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LA LETTRE A L ILLUSION

Tes yeux flous me questionnent sans envies de réponses.


Je repose mon attention, sans un geste, et sans prononcer, tout ce qu il me reste
à dire.
Ta silhouette se reprend, ton regard se détourne, avec apparemment, l Image de que
lqu un d autre à qui penser, pour te sentir autre.
Dans ta fuite en abandon , tes non dits s apparentent à tes réponses ;
Celles que j aperçois pour tellement !
Avec toutes ces belles phrases ;
Celles que l on vante comme des souvenirs.
Comment les prononcer sans les ressentir ?
Peut-être parce que ces mots : ne sont plus que des mots qui s éprennent des repro
ches pesant sur nos ranc urs !
Voici toute notre clarté, habituée à reprendre et à relever, pour prétexter nos
absences : avec notre méfiance
Ainsi, le passé s amoncelle dans de ritournelles Obsessions, désencombré de la rai
son d aimer vraiment.
Nos voies de peines ont creusé leur cul-de-sac, avec des jurements raccourcis, c
omme ;
Avec toi, tout est si important ! -
Et maintenant ?
L Autre ! Cet unique rapport ! Si transporté vers ses Abîmes de sur Bonheur, reflè
te son indifférence, jusque dans ses mensonges.
Ensuite ;
En bons Camardes, nous nous racontons de nouveaux les mêmes choses, sur un Ton p
lus pronateur : Comment vas-tu ?
-À partir de cela, commence l Exil !
Le Mieux, Ennemi jurant, peut nous laisser las.
Alors, autant faire pire !
Surtout avec cette prochaine marque de tendresse, attendue par un pied si ferme,
pour assister la naissance du sentiment séparateur de l Union, et admirer une exa
ltation que nos membres aboient.
Nos années communes ont encerclé notre intimité, avec l interrogatoire centrifuge
de nos peurs ;
L un contre l autre.
Depuis, nos gestes et nos dires se transfèrent vers quelques autres, différents,
insinuant plaisirs et divergences : dans l Entrepôt des phantasmes et des possess
ions.
Nous pouvons enfin, reprendre la mission de nos craintes, en feignant une fois d
e plus, de n admettre qu il y a toujours avant jamais.

L Histoire continue
Soit !
Mais attention : les leçons que l on réitère ne laissent que l empreinte de leur Pas
sage.
Alors; Continuer ?
Nous nous sommes laissés faire avant et après, sans consulter nos Anecdotes, en
présumant qu il y a toujours une possibilité dans le jeu d autrui.
Sans doute, n aimons nous pas devoir !
Malgré cela, nos préférences ont souvent usé de nos décisions.
Aurions-nous seulement tort ?
Pour qu à ce point, chacun ne puisse promettre sans tromper ou être
trompé ?
Est-il possible de séparer nos Idées de nos Envies ?
Le Futur ne donne pas de précisions, et le Passé n ajoute rien à nos hésitations.
L incertitude partage notre surdité jusque dans nos plaintes, les laissant aller c
omme bon leur semble.

Tes rituels soulignent ton état d esprit.


Tes aliénations, associées aux miennes, traduisent l Absence.
La Présence, n est paraît-il, pas la première qualité des Vivants !
Preuves en sont ;
Les témoignages recyclés de nos cultures d'héritiers font que le seul motif d'ex
périence, extrapole nos hasards.
Il nous faut reprendre l examen du trop tard , sans perturber la séance du trop tôt , av
ant que Trop, lui-même, interfère tous nos choix.

Comptes-tu poursuivre tes relations détournées ?


Qui, jouées d avance, iront choir dans d évidentes séductions.
C est encore un tour de tes principes, dans la zone caractérisée de ton
évolution !
Ainsi, tu te targues avant d avancer.
Tu contre dis ton inquiétude, avec ton nouveau faux attachement.
Celui-ci, comme tout Marécage : n entremet pas que des Transformations !
Biens d autres comme toi ont eu tendance, à y bâtir leur dépotoir ;
En attendant que leur Mépris se terrasse lui-même.
Fières bestioles !
Les confusions n ont jamais permis à qui que ce soit, de reconnaître qui que ce so
it.
Les vrais partages ne sont que éphémères, pour ceux qui ne veulent surtout pas d
onner prise, à ce Bien-être , si encombrant.
L aventure, prendrait trop vite un Air d abandon !
Là dessus, tes pensées ne changent pas :
Elles s allongent avec tes compromissions.

En t écoutant présumer de moi : j ai appris à entendre parler de toi


Avec, ta façon d imaginer mes désirs.
Sauf que pour toi, apparemment ;
Désir, se confond avec Vice !
Cela m explique un peu dans quel sens tu as pu diriger, ce que tu appelles la jalou
sie ...
Histoire de justifier tôt ou tard, la nature de ce que tu as dû supposer êtres t
es Réactions !

Alors maintenant La reprise continue !


A moins que Changer (et non pas, uniquement de mauvais sens) ;
~Ne soit pas, qu une mesure de Balance, et n arrive que probablement.
~S installe en dehors du sens unique des apports d influences.
~N intervienne que heureusement.
Mais, vouloir ?
La belle Affaire !
Ce genre de Moule a trop souvent été rempli de, pourquoi faire !
Pour n engendrer qu à mi-chemin, une reproduction indéfinissable.
Remercions là, ceux qui n ont su que figer leur Liberté, à la place de leur Crétin
isme.
Il ne leur reste plus qu à se noyer dans leurs conversations de survivants de la tr
istesse .
Chez ceux là ;
Quand certains montrent leur attachement à l horreur, d autres témoignent de leur dé
vouement pour sa nécessité.

La communication à elle aussi ses maladies...


Chaque personne peut faire le tri de ses échanges sans pour autant : soupeser la
teneur des comportements qui se transposent en elle, par le jeu de l attirance.
La Négligence en est souvent le premier élément.

Que nous plait-il, curieusement ?


La solitude ?
À condition de ne pas en devenir l'esclave !
Et de risquer la peine de ses enchaînements.
Les Troupeaux humains établissent chaque jour, à travers leurs convenances, des
règles d injustices, applicables à toutes conditions !
Il suffit d y adhérer, pour au plus vite leurs en rendre compte.

Depuis, nos sens Préhistoriques n ont su changer


Difficile d être ailleurs, que dans ce temps là !
Nos Ornements de mortels délèguent à l'avenir, nos Espoirs les plus farcis.
Alors, parlons nous de nos Enfants !
La bétaillère est grande sur cette planète.
Nous avions l avantage du vivant, et avons mis bas, ceux que nous léguons aux Entr
emetteurs de subsides : qui justifient la faim
Espérons qu ils n auront pas plus à lever le bras pour être
RECONNAISSABLES !
Auprès des défendeurs de phrases faciles à tenir, avec une autorité.

Sur les Havres de l indignité, se sont construit les raccourcis des différences, d
ites sociales , à usages économiques : pour fondre le principe des choix individuel
s dans ceux des exigences Industrielles.
- Certains répondent à cela par ;
La Volonté unanime est une Utopie, que seuls quelques illusionnistes prétendent
représenter publiquement !
La plupart des différences se sont assemblées dans des évolutions de plus en plu
s uniformes, pour répondre aux besoins quelles supposent !
« Mais toi, que restes-tu faire là dedans ? »
Il n est à personne possible, d expliquer à ceux qui doivent comprendre, ce qu ils veu
lent, ce qui est .
-« Je n aurais heureusement jamais, ta Volonté ! Pas même équivoque ! »
De cette façon ;
Se comprendre n est plus une Obligation ou, une Attente.

« J aimerais » : ainsi, se soustrait à une promesse que la plus part


photographient pour leurs Albums d antéoccupations.
Ces genres 'accompagnateurs adulent leurs semblables avec des conjectures, qu aucu
ne Dignité ne saurait projeter sans s ignorer.
Et, s il est vrai que l affirmation ne peut suffire à éclairer toutes les considérat
ions produites, il appartient à chacun de développer ses solutions
Jusqu à la suppression encore efficace, des sentiments et de leurs Biens par quelq
ues-uns et leurs Résultats ;
Chacun peut adapter les impossibilités de ses connivences à des châtiments plus pe
rvers.
De cette façon, certains se sont équipés d exutoires évoluant en toute légalité da
ns les Parties parfois intimes de toutes les Sociétés.

La Stérilisation du Progrès, devenant difficile, là où quelques Promus d office la


jugeait profitable, ceux-ci la déplacèrent auprès d instances plus sociodirective
s, pour investir les populations et les patrimoines d États plus corruptibles.
Quoi de plus ethnique ?
Devant une telle propriété, les Industriels de la Justice d une grande part des Nati
ons ;
Peuvent engranger les Moyens dont ils disposent, et détourner le sens des besoin
s pour leurs usages, avec la bénédiction des Complices qui les font prospérer C est à
dire ;
Nous Tous !
Pourquoi ?
La peur d intervenir perturbe, au point de détacher tous ceux qui voudraient entre
prendre des mesures contrôlables, avec les scrupules les plus indiqués par le La
xisme à la Mode du moment.
Nos fidèles Lâchetés remplissent les Tribunes de ceux qui empêchent
quelques rares Audacieux, de déraciner ces pouvoirs élus tantôt par la
Rumeur, matin par la Promesse

Depuis le détournement du sens Politique par les Dialecticiens du commerce, les


marges d intérêts individuelles constituées par chacun ont dû se parquer , dans les z
ones de crédits que développent les Banques de ces Commerces.
Apparemment, quelques milliers d années ne suffisent pas, pour occuper ce genre de
Culture .
La mission salariale ne répondant qu aux Subordinations ;
Suppose qu'il est difficile pour ceux qui s y sont habitués, de prendre le temps d y
changer quelque chose ! .
Du moins, de se laisser aller à retirer de toute forme de dépendance, sa subsist
ance ou, sa famille, et de s adapter à cette hantise nommée,
Liberté ! .
Comment ?
~Curieusement !
~Sans faire uvre de méfiance !
~Avec ce partage absolu de la Transparence , que l on dit : fomentatrice de Troubles
!
Pour qui ?
Toujours les Mêmes !
Les Alarmistes du manque à gagner, tous, préconisateurs d incapacités.
Convaincus que nous sommes, d arriver à ce qu il est convenable d appeler des Principes
contenant le règne de nos Désirs, nous nous risquons jusqu à de propres essais de
respectables simulations.
Seulement, via ceci ;
Les Ambitions abordables par tout le monde, ressemblent beaucoup aux spectacles
de Cirques dont les atouts majeurs reste, être après le Dressage , les congratulati
ons !
À cause de cela, les bonnes Raisons d exister, étant devenues trop chèrement ésoté
riques pour l ensemble des gens : font l objet d acquisitions réservées à leur peu d usa
gers.
Heureusement, la Nature intrinsèque de notre monde n absorbe réellement que l oubli,
avec les empreintes de toutes les existences, et l intégralité de leurs héritages
De cette façon, l oubli nous laisse avec ses permissions
Non pour que nous n amenions que nos choix, ni pour que nous ne fabriquions que se
s conséquences !
Mais, pour qu il nous damne à préserver des besoins comme les Souvenirs, ou autres
Collections , et de nous rendre à la nécessité de nos Limites.
Celles-ci ont eu la grâce de devenir religions ;
~ Idéologies métaphysiques, qui parlent d Elles-mêmes.
Ou bien, de s intégrer à des réalités dites rationnelles , que beaucoup confondent,
avec le rationnement des Idées, attribuables à tout ce qu il est raisonnable de do
nner en échange de sueurs froides ou chaudes, pour accompagner leur conditionneme
nt .
Il est également possible pour certains grands assassins de faire valoir des act
es préconisés comme religieux auprès de véritables suicidaires convaincus, que l
eur mise à mort provoquant celles d innocents citoyens, dont l opinion ne peut être
présumée, reste néanmoins nécessaire.
N importe quel tordu mental peut donc dévier les préceptes de possibles obédiences
pour assouvir avec la haine un besoin commun à bien d autres, en aliénant encore
plus loin d autres volontés personnelles, obligées par un mouvement devenu trop gl
obal pour être contré.

Comment qualifier de sainte religion : le cautionnement d actes de guerre, dont la


mise à mort d êtres humains semble être l objectif principal ?
Comme tout domestique, les meneurs de Causes sont d abord instruits.
Ensuite, récupérés par les Objecteurs de leurs ambitions, ils se proposent de de
venir les boucliers des établissements en cours.
Et quand déçue, la Crédulité ne s achète plus ;
-Elle lutte pour sa gloire !
-Se reprend
-S interpose !
Dans quel Sens ?
Généralement, dans un Opposé : tout aussi prometteur
À moins que recentrés par de plus Persuasifs, les Sens se plient à nouveau sous
le poids souverain d une dernière Trouvaille , adaptable à de plus Fiers redressement
s.
Sur ce plan là, réside l insoupçonnable façon de récupérer ceux qui font semblant
se rendre compte ;
~Que se laisser berner, équivaut à encourager ceux que l on dit mépriser comme des
traîtres, parce que même par contournements, il serait trop difficile d être Coura
geux ! .

« Il faut croire ! »
Ce dont de la Nature là, n est pas qu une vieille Entreprise : les Fabricants de Rên
es pourraient, par de faciles allusions, comparer leurs objets à beaucoup d explic
ations allant avec ;
Les métiers, les professions, les enseignements, les croyances, ainsi que tout c
e qui concerne les verbes, diriger et manipuler.
Les mauvais Chevaux, si nous pouvions les traduire, nous raconteraient certainem
ent combien il est pesant d emmener son Dirigeant avec ses refus d inférieur Vers des
possibilités que le verbe, admettre , soumet.

Quoi que chacun puisse penser, les authentiques primitifs que nous sommes, patau
gent surtout dans l inconnu ;
Invaincu par le Progrès, les arguments conscients des plus évolués, le démontre
toujours !
Comment recevoir les affirmations de plus en plus coûteuses des Fossoyeurs de dé
couvertes utiles et de brevets ingénieux, ne correspondant pas aux stratégies fi
nancières en cours ?
En estimant que ces avantages ignorés, ne produiraient que les Régressions ultér
ieures, promises par ces usuriers de capitaux !
~Difficile d'éviter leur "blabla", mais de là à n écouter qu eux
IL faut d abord savoir, que leur sens de la Propriété ne concerne à priori que les
Partenaires incontournables de leurs Intérêts ;
Pour qu ensuite, ceux qui divisent leurs difficultés et confortent l entreprise de l
eurs occupations, ne soient rétribués qu avec des vénalités qui ne concèdent aucun
es parts dérangeantes.
Grâce à de telles Mesures, certains Règnes véritables se masquent en distribuant
les jougs sans cesse plus actuels de leurs Démocraties.
Certes, partant de cela, la modernité de ce Monde stagne dans l espoir, à cause de
ce Progrès , enclavé par les Biens des plus Nantis.
Doit-on pour autant, êtres les acquisitions que nos moralités approuvent ?
Les plus Aliénés à cette Cause répondent sur un ton de prostrés, par ;
C est comme çà, On ne peut pas faire autrement, et de toute façon, On ne va pas re
faire le Monde ! .
-Il faut croire que la notion de confort a dépassé celle de la Conscience,
grâce à une normalisation de plus en plus totalitaire, pour installer un modèle , r
emplaçant facilement les étapes culturelles de part ce monde, avec les dispositi
ons actuelles d un Stéréotype humain, d une apparence toujours plus Occidentale et ran
gée.
À quoi ressemble un modèle de grand Escroc ?
À quelqu un(e) de Bien, évidemment !
Comment pourrait-il (elle) exister autrement ?
La Confiance, déchue de ses attributs premiers depuis toujours, est entrée dans
les Ordres des plus Piètres, pour permettre à de meilleurs Volontaires de s instal
ler crédulement dans leurs Fois.
Bien des extrémistes l ont montré ;
Pour eux, y croire , insinue se sacrifier ! , ou plus précisément :
~Abandonner sa personne à l usage et aux Convictions d autrui, dans l histoire perpétu
elle des exemples, avec,
~ « Dans l esprit tout est décrit ! » Cela se conçoit très bien,
~ « Dans la Nature, même l horreur à son utilité ! » C est toujours évident,
~ « La suite est fortement longue donc, etc. ! »
À quelques desseins près, le choix imaginaire de ces preuves a valu chez quelques-un
s d éviter toutes Raisons de comprendre quoique ce soit plus loin !
Heureusement, chez quelques autres, ce style d effet secondaire n a pu entrer dans l é
laboration de leur comportement, les laissant exempts des maladies mentales aux
quelles les uns s adonnent volontiers. Cela à permis à ces quelques autres, de pro
fiter du temps passant Pour que, dans l esprit et dans la Nature, selon ceux qui le
certifient ;
~Les Goûts perpètrent l enjeu d énormes probabilités, dans toutes les catégories de
consommations, pour toutes les populations.
À ce rythme, tous les profits possibles auront tôt ou tard fini par digérer tous
les moyens existants.

L évolution, abandonnée de ce monde, fera de ses droits ce que peuvent devenir la


plus parts des détritus sur leurs terrains vagues.
Ensuite, dans un programme fini, pourra séjourner la Fatalité dans sa transforma
tion de Paradis... Pour elle seulement.
À moins que l imprévisible : lui encore !
Ne nous joue un de ses tours préférés, et laisse le Transformisme être
toujours !
Évidemment, cette question d époque ne concerne pas que nous spécialement Quel retou
r !
Peut-être détenons-nous la permission naturelle de passer outre le Destin ?
Cela signifierait au moins que nos sens de téléguidés appartiennent à d autres Fins.
À condition de ne pas contribuer à un Enfer éternel ! Bien sur
L'ignorance qui a permis aux religions de se bâtir contient, elle, dans ses non-
descriptions : toutes les terreurs qui rendent si adorables ses Modes d admissions.
L obscurantisme qui prospère dans ces appartenances, n a obtenu qu une adhésion très g
lobale dans l ensemble des nations, et il reste encore trop d illuminés à isoler ou
à réduire, pour considérer que Tout puis être vendable.
Cependant, même les Marginalités s utilisent ;
Il suffit de constater à quel point il est facile de faire valoir n importe quel
Contre pour justifier l opinion des plus nombreux, surtout pour ceux dont l honnêteté
ne concerne que les critères de leurs semblables.
En plus, avec un peu de compassion bien jouée auprès du troupeau, il est aussi p
ossible de faire passer n importe quelle idée de chandelle pour un phare de pensée
s

*
Reste à chacun de ne ressembler en rien, à ce que beaucoup de mimétismes
accompagnent du regard, vers les plus désignés.

*
La Honte guette d abord les plus démunis, ensuite, uniquement ceux dont
l Analyse révèle l impossibilité de pouvoir revenir sur des fautes trop démontrées.
Malgré cela, l irréparable se recycle inexorablement, laissant supposer ouvertemen
t son existence, et se permettre de continuer.

Après la Complicité , n y a t il pas toujours eu la Participation ?


À travers çà ;
« Aimer son prochain » prend un sens très pervers !
« Il faut bien nourrir ses sensations de quelque chose ! »
Faut-il pour cela, aller jusqu à ronger son espace, et le stériliser définitivemen
t ?
Bon creux !
Jusqu à la morbidité la plus achevée, dite facile : les solutions les plus appropria
tives à ce type d affection, ne peuvent être amenées à traduire ce qu elles supposen
t de Consommations.
Il suffit pour cela d optimiser constamment toutes les déviances possibles.
Le principal étant, de faire passer comme enviables , les propositions avancées.
Les plus Adeptes n hésiteront pas, moyennant quelques avantages , à se pavaner devant
l admiration potentielle ou, mondain et crédibilisant, des plus brillants crétins
de la scène médiatique.

La Crédulité globale ayant déjà fait l objet de toutes les spéculations ; Elle res
te encore la Grave part des échanges que peuvent se jouer jusqu au dernier : les cou
cous rigolos du commerce politique, ainsi que tous les participants du sous écou
lement des partages qui peuvent s y ajouter.
Il n est donc là nul mensonge, nulle escroquerie, cela supposerait-en
quelque sorte une forme de considération !
Cela signifie surtout que concerner n est ni l ordre, ni la question ;
Obtenir est la clef de toutes les raisons et, du procédé au résultat finalement, t
out le monde se comprend !
Dans ce sens authentique, ce vrai Bonheur ci s'appelle surtout ;
TRANSGRESSion.
Mais, pour qui est-ce sincèrement dommage ?
En dehors des promoteurs de Vérités, qui n'ont que faire d Explications dépourvues
de leurs Intérêts, et dont les découvertes ne concernent la plus part du temps
que des trouvailles égarées dans l oubli ;
Il y a, Ceux qui aiment n importe quoi ! , avec tout ce que n importe comment, n import
e qui peut s offrir n importe où Avec tous ceux que le Choix importune.
Comment résister à ce genre de bien fait ! ?
Sans devenir un toi-même ! ?
L imagination en cela, a vertu de pensée
Les partisans inconditionnels du contraire, n ont de cesse absolue ;
Que de vanter les effets gracieux de l intelligence voire, en annexe, cette telle Ra
ison qui n est que leur(re) : demeure trop ésotérique pour être confiée à de quelcon
ques personnes, ne pouvant très curieusement, que déformer le sens véritable des
notions pour lesquelles ces êtres, ni plus ni moins auto supérieurs se sont aut
o missionnés.
~Heureusement pour leurs convictions, la foutaise sociale qui les entoure, vu so
n potentiel de similitude, ne risque même pas de les déranger.
Même si la marginalité des uns, qualifiée comme réciproque par les autres, ne sa
urait signifier véritablement comment leur exhortation de différences, se met en
place avec la nécessitée ;
Que les uns associent à leur apparence.
Que les autres entreprennent pour leur subsistance !

Ici, pour tous, pour quoi et pour qui ;


Exister ne suppose rien avant d être !
Par contre : après
Que de reconnaissances !
Si Disparaître n était plus, la Réalité semblerait-elle pour autant ?
La Connaissance n ayant d autre moyen que la Mémoire , il nous faudrait comprendre intel
igemment : l Oubli
Hors celui-ci, n est-il pas la conséquence des deux ?

La Disparition est pour beaucoup, le plus terrible mystère de l existence.


Pour pallier cette inquiétude, le fétichisme global montre bien, la place qu occup
ent les objets et les monuments de nos préoccupations temporelles, pour combler
nos effets d ignorances, avec des mises en scènes du style ; comment faire passer
des Découvertes pour des Inventions ?
Seulement, tout ce qui est réellement pensable n a que peu d'importance.
Nos fins d'histoires ne supposent que des choses, que plus loin les suivants s'i
magineront Créer comme nous même, avec celles de nos ascendants : ainsi
qu eux aussi, depuis le giron de leurs prédécesseurs.

La réalité dépasse le possible , parce que beaucoup l optimisent sans comprendre ce q


ui la compose, outre ce qui leur permet de la reconnaître. Dépassé cela, les eff
ets de toutes actions peuvent bien distraire certains ;
Elles n intéressent personne !
Grâce à cette méprise, la réalité prend une allure de décor aux accès impercepti
bles.
Sauf pour ceux dont risques et suicides, ne sont que les conclusions éventuelles
de la peur, à l instar de toute attente, comme pour recréer ce monde que l on estim
e bon à détruire à travers Soi, pour en instaurer un meilleur.

Pour l instant, les créateurs que nous sommes ont promu loin devant eux, des dunes
de sables qui circulent inexorablement plus nombreuses, sur un horizon à l image
de notre uniformité grandissante.
Encore un toujours qui ne s'applique pas à un avenir d eau fraîche côtoyant essentie
llement quoique ce soit.

Nos sciences finalement très chères ont amené d inévitables pollutions, dont la natu
re en engrenage nous laisse le soin d expliquer à ceux qui suivront, comment justi
fier les rattrapages peut-être possibles qu entament nos forces de consommations.
Ceci se déduisant de cela, les vendeurs de poisons peu coûteux connaissent bien
leurs clients
En d autres termes ;
La plus simple façon d amener une vraie participation pour de faux avantages, est
d attribuer une culpabilité incontestable aux acteurs engagés, dans un profit médi
ocre de pseudo qualités, contaminant la santé des marchés et des personnes. Ceci
, afin de réinstaller incidemment des produits maquillés où, des prétextes de me
illeures références vont pouvoir permettre de collecter plus massivement des sur
ventes dus aux même colifichets mais, mieux situés et bien présentés.
Les comédiens de l erreur savent combien leur rôle est prépondérant pour l ensemble
des consommateurs assidus que nous sommes ;
Preuve est, que notre vulgaire acceptation du sens contraire de l économie, auprès
d un élargissement promis comme mondial, dérange un partage des acquisitions que
l occidental et ses équivalents internationaux disent préserver, sans faire cas de
s issues de leur destructrice vanité.
De cette façon, la répartition de privilèges réservés à peu, ne suppose dans ces
termes : qu une dégradation de l Existence et des Moyens de la plupart
Aucune évolution forte et riche ne peut s accomplir à tous les échelons sans ce pa
ramètre, qualifié d Utopie par les colonisateurs de ressources.
Les grands utilisateurs financiers ne connaissent que les armes de la Dépendance
pour aliéner les plus influençables à leurs formes d acceptations, avec le concou
rs de nos couardises psycho fonctionnelles.

L évaluation de notre connivence nous aiderait à mesurer les possibilités qu elle no


us réserve auprès des maîtres du besoin, gérant notre aliénation pour une humani
té conquérante.

Nous n avons pas appris à marcher uniquement pour piétiner une innocence que nous
appréhendons bêtement avec les stigmates d expérimentations malavisées : qualifiée
s de connaissances
Pourtant, les désaccords que soulignent les pires complicités, démontrent bien q
ue l utilisation du chantage des masses contre un seul : fait que nul n intervient v
éritablement, pour faire face à ce détournement d intentions.
Comment traduire ces contrecoups de connaissances dans le développement qui nous a
ttend ?
Sur cette planète, la Raison est globalement trop immature pour imaginer la poss
ibilité du pouvoir dont elle peut disposer ;
Question de nature
La seule grande notion de pouvoir se borne ici, à celle d une forme despotique, ab
stractive, dans lequel tout s exécute.

La démocratie est avant tout, une sorte de maquillage proche de la réclame, dans
la quelle la Liberté ne revêt cependant qu une attribution humaine publicisée à d
es fins engageantes.
Et même si les débuts qui les suivent, laissent supposer des versions plus heure
uses ;
Nos consciences actuelles ne nous permettent pas de les aborder sans les introdu
ire avec un minimum de bénéfices attribuables aux commanditaires de conflits, do
nt le Temps reste apparemment : une valeur inestimable !

L utilisation du tiers monde, dans ses confinements, prouve bien que le tout soit p
ossible n est à ce jour qu un adage de spéculateurs ;
Du style vendeurs de situations sociales faciles à investir, auprès de touristes
cupides ou d Entreprises toujours plus arrivistes, convaincus que la distribution
d une menue monnaie peut permettre à quelques Judas de devenir des Dieux véritables
.
Ensuite, ces obsessions rejoignent la banalisation, dés qu elles cessent de flatte
r leurs figurants : dont la curiosité et leurs supports de propos résiduels, nou
s apportent chaque jour un lot de repentirs permissifs, conjurant un comportemen
t infaillible auprès de tous ces amis d un bon genre, apparemment trop incontestab
lement pourvu pour être renié.

Du coté des Anonymes, les amuse-gueule populaires médiatisés, traduisent en proc


ès-verbaux, les initiateurs de nos foires aux laissés pour comptes : à la fois s
i drôles parce qu insultantes, que pitoyable pour l essentiel.
« Mieux vaut en rire ! »
Alors ;
Rions.

Tu as dû, toi comme d autres, deviner la nature de tes occupations à travers les r
épercussions conditionnelles de ton existence ;
Cela ne laissera rien de plus à tout ce qu il y aura connu.
Et l importance résonne dans le même oubli que toi
N es-tu que ce trait d union entre commencement et fin, omettant sa liaison avec l ava
nt et l après ?
Tout ce que tu vois et chemines, a d abord été conçu.
Il en est de même pour ce que tu penses, fait revivre, et pérennises à travers t
oi.
À travers tout cela, tu as la possibilité ;
-De laisser au hasard le soin de t entreprendre sans atteindre quoi que ce soit d au
tre, qu une justification possiblement philosophique de toi-même.
-De t activer dans des réalisations rassurantes, parce que plus proche d une postéri
té qui ne connaîtra réellement rien de toi, excepté ce que tu auras laissé d échan
geable.
-D être le principe spirituel d une descendance qui ne reconnaîtra hypothétiquement
de toi que le Nom, voire, ton prénom pour faire valoir les anecdotes récupérable
s de ton histoire particulière.
-D accumuler immensément, des richesses et des biens pour une jouissance que tu ne
saurais ni ne pourrais utiliser par manque de temps : pour forcément l abandonner
par privation de ta Vie, aux suivants de l existence.
-De t enfermer dans une Marge secrète qui ne s éteindra qu avec toi, et dont la conscien
ce globale n a de toute façon que faire.
-D arriver au paroxysme de l excitation ou de l autosatisfaction : avec toutes les per
sonnes, les moyens, et les excipients possibles, pour atteindre l anesthésie total
e que commande une peur douloureuse ou trop profonde de la Fin, pour n être qu imman
quablement subie.
*
Que considérer ou non, ne change rien ni aux faits, ni à ce qui ne sait êt
re autrement.
Le sens même de toute logique se déconnecte de la réalité, dés qu il se révèle et
se canalise dans la pensée. L amnésie qui nous guide depuis nos naissances, nous r
ejoint à travers chacune de nos interruptions, en se glissant dans nos habitudes
de transformations, via ce vieillissement que nous reconnaissons avec tout ce d
ont nous avons hérité. Voici le partiel que nous connaissons !
Avec des croyances que nous n avons pas nous-mêmes prononcées et, aux quelles nous
nous fions, sans préciser auprès de ceux qui nous suivent que :
Finalement nous ne savons vraiment rien de ce que nous leur laissons
Les raisons qui nous occupent sont masquées par un Toujours que nul ne connaîtra
jamais et, comme le Temps occulte des directions que nous ne saurions décrire ;
La formule du Destin dépasse ce Vivant dont nous n avons pas les moyens d être propr
iétaires.
J envie les étrangers que nous sommes, de rester si peu indifférents de nos impass
es Dommage que les distances qui nous séparent tous à ce point de la première de
toutes celles-ci, soit si justement : cette Absence qui contraste la présence et
, fonde les souvenirs d une Nature se rendant trop indiscutable pour être possible
ment décrite.

En dehors de quelques marques d intérêts justifiant les effets parcimonieux de cer


taines complaisances ;
Que faire de cette absence qui nous occupe temps auprès de ceux qui nous sont si
chers ?
Que reprendre trop tardivement avec eux, ce que de si loin nous nous sommes perm
is de voir ?
Beaucoup trop ont perçu l amour comme un moyen de l existence, sans regarder autour
d eux quel contrat il ne saurait supposer.
Nous sommes surtout des animaux, qu une somme d intérêts borne avec une intuition qu
e, nous ne savons que hâtivement qualifier. Ainsi, la fierté passe d abord par l org
ueil pour confirmer ses valeurs De cette façon, la bête tombe à l eau et, que reste
t il ?
-Surtout après avoir mis si longtemps à en sortir !
Un animal surnageant mal dans la matérialité qui le transforme, malgré tous, à s
a guise. Alors : attention à l eau, parce qu à défaut de celle-ci, saine, en marge d ê
tres propres, nos sentences les plus sèches ne pourraient que faire semblant d avo
ir l air.

J aimerais tant pouvoir te dire, tout ce que tu pourrais entendre au-delà de tout
ce que tu daignerais écouter, avec des mots que tu n aurais nul besoin de préjuger
. Comme-ci, t entendre me dire « je t aime » devait juste suffire, pour t en dispenser
Quelle hantise
Se savoir préoccupé par l inattention particulière de quelqu'un, doit-elle en inva
lider une inverse venant d autrui ?
Au nom de quelle appropriation charnelle ou morale devrait-ce être le cas ?
Spéculer sur l attachement : n est-il pas un parallèle pervers, pour se donner un mo
yen d avoir un peu plus de temps pour aller vers des préférences, éventuellement plu
s partageable avec quelques autres ?
Honnêtement : l exprimer de cette façon ou d une autre, supprimerait pour beaucoup t
out recours de négociations.
En fait, la plus belle preuve de dérision que l on peut donner à quelqu un, est de l
ui laisser entendre : que ses regards ne peuvent se porter vers toutes choses sa
ns avoir d envies. Ce qui suggère plus encore, de l imaginaire qui le suppose
La où le dépit reste, les bons souvenirs passent et, les mauvais continuent.
Comment avoir de bonnes paroles, avec de mauvaises pensées ?
L inverse étant trop rare pour permettre une comparaison, tout rapprochement avec
les descripteurs passés ou présents d une juste tentative, demeure une innocente f
iction.
Reste à découvrir ce que nos rêves les plus audacieux peuvent contenir de bon, p
our peu que la source vive de nos ambitions ait les moyens d une volonté totalemen
t heureuse Il est narquoisement envisageable d imaginer comment dans cette Nature : p
eut se réaliser une solution favorable à toute existence.
Le bonheur des uns étant de visu, le malheur des autres : la misère apparaît com
me une splendeur de références ayant pour unique but d écarter les plus chanceux d
e tous ces épouvantables piéges réservés à la mauvaise vie .
Comment rétablir ce que suppose la faillite technique provenant d une toujours plu
s grande fuite des capitaux outils, héritages de développements communs, que que
lques uns continuent à soustraire pour se nantir ailleurs, grâces aux pouvoirs q
ue nous leurs confions aujourd hui ?
Avec ce que proposent les sauveurs de nos prochaines Nations néo-fondamentalistes,
qui nous occuperons à des tâches plus utiles au développement de leurs privilèg
es attenants, bientôt ?
Faut-il vraiment nier les symptômes déjà évidents d un modèle généralisé qu imposera
un revenu rebaptisé, devenu minimum pour l ensemble d une population, mutée en main
d uvre de plus en plus économique ?
Que deviendront ces associations d aides de toutes sortes, soumises aux chantages
ou concomitances de leurs subventions ? Et, cesseront-elles pour autant d êtres le
s informateurs de nos très prochains fonctionnaires dignitaires, dont les pouvoi
rs exponentiels se confirmeront graduellement au fur et à mesure de l appauvrissem
ent économique et structurel : des citoyens et de leurs droits ?

La puissance accumulée de dissimulations invérifiables parce que omises de notre


attention actuellement, n auront d autres résultats, que l ampleur ferme et étendue d u
ne transformation devenue inéluctable d ici peu
Les accompagnateurs convaincus de cette mystification ne sont jamais que des sub
ordonnés salariés qui, s estimant forts de leurs prérogatives, peuvent se permettr
e de gérer indirectement avec leur suffisance la plus déterminée, des dispositio
ns prédéfinies en amont, intitulées : Conseils, Accompagnements ou Orientations,
masquant l objet réel de leurs consultations, pour chaque cas globalement canalis
é vers eux
Si ces gens là considèrent détenir une véritable mission de rétablissement socia
l par quelques Ministères ;
Pour leurs instigateurs, annoncés distinctement comme « FRANCE D EN HAUT », prétex
ter un terrorisme évident par exemple, ou un autre danger finalement accommodant
pour un bon nombre, semble cautionner les dispositions très arrangeantes que no
us amènent à accepter les jeux d une immunité parlementaire de plus en plus utilis
able.
Comment faire accepter à un ensemble catalogué de : france, d en Bas ! , que les méfa
its pseudo jugés en haut lieux , flottent comme des icebergs sur les considérations
de la Populasse , en condamnant quelques bribes, pour bien montrer qu une véloce sur
veillance agit éthiquement bel et bien !
Surtout, sans montrer pouvoir supprimer, ce que de séjournantes et escamotables
grosses ressources permettent d exempter, en minimisant leurs objectifs, quand ils
se trouvent recyclés dans des enjeux de stratégies politiciennes au sein de leu
rs adversités d accessions tactiques, financières

Devons nous, seulement attendre que se confirme totalement, les impossibilités q


ue peuvent promettre un développement voué aux convictions possiblement bornées
de quelques décideurs sociaux ? Appuyés par une justice à temps multiples, avec le
concours d une délation polyvalente et privilégiée ?
Suivant quoi, le choix et les engagements qui lui succèderont et nous incomberon
t, se conditionneront bientôt comme des denrées périssables, dont les qualités t
otalement décrites, devront apparaître clairement avec l étiquette de chacun

Maintenant, il ne nous reste presque plus que le devoir d êtres optimistes !


Tout ceci n est éventuellement qu un pur cauchemar
Un peu de dignité, que diable !
L apocalypse Nazi, la dictature Stalinienne ou, les suites et répercussions de par
t et d autre de la guerre froide jusqu à nos jours, c est inlassablement du passé !
Même si là aussi, les gens se sont laissés aller à croire qu on les trimbalais ban
alement comme des bestiaux, juste comme çà, sans arrières pensées
Á quoi bon sombrer dans de tels raisonnements, quand on voit à quel point tout e
st si assurément organisé ?

En fait, mes propos ci-inclus, ne sont jamais qu une inversion totalement revisité
e de : « Mein kampf » de Adolf Hitler, avec les préceptes actuels d un public supp
osant toujours les mêmes questions, que je tiens à contacter pareillement à trav
ers ces quelques temps, avec l entremise d une publicité précisant le titre un peu d
ifférent (La Lettre à l Illusion) de cette seconde version
Les moyens d éditions se raréfiants avec leurs critères, nous disposeront sans amb
iguïté par la suite, d une information télématique post-continentale, potentiellem
ent traductible pour nous cultiver , en supplément d une banalisation médiatique qui
nous captive si promptement déjà. N y a-t-il pas là l objet d une remarquable et grand
e nouvelle ?

En attendant les aboutissements de ces divers évènements, je nous enjoins à célé


brer l'accession antérieurement prononcée de nos droits et devoirs, avant que pa
r une sorte de sensible principe nouvellement moral, il ne soit plus recevable d
e participer à d autres festivités que celles qui nous attendent.
D ailleurs, pour donner un meilleur timbre aux cérémonies, qu accompagne ainsi cette
missive pour un temps indéterminé : je suggère de l arpenter à voix haute avec un
spectre très martial, afin d entamer son atmosphère d une manière surnommé bonne , voi
re, appropriée.

La notion même de Pouvoir , quel qu il soit, a toujours montré n être qu une atteinte à u
n développement Intelligent, déviant les moyens collectifs à des fins ne concern
ant que les dangers d une entreprise civile ou militaire, d adversités souvent crimi
nelles, se partageant les patrimoines de toutes natures.
La discorde qu a cultivé ce pouvoir n est momentanée que pour les individus par lesq
uels il séjourne
Est il nécessaire de subir tous les échelons possibles de cette forme ?
Que prétendons nous pouvoir attendre d avantage de cette erreur toujours conventio
nnelle, désormais ?
N est-il pas urgent d entreprendre une Réalité libérée de cette prépotence archi inu
tile ?
Que cherchons dans cette aliénation pour une autorité déresponsabilisant nos cho
ix personnels ?
Qui, une fois délégués auprès d inconnus médiatisés avec leurs invectives, montren
t immanquablement que nous sommes les premiers fautifs d une confiance votée, si f
acile à détourner.

Nos comportements individuels sont contaminés par des problèmes survivants dans
nos attitudes, en provenance des entités qui nous ont éduquées, et que nous cont
inuons plus ou moins consciemment avec nos réactions, pour ceux qui nous suivent
. Finalement : nous sommes millénaires, grâce à notre éducation et, la mosaïque
culturelle de ce monde n évolue que sur des bases trop anciennes pour engendrer la
réelle transformation des authentiques bestiaux que nous sommes : en ces créatu
res évoluées, que nous nous targuons aussi ridiculement être devenus.
À l exemple du troupeau pour son maître;
Beaucoup reprochent à la prostitution, ce qu ils admettent de leur situation profe
ssionnelle ou, de leur condition maritale, dont les préceptes essentiels s évaluen
t avec une jalousie qualifiée par tout son principe.
Ensuite, par un jeu d états d âmes secondaires, intitulés Ennui : la plus part se perm
ettent de justifier quelques diversions jusqu à d autres accommodement, pour orner l
eur existence maintenant que tous ne s unissent plus que pour le meilleur, il est de
venu légitime de tout rompre dés que l on présume un mauvais pas, en prétextant le
pire. Un dicton très adapté à ce genre de situation, stipule;
« Quand ton voisin veut se débarrasser de son chien : il dit qu il est enragé ! »
Ou bien ;
« J aurais aimé parcourir avec toi un plus long chemin Mais »
Cependant, le rituel sacré de l importance associé au regret , prime toujours sur l acti
n. Comme la réalité semble nous échapper totalement, nos mises en scènes prétend
ument inconscientes, passent par nos sens avec un lot de réponses débordant de n
os si rassurantes questions toutes faites . C est un peu là que se distingues les ind
ividus dits originaux , parce que devenus collectionneurs d anecdotiques scandales fa
ciles et confortables, leur ouvrant les portes d une évolution assise dans toutes
les m urs, depuis l antiquité.

Nos questions se ponctuent de leurs effacements, simplement parce que trop court
es pour concerner autre chose que des détails, eux-mêmes plus larges qu importants
. Et, à la mesure de nos raisons, nos explications se perdent dans le recyclage
des considérations ou des raccourcis que nos occupations nous suggèrent.
Notre nécessité de vouloir participer, même violemment, à la transformation de l e
space, n à que ses habituelles et inexorables méthodes de destructions pour vaquer
jusqu à l absence, dans un héritage naturel de plus en plus limité. Comment se lass
er de le constater continuellement, avec toutes les versions que notre nihilisme
de convaincus aborde sans se soucier véritablement de QUI, ou de QUOI ?

Dés que le mot raison s embouche comme une trompette : tout devient prétexte aux del
irium assurés d êtres dits de bonne réputation , à l égal des saouleries qui suivent le
s v ux de bonne santé s avérant si gratuits, quand ils font l objet de leur bilan

La notion même de Pouvoir , quel qu il soit, a toujours montré n être qu une atteinte à u
ne Évolution Intelligente, déviant les moyens collectifs à des fins ne concernan
t que les dangers d une entreprise civile ou militaire, d adversités souvent crimine
lles, se partageant les détentions de toutes natures.
La discorde qu a cultivé ce pouvoir n est momentanée que pour les individus par lesq
uels il séjourne
Est il nécessaire de subir tous les échelons possibles de cette forme ?
Que prétendons nous pouvoir attendre d avantage de cette erreur toujours conventio
nnelle, désormais ?
N est-il pas urgent d entreprendre une Réalité libérée de cette prépotence archi inu
tile ?
Que cherchons dans ce masochisme pour une autorité déresponsabilisant nos pouvoi
rs personnels ?
Qui, une fois délégués auprès d inconnus médiatisés avec leurs invectives, montren
t immanquablement que nous sommes les premiers fautifs d une confiance votée, si f
acile à détourner.
Nos comportements individuels sont contaminés par des problèmes survivants dans
nos attitudes, en provenance des entités qui nous ont éduquées, et que nous cont
inuons plus ou moins consciemment avec nos réactions, pour ceux qui nous suivent
.
Finalement : nous sommes millénaires. Grâce à son éducation, la mosaïque culture
lle de ce monde n évolue que sur des bases trop anciennes pour engendrer la réelle
transformation des authentiques bestiaux que nous sommes ; Ces créatures évolu
ées, que nous nous targuons aussi ridiculement être aujourd hui.

À l exemple du troupeau pour son maître;


Beaucoup reprochent à la prostitution, ce qu ils admettent de leur situation profe
ssionnelle ou, de leur condition maritale, dont les préceptes essentiels s évaluen
t avec une jalousie qualifiée par tout son principe.
Ensuite, par un jeu états d âmes secondaires, intitulés Ennui : la plus part se perm
ettent de justifier quelques diversions jusqu à d autres compromis, pour orner leur
existence

Notre reconnaissance de l inutile ne dépasse celle de notre prétention, qualifiée


d humaine, donc prioritaire ! Subissant un environnement contrarié par nos activit
és Et les surprises que supposent nos tendances, dépassent infiniment toutes les p
révisions possibles, dont nous nous fichons éperdument de toutes manières. Notre
traversée dans l Histoire, si elle doit s imprimer dans le Temps, laissera dans le f
utur : une image de perdus dans leurs suites , assez crispée.

Comme le précisent certains chrétiens : entre le Paradis et l Enfer, se trouve un


purgatoire nommé la Terre , autre appellation de cette Permanence , qu enseignent les Bo
uddhistes.
Tout ceci suppose t il que l esprit entreprend les mémoires par delà le temps, la fo
rme et le néant, aussi ?
Nos croyances salutaires semblent nous encourager à l admettre, afin de laisser un
peu d Ordre auprès de ceux qui nous suivent.
Finalement, le monde doit être plat car nos notions cosmologiques, toutes, aussi
naturelles que le reste, montrent bien que la découverte n a pas l ombre d une dimension
. Quand Tout se sera effacé, que restera t il ?
Rien n apporte la preuve que quelque chose existe vraiment, sinon une consciences
héritée, de ?
Les transformations que nous touchons, comme nous-mêmes, ne laisserons rien d elle
s dans un présent toujours plus futur que : Passé ?
Que l on me montre ne serait-ce qu Un sens pour les accorder tous et, je n en doute pas
: de toute cette Réalité il ne restera qu une seule « chose ».
Pendant que les uns s inquiètent de la Fin, en considérant que la Mort n est que la
conséquence du néant, d autres affirme que celle-ci n est que l élément de transformat
ion de l existence. Maintenant, si l Illumination n est pas le lot de chacun, l incarnat
ion et ses suites, montrent bien que tous les animaux, y compris nous tous, doiv
ent valider auprès de leurs semblables la raison d une foi collective appelée : Vi
e, qui n a nul besoin de s accommoder de rituels ridicules, de distinctions déplacée
s ou, d apparats inutiles.
Tous ces besoins d affirmations soulignent l aliénation profonde de nos compromis indi
viduels avec les principes promoteurs de nos conflits personnels.
Face à la nature conventionnelle de soi-même, chacun torture son être intime ave
c des notions qui ne sauraient être les siennes, puisse que ne pouvant les consent
ir sans se forcer à prendre un rôle qui n a pas été créé principalement par lui-mê
me ;
En interprétant un personnage provenant d ego familiaux et culturels adaptés à un
passé trop évidemment devenu inapte au présent !
Et surtout ; à une personne qui est entièrement autre
La nature animale de chaque individualité, par l intermédiaire son être intime, te
nte bien souvent d harmoniser ses différences avec le personnage conventionnel qu il
se représente devant tout autre. Hélas, les conflits qu engendrent déjà certaines p
arts intimes avec sa personnalité conventionnelle, peuvent contraindre sa nature
principale (animale) à se retrancher dans des comportements dépassant largement
toute forme de contradiction.
Comme le personnage conventionnel ne représente que la partie montrée de l individu,
bien des couples se découvrent dans une intimité plus ou moins partageable avec
la réalité animale et parfois objective : de l autre . Prouvant plus loin encore, qu
e le partage d une solitude personnelle associée à une autre dans un espace, avec
les agissements plus ou moins coordonnables de chacun, peut s avérer assez immanqu
ablement difficultueux Voire, mortelle.
Comment considérer tous ces être si chers ? Qui nous aiment, qui on besoin de no
us ! Pour les laisser nous regarder, nous atteindre par notre principal ennemi,
soi même ! Nous meurtrir si fatalement, avec sa fumée empoisonnée par exemple ?
Pourquoi acceptent ils de participer sans rien dire à l intrusion d une torture si v
ive, elle ?
Placée là, comme des barres de fer à travers le thorax, qui se distinguent presq
ue nettement au dessus des déhanchements fragiles et raides d une démarche diffici
le, laissant s époumoner une douleur immaîtrisable, tel un brasier, rouge, retraça
nt son chemin d horreur et de peur d avoir si mal à la prochaine inspiration
Au nom de quelles sensibleries devons nous nous atteler pour nous permettre de l ign
orer jusqu à ce point ?
Ce que se permet de nous faire ressentir cette fin là, doit il se faire vraiment
attendre aussi horriblement avec autant de participant ?
Non
Comment imaginer un tel Projet ?
Quitte à vouloir crever si intensivement de cette manière, ayons pitié de ceux q
ui nous aiment, et de ceux qui ont besoin de nous !
Allons sans attendre nous fracasser n importe où, nous prendre ou, mieux peut être
;
-Partager avec d autres même s ils ne l ont pas choisi, le chantage d une présence libér
ée de qui ?
Quel soucis de participation, nous pousse à subir et faire subir soi disant sans
y croire, ce qui nous montre finalement se passer aussi totalement d amour, d amiti
é et : de vie ?
Le prochain répondant par son silence : a gagné de se taire avant d accepter que l
e choix d ignorance, dans ce cas aussi, signifie de considérer « Tuer », bien au d
elà de mourir
Pour ne reprendre que ta mort, ou la mienne, par quel chemin nécessaire devons n
ous offrir le spectacle si peu utile d une certitude aussi ignorée, pour que final
ement bien retranché chacun se conforte ou pire encore, se confonde, uniquement
dans ce qui le concerne ?
Partant de cela, comment présumer quelle fragmentation personnelle est elle néce
ssaire en société ?
Il faut croire que les acceptations qui nous mènent,ne prolongent qu une ignorance s
i nuisible mais, que chaque individu subit avec tant de conviction, pour n arrange
r que les circonstances dites inconscientes de nos propensions .
Tout ceci, avec le sens totalement double nous engageant à préjuger que :
- « La Liberté n a pas de prix, parce que la vie est si chère ! »
L intégralité de toutes les Valeurs s arrête là.

Cette forme de mythomanie que revêt toute personnalité figée, considérée comme p
articulière par la plus part, traduit bien la dépendance à un schéma global de s
téréotype normalisé correspondant à sa situation propre dés lors qu elle distingue l a
pparence d une telle autre personne comme trop différente d elle-même. Cela signifie
entre autre, que la tolérance générale à déjà du mal à supporter les doubles pe
rsonnages que certains peuvent avoir, sans parler des triples occupations sous j
acentes de leurs éventuelles pluri activités par exemple !
Cet état de fait, apparaît chez beaucoup comme insupportable de contradiction !
Voire : être louche ! Et, disons le à leur place, « impossible ! ».
Comment des gens dits normaux, pourraient ils bien faire le peu qu ils font déjà en
s encombrant pourquoi pas, d un spectacle d opéra en distribuant le courrier de leur p
ublic, tout en plongeant dans une piscine aménagée pour l occasion ?
Qui pourrait bien trouver cela, ne serait ce qu amusant ?
Hors mis moi-même bien sur et ;
Certainement bien d autres.
La reconnaissance d autrui passe d abord par le chantage relationnel d un consentement
élargit, appelé « libre » sous réserve de ne pas apparaître soi même comme exub
érant aux goûts déplacés, en acceptant de ne pas outre passer la permission consul
tative des personnes qui subordonnent moralement les bons choix qu il est préférab
le d avoir. Autrement dit ;
-« Tu n as que le Droit pour toi, si tu t écarte trop de ce qu il sous entend »-
Comme ci c était vrai !
Sauf que là, les différences culturelles de tous bords s accordent toutes sur un p
oint : « tout ce l on ne connaît pas, est mauvais ! ». Donc, les bons accords sont
forcément ratifiés, pour que les correspondances d intérêts traduisent des équiva
lences de principes admissibles, que seuls les vainqueurs de guerres avaient la
particularité d imposer antérieurement.
Par déclinaison, le phénomène de mondialisation montre bien que les voyages impo
rtants de transactions ont un rôle déterminant sur l humain global, via la manipul
ation de ses besoins, sans avoir à se ruiner dans la participation de conflits t
rop importants, trop démonstratifs et, surtout, peu concluants.
Le marketing, tout de même !
Et la bourse ?
À travers elle la puissance des prétextes politiques et religieux reste la clef
de toutes les raisons données en surfaces, afin de ne pas laisser s ouvrir des déb
ats sur le fond, que seuls les destinataires de grand mouvements financiers aide
nt à dévier pour éviter une prise de conscience trop élargie, risquant par décou
lement de les destituer substantiellement de tout ce qu ils s attribuent avec les Moy
ens des pouvoirs en place .
Les complicités s achètent et, jusque dans le moindre détail, la cupidité est un v
éritable Sens pour des milliards d individus. À ce titre, comment ne pas être huma
in ?
Tout réduire à de simples phrases est ambitieux mais, à de compliquées, tout aus
si inutiles
Malgré cela, bien des dangereux ont obtenu du pouvoir grâce à leurs effets de co
nvictions et, bien avant de s imposer par la force : ils ont dû d abord, « PARLER »
! Évidemment
Aujourd hui encore, il suffit d ajouter un troupeau de dangereux faciles à convaincre
à un auditeur assez taré pour aimer des assassinants, pour qu un décor de viande,
de déchets végétaux, de bâtiments retournés, avec des réjouissances du même acab
it se manageassent tout azimut autour de slogans tous plus exemplaires les uns q
ue les autres !
À mon humble avis, tant que ce genre de scène ne fera pour beaucoup que l objet d un
e vague discussion autour d un écran de télévision, il passera encore pas mal de j
us de viande sur des ponts bombardés. Dans un style représentatif du même genre,
la misère de ce monde figure parmi les omissions internationales, qui, ne sont
jamais que des potentiels optimisés détruits par des conflits d intérêts maquillés
.
Convenons en : la seule tristesse que la foule s arrache, c est celle de Gudule la pop
Star, avec ses déboires minimalistes et coûteux ! Pas celle de (Anonyme), que tou
t le monde évite intégralement, surtout si il a de gros problèmes.
Le vrai bon truc , c est de briller grâce des gens reconnus qui nous redore notre bla
son juste en se posant à coté d eux. Un bon coup de notoriété bien placé , n a jamais f
ait de mal qu à ceux dont les connivences se font trop vite oublier.
Nos efforts intellectuels transmutent collectivement dans une mouvance sociétaire
qui n a pas la moindre idée des décisions qui recyclent les concepts qui en découl
ent. Comme tout travail mérite salaire, toute transaction achète fortune ! Les h
annetons de ce type ne manque pas, car nos notions de transactions appartiennent
forcément à d autres. L agglomération des capitaux dans des espaces appropriés prou
ve toutefois que tenons tous énormément à savoir qu ils existent bien et, que ce q
ue nous gagnons laborieusement ne relève pas d un quelconque jeu d échange virtuel q
ue seul quelques uns tiennent sans jamais avoir le pouvoir de le dilapider
Tu ne pouvais rien deviner.
Ta vie est passée devant toi sans que puisse même la distinguer.
Ce qui t a trahi le plus ressemblait à tes propres gestes comment ne pas s y fier ?
Ton premier pas t a destiné à ton dernier. Depuis cela, quelle direction pour soi-
même a vraiment une importance ?
Je voulais juste te serrer une dernière fois dans mes bras, te retenir puisque re
prendre : n a qu une si vaine signification.
Tes préoccupations continuent ! Sans toi
À quoi son sensés se lier tous nos souvenirs ?
À une suite, qui se charge de les engloutir et de les recycler, jusqu au suivant.
L existence est à peu de chose si proche de la Mort ; si sourde, si aveugle, si mu
ette Si défaite de faux vides.
Que prétendre rater ? Manquer ? Éviter ?
Tout ce que tu crois vivant passe par ta perception, et celle-ci ne t expliques pa
s grand-chose d une réalité aussi inconcevable qu infinie.
Nous avons tous la possibilité de comprendre qu à travers nos limites, tout ce que n
ous sommes demeure insituable dans cet Océan de mouvements et de distances. Car
dans tout ceci, l entière réalité n est elle-même probablement qu infime
Dans ce Tournoi flottant, nous sommes comme la nature : attachés à nos cycles. C
omment à travers celle-ci ses transformations nous piège tous ? Ainsi que tout !
Comme le vaste semble léger .

Le temps ne s achète pas : ceux qui le savent n ont possiblement que peu de celui-ci
pour présumer en parler. Maintenant, être prétentieux n engage vraiment que des c
hoses que l on s imagine détenir malgré tout, pour un temps dont les mesures détermi
nées ne concerne totalement rien ni personne.

Les regrets sont dans un espace que l on ressent et, Sentir n est qu un espace du viva
nt.
La vie ne réside que dans sa succession : le vrai souvenir est là
Sa seule peine est une souffrance contrastée par ce quelle suppose de présence e
t, sa seule joie vogue vers l espoir de continuer.
Alors que le désespoir ordonne de tout cesser, la peur reprend les plus chanceux
tant qu ils ne cèdent pas à l anéantissement, de quelques manières rapprochées ou n
on par lesquelles celui-ci se profile.
Nous sommes composé de toutes les vies qui ont amenées notre naissance et, très
nécessairement, nous devons nous en écarter le plus possibles pour pouvoir évolu
er ;
Sans cette ferme résolution, tout ce qui nous « Hante » procède à travers nous a
u blocage d une réelle évolution !
Il n est donc pas question de détruire un héritage précieux, mais justement de lui
permettre de nous prolonger, afin de produire auprès des suivants des formes et
des sources désenclavées de toutes préférences ancrées dans un passé qu il faut t
oujours totalement transformer et ne surtout pas reproduire.
Aucune aliénation profonde ne quittera ce monde tant que les héritiers de l existe
nce reprendront le processus de prolongation ou de réplication que tout principe
révolu engendre dans une réadaptation du passé contrevenant une évolution du pr
ésent.

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