présenté
aux chambres, après y a une deuxième lecture avec un débat engagé de deux jours sur
l'opportunité de la mesure en question, et la totalité du texte. troisièmement en
commission, le texte est discutée article par article. Les standing commitees font un
travail d'amendement. Après y a un rapport, ou les amendements qui ne plaisent pas
au gouvernement ne sont pas pris en compte. Le texte est ensuite votée avec une
séance plénière sur la base des amendements adoptes dans le rapport. UK est le model
ou la maitrise des amendements est sophistiqués ; motion de clôture de débat sur
décision du speaker lorsque la discussion du projet s'est prolongé au delà de 48
heures. Le vote peut être demandée sur le texte. motion de la guillotine fixe un
horaire, un temps précis pour chaque articles au groupes d'articles discutés ; permet de
couper au moment ou le temps a été passé, et aller au prochain. Enfin, dernier
mécanisme ; technique du Kangourou, permet de sélectionner les amendements les
plus importants, sélection par le speaker – en accord avec le gouvernement.
54
En Italie, les chambres plutôt que le gouvernement qui joue un rôle central, avec
depuis 1981, un règlement qui instaure une discussion unique sur l'ensemble des
amendement a un article de projet de loi. Pour limiter les risques d'obstruction, chaque
parlementaire ne peut intervenir qu'une foi et dans un temps limité (45 minutes).
Les commission ont des capacité a procédé a des audition a des différent milieu
intéressé ; c'est a ces moments que les lobbies peuvent participer a la définition des
amendements. Les projets gouvernementaux deviennent totalement deformes ; avec la
possibilité en commission de greffer des proposition nouvelles ayant aucun rapport
avec lui.
L'une des fonction essentielle des parlements dans les démocraties occidentales
consiste historiquement dans le fait qu'ils participent a la définition de l'espace
politique par la mise en cause de la responsabilité politique.
le premier constat est que cette action est de moins en moins utilisée. La grande
bretagne qui a inventé la mise en cause de la responsabilité du gouvernement n'a
utilisé la mécanique de censure depuis l'après guerre en 1979, alors même que le
régime parlementaire sur le plan constitutionnel se défini autour de ce mécanisme de
la responsabilité politique du gouvernement. Ces tout le jeu du régime parlementaire
anglais que de lier la majorité parlementaire au cabinet au gouvernement par le biais
de cette responsabilité, est au cœur de la concentration du pouvoir politique entre les
mains du cabinet en Grande Bretagne. Le principe de la concentration du pouvoir
défini le régime parlementaire britannique, c'est l'enchevêtrement des lien politique
55
entre le cabinet et la majorité parlementaire. Le cabinet est a la foi dépendant et
dirigeant du parlement.
L'intrication entre la majorité parlementaire et le cabinet explique que ce n'est pas par
le biais d'un vote formel de la mention de censure que la responsabilité politique est
mise en cause, mais au sein du partie majoritaire que cette responsabilité est mise en
cause de manière interne en dehors de procédure juridique dans le cadre de
mécanisme essentiellement politique.
Thatcher, en 1990, premier ministre, est poussée a la démission par son partie
(conservateur) et est désavouée comme présidente de ce partie.
C'est au sein de son propre partie que Tony Blair trouve l'opposition politique la plus
farouche, tant en ce qui concerne la guerre en Irak, ou en ce qui concerne la politique
de troisième voie – largement contestée par le Old Labour ; c'est sans doute la crainte
d'une déroute électorale qui aurai décidé de remplacer le premier ministre qui semble
être impopulaire donc susceptible de les renvoyer a la défaite électorale.
Ce ne sont pas les mecanismes subtiles du parlementarisme rationalise qui se sont mis
en jeu de la responsabilité politique.
56
C'est la même chose pour les USA et l'Italie. En Italie soixante gouvernement environ
se sont succedes depuis 1948, et l'adoption d'une motion de censure est a l'origine de
seulement quatra demission dont 3 se sont produites dans les années 1990 (Amato en
1993, Berlusconi 1994, Prodi en 1998). En général la encore la plus part du temps la
demission du gouvernement est la conséquence de problème interne au sein de la
majorité/coalition parlementaire majoritaire, la plus part du temps il s'agit d'action des
francs tireurs.
On retrouve la tendance propre au système politique italien qui veut que ce soit entre
les parties de la coalition parlementaire dans le cadre des multiples tractation
informelles qui régissent leur relation que se definissent les options politiques du
gouvernement.
Dans les USA – aucun mécanisme de responsabilité politique proprement dit n'existe.
Egalement ou la coalition entre le président et la majorité parlementaire hostile est
relativement courrante – majorité démocrate au parlement, et président republicain…
la mise en œuvre de la responsabilité est lié a un moyen historique – la responsabilité
est exclusivement civile et pénale ; n'y sont pas substitue des mecanismes de
responsabilité politique. La seul procédure qui permet de mettre en cause l'exécutif est
de nature judiciaire, même si elle est exercée par un organe essentiellement politique
(impeachment) – il faut la majorité des deux tiers au senat, la majorité simple a la
chambre des représentant, dans le cas de corruption, haute trahison, ou de délit grave
ou de crime grave. La lourdeur de la procédure rend cette arme de l'impeachment
quasiment inutilisable – il suffit d'établir un bilan de cette procédure ; 14 personnes
seulement ont été inculpe depuis la création des USA, 13 jugé par le senat, et
seulement 5 ont été destituee. Clinton en 1999 avec l'affaire Lewinski pour délit de
parjure dans le cadre d'une enquête par un juge indépendant.
Les ministres voient le senat exercer son droit de regard sur les fonctionnaire de haut
niveau – le refus portant sur les membres de l'équipe présidentielle par le senat sont
rare – il y a eu une dizaine effective.
Régulièrement c'est pour ne pas se voir opposée un refus du senat que le président des
USA retire une candidature, c'est arrivé en 2001 quand il a proposé une secrétaire
d'état qui était accusée d'avoir engagé une personne de menage imigree clandestine.
La même chose c'est fait avec Hariette Myers en 2004 – cependant elle était la
conseillere juridique de la maison blanche ; elle était plutôt libérale au sensé
américain, donc hostile la peine de mort. Elle était opposé par la droite républicaine.
La guerre en Irak, en 2008 – senat a été contre; le congres est susceptible de constituer
des bornes a l'action politique presidentielle. Le congres parvient a contraindre les
marges de manœuvre du président des USA dans le cadre de la politique étrangère
américaine, a l'heure même que cette politique est considérée comme tabout pour
cause de patriotisme américain. C'est aussi car le président des USA ne possède pas
l'initiative législative que le congres est un organe politique nécessaire pour définir les
bornes de l'action du président, qui de sont coté est contraint a des négociation
permanente pour trouver des majorités au cas par cas pour faire passer ses grandes
actions politiques.
57
Les parlements controlent la politique, confiance, censure, impeachment, selon une
modalité plus diffuse qui s'exerce au niveau du partie majoritaire ou de la coalition
majoritaire – certains membres peuvent faire valoir leur mecontentement devant les
politiques. Il ne pèse jamais sur la mise en place positive des details de la politique
gouvernementale.
Aux USA le parlement a eu un rôle qui n'a pas eu tendance a decliner. En Allemagne,
y a un encadrement permanent de ces actions par la constitution qui permet au
gouvernement federal de s'opposer a une augmentation des dépenses. Lorsque cette
augmentation ne correspond pas a un accroissement des recettes. La création ou
l'augmentation d'une dépense sont interdit au parlementaires même si elles sont
compensees par une augmentation d'impôt identique. Les parlementaires français ne
peuvent proposer que des baisses d'impôt. Même en Grande Bretagne le parlement a
été releguee en matière budgétaire au second rang jusqu'à 1982, selon la tradition le
parlement avait 29 jours pour disctuer des dépenses qu'il selectionnait, dont il
entendait debatre – 29 jours réservé a la discussion de dépenses qu'il avait
selectionnee. Petit a petit l'habitude a été prise de discuter des actions du ministères au
lieu des dépenses. Une reforme a été intervenue en 1982 interinant cette habitude, en
organisant 3 debats sur l'organisation de budget spécifiques choisis par le comite de
liaison (select commitees) ; désormais ces trois debats sont organisée dans le cadre de
dix jours réservés a cette discussion budgétaire et réservé notamment a l'intervention
de l'opposition parlementaire. Ce que l'on défend en général, c'est que finalement cette
reforme reflette la difficulté qu'on les parlements européen a contrôler les budgets au
sein de l'état moderne qui sont deplus en plus complexe. Les commissions spécialisé
des parlement, et même les gouvernements, sont de moins en moins aptes a contrôler
des budgets de plus en plus spécialisé et considerables.
On peut considérer que le contrôle parlementaire aussi imparfait soit-il, du seul fait de
son existance, de la publicité qu'il tente a faire a certaine questions, du seul fait de
l'echo qu'il est susceptible de rencontrer dans les medias, peut être considérée comme
un garde fous preventif contre les derives les plus probables. Le contrôle informel
contribue a définir un système de contrainte sur les marges de manœuvre des
gouvernement. En UK, en France, même si les parlementaires ne peuvent pas
directement intervenir sur les bases de la règle constitutionnel, il n'empêché que ce
rôle de controleur politique est effectif au sein même de la 5eme république.
Le parlement inscrit de faible dépenses dans la loi financière, ainsi ayant un budget
équilibres tout en sachant que les dépenses reeles sur ces postes seraient plus
importantes.
58
Le pouvoir du parlement italien en matière budgétaire ; a contrario, dans son
incapacité a contrôler le flux des recettes et des dépenses – l'écart est important entre
les sommes engagée dans le budget, et l'incapacité de l'administration italienne de
mettre en œuvre des politiques publics décidée par le pouvoir publique. On considère
également le rôle particulièrement important de ce qu'on a déjà vue – ces petites lois
adoptée au sein des commission réglementaire sans qu'il y'ai de vote formel en séance
pleneiere. Celles si sont couteuses du fait du clientelisme politique. Les partis
politiques jouent un rôle essentiel en distribuant des subventoins a des groupes
d'intérêt sur un mode quasi interpersonnel.
L'état italien est un état passoire des états particuliers a cause des subventions
distribuee, metant en œuvre un système de privatisation de l'intérêt général, et c'est le
parlement italien qui en est la cause.
Le congres des USA reste le parlement occidental dotée des moyens de décision et
control budgétaire les plus importants – c'est le seul qui est compétent pour fixer la loi
budgétaire, et le seul compétent au matière fiscal. Ce monopole du congres va être
battue en breche après la 1ere guerre mondiale, et encore plus avec le new deal, au
point que désormais le congres se contente de modifier, amender et critiquer un projet
qui est présenté et fabrique essentiellement par l'administration presidentielle.
Depuis 1970 a été crée pour le président des USA un office of management and
budget qui est chargé de mettre au point le budget des USA – historiquement les
prerogatives presidentielle auraient atteint leur appoge avec Nixon au début des
années 1970 au point qu'il a personnellement défini les dépenses de l'état. Il a refusé
de depenser certains crédits voté, et il a eu pour habitude de transférer les crédits voté
en fonction des besoins qu'il considérait comme prioritaire a titre quasi personnel. En
1973, en 1974 budget appoundment act de 1974, après que le congres a renversé le
veto que Nixon avait opposé contre cette loi. Ce texte crée un nouvel organisme ;
congressional budgeting office qui permet au pouvoir législatif la plenitude de reatblir
les parties de la capacité du conres d'élaborer, peser sur la definission du budet,
notamment en proposant un projet aleternatif de budget a celui du président
américain. Il instaure un système de contrôle de l'ensemble du processus budgétaire
par le biais de la création de commitee budgétaire crée au sein de chacune des
assemblees.
Des groupes dont les intérêts communs finissent par l'emporter sur la division
fonctionnelle des rôles entre les parlementaires, les groupes d'intérêt et
l'administration presidentielle.
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Les standing commitees ne sont pas permanente, et a coté d'elles il y a des select
commitees dont la fonction est plus spécifiquement une fonction de contrôle des
administrations gouvernementale, certaine de ces comission sont déjà ancienne,
comme le select commitee of estimates crée en 1912 servant a l'examen des crédits
demandé par le gouvernement. Il y a aussi le scrutiny commitee instituée en 1944
pour exercer le contrôle sur la législation déléguée, en 1979 c'est la reforme
importante.
*** ont une place décisive dans ces commission de sorte qu'il n'hésite pas a aller a
l'encontre le cas échéant de la politique menée par le ministre en question. Ces select
comitee ont la possibilité de convoquer et entendre en public les hauts fonctionnaires
de l'état et tout les experts sont susceptible de donner les informations techniques dont
elles auraient besoins. Sur ces bases ils produisent des rapports, elles peuvent
surveiller le département ministériel, et enquêter brievement sur des questions
controversee, et peuvent également effectuer des enquêtes plus lourde sur des sujets
de politique publics plus importante.
L'Allemagne semble avoir des difficulté a faire usage intensif des commission
d'enquête prévue par la constitution – au sein du bundestag créer des commission
d'enquête se réduit au fait qu'il y a une mission principale de législation et non pas de
commission. Le travail est fait plutôt en commission qu'en assemblée plénière – les
lois/ammendements des lois sont faits plus que le contrôle de l'administration
proprement dit.
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souvent a empêcher les indications les plus genante, et l'opposition souvent n'étant pas
en mesure de créer ces enquêtes parlementaires et du coup se refugie dans un silence.
C'est aux USA que ces commission ont une importance particulière ; l'exécutif est
complètement indépendant du congres en matière de responsabilité politique – les
commission ont un rôle plus décisif face au congres, car ils exercent un control sur la
politique gouvernementale.
Sur la base de la culture politique les représentants au sein des commission d'enquête
se comportent de manière indépendante sur le mode politique – donc véritablement en
procureur sur un mode quasi judiciaire au moment de ses enquête, sans respecter leur
attache partisane, ce qui peut être reliee a la faiblesse des partis politiques aux USA
qui ne permet pas de donner des directives aux commission. Les commission
participent toujours a la politique presdentielle, et sont des relais décisif sur l'opinion
public – avec une efficacité sans aucune commune mesure du parlement européen
étudiee.
Ils permettent de mettre au cœur de l'actualité politique certains problèmes plutôt que
d'autre de sorte qu'ils participe a définition des partis politiques. Le parlement par le
biais de ces commission d'enquêtes et question participe de la hierarchisation des
enjeux politiques au sein de l'espace publique. 86173.doc
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