You are on page 1of 5

Les systèmes de répartition aériennes, la quatrième partie

Les condensateurs dans les réseaux de distribution: On peut trouver les condensateurs aux lieux divers 
dans un réseau de distribution d'énergie électrique. On trouve ces condensateurs en grand nombre et de 
tension variée partout le resauu électrique (sur la ligne de distribution aérienne, dans les postes de 
transformation, postes principales et postes prefabriqués, près des moteurs electriques et dans les centre 
de commande de moteurs). Les condensateurs sont fabriqués avec des caractéristiques mécaniques et 
électriques (les valeurs assignées) variées, de quelque KVAcapacitive à quelque MVAcapacitive. Il existe 
plusieurs raisons pour l'application (l'installation) des condensateurs dans les réseaux électriques (de 
transport, de répartition, de distribution et de l'utilisation). On branche les condensateurs, au réseau 
électrique, aux points stratégiques afin d'améliorer le facteur de puissance et la régulation de tension la 
ligne (ils maintiennent la tension du réseau entre les limites acceptables) et aussi pour augmenter la 
capacité de la ligne (en aval du point d'application ­ branchement­ du condensateur au réseau). Les 
condensateurs sont génératrices de l'énergie réactive positive (on peut les considérer des dispositifs qui 
fournissent au réseau de courant déphasé en retard plutôt que ceux qui absorbent de courant déphasé en 
avant). En général, les charges raccordées au réseau sont: des charges résistives, des charges réactives 
ou une combinaison de tous les deux. La puissance (l'énergie) réactive est perdue dans la ligne (elle 
demeure circuler entre la capacitane et l'inductance de la ligne). La capacité de production (des 
génératrices d'un réseau électrique) doit inclure ce montant (cette portion de l'energie requise totale, 
apparente) de la puissance. On peut exprimer la puissance apparente, S, comme VI. On peut exprimer 
la puissance active (elle la puissance utile qui peut produire du travail, chauffer une chambre, opérer 
une machine, tourner un moteur, allumer les bâtiments et les rues,...etc.), P, comme VI cos  et la 
puissance réactive, R, comme VI sin . Idéalement, les condensateurs sont reliés (au réseau) aux points 
les plus proches où on a besoin de cette compensation (production) de la puissance réactive. 
Les condensateurs en série et en parallèle: ils produisent de la puissance réactive. L'application des 
condensateurs au réseau électrique, la capacité de l'artère et par conséquent du système augmente et elle 
aussi réduit les pertes parce que les condensateur améliorent le facteur de puissance et réduit la chute de 
tension à travers les lignes du système électrique. Pour les condensateurs en série, la puissance réactive 
est proportionnelle au courant caré de la charge et pour les condensateurs en parallèle elle est 
proportionnelle à la tension carrée du système. Dans les systèmes de répartition comme même dans 
ceux de distribution et aussi au niveau d'utilisation de l'énergie électrique, l'application des 
condensateurs en série est très rare. Les raisons pour cette situation sont: le coût d'installation des 
condensateurs en série est plus haut que ceux en parallèle, on doit choisir les condensateurs tenant 
compte toutes les charge qu'on va ajouter en série avec les condensateurs pendant leur vie (si on va 
ajouter beaucoup de charge pendant la vie du condensateur, au moment d'installation, le courant assigné 
du condensateur va être plus haut qu'on a besoin) et ils peut causer des perturbations dans le réseau 
(ferrorésonance avec des transformateurs et résonance sous­synchrone quand on démarre un moteur). 
En général, on mit les condensateurs en parallèle en groupe (bloc ou batterie de condensateurs). On 
peut les connecter (monter) en étoile avec le neutre mis à la tere, en étoile avec le neutre isolé (de la 
terre), en étoile double avec le neutre flottant, triangulaire (en delta), en étoile double avec le neutre mis 
à la terre. On monte les condensateurs en parallèle dans les systèmes de distribution électrique afin 
d'améliorer le facteur de puissance, améliorer le niveau de tension dans les systèmes aériens avec un 
haut facteur de puissance, et réduire les pertes (énergie réactive) dans les lignes. Quand on utilise les 
condensateurs en série (pas souvent), les raisons sont: la réduction dans la fluctuation (variation) de 
tension, l'amélioration du niveau de tension dans les systèmes souterrains et aériens qui ont du facteur 
de puissance normal et bas. Quelquefois on utilise des condensateurs pour le but de réduire la tension 
transitoire de rétablissement et la durée du front (d'onde). Ils limitent la valeur crête et réduisent la 
raideur du front de l'onde. On construit le bloc de condensateurs des quelques unités en série et autres 
en parallèle. La tension nominale (entre la ligne et le neutre) est appliquée aux bornes d'un phase du 
bloc (de la batterie) de condensateurs. Lorsqu'un condensateur unitaire se met en défaut, le courant 
absorbé par la branche du bloc concerné augmente comme même la tension elle augmente. Ce défaut 
pet entraîner un effet d'avalanche qui conduit à la destruction d'autres condensateurs unitaires, puis de 
la batterie. En général, il y a un nombre minimal de condensateurs unitaires pour n'augmente pas la 
tension plus que 10 % de la tension nominale quand un condensateur unitaire se met en défaut. En 
général, ce type de défaut est indétectable par la protection de surintensité. Donc, il existe 2 types de 
protection contre la défaillance de condensateurs unitaires, l'un est contre la surintensité et l'autre contre 
la surtension. Pour la protection contre la surintensité, on peut utiliser la symétrie du schéma de 
batterie. Par exemple, pour l'assemblage double étoile, un relais de protection contre les déséquilibres 
entre les 2 points de neutres permet de détecter la circulation dans la liaison entre ces deux points dans 
le cas de défaillance d'un condensateur unitaire. La détérioration d'élément condensateur provoque un 
déséquilibre et donc la circulation d'un courant détectable (à travers la liaison entre les 2 neutres). Le 
seuil de réglage dépend de la structure interne du bloc (association série et parallèle de condensateurs 
unitaires) et aussi de la présence ou absence de fusibles. La présence de fusibles internes sur les 
condensateurs est une amélioration qui permet une bonne continuité de service. La batterie assure sa 
fonction même avec plusieurs éléments déconnectés. Quant a la protection contre la surtension, il existe 
2 niveaux de protection pour les grandes batteries de condensateurs. Le premier relais est règle pour 
donner une alarme (avertissement) quand un condensateur unitaire (élément) se met en défaut. Le 
deuxième relais déclenche le disjoncteur qui protège la batterie de condensateurs (quand la surtension 
excède le 10% en plus de la tension nominale dans le cas défaillance d'autre condensateur unitaire, 
élément). Quand on utilise les condensateurs dans les postes de transformation, le système de protection 
comprend de: relais de surtension, relais à minimum de tension, relais temporisé, relais d surintensité, 
relais de défaut à la terre, relais de décalage (déplacement) de la tension du neutre et un relais spécial 
selon la construction interne\le type de la batterie de condensateurs. Le condensateur est branché au 
réseau de façon permanente ou de façon temporaire (on met en service quand on y a besoin de 
connecter le condensateur au réseau). On peut utiliser un disjoncteur ou un interrupteur de charge pour 
mettre la batterie de condensateurs en circuit (selon la demande et les paramètres du circuit électrique). 
Les critères de choisir la disposition (configuration) de raccordement des condensateurs au réseau sont: 
la charge minimale (d'artère ou partie d'elle), la tension maximale (d'artère ou portion d'elle) et celle de 
la sous­station. En général, les longues artères avec des hautes charges qui sont reliées à la source 
d'énergie le plus part du temps vont avoir des condensateurs fixes (branchement permanent), montage 
sur poteau aux point stratégiques d'un bout à l'autre de l'artère. Ces condensateurs compensent presque 
30 % de la charge réactive de l'artère. On installe des condensateurs basse tension aux points 
d'utilisations de l'énergie électrique. Avec cette disposition, il y a plusieurs avantages pour le 
consommateur comme même pour le distributeur de l'énergie électrique. Le bénéfice le plus important 
d'utilisateur est la réduction dans le montant qu'il paie pour sa consommation de l'énergie électrique (à 
cause de la réduction de la valeur de puissance apparente et par conséquent l'amélioration du facteur de 
puissance). Les avantages pour le distributeur sont la réduction des pertes des artères (dans les lignes et 
les câbles), l'augmentation de la capacité du réseau (lignes, câbles, sous­station) et une tension à travers 
le réseau plus stable qu'avant. La composantes d'un condensateur moyenne tension sont les électrodes 
de papier métallique, le diélectrique de propylène et l'huile minérale. En général, le diélectrique est une 
couche de 6 micro­mètre d'épaisseur et l'électrode est du papier avec une feuille d'aluminium de 9 
micromètre d'épaisseur. En général, les pièces conductives (d'un condensateur) sont fabriquées des 
feuilles d'aluminium ou des métaux vaporisés (atomisés). Les pièces diélectriques sont fabriquées des: 
papiers diélectriques, une combinaison de papier et de plastique diélectriques ou des plastiques 
seulement submergés dans un liquide d'imprégnation compatible avec les diélectriques. La gamme de 
pertes dans les condensateurs de papier est de 2.5 à 3.5 KW/KVAR et le niveau de contrainte est de 10 à 
15 V/micromètre. Pour la combinaison de papier/plastique, la perte est entre .15 et 15 KW/KVAR, la 
contrainte de papier est 18 V/micromètre et de propylène est 40 V/micromètre. Ce dernier type de 
condensateur est soumis a trois fois la contrainte de celui de papier et sa grandeur est un demi celui de 
papier. Les cause de défaillance des condensateurs sont: les forces électromécaniques, des processus 
produits de la contrainte contrainte électrique et haute température. Quand un condensateur se met en 
défaut, le résultat est toujours le claquage (court circuit) de l'isolant (diélectrique) du condensateur. Les 
points secs dans les condensateurs causent des décharge partielle (interne) que par conséquent cause la 
dégradation de la matière diélectrique du condensateur. Cette dégradation est la raison du claquage 
(condition de court circuit) de la matière diélectrique, ça peut prendre quelques minutes ou quelques 
jours dépend de la vitesse de la détérioration de la matière diélectrique du condensateur. Les raisons de 
cette dégradation de la matière sont: thermique, la tension et des processus chimique qui causent une 
changement (réduction) dans la résistance mécanique de l'isolant, le degré de la polymérisation de 
l'isolat cellulosique (le papier), la décharge partielle et l'évolution (développement) du gaz. Les 
mesrages suivant donnent une indication de l'état de condensateurs (on peut les faire souvent ou 
périodiquement): le mesure de la capacitance du condensateur, le mesure de la décharge partielle et la 
perte diélectrique (le facteur de dissipation). Les ponts qu'on utilise pour mesurer la capacitance et le 
facteur de dissipation sont le pont de Wien et de Schering. Les indices de condensateur qui se mettent 
en défaut sont la fuite de l'huile des joints soudés ou les bornes à tige, le sur­chauffage (l'échauffement) 
des condensateurs, le renflement de la cuve et le craquement. Les raisons de l'échauffement des 
condensateurs sont mal aération (les condensateurs montés a l'intérieur), haute température ambiante, la 
surtension (à cause des harmoniques et les charges légères des lignes) et haute fréquence d'oscillation. 
La justification de l'application des condensateurs aux réseaux électriques: On peut décider sur les 
meilleurs points où on doit brancher (installer) les condensateurs au réseau électrique après que nous 
faisons l'étude (le calcul et l'analyse) des pertes et de la régulation de tension pour les différentes 
alternatives réalisable. On fait le calcul nécessaire d'une étude de répartition des puissances actives et 
réactives pour les dispositions alternatives du réseau avec les différents lieux possibles des 
condensateurs tenant en compte toutes les augmentations comme même les réductions prévues dans les 
charges électriques (on va produire un profil de l'artère). Lorsqu'on installe et branche les condensateurs 
au réseau électrique, les bénéfices économiques qu'on peut réaliser sont: le dégagement de la puissance 
des centrales, le dégagement de la capacité des lignes de transport, le dégagement de la capacité; des 
postes de transformation et les autres postes du réseau électrique, la diminution des pertes de charge 
(cuivre) I2R, la réduction de la chute de tension (par conséquent l'amélioration de la régulation du 
réseau), le dégagement de la capacité de l'artère et autre dispositifs à cause de l'amélioration de la 
régulation de tension, le revenu augmente et l'élimination ou l'ajournement de la dépense pour 
l'extension du réseau. 
d = G + T + S + F + ACE + BCE, où 
d: le bénéfice total à cause de l'installation des condensateurs. 
G: le bénéfice annuel à cause du dégagement de la puissance des centrales $/an. 
T: le bénéfice annuel à cause du dégagement de la capacité des lignes de transport $/an. 
S: le bénéfice annuel à cause du dégagement de la capacité des postes électrique du réseau $/an. 
F: le bénéfice annuel à cause du dégagement de la capacité des artères $/an. 
ACE: le bénéfice annuel due a l'énergie conservée $/an. 
BCE: le revenu due a l'augmentation dans la consommation en KWH $/an. 
L'épargne net égale le bénéfice total à cause de l'installation des condensateurs moins les coûts des 
condensateurs, de l'installation et de l'entretien pendant la vie des condensateurs. 
G = G' x CG x i; où G' est la puissance de centrale dégagée, CG est le coût de la production crête en 
$/KW et i est le taux d'intérêt (annuel et fixe) applicable à la production de l'électricité. 
T = T' x CT x i; où T' est la capacité dégagée des lignes de transport , CT est le coût de la ligne de 
transport et les autres dispositifs/appareils associés en $/KVA et i est le taux d'intérêt (annuel et fixe) 
applicable au transport de l'énergie électrique. 
S = S' x CS x i; où S' est la capacité dégagée des postes électriques , CS est le coût des appareillage des 
postes en $/KVA et i est le taux d'intérêt (annuel et fixe) applicable aux postes électriques. 
F = F' x CF x i; où F' est la capacité dégagée des artères, CF est le coût d'installation des artères 
(poteaux, isolateurs, conducteurs,..etc.) en $/KVA et i est le taux d'intérêt (annuel et fixe) applicable 
aux artères. 
BCE = BCE' x OC x EC; où BCE' est la consommation additionnelle d'énergie en %, OC est la 
consommation originale de l'énergie électrique par an KWH/an et EC est le coût de l'énergie en 
$/KWH. 
ACE = ACE' x EC; où ACE' est l'énergie conservée par an en KWH/an. 
EIC = dQ x IC x i; où EIC est le coût équivalent annuel du coût total des condensateurs installés en 
$/an, dQ est le condensateur additionnel requis en KVAR, IC est le coût initial des condensateurs 
installés en $/KVAR et i est le taux d'intérêt applicable aux condensateurs. 
Les lignes aériennes et les foudres: 
Le niveau d'isolement des supports et des poteaux: Dans les systèmes de distribution aérienne, les 
composantes suivantes fournissent le support, le soutien et l'isolant nécessaire (contre la tension, la 
surtension et les forces mécaniques): les poteaux (en bois, en aluminium, en béton, en fibre de verre ou 
en acier), les isolateurs (rigide, à fût massif vertical ou horizontal) et la traverse (le bras) ou le support 
(en bois ou en fibre de verre). Les appareils et dispositifs qu'on trouve dans les systèmes de distribution 
aérienne sont: les transformateurs aériens (montage aux poteaux), les parafoudres (afin de protéger la 
ligne elle­même et les appareils aériens), les interrupteurs de charge et les sectionneurs, les fusibles 
(limiteur de courant et expulsion), les conducteurs nus (par exemple 556.6 MCM), les câble secondaires 
(basse tension) multifilaires, les auto­sectionneurs et les re­énclencheur, les condensateurs et les 
variateurs de tension. Quand la tension de tenue au choc du support (poteau plus isolateur) est excédée 
a cause du foudre qui frappe la ligne directement ou frappe près de la ligne (onde de surtension 
induite)le jaillissement d'étincelles arrive. Le BIL de la support est le total du BIL du isolateur plus tous 
les niveaux d'isolement des composantes dans le parcours du contournement entre le conducteur et la 
terre. On peut obtenir précisément le niveau d'isolement de la structure quan on la met à l'essai (essaie) 
avec un générateur d'onde (qui produit haute tension). Pratiquement on peut prendre le niveau 
d'isolement de la structure égale le BIL de l'isolateur. On peut obtenir cette valeur du catalogue 
technique de fabricant. En général, les conditions suivantes réduire la valeur de BIL du support: quand 
les accessoires de montage sont en métal, la présence du câble d'hauban, la position du fil de neutre et 
la diminution de la distance d'isolement (entres les conducteurs et le support). Si on va ériger des 
poteaux en aluminium, en acier ou en béton, ça va réduire la valeur de BIL de la structure à rapport de 
ceux en bois. Quand on utilise la traverse sans connexion à la terre, le BIL de la support va augmenter. 
Il existe des courbes qui indiquent le rapport entre la longueur de la traverse (ou la traverse et son 
isolateur) et la valeur de la tension de contournement (jaillissement d'étincelles) en KV. Le BIL du 
poteau en bois augmente avec l'augmentation de la longueur de la traverse qui n'a pas une liaison à la 
terre. Une valeur moyenne est 400 KV/pied de la traverse (le bras) basée sur une longueur minimale de 
10 pieds. Les surtension de manœuvre et celle de foudre des chaînes d'isolateurs sont indépendants du 
degre de la pollution des isolateurs, il dépend de la forme des électrodes et la distance entre les deux 
électrodes. D'autre côté, la réponse de l'isolateur à la tension de fréquence industrielle est fonction du 
degre de la pollution de de l'isolateur. La valeur de la tension de contournement est la moitié pour un 
isolateur extrêmement pollué quand on la compare a un légèrement pollué. La gamme de BIL des 
structures (poteaux plus les isolateurs) de distribution est de 150 à 400 KV. L'isolant externe est 
constitué par les intervalles d'air et les surfaces exposées des isolations (solides) d'un appareil qui sont 
soumises à la fois aux contraintes diélectriques et a l'autre fois a l'influence des conditions 
atmosphériques ou d'agents externes tels que la pollution, l'humidité et les animaux. La résistance 
d'isolement augmente avec la hausse de la humidité absolue jusqu'au point de condensation où le 
vapeur commence a condenser sur la surface de l'isolateur. Elle diminue avec l'abaissement de la 
densité d'air. La valeur de la resistance d'isolement est basée sur les conditions ambiantes moyennes à 
certain lieu (la température ambiante, la pression atmosphérique et la humidité absolue). La neige, la 
glace, le verglas et le brouillard réduisent la tension de tenue d'un isolateur. Quand les isolateurs sont en 
service, on peut présenter (physiquement) sa disposition (configuration) géométrique comme une pièce 
isolantes (l'isolateur) et celle conductible (plaques de raccordement au conducteur et d'attache au 
poteau). Le comportement diélectrique d'un isolateur est fonction des matières isolantes et 
conductibles.   

You might also like