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guerres de Napoléon,
1806-1813 / général
Désiré Chlapowski,... ;
publiés par ses fils,
traduits par MM. [...]
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Chapowski, Dezydery Adam (1788-1879). Mémoires sur les guerres de Napoléon, 1806-1813 / général Désiré Chlapowski,... ; publiés par ses fils, traduits par MM. Jan-V.
Chelminski et le commandant A. Malibran. 1908.
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MÉMOUltiS
DENAPOLÉON
GUERRES
1806-1813.
tbtiés par ses Fils,
PARIS
, HBRAIHIE PLOfc
PI.ôS'-NCitJRRiT KT O, lMi'RIMÉUltô-tiDltKUliS'
RIK IHIUNCIKIU — G*
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1908
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MÉMOIRES
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GUERRESDE NAPOLEON
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MÉMOIRES.
SUR LtS
DE NAPOLÉON
GUERRES
1800-1813
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PARIS
LIH1UIRIE PLOX
l'I.ON-NOURRIT ET O, IMPRIMEURS-ÉD1TIÎURS
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1908
Tout ifroil» KJtTIlJ
Toui droit» de reproduction el 4e lr»4uction
serf is pour tousptvi.
AVÀ\NT-PROPOS
wia, où il retrouve
son père, fort Agé; il se
consacre alors complètement A l'administration
de ses biens. Quoique redevenu sujet prussien,
il conserve néanmoins toute son indépendance
de caractère, et renonce A la pension militaire
séquestre.
Le 9 mai 1832 commencèrent les procès
intentés par le gouvernement prussien aux
Polonais qui avaient pris part A l'insurrection :
CHAPITRE PREMIER
CAMPAGNE DE 1807
polonaise).
(1) Celte anecdote est racontée un peu différemment dans
les Episodes politiques et militaires, par le baron Paul DE
Botncon, ancien ambassadeur en Espagne, Paris, 1864,
l" partie, p. 59. » On me raconta depuis à Varsovie qu'un
jour l'empereur Napoléon s'avançait a cheval, suivi de son
état-major, ayant à ses cotés un jeune gentilhomme polonais,
le comte Chlapowski, appartenant aux premières familles de
la Posnanie. Il arriva au bord de ce qui lui paraissait une
prairie verdoyante, et voulut y entrer pour la traverser. Il
CAMPAGNE DE 1807 .11
fut soudainement arrêté par son jeune guide, qui lui signala
celle prairie couverte d'herbages comme un marais boueux,
profond, et caché sous une mince couche de terre végétale.
L'Empereur, impatient d'avancer, ne voulut tenir aucun
compte de cet avertissement, mais l'intrépide Polonais lé
devança en s'élançant afin de montrer quel était le péril
auquel on refusait de croire. Le dévouement du jeune
homme pensa lui être fatal. A peine eut-il fait dix pas que
la couche de gazon s'ouvrit, te cheval it le cavalier s'affais-
sèrent, dans une fange liquide. Le cavalier seul put être
sauvé avec une peine inouïe. «
Pour le récompenser de ce trait de courage, si digne de la
noble nation qui combattait alors à nos côtés, l'Empereur le
nomma peu de temps après son officier d'ordonnance.
Il CHAPITRE PREMIER
(1) « «.
Gross-major
18 CHAPITRE PREMIER
=* 1 kilomètres
(I) Lieues de poste de 7 verstes 1/î..
CAMPAONE DE 1801 33
cheval et m'offrit
de l'eau-dc-vie, ainsi qu'à
quatre de mes voltigeurs (sur les 10 qui étaient
avec moi auparavant). Il me demanda quel uni-
forme je portais, et au bout d'un quart d'heure,
mon habit me fut rendu, avec le ruban de la
Légion d'honneur, mais sans la croix.
C'était la croix que j'avais reçue à la suite du
combat de Dirschau : le chef d'élal-major du
maréchal Lcfcbvrc me l'avait attachée lui-même
sur la poitrine. Cet officier se trouvait à côté de la
porlcdeDirsehauquaiHlnousI'avionsfaitsauler.
Ma coiffure était perdue, mais le colonel des
cosaques me fit cadeau d'un bonnet de cosaque :
j'aimais encore mieux ce bonnet que rien du
tout.
Nous retrouvâmes prisonniers Sokolowski,
lieutenant d'une
des quatre compagnies qui
furent renversées comme lo mienne, à ce qu'il
me dit, puis un soldat français, quatre de mes
voltigeurs, deux officiers français d'artillerie et
du génie, enfin un officier badois et plusieurs
de ses soldais.
Des officiers prussiens de différentes armes
entourèrent le soldat français, qui était du
2' régiment d'infanterie légère; ceux qui par-
laient français causèrent avec lui, car il était
bavard. Les deux officiers français ne disaient
rien,
CAMPAGNE DE 1801 5Ù
ÀhciMtn, l'alnrf.
CAMPAGNE DE 1801 59
*** Le château de
Valençay appartenait au prince de Tal»
leyrand. Celui-ci se plaignit a l'Empereur que le séjour du
roi lut coûtait beaucoup plu» cher que l'indemnité que lut
donnait le gouvernement & cet effet, parce que la cour du
rot était Irop nombreuse Comme l'Empereur faisait la lourde
oreille, Talleyrand reprit t « Mai* alors, que dois-je lui
dire?—Dites-lui la menéI » répondit Napoléon.
On sait que Talleyrand avait été prêtre et évéque avant la
Révolution.
CAMPAGNE D'ESPAGNE EN 1808 61
N, »
A bayonne, U I Juin 180»,
1« CHAPITRE II
(i) Trentekilométréeeurfren,
"l'iï CHAPITRB III
trompette.
- Co n'est
qu'au sixième village que j'eus la
chance de trouver un curé qui était à Vienne la
veillé et venait de rentrer la nuit même.
Ce curé me dit que l'archiduc Maximilien
commandait la garnison, composée de douze
bataillons d'infanterie. Il ne savait pas de quel
côté l'archiduo Louis avait fait sa retraite. Mais
Kltsee|'Wfàft.'.;'''';:
lînârriVahtlo soir au premier village pour y
chercher uç guide, combien fùs-jé surpris et
heureux d'cntêntfrp les paysans parler lit langue
slovaque; ils furent aussi contents de m'en-
tendre parler polonais. Ils m'amenèrent un guide
qui élftitYenufértaafc le jour mémo. Avant l'ar*
rivée do cel homme, ils m'avaient déjà annoncé
100 CHAPITRE III
— Vaut mieux
que pas du tout! répondit lo
grenadier.
Lo beau temps reparut dans la matinéo
du 4.
Le soir 6,000 grenadiers et voltigeurs, portant
au bras gauche dos brassards blancs pour qu'ils
se reconnussent mieux pendant la nuit, s'em-
barquèrent sur des bateaux réunis à cet effet, et
passèrent à droite de l'Ile sur la rive opposée du
Danube.
Us débarquèrent à droite d'Enzersdorf, sans
aucune résistance do l'ennemi, qui s'était pré-
paré à s'opposer à notre passage au point où
nous avions jeté le premier pont en marchant à
la bataille d'Aspcrn.
Vis-à-vis de ce point, à portée de canon, les
Autrichiens avaient construit une batterie : c'est
pour cela que l'Empereur, qui en était informé,
avait décidé le passage à trois quarts de lieue
plus loin à droite, sur le dernier bras du fleuve.
Aussitôt après le débarquement de ces
6,000 hommes, on jeta les six ponts qu'on avait
préparés et à deux heures après minuit, notre
armée commençait à les franchir, l'infanterie
sur deux ponts à la fois, la cavalerie sur deux
autres et l'artillerie sur les deux derniers.
Le départ des têtes de colonnes avait été réglé
de telle sorte que le passage s'effectua dans un
CAMPAGNE D'AUTRICHE EN 1809 115
répondit le prince, • ,
«04 CHAPITRE III
Pétersbourg?
— Vous avez raison,
répondit l'Empereur.
Allez à Madrid chez mon frère 1
Jo reçus, pour celte mission, une instruction
détaillée, écrilo sous la dictéo do l'Empereur
par son secrétaire Fain. L'Empereur fit seule-
CAMPAGNE D'AUTRICHE EN 1809 913
y arriva.
Uno division so trouvait à Boulogne, dans lo
camp d'où l'armée était partie 'en 1804. C'est
cette armée, prête à s'embarquer pour envahir
l'Angleterre, qui changea de destination et partit
à Ulm cl Austcrlitz, et en 1806 so trouva a Iéna.
Il y avait toujours à Boulogne quelques centaines
de vaisseaux destinés au transport des troupes
en Angleterre.
La division manoeuvra devant l'Empereur.
Puis celui-ci s'embarqua sur un bateau, en
m'ordonnant de prendre avec moi 50 chasseurs,
et fit prendre la mer à toute la flottille. Depuis
le matin la mer était absolument calme et les
transports pouvaient avancer à la rame, mais
vers midi le vent d'Ouest se levai trois navires
anglais se montrèrent, uno frégate et deux bricks ;
ils déployèrent leurs voiles, et s'avancèrent sur
Boulogne tellement vite qu'ils arrivèrent en
arrière de nos derniers transports et on capta*
itèrent deux, chargé» chaçnn do 40 hommes,
Nous étions déjà dans Je port ttvecrEmtioreur,
CAMPAGNE D'AUTRICHE EN 1809 «9
CAUPAGNE DE 1812
Kozietulski ordonna
au premier peloton do
nos chcvau-légcrs, déjà aux prises avec les co-
saques, do so retirer, et l'escadron entier so mit
en ligne De la hauteur où ils élaicnl placés, les
Russes avaient certainement vu nos trois autres
escadrons, et se tinrent tranquilles, mais les co-
saques qui s'étaient dispersés devant nous s'ap-
prochaient à chaque instant pour décharger
leurs fusils sur nous, et comme nous n'avions
pas envoyé nos tirailleurs à leur rencontre, ils
s'approchaient do plus en plus, en nous criant :
« Lochyi (1) », car ils avaient reconnu nolro
nationalité.
Un officier cosaque, monté sur un choval
gris, s'approcha à 100 pas et même moins, et
nous provoqua en polonais à nous batlro oveo
lui; mais Kozietulski no permit à personne do
bouger. Ce même cosaque descendit do choval
en criant : « Maintenant, vous pouvez mo
prendrot », puis il commença à enlever la selle
do son choval : enfin, voyant qu'il no pouvait
nous excilor à quitter les rangs, il remonta à
cheval et retourna près des siens. Ils tirèrent
sur nous plus do cent coups do feu sans tuer
personne.
— mol
(1) L'chy employé par le» coiaquci pour déilgne*
lei Potonali.
958 CHAPITRE V
Dnieper. L'armée
polonaiso n'avait pas été
déplacée, car elle avait perdu énormément do
monde ; tous les autres corps, à l'exception de la
garde restée dans la ville, so trouvaient déjà
sur la rive droite du fleuvo.
L'Empereur mefitappeler et m'ordonna d'aller
aveo un escadron do chcvau-légers lanciers en
reconnaissance du côté do Mscislaw, pour m'as-
surerde l'exactitude de l'information qu'il avait
reçue, de l'approche de ce côté du corps do
cavalerie russe
Je sortis do la ville
avec mon escadron; nous
avions fait manger, dons la rue, à nos chevaux
du seigle nouvellement fauché; les hommes
couchaient sur lo pavé, car la paille manquait.
A une demi-lieue, lo prince Poniatowski
bivouaquait. 11dormait dans uno hutte, et jo fus
obligé de prier un de ses aides do camp do lo
réveiller, do lui dire quo jo devais traverser
ses grand'gardes et do lui demander s'il ne
possédait pas quclquo renseignement sur l'en-
nemi,
Le prince dormait tout habillé dans uno
huile obscure; il en sortit et me donna un offi-
cier pour m'accompagner à travers les grand'¬
gardes et les vedettes polonaises. La nuit était
claire Nous arrivâmes au camp de la cavaterio
polonaise, à ta division du prince Sulkowski.
969 CHAPITRE V
payant.
Quand j'arrivai à Moscou, lo fou était éteint;
nos troupes étaient logées dans les maisons
intactes; il n'y avait pas do bivouacs. On me
raconta co qui s'était passé pendant l'incendie,
avait duré six jours; il y avait partout un
qui
grand désordre. Tous les officiers étaient d'ac-
cord que si, à ce moment, les Russes s'étaient
sur nous même en petit nombre, ils eussent
jetés
remporté la victoire. Mais maintenant l'ordre
était rétabli. Dans les maisons qui n'étaient pas
brûlées, commo dans les magasins et les caves
de celles qui avaient été détruites par lo feu, on
trouvait du blé et des provisions en telle abon-
dance, que ces approvisionnements en vivres et
en fourrages auraient pu, dit-on, suffire à l'ar-
mée entière pendant tout l'hiver.
J'eus pourtant une pénible impression en
voyant des soldats français vendre toutes sortes
d'objets pillés dans les boutiques. Nos chevau-
légers leur achetèrent du vin et des provisions.
Il y avait suffisamment de légumes en ville et
dans les jardins environnants. On trouvait aussi
de grands magasins de fourrures et de peaux de
mouton.
Avant de quitter Moscou, nous fimes pourvoir
tout notre régiment de pelisses en peau do
918 CHAPITRE V
tinua la retraite
en voiture, puis en traîneau.)
Les grenadiers à cheval de la garde impériale
ne tardèrent pas à arriver. Cetto ligne noire et
élevée des bonnets à poil fil uno telle impres-
sion sur les cosaques qu'ils s'enfuirent dans la
forêt, mais bientôt, à une demi-lieue plus loin,
ils so précipitèrent du côté do notre brigade.
Lo général Colbert m'envoya à leur rencontre
avec deux escadrons. Je m'avançai à 500 pas,
et, voyant des soldats français (qui suivaient
isolément leurs régiments) fuyant au pas de
course de notre côté devant l'ennemi, j'en ra-
ramassai une centaine que j'établis dans des
chaumières à notre gauche. Mcséclaircurs ame-
nèrent adroitement les cosaques sous le feu de
ces fantassins : ils se dispersèrent et se reti-
rèrent, laissant à notre brigade le temps de
monter à cheval.
Le général Colbert m'envoya l'ordre de re-
joindre la brigade, et laissa seulement un esca-
dron de lanciers hollandais commandé par un
capitaine. Les cosaques s'aperçurent bientôt
que c'étaient des Hollandais et les attaquèrent
vigoureusement, en les entourant do trois côtés.
A cette vue, le général Colbert les chargea avec
toute la brigade. Ils se retirèrent du côté de la
forêt, mais de là dix fois autant de cosaques se
jetèrent sur nous. Nos chevaux étaient fatigués
CAMPAGNE DE 1819 983
10
CHAPITRE VI
•* Devenu
plui tard général en 1830.
*** Frère aîné du
général du même nom en 1830.
334 CHAPITRE VI
->- Sire,
répondit Caraman, je ne m'éloignerai
pas sans la permission et l'autorisation do Votre
Majesté. Jo veux montrer à Votre Mojesté que
nous valons la noblesse qu'EUc a faite. » Cette
réponse plut à l'Empereur, qui donna à Caraman
une recommandation pour LouisXVIII.
Au moment du retour do l'Empereur do l'ilo
d'Elbe, Caraman commandait l'artillerie des
gardes du corps, et partit le 10 avec cette artil-
lerie, à la suite de Louis XV11I, pour Gand.
Louis XVIII renvoya les canons à la frontière,
mais Caraman resta avec le roi et revint avec lui
a Paris.
L'Empereur, comme on le sait, no resta en
Franco que cent jours, depuis son débarque-
ment de l'Ile d'Elbe jusqu'à son départ pour
Sainte-Hélène.
Jo m'arrêtai à Berlin en passant, sansy rcridre
visite à personne.
Lorsque les Russes curent quitté Poscn, je
rentrai chez mes parents.
/'^MMS\
FIN
TABLE DES MATIÈRES
AïANt-moin.'t t
CIIAPITIIK PttRMIKH
CIIAHÎHR II
UMriosE D'KSPIOSËtx 1803
CHAPITRE 111
— Reconnaissance
Quartier général à Ingolstadt. a Pfsf-
fenhofen. — Arrivée de Masséna. — Le prince Louis de
Bavière. — Allocution de l'Empereur aux Bavarois. —
— Lo colonel autrichien — Marche
Abentberg, prisonnier.
sur Lamlthut. — Retraite de l'archiduc Louis. — Mission
du maréchal Davoust. — EckmUhl. — Marche
auprès
sur Ralisbonno. — blessé. — Prise de la
L'Empereur
ville. — Ebcrsbcrg. — L'Empereur acclamé devant Vienne,
— Entrée de l'armée a Vienne. — —
Passage du Danube.
— Le maréchal Masséna h Aspern. —
Aspcrn et Essling.
Retraite dan» l'Ile de I/obau. — Mort de Lannc». —
Balaille et prise de Uaab. — Bataille de Wagratn.—- For-
mation du V régiment d'infanterie de la légion de la VU-
tule. — Znaïui. — Mission prêt du prince Ponlatowtkl a
Cracovle. — Rentrée a Paris. — Mission en Espagne. —
La division à Occana. —
polonaise Mariage de l'Empereur
et de Marte-Louise. — L'ambassade russe. — Chef d'es-
cadron» au 1" régiment de chevau-lègert lancier»
polonais
de la ganlc. — Le service a Chantilly. —
Voyage de l'Em-
a Boulogne et en Hollande. —
pereur Départ pour
Posen.,,.,, 109
CHAPITRE IV
CHAPITRE V
CiMFiOMi HK 1812
CHAPITRE VI