You are on page 1of 1

James Bond, avec deux bourbons doubles l'intrieur de lui, assis dans le salon du dpart de l'aroport de Miami et de la pense

e sur la vie et la mort. Il faisait partie de sa profession de tuer des gens. Il n'avait jamais aim le faire et quand il a d tuer des gens il l'a fait aussi bien que lui savait houe et de l'oublier. Comme un agent secret qui a occup le rare double - prefix O - le permis de tuer dans le Secret Service - il tait de son devoir d'tre aussi cool propos de la mort comme un chirurgien. Si c'est arriv, c'est arriv. Regret tait non professionnelle - le pire, c'tait la mort - insecte montre dans l'me. Et pourtant, il y avait eu quelque chose de curieusement impressionnante sur la mort de l'mexicain. Ce n'tait pas qu'il n'avait pas mrit de mourir. Il tait un homme mauvais, un homme qu'ils appellent au Mexique un capungo. Un capungo est un bandit qui va tuer pour aussi peu que 40 pesos, soit environ vingt - cinq shillings - bien que probablement il avait t pay plus de tenter la mise mort de Bond - et, de l'apparence de lui, il avait t un instrument la douleur et la misre og toute sa vie. Oui, il avait certainement eu le temps pour lui de mourir, mais quand Bond l'avait tu, au moins vingt - quatre heures avant, la vie tait sorti du corps si vite, tellement, que Bond avait presque vu sortir de sa la bouche comme il le fait, sous la forme d'un oiseau, dans les primitives hatiens.

You might also like