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b) Nous marchions dans la rue et soudain nous avons entendu des cris sur
Ia droite. Nous
sommes allés voir ce que c'était mais nous n'avons pas compris tout
de suite. ll y avait un
gros camion sur un trottoir et des gens qui couraieni partout. ¡ls essayaient
tous de rentrer
dans les immeubles et, dans les mágasins, nous voyions des tétes apelrées qui
regardaient
la.rue. Quelqu'un nous a crié un cóur"nt de ne pas rester lá si noüs n" uoui¡onr"p",
nous
faire manger: un lion s'était échappé du camion. Nous avons commencé regardlr
á autour
de nous et nous.n'avons. pas vu'lb tion. Oü était-il? Tout d,un coup nous nous
sommes
aperqus qu'il était.juste derriére nous. Nous avons eu trés peur mais il nous regardait
gen-
timent et au lieu de nous sauver nous lui avons parlé. ll siest assis et nous a écoutés.
Son
ma?tre est arrivé et l'a fait remonter dans le camion: il avait simplement oublié
de fermer
la porte et il était allé boire un pot au café. Les gens qui avaient été si peu
courageux avec
le lion l'étaíent beaucoup plus avec son ma?treét lui iaisaient des repioches. Ass]s
sur son
derriére le lion regardait tout Ea avec un air trés calme.

c) Il la suivait depuis un moment. Elle était süre qu'il voulait la tuer. Autrefois, ils s,étaient
aimés, mais elle l'avait quitté pour continuer ses btud"r. Lui, íl ne comprenaii pas/n'avait
pas compris qu'une fg*.u préfére des études á un mari. ll n'était pas
trés modernl. Elle pen-
sait qu'il ne lui uYtj.i"*ais pardonné. Et maintenant, il la suivaii. Elle se r*ntuiip"niqlée.
Que fallait-il faire? Elle pouvait demander de l'aide, mais qui fa croirait? ll avait l,air si bien
Brusquement, elle a tourné au coin de la rue et s'est mise á courir en regardant
3levé. de
ternps en temps derriére elle. Un chien passait malencontreusement par lá. Elle nJ¡'u
pas vu
et elle est tombée la téte contre un arbre. L'homme qui la suivait a écarté les passanti
et I'a
emportée. Elle mourait de peur. L'air préoccupé, il ne disait rien. II I'a déposéL dans
sa voi-
ture et il lui a dit: n Chérie, tu as l'aÍr fáchée iontre moi, pourquoi? r

47.- QU"EST-IL DEIrENU?

étair; a; a faitson chemin;


maintenant exposée; avait décidé,
n'éraiffjj};;::i::"gny; a instailé; ír a déjá vendu; est
il- l'; rrñ; révé, il y est arrivé; se considére; Iui
avait dit"' était; l'avaittraumatisé-; il en rii'i¡ "rá¡t,
ui.rare...
rnis en colére... j'ai rout fait; Je rui dois, J,ai peut-étre réussi; elles m,ont
riái;ü; je vous l,ai dit, c,est.

48.- JEA]\[NE D'ARC

est née ou était . est restée; ne:'"1ü]il:"0llt"",ée; efie


f.t
demandaient, était'.. on avait eÁtendu, dá;;;i;;ile est entrée; avait enrendu...
a eu... elle a rejoint, lui a affirmé... elle
pouvait; elle a réussi"'qu¡ assiégeaient...
a iait couronner, on t,á fait... elle a été tivrée,
qui l'ont brülée; elle est devenue.
(d'autres temps sont parfois possió/es
)

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