LnyoROLoGtE DE L/saéxTEUR uns, L’eaw et la production végéiale, Paris, Inst. Nat, Rech. Agron, Paris, ion of models of Alger 1951 MHydeauligue, DEUXIEME PARTIE 1, Symposium Dsrey, Dijon ale dHylrologle Scientifique, Assemblée Générale, Se ae ANALYSE DU REGIME DES COURS D'EAUCHAPITRE VI LES STATIONS DE JAUGEAGE DES COURS D’ A. — GENERALITES, Le régime des débite d'un cours d'eau durant une période déterminée est « seul poste du bilan hydrologique d'un bassin qui puisse étre mesuré dans ensemble aveo une bonne précision; leg autres éléments de ce les précipltations, l'évaporation, ete... ne peuvent Ge quiestimés & divers. poi assez. approx. » permettant de relever, sur wt 1s débits éooulés en des points caractéristiques de la rividre principale iy a lieu, de ses divers affiuents, est-elle le prologue de toute étude igement hydraulique d'un bass 1. — Les divers types de station de jaugeaze 1 eourbe des débits en fonction du temps Q=f() a une station de on général, de celle des e hauteurs deau s H(:) au droit sont Iues une ou deux fois par jour sur strées d'une fagon continue par un lo du plan dean, ecourhe de tarage *ser] “Tease 3.4] os 1.240 2.650 4480 10,800 1.059 [14,450 de ce type de station dans le sous 20 40 60 80 700 420 Hauteur deeu en om, de dépouil atureds saw peine dahautie & des moxures deEIRYDROLOGIE DE WINGENIEOR LES STATIONS DE JAUGEAGE A ECHELLES LIMNIMETRIQUES I. — Rappel de quelques définitions ipelons d'abord briévement quelques définitions relatives aux écoule- surface libre, indispensables a la elarté de notre exposé in écoulement ast dit permanent lorsque sos caractévistiques hydrau- t is toutes les sections du point & un autre); en mnent permanent < quien moyenne», les flue- ‘autour Pune pente et lance des earactéris- ete.) est ici xéalige non tes les la pente ¢ de Ia ligne de plan d’eau et la pe bit le debit yan écoulement soit strictement wniforme assez Jong canal un debit univaque @ = {(H) entre le débit Q ot la houteur H ue & échelle jue que Gans les deux cas suivants 1, — Eeaulement.uniformes 2, — Eeouleinent permanent avec « contréle > im Ie tomps, On s'efforcera toujours de placer les stations de pour quill en ant welever ov enregistrer les hauteurs d'eau wn ccontrale » dont jon de jaugeage se etéristiques varient d'un a autre (basrage mobile, seuil de vier fluctuant au gré des erues), ne suflt plus; mais le \cbit peut alors étve relié par une relation Q = f (Fj, Hs) aux hauteurs d'eau Te secteur compri Dans les eas, assez 1 trop aecentus s'est pratiqueme! ne la courbe de tarage Q = [(H) est univoque ier, dane le cas parti- Ta vitesse — et par suite le a eanal. La plus ancienne est des parois; aulique: quotient de la surface mouillée > par le péri- Je b eelle du sadier du aésignantde ta courbe de tarage Q@ = j(H) dans quelques cas de largeur L, on aura, en supposant le eau H, constant sur sla formule de Chézy acts Lar] le vis-a-vis de L (sours d'eau trés larg Ie formule ci ) Qe chiens =x, le ne sera pas au niveau du radier du canal, 23.» 1909 N 3h ere 300 1000 600 300 eo92 e608 88a 8 © 2 833° Ory Fy eo g eoo0s ao > 600 200 500 100 Superficie en m? 400 0 200 100 a 8 8 “Wd Ua fbe,p JNeiNDH ébit en ms QO D Tie. Vie — Type de caurbe e tage une station statedans le cas @’un écoulement non w approximation sera dautant Sach ary 4 ‘Plan de référence égliger la courbure des filets ération de Feau, on démontre weatin eee f La dénivellation 2 — Y%y de te ligne dlcl xy sobtient en intézrant l'équation ci-dessus; ee qui donne ur Zy=0 | Courbe de forage de Echelle imnmétrique {9 la section de certrole ‘val Lengueur suivant laxe de écoulement : X on voit clairement que la différence 2,—2y des alti- 1 dans les doux sections P et P, est la somme de deux U; —-" seprésente In diffrence de force vive de la 20 Bove un lung wateur de cours d'eau ce premier Lermne eat aénéraement exemple, perte de charge dite lingaire ou courante, mais encore les pertes éduzctions) de vitesse qu'lm- nn des sections mouillées d'un point ‘Equation () montre que pour ua lit de topographie donnée on peut 1 de proche en pr joints de la Ligne d'eau imparte quel dé manaitre Ta cote Z, de Veau ce méme débit dane cette demniére on sera le Nous appel fu régime forrentiel. Il existe done dans Vemprise du « contréie > un ‘en travers olt la vitesse moyenne de l'eau est juste égale a la we U, afférente audit profil, Si le tirant d'eau est petit par rapport a a ‘supposé rectangulaire, on sait que dans cette section en écoule critique, le tirant d'eau moyen Pp, ost égal au double de la « hauteur due Ja conclusion essenticlle suivante: la valeur du par suite Ia cote earrespondante H du pl ln ection de contrdle @ par le profil en avers ce Ia dite se Litude de Ia ligne d'eau dr int permanent non uniforme est ‘e dang les coms @hydraul c ns ie} & xappeler les 1 points suivants un écoulement fluvi Vamont vers Taval survient progressivement et Je profil en long de @ (courbe de remous), Dans un écoule~ is nécessairement de méme; une augmentation de ssquiement sous forme d'une discontinuité de la im de eressaut hydraulique » dénoyé ou non lorsque l'écoulement torrentiel fait place & un écoulement « flu- ang une section quelcongue d'un écoulement permanent non rant d'eau «pest déterming par la présence d'une section de contréle >. Si [écoulement est fluvial dans le profil en. considéré, eette section de contréle ee trouve A aval, tandis que si t est lorrentiel elle se trouve @ Tamont, fl en long de Ia ligne d'eau (par V'équation (5) wba tte AE Bat netbenee® ahaVarvoxovosie De Vinci te ——) éléments gui dépendent eux-mémes de Labseisse =, = r ‘pendent de abs Q En remarquant que U = Péquation (6) séerit le contréles, cote étant jue le cote 2, Qa Réssaur sque valeur de Zy des valeurs de = et x, de C et k’LHYDROLOGIE DE LincEMEUR SStA7T0NS OF JaUoHAGE ORE COURS D'EAU 28 8) Modes d'établissement de ta surface de tarage d'une station & deur Gehelles La courbe de tarage des stations & une seule échelle est tune surface de tarage Q = (2, 2y). Th our les stations & dune station & deux échelles limnimétriques e cas d'un écoulement non uniforme Ta dépendanee du » variable = contra remplacée riquement, celle-el peut étre ynolle unique en offactuant des jou- de) pour déterminer directe- les debits correspundant & J nombre de couples de valeurs tudes de Zy et Zy. Pr généralement long ‘onéroux ot Is dispersion inév wentaux rendrait boricux T'établiseement des diag nodes ont-elles aborées en vue de permettre le tracé, par un ealeul dextrapolation et Interpolation, des régions du diagramme Q=i(Zy, Z;), qui n’ont pu sre ument définies par les jeugeages visés ci-dessus, a principe, la surface de tarage Q={(Z,, Z;) peut toujours étre déter~ née par ie calcul a partir de léquation (4) ou d'une méthode classique de aleul de remous, si Ton connait exactement la topographie du lit et une e de son coefficient de rugesité C; ce dernier wmétre se déduira des valeurs Z, ot Z, correspondant des débits Q surés par jaugeage direct. Cette méthode nest gure applicabli i triels & section trés réguliére (voir ci-aprés son wenée de Tusine de Ventavon). Pour les cours deat l est préférable, suivant la méthode précanisée par te Geological voy des U.S.A, de rechercher le coelficient de corree affector aut it @ donné par une station & échelle unique (\'éehelle amont par exemple), wsque la pente de la ligne d'eau — ou pratiquement Ia « chute » Zy—Zy =F deux échelles — est dif le F, dite wate normale tre, en pratique, des cas of la deuxi e bon fonctionnement d'une station & isable; il en est ainsi notamment lorsque jus d'un barrage-réservoir dont le plan deat varie au cours des t des vidanges, ou bien dans la zone dinfluence d'un barrage % vannes sont manceuvrées pour Ies besoins de la navigation tion d'une usine hydroélectrique; il est bien clair que dans de néme cote a échelle, peuvent correspondve des débits trés absence de tout ouvrage art bief oit se trouve étal ame mise hors @action par diver nes naturels parfois weler: érosion ow exhaussement d'un bene de x formant ue importante d'un affluent débouchant essen prés 2 'amont oa » pour modificr inopingment la loi Q = f(H) au droit Aéveloppement saisonnicr de la végétotion aquatique, embacle- I d'une section rétrécte (ponts), ete. ‘onditions, on peut encore abten des stations comportant deux éch ve L Tune de Tautre, et Zy los cotes du plan d'eau dédi in (4) ci-dessus montre Zq et Zy ne caves de contréle qui jue peut étre pe ‘essentiel de cette méthode, dite parfols «méthode Boven s, peut étre 6 comme suit Reprenons Péquation (6) ne échelle qui niintervient en falt, que comme correctif posons qu'en premiére wulement puisse étre nme uniforme; si L est la stance entre les deux échelles et si ’on ne desu par ta formule de Cntzy (U = CV/R pente de Ia m cicdessus devient en négligeant Je pn B.2,~2,=L— pe lessees + vespondants Q.LUYDROLOGIE bE L'mictxascR VFS b) Quelques exemples de stations de jaugeage @ deur échelles 1) Station de jaugeage sur le cunal damende de Vusine hydroélectrique de Ve chambre d'eau de l'usine de Ventavon; au cours du fonctionnement « par un débit maximum de 80 m/s alimente | a : erect dclusées> de cetie usine (en utilisant eau emmagasinée dans le canal) ‘on le rapport “de dew d&bite corseapondant & ane méme cote Te plan d'eau dans la chambre d'eau de Je «contrdle> aval du canal v: wt mont est gel Ja racine eaerée du rapport = dos chutes F ft ane sta F Nous avons étudié antes, {ées respectivement f la passerelle , la relation entre tes débits et les pentes afférents A une méme “échelle amont sera plus complexe car écoulement n'est pas uniforme; la formule de Chéay niest qu'spprochée, ésente pas exactement la dénivellation de 1a ison des différences entre les wres longitudinales et trans- alouler une valeur suifisam canal entre les deux échelles pout Ces éléments ont permis d'établir, daprés bes Q = F(Z, 2») représenté par la figure VI-6 ne assoa étroite earzespondant aux mesures ayant un intérét indus- 5 courbes d'égal débit en fonction de la cote Z, a la passerelle du de Ia cole 2) au Grand Beal. On peut voir qu’a une méme cote 57020 correspondent des débits de 30 ou de 40 mi, suivant que Z, = ou 51030, i mouillées correspondantes, des co u plan d'eau, ete Q Nous conelurons donc en disant que Je rapport des débits F est une rupport des chutes 2) Station de Guntersville sur le Tennessee approximation par Ja ire déterminge & partir des zelevés cr le débit de ce grand cours desu remous du barrage de naviga- comporte das vannes mobiles destinées & régler le ief amont entre d'étroites limites quel que soit le d padéquat puisau’il impose volew zy = 24 rnigraphes dont les mouvements ement synchronisés; celui daval fontiement i partir noun Ie Von fente de lee ve réulbe, puur Tow FemOner uence eur ougonge est diferente de Fon au HEDIE Quah eonreapanieat ‘chaisle convenSete du pic Sea. & © casserelie du Vivas en mates es 002 o ttt | Rese: 5 antes oa age 9 8unj297 ay if osoes ‘0 ESSE, oped si200p taboabnsp & ots Wi U8 109q puoig no nap uBd np e103 ose ws US 109g puEYD MP aye499) sea g WAB ONVYO NY 13 SVAIA na 3TRUSSSVd WY 3-0 NWId NG 3109 ¥7 30 NOILSNOS NB LIA NOAVLN3A 30 ZaNaW¥.d TvNv2 + Relation obser- vée débil~chute eS ks B., 3000 3500 4000 4500 5000 $500 600 Dabit mesuré en m/s Late x Lecture l'échelle amont en m. 0 02 04 08 08 10 12 14 16 1B 20 22 24 4000 1500 2000 2500 Rapport de la*chute“observée a la chute Débit_mesuré (en m3s ) pour des chutes diverses Pie VET — Cos de tage de 1 enon 3 dom aha db Gunovite our 16 Teanente N. B=, dente lm Tinporiane doa, eccton dome par lo deulie dala» pour un méme débit Q, les de la station, on te temps appréciable jum de Ia vitesse moyenne U, Moxie 40 hour deo 3000 Woximan a aor Hauteur d'eau cen em)donne un débit trop faible tandis qu'en Gébit trop fort. La forme de la courbe + en crochet » s souvent, vant la Toi du débit tes du bief dans lequel Ia mame, Mais alors que pour oint de 0,005 m par kilor attelgnait 0,058 m par kilo- la crue, Contrairement 3 In régle admiso généralement — erue présente nte bien moindre que Ja déerue: rnt sans doute de conditions a la limite aval tres différentes dans est vralsemblabie que la crue de juin 1906 a coincidé avec ix de Ia Tisza, alors que la décrue de 1918 est survenue durant e de basses eaux de ce méme fleuve. En dehors de la zone de le de Dogoz par exemple), on observe bien une pente fe: te débit de ta décrue, le 2 soit 2918, est d'allleurs beaucoup ertant que colui de Ja crue du 11 ju wees de tirant eau dans cette région, ligne eau te |s'Se S618 aterm 79 9908 1246, Distances cumulées au confluent de le Tisza en kin Si Yon fait abstraction de Pinffuence de la non permanence de Pécou- ement, on peut estimer dans ce cas partie “ 5 (@)"= (pm) * du ccontréle> sur es indications d'une échelle limni les cours deau & faible pent. sortirait du cadze de cet ouvra V1. — Données pratiques pour Ie choix de Templacement des stations de jaugeage & échelles de tarage» reliant d'une fagon univaque le dehit & la cote . Nous avons vu que cela ne peut étre abtenu que si certaines sont réalisées; dans le eas contraire, on établira les implentées de sorte que pour tous les debits Ta ligne d'eau puisse ssurée aver une bonne précision, 1e bonne sensibilité, sera placée dans un bicf dans ces conditions la ligne d'eau dudit bie est une de remous commandée pat Io isé dans une section do placée & Vavei, «contréles» de la station vs contyéles peuvent étre naturels ou construits de main d’homme. vocheux, un bine de gravier ou une ligne de gros blocs plus ou entés par un remplissage de matériaux fins peuvent créer une pente ou méme un veritable déversair qui imposent dans ta ne trouvent une relation peu prés stable entre le débit et 1. Le méme effet peut résulter de V'existence d'un petit, construit pour les betoins de la navigation un coude brasque de la >: en Pabsence de toute car see caractéris-nvarlables dans Ie doe hydeless élativement plus feéquentes, Néanmoins, parfois la pattie de la o relative eux hautes eaux demeure P end que Te ue sera sourise h plusieurs conten losgue le di ra; hen réae ies de la courbe de taege Te terran doe conerdles se our le choix done apporter beaucoup de prudence et de jugement da une courbe de tarage — pax simple translation par ‘curs par exemple — sur le vu du résultat de quelques jaugeages verification plus ou moins discordants, Le remblalement du contrdle par des dépdts de sale ot de graviers pro- un offet de sens opposé & celui de Vérosion; de tels attervissements sont 1 balayes en b comme nous es courbes de jerger vers les importa ab fant vers le évidorment plus fav ébreite surtout tion instable ont te ft divaguent en basses eaux. adapter aux o Brofl|du cours d'eau par les phénomines i wien alt peuientproie, notanment ong vo 1 UX-ci sont souvent me ae ‘avoir. Le problame devi dans le cas de cours d'eau torn use bras enserrant des hanes de sable et de galots ( de jaugeages apres chaque crue (1), et l'emploi de ph pour une méme station sont alors & recommander. développement ou Ia dégénérescence suivant les saisons de la sur les contriles et sur les 3 d'approche, des effets tout a fait comparables & coux des dépéts et 's Cet élément peut prendre une grande importance dans les ‘et eanaux peu profonds et A faible pente, notamment dans les sts chauds, respondant largit rapidement, e de Yétude sur +) Résumé des principales conditions @ rechercher pour implantation une station & échelles limnimétriques. at résumer de la fagon suivante les conditions essentielies & plantation due station de jaugeage vile — unique si possible quel que soit le débit — doit étre sventuels contriles ner action en aussi peu influencé que posible par lont il est en général difficile a intée & proximité du contréle ot de préfé- La courbe te, de ta véyit au cory de vesoes inane‘Adri pour imaigraphe T)__Abri du limrigraphe fe to lame deversante |COUPE LL 04. « somi-modulaire > — fen fonction de ta ‘appareil, Larsque le ressaut a dis~ le traverse ast sous Ja du iver le caleul averted ‘abvareaneWavanoroare pe L'aNomeieUR [STATIONS DE ZAUGEAGE 08S COURS o'EAU 30 | sa SPECTRE IRomanche Niveau des HE, extroordinoires 525 L 4 +, s40 sell Secteur dappreche a Déverscin’g lange seuil” ladier en bois pam \ $00 PUITS_DE MESURE yee 4) Quetques exempter Lo fiver VII inontve un type de jaupeur & resswut dit + jaugeurVenturi a essenticllement ique de Teau miso en de réduire Ia perte de charge glo- wgeur. Sur des torrents de montagne a pente relativement fo) ion est sans intérét et Yon peut supprimer le ur deviont ainst une sorte de déversoir & large se: in dispositif de ce genre que nous avons réalisé pe du Plan de Alpe (figuze VI-ISA et VI-153) Haute-Romanche. Le bassin versant est de t qui fait suite au col du erdisait Yemploi de tout, & seul fixe, Le passage ial aut régime torrentiel est Yécoulement, la cont age Q(H) de des contréles de Marchi sur inet ont wnt quel cont parfois BIBLIOGRAPHIE, Stations hydrologiques en service aut is. Annucire Hytrologique de le i w hhydrométriques franeaises. Nomenclature ot caractiristiques, Région Patis, Société Hydrotect Central. Pe ‘so (Gi, Les stations de jaugeage en Algérie, Terres et Ear, mai 59, @ fg ie de jaugeage par expl vitesses. 1952, 4: Mesure dee débite: méthode Ja mesure du débit des cours d'eau. La , décembre 1952, juin-juillet 1052, (EJ). 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