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Les forêts des Alpes

La forêt est le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze s’y succèdent et s’y
mêlent, serrés. Le vent peut à peine entrer dans ces massifs épais.
Seuls les arbres en bordure reçoivent ses attaques furieuses. On dirait des athlètes dont les
membres ont résisté au poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de
rochers, aux rafales du vent. Ils ont perdu leurs feuilles et leurs rameaux, il ne reste que
leurs troncs, comme des squelettes.

Les forêts des Alpes


La forêt est le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze s’y succèdent et s’y
mêlent, serrés. Le vent peut à peine entrer dans ces massifs épais.
Seuls les arbres en bordure reçoivent ses attaques furieuses. On dirait des athlètes dont les
membres ont résisté au poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de
rochers, aux rafales du vent. Ils ont perdu leurs feuilles et leurs rameaux, il ne reste que
leurs troncs, comme des squelettes.

Les forêts des Alpes


La forêt est le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze s’y succèdent et s’y
mêlent, serrés. Le vent peut à peine entrer dans ces massifs épais.
Seuls les arbres en bordure reçoivent ses attaques furieuses. On dirait des athlètes dont les
membres ont résisté au poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de
rochers, aux rafales du vent. Ils ont perdu leurs feuilles et leurs rameaux, il ne reste que
leurs troncs, comme des squelettes.

Les forêts des Alpes


La forêt est le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze s’y succèdent et s’y
mêlent, serrés. Le vent peut à peine entrer dans ces massifs épais.
Seuls les arbres en bordure reçoivent ses attaques furieuses. On dirait des athlètes dont les
membres ont résisté au poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de
rochers, aux rafales du vent. Ils ont perdu leurs feuilles et leurs rameaux, il ne reste que
leurs troncs, comme des squelettes.

Les forêts des Alpes


La forêt est le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze s’y succèdent et s’y
mêlent, serrés. Le vent peut à peine entrer dans ces massifs épais.
Seuls les arbres en bordure reçoivent ses attaques furieuses. On dirait des athlètes dont les
membres ont résisté au poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de
rochers, aux rafales du vent. Ils ont perdu leurs feuilles et leurs rameaux, il ne reste que
leurs troncs, comme des squelettes.

Les forêts des Alpes


La forêt est le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze s’y succèdent et s’y
mêlent, serrés. Le vent peut à peine entrer dans ces massifs épais.
Seuls les arbres en bordure reçoivent ses attaques furieuses. On dirait des athlètes dont les
membres ont résisté au poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de
rochers, aux rafales du vent. Ils ont perdu leurs feuilles et leurs rameaux, il ne reste que
leurs troncs, comme des squelettes.
Conjugue les verbes du texte au temps demandé :
p : présent
p c : passé composé

Les forêts des Alpes

La forêt (être - p) ……………….. le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze

s’y (succéder - p ) ……………………….. et s’y (mêler - p) …………………….. ,

serrés. Le vent (pouvoir - p) ………………………. à peine entrer dans ces massifs épais.

Seuls les arbres en bordure (recevoir - p ) ………………………. ses attaques furieuses.

On dirait des athlètes dont les membres (résister – p c) …………………………… au

poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de rochers, aux rafales du

vent. Ils (perdre – p c) ……………………………. leurs feuilles et leurs rameaux, il ne

(rester - p) ………………………… que leurs troncs, comme des squelettes.

Conjugue les verbes du texte au temps demandé :


p : présent
p c : passé composé

Les forêts des Alpes

La forêt (être - p) ……………….. le véritable habit des Alpes. Le pin, le sapin, le mélèze

s’y (succéder - p ) ……………………….. et s’y (mêler - p) …………………….. ,

serrés. Le vent (pouvoir - p) ………………………. à peine entrer dans ces massifs épais.

Seuls les arbres en bordure (recevoir - p ) ………………………. ses attaques furieuses.

On dirait des athlètes dont les membres (résister – p c) …………………………… au

poids de la neige, à la poussée des avalanches, aux éboulements de rochers, aux rafales du

vent. Ils (perdre – p c) ……………………………. leurs feuilles et leurs rameaux, il ne

(rester - p) ………………………… que leurs troncs, comme des squelettes.

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