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Terminale S Physique – Chapitre 13 : Étude énergétique des systèmes mécaniques – Page 1 sur 6

Chap. 13 : Étude énergétiques des


systèmes mécaniques – Exercices
Exercice n°4 p326
1. Affirmation vraie.
2. Affirmation fausse : l’énergie potentielle élastique s’exprime en joule.
3. Affirmation vraie : si la longueur de compression est égale à la longueur d’allongement la valeur absolue de
l’allongement est la même donc l’énergie potentielle élastique est la même : EPél = .k.x2.


4. Affirmation fausse : Epél1 = .k1.x12.   k
Epél2 = .k2.x22 = . .(2.x1)2 = k1.x12 = 2.Epél1
   
Exercice n°8 p327
1. La sphère est en interaction avec le Terre, le fil et l’air. Les forces appliquées à la sphère sont donc :
– Son poids £P,
– La tension du fil £T,
– La poussée d’Archimède £FA et les forces de frottements fluide £f que nous négligerons.
2. a. WA1A2(£P) = £P._A1A2 = m.g.(z1 – z2).
b. La direction du câble est à chaque instant perpendiculaire à celle d’un déplacement élémentaire du point A : la
tension du câble £T ne travail pas !
3. EC = WA1A2(£Fext) = WA1A2(£P) = m.g.(z1 – z2)
.m.v 2 – .m.v 2 = m.g.(z – z )
A2 A1 1 2
 
4. EC(A2) – EC(A1) = m.g.z1 – m.g.z2 = EP(A1) – EP(A2) donc EC(A2) + EP(A2) = EC(A1) + EP(A1)
Par conséquent EM(A2) = EM(A1) : L’énergie mécanique se conserve !
5. EC(A2) = EC(A1) + m.g.(z1 – z2)
Or z1 – z2 = (l + R).(1 – cos ) (faire un schéma pour établir cette relation : l longueur du câble).
Donc EC(A2) = EC(A1) + m.g.(l + R).(1 – cos )
Avec m = .V = ..R3.

EC(A2) = ...R3..v(A1)2 + ..R3..g.(l + R).(1 – cos )
 
EC(A2) = ..R3..(.v(A1)2 + g.(l + R).(1 – cos ))
 
A.N. : EC(A2) = ××(0,25)3×7,8.103×(×(  )2 + 9,8×(5,0 + 0,25)×(1 – cos 30°)) = 10,6 kJ.
  ,
v(A2)2 = .ECA = .ECA = v(A1)2 + 2.g.(l + R).(1 – cos )
m ..R.


v(A2) = vA  .g.l  R. – cos 
A.N. : v(A2) =     ×,×,  ,× – cos  = 6,5 m.s–1 = 23 km.h–1.
,
Exercice n°9 p327
Au sommet de la boucle le train de montagne russe possède l’énergie cinétique, à 9 m du sol : EC = .m.v2. En l’absence

de frottement l’énergie potentielle de pesanteur a intégralement été transformé en énergie cinétique, par conséquent :
 ( 42 )2
 2 v v 2
m.g.h’ = .m.v . Donc h’ = . Par suite la hauteur initiale est h = hS + . A.N. : h = 9 +
3,6
= 16 m.
 .g 2.g 2×9,8
Exercice n°10 p327
On suppose que toute l’énergie cinétique de l’eau peut être transformée en énergie électrique. L’énergie cinétique
maximale est égale à l’énergie potentielle de pesanteur de l’eau : Emax = m.g.h si l’énergie mécanique se conserve.
L’énergie maximale est donc : Emax = 1,0.103×9,8×70 = 686 kJ (6,9.102 kJ) pour 1 m3 d’eau !
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Exercice n°11 p327
1. L’énergie du système est uniquement stockée sous forme d’énergie potentielle élastique lorsque l’allongement est
extrémal. C'est-à-dire d’après le graphique tous les 0,25 s.
2. A t = 0 s, l’énergie mécanique du système est égale à son énergie potentielle élastique : Em = EPél = 1.k.x2
2
1 2 1 2
Ainsi : Em = .k.x = ×45.5,0 = 5,6.10 J. 2
2 2
A t = 1,5 s l’énergie mécanique du système est égale à son énergie potentielle élastique : Em = EPél = 1.k.x2
2
1 2 1 2
Ainsi : Em = .k.x = ×45.3,0 = 2,0.10 J. 2
2 2
3. L’énergie mécanique du système {solide-ressort} diminue en raison de frottements.
4. a. Em = W(£f). Donc W(£f) = 2,0.102 – 5,6.102 = – 3,6.102 J : le travail des forces de frottements est négatif donc
résistant !
b. à 3 s Em = EPél = ×45.1,82 = 7,3.101 J donc W(£f) = 7,3.101 – 2,0.102 = – 1,3.102 J.

Exercice n°12 p328
1. L’énergie cinétique a pour expression : EC = 1.m.v2.
2
L’énergie potentielle de pesanteur a pour expression : EPp = m.g.h.
L’énergie mécanique a pour expression : Em = EC + EPp.
2. Lors d’un lancer parabolique la vitesse initiale de la balle lui permet de gagner de l’altitude. Par conséquent dans un
premier temps la vitesse diminue, donc l’énergie cinétique diminue : c’est la courbe bleue.
L’énergie potentielle de pesanteur augmente donc jusqu’à ce que la balle atteigne le sommet de sa trajectoire : la
courbe rouge représente donc l’énergie potentielle de pesanteur.
La courbe verte représente l’énergie mécanique, qui se conserve lorsque les frottements sont négligeables.
3. La courbe verte est horizontale : l’énergie mécanique est constante, elle se conserve donc.
Exercice n°13 p328
1. Nous savons que, par définition : EC = 1.m.v2. Dans cette question la masse de la moto n’est pas donné, mais l’énergie
2
cinétique étant donnée à 70 km.h–1, on peut en déduire que : m = 2.E2C1 et donc EC2 = 1.2.E2C1.v22.
v1 2 v1
2
v
Ainsi : EC2 = EC1. 2. Les unités des vitesses s’annulent : il n’est donc pas impératif que convertir en m.s–1.
2
v1
302
A.N. : EC2 = 40× 2 = 7,3 kJ.
70
2. Supposons que toute l’énergie cinétique puisse être convertie en énergie potentielle :
( 30 )2
m.g.h = .m.v22 donc h = v2
2
3,6
A.N. : h = = 3,5 m !
 2.g 2×9,8
Exercice n°14 p328
1. a. Au cours d’une chute libre un corps n’est soumis qu’à son poids. Cette force verticale ne peut modifier que le
mouvement verticale donc la vitesse verticale : la vitesse horizontale vH n’est pas modifiée (ax = 0 donc dvx = 0).
dt
b. EC = 1.m.vG2 = 1.m.(vH2 + vV2)
2 2
1
2. EM = EC + EPp = .m.(vH2 + vV2) + m.g.z
2
1 1
3. a. EM1 = EM2. Par conséquent : .m.(vH2 + vV12) + m.g.z1 = .m.(vH2 + vV22) + m.g.z2
2 2
1 2 1 2
Ainsi : .m.vV1 + m.g.z1 = .m.vV2 + m.g.z2
2 2
v 2
v 2
v 2
b. z2 = z1 + V1 – V2 . La hauteur sera maximale si vV2 = 0 donc z2max = z1 + V1
2.g 2.g 2.g
45 2
( ) ×sin 552
v.sin2  3,6
Or vv1 = v1.sin . Donc z2max = z1 + : z2max = = 5,3 m.
.g 2×9,8
L’altitude maximale atteinte est donc de 5,3 m par rapport au niveau de décollage (z1 = 0) !
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Exercice n°15 p328
1. a. x représente l’allongement du ressort par rapport à sa longueur à vide et F représente la force exercée par un
opérateur extérieur pour produire cet allongement.
b. Nous savons que F = k.x, donc la constante de raideur du ressort représente le coefficient directeur de la droite
F  – 
tracée. k = = = 1,0.102 N.m–1.
x , – 
2. a. W = £F._dx = F.dx si la force exercée par l’opérateur est dans la direction de l’axe du ressort.
Fop

dx
F
F
x
O
b. x x+dx
c. Pour obtenir la valeur du travail pour un allongement de 0 à x, il suffit d’intégrer le travail élémentaire sur
l’intervalle [0, x].
3. A partir du graphique le travail représente l’aire du trapèze compris entre les abscisses 0,10 m et 0,30 m.
Calculons l’aire du triangle rectangle sous la droite depuis l’origine jusqu’à x = 0,30 m : ×30×0,30 = 4,5 N.m = 4,5 J.

Calculons l’aire du triangle sous la droite depuis l’origine jusqu’à x = 0,10 m : ×10×0,10 = 0,5 N.m = 0,5 J.

L’aire du trapèze compris entre les abscisses 0,10 m et 0,30 m est donc : 4,5 – 0,5 = 4,0 J.
Il s’agit de la valeur du travail de la force exercée par l’opérateur !
Exercice n°16 p328
1. L’énergie potentielle emmagasinée par le ressort est : EPél = .k.x2 = .150.(0,10)2 = 75×0,010 = 0,75 J.
 
2. Les transferts d’énergie s’effectuant sans perte, l’énergie potentielle élastique est intégralement transformée en énergie
cinétique grâce au travail de la force de rappel élastique : EC = .m.v2 = .k.x2. Ainsi : v = k .x.
  m

v=  ×0,10 = 12 m.s–1.


.–
3. Les frottements de l’air sont négligeable par conséquent toute l’énergie cinétique est transformée en énergie potentielle
k .x
  
 = k.x = ×,
v m
de pesanteur : .m.v2 = m.g.h. Ainsi h = = = 7,7 m.
 .g .g .m.g ×.–×,
4. a. Le travail des forces de frottements est égal à la variation d’énergie mécanique :
W(£f) = Em = Em(h) – Em(0) = EPp(h) – EC(0)
W(£f) = m.g.h’ – .m.v2 = m.g.h’ – .k.x2 = 10.10–3×9,8×5,0 – .150.0,102 = – 0,26 J !
  
La valeur négative montre bien qu’il s’agit d’un travail résistant !
b. La valeur moyenne de la force de frottement pour un déplacement de 5,0 m est W(£f) = £f._AB = – f×h
– W£f ,
Ainsi f = = = 5,2.10–2 N.
h 
Exercice n°17 p329
Au cours de ce mouvement la variation d’énergie mécanique est égale au travail des forces autres que le poids : c’est en
l’occurrence le travail des forces de frottement.
La variation d’énergie mécanique est par ailleurs égale à l’énergie mécanique à l’altitude h moins l’énergie mécanique à
l’altitude initiale.
L’énergie mécanique à l’altitude h est égale à l’énergie potentielle à cette altitude par rapport à l’altitude initiale et
l’énergie mécanique à l’altitude initiale est égale à l’énergie cinétique que possède l’objet à cette altitude.
Em = W(£f) = – f.h = EP(h) – Em(0) = m.g.h – .m.v02. Ainsi .m.v02 = m.g.h + f.h = (m.g + f).h (travail du poids et de la
 
force de frottements) et donc v0 = 2.m.g + f.h = 2.(g + f ).h (remarque si f = 0 la masse n’interviendrait pas !)
m m
1,2
A.N. : v0 = 2×(9,8 + )×20 = 21 m.s–1.
0,800
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Exercice n°18 p329
1. a. Les forces appliquées au système {enfant, luge} sont :
– le poids du système £P ;
– la réaction du support £R.
b. Le poids du système est de direction verticale orienté vers le bas. La réaction du support est perpendiculaire en
chaque point au support car les frottements exercés par la glace sont supposés négligeables.
c. Le poids est une force constante. La réaction du support dépend de l’inclinaison de la piste au point considéré : la
réaction du support n’est pas une force constante.
2. WA1A2(£P) = m.g.h = m.g.(z1 – z2)
W(£R) = £R.£dx = 0 car à chaque instant £R et £dx sont orthogonaux !
Par conséquent WA1A2(£R) = 0.
3. EC = W(£Fext) = WA1A2(£P) = m.g.(z1 – z2)
4. EC = EC(A2) – EC(A1) = m.g.(z1 – z2) ainsi : EC(A2) + m.g.z2 = EC(A1) + m.g.z1 ou encore :
EC(A2) + EPp(A2) = EC(A1) + EPp(A1) l’énergie mécanique se conserve !
5. EC(A2) – EC(A1) = m.g.(z1 – z2) donc EC(A2) = EC(A1) + m.g.h
1.m.v(A )2 = 1.m.v(A )2 + m.g.h donc v(A )2 = v(A )2 + 2.g.h ou v(A ) = vA   .g.h
2 1 2 1 2 
2 2
A.N. : v(A2) =     ×,× = 14 m.s–1 ou 50 km.h–1.
,
Exercice n°19 p329
1. L’énergie mécanique de l’enfant se conserve puisque la droite verte représentant l’énergie mécanique est horizontale.
2. À t = 0 s l’énergie potentielle est maximale et l’énergie cinétique est nulle : l’enfant se trouve au sommet de sa
trajectoire.
3. a. EPpmax = m.g.h  h = EPpmax. A.N. : h =  = 1,8 m.
m.g ×,
h
b. faire un schéma pour montrer que : h = l.(1 – cos ) ainsi : cos  = 1 –
l
A.N. : cos  = 1 – , = 0,40 donc  = 66°.
,
L’angle maximal est donc de 66°.
4. La vitesse est maximale lorsque le système passe par la verticale, c'est-à-dire la position d’équilibre.
Dans ces positions la valeur de la vitesse peut se déterminer à l’aide du raisonnement suivant.
La tension du câble de la balançoire ne travaille pas car elle est constamment perpendiculaire à la trajectoire.
Ainsi EM = ECmax = EPpmax. Donc .m.vmax2 = ECmax et vmax = .ECmax = × = 6,0 m.s–1= 22 km.h–1
 m 
5. Les énergies potentielle ou cinétique sont maximales toutes les 1,7 s or ces énergies sont maximales deux fois en une
période donc la période des oscillations est le double de celle des énergies : T = 3,4 s.
Exercice n°20 p329
1. En l’absence de frottement l’énergie cinétique initiale est intégralement transformée en énergie potentielle de
1 v
pesanteur puisque l’énergie mécanique se conserve : .m.v2 = m.g.h donc h = .
2 .g
La distance d parcourue sur le plan incliné est liée à la hauteur h par la relation h = d.sin 
ainsi d = v . A.N. : d = , = 3,7 m.
.g.sin  ×,×sin ,
2. Les frottements ne sont pas négligeables. Une partie de l’énergie cinétique initiale est dissipée sous forme d’énergie
thermique par frottements.
Exercice n°21 p329
1. Cet oscillateur n’est pas amorti car l’amplitude reste constante.
2. T0 = 2. m = 2× , = 0,75 s.
k 
3. a. Seuls les deux premiers graphiques sont susceptibles de représenter x(t) car ce sont les seuls qui possèdent une
période égale à 0,75 s, période propre des oscillations.
b. La vitesse v est défini par la relation v = dx.
dt
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c. À partir de l’instant t = 0, la courbe verte est négative. Sa pente est minimale (négative) à t = 0 et s’annule à
l’instant t = T. La courbe jaune correspond à la dérivée (pente) de la courbe verte car, sur cet intervalle, la fonction

est négative, minimale en t = 0 s et nulle pour t = T. La courbe verte est donc la courbe représentant x(t) et la

courbe jaune la courbe représentant v(t).
d. Le graphique représentant x(t) est le graphique 1 où la courbe est représentée en vert ! À t = 0 s, x(0) = 0 m : le
solide passe par la position d’équilibre.
4. Le graphique représentant vx(t) est le graphique 2 où la courbe est représentée en jaune. A t = 0 s, vx(0) = – 0,4 m.s–1
donc la vitesse du solide est de 0,4 m.s–1.
5. L’énergie potentielle élastique est nulle à t = 0 s et l’énergie cinétique est maximale : La courbe rouge représente
l’énergie potentielle et la courbe bleue l’énergie cinétique !
Exercice n°22 p330
1. a. EPp = m.g.z EC = 1.m.v2 Em = EC + EPp
2
b. À t = 0, l’énergie potentielle de pesanteur de la balle est maximale car l’altitude de la balle est maximale :
EPp(0) = m.g.h et donc EPp(0) = 0,76×9,8×4,70 = 35 J.
La référence choisie pour l’énergie potentielle de pesanteur est le sol.
À t = 0, l’énergie cinétique de la balle est nulle car sa vitesse est nulle dans le référentiel terrestre : EC(0) = 0.
À t = 0, l’énergie mécanique de la balle est égale à son énergie potentielle de pesanteur : Em(0) = EPp(0) = 35 J.
2. a. En l’absence de frottement, tant que l’élastique n’est pas tendu, le mouvement de la balle est uniformément
accéléré : c’est une chute libre.
b. L’énergie mécanique reste constante, en l’absence de frottement, tant que l’élastique n’est pas tendu.
c. Jusqu’à environ 0,4 s le document montre que l’énergie mécanique est quasi-constante.
3. Lorsque l’élastique a pour longueur l0 la balle se situe a l’altitude z = h – l0 :
EPp = m.g.(h – l0) = 0,76×9,8×(4,70 – 2,00) = 20 J.
Donc Em = 35 J et EC = Em – EPp = 35 – 20 = 15 J.
4. a. On remarque qu’à partir du moment où l’élastique se tend, EC + EPpes diminue car une partie est transformée en
énergie potentielle élastique : Ceci correspond à un temps t = 0,4 s.
b. D’après le graphique, à un temps t = 0,4 s, l’énergie cinétique est EC = 15 J et l’énergie potentielle de pesanteur
EPp = 20 J. Ces valeurs sont identiques à celle déterminée à la question 3.
5. a. L’énergie qui intervient après t = 0,4 s est l’énergie potentielle élastique.
b. D’après le graphique : à t = 0,60 s : EC = 10 J ; EPp = 7 J et donc EPél = 35 – 10 – 7 = 18 J.
Exercice n°23 p330
1. La forme d’énergie du système {sauteur-perche} dans la phase d’élan est de l’énergie cinétique.
EC = 1.m.v2 = 1×80×9,02 = 3,2 kJ.
2 2
2. a. Si toute l’énergie cinétique est convertie en énergie potentielle de pesanteur, l’énergie potentielle de pesanteur
maximale est de 3,2 kJ : EPpmax = 3,2 kJ.
b. Si l’énergie mécanique se conserve alors Em1 = Em2 où Em1 représente l’énergie mécanique du système juste avant le
saut et Em2 l’énergie mécanique du système lorsque l’altitude maximale est atteinte.
Avant le saut l’énergie mécanique est : Em1 = EC + EPp = 1.m.v2 + m.g.z1 où z1 représente l’altitude du centre
2
d’inertie.
Après le saut l’énergie mécanique est : Em2 = EC + EPp = 0 + m.g.z2 où z2 représente l’altitude du centre d’inertie.
2 2
Ainsi 1.m.v2 + m.g.z1 = m.g.z2 et par conséquent : z2 = v + z1 A.N. : z2 = 9,0 + 1,05 = 5,2 m.
2 2.g 2×9,8
Le centre d’inertie du perchiste atteint donc une hauteur de 5,2 m.
3. On suppose que 80 % de l’énergie cinétique peut être transformée en énergie potentielle de pesanteur :
2 2
0,80.1.m.v2 + m.g.z1 = m.g.z2 donc z2max = 0,80× v + z1 = 0,8× 9,0 + 1,05 = 4,4 m.
2 2.g 2×9,8
La hauteur maximale du centre d’inertie est donc de 4,4 m.
4. Si la vitesse de décollage est de 9,0 m.s–1 alors la perche, pliée, a acquis de l’énergie potentielle élastique qu’elle
pourra céder au perchiste au cours de l’envol. Par ailleurs le perchiste donne une impulsion au moment du saut et
transforme de l’énergie chimique en énergie cinétique puis potentielle de pesanteur.
5. a. Si le centre d’inertie du perchiste atteint finalement 5,2 m, et si l’on considère que le tapis est au niveau du sol on
peut en déduire que la vitesse sera : EC = 1.m.v2 = m.g.zmax, donc v = 2.g.zmax = 10 m.s–1.
2
b. Le rôle du matelas est d’amortir le choc.
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Sujets BAC : Étude d’un oscillateur élastique horizontal – page 331
1. Aspect énergétique en l’absence de frottements
1.1. L’énergie mécanique du système {solide, ressort} est égale à l’énergie cinétique du système plus l’énergie potentielle
du système : EM = .m.v2 + .k.x2.
 

1.2. Par définition : vx = dx, ainsi : vx = dx = – xm..sin(.t + 0) = vm.sin(.t + 0 + ) si vm = xm.
dt dt T T T T
Ou on utilise la conservation de l’énergie mécanique : Em = cte = Ecmax = Epmax
 
Donc .m.vm2 = .k.xm2 soir vm2 = k .xm2 or T0 = 2.. m donc k = . et donc vm2 = . .xm2 soit vm = xm.
  m k m T T T
1.3. vm = 4,3.10–2×  = 0,90 m.s–1.
0,30
1.4. La durée désignée par la double flèche est la période propre T0 de l’oscillateur divisée par 2 : T0/2.
Quelques instants après l’origine x = 0 donc l’énergie potentielle élastique est nulle : c’est la courbe rouge (n°3).
L’énergie cinétique est alors maximale : c’est la courbe verte : courbe n°2 et l’énergie mécanique est constante au
cours du déplacement du système : c’est la courbe bleue (n°1).
2. Aspect énergétique en présence de frottements
2.1. Le régime correspondant à des oscillations en présence de frottements est un régime pseudopériodique.
Le temps caractéristique T est alors nommé la pseudopériode.
2.2. 2.2.1. EM0 = EPélas0 = .k.xm02.


2.2.2. xm1 = xm. Par conséquent EM1 = .k.xm12 = .k.xm = .k.xm = EM
2

r    r   r r
Ainsi EM = 
EM r

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