« PIPS » PRILLERNa
fossa clas
Pro LM. Gul 2014
‘Speyer, odobre 1939,
osef Piller. Cenom nest pas nécessairement le plus familerparmi en peine de stabiliser. Josef Prilern’a pas 18 ans lorsque Adolf Hitler
le nuée d'es qu’a pu produie le Luftwaffe entre 1939 et 1945. _accéde au poste de chancel. La rapide mise en branle de la polit
«Pips » Piller, voila qui aura sans doute un peu plus d’écho. que nazie de réarmement le trouve a la veile de ses vingt ans en &ge
Et sil'on ajoute Le Jour le plus ong, un pilote mitraillant les d'éte incorporé dans la nouvelle Wehrmacht offcialis6e parle pouvoir.
plages du D-Day en évoqueant, dans un rire fore
et dérisoite, « le plus grand moment dons histoire de
Ja Luftwaffe», beaucoup auront sans doute une image
plus précise en téte : celle du Kommandeur dela JG 28,
lun « Abbevile Boy » aux 101 victoire, toutes, ins
tar d’Adolf Galland et de quelques autres, remportées
1 Ouest le tueur de Spitfire par excellence.
PREMIERES ARMES
DANS LA LUFTWAFFE
Bavarois né & Ingolstact le 27 jullet 1915 en pleine
Premigre Guerre mondiale, celui que I'on sunomme
rapidement « Pips » appartient & cette génération d’Al
lemands grandissant au mileu des rancoours et des regrets
de leurs ainés et dans un cimat de crise endémique que la
jaune ot chahutée République de Weimar se trouve bien
(WN 5057 « tune»
‘3eTOboreinan dose
Pier alos Stokaptan
Ia Batailo anlar.
apparel, ooré de 22
vidoes, porte fa marque
personele de Pit Tas
‘rma intreu que ron‘A, 41x Photoaphie A aherses dates de af Sannde
{Set eB 109 4 (WN. 7208) «1 ane» de fObereunant
ose rile, Staekaptan 1G 28.On vol ses mécanos poser
‘és de la queue de Fapparespotart $8 bares de vcore,
‘equi sue la oto apts le 2 olor, tune éaupe de
‘Fropagandokompari timer & Sait Omer-Arques le 25 novembre,
Ainsi appelé au service militaire en 1935, i est d'abord
‘6leve-officier (Fahnenjunker) au sein du 19. Infonterie
Regiment de Munich. Priler y apprend les rudiments
«du métier des armes, avant d'étre versé, en octobre
1936, dans lajeune Luftwaffe Arme emblématique du
renouveau militaire de Allemagne, tout la fois héritére
ct libre des traditions et des pesanteurs des anciennes
Deutsche Luftsreitkrifte vaincues en 1918 et dissoutes
fen 1920.
Crest 8 Salzwedel, dens la Saxe-Anhalt, que Piiler entame
‘sa formation de plote de chasse, Personnaltéentiére mais
‘enthousiaste et technicien perfectionnist,il est bientdt
nommé Oberleutnant et affecté, & compter du 1° avil
1937, ala Jagdgeschwader 135 de Bad Eibing, puis rai
dement 21a JG 71. IIs'y familiarise avec les divers types
apparels de promiére génération de lajeune Luftwaffe,
le Heinkel He 51, Arado Ar 68, puis surtout avec les
premitres versions du Messerschmitt Bf 109. En 1939,
plusieurs modifications de ordre de batalle conduisent &
bouleverser les désignations d'unité. LaIG 135, devenve
un moment JG 233 et volant sur Bf 109 Det , devient
‘en mai le |. Gruppe de la nouvelle JG 51. Piller et son
Unité ne sont pas requis pour participer & la campagne
de Pologne, mais en octobre 1939, la JG 71 change &
son tour de dénomination pour constituer le IL/JG 51,
‘sous les ordres du Major Emst Burggale. L’ensemble de
units est confiée & un commandant propre &inspier le
respect de la part de jounes pilotes avides den décou-
‘re et n‘ayant pas encore recu leur baptéme du feu
1] osterkamp sera cxédté de 6 votes au cous des
Daatles de Franco et Angee, avant de céder
‘son poste de commandant dei iG 81 au Tame
‘ener Moles quik sera son sumom,aa
AS DE CEUR
Een
Obersteuinant Theodor « Theo » Osterkamp, 47 ans, as
‘aux 32 victoires en 1917 et 1918 et fun des rarissimes
pilotes qui pourra s‘enorgueilir de ce titre lors de deux
‘guerres mondiales I!)
Le 1 octobre 1939, « Pips » Priller est nommé chet
'escadiile (StaffeKapitén) de la 6./JG 51. Son groupe
de chasse est tout d'abord stationné sur 'aérodrome de
Forstenfeldbrock, prés de Munich, avant de rejindre, 8a
findu mais, le front de "Ouest et terrain d'Eutingen, non
loin de Stuttgart. Pendant la Sizkrieg (Dréle de quere), le
{groupe connat plusieurs redéploiements et dispersions sur
divers terains de la région, notamment a Friedrichshafen,
au bord du lac de Constance, ou 8 Boblingen. C'est la
que le Major Burgaller est tué en févtier 1940, remplacé
ar I Hauptmann Gunther Matthes.
1940 - UN AS DANS LE CIEL
DE FRANCE.
Pour Pier, comme pour la plupart des plotes de Bf 109,
la guerre ne débute véritablement qu'en mai 1940. Alors
ue les opérations actives sure front francais ont com-
mencé depuis deux semaines, seul le JG 51 a été
déployé au plus prés du front. Ce n’est que le 26 mai
ue I'escadiille de Priler est mise en alerte 8 son tour
pour former ‘avant-garde du il. Gruppe sur le terrain
belge d’Emptinne, au sud de Namur, en préparation de
offensive contre la poche de Dunkerque. L’ensemble du
JJG 51 rejoint deux jours plus tard, le 28 mai 1940.
Cette date marque véritablement le début de lacarriére
opérationnelie de Prillr. Et quel début | En mission de
chasse au nord-ouest de Dunkerque en milieu de journée,
son escadile sffre quatre victoires, dont un doublé per:
sonnel de « Pips », qui abat un Spitfire puis un Hurricane
‘Prt en compagnie de
ur Tank oes dune ste
dusdroceurginerat et
‘hot bureau Setades de
Focke- Wu a Wewelghem
ensoptombre 1942
8 tris minutes d'intervalle. Ce premier succés lui vaut
la Croix de Fer de 2° classe. Alors que le I./JG 61 sins
talle peu apces & Vitry-en-Artois, ces deux victoires sont
rapidement complétées d'une autre, le 2 juin, au sud
‘uest de ce qui reste du camp retranché alli, lorsque le
‘Staffetkepitén abet cette fois un Curtiss H-75A francais
Et ‘est loin d'etre terminé, puisque le 8 juin, Pri sof
fre un second doublé en début de soirée : deux Bristol
‘Blenheim descendus audessus Abbevile, od, d'aileus,
Funité est en train de s‘instaler.
‘Avec cing victores en douze jours, Josef Priler compte
ja parmiles étolles montantes de son Arm. Cette petite
loire personnelle dans un contexte de triomphe de
la Wehrmacht sur « l'ennemi héréditare » est fétée
dignement dans I'escadiile, mais aussi dans les airsrela
|. Le Kommoder doa JG 28 sural ion de Lite & bord
ie son Fw 1804.5 (WN 7288) au ut de Fete 1943,
«ips» son él cigare aux oes (une tration a JG 2 2
‘devant son Fw 180-6 WN. 590120, Tun de ss «13 nas», 3
‘rare pour une nowvele mission Lie-Vandevle 8 ete 1643.
ithe port plus ses marques de victore sure goweral
le 25 juin, jour officiel de armistice avec la France, « Pips » s‘offre en
effet une sixidme victoire non loin de Desvres, dans le Pas-de-Calais,
contre un Spitfire. C'est alors le deuxiéme apparel de ce type quill
domine. Ce sera loin d'etre le derier
«+, CONFIRME
AU-DESSUS DE L’ANGLETERRE
Crest & Desvres, & fest de Boulogne, que stationne 'unité pendant le
brolant été devant décider du sort de ’Angleterre et, pense-ton alors,
de la guerre. Pour Piller et son BF 109 € « Gelb 1 », comme pour len.
‘semble des forces aériennes alemandes, la « Bataille d'Angleterre » ne
débute pourtant pas sous les brilants auspices que la victoire éclair du
printemps pouvaitlaisser espérer. De fagon symbolique, le 10 juillet,
jour ol lu est décernée la Croix de Fer de 1" classe, « Pips » connait
dalleurs son premier « raté » en croyanttenirau-dessus de Douvres sa
septiéme victoire lorsqu'l touche un Spite Mk. Idu N° 610 Squadron
sorti de Biggin Hill; mais celui-ci parvient finalement & s'échapper
et & se poser en urgence. Ce n’est que partie remise. Le 14 juillet,
le Staffelkapitén contibue victoire partagée) & envoyer dans la Manche
lun Hurricane I du N° 615 Squadron de Kenley, pus, le 20, au-dessus
de Folkestone, il descend le Sub Lieutenant G. G. R Bulmer du N° 32
‘Squadron de Biggin Hil. Sa neuvidme victoire est remportée avant la
fin du mois sur un nouveau Spitfire au nord de Douvtes, mais c'est
‘200t, au copur de offensive aérienne sur I’Angleterre, qu se révee le
plus faste pour la 6. Staffe et son chef en particulier. Les 14, 15 et
16, Piller s'artoge trois nouvelles victoires (deux Spit et un Hurricane),
puis un doublé le 24 au large de Margate et de la cOte du Kent (deux
Hurricane & un quart heure d'intervalle) Enfin, le 26, il envoie dans la
Manche un autre Spitfire, cette fois au retour d'une mission & quelques
kilometres de Boulogne.
(Quinze victoires en trois mos ; un beau palmarés personnel pour « Pips »
Piller, mais qui ne refléte pas la situation générale surle front et réchec
de offensive aérienne initiale contre 'Angletere. Le JG 51 a beau-
coup soutfert, et, la fin du mois, avant méme que ne débute le Bite
‘sur Londres, 'unité est mise au vert & Jever, en Basse-Saxe, avant
dl étretransférée au Danemark, su le terrain dAalborg, an septembxe.
Un bref retour dans le nord de la France en octobre (Mardyck, pres
de Dunkerque) permet Piller détoffer encore un peu son palmarés.
Le 7 octobre, lors de deux missions successives il abat deux nouveaux
Spitfire au-dessus du Kent et de la Tamise, puis s‘offre un nouveau
a
Zanuck, le faire entrer dans la Iégende, c’est bien
évidemment le débarquement de Normandie le 6 juin.
Et cette légende ne sera d’ailleurs pas associée & une
Victoire aérionne. A aube du D-Day, es 120 chassours
de la JG 26 ont déja recu depuis avent-veille, et ala
colare de leur Kommodore désireux de conserver ses
forces au plus prés des zones d‘invasion, un ordre de
dispersion pour les soustraire aux intenses bombar
dements alliés. Le |. Gruppe a décollé pour la région
de Reims, le ll. Gruppe pour le Pays basque et Ie I
Gruppe pour Metz. Ne restent & Bondues, prés de Lille,
PC de la JG 26, que Priler en personne, son Kacmarek
(aller) Heinz Wodarczyk, ainsi que quelques officiers
d’état-major, I'échelon logistique et, conformément
la légende, « deux taxis fatigues » plus un toisiéme
hors d'état de vol‘A 08h30, l'état major du Il. Jagokoras (général Junck),
2 Gouvieux (Oise), n’a done presque aucun apparel &
sa disposition immédiate lorsqu'l appelle Priler pour lu
ordonner de mettre son unité en alert. L’accuell télé-
phonique célébre, bien que transformé et magnifié par le
cinéma, iste la colére du Kommodiore de la JG 26 qui
fest pas feinte (2: « C'est de la folie | Sitfon s‘attend &
Lune invasion, la place des escadhilles est surles cotes et
‘non en manceuvre au loin! Vous étes tous cinglés | »
Crest avec la conviction de part pour sa derniére mission
{ue « Pips prend » 'ar & 08K00 & bord de son epparcil
ordinate, le Fav 190-AB « schwarz 13 », décoré del'as do
conur sur lequeli a fait peindre le petit nom de sa fiancée,
Jutta, avec pour seule consigne donnée & son ailer de le
Coller en toutes circonstances. Evitant une formation de
ses vieux amis les Spitfire au-dessus d’ Abbeville, le duo
‘grimpe dans les nuages la verticale du Havre, avant de
Gicler en direction de Ome et de « Sword Beach », la plus
scat avec les picts de
1a Goschadestadeehwcrm
"a Boissyle-Bos le
2ayun 1944 De gauene
‘sdrote, Feldvebel Kat
‘emit, Unerofzere
eine Wodreryk ot
2 Lele de Priter
lod, 8 juin 19
orientale des plages aliées. I effectue alors une unique
passe de strafing pleins gaz & 640 kmh et & 15 metres.
du sol, avant de faire demi-tour et de parvenir atte,
miractleusement indemne, & Cril, sur un terran de la
JG 2. Contrairement & la légende, ce n’est pas la seule
intervention de la Luftwaffe sur les cétes au cours de
Cotte longue journée, mais c’est une des ts rares, et
cle r’aura d‘aileurs guére d’autre conséquence qu'une
bolle frayeur et quelques malhourouses victimes supplé
mentaires parmi les soldats alls.
Priler renoue néanmoins avec les victoires aériennes au
‘cours de ces journées, en dépit de 'écrasante infériorits
de la Lutwatfe. Collec effectue plusieurs centaines de
sorties quotidiennes, usant rapidement les unitésjusau’a
la corde, Le 7, « Pips » s‘offe le luxe d'un doublé lors
de deux missions successives, revendiquant son premier
P.51 Mustang au nord de Caen, puis son second P-47
‘Thunderbolt au-dessus d’Evreux. Le 11, il se « paie »
fen outre un P-38 Lightning du 55th Fighter Group et
‘couronne ce mois de juin combatif mais désespéré par
‘sa centiéme victoire sur un B-24 du 492nd BG, le 15,
‘entre Dreux et Chartres.
« BODENPLATTE »,
LE CHANT DU CYGNE
Ine le sait pas encore, mais ce sera la son avant.
nigre victoire, Le 2 jul, Iénergique « Pips » Priler est
récompensé par les Epées (n° 73). Aprés une bataille
cde Normandie particuliécement oro, le front s'effonde,
ct, en aoit, la France est évacuée en catastrophe, alors
‘que les armées alides se répandent sur tout le testo
La JG 2, epliée en Allemagne et exsanque, ne peut pas,
‘grand-chose dans la situation générale. C'est dans ce
contexte que le 12 octobre, ! Oberstleutnant Josef Priler
remporte son uitime succés personnel en envoyant au sol
leP-51 du Captain Herschel T. Pascoe (363rd FS, 357th
FG) au-dessus de Wunsdort ; sa 101° et utime victoire,
‘toutes remportées sur le front de l'Ouest ~ un palmarés
drexception.
[Mais la guerre nest pas fini, et méme sia réorientation
presque totale de la production vers la chasse ne peut
‘en rien compenser extraordinaire hémorragie de plotes
cexpérimentés, la Luftwaffe a encore & lvrer sa demiére
batall 31" Ouest. Sur instruction directe d’Hier, opéra
‘ton « Bodenplatte » doit en effet accompagner la contre
offensive des Ardennes : 900 chasseurs et chasseurs:
bbombardiers frappant par surprise un grand coup contre
CEE)LA CARRIERE DE JOSEF « PIPS » PRILLER.
EN QUELQUES CHIFFRES
- 1.307 missions de combat, ex
cere]
rete esr a ies
Pt tees ty
eee es
Bott
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Poe iii
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Ce a)
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1943
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Penacied)
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la chasse allée au sol dans I'espoir fou d'acquéri une
supériorité aérienne temporaire. Constamment reterdée,
‘point de laisser crore & son annulaton,« Bodenpatte »
‘et finalement ordonnée pour le 1" janvier 1945.
Priler est ce jour-la nommé Oberst: il a 29 ans et sait
quill envoie ce qui reste de ses maigres Staffeln de
Lanne, Nordhon et Forstenau au désaste, lest chargé
de conduire les Fv 190 D et BY 109 K de la JG 26 et du
ILLJG 54 contre les terrains aliés de la région de Bruxelles,
Evére et Grimbergen. Le résultat de attaque est au mieux
mmitigé au plan tactique, et désastreux au plen opérationne
Pour la Luftwaffe, c'est un chant du cygne qui lui cocte
environ 300 appareils et surtout plus de 200 précieux
pilotes, dont une bonne part de 'emplacable et dernier
noyau dencadrement expérimenté.Prilerrentreindernne
de'épreuve, mals yperd son fiddle aller Heine Wodarczyk,
ddoux vietores homologuées. Pour ce prix démesuré, pus
de 400 avions lids ont certes été détts, essentielement
au sol, mais trés peu de pilotes. Cette perte matériel,
eer
oe)
tee ead
eee ere aay
eee Noy
Crconstances seshommes
fe peuvent organiser qu une
‘te csimoni sur
terran de Giyancout pour
feria 100" vctowe de
leur Kommodoree 1S in
1944 mais, au ros,
tradi et respecte, rier
fest un des rresplotes
‘lemands 8 avwrdepaseé
lenombre decent avons
ses aba Au cate, te
‘aupimaon water ato,
‘Stafekaptan§ 186 25,
‘Testeme dot, Re
Ser de Prt Untrosior
en Wodarerye
> a Pauses
subie dailleurs & un moment olla bataile des Ardennes
‘est déja gagnée, sera tés rapidement compensée. De son
Ct, jamais plus la Luftwaffe ne pourra agir de facon
‘massive et coordonnée aprds ce vain sacifice.
RECYCLAGES
Cotte fos, la cari opérationnelle dew Pips » Piller est.
‘terminée, Le 28 janvier 1945, comptent parmies pilates
les plus chevronnés de la Luftwaffe, il leisse sa JG 26
‘au Major Franz Gotz pour 6tre nommé inspecteur de la
chasse pour le front de Ouest. ll occupera pendant les
demiéres semaines de la guerre cette fonction adminis
tative sans peser aucunement sur le cours dela batail
jusqu’a sa capture par les Améicains le 8 mai 1945.
Apres la guerre, 'ex-colonel tentenaire se reconvertira
dans les affeires et épousera Ihéritiére de la brasserie
SS. Riegele d’Augsbourg, dont il deviendra directeur.
Solicité comme conseiller pour la préparation du Jour le
‘lus Long, iimourra soudeinement d'un infarctus le 20 mai
1961 & Bobing, dans sa Bavierenatale. Ainsi disparaita 8
45 ans & pene un des plus grands as dele Luftwaffe sur
le Westront etindéniablement son pus eficace « tueur de
Spit » : 68 victoires contr cet apparel. Un avion portant.
‘ses marques, dont le fameux « 13 noir», est aujourd'hui
conservé au musée du Bourget. En réalits, ine s'agit
pas du Focke-Wulf de Piller, mais d'un NC-800, soit un
Fw 190 A assemblé en France & partir de piéces récupé
160s la Libération & partir du printemps 1945.
BIBLIOGRAPHIE
ore
rr
> Galland (A), Les premiers et les demiers, Y
cay
veer
Wester Front,
ean
aE
sprey, 1996