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IMPROVISATION BLUES

Journal de bord

Travail présenté à
Mme. Morin

ROBILLARD, Simon
Musique
4ISMUS2-81 - Groupe 81

École secondaire Jean-Baptiste-Meilleur


2017-05-15
Critère A

1) 1, 3, 5 et 7 (le premier, le troisième, le cinquième et le septième degré de la tonalité)

2) Le septième degré est toujours abaissé d’un demi-ton si rien n’est spécifié

3) a) 1, 3 et 5 (1er, 3e et 5e degré de la tonalité majeure)


b) La première tierce est majeure (2 tons d’écart entre les notes) tandis que la 2e
est mineure (1 et demi ton)

4) Elle découle de la gamme mineure naturelle, dont le 3e, 6e et 7e degrés sont abaissés
d’un demi-ton (bémols)

5) Le 2e et le 6e degré de la gamme mineure naturelle de la tonalité

6) À partir du 4e degré de la gamme mineure naturelle

7) Il faut le monter d’un demi-ton

8) 1, 3b, 4, 4#, 5, 7b

9) Trois phrases contenant chacune 4 mesure (ce concept est démonté visuellement par la
mise en page particulière des blues de 12 mesure)

11) Préférablement sur le 1er (fondamentale), le 3e (majeur) et le 5e degré dans le cas des
accords de septième, ainsi que sur le 4e et 7e degré dans le cas d’un accord mineur (celui
de la 9e mesure)

12) Les phrases doivent se terminer sur le 3e degré (majeur) ou sur le 7e degré par un
demi-ton

13) a) D’un accord parfait mineur


b) À partir du 2e degré
c) La première tierce est mineure (1 et demi ton d’écart entre les notes) tandis que
la 2e est majeure (2 tons)

14) Car elle a été inventée par les esclaves noirs qui travaillaient dans les plantations afin
de « libérer leur chagrin » sous forme de chant tout en suivant le rythme du travail (ce qui
explique le tempo lent et swing ainsi que l’utilisation de la gamme mineure blues
, qui apporte ce petit côté triste)

15) Je pourrais utiliser la gamme blues de la tonalité partout dans la progression.


Cependant, celle-ci est beaucoup plus efficace si elle est fragmentée et utilisés pour
construire des phrases musicales (préférablement en descendant)
Critère B
1) ***Voir feuille brochée à la fin du document***

2)

3) a) Le premier accord sera C7

b)

c)

d)
Critère C
a)

b)

c)

d)

e)
Critère D
1) Oui, je crois que, en général, j’ai réussi à produire un résultat final cohérant et
intéressant, car je n’ai pas toujours suivi les instructions données. Par exemple, je ne
finissais pas toujours les phrases musicales sur les degrés suggérés afin de créer un
certaine « tensions », que je résolvais ensuite dans la phrase suivante. Aussi, je n’ai pas
uniquement utilisé la gamme mineure blues dans mon improvisation (car si elle est
utilisée abusivement, l’improvisation devient très répétitive et ennuyante), j’ai plutôt
favorisé la gamme majeure blues dans les mesures en I7 (C7 dans mon cas).

2) Oui, car j’ai remarqué que, suite à ce projet, j’avais beaucoup plus de plaisir à écouter
du blues. En effet, je pouvais écouter n’importe quelle chanson blues (que ce soit une
progressions de 12 mesures, 8 mesures, etc.) et quasiment prédire les notes que le
chanteur / improvisateur allait utiliser. Parfois, j’allais même jusqu’à chanter
spontanément (dans ma tête) une mélodie improvisée en arrière-plan lorsque j’écoutais
du blues

3) Au départ, j’étais profondément perplexe, car j’interprétais le therme « improvisation


musicale » au sens littéral du terme : une succession de notes aléatoire qui ne suivent
aucunes règles. Cependant, suite à l’assimilation des notions des premières notes de
cours, j’ai finalement compris qu’une improvisation blues suivait des règles assez
précises, mais qui permettaient néanmoins à l’improvisateur de démontrer une certaine
créativité (ce qui m’a immédiatement rassuré)

4) Oui, car je trouvais que, même si les improvisation blues avaient une sonorité
particulièrement agréable, ils étaient très peu flexibles dû aux nombreuses règles
imposées. J’ai donc fait des recherches et j’ai découvert ce qu’on appelle l’improvisation
modale (majoritairement utilisée en jazz), qui permettait à l’improvisateur d’être
beaucoup plus créatif, puisque celle-ci n’est pas « dépendante des changement d’accord »
(un improvisateur expérimenté est donc capable de faire une improvisation sur un seul
accord en utilisant plusieurs modes / gammes modales)

5) Oui, certaine personnes, tel que Annie Wang, m’ont impressionnées lors de leur
improvisation car, même si son improvisation n’avait pas une rythmique très complexe,
elle suivait cependant les règles à la lettre tout en ayant une certaines originalité (J’ai
surtout apprécié la manière dont elle utilisait la gamme mineure pour aborder l’accord
IIm de la 9e mesure car, personnellement, je n’arrive jamais à des résultats convaincants
en l’utilisant : je la remplace d’habitude par la gamme mineure blues, ce qui sonne un peu
plus répétitif

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