Manhattan-Kaboul Paroles de Renaud Séchan / Musique de Jean-Pierre Bucolo r Em Dm F rz 2 * 4 i _ _ - p- ~ G4 \eee gigi 3 e . oe E E Dm E 7 pe Am 6 c F 6 F fl i % fe es 6 SSS 5 ; 1.Pe- tit Por- to - ri - cain 2Pe-ti - ‘te fille Af-ghane 3. Un sept cent qua - ante sept 7 4 fo Saas —_— Bien in - t-gré, qua- si ment New-Yor-kais Dans mon buil- De Vau - tre cb-t6 de la terre Ja~- mais en Sest ex - plo - sédansmes fe - nétres Mon ciel si ding tout de verre ten ~ du par - ler Bleu est de - ve~ © 2002 by CECI-CELA - 20, avenue Rapp 75007 Paris - France 24 J ; fs Ss Tous droits réservds (pour tous pays+ — = a SS i Je prends mon job, un rail de ve ee coke, un ca - fé a) = eu is de Ma-nhat- tan ~nw 0 - rage: SSS SSS Mon quo ti ~ dien c'est la mi - sere et 4 ‘mon vil-lage Lors-que les bombes ont ra - sé la guerre Deux €-tran-gers - Am ie HE S68% A partir de la 5* fois passage orchestre 3. wn | "8 au bout du monde, si dif-fé - rents —_— Deux in-con-nus,— deux a-no-ny—~~mes, mais pour- aaa eos oe —. De la vio - lence- é-ter - la vio - lence - ter Pul - vé-ri-sés sur Cau tel Pul - vé-ri-si — Sur Tau-tel ~~ tant Ensemble) { a TE om % 2 fois al Coda long! A - dieu mon réve — tim - po-saient I's - la-— 6at 2 2 Cae ee Sa Ceux-1a ont ils ja-mais lu le Co-ran? Manhattan-Kaboul Petit Portoricain Bien intégré, quasiment New-Yorkais Dans mon building tout de verre et dacier Je prends mon job, un rail de coke, un café Petite fille Afghane De l'autre c6té de la terre Jamais entendu parler de Manhattan Mon quotidien c'est la misére et la guerre Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l'autel De la violence étemelle Un 747 Srest explosé dans mes fenétres : Mon ciel si bleu est devenu orage Lorsque les bombes ont rasé mon village Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l'autel De la violence étemelle So long ! Adieu mon réve américain Moi, plus jamais esclave des chiens Is timposaient I'fslam des tyrans Ceux-la ont-ils jamais lu le Coran ? Suis redev'nu poussigre Je s'rai pas maitre de l'univers Ce pays que j'aimais tell'ment serait-il Finalement colosse aux pieds d'argile ? Les dieux, les religions Les guerres de civilisation Les armes, les drapeaux, les patries, les nations Front toujours de nous de la chair & canon Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant Pulvérisés sur l'autel De la violence éternelle Deux étrangers au bout du monde, si différents Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtant, Pulvérisés sur l'autel De la violence éternelle...