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Eléments du cours
La pensée classique
La pensée socialiste et marxiste
La pensée néoclassique
La pensée économique de Keynes
Pour la pensée marxiste le système capitaliste basé sur l’exploitation de la force de travail
par le capital est un mode de production.
La société est divisée en 2 clases. Celle qui possède les moyens de production et celle qui
ne possède que sa force de travail les capitalistes achètent la force de travail des
prolétaires et dirigent la production.
L’économie moderne repose sur l’échange des marchandises la valeur d’échange
représente la quantité de travail dépensée dans la production, il s’agit du travail productif.
Le travail est la source unique de la valeur mais les capitalistes et les propriétaires
fonciers détiennent des revenus bien qu’ils ne travaillent pas ils opèrent un prélèvement
sur la valeur crée par le travail, ce qui est acheté par le capitaliste ce n’est pas le travail
mais la force de travail ou la capacité de travail de l’ouvrier cette force de travail est payée
à sa valeur suivant les normes de l’économie capitaliste.
Le salaire exprime la quantité de travail que la société doit consacrée a l’entretien et à la
reproduction de la force de travail mais la force de travail peut fournir d’avantage de travail
qu’elle n’en coûte la différence entre quantité de travail fournit et quantité de travail payé
est appelé plus value.
Le profit du capital et la rente foncière sont l’expression monétaire de cette plus value il ne
faut pas les analyser comme un rôle mais comme une conséquence nécessaire de la
propriété privée des moyens de production et du salariat mais comme les capitalistes et
les propriétaires fonciers cherchent constamment a augmenter leur revenus le
prélèvement de la plus value s’analyse comme exploitation de la force de travail par le
capital plusieurs contradiction apparaissent alors et rendent impossible le fonctionnement
du système capitaliste tel qu’il a été décrit.
La paupérisation de la clase ouvrière
Les travailleurs créateurs de la richesse sont réduits à une condition misérable,
l’opposition entre la richesse des capitalistes et la misère des salariés deviendra de plus
en plus insupportable et doit conduire à la conquête du pouvoir par le prolétariat. L’action
des travailleurs organisée peut influencer la détermination du taux de la plus value.
L’offre de la force de travail dépend de l’évolution démographique et la demande de
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capital investit et des techniques de production comme le progrès technique est inhérent
au régime capitaliste il en résulte un ralentissement considérable de l’accroissement de la
demande de la force de travail. Une partie de la classe ouvrière est réduite au chômage, le
chômage est donc une condition de l’expansion de l’économie capitaliste. Les capitalistes
doivent disposer de cette armée industrielle de réserve dés que les circonstances sont
favorables à l’expansion.
A l’encontre de ces prophéties on peut observer d’une part que l’élévation du pouvoir
d’achat de plus d’un siècle en Europe occidentale et au E.U il s’agit donc d’une
paupérisation relative et non absolue et d’autre part la volonté révolutionnaire ne s’est pas
généraliser a la classe ouvrière celle-ci s’est même embourgeoisé.
dans les produits industriels par rapport aux produits agricoles ou que la productivité du
travail a augmenter plus vite dans l’industrie.
La théorie néoclassique dirait qu’au début de la période il y avait un rapport entre les
utilités et les prix des biens et à la fin de la période il y avait d’autres rapports des utilités et
d’autres rapports des prix.
La loi de la proportionnalité des utilités marginales aux prix démontre que la liberté
d’échanges doit être maintenue sans réserve puisque chaque individu dans un système
d’échange libre adapte continuellement ces achats aux prix de telle sorte que les
satisfactions qu’il obtient soient optimisées.
pour rejeter les thèses socialiste relative a l’exploitation du travail par le capital c’est-à-dire
les travailleurs exploité par le patronat.
D’autres analyses sont avancées comme celle de l’économiste Boehm-BAWKERK le
paiement de l’intérêt est justifié par le fait que les détours des production augmente la
productivité du travail et il est rendu possible par le fait de la dépréciation du future, la
production capitaliste et celle dans laquelle on obtient un supplément de production on
fabriquant d’abord des instruments de production et ensuite avec ces instruments les
biens de consommations le supplément de production d’autant plus important que le
détours de production est grand ceci explique que l’on paye un intérêt pour l’argent
emprunté et réinvestir dans la production cette opération permet de différer la demande de
biens de consommation et revenu supplémentaire mais les gens préfèrent les bien présent
Le monde capitaliste subissait en 1929 la plus grave crise de surproduction de toute son
histoire au niveau des pensée économique cette crise entraîne une batail entre l’économie
néoclassique et Keynes
Cette batail inclus aussi les changements au niveau de la politique économique.
L’intervention dans le domaine des investissements et crédit est demandé pour lutter
contre le chômage en rupture avec la passivité des gouvernements en période de crise
économique comme le veulent les principes de libéralisme Keynes fondateur d’un
nouveau libéralisme fournit la justification a l’intervention de l’Etat dans les pays
capitalistes.
Les origines de la pensée de Keynes :
Les fluctuations des prix
La notion d’équilibre stable de l’économie garantie par le capitalisme libéral ne résiste pas
aux enseignements de l’expérience en particulier les fluctuations des prix. Le niveau
moyen des prix c’est la valeur de la moyen suivant la théorie quantitative c’est le volume
de la monnaie en circulation qui cause la valeur de la monnaie cette théorie a été utilise
par les néoclassiques pour expliquer les variations du niveau global des prix. Pour
d’autres économistes c’est la variation de la demande globale qui détermine les variations
des prix et cette demande globale dépend des revenus.
L’investissement du capital se développe lorsque le taux de profit est supérieur au taux
d’intérêt dans une telle situation le revenu distribuer augmente et soulagera l’augmentation
des prix des biens de consommation.
Le déséquilibre ou l’équilibre de l’économie apparaît comme un processus global dans
lequel intervient la masse des revenus ou la masse des investissements.
La croissance économique
Le problème de la croissance ignorer par les néoclassiques refait surface avec joseph
Schumpeter. L’évolution économique dépend de l’investissement des innovations
l’investissement est à l’origine de la croissance et non l’épargne la croissance dépend du
progrès technique et des débouchés nouveaux
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revenus dans d’autres secteurs ceci est important pour comprendre comment l’expansion
ou la dépression se propage dans l’économie.
Les principales contributions de Keynes
Le traité de la monnaie
L’attitude générale de Keynes est de sauver le régime de l’entreprise privée on
abandonnant le laisser faire mais on s’opposant aussi au socialisme la politique suivit en
Angleterre après la 1ère guerre mondiale parait dangereuse a Keynes car elle crée le
chômage.
Avec l’arrivée des effets de la crise de 1929 la grande Bretagne adopte les remèdes de
Keynes comme la dévaluation de la monnaie en 1931 la stimulation des exportations
anglaises ne que reporter la crise sur les autres pays tel que l’Allemagne ou le chômage
touche la moitié de la population industrielle entraînant l’arrivée du nazisme.
L’Allemagne a entrepris de résorber son chômage en passant à l’industrie des
commandes publiques mais ce n’était qu’un palliatif la solution définitive ne peut être pour
les industriels allemands que la conquête de débouchés extérieurs
En 1981 un économiste anglais richard KHAN a publié une étude sur la réaction de
l’investissement au chômage ou il s’efforce de démontrer que les investissements dans les
travaux publics comme la construction de route peut être un remède très efficace contre le
chômage