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http://www.archive.org/details/laturquieetlague01auln
BUOTHÈQUE D'HISTOIRE CONTEMPORAINE
J. AULNEAU
La Turquie
et
la Guerre
C$9 C$9 C$»
LA TURQUIE
ET
LA GUERRE
DU MEME AUTEUR
LA GUERRE
PAR
J. AULNEAU
PARIS
LIBRAIRIE FÉLIX ALCAN
108, BOULEVARD SAINT- GERMAIN, 108
1915
Tous droits de reproduction, de traduction et d'adaptation
réservés pour tous pays.
6V
^>v
w v^>
PRÉFACE
S. Pichon.
LA TURQUIE
ET
LA GUERRE
INTRODUCTION
AULNEAU. 1
2 LA TURQUIE ET LA GUERRE
Syrie, les épices, les étoffes de soie, les tapis, les par-
fums d'Extrême-Orient qui arrivaient en caravanes, et
déjà, vers 1600, le commerce du Levant occupait mille
vaisseaux et rapportait trente millions de livres.
Enfin l'alliance avec la Turquie fut la base de notre
politique extérieure, nous permettant tour à tour, soit
de combattre la puissance allemande, soit de limiter en
Orient les progrès de la Russie, soit de défendre nos
clients naturels, les petits États comme la Pologne et la
Suède. Aux heures difficiles des grandes coalitions, les
Turcs restaient les alliés fidèles occupant nos ennemis
du côté de l'Orient.
il
AULNEAU 2
18 LA TURQUIE ET LA GUERRE
III
IV
LES DEMEMBREMENTS
LA FORMATION
DES NATIONALITÉS BALKANIQUES
un budget Dans
national, développer l'instruction, etc.?
le second on aboutit plus rapidement à la constitution
cas,
d'un État serbe, mais que de privilèges, très enracinés
chez les Serbes, ne va-t-on pas heurter?... Toute l'his-
toire de la Serbie nous montre l'impossibilité de s'aban-
donner à l'une ou à l'autre de ces tendances, et d'assurer
le pouvoir aux partis qui les représentent.
Pendant longtemps, le prince jouit d'unpouvoir absolu.
C'était lui qui avait à lutter contre le particularisme
serbe, contre l'autorité des chefs de village, des Knèzes;
parfois, il n'en put venir à bout qu'à la condition de
II
III
IV
er
Depuis l'avènement de Pierre I , la Serbie, en dépit
d'une crise récente, qui fut peut-être à certains égards
une des plus graves, semble entrée au point de vue inté-
rieur dans une ère de calme et de prospérité, dans une
ère nouvelle. A la période de luttes presque barbares, a
succédé une période d'organisation, une période libérale.
Qu'étaitle nouveauroi Pierre I er ? Pierre Karageorgevitch
n'avait que quatorze ans quand son père, prince régnant de
Serbie, fut obligé, en 1848, d'abandonner sa patrie. Il se
trouvait alors dans un lycée, à Genève, et le quittait peu
après pour aller à Paris, au collège Sainte-Barbe, termi-
ner ses études. En 1862, il entrait à Saint-Gyr et en sortait
comme sous-lieutenant, en 1864, dans la promotion de
Puebla. Promotion glorieuse, qui s'illustra, pendant la
guerre de 1870, sur tous les champs de bataille, à Reis-
choffen, Spickeren, Rezonville, Metz, Paris ! Pierre Kara
— ainsi que le nommaient familièrement ses camarades
de Puebla — était fier d'y appartenir. Il le montra bien,
en recevant au palais royal de Belgrade, en 1904, à
l'occasion d'un dîner de promotion, cinquante officiers
de l'armée française. Proclamant la France sa seconde
patrie : « Vous direz à vos camarades, s'écria-t-il dans
un dernier adieu, que ma pensée n'a pas quitté ceux qui
LA CONSTITUTION DE L'ÉTAT SERBE 37
« Madame,
« Signé : Nénadovitch. »
LE MONTÉNÉGRO
pour l'avenir.
Le Monténégro, emprisonné depuis des siècles dans
LE MONTÉNÉGRO 45
II
III
IV
VI
continental »
Si cette voie ferrée était une menace pour les intérêts
franco-italiens, au point de vue continental, elle le de-
venait également au point de vue maritime. Elle réali-
sait le rêve des pangermanistes, de ces protagonistes de
la Weltpolitik, en permettant aux Allemands d'avoir un
débouché pour leurs produits sur la Méditerranée même.
On sait quelles ambitions poussent les Allemands vers
l'Asie Mineure et l'Extrême-Orient. La Méditerranée par
Suez est le chemin naturel qui conduit à ces pays riches,
où ils veulent implanter leur commerce, et précisément
1. Loiseau : VEquilibre adriatigue, —
Paris, 1901, page 163. —
Voir aussi \Don Marzio et 11 commercio italiano nov. 1900.—
GERMAINS ET SLAVES EN ORIENT 67
II
III
1. Die Geschichte cter Serbien von den âltesten Zeiten bis 1813-
1878, p. 170-173.
GERMAINS ET SLAVES EN ORIENT 79
Signé : Andrassy-Karoyli-Haymerlé.
IV
aulneàu. 6
82 LA TURQUIE ET LA GUERRE
lopper économiquement.
Le Monténégro, de son côté, était menacé par l'Autriche,
puisque cette puissance détient Spizza, qui domine Anti-
vari et la plaine environnante de près de 150 mètres
d'altitude. Par suite des restrictions que lui imposa l'Au-
triche dans l'article c29 du traité de Berlin, et dont il
demandait la suppression interdiction d'avoir une
:
II
III
IV
dirigera seul les affaires du pays suivant les idées qui lui
sont propres, en véritable chef d'État et en diplomate
habile. Il s'agit de rétablir une juste mesure, une balance
entre les partis extrêmes, adapter le gouvernement aux
sentiments du peuple qui voulait rester en excellents
termes avec la Russie et garder en même temps sa pleine
indépendance. Telle sera l'œuvre du prince Ferdi-
nand.
Dans son mode de gouvernement à l'intérieur, le prince
suivre une excellente méthode. Il permettrait aux
allait
II
III
IV
L'ÉTAT GREC
II
III
du une partie de la
3 février 1830, restaient séparées
Macédoine, qui fut grecque, l'Épire, comprise dans
l'Albanie, les îles de la mer Egée, dont la grande île de
Candie, et les îles des côtes d'Asie Mineure. Ces terri-
toires avaient conservé l'esprit et la langue hellé-
niques, et l'effort des Grecs devait tendre, pendant quatre-
vingts ans, à leur réunion à la mère patrie. Il y avait
ainsi un irrédentisme hellénique comme un irrédentisme
que la Grèce
italien et serbe, et d'autant plus frappant
ne constituait dans l'ensemble que la plus petite partie
devenue indépendante, environ 2.600.000, sur un total
de 7 millions d'habitants.
Pendant le XIX e premières années du XX e
siècle et les ,
IV
deux pays, —
car tous les deux étaient également soumis
à la Turquie, —
les dissemblances abondent. La Macédoine
était peuplée de Musulmans et de nationalités diverses,
d'où les querelles de races qui déchiraient cette malheu-
reuse province, et l'Europe, ne sachant à qui la confier,
avait pris le parti de la laisser aux Turcs, en décidant
qu'elle ne serait ni grecque, ni serbe, ni bulgare. Mais la
Crète au contraire est peuplée exclusivement de Grecs.
S'il y a des Turcs, ils ont quitté File depuis longtemps;
l'île.
tour, disait:
LES REFORMES
II
A.ULNEAU. 1
162 LA TURQUIE ET LA GUERRE
III
La Macédoine —
et il est devenu banal d'insister sur
ce point —
est donc une mosaïque de peuples, un enchevê-
trement de races, qui, toutes, visent à l'indépendance,
Son histoire se confond avec celle des populations qui
l'habitent; mais il faut les bien connaître avant de pou-
voir apprécier leurs prétentions historiques et ethnogra-
phiques, qui diffèrent si profondément les unes des
autres.
l'échec des réformes 175
mais asservis.
Mais, malgré leur longue domination dans ces contrées,
les Turcs sont peu nombreux, formant de grosses taches
en pays slave ou grec, autour de Yénidjé, de Drama, de
Demir-Hissar, ou constituant comme des étapes sur les
grandes routes militaires, à Kuprulu, Verria, Grévéné,
MM
183
1907, p. 52.
188 LA TURQUIE ET LA GUERRE
côte à côte.
D'autres plus modérés parlaient de l'autonomie macé-
donienne, et c'était là le programme de « l'Organisation
intérieure », et le désir d'écrivains distingués. Les
uns étaient partisans d'une autonomie locale qui don-
nerait à chaque nationalité, en Macédoine, la prépondé-
rance dans une sphère déterminée; les autres étaient
pour la création d'une administration largement décen-
tralisée, presque autonome, placée sous la haute surveil-
lance d'Européens et qui aurait pour chef un gouver-
neur chrétien nommé dans les mêmes conditions que
celui du Liban, assisté d'un conseil de délégués de cha-
cune des nationalités 1 d'autres enfin, préconisaient la
;
« mouhadjire ».
II
Pour quels
motifs l'Albanie, après avoir été le
plus fidèle défenseur de l'Empire turc et avoir tant
contribué à fonder sa puissance en Europe, voulait-elle
vivre d'une vie indépendante?
Depuis 1910, elle était en proie à la guerre civile.
Il faut bien connaître l'Albanais pour comprendre ce
196 LA TURQUIE ET LA GUERRE
de la Triple Allia?ice.
204 LA TURQUIE ET LA GUERRE
III
rement.
Nous nous trouvons alors en présence de deux grands
groupements religieux les Musulmans, au nombre de
:
t
l'échec des réformes £l9
IV
p. 209, 211.
234 LA TURQUIE ET LA GUERRE
II
III
IV
V
Il y avait cependant, à la veille de la guerre,
parmiles
grandes puissances, un désir de liquider les questions
orientales. L'accord s'était fait entre l'Autriche et la
Serbie au sujet des chemins de fer orientaux, l'Autriche
266 LA TURQUIE ET LA GUERRE
|
allemandes en Asie Mineure, sous les auspices des deux
|
gouvernements, pour régler dans ces contrées les diffi-
n'a été qu'une préface. Le duel entre les Germains et les Slaves est
inévitable Et la France y sera fatalement engagée. »
2. Vr. Serge Goriainow, Le Bosphore elles Dardanelles, p. 312
et suiv.
AULNE AU. 18
274 LA TURQUIE ET LA GUERRE
II
pièce 42. —
6. Livre orange, pièces 61 et 62.
284 LA TURQUIE ET LA GUERRE
er
Le 1 août, le comte Szapary avait cédé à Pétersbourg
sur le point principal, déclarant que l'Autriche consen-
tirait à « soumettre à la médiation les points principaux
III
flattait-il pas, du
reste, de ne jamais lire le courrier
d'Orient?.. Or, au bout de quelques années, l'Allemagne
avait à Gonstantinople une influence toujours croissante.
En juin 1882, une mission militaire, sous les ordres de
von der Goltz et de Rustow Pacha, était venue à Cons-
tantinople réorganiser l'armée ottomane en lui fournis-
sant surtout des canons Krupp. Elle ne prit pas seu-
lement des commandes d'armement, elle dressa aussi le
plan de voies ferrées, d'un grand transcontinental vers
l'Asie qui servirait de véhicule aux produits allemands.
Cependant, c'estde Tannée 1888 que date l'entréeen scène
de la puissance allemande dans les affaires turques.
En 1851, une compagnie anglaise s'était formée pour
établir en Asie Mineure une voie ferrée de Suediah à
Koweït, et avait obtenu un firman, en 1856; mais elle
avait laissé périmer la concession. De 1871 à 1873, laTur-
quie faisait construire, par l'ingénieur wurtembergeois
von Pressel,un tronçon, amorce du futur Bagdad, d'Haï-
dar-Pacha à Ismidt. Le gouvernement ottoman ne pou-
vant exploiter directement, va donner la ligne en location
à un groupe allemand, puis à des capitalistes allemands.
La Deutsche Bank, à la faveur des querelles entre l'An-
gleterre et la France à propos de l'Egypte, des craintes
de cette puissance au sujet de nos ambitions coloniales,
et des progrès des Russes en Asie, obtiendra l'exploita-
tion du chemin de fer d'Haïdar-Pacha à Ismidt. En 1888,
deux iradés accordent à M. Alfred Kaoila l'exploitation
de cette ligne et la concession, pour une durée de 99 ans,
des 485 kilomètres de voie ferrée, pour rejoindre Ismidt
à Angora et Siwas, avec promesse de prolongation à
Bagdad, à mesure que la ligne couvrirait ses frais. Et le
16 mars 1889, la Deutsche Bank et la Wurtembergische Ve-
reinsbankde Stuttgart fondaient la Société ottomane des che-
mins de fer d 'Anatolie. Le succès de la Société s'accentua ;
|
trop souvent pour elle synonyme de démembrement.
Elle se laissa entraîner dans la guerre, mettant sa
fortune sur un coup de dés, et s'exposant ainsi à tout per-
dre. Plus de méthode et de circonspection auraient mieux
servi ses intérêts. Elle n'écouta pas la voix de la sagesse.
Notre illustre écrivain, Pierre Loti, la lui fit entendre
cependant dans un appel particulièrement ému, adressé
à Enver Pacha et à ses amis :
dans le monde
entier contre la race prussienne! Les
Allemands ont été les seuls à vous apporter un peu (oh!
très peu) de réconfort; mais c'est égal, cela ne vaut pas
que vous vous suicidiez pour eux, et puis, voyez-vous,
ces gens-là achèvent à cette heure de se mettre hors de
l'humanité.
« Il deviendrait donc, non seulement périlleux, mais
dégradant, de marcher en leur compagnie. Vous avez sur
votre pays une influence pleinement justifiée, puissiez-
vous le retenir sur la pente mortelle où il semble engagé !»
Mais l'appel de Pierre Loti ne fut pas écouté.
Dès les débuts de la guerre, la France promet cepen-
dant de garantirl'intégrité de la Turquie, si elle observe la
1
neutralité , ceci conjointement avec la Russie et l'Angle-
terre qui même, le 7 août, déclare qu'elle ne changera
2
rien au statut de l'Egypte .
Art. 1
er
. — Sa Majesté le Sultan, d'une part, déclare qu'il
a la ferme résolution de maintenir, à l'avenir, le principe
invariablement e'tabli, comme ancienne règle de son Empire,
et en vertu duquel il a été de tout temps défendu aux bâti-
ments de guerre des puissances étrangères d'entrer dans les
Détroits des Dardanelles ou du Bosphore, et ce tant que la
Porte se trouve en paix, Sa Majesté n'admettra aucun bâtiment
de guerre étranger dans les dits Détroits.
Et Leurs Majestés, l'Empereur des Français, l'Empereur
d'Autriche, la Heine du Royaume-Uni de la Grande-Bretagne
et d'Irlande, le Roi de Prusse, l'Empereur de toutes les llussies,
et le Roi de Sardaigne, de l'autre part, s'engagent à respecter
aulneau. 20
306 LÀ TURQUIE ET LÀ GUERRE
II
d'attaquer.
Pendant ce temps, l'Angleterre était avertie que des
forces armées, provenant des corps de Mossoul et de
Damas, s'assemblaient pour attaquer l'Egypte et le
Canal de Suez. D'importants détachements de Bédouins
arabes avaient été armés, les moyens de transport et
les routes préparés en conséquence, des mines étaient
expédiées pour être placées dans le golfe d'Akaba. Dans
la Syrie et dans l'ïnde, un pamphlet violent, exhortant
les Musulmans à combattre l'Angleterre, avait été distri-
bué par le Cheikh Aiz-Shawisl.
L'intérêt de l'Allemagne d'entraîner la Turquie à la
guerre était évident de là ses intrigues à Constanti-
;
i. Second Livre orange, pièce 87; Livre bleu, pièce 157, 22 octobre.
2. Second Livre orange, pièce 88.
3. Second Livre orange, pièce 89.
LA TURQUIE EN GUERRE AVEC LA TRIPLE ENTENTE 317
AULNEAU* 21
5i2 LA TURQUIE ET LA GUERRE
CONCLUSION 325
l'unité germanique.
Les traités de Vienne, «œuvre de réaction contre le
FIN
TABLE DES MATIÈRES
I
Préface » • • •
Introduction '. . . . 1
CHAPITRE PREMIER
AULNEAU. 22
338 TABLE DES MATIÈRES
CHAPITRE II
CHAPITRE III
Le Monténégro.
1. Le caractère des Monténégrins et leurs luttes héroïques contre
l'Islam. — Constitution physique du Monténégro. Elle —
explique les résistances de la Principauté 43
CHAPITRE IV
Germains et Slaves en Orient.
Le projet monténégrin. —
Le projet serbe. Les projets —
turcs et bulgares, —
L'échec du Comte d'Aehrenthal. 65
paix de l'Europe 88
CHAPITRE V
L'État bulgare.
CHAPITRE VI
L'État roumain.
CHAPITRE VII
L'État grec.
CHAPITRE VIII
I/Empire ottoman pouvait-il se rénover ?
Les réformes.
CHAPITRE IX
!„ La question macédonienne. —
Qu'est-ce que la Macédoine ? —
Les diverses races qui la composent. —
La lutte des races
entre elles et contre le Turc. —
Les massacres. L'Europe —
intervient. —Le programme de Mûrzsteg et l'entente austro-
russe. — L'échec des réformes européennes. L'entrevue —
de Reval. —
La révolution de 1908. —
La Turquie veut ap-
pliquer elle-même les réformes. — Les difficultés de régler
pacifiquement la question macédonienne par suite des pré-
tentions des diverses races, —
Les tentatives des Jeunes-
Turcs. — L'échec des réformes des Jeunes-Turcs. La —
question macédonienne cause de la guerre de 1912. 173 .
U. La question albanaise. —
Le caractère des Albanais. Leurs —
privilèges. —
La révolution Jeune-Turque ne répond pas à
leurs espérances. —
La révolte de 1910-1911 et la répression.
— Le caractère international de la question albanaise. Les —
ambitions austro-italiennes. —
La Turquie et le Mon-
ténégro. —
L'attitude delà Russie. Les concessions — et les
réformes trop tardives des Jeunes-Turcs. ...... 194
Russie 9.(
TABLE DES MATIÈRES 343
des Turcs. —
Les massacres de 1895. —
L'attitude des puis-
sances. —
La révolution Jeune-Turque ne tient pas ses pro-
messes en Arménie. — Les massacres d'Adana (1909). —Les
revendications arméniennes. — Les réformes de 1914. 229
CHAPITRE X
La guerre Balkanique.
Grèce et la Turquie. —
La question des îles. La Grèce et les —
puissances. —
La délimitation de l'Albanie méridionale. —
L'ultimatum autrichien du 30 octobre. Les travaux de la —
commission de délimitation. —
La note britannique du 13 dé-
cembre. —
L'attitude de la Triple Alliance (14 janvier 1914).
— La réponse de ]a Turquie et de la Grèce 237
CHAPITRE XI
La question d'Orient et la guerre européenne.
Bucarest. —
Les entrevues de Vienne, Miramar, Kono-
pisch, Coustantza, — L'assassinat du 28 juin 1914 . . 210
CHAPITRE XII
La Turquie en guerre avec la Triple Entente.
CONCLUSION
QUESTION D'ORIENT
Les Aspirations autonomistes en Europe Ch. Seignobos Ii :
d une nationalité. —
Angel Marvaud Le Mouvement catalai
—
:
L'autonomie irlandaise. - J.
:
BÉRARD. La Turquie
et l'Hellénisme contemporain, 6° éd., 1 v(
in-18 (couronné par l'Académie française)
3 fr .
BERNARD (Augustin), professeur à la Sorbonne.
in-8, avec cartes. 3 édition
e
Le Maroc. — 1 v(
. . 5
DEBIDOUR professeur à la Sorbonne. Histoire diplomatique -
1 Europe (1814-1876). 2 vol. in-8 (couronné par V Institut) . . .1
COLLAS et DRIAULT. - Histoire de l'Empire ottoman j -squ
révolution de 1909, 1 vol. in-32
J fi
DJUVARA, ministre de Roumanie en Belgique et au Luxembourg
ancien chargé d'affaires à Belgrade, Sofia et Gonstantinop
Ceii
1
.
—
projets de partage de la Turquie depuis le XIII*. siècle jusqu'à
traité de Bucarest (1913). Préface de LOUIS RENAULT,
l'In:
titut. 1 fort vol. in-8, avec 18 cartes hors
texte. 10 fi
DRIAULT, professeur agrégé d'histoire au Lycée de Versailles
Question d'Orient depuis ses origines jusqu'à nos jours, 4* é •
M.
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Treatment Date: ii^y 20Ol
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