You are on page 1of 120

Le

pack nnasonnerie
cloisons
carrelage
Les matéri aox de corlstruction 5
Les li
aots :cirrlerlt,chaux 12
Les granolats :sable etgravii lons 14
Lestechni ques de base 15

e carreau de pl âtre 35
Les principaux types etcaractéristiques des carreauxcle pl âtre 36
Dimernsior
nnemectcles cloismnsetrai cjissezrs 43
Vi se en ceuvre des carreauxde pl âtre 45

L.A F'LAQUE DE PL/VF?E 61


Caractéristiques de la pl
aque cle pl
âtre 61
La cloisof
nen plaques cle plâtre 62
Divers types cle cloisons etleurs performances 64
Mi
se er
nceuvre des plaques de plâtre surossature métallique 70

C arreler
LG carrelage 77
L-A POSE AU SOt- 83
Prèriminairesetcontrôi es avantEa pose 83
La pose 88
L-A POSE VURALE 1O5
Commerltetparoù commencer? 105
Carrel erune fenêtre 111
Carrelerune baignclire 114
es cclupes particulières 115
Lejointoiement116
La m açonnerie
f
. . v' j
u. <....W:1
.
'. .'
'.' h Fè 'r - =
+ >
..
+
k
U
.+*>M
.-
* M
jv.. : (I M', w . . . w..
-w.- <<....
- --
. 'y xe
! .
z

AVANTPROPOS

Laf'
?
nall
t
a/nr?ec/'
e,c'
esl-à-d/
heIL
IrtJebâtil
iaprisunes/
kn/
//car/
bmproverblàlequimont
rebi
en
/7rrlpcl/-larpce que Iuiontacctydê /eshommes,de tous temps.A//e#re en œuvre (%s matérlhux de
construct iorbIessc)/'(/ar/
b.
erpourformeraubout(/tJCompte un ouvr&ge ()t J/r/'
erlrle Ceboulr'
ës/
l
s-
tante!durable,voilà quelestIe sako/h-fake dt/maçon que ((I' on reconnaît&u p/' ec/dumurpi.
Cesavoir-faire repose surIhpprentissage etI'exercice c/e techniques précisez dof?rIhcquisi-
tion estaccesslble ( ')tous.Dhutantque,denosybt-/rs,/es outils et/es produits modernestnffrer?l
aupt
a/-
l/ct
//
er/
r esposslbili
tésetI
esmoyensdefaireilrescpe?nussibienqt/e/eprofessi
onneL
Le monde de 1& maçonnerie est//nmerse etIesexemples de ré&llh&tions innombrables.Cet
ouvrage apourl)tprdeformerIelecteurauxpcoctjd:sJebase(w/'serontF??/tsenpratique au lra-
versc/e quelquesexemples.Desexemples qtJ/'pourrontIuiserk'/hde modè/esdansIa conception
etIafabrication des ouvrages (w )'/souhaitera m ellre Iui-même en chantieroudont11bot/c/racom -
prendre etsurveillerIa réall%ation.
savoir:I 40 bars 7ll,60 bars '
,111.80 bars.
Les voici:
- les briques creuses courantes per-
mettentde monterdes murs extérieurs ou
des cloisonsintérieures '
,
lesbriquestlgalandages(di tesaus-
si<(plâtri
ères>')serventsurtoutà lacons-
tructi
ondecl oisonsde doublage (On peul
parexemple associerbriques creuses en
extérieuretbriques plâtrières en doublage
intérieur,avec unisodantentretesdeux ma- Liyomts'eoy ooL;L:ecret/sf?
téri
auxout
outsi
mpl
ementuneI
amed'
ai
r)'
, ;2 x ,
?5 x /i
?.5

Les Grecs,puis 1es Romains,coqnaissaientIa terre cuite,mais c'est


seulementau VIlI''sièclequ'elle faitsonapparition en France sous la forme
du carrelage.En effet,Ia possibilité de meulerI'argile afin de formerdes
briquesetdes carreaux de formes géométriques régulières.a permls de
disposertrèstôtde matériaux de substitution à la pierre.
Lat
errecui
teprodui
teaujourd'huii
ndustri
elementdonneunpr
oduittrès
répandu enraisonde la facilité avec laquelle on peutIe mettre en œuvre et
deson be!aspect.
Les multiplespossibilités de façonnagede la pâte d'argile permettentla
fabrication de plusieurstypes de briques :pleines,creuses,encarreau,en
bloc,etc.Chaque grande catégorie comporle de nombreux élémeqts de
taillesetdeformesdiverses répofldantauxexigences d'ouvrages divers.

LES BRIQUES
11existetroisprincipalesvariétés de briques :Ies briques pleines de pa-
rement,les briques pleines ordinaires et les briques creuses.que vous
choisirezenfonctionde quelques critères.La plupartprésente des dimen- 1es briques à rupture de
sionsstandard. joints,appeléesai
nsiparceque
I
ejointentredeuxbri
quesnese
LES BRIQUES CREUSES fait pas entièrement sur leur
Des cloisons verticales ethorizontales compadimententI'espace inté- '
face en contactdans la mesure
rieurde ces briques,ce quileura valu l'appellation de r<briques creusesn. oùelles présententune dépres- . - . *i
. t ., ' ;.' F.. ' *.'''.'*''''* ''
sionquiemprisonne,une foisle 4 !z . .
Cesvides,représentent40% du volumede l'élément,cequienfaitun ma-
tériauIégeretmaniabie. murmonté.une lame d'airsur ..vdb#);. ;
,!.= 4
' ?.
'f ''
Le volume d'airemprisonné dans 1es briques,une fois ie murmonté, toute Ia Iongueurde la rangée .. .,

de briques. zt '
jouel
erôl
ed'
isol
antthermi
que.Ainsi,l
esbri
quescreusespeuventservirà
la construction des façades,avec éventuellement un doublage isolant. Desélémentsspéciaux taci- 1-- ' .' '
Ellesdoiventétre dans ce cas,recouvertesd'un enduitde mortier.contrai- IitentIa Iiaison en angle entre . *. . i.
.
rementauxbriques pleines qui.elles,peuventresterapparentes. deux murs, Autres éléments ''..'a.
' . .. .
11existe trois principaux types de briques creuses,aux formats etaux particuliers,tels,lesconduitsde *'
caractéristiques variables,classéesselon Ieurrésistance tti'écrasement.tl fumée(boi
sseaux),etc. '. .
nu.
,.t,
..- z
-..
# . K4+
.q . :< '.x.)...
x
Eolsseau G?ec/.e?1//?ëe < .-a.-u.%2.(Ja'..>tul=<;.
uz
r .*. )
'
.
.
'
f.. ,
k... ..v
.- . ;-
q ..) .
4J
> . jjk . . ..
-j
,,.
:t y,+ ,+,..
; A aw
.
:'
-st. .-
. je s p
. ''jI.A.
TE 1-,
% U X ,---
j .. .
.y

! .. de C-O NyS.ymyajy.jyy
,.(yyy.
ajjj
-sxy
4

'
PRINCIPAUX TYPES DE BRIQUES CREUSES PBINCIPAUX TYPES DE BRIQUES PLEINES
BRIQUES tCARACTIRISTIQUES EMPLOI BRIQUES CARACTIRI STIQUES 1 EMPLOI
Bri
quescourantes )Longueur:22cm. Maçonneriesi ntéri
eures Deparement Colori
setf
ini
ti
onrouges, IMursdef
açades,cl
oi
sons,
tl
(Hp
aa
ui
tes
sue
ru:
rs
10:
,4
5;
c5
m.
,4' oue xt
é r
i
e ures.
,7,5; Doiventétferecouverles
jaunes,grises'
vernissées.
,matesou j
I
lerasses.alées,etc.
110,5cm. l'unenduit.
l Décoratives 1Traitementdefinitfonper- .Habillagedesmontants
jNombr
edepeforati
ons Pourmurport
eur,àcondi-
1mettantd'obtenlrdenom-id'
unbarbecueoud'
une
jvariableselonI'épaisseur. tionqueIahauteurdumur
' ibreuxcoloris :blanc
i
i
1
!
mesure15foislaIargeur l ,r
ose, cheminée,jardi
nièresma-
ideIabrique. l
1r
ouge,bei
ge.etc. 1çe
onnées,muretdécorati
f.
. X- .--- U
Aenluire
' ---
1Lesmèmescaractéristi- 'Toutouvrajedestinéà
Brlquesplâtriqres ILongueur:40cm.
; 1Pourcl
oi
sonsi
ntéri
eures
1ques9ue1esbriquescou- êtrerecouvertd'unenduit,
ouàgal
andages jHauteur:29cm. joudoubl
ajedemurs. 1fantes
(lpai
ssetl
rs:entre2,5et 5
' 1 . 1
l55cm. Réfractaires 1
jHauterésistanceaufeu, >-
jSpécialementconçues
lA,
k ssemblageaupl
âtr
eau k
, ë 1paurIaconstructi
ondes
jmorti
e
jmorti
rleach
erbât
auxouaul
rd'jamal
sde
l
ù
I
1foyers(chemi
jjlt
x j
jqsj.
nèesoubar-
ciment. ,
B
ri
quesàrupturedejntsf
oi jProfi
lpart
iculerprôsen- Pourmaçonneri
esexté-
ltantunedjpressionsur rieures,
!toutel
aIongueur:cel a
Ipermetdecenserverune l
I
!I
iamed' ai
rsuppl émentaire,l
1cequirenforcei'i
solati
on.1
i

LES BRI
Q UES PLEINES
Dites .çde parement,'quand elles sontdestinées à restervisibles.Dans
ce cas,elles doiventêtres résistanles aux intempéries sielles sontdesti-
nées à I'extérieur.Elles coûtentplus cherque 1es briques ordinaires.qui
elies serventà toutesI
es padiescachéesde l'
Ouvrage (l
esmursdevant
ètre recouvertsd'unendultparexemple), LES BRIQUES
Les briques pleinespermettentde monterrapidementun muret,un pe- SPéCIALES
titbarbecue,etpeuventaussiservirde revêtementde sol,pourune allée
dejardi
n parexemple.Danscedomai neégalement,l
a normal
isati
onim- 11existe enfin desbriques 'U-kelkïolede
v
posecedainesrègl
es,comme l
arésistanceaugeletaufeu(iarésistance de tormesspéciales.En voi- t'lôcluf
esperfctre'es u
des briques ordinaires se situe à près de 1200 OC mais pourIa construc- ciquelques-unes 'chaperons
tion des foyers de cheminée ou de barbecue servez-vous de briques ré- ou demi-rondsde couronne-
frkh(ltélirll6;'). ment. boutisses ou panne-
resses arrondies des deux
côtés ou bien d'un seul,re- +
toursd'angle intérieufouex-
térieur.tétesde mur,briques
pourmurs cintrés,perforées
(pouraérati
on).etc.
éh?/'
.'
(f
7:tii?é;.?:l/'
eF??i?E)?'k5,
'r'/'
ty
..
-.
'-:.ç
-iF?'
eé;
'
'
A S
'
) ,' % ''> t;p ''' ' '- .'
.''' ' *'
>
'
l
k'
' .tj.
yw
q. !,
Tjf. -4jj.'
*#,j.<'. .. j.
= 'A,'
;
j x. lr
. j
! .,
u ...
p
...w K .v .
, !.4 s.
,, A.;
'1''
.'
Jh
t.
,
K:ts
-'
' rz .,' !4
1
.
'--'
=. .F'
1s, .#.
- '
-
i
'qp'
'n.:
s ,;.
. :'.'.s.+.>'Lj
8
1
I
5
u
Y. 'he 'ïp'%
I
'
4l
!
'
) -'2r...-J' ..!#,Y..2..<.1
>...,'
t
' ,.
.
. ,1
.'
.z.1
.t
.
.!
j
4
2
1
.'%.'
)
4
1
'
-
)..k--Mr
'
. ,.
..
z. 41 ... -x;

LES CARRELAGES
Sans entrericidans Ie détail,on ne sauraitomettre de dire que Ia terre
cuiteestévidemmentI'un des matériaux traditionnelsentranldansIa tabri-
cation de carrelages très beaux etrésistants siI'On a afffaire tlde la terre Le béton estun matériau qui,outre I'utilisation que I'on en faitpourle
cuitegrésée. coulagedes dallesetautresouvrages,entre dans la fabricationd'éiéments
destinés eux-mémes,après assembtage,à constituermurs etptanchers.
E'LE'MENTS SPE'CIAUX C'estainsiquel'on lrouve desparpaings,deshourdis,despoutrellesetdes
Iinteauxprêts-à-l'emploi,des blocs,etc.
Laterreculteexiste enfinsous Iaforme d'entrevousetde poutrelles,ma-
t
ériauxentrantdansIaréali sationde planchers(d'unusagecomplexe :it LES PARPAINGS
estpréférabl
edefaireinter-
venirunprofessionnelpourIeurmiseenœuvre),
de claustras (él
éments ajourés quise montentau modier,comme des De forme parallélépipédique,comportantdes alvèoles intérieures,iIs
bri
ques),etc. s'emploientcourammenlpourIe montage desmursextérieursou intérieurs
(mursporteursOuderef
end).1
lsexi
stentenpl
usl
eursépaisseurs(5,10,15
ou20cm).
Comme 1es briquescreu-
ses.les parpaings apportent .-
uneisolation thermique non ..e ' ''
LES BRIQUES DE négiigeableenraisondeleur .* ' . '''' '
> . 3 .
.Y.
RE'CUPE'RATION alvéoles intérieures. Moins .-=.% '
chersque lesmatérlauxna- z .' ' . .'
ii;;it , .
'' l *

Elles sont plus recher- turels, iIs sont aussi moins ' '.. zi
chées pourIeuraspectque esthétiques etdoiventêtre,
pourIeurprixde revient,cer- pourcette raison,recouverls .
tes modéré puisqu'elles ont d'un enduit, qui Iui-même
déjà servi.Vieillles,elses s'in- pourra ensuite recevoirIa fi- .
tègrentmieux à un ouvrage nition de votre choix
ancien que des briques neu-
ves.Mais avantde 1es em- HOURDIS,
ployer,tàcherde connaître POUTRELLES ET
Ieur provenance d'où vous
déduirez Ieurs qualités et LINTEAUX
leurrésistance(ell
esdoi
vent Des poutrelles en béton
être ingélives siellesservent ferraillées de différenteslon-
àI'
extéri
eur),h défaul,vous gueurs,permetlentde cons-
trouverezdansIecommerce truire rapidementun plancher
des briques artificiellement en Ieurassociantdes hour-
vieillies sur Iesquelles vous dis.
serez exactementrenseigrlé LesIinteauxen béton.né-
PournettoyerIes briques cessairespourIesouvertures
de récupération, utilisez un (portesetfenêtres)sontéga-
ciseau de briqueteur pour lementde dimensionsvaria-
enleverIes restes du vieux blespours'adapterauxdiffé-
Ciet
nerîtsspéc/at/xenJerrecclfteptlrrnetCar?l mortieretun nettoyantspé- rentes ouvertures. L'emploi
parex6wpp/e clerda//se/'urîc/
at/sl//. ci
alpourI
estaches(moull
iez decesélémentspréfabriqués
Ies briques avant d'appli- vous tera gagnerbeaucoup
querl
e nettoyant). de temps.
LE MARBRE
u.;
- L;
....
Le marbre estun matériau superbe C'estune pierre calcalre dontle vei-
nage estmisen valeurpardEfférentesopératrons de pohissage qtliIuidonnent
La Franceestunpaystrèsfi che engi sementsdepierfes(0nditaussi par allleurs cetaspectbrillantcaractéristique.11en extste de différentes
t<crusà:).Oncompteeneffetplusde 200 variétésextraites,auxquellesil teintes.souventmêlées hormis pourIes blancsetles noirsqu1présentent
fautajoutertoutescellesquenousi mportons(I e marbreitalienparexem- des tons uniformes.En outre.$es marbres sontclassésselon leurtexture
ple).Provenantderochescal caires,sili
ceuses,argil eusesOuvoicaniques, (marbrescristallins.brocatetlesetcipolins)Onrencontreplusreurscentalnes
ces ditférentescatégories de pierres,taillées pourla construction,sontsé- de variétés de marbres,ce qu1vous obligera à faire votre choix surpré-
lectl
onnéespourl eurrésistance(mécani queetaugel)etsel onIeurdureté. sentation d'échantillonsou surcatalogue.N'hésitezpasà.prendre Iescon-
la difficulté à les taillefetencore potlrleuraspect seilsd'un marbriercarils'agitd'un matériau onereux :autantne pasfatre
Sicela estcornpati
ble avecvOsprojets,ilestpréférabl
e d'uti
li
serl
es d'erreur...
pierresprovenantd'tln gisementproche de votre domicile aussibien pour
intégrerla constructlon au terroirque pouréviterde Iongstranspor'ts oné-
reux(Ies professionnel
sétablssentI
eschanti
ersdetaileà proximitédes '

carri
ères).Voiciquelques-unesdespri
nci
pal
escatégoriesdeplerres.
LES PIERRES CALCAIRES
Ellessontclasséesselon leurdureté etbénéfloentd'uncoefficlentAFNOR #. %..*
.. z. n '. ..< r%
(lesplusdures.ditest
xtrèsduresetextra-dures,
à,ontI
ecoeffi
ci
ent14) ..#
.# & a k.
..
Ellessontforméesde grainsplusoumoinsserrés.ce quidétermine Ieur . N'.g.'
résistance Choisissez-lesenfonction del'utlllsation que vousvoulezenfaire ,.
. :.z.*%. z'
'' ! .#
r.
'e..'.N.'qYa% ..
. .' '' .+..'tu#be*'
.J# j
Elles se prêtentà des décors rustiques carjeurbeauté dépend de la ma-
tière elie-même. .
j,.., ,. !.
.
1j.
w. . ...f.
6
j
,
g
.j
i
ry
/
,
Le calcalre estun matérlau de constructton courant:cutre Ies pjerres ç-%.
:....
. ? - s'
y:
:jha-#.. 3.6.
;... ;j:
*'
. .
taillées,on Ie connaîtausslsousIaformede moellons etde pierres prétall- .
.'<.
;. .
. 4.
..'
j
y...?
'''?y
m '.
./-..
. -
f..
T '
...
Iées :on I'emptole aussicommeagrégat. 1ç:e. *.gq
.='
.:
1
- #
r
/:'
SJV
;
#''**$' .
' '.
+. W 4'1 ' *'
Les moeslons présentent des tormes irrégulières. contrairement aux .-.,'.. 4t .
'
- ,....,'çp'
pierres taillées.Au momentde Ies mettre en œ uvre.ilfautdonc Ies sélec- I .
.. * x9 <.. .6 .um .
tionnerenfonctionde la place qu'ilsdoiventoccuperdansI'Ouvrage de ma- - #. ï ..
. . b ..
çonnerte.On a souventrecours aux moellons,parexemple pourla cons- . $.
.z *. '
tructiondes murets 6

LE GRANIT
C 'estune roche siliceuse.D'une résistance proverbiale,le granilexiste
dans desvariétés toutes très dures.Cependant.plus Ie grain de Ia pierre
estfin.plus ceste dernière estdure.On en trouve daos de nombreuses
teintes(dontl
egrlssourisprovenantdeBretagne).Legranitcependantest
unepi erreporeuse(piusc)umoinsselonI
esvafiétés).quiexi
geparconsé-
quentdestraitements préalablessuivantIes utillsations et1es expositions.
Lesfioi
ti
onspeuventdonnerà.tasurfacedugrani
tunaspectbrill
ant(quk
rehausseIeveinage)Oumat(adouci).Ontrouveaussidesgranitspresen-
tantunesurfacerugueuse(obtenue parfsammaget)uparbouchardage).

''
.
LE QUARTZITE QUELQUES CONSEILS AU SUJET DES DALLAGES
11s'agitégalementd'une Toutes les catégories de pierres que nous avons présentées dans les
pierre siliceuse.Le quartzite pages précédentes peuvent servir de revêtement de soloù leurbeauté
esttrèsduretimperméable. peutêlre misepleinementenvaleur.Certainess'yprêtentcependantmieux
?#r
.x % 11offre un aspectcaractéris- que d'autres,en raison de Ieurdureté etde Ieurrésistance.Vous pourrez
.
1%7
.
3.
? z tique de par Ia présence, Ieurajoutez Ies dallesen pierre reconstituée,utilisables aussibienen inté-
danssa structure,de petites rieurqu'à I'extérieur.
particulesmétalliques.Sa ré- Choisissez Ie matériau en fonction de l'emploiauqueivous Ie destinez
sistance vous permetd'envi- etI
arégi
onquevoushabi
tez.évi
tezparexempl
elespierrestropporeuses
sager son utiiisation dans pourl'extérieur.ot)le geIrisque de les faire éclater,ou pourla cuisine.où
toutes Ies situations. elles risquentd'être irrémédiablementtachées.
Attention aussiaux surfaces glissantes Iorsqu'elles sontmouillées :ne
1esplacez passurunIieude passageteIqu'une allée,ousurIesbordsd'une
LE SCHISTE ARDOISIER piscine.
L'ardoise estune roche argileuse.Comme chacun sait,elle estimper- En revêtementde sol,la pierre estprésentée en carreaux eten dalles
méable etoffre une bonne résistance (cette dernière varie suivantson de formats,de formes(pastoujoursréguli
ères)etd'épaisseursvariabl
es.
épaisseur).En France les pluscélèbres sontIesardoisesd'Angers,de Réfléchissez bien ,'
j I'appareillage que vous souhaitez donnerau dallage.
Deville.de Fumay,de Cattemoue,de Renazé de Sainte-Anneq,,Ellespré- Sachez qu'ilestparfois possible de faire taiilerdes dalles surmesure.
sententtoutesdesteintesvariantdans 1esgris.

Remarque
L'artde bâtir
Longtemps /'arl Je /a
construction a rés/t/é dar?s I
/a sélection des (ormes
jdesp/erresdar?sf ebut
cpe ces dernières s'as-
sembientparfaitementles
tkrpes aux autres.C'estIe
cas de ces murs de p/ys
'res sèches, parfois .'
) pei-
ne ajust
ées .
'IaJ
ck
perlle
1p
/
ao
/
su
lsv
e
a/
'
t
ej
nulg
ee
nr
dr
d
eeq/a
uerélu
'
o
sn
-I
slte de Ia construction au
chant du vent entre Ies
jpi
èrres...PasdeI
t
ànt
,tout
lb
1au
l
oqpua
/
ts
it1
e
us
nppier
ures
d'
aMa,
rgi
.
le
à
l/
asolldit
én'étaitpasce/e
LA LAVE qu
ouerd'
I nous
hui. exll
geor?s au-
Un matériau d'origine volcanique que I'on trouve surtoutdansIe centre
deIa France,enAuvergne,dans Ia région des puits.La pierre,quipeutétre
émaillée,oflredeschaînagesparticulièrementdécoratifs.Sa posecepen-
dantprésente quelquesdifficultésen raison de Ia tragilité du matériau. Perresdtldallane.
- . 4 A;kzv . :
.. w ...r . .
. 1 ,X
.. - . k. x.'Ak
..* v. -.
.
. p# ' F .j. ....4 %' Nx. .>.
, .' - .
... .wn... j.,(rY..
'ts. x . u. ...j f ; e.
z..
k. x-
..- '*'N'er N' N R
' r r* 4r''r-!'*. f'ew 'q'
t - . .' t.
, '' ' p ! ' .., jj jj y
j) r
1
z

'F.w
C t4 t
R.u
1C)'
t
*b.
w J
3
*D..F'P
M.
.'
%
9f
t
*l'
r!k
''.
j.
N.u;
'-'s
r
k
-
'
*.u
'u
iu
1ju
F.1
*$)
. Ki
/
-tU
' *v
œ
' 2..V-. 'v v'
). :f.i :.72 SKQ.

Les blocsde béton cellulaire sontà recommanderpourIeurrendement Moulé encarreauxouen plaques,le plâtre estun matériau de construc-
thermiqueetleurfaci
li
té de pose.Dedimensionsvariabl
es(iIestnéces- tiontrès largementrépandu.ilestomniprésentdans Iesaménagementsin-
sai
fede di
sti
nguerles blocsporteursdecarreauxnon port
eursl,i
es él
é- térjeurs.
mentsde béton cellulaire présententl'undes meilleurs compromisentre la
résistance mécani queetIesperfofmancesthermi ques(épai sseurs:5,10. LEs CARREAUX DE PLATRE
15ou20 cm sel on lesrégions).Plusle bl
ocestI éger,plussa résistance
mécanl que (résl
stanceà la compression)estfaible.maissonrendement . ;
) ., .. .. .
1 . 7 .'
.
thermsque meilleur.
.. .;r
.,y.... ).y .
Lesblocsdebétoncell ulai
resontf acil
esàutili
ser.Onlesmonteàjoints
épaisde morti
er.morti
er-coll
e (poudrefaltedecimentblanc.dechaux.de
sable etde rétenteurd'eau :toute pféparée.ilsuffitde la gâcherau mO- LEs PLAQUES DE PLA-TRE
mentdeIapose)quidonnettlaconstructiondavantaged'homogénéité.
Endehorsdesblocsetdescarreaux,le béton cellulalre se présente sous . ., .C S ..
';k'.LL J J)L ''Jf' F .'..I F9
.T
SL ' rlxt ' 't .
la forme d'éiements spéciaux quipermettentla llalson de deux murs en ' . $l ':'' :!f !' 5 ;7g 1 ;:! '' '' '.(' :' .''( 7v2.7: :1C
angle.Cesbiocsd'angle sontmunis de cavités cylindriquesdansIesquellœ t.rf(3.
..
.' .7 ; '.
passentles armaturesmétalliques.Cela permetde constituerunchafnage h not
er,qu' iiexiste aussides plaques isol
antes :ils'agiten faitde
vertical. plaques ordlnal res mais doublées d'un i
solant(Iaine de verre,polyur
é-
D'autres carreaux de bètoncellulaire serventà t(habiller>,cedalnes par- thane.polystyrèneexpansé).L' avantageestainsid'isol
erunmurouunpla-
tsesde maçonnerie.comme un linteauen bétonarmé.Leuremploidans ce fond louten disposantd'une suuace de plâtre apte à recevoirun revéte-
casdonnera ttIa construction un meilleuraspectd'ensemble. ment.L.e côté isolantestgénéralementcoilé contre le mur.L'épaisseurdé-
pend de celle de l'isolant.
Le béton cellulaire sera recouverl.en finition,d'tln enduitau plàtre à I'in- 11existe bien d'autrestypes de plaquesde plàtre,tellesque cellesavec
térieuretd'un enduitépaisau modierà I'extérieur,dontla couche de fini- pare-vapeur,Ignifugées.spécialescharpentes.etc.
lion pourra être remplacée parun revétementplastique épais prêt-à-l'em-
ploietnormalisé.(Attention :uncertainnombred'enduitsd'imperméabili-
sation de taçade ne peuventètre appilqués surIe béton cellulaire.Ren-
seignez-vous auprès du détaillantotlIisez bien la notice d'emploiavant

12b'n
-,ït:ïr1(?tit;-t)..
'7)/lc)L?:tq/ ,()/é?(?t7t?(/il;)?Ji
.t.'ë?--tri)rltp
':k6)f?L)'(?/)L)Ib'L;:'ç?!/)c
a.
??ta
2) J7a4)1?eê4t/zoffpostte ';.)laLllle(2eJJ/pila)..t' LDlvstyrel:e E?. î'
/.lar?se.
3).rlnarl.r-.ea:;Jtlrrwoslle olclue' :7ep/cùtre-Ja/rlederocize
4)rlari, qeat.'' --o'nposite'plazlk:e(Jep/ér .r6.z./a/rleJevelre
' (@r W. . < M1 'G
J
...
-'1.-.4.
.,
. 4'
t
.s
-'.2.',1.t'
-
. .,'v'
,
/ 1,.
..- .-.
, .
.k. ,
'
..-
'.z---'
--'
---'-'---''-'-'
--'
----
'--
'
a. 5# '
k$ ,
T' q! T
; j' t
j iF'
. j'
j j

'
v-1:C.
ww -?
j :(./
Q
t
' L2
-çj
;v;N
ITS
. M Gn
...U(
'
.A t
R (>
D.
Qm !97
-.r:k5
--...
J
:;
'4
3fw-!.
:
-
7
.-.F
.
:
-:-
<.
-k'
,
--
/
lz
.
-'
.
-
'-'.
ï
$
'
pr
s
'r
-:
'
.7
,!
'
.
-.
--
p
h
k
'
.?i
..
-.
-
.
'.-
;

Enbéton,parfois avecparementde brique.ou enpierre reconstituée,iIs Présentantune épaisseurd'1 à 2 cm,Ies plaquettes de paremenlsont
permettentde monter rapidemenlpiliers,murets.dallages.etc,IIs s'as- soitenbéton,soitenterrecuite.solten plâtre.Danslesdeux premierscas,
semblentau mortierou au béton,comme lesautres malériaux de maçon- ellespeuventétre utiliséesà l'extérieur.Ce matériauévoque.selon Iesmo-
nerie.11sontaussifacilesà transpoderqu'à poser. dèl
es,I
a pi
erre,I
abrique.I
emoell
on(brutoutailé),l'
ardoise,etc.
Chapeauxde murets,éléments de couronnementetde pilier,taillés ou Ces plaquettes,d'un em-
bosselés sontparticulièrementintéressantscariIs dispensentde lravaux ploi très facile. permettent
longs etdélicats.Les éléments modulaires formentIa structure du pilier,à d'habiller rapidement une
l
'i
nt
éri
eurduquelilsuffi
tdecouterdubéton(sansoubli
erI
eferrai
ll
age)au e. .- . cloison ou une façade.Elles
furetà mesure de Ia pose des éléments quise superposentIes uns aux z4' '.1 . se posent un peu Comme
autres.
( .
- deS Carrelages,Ce quiSup-
'.
; pose de préparer correcte-
. mentle support,quidoitêtre
'
' plan etsain. L.a fixation se
'
',
..c faltàI
'ai
dedecoll
e(dequa-
q- . iité différente selon que Ia
' . :
.. ,. pose estenvisagée à I'iqté-
sk #''.
,
'' '
,' eurOuàI.extérleur),Iespl
fl a-
l
'' .
quettes étant régulièrement
g.. e espacées i l'aide de Cales
de manière à ménager Ies
intervalles nécessaires pour
réal
iserI
esjoints,

jjj;!g....ù.âo
t.o
v. . ..a:llly .
. . Ne.N
XK
-
x--
S-UX---.J.w--x--e
1-**7.' à .'* %
W' ..i jk1
.,w.
Pour les sols,les pavés d.. h.
<s ', - .H .t. >x
.i
>;
. . *' 1 ' . E'$. '
autobloquants en padiculier, .. ,- . ,
.x
. -.
-.
,. -
.. .N. )j
ë
s
,
i-.!
y . t.
ou d'autres éléments préfa-
briqués permettent Ia réali- . . . 1x4lT.. . ' r* '@' N '
sation de terrasses ou d'al- +
ae
...e
,.. '. .j>v.
.+'
X..'
.x''.w.
...
..
..
TP
.W
'l.. .. -
6$Y.x . '
''*'>
, ït..
r
' kf:
j l.1
;..
lées sans qu'il soit néces- .. v tge xe ....e..,.'Jw , .K: ..--- .
'. ,
saire de coulerune dalle.il :r2 ..v
existe despavésdecouleurs '
.
$' ' z J:.
.i
'
..r
.'
vw'
/
r.
.'.w
cu .,..-. ..-' -' 'K.*.z
''
=. '-
.. . .-
.9
1
'4.'.
ïj.?
X
I
C
.
-
.
Xx
.4. '..
%
N
.'x ' '
k. ,. j '4;
j'#
. .
' ..
'

de formes,de dimensionset
'' ' '.'TJ. Q
..
r;
zW .
r -v' . ..
.... . g#..p.
o
,4.r
.
v
g.,....... ;
.
x..m.-.
zj.- -.'
.-
- .
...r
. $
,
. .
,
1iJ.
9
4
;
.
.
o
,
a
.p
I$'i
I
j
.- . .
.>j)y
. . .

de matériauxvariables. . .k,y....
q. .. ... .
.'.
k........>,.- .
.. yys. , j j. $$'.
%%
,N
j.$j..
'
...z w,
--v- r,.....J '
..
.' A'''
.
s'.. -2..yjj,$..
,%.).3' . . j.
1 ,
!.v1
) ,
b.,r
!.
!
'j,
:.'
,ç - j ..w*<.., a ''. >.... .'a' '.. ''. vq':*.''qà!j.l;.''j 'J zg''1'
. v '
..--....
....
- -.

v..P...%jç,.f. . . , s
. . . .
''. f.2r. ...x..e .. -. v.- ,!,
.
(
t1j. .'
.''wm-
'. 'J
'w.q. .'v .'
5q''-
.'s )' ; y: 1..
,yy,j,. .
.
*,:.'Jè
' ' Q
'.b-'. k '
4
J
41k
>4'
4
1 x1
:
.!
-.*
*
---''
'.x .
.%
.
.. v..u.-#.,. .,.. . . xj- jl'
*
.''
'4 '.
.
>.
'v'. j
e.. . .?
%5 k..m<'-''
.: -..*
.<
k...
re.....J.' '
- :.*,
w'
.ttze
..asp&.'
*j
.tsikj$j '' $
-.. a
.7m'W..
'
@.
. *r--e-
.. ..
.-. -Tw.,. ..
iq
..
mi vw '
p..t)
b (re.a..
;
.v
'-
yv. .
.z
.1(t'1
!i
.,jj')'î
j
)ty
b.
fj.$
i.
'v
..a
..
'
,e
,
.J
x.j,;j1.. .
. .
..-. . .
.
... ,.. ... . . .s ....
......s. g .
! ..j
:j 2 I ..
. t
q j.-..ajvs,.
.*.'ï
kjl141I '.î
,...v'
'
F' ' '
4* .
x .W . .
. .
. % ,,- -. . .. . -,t
-.
' -. .-
,
.
w-...*- ....',..'
-.
.. w G
''.'
..
b'x.
..-
...
,
. -.
q
ll,j
i
:
-
l..
'q- ..
z' '
.-i
1
p .i
k;
k'''
.
;
.
------- . .---.---.- .-- ..---.-----.--- . .

' t
,' .
. .j'
, ..
$,z
j.m'
.. 1 y C ,. x.m ..,
).c
,'
t z

unemême roche àdominante calcaire,dans le second,mélangésselon un


dosage précis.11reste que Iaproportion de calcaire étantde Ioin Ia plus im-
podante,Ies cimenteries sont.le plus souvent.installées à proximité des
carrlères.cela pourdes raisons pratiques etéconomiquesévidentes.
Mélangé à de l'eau,Ie cimentforme la pàte plastique etonctueuse que
l'on connaîtetquidurcit rapidementen séchanl.11donne alnsiune très
bolnne cohésion auxconstructions,ilestlmperméable etpermetd'obtenir
de hautesrésistances mécaniquesetchimiques,supéfieuresà celles de Ia
chaux(voirplusI
oin).Onajoute:dusabl
e(parfoisdeIachaux)pourfabrl
-
querdu mortier' .du sable etdesgraviers pourfabriquerdu béton.
En additionnantaucimentdesproduitstels que Iachaux.Ia pouzzoiane,
1
.
14-j
l
9..-.t'k
.vv' j
etc..On obtientdes cimentsdérivés comme le cimentde Iaitier,à la pouz-
.- *.-- b.--faj
. '.
wuu1/#
'q
#N<,
...,j
' P':
w
.-k
.J'' .
..v.
zolane.auxcendres.etc.Ces différentscimentsOffrentdesqualitésetdes
kt
-.-.
1
t-
''l
i
.
'.
1
!t
.-..
-
'
. --4
1.
..,.
1:
)
-11
-.
11.--
.
''1
l
L
-..
F.
:
.' .--.
degrés de résistance différents.ce quiestindiqué surIessacs.Le tableau
vous en donne un aperçu.Enfin notezque certalns ciments sontparticu-
lièrementadaptés aux sols.
'

CLASSIFI
CATION 1
i DISI
GNATION 1 RISISTANCE
Les matériaux de construction sontassemblés à I'aide de produits
qui,durcissanten séchant,donnentsa solidité à I'ouvrage.Ces pro- CPA CimentPorlsanjadificiel. 1
E
dui
tsmall
éabl
es(mortiersoubétons)sonteux-mêmespréparésavec CPAL CimentPortlandartificlel .250à50Obars*'
.àretenir
des liants hydrauliques :le cim entetIa chaux.PourIes bétons,Ie ci-
mentpermetde (ïlierl)Iesable etIe gravier;pourIesmortiers,iIssont Iaul
ai
ti
er
, 1pourl
af
abri
c
-at
i
ondube
't
on,
fabriqués avec du sable etdu cimentou de Ia chaux. cpcA !
lcimentPortlandart
lauxcenjres.
i
fi
ciel I
!
Contrairementà Ia chauxou au ciment,le plâtre peutêtre employé ;
seul,sans autre matériau.Malgré cette padicularité,le plâtre est un
liant(à utiliserpourI'assemblagedes carreauxde brique,parexem- CPALC rCi
mentPodlandart
iciel fj
fi
ple)à partenti ère.Noteztoutefoisquecertai
nscimentspeuventêtre !
!
aulaitieretauxcendres. :
E
'
.
employésseuls :c'estIe cas,parexem ple,desciments de scellement. CLK Ci
men!deI ai
tieraukl
in- 1
.150à300bars.
ker. I
I
Ct.x iCimentde laitieràla !100à250bars.
'
.
Ichaux, :
CM Ci E
mentàmaçonner. i100à.250bars.
Le clmentestune poudrequiforme une pàte aucontactde I'eau etdur- CN Cimentnaturel. I160bars
citen sechant.ce quilutpermetde solldarlserles matériaux de construc- 1 .
tion entre eux.11en existe deuxcatégoriesprincipales :Ie cimentnaturelet '
I-Etlé?reb':1t'rlrl.
:.
?L
iàiernestlrl.
q(ht..
' J?res/sz/pc.'
?rTf/qlalhkltve //.
. )af'z'.3)2lkgt'r'l tes.
c'
é-.
'.
:,.
%ss'.
';'I
r 'w1.
f''S
t
Ie cimentadiflciel La premièrecomprend uncertaifnnombrede produits qui rpa'I
'e.
GlJ'
yv.
'.b'
.ztè':?r-!Ji?.
'!
?ûteC,
/a''''
r.r.'c'6.
h.'
;a?
K'.'
:!''!f:hp'?iï.
'ct
arlrrlnel/f.?cdrre:
diffèrenlparIeurcomposttion elparIeurréssstance.
Le plus connu des ciments estIe cimentPodland artiflciel.quitlre l'orl-
gine de son nom de I'île de Porttand d'oùestextfaite la roche calcaire en-
trantdans sa composition.Le cimentesten effetun mélange de calcaire.
d'argsle,de feretde magnésie (ces deux derniers constituants en faible
quantité).LadltférenceentreI
eci
mentarti
fici
eletlecimentnaturelti
entau
faitque ces divers composants sont,dans Ie premiercas.contenus dans
r .'
.:>' @
,U 'o t
,5 ew .
* . .' 'T.
'
v. . 0 .+ .*.=u '
.. w>. .= .- .
? ' t
,
x'
..->-'
- -'
?' .
t.
. . :

'

INFORMATIONS . -:ï Dans Ies trois premiers cas.ilestdonc utiiisé pur'


,dans Ie derniercas.
. . CIM ENTpo
UTILES .
ocx i
lestmélangéàdusable(i
Iexistedesmorti
ersprêtsaugâchagequidis-
'
t;FJ-CEM11,
A 1 ' pensentde Ie mélangerau sable '
.bien pratiques mais à réserverpourles
Lessacsde cimentpodent petitesquanti
tésenraisondel
eurcot
)tpl
usél
evé).
uneséri ed'i
ndications(lettres j ;
i
j
12e
u a
c
-p
'Rz' '
j
.Ny Paratlleurs.certaines qualités de cimentpeuventêtre employées uni-
etchiff
res).LesIettresrensei - :j f,y.
;-,
, quementenpoudresurl
emodi
er(chape)pourenaccél
érerI
apri
se.
gnentsurlesconstituantsdu 4 : Enfin, ilfaut noter que les proportions
produit(voirtableaupageci - # '
-ul
ww,
w. données plus hautpeuventvarierselon le
contre)tandi s que Ies chi
f- . ' - '* . J typede ci mentuti li
sé etl 'usagequ' on lui Aitentio'n--y..- ..-.-... .- ..-
fresindiquentIa résistance à destine :Ies fabriquants fournissentgéné- ) --------
la compression exprimée en Gar e à--I,
'-
hum idité ! 1
f
. r
alement l
e sre c
o mma
Danstouslescas.sii ndatio ns n
é c
e ssai
res. S ikot/s devez srtlcker i
bars.Enfin,Ies sacs portent l o
aquanti tédeci ment i
le Iabel de conformité aux . détermine sa résistance.ilne fautpasdé- 'des sacsde cl&?e?pl,neles 1
normes(tousI esproduitsne ' r' passer2volumesdecimentpourunvolume posezpascorlfre un rnt-?/-!
j (;j.*s:()jypgjjyujjtj de sabIe.
sontpas normal isés)repé- ' . ,niJkecfemenlsur /e sol. !
rableauxfettresNF(Normes Jcpa sr Pour le foyer d,un barbecue Ou d,une rrlalà Couchez-les s&ruiîe '
I
l -'1! 45R . ?!j-ay
. pa/
Françaises).Celabelestdé- ! CP2 . cheminée,utilisezdu cimentréfractaire. . elle. !
:
Iivré par I'AFNOR.D'autres j .
lettres parïois viennent ac- '.
compagnercesdernières,ré- j
vélantqu'un autre organisme I'b/larquage c/e classificatlon c/es sacs c/e c:-
a approuvé le ciment. Par ruenr.
exemple VP, pour Ville de
Paris, La chauxestun Iiantdentl'emploiestconnu depuis des siècles.Avant
Ia mise aupointde Iiantsprésenlantdesqualités mécaniquessupérieures,
UTILISATIONS ET lachauxétaitutilisée enquelque sorle comme un Iiantd'appolnt,pourdon-
nerà unmurde pierres,parexemple,une meilleure tenue.Ellese présente
PROPORTIONS X sousforme de poudre qui.mélangée à cle l'eau,donne une pâte souple et
PRIVOIR onctueuse quidurcilen séchant.Cette poudre estproduite à partirde cal-
Lecimentsertauxscelle- cai
reetd'
argil
e(seul
ement10ood'argi
le)cui
ts,
'
jhatl
tetempérature.
ments et aux rebouchages La chaux estun liantquiprésente moins de résistance que Ie ciment:
(3 vol
umes de cimentpeur ell
edoitêtreréservéeauxconstructionssujetesàpeud'
efforls.
1 volume d'eau),aux join- Les mortiers préparésuniquementavec de ga chaux,dits (tmortiers de
toiements de carreiages,ou chaux)),sontd'tln emploipltls facile :plussouples,ilsdurcissentpit?s len-
bafboti
ne (1 volume de ci- tement,mais attention une fois secs,ils ne sontpas Imperméables.
mentpour1/2volumed' eau),
à la préparation de modiers
(1 vol
ume de ci
ment pour
2 à 3 volumes de sable se-
Ion Iesdestinationset1/3 de
vol
umed'eau).

Dépose Lz'
ey'a tmrbofi
ne e/$pfntoementJe
carrelage.
.ky* .
f'''
L.
. 'j.
x.( r . %'
''
, .s .kx'
>'4
.
.'
,
w
eq/'.
,'
..
-
.
tak
-&
< .
ï'. ..lpv '1.'
Y -
'
jae>u
s j.uj T % .
'F t 'r
,- ..
.
Iz . . .
t z

UTILISATIONS
En maçonnerie,on utilise de la chaux hydraulsque,quifutcommerciali-
séepourI
apremlerefoisen1853.etsurt
outI
achauxgrasse (chauxvi
ve
éteinte parhydratatlonen usine ;attention :Iachauxvsve.dangereuse.ne
doitpas étreemployée).Aprèshydratati
on.Iachauy grasse (ou 4
:chaux
blutée,h,4'hydrate de chaux),ou encore,techniquement,<zCAEB 'àpour j.aT
1.
C
-
'
,fk
Q-;!ï
l /)
-.llK--2 1II/
;II- ,
r
:llk-'
'1ku-,5-
- &-
) '1
NS4 7êJT
'd..., Ik,',1l
1
'
!1ur
- 1
11.>
. Q----q' f.
k .
ChauxAérienne iteinte pourl
e Bàtiment)estrédui
te à I'
étatde poudre
Sous Iequelelle estcommercialisée SzxB l.. -12 .JE T
Cetle chaux estsurtoutIntéressante pourla réalisation des enduits car
elle estimperméable tlI'eau de plule touten IaissantIa maçonnerie respi- (-IR A 3.TIl,I-. O N FS
.?
rer.Son imperméabilité peulêtre renforcée parI'incorporation d'une résine
d'accrochage à l'eau au momentdugàchage.En outre.la chaux présente
peu de retraitau séchage et,pourcette raison,ne se fissure pas.Le sable
incorporé à la chaux Iuidonne un aspectcoloré etlégèrementgranuleux
qu,donne à l'enduituncaractère rustique trèsesthétique. Leci
mentetIachauxnesontuti
lisabl
esseuls(
diluésdansdel'
eau)
Pourobtenjrun modier facile à travailler et présentantde plus une que pourdes utilisations bienspécifiques etsurde faiblesépaisseurs.
bonne résistance.on procède souvent, 'jun mélangede chauxetde ciment Le plus souvent,ilfaut Ieurassocierdu sable etpadois du gravier,et
dans des proportlons variables selon Ia destination du Iiant.NImortierde même des cailloux pourdonneraux matériaux de construction une
ciment.nimortierde chaux,mais un peu des deux,le résultatestappelé I
iaison plussol
ide.11s'
agi
tde ceque I
'onappel legranul
ats(ou agré-
ï(mortierbàtard>'. gats),desmatériauxqui,agglomérés parIe cimentet/ou Ia chaux,
vontformerIes mortiers etIes bétons.
Le choix du granulatn'estpas du toutsecondaire.11doitêtre par-
NORMES ET CONDITIONNEMENT faitementrésistant au gel,à l'humidité1à l'abrasion.Vous aurez par
La chaux estdlsponible en sacsde 50 kg Ie plussouvent.Vouslrouve- conséquentintérêtà vousprocurerles granulats auprès d'entreprises
rezcependantdesconditi
onnementscontenantunequanti
té (4kg)adap- spécialisées.Ces matériaux doiventêtreeneffetcalibrésprécisément:
tée pourles petits travaux.Chaque sac pone des indicatioqs renvoyanttl Ieurgranulométrie estmesurée avantIeurcom mercialisationTce qui
une normalisation précise.Ces lnformationsportentaussibien surles qua- permetde Ies classerselon Iesdidérentes utilisations.
lités du produitque sur Ia référence à Ia norme établie par I'AFNOR. Pour toutes ces conditions,ilest préférable de s'adresserà des
Cholsissez tes sacs présentantcette mention. spécialistes plutôtque de ram assern'impode quoi.

Note LE SA BLE
N6 AvistechniquesetDTU
LesJltl/
zr/
esfrarnal
tes1/
V/L
)sontcl
asséesen troi
scatégonès:expikp
k 11ne fautpasutllisern'importe quelsabie.etsurtoutpas de sabje d'ori-
menla/es,enregistrées elhomologLiées.Un ce/-laph nombre d'entre elles gine argileuse.dontla composition chimique attaqueraitIe ciment.
so/
n!oblù3tares.celestral
tantenpart/
ct
plèrdeproduit
soud'
apparet
ll
age On peututiliserdu sable de rivière etdu sable de carrjère.parfaitement
dontia miseerpp/àcepeutëlce source de dangers. propres etdébarrassés de limon,de vase etde scories de toutes sorles.
LesDTO (Docunîents techrl
iquestk
rpl
/és)sontdestextescéd/pispar Pourvous rendre compte de l'étatde propreté du sable avantde I'utiliser.
descclr
prr/l
sszr?
sde spéaà/sles,surdesprcdtptsetdesst éel
st raitant frottez-leentre vosdoigts.S'ilylaisse destraces,iIfautIe Iaver:c'estI'une
desöornaînes lracllrnne/s du bâtiment.zqprèsleuréîaboration,ces(A ct/- desconditionsessentiellespousobtenirensuite un béton ou un mor-tierho-
merîtssontptzt
n/és dal,
s/es Cahiers dt
p CSTB (Centre Soentit
ique et mogène etdonc solide.
Tec/
lf?/t
weduébl rr
pent. Généralementle sable commercialisé esttoulours un peu humide.Cer-
Le Chalnp otkk'erler?lce I'Invention d'un produitetsa normalisation est tains fabricants proposentcependantdu sable sec en petitconditionne-
cclt/k'ertpart/r?.tavs rec/lrljcpe>érrarlar?ld'une commlYsion de contr6le. ment(1,
5 kg).maîsquin'estpasdestiné àIaf
abri
cati
ondumodieroudu
L'iaws de cette comrrlpàs/c)rpestpriser?compte parIesAssurances. béton.
.
,
-$-.
o
yyjgjj,....434. .,y.'.' ; i<F
.
'
.
,jt
yj!
,+
;y
(
,
j;..
yjj.yyy. .,j
.
z' gyy.j
ys . ,.

% ,
.-r..
.
. .
,. ,v w
?
- .. '
aN
s '
z.
i.
'
'4.. -..i) d<
;:...>
..
o
''%
.
'- T' '
' fe''Y. Q'& '
'
*.' Y
x
s
k
,,.-!:,.
:-.
-... ...- . -,
. , .,
. 1:,
-.k...vt.
.- ,, . ...,: (
t.':.:l. i y.....
h

HUMIDITE' ET FOISONNEM ENT DU SABLE


Soyez attentifau degré d'humidité du sabie carcela peutavoirdes
conséquence sur Ies propodions,Entreposez le sable sous abri,surun x'
e'.
U.'
'.u
'.'
plastique ou une plaque de tôle,en attendantde l'utiliser. Le sable se .
.'
X'''
.
chargetoujoursd'
unpeud'humidi
téausi
mplecontactdel'
air.cequiapour
effetd'enaugmenterIe volume,Ce phénomène estappelé xrfoisonnement'h.
Le foisonnementcourantdu sable estde I'Ordre de 20 %:c'est-à-dire
quei'humiditéen augmente Ie volumed'uncinquième.11fauten tenircompte
au momentdu mélange aveclecimentetIesgraviersquand onfabrlquedu
j-,F.
=u
$ Tj
...
;v(-
.
R1
'.1
.-N
.71
-()t7.
'
L-.
'S-
béton(avecducimentseulquandonpréparedumorti
er).
nF R
llik
.. ...
,.d;''.lA
''.!j
.bi...6; I;....,
a..%
. .J11k
k .
:.-
y :'
....jh'1 71.7
..1 ....
3'

'm
k.c-.
g.u
fo
-gyà.
Ak'
.1L
ix.
t.o N.
3
Gâcherdu plâtre ou du morlier,préparer etcoffrerIe béton,mon-
terun m urde briques faitappelà quelques techniques de base dont
Lesgravillonsentrentdans la composition du béton,en plus du ciment la maîtrise vous permettra d'envisagerensuite des réalisations plus
etdusabl
e(etdeI
'eaubienentendu),l
IsIuidonnentsaconsi
stance.saso- complexes.
Iidité etsa résistance.Compacité etsolidité du béton varientselon Ia gra- h premi
èrevue,ri
en de plusfacil
e que de gâcherdu pl
âtre ou du
nulomélrie du gravier que l'on classe sous trois catégories :grosse, mortier;ilsuffitde mélangerIe matériau,quise présente en poudre,
moyenne etpetite.PourIes bétonscouranls,Ie grosgraviersuffit. à de I'eau.Mais un gâchage malfait donne des mortiers qui,en sé-
Onutilisedu gravillon de carrière Oude rivière,blanc,marron Ou gris,de chant,se fendillentetse craquèlent;des plâtres quiadhèrentmal,
3tt5 mm.Outre sOn emploidans Ie béton.ilpeutservirà rendre ulns(7lanli- s'écaillentou s'effritent.
défapant:pourcela,On l'intègre à la cou-
che supérieure desdalles,avantséchage, Remarque '

parpr
ojecti
on. sesco/orants
Le gravierutilisé pourla fabrication du //eslposslble Je coIO-
bétondoitètre correctementIavé,pourêtre rer LlanS Ia rnasse, le.%ci-
débarrassé de la gangue argiieuse.Ces ments, tlélclfls, endutt .s, $.
impuretés nuiraientà l'homogénéité du bé- fâtres; etc,ce quipeut f'k.
V..
ton.La particularité du béton que réalise vous pvj ter certajr?s tra-
l'amateurestde présenterune granulomé- vaux de petbture. Lesco- %è
'
l,
'. . z/
trie tçdiscontinue ').c'est-à-dire qu'iicom- loraots se présententsous , zt. Q6
portedesagrégatstrèsfins(sable)etd'au- Ia j(?rrf;edepoudres (/u'j
/ f ;
tresplusgrosetdedi fférenlscal
i
bres(gra- jatt i vcorporer aox ?
'
r?é-
viers),Cette vari
ation entre I
es di
ff
érents Ianges. O?7peutaj/-ls/co- t . ''/
M î!
1
granulatsne se retrouve pas dans les bé- Iorer sa/ps peine leS en- .% N ' k ç
tonsfabriqués industriellement,à granulo- duits de façade ou (#,lhté- A. v
.
N
- -.
métriecontinue,plusrésistants '
,maisle bé- rieul Jes dalle.% Je 'erras'-
ton à granulométrie discontinue offre une se, /es so/s de garages,
résistance suftisante. elc.
tp
....
. !
'!
.
Jr
.I v'.'
--.
:....''** >..
T
. ..M

..'C
J-OSp'T1I?C/JM LW OUIII
'S&&I77a.L?0I?.

- -

M
L'EAU
C'estI'eau quiprovoque la prise du produit.L'auge danslaqueile le mor-
tierestpréparé ne doitpas I'absofbersous peine de voirIes propodions
modifiées.C'estpourquolilfaututiliserune auge en plastique.
11faututlliserde I'eau propre etfroide,carIa chaleuraccélère la prise
desitants.L'eaudu robsnetconvient
CIMENT OU CHAUX :LE CHOIX DU LIANT
-
Les modiers de cimenlsonttrès résistants mais i1s manquentde
LES BONNES PROPORTIONS Remarquv --
plastlclté etsont.pourcette raison,difficiles à mettre en ceuvre :eq sé- Onparleradepropodlons,c' est-à-dire I Mortiercoloré
chant,IIsdeviennentimperméables mais ils se fissurentassezfacilement. durapportentre1 esvolumesdesdl ff
érents I PourleS CréDISfpr/e-
lispeuventêtre utllisés potlr1es sceliements. composants.cari ln'estpassimpledepe- 1tésc
'
l/
at/rol
i
enlle)outl
er
'
-
- Lesmortiers de chaux se caraclérisentaucontraire parIeurgrande ser! esprodui tssurunchanti er. Itai
! nsjol
ntoi
ements Jéco-
plasticité ,lIssontgras.onctueuxetfaciiesà metlre enœ uvre.En séchant, Ledosagedesi ngrédientsent rantdans 1ratt
fs.'
zot
?s, oourrezc/p(?/
s/
r
IIs restentpermeablestlp'eau etsontassez friables.Les mortiers dechaux Iacomposi ti
ondumorti erdépenddeI' uti
li
- Idecolorer/ i?mortje:poj w
z
étaientautrefois Ies seuls à ètre utllisésdans la construction.IIs convien-
sationprévuepourcederni er, doncdela l
ice/a,ilrat/rtimoworerl e
réslstance exlgée
nentbien'' kI'assemblagede brlquespourles murelsOuIespetitsOuvrages. portebeaucoupdeUsnamo
.
blert:
s
e9
r
1e
gs
ro
tsmo
st
el
rnc mé- icol
sor -préor
antau momentde le
paratondumorf/br(la
- Les modlers bàtards sonlfaits à base de ciment etde chaux.IIs
conluguentIesqualltés desdeuxIiants :plasticité etrésistance.IIsIaissent
sistantqu'
unmorti
erfabrlquéavecunepro- IdoseJéper?ddel' i
ntens/té
podi
ondeci
mentpl
usi
mpodante. iJel
ateint
edés/rtje).Pour
respirer la maçonnerse.Ce sont Ies plus utilisés pour I'assemblage des Le foisonnemen!du sable ou le tasse- IObtelltr deS Couleurs
briques ou desmoellons. ment du ciment. I
atmosphérique,
'
i uence deI'humi
nfg dité 1lfdraencsheesser
,i
lestpréfératl/e
kfr de ciment
QUEL SABLE l
aquali
tédeS
'
eausontau- Itl
anc
tant de facteurs quipeuvent modifier les 1 .

EMPLOYER ? volumes etIa qualité du mortier.AussiIes


Entrant dans Ia fabrica- proportions indiquées ne sont-elles qu'ap-
tion du mol-tier.le sable Iui proximatives.
Pourdoserleplus correctementpossible.utilisez le même récipsentpour
donne sa consistance. On Iesdifïérentscomposants.Servez-vousparexempled'un seau oud'un pot
doltutiliserunsablefin(plus de yaoud selon Ies quantités de produits que vous devez fabrlquer.Cer-
ilestfin etplus ilfaudra de
csment)etpal
-
fai
tementpro- tai
nstabri
cantsproposentunsac-doseurbi
enprati
que(Sb Merci
er),
pre,sans trace de boue ou On pourra retenirIesdosages suivants :
de terre. Sivous avez des
doules sur Ia propreté du Pour10 kg de ciment/chaux
sable,tlfautcommencerpar TRAVAUX 1 VOLUMEDESABLE(enlitres)
Ie laver a grar
nde eau Les M - .y- -j
sables les plus employés urnoniorteur(brlques,pierresoupar-.
4 20à25
sontIessablesdecarrière et paings).
de rivlère. Murporteur(bfi
quesouparpaings) 15à20
Brlquescreuses, 30
Nofe
L.esatn/ede (nera'atètre p/-o/lbé ttcause Je .
'
- sasalh/lè(saufs'?est/ofpgt-larlenllavéé)I'eat.lJot/ce).
-
sal
ir
?esse( gra/
nstropf/hs).

'

* . -..
Remarque ' Les quantités de sabte peuventêtre un Quand on en a peua pre-
1 sesmortiersprêts-à- peu plus importantes pourIes endults car parer(pourIes scellements
. âcher IIsn'ontpas besoin de présenter1esquali- (7tlIespetltstravauxderépa-
1J' tés de résistance mécanique exigées pour ratloo).Ie modserestgàché
IIs yous éviterontd'er- un mortierqu1solidarise des matériaux de
fectLier/esmélanges k'otps- dans une auge en rnatlère
1 construction ',Ia couche d'accrochage de pjastlque blen propre pour
. mér pe ce quiestétlrlap-
l
'enduit(gobeti
s)doi
têtre néanmoi
ns as- evlterquaucunelrnparete qe
1préciable.rnérr?es?ce/ a
.rfloalrp/s's che: Uotys ne
! sez fortementdosée en cimentpourbien vieflne se mèlerttla pàte
1ferezpas(:/'erreurJe o' o- adhérerau support. S'iiestnécessaire de gà-
1sag'e etvous aurez ,a ga- PourIeschapes.on a besoin d'un mor- cher plusieurs sacs de ci-
i tied'otteniron ton oo- tlertrès résistant.donc d'un produltforte- menten même temps.ilfaut
1ran mentdoséenliant(génératement10kgde te falresurte solen illterpo-
!vrage.,4 conselller Jtlr?c santune feudlle en matière
1pour/
esper/
resquantités cimentpour10li
tresdesable).
1e?auxdtbotant
s. phastIque assez epa1sse (ce
qukévIte de saI!rIes sc)is ci-
mentés ou la petouse etce
qulpréserve 1es produllsen-
LELIEU DEGM HAGE trantdanslemort
ier).Vetlez
tlce qu'aucuq brin d'herbe
ou parcelle de terre ne vlenne
soulller le mélange (1lfaut
toutefois ic1faire exceptlon
etciter'parexempie tesrnal-
solls eq bauge normandes.
dontOr '7procède à Ia rénova-
..t.
' y'1
. .
:2
;.. tiondesfaçadesavec unerr-
y duitfaltde chaux,de terle et
de fibres végétales tels que
Iesjoncs(
)uI
apal
ile).
11existe ausslde grallds
bacs plats en matlère plas-
tjque.trèspratiques.qulper-
mettentde gâcherde gran-
desquantités.
D'une manière genérale.
A e' .
.u
le Iieude gachàge doltse st-
tuer près du chantler peur
- ( , que Ie mortier solt rnis er)
=+t%
#' fl œ uvre rapidement.

< > se
#
f't .
.U J .W *''
j . x.w#
'r. ..
u!
*
V 6<''
.1..
'
yQ.u.
.
..w.
*
.' SC..N +x.x
m
F.u > x==x
a
j.
' jx'.
5
.
jx
F,
.u$ .. . .....,
.
j.
, .
..
j 7
-
s
,
ae s yw

LA TECHNIQUE DE Le modier doilètre onc-


GA-CHAGE tueux etnon grumeieux ' ,il
doitaussitenirsurla truelle
Versezsurl'
air
e (oudans penchée sanscouler.Le do-
I'auge)lesable etIeciment sage en eau estsurtoutune
toulachaux).Mélangezavec question de coup d'œil,Vous
une pelie ou d'une truelIe commencerezparincorporer
(pourIes peti
tes quanti
tés). moinsd'eau que nécessaire,
Pourque Ie modiersoitho- pouren ajouterau furetà
mogène, 1es deux compo- mesufejusqu'àobtenirI'
onc-
sants dopventètre parfaite- tuosité voulue.11est partoss
mentr
'nélangès.Remuez Ion- souhaitable de surdoser Ie
guement. Ménagez ensuite mélange en eau,parexem-
uncratére au centre dutas. pIe pourIa couchede finition
Versez l'eau de gàchage des solsclmentésou pourIe
dansIe cratère.surla poudre joi
ntoiementde dalesou de
Rejetez peu L
ipeu le mé- carreaux de sol.Un mortier
lange de sable etde ciment surdosé en eau présente un
dans 1'eau avec la peI1e. fortretraitau séchage.alors
Lorsque loute i'eau est re- qu'un mortiersous-dosé ris-
couverle. malaxez Iongue- que de s'effriter.
menlavec ia pelle,en ha- Selon le type de liantuti-
chantde Ia trarlche de I'outil lisé,Ie temps d'ouvedure est
pourque l'eau pénètre bien. variable. Pour ne pas avoir
Trop d eau rend le morlper de mauvaises surprises,con-
poreux ',pas assez.insupl- sidérez que vous disposez
sammentcompact.Uobj
ecti
f d'unedemi-heure après Ie gâ-
estd'obtenir une pite oqc- chagepourIa mlse en œuvre.
tueuse. 11sse et qu1t$enne
d'eIle-même sur la truefIe. Pourgàcherde grandes
Vous pourrezalouterun peu quantités de modier ou de
d'eau en cours d'utilisation béton. vous aurez besoin
l .. d'une bétonnière. qu'i! est
pourconserversa consistan-
ce au r'néiange.âtcondition plus économlque de Iouer
'. cu1'.,. saufsiI'on a de grostravaux
que la prise ne soltpas com- k. * .. .- i.
>#' . . t7#'z.K.. ' à entreprendre et cela sur
mencée. <..vp>.
u .t% * à. u'
.
. . ..# ..' w
.w w.
une longue période.
..
%'

G . .'..y.. . <.
.
Q' '#
>;
.!
, . .M

2
'
Enpl
usdumaléri
eldéjàmenti
onné,untami
sttmailesfi
nesvousper- LE GA
-CHAGE A' LA
mettra de passerIe sable etIe ciment,etun seau calibré de doser1es pro- BETONNIERE
porlions.Prévoyez aussiune taloche surlaquelle vous poserez une petite ''
.. ''

quantité de mortierde réserve que vous aurezà portée de main. S'il est possible de gà-
cherle béton à Ia main,sur
. ' e . ' unefeuilleenplastlque ou sur
un bac à maçonnercomme
vw7 '. W '.7+.
w''1- pourle modier,le gàchage
FABR!C)'
UER LE BFTO N . A%
. W'>&tn,L'mw.
P.r*%'. ' mécanique procure un meii-
- < u'
*.
Ieur mélange des compo-
Lebétonestunmorti
erdeci
mentauquelon a ajoutédusabl
e etdes < santsetrend Ie travailmoins
gravillonsdontIa section estcomprise entre 6,3 et25 mm selon Ia norme. fastidieux. 11se pratique à
Onpeutrenforcé le bétonen yincorporantdesfers.On l'appelle alors (<bé- r. I'aide de bétonnières électri-
'
ton armé'>,Lesbétonsutilisésdans Ie bâtimentse caractérisentparIa pré. j ques ou à moteurthermtque
senced'agrégatsdetoutes grosseurs,alorsque Ie béton préparé artisana- Mettez/'
eat/kM,an-
%'/act/
'k'e Dépl
acez lamachine(elie
Iementempioie des graviers calibrés d'une seule grosseur,etdu sable. estmontéestlrroues)leplus
IJexistedestypesdebétontrèsdifférentsselonIecimentutilisé.latech- près possible du chantier
nique de gàchage,ie dosage etIa mise en œ uvre. pour éviter le transpod du
béton.Avantutilisatlon,véri-
LEs COMPOSANTS DU BE'TON fiez qtle la cuve estpropre.
VersezdansIacuvel'eau.
- Les agrégats.Les détaillants proposentdes graviers calibrés qui le sable,le cimentetIesgra-
convi
ennentparfaitement.évi
tez d'
empl
oyern'
import
e quelsgravi
ersqui vlersdanslespropodionsqé-
peuventêtre malpropres ou ne pasprésenterune résistance supisante. cessapres.Inclinezensuite ta
- Le ciment.Le béton doit présenter une bonne résistance méca- cuve à l'horizontale eq ma-
nique '
,c'
estpourquoion util
ise l
eplussouventIescimentsCPA(Por
ll
and nœuvrantIe Ievier,etfaites-
anifi
ci
els)declasse250ou325. ia tourner.Le temps de ma-
- L'eau.Le volume nécessaire dépend laxage est assez courl : il
Remarque de l'humiditédu sable,maisaussides qua- faut compter environ deux
Béton toutprêt Iités recherchées pourIe béton. Essayez outroisminutes pourObtenir
11estintéressantde se d'obtenirun mélange assez onctueux,qui une homogénéité satisfai-
faire Iivrerdkectementdu necomporlepasdegrumeaux(signed'une sante. Un temps de mala-
tlértlrlpréparé/'r?J&st#e//e- excessi
ve sécheresse).Un excès d'
eau xage trop long a pourincon-
mentpar une entreprise rend parailleurs Ie béton difficile à mettre vénientde séparerIes agré-
e?n bâtimentquand on a enœ uvre.Si,aprèsle malaxage,vous es- gats (sousl'
effetdeIaforce
à Construlre une grarlde timez que votre béton est trop sec,vous centri
fuge).Pourverser l e
Jd//e bétonnée ou d'ir' n- pouvezaj
outerunpeud'eau,mai
saj
outez béton frais dans le seau ou
portarltes éondal/bns. Or) alorsquelquespoignéesde cimentpourne dans Ia brouette,ilsuffitde
pevt ainsid/sm ser d'un pas compromettre la résistance du maté- basculerIa cuve à l'aide du
béton de qt/alté dontles riau. volant.
caraclér/' sl/qtkes corres-
pogder?lexactemertt aux
besoins.11fautalorspréci-
serl'heure exacte de Ia Ii-
vralsoo, el tout préko//'
pourûlre prètpourIa crlàe
e(1œ uvre.

- -

0 *
F.
uf'. . . '* .@
(.

. . . .. .* > -> 'N -5 ''r -!' : j


' >* - '--. 1-.
. at.
-.
v'.*.
@' . ..4' ' ..z. . '. K.-
r.
' lik #- . .'.-,r,'- w -.
' '
.
flih
Y '/ k '
t - =. . -

- :

Remarque Nofe Les coffragespourbéton doiventêtre étarlches etrigldes,condltion de


Béton blanc la planéité des surfaces de i'ouvrage.IIs sontréallsés essentlellementen
Qu'
est-ceqt
z'
tzrladjuvant? bois.On utilise généralementdespranchesde pin solides etrabotées sur
# s'ap/l d'on prtldtp'lque /'0/) rcor.. 1/s'ag/fdebéton priipa- le côté tourné vers I'intérieurdu moule.On peutégalementse servirde
pore atJbétolîau J'pclry?ef?l(ju ptjcöage, ré avec du c/hr/er?/blanc.
6)ttltï?/t//L1()lîl)(?(k(::lclLiqàlitLîLqJgiirt/tzt//J'
()J'(?:l. OnJ'utllise Jansun but(%- contreplaqué spéct
alcoff
rage (quali
téCTB-X)quidcnne detrès bonsré-
1l'tgzpsle a1,r)fL'cfes retardateurs de pr/se, coratiq parexemplepour sul
tats(elquilalsseunesurfaceparfaitementl
isseaubétonsec).
qtlfpermettentde cfsposerQ'1'un temps te cow/age de Ja//es Je Les coffragesdoivenlêtre solides.On 1es assemble parclouage eton
lderp/
seenanwkgepk/sl
' o,
''
îg'cïesantlçels. prdl
n.//convlentalorsde I
esrenforceavecdesétai
setdesserre-j
oints(I
ebét
onestI
ourdetpeutfa-
j cilementpllerune planche trop mince).Les clousdu coprage sontenfon-
Ides at
:'
t
:
lt
j/
t
lré?retprs de pri
se'des ac- chotàirdes agrègals J'une
1ceèrateurs de Jtzrcysserp7erkl,a'es p/asl/-
i telhteadaplée. céssimplementijdemlafindefacillterledéclouage.Vériflezque lesangles
5h.ants.qt//L'lolènel'tp/t-?s de stll/p/essi?au du coffrage sonlparfaitementà 1'équerre etque 1es planches sontrigou-
,7?arerh'
. JtJ,elc. reusefnentj
ointl
vespourévi
terl
escouluresduproduitparl
esIntersti
ces.
L'knstallationd'uncoffrageetson jmmobilisation durantletempsde prise
etde séchage du bétc)q rendentnécessaire l'emploide chevilletles etde
serre-joi
nt
sJemaçon Cesi
nstruments.entt
èrementmétall
i
quesdol
vent,pour
tenir.étre planlés dansia maçonnerie à I'alde d'une massette.
Enfln,I'emploid'une hulle de Jécoffrage estindispensable Erle doitêtre
appllquéesurIesfacesIrltérieuresducoffrageen unfiim égaletcontinu.Elle
autorise Iedémontage ducoffragequand le bélon sera sec
La maîtrtse du coffrage vous donnera Ia possibilité de réaliserde nom-
breux ouvrages dtfférents.La réalisation de daltes,de Ilnteaux.de piliers, LE COULAGE
de marches.etc.Implique erleffetIa constructionde coffrage.Le principe
en estsimple puisqu'llne s'agltque d'exécuterun moule dans lequelle biz- CouleztoutIe bétonenuneseulefol
s ($1vautmi
euxenavoi
rplusque
lon es1couté On démoute après séchage.Certainscoffragessontcepen- pasassez).Frappezsurlespl
anchesducoffrageàcoupsde massetteou
danttresdifficllesà réaliseretdemandentdetenircompte de Ia résistance de mailletpour(<vibrerAhle béton afin qu'ilpénètre bien tcus1esangles du
des matériaux. coffrageelqu'ilnesubsistepasdepochesd'
air.CoulezI
ebétc;njusqu'àce
que le coffrage soitplepn,puls égallsez avec une règle de maçon,en dé-
LES COFFRAGES plaçanlcette dernière surleschanls supérieurs du coflrage.
tIexiste autantdecollragesqtle deformes particulièresauxotlvragesde
maçorpnerle
LE DE'COFFRAGE Exemplede décoffrage d'un linteau
deportedegarage
Le temps de séchage
avant Ie décoffrage est gé-
néralementde 48 heures:ie
béton estalors solidifié,mé-
me s'ilq'estpas tout à fait
sec.Sile soleilest violent,
vousdevezprotégervos ou-
vrages en béton d'une bâche - A
v' % - .
pour empêcher une évapo- l
ration raptde de l'eau de gâ- e* / mz '''-
''=* '
'
chage.ce quientraîneraitun éi7??,
IL?kzï?zirL)''é7/)()J'
(a-@iç/6)t2L?.r1'
(32.y(1f/7!1n
-
affaiblissement et des cra-
quèlements. vlk-
Q'
er$zez-'.zco'sdtp'o. 'eo'.-V'ep
' b/zw-/sey'lcur .LiecolieîJ'es
rl/Ji
.1)cl/'
7é?E).

F/l/etzezIep/'epzpercôte.
' j.' ' t
'' ) jj
. r
- .
g 1 ' .
:j,
j . i.+ >s . ut?sT E C H NYI U E S
.j.
, ...
r
:..' .
.

!-: . .
2.
.-
.
' ae s a s E
z

LE BéTON ARMé
SC ELLEM ENTS AU M O RTIER
Le béton est très résis- ' .' <.
'
tant.à telpotntquilrempla- .
ce souventIa plerre.Mais il Pourdes petitstravaux.vousvousservirez de cimentPrompt.11permet
a Parfois besoln d'ètre ren- ''. de réparerunedall
e,de colmaterune voied'
eau,de réparerI
ajoncti
on
forcé. surtout s'Il dcllt être -'- '
' entre deuxcanalisations,de fixerune pattede suspension,etc..Saupoudré
soumls à des efforts lmpor- . ' '. . - . surIe modier.ilpermetaussid'en accélérerla prkse.11esttrès utile aussi
tants.Onutillse pourceiades - j pourpositionnerdes poteaux dans teurs trous de scellementavantrem-
fers darmatur,e spéciaax. .. ç '
- ': *
piissage de cesderniers au béton.
Les fers d armature sont * Nettoyezetmoulllez Ie supportavantla mise en ceuvre de ce mortierde
enrobés pour rester lnsen- scell
emeqtdontI apriseestextrêmementrapi de(entre2et4minutesentre
sibtes à la roulile.ce quIaurattpourconséquence Iaformation de tachesà IedébutetIatiodeIaprlse),Or1peutI'
util
iserenpâtepure(3volumespour
Ia surface dubèton etdes risques d'éclatement. unvolumed' eau),enmortier(2volumesdeci ment.undesable.3/4dev0-
Lesfers,iissesoutréfll és(de3 a40mm dediamètre).sontt ordusse- Iumed'eau).c)uerlbéton(4volumesdeciment.3degraviers.2desable
lonlaformedeI' ouvrageetIi ésentreeuxpafdesfil
sdeterspéci aux(Ii
ga- et1volume 1/4d' eau).
tures).II
sdolventi'itredisposésà3cm aumoi nsdelasurfacefinieetsont
mai ntenusdistantsdufondducoffrageavecdescal esdeboi s(quisonten-
levéesaumomentducoul age)oudesbondinsdebéton.
Pour étre totalemer)t efficaces. ces fers doiventêtre formés selon Ia
pièce ttmourer.On doitemployerpourcela une griffe à plier,etquelques LES SOLS EN BETON
goujonsreti
ennentl
eferpendantsonpli
age.PourunIinteauouunpili
er
parexemple,quatre fers sontréunis pardesfers pliésen carrés pourfor- 11suffitle plus souventde rénoverou d'adapterle plancherexistantau
merune sorte de pafrallélépipède en volume.Pourune dalle,on se con- revêtementqu'llestappelé à recevoir.C'estalnsique I'on doitparexemple
tente de fabrsquerune sode de grille à I'aide de ferscroisés etréunis par modifierla surfaced'un planchersiI'on veuttransformerIapkèce encuisine
desIlgatures ouensallede bainscomme ilarrive fréquemmentlorsde Ia rénovationdes
anciennes demeures. Pourtant,i!estparfois tndispensable de cféerun
nouveau plancheren béton.Dansce cas,i!fauts'assureraupréalable que
Ies structures porteusesde la malson peuventsupporlerIe supplémentde
charge.Le béton employé dans la fabrication de Ia dalle représente en ef-
fetun poidsimporlant.Paraiileurs.le nouveau plancherprenantappuisur
les murs.ilfautausslvérifierla solddlté de cesderniers.
LES ZONES SUR LESQUELLES PORTER SON EXAMEN
- La naturedes murs,quidoiventêtre capablesde suppoderlacharge
suppl
émentai
re,d'
autantqu'àI
adall
edebétonpeutveni
rs'
ajout
eruncar-
relage :tous Ies matériaux ne présententpas la mème résistance.
- L'étatdes murs,dontla maçonnerie a pu ètre fragilisée avec Ie
temps.parexemple parI'humldité quipeutêtre à l'origlne de fissures. Gé-
néralemen!peu Importantes,ces dernières risquentde s'aggraversli'ori-
ginedumaIn'
estpastrai
tée(i
nfil
trati
ons,mauvai
sdrai
nageen sous-sol,
etc,).
Prenez conseslauprès de spécialistes pourdécelerles causes de tels
problèmes etfaites-les éventueslementinlervenirpourles résoudre.avant
decommencervostravaux.11k'autmieuxperdreunpeudetemps(etd' ar-
gent)au pointdedépar'tmalstravailterensuite dansde bonoescondi-
tions.
# . '
. A#.

k. xr
Y. q'
u >x 4 'Y
! .
3ï:* ''A' >'. - .- .xa..
..- w-..
=.nrw .v...wzsu..wwcaa xvx v<.e- m.-
'ï'' .
-. .'1
1j+..'A .*
- - x.a.. .'.u'fu.'''
vh.x a' .,+
' zw . , .-.Jk.z,
.- . '4 #'''.-u-
. <.'.
&.
'=
*'
w.
''.
x..
. ' - urxx-v--
-'
! . z & z
='
:2:jx.
m- .:.
w
,
w .
k.. u
., '. j. ,

DIFFE'RENTS TYPES DE SOLS EN BEATON DALLE SUR VIDE SANITAIRE


Unedalle enbétondoitformerunsoIdebonne qualité surtoutsielle doit Une daile survide sanitaire présente de nombreuxavantages :elle re-
servjfde supportà dtlcarre/age ou du dallage en pierre.Son exécutjon pose surIesmursde fondationsavec Iesquelselle présente une bonne Iiai-
exige beaucoup de soin,mass lesconditionsde sa réalisation sontégale- son telle ne souffre pas d'uncontactdirectavec la terre.ce quicontribue
menttrèsimportantes,etsontdifférentesselon qu'ils'agitde coulerla dalle àIa préserverdesremontéesd'humidité ' ,entin,ellegarde Iescanalisatioqs
suruntefre-plein,survide sanitaire ou en étage. d'évacuation visitables,cequipeuts'avérertrès utile.
La dalle repose icisur les mêmes fondations que tes murs porteurs.
DALLE SUR TERRE-PLEIN C'estune solution quiestplus difficile à mettre en œuvre,carelie rend ie
1estpossi
bl
e deréal
iserunedall
e surterre-pl
ein (surunsoIenterre coftrageetIeferrailagedeI adall
eindispensables(contrai
rementàl
'exem-
battue.comme Iorsqu'on entreprend la rénovationd'une maison à Ia cam- pIeprécédent).Mai slàn'estpaslaprincipal
ediffi
cui
té.
pagne,oudansIejardin,quandonpasseà Iaconstructi
ond'uneterrasse Uqe dalle de bélon armé d'1 mssUr 15 cm d'épaisseurrepréselnte un
oud'uneall
ée),à condi
ti
onqueIa natureduterrainIepermete ouqu'ell
e poids de près de 400 kg,sans compterla charge que Ia dalle sera elle-
soitcorrigée quand une telle intervention reste réaliste.Les matériaux de mêmeappel
éeàsupporter(revêtement).Pourquecele-cinesubl
ssepas
maçonnerie étantporeux,iIs ne peuventconstituerune barrière salisfai- de déformations,un certain nombre de règles sontà respecter.Voicites
santeà I'humidlté.lls Ieurfautdes auxiliaires, principales :
établi
run solsurun terre-pl
ein n'estpossi
bleque siI
e terrai
n estde - I'épaisseurde la dalle doitétre proportionnelle à sa porlée,celie-ci
bonnequalité etbiendrainé,Sinon,1es remontéescapillaires risquent,à Ia se mesurantdepuis la face intérieure d'un mut'd'appuià Ia face corres-
longue,dedétériorervotre ouvrage sivous n'avezpas pris la précautionde pondantede I'autre mur.Parexemple.pourune portéede3 m,Ia dalle aura
remédierau mieux à ce handicap. 12cm d'épaisseurmaximum ' ,pour4 m.14 cm,etc.11estévidentquel'avis
Pourévitertoutrisque,ilestnécessairederéaliserunhérisson(couche d'un professionnejestindispensable.
decaill
asses)de20cm d'épai sseur,danslequelserontéventuelementin- - Ia dalle doitêtre ancréedans les murs,à des pfofondeurs val'iables
corporéesIescanallsationsde plomberie siIe solestà l'intérieur. selonlanaturede lamaçonnerie.Cescaiculsse compliquentdèsqu'ils'agit
Pourcombattre Ies remontées d'humidité on peut avoir recours,en d'
impl
anterune cheminée(etuncondui
tdefuméecorrespondant)quire-
complément,à une feuille de polyéthylène étalée surtoute Ia surface du présentera une charge ponctueile supplémentaire.
soi,avantde coulerIa dalle.Pourque ce système soitparfattementOpé- Cespointséclaircis,Ia mise enœ uvresera plussimple,mémesiellefait
rant,faites remonter Ie polyéthylène de quelques centlmètres contre Ies intervenirla construction d'un coffrage complexe.
murs(voi
rpage25), PLANCHER EN B/TON SUR POUTRELLES
11présente principalementI'intérétde dispenserdes longs travaux pré-
paratoires de coffrage. Les poutrelles sont iciI'élémentporteur intermé-
diaire du plancher.Cespoutrelles,entreillismétalliqtles,erlbétonarmé ou
en béton précontrainterlforme de T,Ou encore en terre cuite,comportent
R un canalcentraloù du béton a été coulé.
emarque D'autres produits isolants que votls
Contre Ies rem on- trouverez dans tous Ies commerces spé-
téescapillaires cialisés,vousaideroqtà réaliserunouvrage
11existe des produits de qualité et bien protégé de I'humidité :
quiconstituentde vérita- parexemple,despanneauxisolantsen po-
b/es tarrières corlrre /es lystyrène,que i'onpose,dans Ie cas d'une
remontées capj//akes,ap- dalle sans vide sanitaire,sur Ie hérisson.
pe/ées aussiht/frl/d/ré as- par-dessus Ie film de polyéthylène. Pour
censbrpae//es. Ces pro- faciliterla pose,on peutalors égaliserIa
(jud.ssontinjectésdansle surface du hérissonavecdusable,
murJar)slequelIIs se po-
Iymérisent. // se forme
ainsi (/r?e résine (?tp're-
potksse /'eat?.

Y
. eA* Q
x. . .

. twe. ..W '


x; '. u' è 4 , .. .
I.
' .x'
*
;))..x
. .. ...e..d,'kdit $z
k.t..,.
. t . 'r $. -'N -*j f 'rl -r;' .-.
.-
,(%1 .J
1;
. >.','. -%: .T..
y ' . :& - A.
(..x ..
-. . .Aw ..J. ...:.;.< '
... .-
. ' < -H'. y
! ' 31
'!
.'
-''
L '- '
â z

Unetelesolutionl
ai
sseaussiunvidesanitai
re(aveclesavantagesque
nousavonsévoquésplus haut):ell
e demande une trèsgraodeattenti
on
dansIamlse enplacedespoutrellesetbeaucoup deprécautionsdans I'ins-
tallationdes étals rlécessairesau soutiendu chantier.

'u.'àtteniion
---
---.-- j
.
Le bon. terrain !
1
Lechoix(#'unferra/nJe .
. .4 . . 'corlstruct/on Japl'ntervenlr
:,-'.,.'' '''>, . 1Ia sitoation gëopraph/c/tp&
e'
-w, Y N -.
v !et p'tnr/erpla//()/'?. Vals sa 1
w .. dj inature estégazefrafl!Srès i
< x'
-n;v ..
4
z.g
x. éImportante.Trop /Jt/;??/(%.fI 1
.
r.- - :r...2.
.. .. . '/'
gœ. ' peotprésenterdesp
??cor?-1
r
- 4u . vén/ents c/ar/cl/s Jlf9'c!/e- '
q#. lh. * .' mens i st-/rrporllata/es ; I
- v.. zz
.'
:.ë.## /y ((
' amendelnerts ctlosl
dé-1
Z/ :rtlbl
z es,l
i
so/al
orlelJra/l8-ë
z z' . Llecch
tlret
pz'
.e!c.?.Jo/l
es-/
elI
:anal
yserpourr
)'
avok au- j
> < .
cunesurprse. j

Q'. . ..... xe.z


'. 4.. ..
.;
... ..,;
; ... :,
' 3w . .vZ - +
+ +.>-...,'e'
.. u
.''Vk . .
'..e' cv....
. . ..x. ..> .-' 'e M
m.
>* ..
*'5....
...A
< we,R
<c.Ae''.M
.. =
--
. J.. .
.>- x '.
-
. Y .l N . ..<'-''..

- .c .> ..>=-. -e > . .Z'x '.


.- zrc'
'.- .-... ..
>>*>
*. .'
...-Y>.
=--
=> u-oGW..W.au
... -.
'zx
'r...'
e >.<.
'' * .'..''-
'. 'Y-=LJ.''=
H'
w ,Z
'>'
'+.
.'J
.G2E
.
' c.. x-
4. .,ee .. .
'c
v.re
c
...
x
o
.
.
.>
w
.
.
--
.6o
-
z
. s
.
k
.-
ay. .. .=...r+ .. s.
&.'. x v.j x
ww..'
z
,
x.. 'r
.-v
â u
>e
x.....K<*
>:
g
J
e=z
'
û
X
v
.
c
Z
j
. N..j) v. ... p-5.
4.
. ...- .
-.. . .
ex q . . ..
z '
>
+., ..z t-' - g ' ' A'k.1.
'
rz y.. e. '.
. x. t.. #, ..
Wl. ...
.9
Rs. .
1 .i k
'x
..*'.

#.

* '
LE HE'RISSON
11 constitue une couche
drainante (prévenant1esfe-
Une dalle en béton peutêtre coulée à I'intérieurcomme à i'extérieurde montées capi ll
aires) et un
lamaison dans Ies conditions iqdiquées plushautetune foisles prépara- supportenmêmetemps.Sile
tifsterminés. plancherne doitpassuppor-
SiIa dal'e doitétre coulée à I'intérieur,commencez pardéterminerquel- 1erde charges trop lourdes,
quesrepèressurIes mursde Ia pièce.Le sOlétantpourI'instantinégalet vouspourrezremplacerlehé-
provisoire,servez-vousd'un niveau à fioles pourprendre ces repères,qui rissonparune couche desa-
doiventôtre situés à 1 m du solfini,Dans voscalculs.tenez compte dufait bIe etde graviers,bienratis-
qtl'ilfaudra inslallerun hérisson sivous intervenez surun soIenterre bat- séeetbiendamée(tassée).
tue',ajoutezàcel
aI'épai
sseurdel adall
e(souvent8cm)etceledelacha- Remplissezblen I'excava-
peenci menl(2cm)qu'ilfaudracouierpar-dessus. tiondepierres,degraviersou
Tracez ensui
tesurIesmurs(aucordeauàpoudre)Iaii
gnereli
antI
esfe- de tout-venantetde sablesur
pèrespfisà 1 m du sO1fini. environ 10 cm.Comblez Ies
Cespréparatifs vontvouspermettre.dansun premiertemps,de creuser vides et tassez fortement
Iesolafindedisposerlacouchedegravi ersOudetout-venant(grossegra. pourqueI'ensemblesoitbien
nulométrie)quivontformerIehéri
sson.SivousdevezincorporerIesfl
ui
des ferme ethomogène.
(canali
satiens).prévoyezleurempl
acementmaintenant.

-.: JkIF:;t?L/l:L?7c-yCï(?(ktJt. rLt


.lll'
li?é)t?(/.
(-
x% eJJ, ')' ()r??e?/f '.
2/?!paso' e.lnett''e
(Jepel/lesca/essools ceJi?r/llt?c
?ïNr?(':e f'r n stlleleieer Jeg/r' e/l?er)!
Lorsc?(/cothlagedt/belon.///at?-
blra s'asstl( 'e.r()t''e /es caêes de
J)C//'(?./69t,. t2r.'(:1/-àrJ.333t?tJJIJ)
.:)iLlt?t/()(è.:;/
tw
-'()
.(r /(?tr:7ltr) .(1'33/i?L',t?3/.. lItytif/ir'
éz(?(?
T)f:lz,'I()d./6?
. '1'/i?ï;'Lè1//Fék
't.Ji '
.w ' j.
$.& .W <
..
1. 1;i
, ': ' .....4 tiI'
. . '
'' ''' '
'-.b
.'b6
''b
'..b-'
ib..' b''t '',;''
.. .
' .'!
r
i
''
4'
'' '.
' '-
d
I
' .'
j
j
I
j
k
.
'
l
,
.
j.yf
'
-.
,,
',
itb
jj
,-...., --
.,..-
jj;,r... .
.. :
'.'
.
. --'ï3
. ..,
y,.y
, .
.
..
.
..n . ....
'k
':
b!
;-:
, .
: '
.
q
j
g
1)
.,!l?
fj
l
à
j.
L
,
i
à
q
.
tL . . .
-
;
k- .1
j
1
k. !
ï '
d
1
i
k
;
i
;
kii
;
I
'
p
.,jI.!;,
à-...,
' . . .
-
'
r.
.
z: ' j/
t
. , . de, u
. 4

LE COFFRAGE PRE'PARATION DU BE'TON


11estindispensable siIa L'empioid'une bétonnière estindispensable vu Ia quantité de béton né-
dalle doitreposer sur deux cessaire.Faitesvos calcuisàpartirdel'épaisseurde Ia dallevoulueetvous
appuisIatéraux (au-dessus vousen rendrez vite compte !Cecalculvouspermettradedéduirelesquan-
d'unvi
desanitaire)ousielle tités de ciment.de sable etde graviers nécessaires.Prévoyez 0,50 m3de
est située à I'extérieur. L.e sable.0,
75msdegravieret300à350 kgdeciment(cimentPodi
andartlfi
-
coffrage soutlentetcontient ciel
)parmètrecubedebéton.
le béton pendant tout Ie
temps de séchage. 11 doit
être solide touten ne com-
podant qtl'un minimum de FERRAILLAGE DU BéTON
j
oints '
,stable.étanche.ré-
sistantà I'humidlté contenue 11n'
estpas toujours né-
dans le béton. 11doit aussi cessairedecoffrerune dalle.
correspondre exactement Lesfers renforcentIa rigidité
auxdimensionsde Iadalle à du béton etsont,pourcette
couler. raison, surtout utiles si ia
Utilisez des feuilies de dalle estsuspendue au-des-
contreplaquéspécial(quallté susd'un vide sanitaire ou si-
marlne ou CTB-X).Mi
eux tuée erlétage,ou encore si
vautse servirdegrandespla- elje doltsubirdes efforls im-
quesdebois poséessurdes portants.Dans ce cas,elle
traverses plutôtque d'avoir estcoffrée etferraillée.Une
pl
usi
eurs joncti
ons qu$de- alée de jardinen béton de
manderaierlt beaucoup de 50 cm de large doitêtre cof-
tempsdepréparatlon(cl
oua- frée maisn'apasbesoind'être
ge) et quipourraient pré- ferrai
ll
ée.h l'
i
nverse,pourun
senterdesdéfautsdeliaison. chemin de roulement,pré-
d'où une mauvaise étan- voyez une dalle armée de
chéité. 10cm d'épaisseur.Une telle
épaisseur.renforcée de I'ar-
mature, résislera au poids
d'une voiture.
L'armature estconstituée
de fers disposés perpendi-
culairemerltIes uns parrap-
portaux autres etligaturés
ensemble (l
es I
igaturesdoi
-
ventêtre tourrlées vers l'in-
Remarquem - téri
eur).
On peutégalement utili-
Un tlor? ylayage do/r serun treillis soudé comme
lassurer une Hg/kTfltj sll%t'- armature.
lsantepourt peI' ovvrage
Ol's d(Icotp/ape elIors C'
.
/tz
séchage,ne st-/ln/sse at/- i.7/ :/11rl.rp/'
4/ ' t-
.)I
ze?11t',
$b tzot7'rne.
''i
'vet.
culle c/ièétnrrnalrr?, r
./t4Lie//g'aàtk
/p'er''
èsferse/nnee.
'.
'>.'

*
+7 . 'j
. <. .
s ... . . .
1k.4t.-%-kskdp
- .. J
-.-t. --
s,, .-.
J: - .
x #,jt''.-
-. .. .. . . '
'
.z
%* % ''
---/....'-....-.i--
v:.
* r' .
.x.
. ,
. p.
. . . *.
...
' 1 4 .
r
,
<-
#t,
a.. zdj?..' k.. -.-,
. . !
.

. 4

S$la dalle estcoulée sur COULAGE DE LA


unfllm de polyéthylène,pla- DALLE
cez I'armature sur Ie film,
Lesfersdoiventêtre en effet Avantde coulerte béton,
bien enrobés dans ie béton placez surIe s(7lcles guides
(à3cm deI
a surf
acefini
e). quivous aiderontà z<tirerna
Pour cela, placez par en- la dalle,c'est-à-dire à ijgail-
lroitsquelques petitescales serIa couchede bétos.Daqs
poursuréseverI'armature.Par ce btlt,ces guides sont de
ailleurs,silada6leestcoprée. Iongueslattesde bolsc)udes
nemettezjamai
sl'
armature profilés métalliques de sec-
en contactavec Ie coffrage. '-e?t;Iîv
u t'rékrt7;''1';t;(,-rllt.
(? ri?t?/r?n;:)()r'ru
-;r?!t?t?.tlt,/5)e ./
-')d''6:
'/. /
m.t?t
lcwy
(iiLl'
çl!):7rn.
?)!;?:)E;i?E;é't/ 'qi'.r
bul'ibl.
r'E (
':'
Lï tion carrée disposésparailè-
Là aussi, piacez quelques Ies ytlra .t/rla/rlterv''Ies ée'î'a,'li' es 'f tlrs C/t.'coëp. e'ylar//
'
l erfE
r ? r'la/'ja.jter?lto'-lr/?fnr/onfka/e L'lèr..
?n'. Iement et installés de sorle
cales pourles désolidariser. /a(7e. ?'.
L '.
)iîl.
' J.2/?ré?Lie ces 4 ..z oI'Jes se?a (JlJtel?tie a que Ieurchantsupérieursokt
''a'ç -e J'L.
J 'I1n/v/eat/q?tlt///e Pl.)tlrracj//?e/'leLî(' au niveau de celuique I'on
Cescales.impossibles à re- ''iqp/aj'eeî?öat/retpz'. '.
% sert-ln?(nlsptases stn
tirefaprèsle coulage du bé- u-k.
r?s J
aftlrser4$e'ton désire donnerà Ia dalie.IRé-
NxNs > 'vzu
x'
na
.
. >
' .. giez leurhauteuren !es pla-
ton,serontquelques petites 511. '..$$j
...
pierres de calibre adapté ou ..
N .* , . .. çantsurdes piots de béton
K
des boudins de mortier ra- .... ,lk'jk . -..-., de sode qu'ellessoientbien
. .. 1
pide, . ''' a'
horizontales'vérifiez-le avec
Enfin,enduisez ies faces % - X g. un niveau tl bulles. Mettez
' œ''<+
intérieuresducoffrage d'huile q ... .gx autantde lattes que la Iar-
spéciale afin de facillter Ie ' :; geurde la pièce I'exige :ne
décoffrage. Ies espacez pas trop pour
k! rY . .axv 'c W .
' travaillerplus facilement(î.'.
i 2 *2 Déversez Ie béton surIe
J7Fi22'r'
éiJ''
IL2t5)(;/(?ëy;'
-)
:1ti?r'sléy.r7(;'L;Jéir:zJ(àvë7i?é) sol. en commençantpar Ie
fond de Ia pièce carvousal-
Iez lravallleren progressant
tttreculons.vers l'entrée de
Ia pièce.Tassez Ie bijton du
** mieuxque vouspourrezpuis
**+ ++# faites glisserla règle surIes
.?
. %!*
, + *,. +
>*.*' ..
?*. Iattes guides.en tiranti'ex-
.
. .. ;4,.
N
V .:.
**+,
.'' ? cédentde bétc)n vers vous
> ...* #. '' '.
...**
'*@';1%
*' (2p.
>*..+*s' .!., ' .*.*
.. .'
*
>* .*.. Retirez !es Iattes guides
*Ns' v ' ..* . (.'))avantque le bétonnedur-
. AA < .
x* x :**'
* cisse complètement.
. A ,.,h*...o
. '.
W A2
A ' v
. z' .'
/-f?fltq/l'Lk:;L):,!;z.
'IL?L?:#Sè()ykI'Lj'(3ç?t
3F'tpf
,rl(?Li/':'
ffL?é?
!L
ll'
ti?;'
.
'.
.
I.
,+.> , .r
' ' . '
..
' ..-
.
i* + 4 .. .'
- .
.: . . x 'g
, '$ ' '.
!
: 1 I1
.
....,' .
.
'- ï.<e..'.*
1. . i <.
j.jx1.U
. S ...y .. .. ..
z ....:K.
1. l.i>
''
'..u.tNka..'- #.
..'
F .. M'
'
'.
..
,
r
.
,,
.
(.
je. ... k.
-. a
*
.

Comblez Ies vides ainsi


créés en vous déppaçant;à
reculons dans I'espace 1i-
bére (-1' '
Sivous avez prevtl une
chapede tpnktltln,llssez som- 77 méhe
' -hhl-
o.n
-t: I
malrernelltàiataloclle 'darqs ) Gareâlaperlte! I
I
ce cas.ha chape de ciment 1 Ladal iet#.
t??1ecourex-i
viendra.ernfinltlon rattraper i
' lyr/
eucesel
' arèalsce de/
' al
;Inèfne faço/? Que ce/'/e I
les petites Inégalttes. i I
pc8'Ljç;t) J?,t?(?(? /r?!(#c/i?tirt?,l
l?r(é?/6lilfl?tzlIbli(/tlr?r7t??'(ilït?i
lIéoère per?le etprévoi r1
i''
écoulenî e:ït des eaux.
DE'COFFRAGE
k
l
t !
qce
d;elr
cefepgen
zte sev,
.aot ra cf
vm.e I'
or-1
1
u j
Le décoffrage Intervientlorsque ie bijton ...-- -..----- -
asuffisammentdurciLe tempsdeséchage peutvarserselon Iescondltions
atmosphérlqtles.Stla température n'est pas desceqdue au-dessous de
8 =C.vous pourrez décoflrerla dalle 8 Jours après Ie couiage.Ces délais
peuventêtre rédults s'ilfaitchaud.S1le temps estsec ()u s'$Ifaitdu vent.
protégez la dalle en Ia recouvrantcarl'eau contenue dans Ie béton s'éva-
poreraittrop rapidement.ce qulpeutnuire à Ia qualité de Ia conslructior!.
Undécoffragetroprapl
de provoquedesépaufrures(peti
tescavl
tes)et
Ia formatlon de petltes fissures en surface :un décoffrage trop tardlfest
piusdifficile.

r
o'
NFlu
7.n
; /
6,
. 1
3'=
L J:
7.k
î,
i)
.
x4
iE.
'%-'M
: >'
*a.
1
. r,
'u
I
:
Z.
Une chape de cimenta pourfonction de rattraper Ies inégalilés de Ia
dalle.Cette dernlère.quoique de nlveau etplane.n'a etè que sommaire-
mentIissèe.La chape estdonc,en queique sorte.la couche tinare de la
dalle.Une chape estfaite de modierquise prépare avec du cimentetdu
sable.Dans le cas de rénovatlood'une dalle ancienne.c)n peutaussiutili-
Note serdesproduitsautellssants(dltsaussider'ragreageh>)facilestlpreparer
S1 .
le bétfnl'îesl c(()(J((' (mélangeavecdeI' eauetmalaxage)etàapplquer(vol rplusl oln)
Ja.r's tlf? coth'c ygle. 'i dr-l// Une chape estla semelle surlaquelle le revêtementdescljestposé.Elle
èt/'
e k' //a/'t:? a/i'
n de lljer? dottprésenterune epaisseurde 2 cm Pour Ia realiser.prchcédez de ia
renîolz'!()t//PJ' espace,sans même façon que pourIa dalle.Mettez en place des Iattes guldes ou deS
zdi?.e!d'ètle ?.?/eJ'?L)L ï)133- cales deniveau.Basez-voussurlesrepères de niveautracésau débutdes
pact. Cela s'oblreflf er' travaux(voirplushaut)ettouloursenplace.
(rafïpant d 'cnr/erp?e/-?r f
'i?s Déversez ie mortier.tirez-le aIa règle de maçon,etIissez-te.Laissez sé-
z'obtés c/'tlcofl'age avect/?? cherhui
tj
ours.TenezI
apièceaérée etarrosezI
eso1detempsentemps
fnalllet. s'ilfaitchaud .'une évaporatlon trop rapsde peuten effetentraînerla for-
matton de flssures dues atIcraquèlement.
F . z.
... #
J. . .
. : . ' '
h .'
'p. ' '1
' . .+ z*
. <.
;'. w
Ik.-.? .-''
-r'
,.
I 6.

'

k.
.
jij
-...écL
.. ,..tr
--.. ...i
.t -.-
..é ...-.
'-.-
r ... . ..
; Veillez.'ivotresécurité
13
-'
t.
b',
'sez sof
':(?t?s czu/c/es so,'tc.
/t
h?s h
! Ner
%glèt
?zpas'
ztllrt
asécurit
.é.
'p
amarp
/tt/
a-
:.)$
?bI6?SC3/OSer,OO/S&OS/l?C)f)/VwS .tiLm des malik/lattx etdes (?lpl//s compol-le un
ctp:))szrqzat?.'?)''
vea
..t.
''
t%
. sot//la//6î
..cule i
jcerta/h r
.lombrede r'/àtpes, lî:spltbw-vou'sJ&spré-
.
paL)!lar')efc./ac.lt:l,
').tz'
e?ffez/t'?J',/- ;Cç
-
jut
ion.
?t
' -
/t
keprelloerètsyz
sl
tirsal/
r/t
zt
amir!f
(
4spl
'
t
)-
t/eat'c/af?î)''i'
?soleop'setlsr 'phraT(.'
)s .. htesslofmels. Lesrép/es délprudence s()/?!stlt/kze/ll !
)p
' ?(';)
.. ''
'.'. . '.'.',-f. '' '
;affaire Je jlon sess dass I'orgallîsatlon dL/c'
/lar)- t
x
:.'F. '1 ktteretJesSravaux.11Jle rau!pasIescor?s/c/ijre/'
%. ;comme t/fve contrainte, ppa/s co,' ??/??t?tw?moyen '
. q. j
,.j' ..-?:'
, .x.' 2pot/robtel?irde me///eursrèsultats.
lh
. . .. '-Q%t'.'
, f
b '
k ...... Pot-
t tezuncasc/tkee!desahat /ssuresrep?-
$.ij,,
' .' 4 ''
' >'z
zF
? )
iforcées (p/voosp/o/tityero/r!desc/pt/les deplt-
s-
2.
%-'
v ',.k
.r - :2
.* 1 j
ires etautres maténàt/x, Parmesure c/e pruden- .
-.. ,
..' .
'' '
..
ice,conservezcebétzt//
l pernen!dt/r
arltlesér apes
ide constructlon.
ë - Sl. vous Jek'ez travailleren hauteuf éap.- q
'tes-l
i e stJ/'an so/jde éclvfaudage.Pas d'ë(7/tJ///- !
$
,'- lbrisme / '
l Ne l
al
ssez pas rafrl
erkos outi
js sarl
e;
.
lchant/ecPrenezgardeer?pall
ld'alment
culi
ation des fr/ac/p/
l
erauxJ?
aes él
/
s''
ectroport
atives .
' t(perceuse.metp/
et/se,et c.):faltes-lescherlwner.
)erthauteurpourvousévi
terdek't
x/.
Ip/'edsdedansoudeIessecr/bpner
'
rprendre/es
'
' )
1ti
!
-ecSto
lsèl
yezvinil
rhues:s'
adnstsaounrancrc
tt
olr
a/
dle
c/
inebnt
f)sL /'
desou
ex/ér/et
-'
zl t
$//es!vital(we cela se rasse surune prse él(ar?-
' y' jche raccorc/ée ,
1sv'rt/r?ovtll- pour
àl acrt
e rr
/a/le.rNu:ne
ge lbte
.
rI-/t
'nèac/
ne .
?ezopma
u tkr/t
s
e'
'
i
1 .
1
$pame, par exemple - sarls l' avotrJtptlramc/pt!,
.
;, '..'' IXprè.s utilisatilm, tvtn/-anc/ae.
ir?es almaretis et ;
.. !' ? '' .
x'
.
. ' z '
1ral?gez-les. 5
*- '/ ''' j
i - Lorsdt
pmanl
ementJesOu(
1.
'
?te/
sLpe/
e.
Sl
'
tzu$t;
' Itzoches,ciseaux,massettes,Jncarle/ers,erc.,por-l
t
r'
*
'Q'
.
-
b.'
;r
:kC
.cLV 'tezdepréff
jrencedesparprserdesl
unettesde '
' sc ..'';' u - I
+
p4
'
y.
c.
:,
.
:-----.- I$
>%-
..
j
pous
vtotecouv
gopr.
=.
. .;
.'
ezs
z
i v?eoccav
t/r scir
te
éu
sJeezscunetelesmea/
-
pntotielécou
hes
z/
j
r ,

' p. - Cè'St/&S i
id
éle d:
ectridtzreenc
nues t'
et
notl
as a cementd'
rés i
jk
zerptsed'
scondt//sI
.k'
otsappcljcferezdeporter1
-- -abtettesc/e0,0-
i l ;
r6itl!/C)/r , I('
l iestyanrs s/par?'pttiparc'/e la polnle c/e/a broche 1
u , - --
4' ..
#
.
p...#.44...1..'-.. '-x xy't. '
.,.4. .v
.'
e-r' .'
- ctlattssu.
nesJe lVenait'
ùheurtert J/'
?Câbl
eSO&slfr?
s/O?
'... !
7
w.
,'i. ..- '. .. çx.z= .
#' 2.W oe' Sf' stcLl:t
'
îe l - DeI arlqérr?etaçon.t
ai
tesall
erqt
/
br?agxca-l
/. . ;.a . go
)z.
y. Garl/sJelnanti- nalisatlonserplerrfries(lorsdelaprëptiral/tm des j
. . , . ... -
1- ,'jx.g-y...4q.
. . '.
7/jy 17 xz;Vz.
.s - .
'r,. . 4 -.2 K''o' '
6'
,
'lt
/Or' folîdati
ons).l-escar?alàal/ br?sé/
6i
-
ll
/-
/
c/t/essonts?L1i
4 ' s >1- .. ' ,es. '
p. c..*i:1- >.. ...
. 5 1gnal
éespar/
aprésenced'
ungr/
7/
agercl
tz
geen-i
7,1/
/.z?-
c'qlîol-t
zlel'o'
qtzec/'
aI'
ec y'
.. lee/?a'r'
--
'oz
.it I-'
sseza'F'
a talocheJ,
'J
a't
%)''etalrestr'i: 1p ,:.
:k y. j
. l
..i
eJ''avc'inu-enlent.
-
'
svr/(iscaYs
A '1
*: l '.*G

.
c. . '. ,
.
,
2 . ,.
. ... <.k
..k.,
.-
..--..z.,
.
,
. ,
I,es .. a y j-v
Jya
us
!' .-
. .
u,-
. .o.
xs y-
..s

Les chants des éléments


LES M U !qS EN PAR PA lN GS sontprofilés ce quipermet
d'obtenirfacilementd'excei-
Lesparpai
qlgssontlargementutil
i
sés(parf
oisabusivement1
)pourIes ientes liaisons entre Iesran-
murets extérieurs gros œ uvre.comme pourde nombreuses séparatlons gées.11estindlspensable de
intérieures.11estvraique ces èiémentssontmosns chers que les brsques. contrôserI'horizontalité etta
qu'iissontlégers etdonc faciles ttmanipuler.etque leurs dimensionsper- vedicalité pour chaque é1é-
mettentde travalllerrapldemellt mentmis en place.Lacoupe
Les principesgénéraux de mlse en œ uvre sontIes mèmes que pourIes des parpaings se fait à Ia
m assette etau clseau.ou au
bri
ques.Lesparpaingssonttoujoursmontésàjointsrompus(oucroi
sés)et martelet.
au mortler.

IMPLANTATION D'UNE CLOISON INT/RIEURE


MARCHE hSUIVRE

Rem arque -- .- Note


.;t '.1 T '. ''' ' tf
l'
$ -x- *..''.
-'
?))7'2(!.').
'k 'h/,tf''!?lJh. rq'?JxJ'.?t,t'.')1;(?t.' -if'rrac.at'
/ ?e de niveakiréftke/nce 7 r'? Le caleplnage .'c'est
.,:,..,,.. c. ... ..s. .-,.,.?,.;,:-,... e' c?'es/ pas 'mpérattf. rpa/'
. s //peutpar la l'actlon de relevez ca/cu-
:'t':........' '- . ; , .' t'.- .' S'uite rnrésterl/e?-u'r7grand J
'rnltkéfsivous /ec reporter et lracer /es
'.
iI
,'
ffy.
'''
L'r':'.
'çT'(Jt.'. f.! Jysjr'ez poserLirle c/lc apf je jil/l/()r1 Jyrl mesures Ja/ls /e dorfmine
carrelaoe'etc. de pa construct'on.
'

z y
. RN1
. r.*. +
' . e N
'-
'-'
--j
.
tL..'v,
A .
w* .-- . -.u ko-.-,...u- . .-' ..
j
s .'1
-
1!v
.
. ..a
r1,
-,
.
43j
$A'
-
1
-
F
.-,
-.'j
-
,
*
:
.--
a
.g
,
..
m
/k..
,
-.
z
'
?'
*
t' < N(' t
.?jc7 '.- .2f .' >
j.ëA
y
.
' .% <'-->.0..--.
1

($ Rb.portc/ti'tqli?(% ntveatlstdr
/e otf7!))'(en se se?'kza.rp/o'e Jt-z
î'ey
.Fc'?fje .
rrlaçtt?rptsilGf
ù'îO/kfat/
1bkil'lesj .. u w
.L'W.>'$
.-
t :<v,.'
..r ' .
'4
.. .
t!
q'k
..!rai /'
- .. et;
ku ;. . '.

A +:
; .. . .A

. - +'

'
(T
-.7)'tk(lêljyt?(2i?:?. '1L?t?li?t7rE;c/'
c7t)s).
'- utour o/
e/.graq-Jro
tit?ti/? l)é1
.t''lCltkrt)ç/(2/()t;--)'LèîfïlL;, cordecu. .
sol?e/.)rI :)/i/e:''
îpalta/' ;'ldut'a.'f
L'L
feJ7'k'&..
at7.

+-
fh
....
:
'
1
t
! IJ
t
), J-t?ç('()
't??'(ï.
ILè79(a?t?é?.
$

>u
f '. .à ,
:,;''.. . . '
j
. ..:
.L
Lt%?. /
., , . , jr,.j,jy,.jt.
.
r
.. .
. i ;;.
. ?
.
l
, . :j.. . ,
.+

27./èFtJ716?zr. Lq?.
I r'?L-)l'!/(??'(?ë,Jf()l'
i5!,
r?)p
ltE??'
é?t)fy/(9tï(. 'l'/'é?/?()/)é)/73t??)/(76:11j r'
tl?'C)yéîC)?lLt,''
t' /i)///ê7 .?)I(JJli?/7t)t)
i?r'féktl(fr/69trç/ll(/'?r?7;)./fi .rrll?fytlr)
élu?s(41.

- -

O
.w
''
.. . .. * .
<g'.
>1
*.'.W.. LES JOINTS
A. . kN
x. .x.. a.
-.,.'rw.A
- s.* . ee Pour les joints,on Iaisse
.. e.
#.AA
. . x .-1 y.
.
.. .. >spx..e
- A'<.'AJ..
,.... e>'
v
<*'
eA' un intervatle de 1 à 2 cm
.u ..--.. >.
.weAy.*
..
<x>.'>'
. rz..
->A
A#e zp.<-u.
#*zz-'' entre Ies briques 1 cm sur
4e''a .1
w
des murs en briques appa-
%'. .j
#
.#
z rentes.non destinés tl être
enduits ,1.5 cm pour1es bri-
ques ordinaires :2 cm pour
. . 'v..a
... A z,g-
;AZ les murs en parpaings,qui
-
.e
' V .e'
*'
..V sera endult.
f?'srat)si,.-.cyd?usvv.(?:czcJy?sc/t?.-'lt,rz.(?;(fç/,:,
:',rus F7:)tjrë't.(;rrpi?nti,rr'is()lé,t.:;n
r.?
''aut,-ede.
'abarpc?ey'
so,da.
'?le (supprlmerIespontstherml-
Dispositiondesmatériaux ques),certasnstabri
cantsont
n
prévu Ie positionnement,entre deux rangées de brsques.d'une bande de
Iat
nederoche.Dansce cas.l
ejoi
ntseferadepadetd'autredeI
a bande
isolante.
POURAVOIR DESJOINTS R/GULIERS
S'
ildoi
ventresterapparents,lesjoint
sdoi
ventétfe régul
ierspourpré-
senterun beIaspect.Le mieux estd'utiliserdes petltes baguettes de sec-
zncfzk'
c/à tioncarrée que l'0n place surle bord de Ia rangéeque l'onvientde metlre
enplace(unedechaquecôté).ParI asuite,onpeutainsirempl
irau mor-
ti
erl'
intervall
e entreI
esbaguetles.OtezcesbaguetesdèsqueIemot li
er
commence à prendre.soltenviron45 minutesaprèsIa pose.On peutéga-
lementutiliserdes petites calesde 1cm de hauteurque I'on meten place
pourchaque brique.Les professi
onnelstravai
ll
entévi
demmentau juger
parce que I'utilisation des baguettes faitperdre du temps.Elle donne ce-
pendantI
'
avantaged'
obtenlrdesjointsparfai
tementréguli
ers.
FJ' . ., .*
'. '
N.w. I

h.. .v.
ol
. .*
. <.
+ x.. '. X
$ &- '---.
/< +

'
LA FINITION DES JOINTS POUR COUPER UNE
Lorsque I
e murestentièrementmonté.I
esjointssonten creux(vide BRIQUE
laisséentre 1esbaguettes).Potlrobtenirun effetdécoratif.on doitdonc * Colnlmencezparmarquer
exécuterunjointoi
ementdefi ni
tionconsi stantà.placerunpeudemorlieret Ie traltde ia coupe à lacraie
ùformeriejoint.Lesjoint speuventètrecirculairesencreux.erlsiffl
et(en %* t'.
y
x >. etcreuseztlneentaille sur@es
bi
aish.enrefend(droits),oumoul urésselondifférentsprofil
s.I$
snedoiveqt - Y i> x quatre taces kttpetits coups
jamaisfairesailii
e.Pourfairelejoint.commencezparbl '
osseriefondavec - ç..-..
.. de la panne du marteletde
une brosse dure puis ttIe mouiller,Déposez ensuite un cordon de morlier .,t. - briqueleur.Séparez ensuite
findansI ecreux.eldonnez-luisaformeenli ssantavecunferàtj
oint.Pour .-.s 1' '
.
- 5 IR:R>
;x'sx < > .' Ies deux morceatlx avec le
certainsmursdécoratifs,onutili
seunmclrti
erblanctoucol
orédedi verses '
.Wsà. t.< %- ciseau de briqueteur. d'un
ntlances).Nettoyez Ieparementdesbriquesdetoutes1 esbavuresdeci- .ax.
' -> >- - -> . boncoup de massette.
mentfe plusvite possible '
.ellesserontplus factlesttélimjner. T.;>.. - > Un disque à tronçonner
) estlrès appréciable pouria
LARINOVATION DES JOINTS (.
.
# .
coupe desmatériauxcreux
Les travaux de rénovation entra?nentinévitablemenl Ia réfection des 1. 4#-w , ..
son emplosest. 'krecomman-
joi
nts.Uneopérati
oq quia toutà Iafoistln butesthéti
queetutil
e pui
s- '
deràceuxquin'auralentpas
qtl'else contrfbue à renforcerle mur. encore l'expérience du mar-
Fai
testombertevi
euxmortierdesj
ointsavecunburin(e1unemassett
e) telet.
suruneprofondeurde 1à 2 cm environ.Brossezenstlite pourfaire tomber
touteslespoussièresetarrosez Ie murcopieusementpourque la maçon-
neri
esèchen' absorbe pas l
'eau degâchagedu nouveaumodierdejoin-
toiement.Bourfezenstl
ite1esjoi
ntsdtlnouveaumorti
er,enlebz
ezl'
excédent
etformeziesjointscommeindiqué précédemment. ; *r '.

* - xx *
1.t. w xaU
--.-.
,-.A-..
,..t,-
.
4w'I
:
cvzt-,
.-
..
:7
..'
.Jw
o,.
c.
z
o
'
...2
'* '
Latechnique estla même que pous'un mUrdebriquespielnes.Letravail .-> . .
#zq'
e
. .-w .w Ty .
estcependantplusfacite etvaplusvite puisqueIeséiémentssontplusgfos. Ar '*- '
Lesconstructionsdebriquescreusessontdestinèesà êtreenduites 7onpeut 2. x. +..
donc adopterune épaisseur
Remarque de2cm pourI
esj
oints.
L.,appareiliage se faità Ia
Pour
/? combattrelesefflorescences nrecquetiointsrompus).puis-
s'
ap/'!JeslracesIllartchâtres (?Lpap- que
- les br - iques cr 'euses se
pari/ssestparfasstk
rI esparemerllsJes posentloujoursen l ongueur <
mtkrsenbr/ ty/
es,pi
erres.tl
éltlnetmêrre (en panneresse), jamai >
s eq -N . i *
pl
ât re.1s'ag/!Jese/stCorl
tenusJé7/lsI
e iargeur(enboutisse). Vu la '
<> : .' t'
modlèr()t#remontentilr?sulface pors d(? largeurdesbriques. on pose 'Y
.
.x '+...
. 4
séc/?ap' e .'ils stw?t vèhiculés pa/'/'eatp undouble cordon de modier
qua?lLlce//e-o s'#raptnre.Pourles erp/e- onctueuxdechaquecôtéde <<
veç ()5 peutesséi-ker Ie /ahzape à I'eau ta rangée Snfél.ieure. et 0r1
claire (7(7//es (Xssot/r.S?Ies eff/orescen- place Ies briques dessus en - N ,
.
- x-,
cespersistent,tkll/sezde I'eau ac/d/rrll- Ies calantà petits coups du . ,:. NN NN
pée d'ac/de chlorhyt ïlriqLle ,
f)5 t?tlIO %.1 manche de 1a trueite
hp
t
:
lsuit
e(/ecetrai
tement,r/ncezabon-I pour1
es cl
oison.s inté- VQ.
V,
3. . #
'#>' '
'
Jarnrpepf(' )I'eaL)c/ahe.//fautkfkz/lerzwe Cj rieures. les briques creuses
.
1'eat/J?c/c/t/iiene ptln#lr'
e trop or
' tl/tlndë- sontmontées soitau plâtre,
mentJar?spamaçonnerie. soitau mortier.
LEDEGRV DESTABILITVAUFEU (S F)
C'estIe temps pendantIequelun élémentpodeurassure sa fonction
(sarési
stancemécani
quesousunecharge).
LEDEGRVPARE-FLAMME(P.F.)
C'estletempspendantIequelunélémentdeconstructioneststable
au feu,étanche aux flam mes,aux gaz chauds ou inflam mables.
LEDEGR:COUPE-FEU (C F.)
C'estle tem ps pendantIequelun élémentde construction eststable
aufeu,pare-flamme eloù l'élévationde température.côté non exposé au
feu,ne dépasse pas 140 QC en moyenne ou 180 OC en un point.

De parl
es quali
téspropres àsonconstituantpri nci
pal(1e plâtre)1
sonmodedefabricati onindustriel(stabil
itésdimenti
onnelles,équer-
rage,emboîtementsextrêmementpréci s)sastructuremicroporeuse, Lesfabricantsde carreauxde plâtfe I'appellentqqaffaiblissementacous-
samiseen œuvre aisée etI'obtention d'une surface de paroipropre et tique ''.C'estun indice quicorrespond à une mesure effectuée en Iabo-
l
isse(prêteàêtredécorée),l
ecarreaudeplâtreoffredesqual
itéstrès ratoire etquiexprime I'isolementcorrespondantt!un seulélémentde
importantes de sécurité etde confortdans Ie domaine du bâtiment, Ia construction.La valeurde cetindice estgénéralementexprimée en
que Ia construction soitneuve,en réhabilitation ou en rénovation. dB (A)r.
Ses principales qualités sont: C'estla forte densité naturelle du cafreatlqtliIuiconfère une bonne
- la protection contre l'incendie, isolation sonore.
- I'isolation phonique, A ti
tre d'
exemple,un cl
oisonnementdoubl
e prenanter
lsandwi
chune
- I'isolation tberm ique, laineminéraleentraînera,outreUrlebonneisolationthermique,I'obtention
- Ia régulation hygrométrique, d'une isolation phonique confodable voire exigente.
- l a facilité etIa rapidité de mise en œ uvre, * CSB = Décibel.c'esti'unrté de mesuredubrult
- l'aspectdes surfaces. JB (A)= DécibelA estunemesure physFoioglquequëpermetdequantlflerunn1-
veau de brudteiquttiestperçu parI'orelise LedB #A)exptime parune
vafeurun niveauJebruitoudIsolemeqt

Lecarreau de pftitre estincom bustible etoffre une grande résistance


auxflammes.Les molécules d'eau qtl'ilcontlents'oppose à I'élévation et
à Ia propagation de la chaleur.Cette spécificité Iuiconfère des perfor- LE COEFFICIENT DE CONDUCTIVIT; THERMIQUE
mancesexceptionnelles telle sa réaction au feu.ilestclassé M0 incom- C'estIa m icroporosité naturelle due au gàchage etau séchagedu car-
bustible. reau Iorsde safabrication quiconfèreà ce matériau sonfaible coefficient
LA RE'SISTANCE AU FEU deconducti
vitéthermique.11s'exprimeparl
alettrelv(Lambda).
Letempspendantiequellesélémentsdeconstructionconserventleurs h en W/m O(3
caractéristiques mécaniques etd'isolation détermine la résistance au
feud'un matériau. Plus Lam bda estpetit,plus Ie matériau estisolant.
LA RéSISTANCETHERMIQUE
C'estIa capacité de résistanced'un matériau au passage du froid ou
de la chaleur.Elle s'exprlme parla iettre R.
IR = valeurrésistance thermique en m?ocMl
Plus R estgrand,plus Ie m atériau estisolant.

Nofe
I-ln carreau de plntre Je 1O cm d'tipa/sset//'correspond e5 isolation
f
/lerm/
kgi).
:
)(1nmurerpbét
ol
)de50cm.

Gràce à Ia porosité du plàtre.ie carreau estun très bon régulateur


d'hygrom étrie.11esten effetcapable d'absorberl'excès d'humidité am-
biante maisausside la restituerlorsque S'airambiantesttrop sec.

De couleurblanche,iiexiste en 6 épaisseurs différentes permettant


Ia réalisatlon de (
contre-cloisons de doublage,
cloisonsde distribution
Lafabrpcation industrielle descarreauxde plâtre Ieurconfère un équer-
rage padait,urlegrande stabilité dimensionnelle,desem boîtementsà
rainuresetIanguettestrèsprécis,permettantune mise en œuvre simple,
rapide.avec urloutillage réduitau minimum . En épaisseur40 mm :ilsera
réservé,associé ttun isolant,
au montage d'une contre-cloi-
son de doublage.

g
c
l
a
o
i
n
s
e
t
s
c
é
h
p
n
a
i
qr
u
t
e
v
s
.
,D
. En épaisseur50 et60 mm
ilsera utilisé encontre-cloison
C'estgrâce aux qualités énumérées au paragraphe précédentetavec de doublage eten cioison de
un peude soin lorsde la pose.que I'onpeutréaliserdes cloisonsou des distrtbution.
parois padaitementrectilignes etverticales. . En épaisseur 70, 80 et
En outre.I
esfaces des carreaux étant(parfabri
cation)parfaitement 100 mm :ilsefa utillsé encloi-
lisses,(
)narri
ve.en soignantlejointoyage,àobteni rdessur facespar- soo de distribution eten cloi-
faitementplanes etIisses pouvantrecevoiraprès un tem ps de séchage son séparative. Pour la cloi-
trèscourt(24tt48 hetlres')toutes formesde revétementmtlrai:carrelage, son séparative,i!faudraitpri-
papierpelnt.peinture.etc vilégierle 100 mm.
PRINCIPALES CARACT/RISTI
Q UES TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIM ITES
DU CARREAU STANDARD ENTRE POTEAUX,PAROIS PERPENDICULAIRES,
RETOURDECLOISON OU éLéMENTS RAIDISSEURS
lpaisseurdu 1 !
40 50 60 j 70 i 80 100 DIMENSIONNEM ENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX
carreauenmm t ; STANDARD
Dimensl
on 66x50I66x50i :66x50j 1 éPaisseurenrnm 40 '50et60 !70et80 1 100
encm I50x60ë
j !66x50;
.50 x60!66x50j50x50
1..
-.. -)
-- , . i
--.-9
. 166x38 Hauteurstandard en m 2.60 2.60 :
!
:
3
'
. 4
-
i . ; j . a4
j -
Distance horizontale i'
poidsmoyenenkg
d'uncarreau
i
;
I
i
ë 23 j
i 21 j
j aj
t entreraidisseursenm 4 5 !
' 6
8 j 8
1
! l ;
r - t-- l--2-6-
' i
Poi
dsmoyenenkg j t h 2
j 11esttoutefois possibie de dépasserces hauteurs ou distances
,m..
at 40 j 50 60 $
y 70 ;
y 80 :
! 100 horizontales sous réserve de respecter Ia surface entre éléments
raidisseurs
Dur
etésuperficiele 255 i
'z55 a55 z55 z55 jz55
enshore(
E
) j 1 TOLIRANCES DIMENSIONNELLES DESCLOI
SONS EN CARREAUX
Résistance aufeu ' '
1 ' STANDARD
d 1h ' 2 h 2h 3h 3h 4h
egrécoupe-feu ( l
! :
g
.
I
Indiced'affaiblisse- : 30 ë 34 .
épal
sseurenmm 40 50et60 70et80 .
: 100
mentacoustique : :
:31à33;
2
j34à37' 38 Hauteurtolérée maxlmum . :
CI
B(A) j j.....y...- ) enm Yg 2 3,90 5.20
.
--
(D ; .
Rési
stancethef- ! l l q Di , sm ps j
.oc/w 0,11 i
1 0,14 I 0,17 j
q 0,
20 r 0,23 0,
29 stamnceenho
mi
quemê -
mu mr
i
zont
al
emaxi- .
g .,g
% .j .
j gy 1
, (;gtl j
g j 5, i , :
Repri
seeneau j 1 @ d
j .. . ... . . .
s;i .........
-.... éi
k : t...
--........
j ..
enpoidsaprès >50% j>50cl
k1
' >50% ;
E>50% >50% I>50% Surface maximum entre t:j q '-' I :
2hd.i 1 i raidisseurs en m'. D u? !
1 .
mmersi
on j 1 ë E
11estpossible toutefois pourcertains types de carreaux,de dé-
passercestolérancesdimensionnell
es(
voirpages44 et56).
Ahentj
of?I -- .
---.
-= Exemple .des carreaux standard cle 60 nlm permettentde réallser
I-o/'sdeJkacolîs:ructond't/rpec/oison.?/fautrespecterdesJ/r7?e/?s/or?s i desclossonsJusqu'à 3.40 m de haut
//)7p'lesen hat/letpc en distal?ce kltlrr/2' zanerllen 1
(?rlra/i?ou en stp/-face.(;ult t t'
)L.:
toil
ct
iondeI'
tpaisseuretr
-
l?lypeJecarreaux(
' Jl//sés. 1
1
desclolsonsde 5,75 m de Iong
Fot?lL'
lépassementJes ppatylet-//'s ou distances /#'n//es,honkoIltales (')t./i st
e/Jsulface dekzr'
a bmpèrativeînentlllégrer( ')/a c?'
oF
sor?Jes rallhssekîrs.//1 i da sdlrface entre raidisseufsne depasse pas 13 m .
enexl
ste3rkres('
volrct?
ap/
rrepoteau.
f/'
a/
d/sseurs.paç?e4,
7. i Dansnotre exemple.siI'on a tlrle hauteurà clolsonnerde 340 rn.orl
ne pourra dresserla cloison que surune Iongueurde 3.80 m sll'olqn'kn-
tercale pasde raidissetlr.pourrespecter1es 13 m de surface nqaxirriLlr'n
entre raldisseurs.
3.40 x X = 13 X = ..1
..3
....= 3.82
3.40
PRINCIPALESCARACT/RISTIQUES
DU CARREAU HYDROFUGZ
'

De couleurbleu clair ilexiste en 4 épaisseurs différentes.Créé pour épaisseurducarreauenmm 50 1 60 70 , 100


les pièceshumides privatives,ilesthydrofugé dans la masse,Sa prise
erleau après 2 heuresd immersion estinférieure à 5 %. 1 I j66xso
11estpréconisé pourtoutes Ies cloisons de doublage etde distribu- Di
mensionencm 66x50 !66x50 (66xso 1sos50
tion dans Ia salle de bainsetIa cuisine. 1 j50x50 166x38
i jsoxetl
11estégalementrecclmmandé en cloisonnem entpourtous 1es locaux i 1
pouvantétre exposés à I'hum idité sans ruissellementde Iongue du- i 1 34
rée :cave.garage,sous-sol,etc. Poidsmoyenenkg h t
y 25
1!peutêtre utilisé en habillage de baignoire.en supportd'évierou de d'uncarreau 7
: 25
Iavabo.en plan de travail. ; 31
;
Poidsmoyenen kg au m? 51 @ 60 72 102
L-
Duretésuperficielle
Remarque 255 jj z55 rj z55 255
11 est f()l-lelre/ll con- enshoreC
. . - . - . j
y-
j- j ..-.
se///ë,en prtéïze/-lf/t)s d'f-/r? nés
d istanceaufeu 2ln p
! 2h , 3h 1 4h
iiye?ltuelr/st/t-/e d'/hor?t/a- egrécoupe-feu ; l
; j
tion (rupture de cartallsa- Indiced'affaiblissement 1 1 1
!or?. déljïorde:lîent d'tpr? 30 ë 33 j 34 1 38
lavabo, fllite c/'tkr? /ak/e- acousti
quedB(A) i- - - - -- -
, 1- --
jtnge' /(?/ée d'urlchallffe- Résistancethermique (
)j4 1 ()j7 l ()x (l
eat/'. elc.7,de poser des
carreatyx /Jycfrtlftpgtjs pour
maocm ' i ' )I ' ,1i yzg
'
.
Reprise en eau en poids yo i
ctqmst/lt/erIa prerp/ère ran- , <5o $ <5o
yo 1
1 <5o
/o <5o,?t
(2de (rallnée tlasse)de la après2hdimmersion ( t I
t()tLj1:!6i (/4?:1 (?l()ILîtlr?tr tirll
(?b''
L;l/'
/t;t?1/t)/'1,(T/é?S;ii/rhéi/'éttliïït)
c't/Lle dclt/fn/ape avantou
apr#s pe cclt//atye Jescha- *

pes. TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIM ITES


ENTREéL/MENTSRAIDISSEURS
DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX
HYDROFUG/S
épaisseurenmm 50 i 60 l 70 1 , 100
j - .
---
.-I k
Hauteurstandardenm 2,60 .;i 2,
60 1 3 , 4
iitancehori
zontal
e q l q k j
q 1
, a
Note
entrerai
di
sseursenm = l = t %' 1
,
Le collage d6). s carreaux tlydrclétkgés doitse fal/e ak'ec une C0//& spl-
ol
a/
te pcltu'rcarreaux hydrofugés.
K LCRANCES DIMENSI
ONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUX PRINCIPALESCARACTéRISTIQUES
HYDROFUGtS DU CARREAU HAUTEMENT HYDROFUG/
lpai
sseurenmm s0 :;
60 i 1
70 li
100 épai
sseurducarreauenmm 70 ' 10û
Hauteurtoléréemaximum I 1 I
enm Lpt!- 3,
40 l 3,40 ! 3,
90 l 5,20 Dimension en cm 66 x50 66 x50
.- . I i
-- .. .
-. ë ' 50x 50 50
66 x50
Distance horizontaie maxi- : I ! x38
mum en m - - ' 5'75 ,i 6,
90 2
r:7 k--.--.- -- - ---- 1 !
:- 40
Poi
ds moyen en kg d,un carreau 28
21 ; 30
;
Su/acemaximum entre 13 13 @ ! 18 i 32 30
rai
di
sseursenm2 j
Poids moyen en kg au m2 84 120
Dureté superficielle en shore C > 80 > 80
Résistance au feu degré coupe-feu 3h ' 4h
I
ndi
ced'
affaibl
issementacousti
queCIB (A) 35 '
i 39
De couleurvert clair.il Résistance thermique m''OC/W 0.14 i 0.20
existeen2 épaisseurs. i
--
.

Cfèéspijcilsquementpour Reprise en eau en poids après2 h


d'immersion < 2,5 % . < 2.
5%
résisterà un usage inten-
sifàI'eau.ilesthautem ent
hydrofugé dans Ia masse.
Sa reprise en eau. après TABLEAUX DES DIM ENSIO NS OU SURFACES LIM ITES
2 heures d'rmmersion, est ENTREéL/MENTS RAIDISSEURS
Inférleureà 2,5*,0.
11est surtout prèconisé DIMENSIONNEMENTSTAjDARDDESCLOISONSENCARREAUX
pourIes bâtiments collec- HAUTEMENT HYDROFUGES
tifsetindustriels. épai
sseurenmm 70 i 10n
11estcapable de résister '
2 -''-- '
à une forte exposition tl Hauteurstandard en m 3 4
I'humidité alnsi qu'à des
ruissellements directs, Distance horizontale entre raidisseurs en m 6 i 8
mais sans pression. pou-
vantatt
etndrejusqu'
à3heu- TOL/RANCESDIMENSIONNELLES DESCLOISONS EN CARREAUX
res parpérkode de 24 heu- HAUTEMENTHYDROFUG/S
res sous réserve qu'ilsoit
revêtu de carrelage. épai
sseurenmm 70 100
Enoutre,sa haute den-
sité$uiconfère(Jnefor'te ré- Note Hauteurtolérée maximum en m 3,90 5,20
sistanceaux chocs.
Le coliage cfes carreaux hautement Distance horizontale maximum en m 6 90 i 920
byc/roftppés doitse fo/r'e avec une co//e , I .
hydrofuge.spéalqt/e aux carreaux hat/- k.--..1 j
tementhydraft/pés. Surïace maximum entre raidisseurs en m;' 18 '
1 32
TABLEAUXDESDIMqNSIONSOUSURFACESLIMITES
ENTREELEMENTSRAIDISSEURS
11estcommerc/alàsé en2 versions différentes :
DIMENSI
ONNEMENTSTANDARDDESCLOI
SONSENCARREAUX
' ALV/OLES
- de couleurblanchedans savel-sion standard.
- de couleurbleu clairdanssa version hydrofugée. épai
sseurenmm 60 70 I 100
11existeen 3épaisseurs.quioffrentulngainde poids de20 à 30 % par
rapped à un carreau de piàlre massif.11estallégé pardes évidements Hatlt
etlrstacdardenm 2,60 ) 3 2
@ 4
bi
encal
cul
éscapabl
esdeconjuguerI
égèreté etsolidité. Distancehorizontal
eentre rai
disseurs 5 1 6 1 8
j
11estparticulièremerltadapté auxtravaux de réhabilitation ou de ré- enm k !
novation etdestlné auxcloisonsIégères de distribution oudedoublage
parlouto61I'
ondoitéviterlasurchargedesstructures(aménagementde TOLCRANCESDIMENSIONNELLES DES CLOISONS EN CARREAUX
combl es.redi
st
rp
buliondevolumesurdesplanchersancjens). ALV*OL*S
épaisseurenmm 60 pi
70 i!
100
PRINCIPALES CARACTéRISTIQUES Hauteurtoléréemaximum enm 3,40 l 3,90 i 5,20
DU CARREAUALV/OLE h
. )
' Distance horizontale maximum en m 5,75 i
1 6,90 i
! 9,
20
Version standard Versionhydrofugée
r 1 è = Surf
acemaximum entreraidi
sseurs !
Epaisseurdu 60 ë
j 70 100 60 t
. 70 100 en m2 13 l 18 ) 32
r )
Carreaue1)mm j l
Dimensi
on 66x50i
i66xso7'
(66x so 66 x50E
l66xsok
encm 940x60( h40x60p66xso Dimensions etsurfaces limites sontIesmémes pourla verslon alvéolée
y que pourSa version standard.
j.
-..1.-
8--
--;
---.
----
.-.-- ----
j
..-
.-
-
..
----i
i .
--
. . ..
..-.--..-.---.-.-.--.-.. .. . -.--- ..-------.---
Poi
dsmoyenenkg ( j
' 18 j
d,uncarreau 17 ë 13 j . 25 17 ( 13 I 25
Poids moyen en kg r
' i
sl I 54 75 51 1 54 75
aum? j j-
j
Durelé superficielle r l i i
2255 t
q z55 1
enshoreC ' 255
. u55 ( 2:55 ' k55
Résistanceaufeu i

Q
degrécoupe-feu 1h I 2h 3h 1h 1 2h 3h
j ..
q
l .
ced.at
Indi faibl
isse- 32 ( r j
! 32 (
mentacoustique 32 à34,
' 30 :32 à 34


d:(A)
si
t
miqsu
ta
enmcether-
'OC/W
0,20 k
j 0,23 I 32 0,20 4
i 0,23 I 0, j0(),23
,z:
j j 0,
32
! j h
Repri
seeneau j l
1
l
1
t
1 o
en poids après > 50 % i> 50oo'> 50% < 5% )< 5% I< 5 z'
o
213d'immersi
on I
I 1
I
TABLEAUX DES DIM ENSIONS OU SURFACES LIM ITES
ENTREéLéMENTSRAIDISSEURS
DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX
HAUTE DENSIT/
Decouleurrose,i)exisle
en 2 épaisseurs.Son ex- épai
..
sseurenmm .- -- -.
70.-.- ;
7
100
ceptionnelle dureté super- Hauteurstandardenm 3 t 4
ficielle,sa résislance à Ia i
compressionetsatrèshau- Distancehorizontaleentreraidisseursenm 6 1 8
te densité le destinentplus ;
particulièrementà la réalisa-
tlondecloisonsde distribu- TOLCRANCESDIMENSIONNELLES DESCLOISONS EN CARREAUX
tion.dedoublage etde sé- HAUTE DENSIT/
paration soumises à des
passages fréquents :bâti- ipaî
sseuren mm . 70 ; 100
- . . , W ..
ments collectifs,industriels,
scolaires.ùospitaliers. Hauteurtolérée maximum enm 3,90 l 5,20
Distance horizontale maximum en m 6,90 t: 9,20
.. . . .
Wsi . ., ... . -.y''
Surface maximum entre raidisseurs en m'' 18 i 32

PRINCIPALESCARACTéRISTIQUES DU
CARREAU HAUTEDENSIT;ouTR/SHAUTEDURETE
Ils sont:
lpai
sseurducarreauenmm 70 I lcc - de couleur violette
#
....
---..
i 66x50
-.-..
-
.-. pour les carreaux à âmes
isolantes,
Di
mensi
onencm 66x50 l 66x38 - de couleur beige
j
pour Ies carreaux allégés
Poidsmoyen en kg d,un carreau 28 i
1
. 4
30
0 dans Ia masse.
1Is sont disponibles en
poidsmovenenkgaum2 84 i 12o 4 épaisseurs :60.70,100
1
.
et 150 mm et sontcompo-
Duretésuperficiell
eenshoreC 2:80 ! 2:80 séssuivantiesfabricantsde
Résistanceaufeudegrécoupe-feu 3h l 4h 4 isolantsdipérents :
t
-.-.---
.-
.-
..
------..
-- - Ie polystyrène ex-
lndiced'aff
aibl
issementacousti
quedB (A) 35 1 41 trudé
- Ie polystyrëne ex-
Rési
stancethermi
quem2OCIVI 0,14 1 0'20
--..-- -...-----.---- -----
pansé,
Repriseeneauenpoidsaprès2h 1 - Ia Iaine de roche,
< 30% 1 < 30% - Ies billesde polysty-
j'immersion I rène.
PRINCIPALESCARACT/RISTIQUES DIMENSIONNEMENT STANDARD DES CLOISONS EN CARREAUX
DESCARREAUX LéGEBSETISOLANTS L/GERS ETISOLANTS
'
P
Lainede 8.
!! .
P #e
.
ol
ystyrène Polystyrène Xè
ol
ystyrène
expansé
Poel
ystyrène
xtrudé
Lainede 4è
roche expansé extrudé roche iè
G
D.
) '-'---- ' ipai
sseur l 1
Epaisseurdu 60i i j i enmm 60!
l701100I
i150 70 100 150 70 100 1K 79
carreau t70 100 150 7ûJ1p0!15p 70 1(* 150 70
enmm 1 l I Hauteur i
( # 1 j
y y
' j Standard 2,6012,60! 3 1 4 2,60' 3 4 2,60 4 2,69
E
7p
-aisseurde y ë j j j i ! l l
l'
isolant 30 140 i70l1(o 4017o 1(o 4: E7c !(o enm j j j j ë
j j ! y I
enmm 1l
.. .--j 1--.--.--.---.j l
-.-.- . ;; i:
j Distancehori- t t p 1 j
-
zo n
disseurs 5 2
tal
e ent
re f
i fj6 )8 f
.6 8 5 j6 .
Dimension 6x6 6x 6j 166 66 66j
jx x x1t6X6 .16X 6 66 66 16: 66
Ktx(X x rai
enm ! (
,
j
1
18 5
l
encm 50 I50 j50 50 50 150 j50 50 50 50 50
poidsmo'y TOLéRANCES DIMENSIONNELLES DESCLOISONS EN CARREAUX
uen
n 11 )(11 l s(12119 !4Ii!s124
p 1
en kg d
,
j1a l
t j18 11, , 1:.r ' L*GERS ET I
SOLANTS
carreau - t , j ; 1 . @
P :.
z
Poidsmoyen L I j , olystyrène Pol
ystyrène Lainede :è
enkgaum2 33j
j..
33 36(
154 351
... I
36j57 42 45 72 39 expansé extrudé roche
CL
Durelé ( j
t , f !t t
1 j '
superfi
ci
ell
e z55;
'z55j2:55255255'
(k551
t2t55155!
,
1k55ja552:55
ERai
sseur
enmm
7
r- ' f ' i
60 @7: jjcc jstl 7z 1(m jsn 7: jjt)
c jsc 79
enshorec 1 1 j ! , q
Haée
Rési
stance
ae
dugfr
eéu 3h
/4l
j
'
f3h
/
413h
/4 1/2
tl3h
/41
i3i
/
n
4j
;
.1/2
l
j 1
a2h2h 3h 1h rutemax
urtolé- 1
i- 2,601 0g1
13.4 203,40jt3,
i3,905, 90l5,203,
403,90l
j5,
203,
40
mumenm 1 : '
z,- ! ! j
coupe-feu l ' i 1 ( .- .g--
ouj- .- j 1 .,-
. -
;
. . -

ur .
Dist
a ncebor
i- ) l6,90 9,20 5,75
I
ndicedafai - j l j j j zontalema- 5 l5,
75j6,90 9,
20 5,
75 6,
90 9,20 5,
751
bli
sseme
acousti
n
que
t 27j
4
27 2
7 31 27!28
j j
j32 29 30 33 a: ximum en .
- UU -
' !
. s-... , I . .-..
t- , -.-.1 .
s -' ' j I
dB(A) t1 i t
i
. urfa
mu mc
eem aexi
ntr -13 j
(13î
1 t) j
Résistance i 1 1 i18 j32 13 t18 32 13 18 j
j3:? ,a
tlaermique o,7si
i 1 30 1,40i
;1,65 2, 40t
;2, l3,45 1,jo j,9:I2,z0 o,s rai
di
sseurs
en m2
p
l
j j
,
l
i
j
mzocAN r p
1 ! ) k !
Reprise
.-- .-
i j
.. .------l---- --..j
----j
j 1
' ---- ---
eneau 1
I i
j 1 l
, ( C
>50> 50 >50>50 >50T> 50 >50> 50 >50> 50 >50 l escarreauxnepeuventpasëlreuti l
isèsdanslerrlcrr agedecl ol
àons
e
an
p
d'

ps
oi
d
2shon oj
immersi
ro;%l
I k
jogo %i
jo/o1% %jo
q 1
go ozo o
. zo tdep-.rarl
desi
....-.-...
mu.-t---.
eurs rl
zo/ rp
-- ..--.-..
ages44,.---.
- --.......- ..,- .
et.-.5.-.
6?.-- -
..
-.. .- -,
..--. ..--.- .-

jj/?ph/ 'Xr 4+ .e - Y+. '''*.'a-' <.'''''''''' . ..


?l f
Lescarreaux Ségersetisodants présententun gain de poidsde plus de LLIB'ra//c?'L//')cnzrreav/ecke/ b
. .
50 % parrapportà uncarreaustandard. el. Jse, 'ar,t /a sot/oe s -
'
,
'
.
Ils sontparticulièrementadaplés à Ia réalisation de doublage de murs 7l(?.
? ')l''
e dar tte G/l-/cn/'reat; '
etdecloisonnements isolantslégers enconstruction neuve rénovation CO?).S!!;(if:l6)?rJk.
T)/'-.u
,At/p(?/
j-
ou réhabili
tati
on(cloi
sons iégèresséparativesen combl
es,cl
oisonsiso- S*
tvre'le elrt)ilnl?.,%
jantesentrepièceshabitéesetpiècesnonchauffées,etc).
Ces4 typesde carreaux offrentde bonnes qualitésthermiques.
e u

Silasudace (etdoncIadi
stance hori
zontat
eou i
a hauteurl
imi
te)est
supérieureauxdimensions autorisées,ilfaudra intégrerà Ia cloisondes
raidisseurs.

11enexistetroisty-
pes : ,2
Ies raidisseurs '.
& .. z.k
en bois (1),
Ies raidisseurs
Lechapitreprécédentdonne(sousformedetabl
eaux),pcl
urchaquetype métalliques(2),
decarreaux,une hauteuretunedistance horizontaledecloisonnement
standard etune tolérance limite. les raidisseurs v o .
en carreaux de plâ- C0/t
?f
t2
: -
.':
: ).-.,,.-' -- d:::::''
Note
tre(3). k
'
/t?
yiptr u .-.
-.
-' ' '
' ..
-
Lesdeuxpremiers COk r/e T
z
..
' ''
11estrotlàeftl/à possible (:g Jépasser/es tolérances /l7?/res dimension- seront d'une épais-
nell
esc/ar?s/ e casde c/tl
/scrsdegrandes hauteurs( parexenwl e cage seur correspondant .. 1
J'esca//er),cesdîmenslonsseronrdonrtéeser?f/hdec/pap/t/ee.papes56e! a I'épaisseurdu car-
57), reaude plâtre utilisé. ban es
iIs seronl implantés ..
S/.
/len
.;j
K
e
.S
Lesdimensions lim ites d'une cloison varienten fonction : (surl
etraçageausol)
- de I'épaisseurdu carreau etde son t'ype, avantmonlage de la
- de Ia hauteurde cloisonnement. cloison et fixés en
x..;.
... -.
- de Ia distance horizontale de cloison. partiebasse à Ia dal-
- ou de Ia surface de cloison entre éléments d'appui Ie eten partie haute .. uu.., .
. murpe fpendiculaire .fetourdecloison au pjafond par des .. .:..
. poteaux .ou éléments raidisseurs équerresmétalliques
(voirexempledecalcul,page37) '.-.-...--...v%v+%
1!211 ,... ..tk:.:i.xpar'.u'
.
j ...
(.
,
'
.'
.t
.
o)
t
.,
l
,.0 .
'

. , . .
.. . ..::...
L .?...,. r47/.
d?.SScur
colle

.IiL''
r.
7.x' .;x!
;.;j
/
..
).
.
isl/
Fmnr
s/
eeborisontole 3.
.
.-
.

'

CAS PARTICULIERS CAS DES CLOI SONS DF GRANDE


HAUTEUR
CAS DES CLOI
SONS N'ALLANT PAS JUSOU'
AU PLAFOND Les hauteurs etsurfaces données ci-
Un raidisseurhorizontalsera positionné surIe dessus de la cloison 1
aprèssofntvalablespourtous les types de
dans Ie cas où cette dernière seraitmontée : carreaux de plâtre,à l'exception des car- 1t '1 !'
-'
- avec descarreauxd'Une épaisseurinférieure tt100 mm, reaux légers isolants.
etd'une longueursupérieure à 2 m. !
- Voirausslmise en œ uvre d'une cloison
de grande hauleur,pages 199 et200.
Ce raidissetlr horizonta! l .
sera constitué soit par un '
profilé métallique.soit par ipaisseurdu q l i L .. .
un tasseau en bois d'une 60 .70 I80 i100 1 Lt.
.
épaisseurd'au moins 3 cm carreauenmm 2 p j h
etd'une iargeuridentique à Hauteurmaximale 8 ) 9 ! j
''èpaisseurducarreaa.1)sera enm : 9 j12
fixé en boutpar2 équerres . i y-
j k-
..-.. si - . ; :J=
(1
au gros ceuvre. . . i
Surfacemaximale @ j . :
entre raidisseurs I @ 1
oumurdegros
10 '14 i14 )25
( ( i
œuvreenf
'
na E j : . mgjqoz

Ce tasseauhorlzontalsera renforcé par


2 Iattes de 4,5 cm dehauteur,visséesIaté- CAS DES CLOISONS EN SURPLOMB
ralementde paf'tetd'autre du tasseau de Ce sont!es clpisons quiviennenten bord de trémle' en bord de mez-
manière à constituerun U . zanine.etc.
Ce raidisseurhorizontalalnsiconstitu# Ellescécessitenttln renfod plaqué surl'épaisseurde la dalle etdé-
sera fixé surIe hautde Ia cloison tous Ies bordantsurle premierrang de carreaux.
mètresenviron parchevillesetvis. Cettesortedebutéepeuttrèsbienêtrecoqstftuéepartlrleplanchedont
l'épalsseurserad'au moins 15 mm ,ets0n débord surIe carreau d'envlron
100 f'nm.Cette planche sera sofidarisée SufIe chantde la datfe etstlr!eS
carreauxparchevillage etvissage.
CAS DES CLOISONS
EN éPI
Un raidisseurdottobli-
gatoirement être fixé en
-- *#* boutde cloison en épi. . r
u ttentl
r
o-
/, .
r .

7-l,- '

.
'
.
'
z.
lta
,
l-;.. .i'
#
. .w,#.b
'-Yo ' .#*#
' LeS CIOISORS e,
9
,w '
tpl
omb I 1e doi
9 sur-
venten au-
. ' )cun cas êt re dressées
' .
.

.
' -
v. . ..; #t ' '
Iavec O'
eS carfeaux d'une
%, ...
à.
'b '
.# .
l
@épai
sseur inférieure â
t70 mm .
I
INSTRUM ENTS DE GUIDAGE VERTICAL ET D'
A PPUI
.

--
s
m
e
d
i
p
r
(
'
6
u
o
n
a
v
C
t
h
e
r
-
p
c
d
ê
s
l
2
g
o
n
é
a
)
f
t
è
,
u
e
i
d
m
y
r
o
l
p
n
3
s)
q
é
e
a
t
(
c
O
I
d
u
r
è
o
g
n
i
p
f
s
v
m
e
l
a
'
r
u
d
f
o
i
n
t
g
é
x
e
s
,
l
a
p
ct
o
.
i
r
d
n
e
é
f
m
s
(
u
g
c
p
x
q
o
t
i
r
n
v
,
e
a
é
I
'
m
à
u
l
g
r
b
s
t
n
a
e
o
ip
m
d
(
l
c
u
g
t
r
v
a
e
i
o
.
p
s
n
l
d
b
,
é
t
z
a
o
v
2
p
n
e
g
r
i
c
1
è
s
q
0
ul
V
'
à
a
t
b
e
m
n
i
o
r
2
p
,
v
c
l
s
d
8
q
g
a
0
u
e
t
n
m
é
)
r
l
. x4cm parexemple)etparfai
tementrectili
gnes.
Dans ce cas,après 1es avoircoupés à une Iongueur
correspondant,
'jla hauteursous platond moins 5 mm en-
viron.vousassurerez leurblocage ausoietsousplafond
parde petitescales biseautées.

OUTILLAGE ET USTENSILES DIVERS


- Marteau de m açon,hachette de plâtrier,burin.
11setrouveprati
quementcheztous1esbonsbri
coleurs.A défaut,1peut - Truelles,Iisseuse,spatule. - Scie à grosse denture.
s'acquérirà peu de trais. - Augeouseau. - Quel
quespeti
tsserre-joi
nts.
INSTRUMENTS DE TRACAGE ET DE MESURE
- 1règledemaçonenaluminium de 1,50à2m (quipermettradevé-
rl
fi
erl'aii
gnementdesrangéesencoursde montage,etdetracer).
- 1cordeauàpoudre (pourl
estraçagesaus0Ietaupl afclnd).
- 1double m ètre, - 1crayon.
- 1fiIà plom b. - 1 niveau à bulles.
LA BANDE X JOINT
(oU CALICOTIET .
BANDEh CUEILLIE '
Enrouleauxde75 mm de
LE U EN P.V.C. Iargeur,iIs servirontà la fini-
11estcommercialisé en 40.50,60.70. tion des angles rentrants
80 et100 mm d'épaisseuravec deux hau- verticaux,età la finition des
teurs d'aile.25 et85 mm. liaisonssous plafond.
En privatif,dans Ies pièces hum ides,
la pose d'un U en P.V.C.évite les remon-
tées capillaires dans ia première rangée CORNI/RES
de carreauxde la cloison.11protège égale- D'
A NGLES
mentd'éventuellesdégradations,Ie basde
.-(Altenfiot;l-. cloison. SAILLANTS
SlIa cb/sorla une /c)/?- En domaine privatif pour Ies pièces En métal galvanisé ou
gueur( '
/ponàrrll
a/e)supé- humides.Ia posed'un U en plastique n'est en aluminim de 25 mm x
r/èJ?'e iL
b.3,50 m,pe U er? pas nécessaire dans le cas de l'utilisa- 25 mm x2,50 m,elles assu-
Rttc.J?e pet-lt pas tll/'e tion de carreaux hydrofugés ou haute- reronten finition la protec-
utilisé. menthydrofugés. tion des angles saillants.
11existe égalementde la
bande arm ée en rouleau
(appel
éeaussiFl
exCorner),
LA BANDE RE'SILIANTE EN LIE'GE elleassure Iamèmefonction
que précédemmenl.
Elle existe en 40,50,60.70.80 et100 mm de Jargeurpourune épais-
seurde 10 mm.
Cetle banderésiliante perm etd'absorberleséventuelles dilatations, LA PATTE X VISSER ET
chocs,vibrations,légèresdéformations,etd'éviteralosi!esrisquesulté- LA PATTE A' SCELLEM ENT
rieursde fissurage,
Elle sertà solidariser Ie dorm antdes
La bande résiliante se colle en liaison huisseries en bois avec Ia cloison.3 ou
entre 4 pattes à vis sontnécessaires parmon-
Ie plafond etle hautde Ia cloison, . a: .'h
.
tantvertical.Cette pièced'attache en Lest
entre Ie dessus des huisseries de C2' ' vissée d'un côté dansle dormant,etclouée
(e *. portes en bois etIeurs retombées verti- < de I'autre dans Ie carreau.
<., Le positionnem entdes pattes se faità
cales sur20 à 30 cm,
j-- - sur toute la hauteur de part et
d'autre des raidisseurs métalliques ou e'* ''4
h'V '
hauteurdes paumelles de la porte.Eiles
sontfi
xéesauniveaudesjointsdescar-
reaux,progressivement,au fur età me-
en bois .
*: Jh'' k
..
#wv
entre le murd'appui(grt?s œuvre
.
. sure de l'élévation de la cloison.
ouport
eur)etIacloison surtoute I
a hau- La solidarisation des huisseries mé-
teurdans le cas d'une liaison avec une talliquesavec Ia cloison estréaliséequant
structure particulièrement déformable à elle avec des pattes àscellementcou-
(parexempl
estructuremétali
que)oudans j.J$
'.
:)ccj.
tzéko.x
io .,,,
., v jn)uq..
erj iissantes(ellessontgénéral
ementli
vrées
avecI'huisseriemétali
que).Voi
rpage52.
k Ie cas d'une cloison morltée sous une ter-
rasse.
2./Daïtes'asciz//e'r'reclJet
./
16T5()7

1
lianteetIe hautde Ia cloison e. ..îl
tw%..è e. : j
,x.*.,'...
s7.v..--..r s..
.t.
'.Yzu
r.:.;
1. .;.
,. -.*-
seracomblé parunmélange :..'.'
rt%-1:7.V.
. zvat--zr.tiz.
. ..-. '*
-.. ..
constitué à 50 % de colle à '...'k,:j%
* -+. i
1 .
.t
-
,x
;
-4
:.
*,e'
-e.
i
.r.
'-
.w''N.4 ' -.-
carreau et50 % de plâtre. ).
.- .

Après durci
ssement (15 à t
LES LIAISONS AVEC 30minutesenviron),I'
excé-
LE SOL dentseragratté ttla Iisseuse
ensuivantla face ducarreau
Sile solesttrop irrégu- (voi
rphotospage55).
Iierou pashorizontalilfau- La finitionserare'alise'e par'
!apose d'une
dra réaliserun solinen bé- bande a'cueillie.
.?;
>
.
+.y
v',j
ut-#
%.
y.k
.
, ..
'
--:
.
- tond'unejargeurcorrespon-
' , . . ,,
J
-
Parinjectiondemousse de poly-
t'At
Qt
,
k-,;.J.
V.v. *q,
r'.
=:
*-
r
x
.M' can!aIépai
SSeUrdUCa.
rreaU enù-
on!
' - 1 uréthane entre Ie hautde Ia cloison etIe
,- . ,(-
l
sqi.
f
a
?.
ke. depl
âtre util
isé. 1 uelqueso/ !/emat é-'( plafond.11n'est,dansce cas pasnéces-
.
ys .
x
e.<s. 1I.làu compcsanlJe plafond. 1 sai
..--- Si Ie sol est constitué 1
, /espace entre f
r
e plafond 1l rlelede poserune bande résillante enllège.
par un plancher ancien,il '
!et/acl èrerangéede l Vei
erni z égalementà ce que Ie hautde la
faudra mettre en place une Icarceauxnedoi tpaspf? e I cloisonetIe plafond soientdépoussiérés.
.
lisse en bois d'une largeur
aumoins égale àI'épaisseur
lsgpéri
ximum
eur.
.
)t?cmma-1I 2se.
)2. à 3 heures aprèsI'expansionde Ia mous-
l'excédentsera coupé au cutterou à la
ducarreau utilisé. spatule.Unjoi
ntoyageseraréali
séavecde
l
acoleàcarreauxouàjointsetIafinition
Note parIa pose d'une bande à cueillie.
Pourune bonne tenue I
DLAFONDEN PLAQUEDEPLATRE
de Ia c/tnàon,/7es!lhîpor- La pose d'une bande de Iiège n'est
.
'. :!. tant cgtpe /e collage de Ia pas nécessaire, I'interstice sera comblé
tlarpde résiliante se fasse par bourrage d'un mélange 50 % colle,
Leso/pr?peo'tijjya/e/nerllélreconstituéparun * st/r un p/afcmd parfaite- 50 % plâlre.
assemblagedelasseats. rformantt?fJU. ' mer?t dépoussiéré. 11 en La mousse polyuréthane est prohi-
est Je même, lors du bée en raisondu risque de trancherdans
bourrage de I'interstlùe, les plaquesdeplâtre Iorsde Iacoupe de
Enhabitations pri
vatives,dans 1
es piëces dites humides(salede que ce dernjer se fasse l'excédentde mousse expansée.
bai
ns,cui
si
ne W.C.),i lestfoëementconseilléde réali serau moi
ns I
a sur une rangée de car- La posed'unebande àcueillietermine-
première rangée de lacloisonen carreauxhydrofugés.Dansce casIes reavx fora/emer?lem mpte ra Ia finition.
carreauxsontdirectementcolléssurI
esol(avecl
acol
l
espécial
epourcar- de '<sciure ))deplâtre.
reauxhydrofugés),Voiraussiremarquepage38.
Sivousdécidez d'utiliserIe carreau standard,ilsera dans ce cas posé
dans un profilé P.V.C.en U à la condition que la longueurde la cloison Astuce
n'excède pas 3,50 m. Pourfaclllterja m?àe ep p/aceduderrlferrang Je carreaux,a/r?-s/cy/e/e
remplissagede I'intersticeentre lep/aécwdetle hautdescarreaux,on peut
LES LIAISONS AVEC LE PLAFOND tallleren biseau Ie c/narlfde ces derniers.
PLAFOND EN DALLEDEBéTONOUPOUTRELLES AVEC
HOURDIS OU BRIQUES Remarque
La Ilaisonpeutse faire de 2 manièresdifférentes : Enrcmcl/cm de/a hauteurrestantenlrepeplafond et/'avant-jernièreran-
géede carreaux,//esttot/àà faitposs/tl/e,6)1mêrneconseillé,deposition-
-
Parcollagesousplafond d'une banderési liantedeIi
ège(delar- ner?escarreauxk'ert/ca/e/perpl.
geurégaleàI'épaisseurducarreauutilisé).L'intersticeentreIabanderési-
LES LIAISONS VERTICALES UNMURENBRI
QUES t l .'
--
i
LE!LI
AISONSAVEC DESCLOI
SONSENCARREAUXDE OUENB/TON -. S
PLATRE - Sil
emurestbrut,l
e )
, ô.
carreau sera collé directe- rz-#. j -'.
t
.--
'p
,
.i
mentsurIa bri
que ou l
e t
béton(dépoussi
éré). '' .,
-
Silemurestdéj à en- ' '.

Vd
.
i
f
P
g
e
I
E
é
a
u
n
r
v
l
i
t
p
c
e
s
o
n
u
é
f
'
(
t
l
r
2
ed
a
)
:
,
g
c
q
v
o
e
r
t
u
x
n
l
i
s
d
.
!
o
'
r
e
n
a
ct
,
é
r
h
s
a
e
l
o
v
u
i
n
t
c
r
a
e
o
s
l
d
n
é
1
v(
t
e
a
3
s
u
)
r
.
c
m
é
:
i
e
L
t
a
n
d
p
i
è
t
r
c
e
an
s
-
t
duit,ilfaudra Ie ''piqueter'h '.
(I
e pi
quetage permet une 'wA ,
bonneaccrochedelac0lel. .
LES LI
AISONS AVEC
UNE CLOISON EN
PLAQUEDEPLATRE Rem arque
. Par pénétration à mi-carreau 'une - Ltlrs do n'ltmfage de /a cloiso'î.
rangée surdeux.le carreau traverse à Lescarreauxserontcollés
directem entsur Ia plaque vous couperezles carreaux de le//e ma-
'z
Z
Jvz'
'
mi-épaisseur Ia cloison. Toutes les rnèrtlQpeI'intervalleentreIemt/rd'appui
surfaces en contactserontencellées. sicette dernière estbrute. etle car/'eatp soitd'7cm maxilnum,Ce
La paqie de lenon quis'encastre sera SiIa plaque de plâtre est
enduite peinte,etc.,ilfau- tje/r/e/-sera iùourré.fl/a colle.
sciée etenlevée. - & I'intervalleesrcomprlà erllre ?el
dra Ia gratter. 3 cm rpamhstyfr?,tlsera corrlblé ayec tm
Réalisation de l'entaillage à mi-carreau : mèlangemoitiécolle,f'r/ctr/éplâtre.
- TracezaucrayonIasaignée surla hauteurducafreau,la Sargeurcor- Note - S?'I'intervalle est/rrlportanl,11rat/-
resp/fadra à l'épaisseurdu carreau,plus 0,5 cm (3). Tous Ies angles ren- dra découper t/5 morceau de carreatz
-- Tracez Ca profondeurde la saignée à mi-épaisseurdu chantdu car- trants serontg'arrpt
s'.en //- l
1L
)
l
èn c/
épot/ssxri
jà i
ntercaleren prë-
reau(3). niti
on,t
j't
-
mebarï
deàjoi
nt voyantun p
ëty a''
environ 7cm rruz'
/àr/fa'?
.'rl
- Sci
ez/es t'cl
rcisdelasai gnée surletracé (pl
usi
eurs sci
agesj
nter- collée. pour?acole.
médi
airesfacil iterontI
edégagement)(4et5).
- Dégagez I'entaille au burin etau marteau (6).
LES LIAISONS AVEC LES HUISSERIES
4 Un soin padiculier sera requis pour Ia
réalisation des Iiaisons avec les huisseries,
< - -w qu'elles soientmétalliquesOu en bois,en rai-
sonde Ieurexpositionévidente auxchocs.

< '' < . 'G


'
'Nu
3 /'
v rpt
*'-.<.&'
.'
œ ,.+e*
$ ' j'o
# % Note
?
-
'implant
atl
on d' une huissene flcps ou i
r ..
.. .
N.. )j , . métal )doitsetrouveràaurntl/r?
s' lOc/'
Flrni- ' 2
X' %< . . < - çtimum d'wr?e cloisonperpendifwlaireàe//e, K-%:...kJ''''.1!
6.k . af/h dIen assurer (:7
/?une par/.son bon en- ''r..k..;-.= * ..A
.n 4 crage etde donner dautre part,une bonne c''
' ,';..;. .> +
% u.
Nc ,.
m<w. .',eA'-
v..'Gcxq , /
-
?
k/d/
lëelvnt30l?rrl
arti
enàl
a()
/()/
t
s()r?
. .
v.-. .
t-
' +- % !;!
:k '.'.. .,
k!qk;q. -'' J. ..&..:

.z'j....
-.
r tz
. '.6'
Le choix de I'épaisseurde I'huisserie devra correspondre à l'épais-
seurducarreauutil isé(ex.:pouruncarreaude70mm d'
épai
sseur,i
lfau-
draunehuisseried'épaisseur70mm).
- Li aison avec 1es huisseriesen bois Remarque Le premiertravailà.effectueravantla pose de totllcarreau estIe tra-
Le carreatlSera encollé sur toute sa
haut /1 es( retlommandé, çage.1!esttrèsimpodant,cardecetracédépendronlI'implantation etl'ali-
d eur etencastré dans 1@s montants pour pa///.6'r /es éventuefs gnementde votre futurectoison,ainslque I'emplacementdes huisseries
eL
l'huisserie. risquesdl de ô'sstpral/bq de
asolidarisation de l'huisserie avecleS
rangs successi fs de Carreaux se fera par garniç/ cun
Ilànte e f
e bande rési-
orrrtarttJe J'/yujs-
LE TRACAGE
4I
'i
ntermédiaire de pattes à Vi sser(3Ou sef/. e. Sur tovte ja lon- 1,
4 1f?rn/n/acer?pent soz'?/)a/te.
des joints des carreaux à haau
s
u fisen tpar mo ntant) f
ixées uteunri
ve
dau
es g.zleulefpp, Rrt
' jojnagta a/ n- 'ra.cez a?-
. /corùeali(
gnemenîde/'
')povöre/'
aclokson.
a.!'-
s?qble &tJ/-20 j L)c cm 1es
Pommell es (voi rchapi tre <Matéri aux et rrlontarlts j
atyaux.
matéri elComglérfh entaireso,gage461.

>
j. 4
4
2.Ttacezt?n deuxtèm erra/r.pla-
rallèle at./prelnl
èl'
.J.l,% d/sl&/l(
:;(?
Col'respolîf/î'?!Qi/'
t?JJé)YSCW çie ' '' ' '
iLbC/()/S(?rl -.J P' .'
k z.
<< ,
Patte Jesobdansatiollintz/s-
serenfornleo'eL.

3.F/eacezailisitollsleser/lp/ace.
lnel?ïsdestNtl/sorps,

- Liaison avec Ies huisseries métalli-


ques 4.lzressrez e!JNJ.rn/ez /'er??p/a-
LemontantdeI'huisserie sera bien en- CelnOr?à. 4eSJ
htz/sseries.
collé etviendra recevoirdans son évide-
> -'.:.7% .wx
mentl
ecarreau(iai
ssezreflueriacole).La . .
solidarisation de I'huisserie avec Iesrangs z' . y . :'
.- G;x
successifsdecarreaux,se fera parI'inter-
médiaire d'une patte métallique coulis-
santeàsceli
ement(3ou4suffisentparmon-
tant)posi
ti
onnéeauniveaudesjoi ntsdes t'
+ ..'x
carreauxà hauteurdes paumell es (ces v.
. s.j .
pattesmétalliquessontgénéralementlivrées
avecI
'
hui
sseri
e). lA
'u
s. . . 'e'N.'z.'
e< %.
Q=g +x . 4.
'-2
1' ,
Le traçage d'une cloison perpendiculaire pose padoisqueiques problè- Exemple de contrôle d'un tra- 4
mes,pourêtresûrd'avoifun angle droitpadait surtoutsil'on ne possède cé d'angle droit,enapplication du
pasd'équerre suffisammentgrande.L'astuce,danscecas.consiste ttappli- théorème de Pythagore '
/
querde maniére pratique unedes propriétésdutriangle rectangle,àsa- - Tracez un repère à30 cm sur .kj .'
voirIe théorème de Pythagore. un descôtés (1).
- Tr acezun repèreà 40 cm sur 1$
. .

Le carré de l'hypoténuse
I'autrecôté(2). /-a
i
e.
- MesurezIa distance entre 1es
est ëga/à Ia somme des 2 repères,ellesdoitètre de 50 cm
carrés des cltgs de I'angle t3j.
droit.

En pratique, comm ent se


servirde ce théorème ?
Le pointA est le départde
votre cloison perpendiculaire à
tracer.
- Marquez un point C à
BC2=AB2+AC2 30 cm du pointA.
- Tr acez une Iigne A1-A2
parallèle tlAC ttunedistance de
40 cm.
- Tracez une ligne CB de
50cm delong,demanièreàce MISE EN G UVRE DES CARREAUX
qu'
ell
e coupe Ia l
igne A1-A2./
l'intersection de ces 2 lignes,
vous obtenez le pointB.11vous
suffitde relierle pointA au point
B pourêtre sûrd'obteniruntra- 2.PosisniwezIesp/gesde ma-
trocl de l
a cé de votrecloisonparfaitement ntèreparia/lerrerqlverhcale a/'a-
....- -cl
ofson à angle droit. de(7'urln/kzeautjhulles.
Cette application du théo-
rème de Pythagore vous permet
de faire deux choses :
- d' une part,de tracerun
angle droitsans équerre,
- maisaussi,d'autre pad,
de vérifier si un tracé fait à
l'équerre, par exemple, est
correct.
1. .:
En application utilisez des 1.Lhplomb Je ka clolso'
r?sefa d(7/l/ld.
:)pardeux
Iongueurs simples,comme par p/ges (prl/tles ctlnsllrut'
)s îlar (
3+27.
: fers tlacri?t?
exemple : coullssanti'u/7 c/ar?s l''akitre etmonîes sta'
rres-
- 30, 40 et50 cm . stlrfs/'.Ces p/gt as pet//er?!ètre remp/actjes par
- 60y80 et100 cm. detptasseaoxe/7LlL/l. '?r7eborm e. '9e&l/'
()l9.plkrta/l6'-
- 1,20)1,60 et2 m. n?e/?!r'ccl//fg/nils.//sseronlmk?przlt?rluscltm scecas
- 3,4 et5 m . pardesrlelflestla/esbîseautees.
'1
.

% #.

. '
.
*.
<- ' .. .
> J e/ 4 y L3''e.
't1'J'a4/()J)
J
.. a. xxx. o'e (
a cg//e Ia -'J'.r:)()t?
'-
.
c!rezt'
o knr?s leJ.u ,a '
JL
loz:-
. xe . cw rJ
;(;t;#)(;.l) i)(.).1)-Ja()(/(;//'(?
' ''
- ''
h' -'
./ N.. <
.'.'. orecéo'
-p
>/
rep
' aar'e',ao
.n-
, .
.
' .
).'r. . A$ . Carlt.LLICRSSTZ ONI?JvQr-
- m . (1(iq?,
r.
ïî(-)Jl!f> 3(lLlrL7t)!i?rl/f
1,:
eK
v#' . . i' (ifl(?4.7q,.
4f(?t()(yt)3(;.
: rajéh1)(?(?t
.>
q ... 4:1... ,3..*37.
4: vv
...
' '
#j
;'!k.w. x . ..
.-,.'e.;u.
':b.
.:' (a/)(;k
éu.?
CLALjS(j
. . à
y x y .

'
8
6.Cclntrr?ts'
ez I1) p
rose e/-,el?bo
'-l(J/s'
a?
7*
t4e
u. ..
.. j
colleï'
afanr-zuellefl'
es ctnrreatkpr.

j '
l
t
'
:
j'
4#4't.-
.
$,!f . 9.
'
'
x. 4.'.
:
.'.
R 9.Vertfez ?egt///t arerllt?rnr.ati ctlt/rs dt/
.
#,j -' nltlrpfa.L)6.
Calret/blx.
),Féivet
-tlcallle (î(J'a//prqt
arne/)lt7es
10.Pclurslwtzez vpa?' 7oq;etw' ?J'
ernarprccflt
J'
lll
.!
?
.
10 C.tqj/'
c'
.Itl?f/)c?rJ(26?(ït?E9)()éI)!é;.
5 6 Départdecloisonperpendiculaire
5' Ctlprp/nencez fa pose par.u'r) carreau erpl/er.ccl.qrre u' n rntpr.en ayarnrdéptElsë 11.S. çt?/ât''/eflar'!Q' te (-?r.
?/s()/:perpelîLtcu-
7. rll/rlci?scorchnsI'
. J.C?celle rstc'f(avs bordst?'
e 'a.ri-)2nu.'e)st/v'/edessoo'î(ldt.
?ca:leal.jel '
j'
- /a/r(.)r'aszfz
-t'.
'(?tzs/elttlredepo/re?Jo/!ver3lr
st/rsorcha?n!vert/ca! $. ''L set' Feefferstl.r.' acttsooe!?ctat./rsdeITIILIn-
Petiteastuce.'sfz/c/ar/sezalz?c'/tyel'
ect7.
'/'
ï?a.uatzec /???pepts(?r'.
ce.r/rll. . * laf/e e!clt/elztat/sat/ezc/ec/tlé de/a Ieall-
Se'rrpa:perpedrafrp')traversante.prtjkok./ez
;F à'/Ltllil?Lîk?tyJ)rqrfèàtt?J/J
(?.
' r7ilr')é?.
'??(/(?t;(7a?/'
I'6)f?(/)rr(?
..'îtztlLpt7LtILSL?J)r(?'(;là(?rIISy/I?(;/f?l1îé):7()r?) 't?sevidellèents/'?,''
p aîà-
L
.I
eestkr23
alnsltlt;'F)Iekirk'e/tcalle L.e lesyp .sdeia 'pl/s(??.de . % colle.ltq. //'
>'l?err?ii/7!e!f 'a.k'&?'f/:l&- . <
(,!t
?çL% ./ aprt arr/tlreJ' arlpeesertl/?rrnta/lnte/ntzspa/'Ltespel/lescalestl/ sea.ktt '
èes.
!I;
1
t:.y
.;
11

1
3
j(
>
J.
< '= -

-R
. Z
*'
I /
1
e
6
s
)
.yn
é
D
t
f
p
l
e
E)
/
s
!
/
(
c
l/
E
)
r
.
$
t
b?
x
v
r
at
l
J
o
)
,
(
n
?/
é
;
c
/
e(
)
l
,
L
a
'
)
(s
p
'
6
?
a
L
1
le
(
ï
é
7
L/
f
1
e
ê
)
sc
I
(
/
i
l/
é
e
?
r
l
f
p
tl
e
r
?t
nz
.
$
t
l(
;
J
î;
'
r
i
?
é@
t
k

.
e>
.
!
. .1 1 20.et21.Dlspeseza chatpwe rangee G?e c'arreat/x(me
flalle'
fescf#rz'rrep
'pl.
,
j,..
a .
<
'
- 1 !. ;
j4 ..
' .. :
1!zll /!kilLjïr)()
.;?;Lté'
k/'réi
.:ttEt/?n(f!r)!I6/rk(j't''('
fL?
.l?1f.
???.
f:)ê'.
féqâql'
L2f?- 15 Lkessezfar(hnco//e. rstlcces- Liaison d'unecloison perpendiculaireassembléeémi-carreau r''
krrrauss?
tye(?-S. YL;'CCeSSéi ..
z65 t;/k'ti?/'?5't.?
r7k#/(?tl 6J'/
'(iF'??(7/'?lélzél/
éqt-'
J?.v-
teckt.a fï:onst:tkaat'
lt le t'/eflgrlde 7i?91 30)
o'(?..'
st-)!? l'leri?eib($cLlla:re.fJ
'3lla///ez'' TZ Degllge.Y?/?)ek'/(Jel'f1t.
)r7!L?Lil'IJSe(/604/-
esJt
épafyez:rlesbol'dscftqralnures e/laisselal'Lkv'Car/'tnéitkaï
.7maY/'
r??t//N.
.
1-3/éR:9/(I(1Lè/i)16311()?:JlL/(1/'()i)/'/'r1*)!ll'i?
I11Jr(?r)i)lrë. 7/?t?J?(Jt?l ''qïv
lLbrrkf?llt> ..
ct7-
Lziyr.sz?c)t.

+ a
-
l
:%w
VV#
,

w.
V.-
Y. .

<

* g
' 23.6)!24.U.':erangee str'deux.lecar-
4 ?'
.69ûi(k'lCê?(/6JCé9IJ11 rr3/-igLlqliiq69(IL1.
;n6?rhr
Ff:7
g()??Li:ï?LiI<ï(rqt./EF.?7çlçllll?.z7t:?'
. ()lL)13?()Jl
()t?l??i?rptrrlt/-
18. leS/eSpairlesd?rlccJ?)lac'l
L.

< .

Cloison en anglesaillantavecporte
surleretour
25 L-lressezfa langee tlasse en ver///ar:r
sonalîTemensetsi ave?licallttj.

. . *.

*xx .
. .. '%.z.@
...
.. .. . X. il
','
..
:
'
.
-
.b.
k..
,
-
1-
-
. 1 J-.
j
(
,
.
,
..
a- .
.
kJ '
qj
.j
k
,
.,
&;s.
.
j
26. . 31
26..2F.et2.
9.'
qéa//sez/'Jîryg/eparrzhar- t 1 1$
p&ge'>CommeIe r''orpfr/i
')!/esp,*()/sI.
')h()-
l(?s. hs
1
'
* ,. >
!
#
; $ i. #
ê 1
t
.: '
A2k'vq.! ga
-,'1
'
!. ..' - '.
*
,
'.> <

'
h $! y Z.
.

28
28.LeretourJedoisondeparlet(Jhti- . #'
/k',
k'
.
.
'

Jre de p'
ot/kzerlure se fera ef)colltintlité vv- WXF q ' 4
'
avec/e reste (% Iac/ctsco rarlgéealnr' és zv u .. :
; %
rangee.Certéprleshuissenesl stlo/.
SOtp'??%- ;
. ' 35
tat:pettkeé)!se nîettre er?placeapr'
t'
s /a '
34 es35 l-'?tjal ?sezl'/rnprps/e c/taIaptlr!e
cor?slrtkcr/oz
tbnctlonrlel3u'
rl(je7aClolson.F'erlsear3Ll/et7
l4crpenttrol)ce)' etIsera
'
( x
+
wyà # >-..
. #-
,
ak'ec aeuxcar/enu:Lïkvkzoupese!?L.Leur
c/r'.
n/;,/é.l'orsJeIaptlsec'e/'/lspsser/e.tiIa >
k.> .. 17
--
,
$:
.- ;
l'lnt
a/r?r/
tflllperlufar?l/apr/seoepacdlesilra
réalse gr/iceh J/??e J' al/e e??il()lstltpIes
Jroussepolyurèttlane. -
Sot///e/lclu.
'

N 36. r?emlz//ssez somnlatrem ent . res e'z/- 2.''' Préparation deI'enduitde fissage
Lîie.rnenlsat/p/J.tre l 4.3 et4#. Ct 7'
rl?fneL)OL
* .'<. j Q DfLlt.'cire OJI?'OSNE't:lIr:
1r13COj! e'Sat/
ptlt/t r,o
'Zcyfjsyvey.o
l/7'!le t-klsat/e Oat.'-&Ot7(?''P (YOCO-
37.Pose;le!r' rla-intenezplal'agratagela . . , ..
ccl/nf#'
rec/'
arpg/e. $' . . >.''..x' v( pf
. sepay .j
eyaty/ cano'
t ' 4
#''; . .'h4 , '/, 45 SrASSL?Z f?ne/'g7/()&t :.
?'
>X !. # b h - '< .<.. Illet'ltOCC/VQbtelhcUSS/. 1210
. ..z:V, ....' jy()r7)()'g)Lj;)Lt(atL);:(u
. -'
.' .
..ç:.. . '.6 .;j/ .tq;(?j)L;L,.
*) .. K:s t;
'
.
i) .,' Yj '
' /
.
. yJ.
.
''*''
'..K%.xh' j
-
43 ? '#x
'. '
. 3:-!,
. #'
t''
a
*,.
. . .,
Y. . $
u ww-. .
A .*
:.' )
jjjk
l
r
-,-4t)q'6;L.., -y, j j
. î.(. . ,7'
y - .---'
' '
'j
y.y e ..
w u.... ' ;
. . ... jj.,- 44. y
. y., $ h
>X 38.e!39 Remplllsez, :
2
z .-...
X Se2'eregàltsez,
/'.
J?/7gd't?
.
: .

$.l T-xs
tz,J
.'
ttj ,k. --
ww
'
' t ï â' ''
-
,
*1.( ut j
. ( j
.- w.!
N.
y'
>e
,A. ?
Gs . ..

I
'
. .-
< .
x-?w
- kt.,.

3Q
'
-<
I5 40

I (
s
e
'
J
t
/
n
e
z
l
!
f
?
î
.
'
)
e
0L
!
u
i
:
t
p
v
4
I
r
e
'
(
n
.
1
c
t
i
f
'a
.
?
/
i
r
t
1
'
h
.
j
c
6
7
?
z
(
-
)
t
d
r
s
'
/i
S
?
.
;
7
e
'
-
l
C
r
w
s
a
l
'
e
t
ri
h
c
'
e
.
o
t
?
L
l
'
r
î '''
i
.
I?ILL
6
.
:$
;Vt3.
'
.!
q tl% '
1; j;

t 46.
.' /gy ,
j .. 46.rr-aites r-le/ne/
t.-er v.
-j
u-,(?
1 (J'
Jlns/esiollîts.
. y
433633.'.
r1.
J)r't)/r:t)Jrt'
ê?
.,T?r'
?/ré(:)rèi??â ..
't< '
..
'
:
ît
za/'
ilai
L
z?)q'
, ;sst
'
?r'1.
-i
7.
J/
' #
' .
zA
.
/ft?lé rr);.
qî(7O. fJ/.'
?t.
ï'(3/10/6).
. .$
j-: w e. 42.
48 Fra/lez , 'esl'oîtllstlorlzont .aux ''' '.'''*.
,-* ''@'-u ' ' '- ''.:.:.....''.( .;/
-y... 54 L.îssez' -S(7 '''7.:7)- 'î.'r%1'
Cg-
e, :!i :
,,gnèe , -,?ar.'/'
srr.
e ave ,es . -b..s--.- .- . -,,e,.?!.o- ,- -.-obi-lk,c .,
-e. . ,0,
.,-
lolnts kzemcauv Appllqllez par - '* Se2' 'D/'6. 'r'êe' . '776..'a'/''t.76l'
Lllçltk?ï?r?6:2/:4kn
.'?ll-Aîq/'îJnqè.
'îéi?r6??'réz .
. w
v ,
' 'L ' .'
/.lC?r:L7f0J'J' r
-l(. .
'6?IL;L:' LïLb?à7. .
'.
'RL''
r)tili?. ?z :j,
..y ..
z.
' '. ) rtaélLï(''l1.S,'vt7tF'q59fg( u/tl?
.c.'ro' t)
l1Ja l . . . 21 l /;LtL)f.;.LtjLt((?Arf ..
.(?(j(?p .yjt)/r().
49.Raclez/excecde/?l. '
k' 50. Llssez ft-/sqt/'à c??
.)lernl/i'
7r'/
k'
48 t J'tpnesufaceOarfalernerltplalle. Q.

54.
1 cct . r.
.g. . u. ... ..'-' A*.7e-
% hugr.
.- ë. '.
tgz . '= ....
pw
y'-
55 Io a. 20 rn//pt./ri?s ' .' *' '' -''' . ..........'--.
J?/ës taro'(ce (emps es? '* .ws'M'm 1A7 '' '
lorlcl/(7rlde /t?telnphra' ''--
ture de lap'J/tZeyi,grallez ' 'f
'-q
l'exce'del'ît en St//ï zar?! 'j
t?/6C ;8 //SSCt./SC 1j8 fato
? ' . .'
.'?
t/ Ctsf/fat/.tOSL?Z 6'?? .;
. p j
')i$IOO://')eOLîrlcleaL?L1e:
'l- h
j '
île. . (..- Z.
. 55

Liaison avecleplafond
kz/cl//pcpes47.
La gaine technique est Exemple de construction dtune
destinée à dissimuler à la gaine techniqueé2 faces
vue, tt contenir et à faire
passerIes diversescolonnes
verticales d'alimentation et
d'évacuation d'une habitation
(arri
véed'eausanitai
re,éva-
cuation deseauxménagères
eteaux vannes,conduite de
gaz,éi
ectricitéxaa).
51.Fl,collez 7a banje resf//carl!12.
(a'
zeclaco//eàcarreauxi.
52.CoVe'z- /a bande rés//ét. lr)li?
.. . sots leplafonzl
. . 'C t '-* ' - 53 Schu/wez etclclrrtl/ez I'. 'l1ter-
k.... .. . ,
.. stç
ize enlre pe c'/afcb'7tJ.elle 'f
paty!
.',.
# , de la cloiso'è avec u/?n nîtjya;,.
ge ccvpsr/lc/e t
'l5L) % zie colle et
. . 50?r .pdep/érce,o'es2ccllésJeIa
f
53. ' Jl&r'tA'

r
Exemplede construction d'une Cette gaine techqique
gaine techniqueâ3 faces pouvant contenir des ma-
tières inflamm ables,ilest
par conséquent im pératif
qulelle puisse garantirune
résistance au feu et pour Les pages 36 tl 42 développenl
cela,ilestnécessaire de res- potlfchaque type de carreaux Ies
pecterun montage obéis- dimensionnements standard au-
santà certaines normes : torisésainsique Iestolérancesdi-
- Ses dimensions in- mensionnelles,11esttoulefoisp0s-
térieuresdoiventêtre infé- sible.dans certains cas particuliers
rieures ou égales à 60 x telle tlne cage d'escalier, de
120 cm. dépasserces hauteurs uIim ites>'
- Sa hauteur ne doit à la condition expressque Ia sur-
pasdépasser3,50 m entre face entre m urs d'appuiou entre
deux étages. raidisseurs ne soitpas supérieure
- Elle peut être réali- à celle donnée par ie tableau ci-
sée en carreaux standard dessous.
de 50 à 100 mm .
- Elle peut être mon-
tée en 2,3 ou 4 faces.
- Les an:les sontréa-
Iisésparharpage(voirdes-
sinsci-contre). Jttention-
- Les joints des car- I T
reaux sont décalés une l ,ous I es types decarreaux
Exempledeconstruction d'une cangée surdeux. ,d une épalsseur éga/e ou stppë-
gainetechnique J4 faces - La bande résiliante
de liaison entre Ie hautde
!n
1 eure.'
)6cmpeuverttJ' lreuti
l
isésj
pov:rone cloison de grande hao-
Ia dernière rangée de car-
reaux et Ie plafond sera
Iteur.
'
jI'exceptiondescarreaux 1
1léqersisolants. !
1 -'' i
d'une épaisseurd'1 cm et
d'une m asse volumique
égale à 300 kg/m3. épaisseurdescarreauxenmm 60 i70et80 (
i 100
Surfacemaxi
mal
eentrerai
di
sseurs 10 14 l 25
enm2 î
1
Hauteurmaximale en m 8 9 1 12
t

Application pratique
Supposonsquevotrecloisondoi
tsedressersur8.20 m (rez-de-chaus-
sée.premi
erétage.mezzanineencombles).
Vousoptez pourun carreau standard de 80 mm d'épaisseur.
Le premi erraidisseurdevrasetrouverà1,70m du murd'appui(voi
r
aussicalcul,page37).
Commenttrouvercette distance ?
Explication parIe calcul Dimensionsdes saiqnéesautorisées
pourdescarreaux d'épaisseur60 70et80mm
Hauteurà Longueurmaxlmum Surface '
de Iaclolson maximum ' - zl
' 5m. mlgi'.*0.KYm otz
WdA
' mlzl
'
.
7
clolsonner e(
nàtrd
eét
raidisseur autortsée . --> y*x (
ermlner) ; ! . i
8,20 m K X = ,
k g .:
: ! p
i ,
1j
g .--.---'.
,.fz 7j...'t
t i t .''-' 'i
'' # l
..-!.'
f l' r
' . ë --? 4 I p y
X = 14 = 1y70 t , ' ' .i-.à . : j
8,20
j l k: . j . j -
i
- - - !
.
L . Ik --
...
,
... I j
1 Votrecl
oi
sonpotkrraélreJressf
)eygscptk'
àunehauteurde8,
20m ai
a! I 1 l l
$ : : E 1
'. .

iconditionimpérativec?tk'
a% i
nclueun ofldesraidisseursâ i
nter-I '
!1! 2
'
.v
ee-
!
'
.-.
-
.:.--.
-
f
,-
-..-
.
L
-.1
@ 1 . -
J
-'.
:
-.-
..
-
valles/égubersd'1,70m.
' i j . t -x
j
1 t ' ' i
.z
,
' mini.4.
$0m. .
mini.Q:pm. i
,
'' Nst
, t
l -wj.xwI
t j ' ' 1 ' )x wt
xx
- xi.4.20m. ' e z/. 'z
.qp m. '
'
..

La posede conduitsélectriquesestliée àdesrèglesstrictesdéfiniespar


Ia norme.
Dim ensions dessaignéesautorisées
Sécurité -l pourdescarreauxd'épaisseurJOO mrrl
'
LeconduitencastréseposedansunesaignéefaiteselonIesrê-i -
muxi.'zc'n. 1
Wessuivantes: 9 , p9ni.5m. ' '
I
' L'
encastl
'
emelktentracéobliqueestinterdit. l
---

1 - d-ese/lcastrer
7perlfshorizontauxsontinterditsau-dessusetau-
j $'''1 ' ! . t j
a'w
. jt E ,
jdessou
-
Ls
esde
cs
ro
t u
t
- v
/tke
srt
/l nu
er
eds
o.
/
t ,
1
zer?lpascomporterderaccordssurleurl g' ;L
---..,1
.. . .1 r
. i . $ .
j
1
parcourserlcastrf,f'
l I'excepthr)r-?iqGeux r?t:ll/
assl?/rt?siùla /((M?r
Jl/(?r?ahzec Y ......
k...
-.< .
' .l . -y- i-..
'
taspl
à/?c/?ers. ' l --
.Ij j
1 1
1 r j,
l
... .

-
Le ssa i
gn ées hori
z ontal
es s
onti
nt
er
di
te
s d
ansI
esca
rr
eau
x j r ....L-s . -:-s--=.- s.-
-Y-s.r j. . ,r
enp//i//'
e de 50 m m d'épaisseur. l
j/()JJ- Lessa/ g/péesI3(
:
tst?l?!exècutées:/t2'
ap//sséchagecorrpl
et(
JesI i - .....-.!...- ..-i :,
1..-.....i
.-....:
'..--t
I....-n-.....i
L ... l
i-.... .
1 j
t -
.
?rs e/racct-
y/s.
Les sa/grqttes solltéllrttcultjes /?Ihide de machines spéciales é '
i l q !
i '..w ,
1
.-
1'
j 1
I: 1 v' . p/xt. m.' l z - l
rainurerper.
r
pe/lar)!deréçj
er(
Jemalli
èrepréc/
se/aprofondekl
rde/
asa/-1 'l mizio:cm. ' ' ./,z I
pro.e.Le recouvrem entdu conduitaprès rebouchage aoitilrre au jI l
j * ;
-

minimum de4mm.#sel' ataxect


p/ëak
zecdel
acrw/eJatll
eaupage582. l ' mux.!.4rn.
/ ,
moxl.2m. I
- L'évidementpot/c/
esboîtesd'encastrementouIesboîtesde lj LactlleJ r-eC)0-0?'n esrl' lL'
v'ihte.a
dén'vations/féiraiiJascfectoche. f .l
r'>t/1'J.t?t
vtzi?//i?q
rl'/.z-?L)JT7c7
.t'9-r?'
7

X.
*yz sai
ni essur un
m eme Jl'
e '
i
df;@i
f sontint
erdiksl%Aûo
o
. %% 1
jjjïmh*?1$: -.
Y% $gW
.: v
5

Note
Les safgnées
pratiquées dans
du carreau Iéger
isolantferol?t/1/7-
jetJu Jépc
èld'un
ccgdco de colle erp
pourtouretdar)s le
f
or?
tfde /
àsal
nnèe
atl moment de Ia
rnjse en place Jt/
Conöuit. Laméthodedefi
xati
ond'objetssurunecloi
sorlencarreauxdepl
àtredé-
pend du type de charge.
On peutconsidérerqu'ilya 2 typesde charges :la charge ponctuelle
TABLEAU DESPROFONDEURSMAXIMUM AUTORIS/ES etIa charge filante.
EN FONCTION DE L'éPAISSEURDESCARREAUXUTILISES La charge ponctuelle
C'estI a charge maxi male (à ne
épaisseurdeI
acl
oison i pasdépasser)enunpoi nt.
50 1 60 70 100 Lepoidsde I 'Qbjet(enkg)multi -

%#
enmm j pli
é parIadistance (en m)del' axe
Profondeurmaximum de 20 ; j de I'
objetàIacloi sondoi tètre i
nfé-
(
asaîgnéeenmm j 20 20 25 rieurouégalà 30 kg parmètre.
e =0,30m
Diamètreextérieurmaximum 16 l
é 16 r 16 20 P = 1* kg
desconduits en mm 1 M =exP s;J0kgim
La charge filante LA FIXATION D'OBJETS LOURDS (supérieursà30 kg)
C'est la charge répartie 0,.#..g..m.
.--
o l-
.
- .- - 4y.
- - .. - - - .- . .
surl'
ensembl objetà v '
e de I'
....
oa Elle peut être réalisée
: pkqy consok steporr de 2 manières différentes :
fixer. (
k?pz l
Elledoitêtre inférieure ou ' / ' . Par une f ixation traver-
..t'* a
égale à 15 kg pour 1 m li- .'r'
.. sante métallique comme
..+,.qq
G.
''j ' Ie montre le dessin.L'évi-
néairede cloison. 11
62 I
! '7>si.-----
t dementdu mur côté pla-
. k#- -----. que se fera au burin ou
* y,
1
t;r
g; ux/ avec un vieux ciseau à
e =0,20m
p =75 kg ;
: .
pst
y2l
q wyj
. p
o bols.Le creux restantse-
M = e x 1Q%()#j,,
'
E zkm/é ra bourré au plâtrejus-
qu'à affleurement.
15kglm
I
I
t
1 x:yyyj *
A rT . Par une incorporation
'Fzmm.-z !. d'untaqueten bois dans
Iecarreau.La profondeur
LAFIXATION D'OBJETS LéGERS (iusqu'à 15 kg) de l'évidementne devra
pas être supérieur à ia
Encarreauxpleins elle se fera parI'intermédlairede crochets àtableaux moitié de l'épaisseurdu
maintenus par1à 3 pointes en acier. carreau.L'évldement tail-
Ié entrapèze toutcomme
Ie taquet,sera bourré au
1pointe en acierJztirrr'el plâtre.
t2f.?e suspecslLïm tJ6?5 kg.
2 pointes en acierpermettent , /
Llne susptwptî/tlr?de 10 kg.
3pointes en acierpfgl'rpefle/'l!
tv'Ile stysper/srp Ue 15 kg. z.

. .. '
.. . t7

tcqvetenb&s
.-

LA FIXATION D'OBJETS DE POIDS MOYENS j0ï50,


j . ws. a,boo
.
ùusqu'à30 kg) I '
Note
En carreaux pieins, elie 1 Les fixations,pourdes
sefera parl'intermédiaire de )
.
..
. .
.
.. - .-a
rrc
z . g a/pâtre charges supérieures J)
chevlllesclassiquesou à ex- l5 kg,dans Ies carreaux
W'- J5-m.
..
aVyptjs inolants s'e feront
pansion,ou pardeschevitles '''
autoforeuses. par taqueten bols #lcchr-
l porè.
Les lkat/tvps,pourdes
cturpes supèrieures /1
?5 #p,Jar?s Jes carreaux
1 C/ltf?k'W/sQ-vosslLittes elq
'l a/vèo/ésse ferontparbka-
Bxpartslon L0tnmc tions traversantes ot/par
2.(Dletzlzr
esa(,r/o/'eë.
/ses. fatw ers erttno/ls.
1. 2 IL
ïi,
kLé?r?:9;)t;li71'.
''?(;()'/E;r9.
c:7!/t9?-:(;$'
ttr'
?!(T?('
/t''tï?l(?/?,ljtt'??t;

A.
La plaque deplâtre résistantau feu est,quantàelle,decouleurrose.
Laplaquede plâtreprésentedesbordsIongitudinauxamincis(surla
facebeige-l
vol
re)spéclalementconçuspourfacl
i
ktefl
etrai
tementdesjoints
entre2plaquesconsécutives D'0ùlenom deB.A.(bordaml ncls)sul
vid'
un
nombrequiindiqueI'épaisseurdeIaplaque (B.A.13.B.A.18,etc.)
Piusieurstypes de plaques existent)
- Ia plaque standard.
-
laplaquehydrofugée toumarine),
- Ia plaque spécialcintrage,
- deux plaquesprenanten sandwich une structure alvéolaire,
- Ia plaque pourrénoverun sol,
- Ia plaque associée à un isolantcollé (plaque de plàtre + polysty-
rène expanséc)uextfudéoumoussepol
ytlréthanec)
uIai
neminérale).
- Ia plaque rainurée décorative pourla correction acoustique.
- la plaque résistantau feu,etc.
L'objetduprésentchapitren'étantquedetrai
terlescloisons(dans
I
edomainepri vatif),seulsI
es3typesde pl
aquessuivantsserontabor-
Elle estcommercialisée en plusieurs Iongueurs,Iargeurs etépais- dés :
seurs.Elle est constituée d'une âme en plâtre protégée par2 pare- - Ia plaque standard,
ments en carton spécialquiluidonnent rigidité et sudace plane et - la piaque hydrofugée,
Iisse. - Ia plaque spécialcintrage.
Créée i!ya 50ans environ,elle n'estconstituée que de matériaux na-
turels(pl
âtreetcarlon)sansdangerpourS asanté,Sacomposlti
onIuicon-
fèredesqualitéscertainesàI'isol
ationthermiqueetphoni que(associée
àUnisolant)etàIa protectioncontreI'humidité.
Sasurfaceétantpl aneetIisse,ell
eoffre,apfèstrai
tementdesjoi
ntset
application d'une sous-couche de pelrlture,une face prête à recevoiren
finition un revêtementm ural,papierpeint,tissu,fibre,peintufe Oucarfe-
.age.

La plaque de plàtre présente 2facesde couleursdsfféfentes :


- une face recouverte d'un carton de couleurbeige-ivoire,c'estla
faceavantouextéri
eurede I
apl
aque(celequirecevraenfini
tionl
adéco-
fatl
o n)'
- une face recouverte d'un carton de couleurgrise.c'estIa face ar-
rière ouIntéri
eurede I a pl
aque(ceil
equiseraadosséepourvissage àla
stfucture métallique).
La plaque bydrofugée estde couleurvertclairpoursa face avantet
gris-vertpoursa face arrière,
PRINCIPALESéPAISSEURS,DIMEjSIONSETPOIDS
DES PLAQUES DE PLATRE

! lpai
1 sseurs @
1Dimensionsl Poids PRINCIPE
Typesdeplaques j !courantes l enkg La réalisation de cloisons avecdes plaques de plàtre consiste à visser
I enmm 1 ( enm 5j aumz cesdernièressurune ossature métallique constituée pardes rails ho-
:.
A6 )1,apxa,ca ! .
s,2 ri
zontauxetdesmontantsverti caux(profil
ésenaci ergalvani
sé),assem-
bl
ésparvissage suivantcedainesrègles(di stanceappelée entraxeentre
l B.
A.lo .1,2ox2,00 i
i mofltantsverti
caux)dépendantessentielementdeIahauteursousplafond
E BA lo r1aox2,401 à réaliser.
I BA.lo
; j1,
2ox2,
50!
k
-.-
B.
A lo r1, 20x2, 60 j
- - .- -- - ... Pool''e '-f''
?t.)/prage d't/?'?e s?r?,p/'
(:?ciolson (7/e p-lase ôtptlr/t;'t
'.
1
I BA 13 *-'
,.1,2o x2,
1 -40
--.y -.
- 2.(î0 .
n-,r
le haut .etkr/.Ies montants verticaux s(l/Tluniques
1 B.A.13 l1,20x2,s0l elJ/spclst)sa t/')enfraxe de 60 cm.Ct?sc/ercp
è/'ssoîîterz'-
1 BA. !1x xapo 5 /-loirtis (7'
ar7sa' etixca/'s ilorizo/îta.t/x :'
.solet,r.l.
?aJr;/lL'b.
1 B. ,3 1, j 10,2
1 A.13 (1,20x2,80 j Lc'/'s(2tJe fa hauteurstlë/sDlafonljes!plus l'rrlportante.
1 B.A.13 t1,20x3,00 j 1
$ ,l'st- l/'
a alors . l'liècessa/re J'e rigidifier I'ossature o'?;. )?'(.)ctt'-
Pl
aquesstandard )
J
----.....-.--B.A.13 l1,
.t .
20x3,60..). t.
-ïéqd:
'?(('.
7.
(?.
117174,)1ï1r?Ié)/'t?é)ti/!.
'é?/-)lé'
?'
I B.A.13
-
. --. . -.--.
@O,60x2,50 1
-..- ..-. réduire I'entraxe de 2 montants verticaux con-
1
1 BA.13
. !
j 0,90x 2,50 l
. i
10,2 sécutifs é 40 cm.
1 BA 15 j1,20x2,50 i - doublerIes m ontants verticaux en Ies position-
j .. j jz j nantdos ., :1dos d /lou'/clursavec t?/'elitrazede (q()c??)).
! B.A.15 j1,20x3,00 é '
r
--..
-.-BA.--
18----1 -
20.
--
2,5.
--y-- -. - réduireI'entraxedes montants verticaux li40cm
B. j1, x 0 rj y4,g touten Ies doublantt't7'c)s à (J'os7.
A.18
. 21,
20x3,
00
j B PourtousIesexemplesdemontagesdecloisonsdécritsauxpages64
t B.A.23 11,
20x2,50
J090x2,50 1 à 68,destableauxdonnent1es hauteursmaximalesdecloisonsà respecter
1
t
.
A.23
B.A,23
1 ,
)0,
90x3,00
j
- .- -- --. ) -- 1
. -
Plaqueshydrofugées I
1 B,A.13 !
11,20x2,50 1 Note
oumarines(pour ( B.A.13 j 1,20 x2,60 ) Les rrlclr/taqts de Ihr-
Iespiècesd,eau - h B.A,13 j 1,20x3,00 j
j getkrs 48, 70 et90 mm
salle de bains - l B.A.13 l0,60x2,50 1 perrrlelter)lde réailnerpar
cui
si
ne - W.C.) : i ! emboîtementun Jf-/l?crec-
(angulake (?tJ aora 1& rë-
ëPlaques :Cloison j ; sistance J't?rq molqtant
y---------.--- . j
tuéde; 9,5 2l-- 50 .i
Panneauconsti ,1,
20x2,50 i
, x.a double tout6' n présentant
I'encombrement d'tlrl
2
àpI
arq
bo du
se
asde
mincp
lâtre l
i
s y 9-,
--- s.- -1
-- s
1 o j
i
'o,6oxa,s
--- -o
-j'
j-- ''' montartts'Fmp/e.
prenantensandwich C 12'5 1
( 72 !
f 1,20x2,50 i 22,4 Ceffe astuce per/wer
) - E i égalementp /b/
alenl/aqd'urt
unestructure ! : 1 montantJ'er7rtycé,dans Ie
al
véolaire ï
) ;
: ! I
h casdemontaged'ht-psse-
'Eparsseurreeile 121
5rnnn rie avec pclrtep/ejne.
Avantd'aborderle problème des diverses possibilités de réalisation
de cloisons en fonction des pedormances qu'on en attend,voyons Ies
différents profilés standard disponibles surIe marché,nécessaires à Ia
construction de I'ossature surIaquelleviendrontse visserIesplaquesde
plâtre.

LEs PROFILéS EN ACIER GALVANIS; :RAILS ET


MONTANTS
'
DIFFERENTESLARGEURS ETLONGUEURS
DESPROFILéS
1
!
Larq eursenmm i
''' 1
uongueursenm
Rails 1 a6 i a
1 48 1 3
1
p--
zo r - - -- 3 ------
q-. .-----
l j
Montants i 36 l 2,
49- 2,59- 2,
79
l i 2,
99-3,19-3,
39
p
l
48 l 2,
E'
49- 2,59- 2, 7g
2,99 - a,19- 3,39
1
j
' i 3,59- 3,99
i
j 70 I
! 2'49 - 2,59- a,g9
l a,s9 - a,(s
1 90 1 2,
49- 2,99- 3,
59
1 i 3-99 1..Deuxr
ln
'f
nr
qré
t.
rl
rsaeAt?/
'
7)r
7l
tEy'ptl()Jt
Gsd'os:.?dtls(7'
J7r)s
ù.,')ra:1c'
e/-Q cf'rl';
@ :%/
to'
.î((?.
ou
s.:s//?4,t
'n2/
e.',
'L-Iea?L
OJ/47.'
n
e,'nk
boitesûatz.
rv tprlrail'de
ac.,)q?.?)
2 '/?'s at/l. :?J3erceuses 7.TI-'C
I-l-ôïe 'rtorl7pe/''eJDo/rlleo'-'lokij'. u.
:?. ''
VZf'-
: (tLlt(?r)i?rtl(lt/élé?tq Vf-'Lî.rrcnf7
r'FB ta 1?
.wr 'c)'.)
'
u4e /V7(î ?/e . f7'
()r# -5
.i
.,, . h
brlou':
'rp'
aj4aqlolî'Jesra./?
.settl'tt
?s .
nlfLvîtbzl?
'?ts

r
LACLOISONDEDISP IBUTIONCONFORTjN72MM
D'/PAISSEUR MONTEE SUR OSSATURE METALLIQUE
DE 36 MM SANS LAINE MIN/RALE
Les 2 exempl
es (desst
n
LA CLOISON DITE DE fqDISTRIBUTION COURANTE'. railde56mm.-... de gauche et dessln en
page de droi
te),montrent
Elle sertà diviserun espace intérieurd'un même logem ent. deuxconstructioqsquasiment
L'exigence d'isolation acoustique n'estpas prioritaire. identiqueshormlsque,dans
' Ia coflstruction de droite,un
LA CLOISON DITE DE t'DISTRIBUTIO N CONFORT', moltknt panneau semi-rigide isolant
.. des6mm. acoustique en laiqe mknérale
Touten étantdestinée à diviserl'espace d'un m ême logement elle aétéinséréentrelesplaques
apportedespertormancesplusgrandesenmatièrede : (je plâtre,cequimodlfiecon-
- résistance mécanique. N sidérablementIes isolations
..
- rigidité. acoustiques et thermiques
- isolementacoustique(1 aparol e,àni
veaudeconversationnormale, (voirtableau comparatifci-
estrenduetlpelne perceptl
bleeti ninteli
gi
bled'
unepi èceàl'autre). contre).
'

LA CLOISON DITE DE 'IDISTRIBUTION GRAND ) CONSTRUCTI ON


CONFORT', Cette cloisonestconstrut-
te avec uneossature constp-
Uadjonction d'une laine minéral
e (pri seensandwich)amél iore très 4pl
s ue:&% tuée de rails de 36 mm
senskbl
ementI'i
sol ati
onacoustique(tavof x,étniveaudeconversationnor- d'épaisseuretdesmontants
male,n'estplusperçued'une pièce' jI'autre). de 36 mm d'épaisseur.Deux
plaques de plâtrede 18 mm
LA CLOISON DITE (tSE'PARATIVE D'
APPARTEM ENT'' d'épaisseurviennents'y vis-
Destinéeà séparerdeux logementsdans un mëme bâtiment.elle est ser.
construitesurIe principe de2 ossatures parallëlesnon reliées cequias- La mlse en œuvfe de la
sure uneindépendance m écanique aux2côtésde la cioison.Cette par- mi
l de z*mm. cloison plaque de plâtre vis-
ticularité de constructionfaitcroître 1esperformances acoustiques,les sée surossature métalllqtle
brullsde lavie courante ne sontpasperçusd'un iogementà I'autre. sera décrite pages 70 à 75.

LA CLOISON DITE 44TECHNIQUE>'


Elle estessentiellementdestinée à cacherl'incorporation totale de
toutes les canalisations d'arrlvées d'eaux sanitaires et d'évacuations
(W.C..lavabo.bidet)etdepermettrelafixationdessani tairessuspen-
dus.Iavabo,bidet.W C.avecrésefvoi
rencastré.cuvettesuspendue(avec
intégratl
ondelacol onned'eauvanne). PRINCI
PAUX AVANTAGES
LA BANQUETTE TECHNIQUE
Ce n'
estpasàpreprementparlerunecl
ois/n,ptli
squ'
ell
e serajouteen
appuià un murou à une autre cloisen.
Elle permet.essentiellementen rénovation d'assurerIesmèmesfonc-
t'
onsquelacl
oisontechni
queavecenpl
us(questi
onde goùt..,
)Iacréa-
tion d'unetablette.
LACLOIP N DEDISTRIBUTIONGRAND CONFORTEN LA CLOISON DE DISTRIBUTION CONFORT EN 98 MM
72MM D'EPAISSEURMONT/ESUR OSSAJURE D'éPAISSEUR MONT/E SUR OSSATURE M/TALLIQUE
MCTALLIQUE DE 36 MM AVEC LAINE MINERALE DE 48 MM SANSLAINE MINéRALE
Comme precédemment.
CARACT/RISTIQUES milde:
65mm..
-.. rail #e(8mn,.-. Ies 2 exemples ci-contre de
DEs CLINSONS constructlon sonttdentlqtpes
Lfj.
Cpai
sseurenmmU ï 7a
'' hormis qtle celuide droite
comporte une laine minérale
Poidsen kg/m z I 30 de 45 rnm d'épaisseur.
dMo tont
? .

Hauteurmaximum j
. vonbnf
de 36mm
.
:
els '
's
.m. CONSTRUCTION
en m I s%
I xx- Cette cloison estréalisée
- Montant 1
9 avec des raiis etdes mon-
simple 1 ' kqnq j .x tants de 48 mm d'épaisseur.
.entraxe0,
60 I2,6 .. M l?l2rJ e Deux fois 2 plaques
. entraxe 0,40 1
i 2'9 .. l B.A.13de parletd'autre de
-
Montant- l
.

,
zyAc
>,
yze
.45 l'ossaturevlennents'y visser.
double i
' -N
.entra e0,60 j 3,1 x'x ,
l .
h.
. entraxe 0,40 $ 34 xs
x h,z,'' .; .
..
j I v
ISOLATION 2?l
avh :.
A.
,15
ACOUSTIQUE
RendB (
A) 1 4pkqueô.A.dô ...-
- sans laine i
:
minérale ; 39
- avecIaine )
minérale de )
!
30 mm (1) j 44 rall de56mm.-. railde#8mm '
ISOLATION
THERMIQUE
K en W/m2K o l
;
- sanslaine j
minérale j
1 2,1 PRINCIPAUXAVANTAGES
- avec laine ,
minéralede j . Tous l
es avantages précédemment
30 n)n)(1) !0
9 ,9 citésavecenplusunetrèsbonne iso-
lationacoustique.Pourne pas rompre
(1)Panneauacousttquefauleou Ie niveau acoustique acquis,ilestfor- PRINCIPAUX AVANTAG ES
serrljvrrgide R =0.77m'K'
'W tementconseillé de mettre en place . Performancesplus élevées quecellescitéesen pages 64 colonne de
12)Laperformancede lapatt?,estca. desportespl
ei
nesavecdesjoi
ntsiso- droite et65colonne degauchesurIe plande l'isolation acoustique et
racterkseepariart'skstancethefml. phoniques. thermique.
queBdëcetteflarol.Stlmmedesré.
ststancesdesdlfferentséltrrlentsde . Le niveau d'isolation thermique per- . Possibilltéde réalsserdescloisonsde4 m dehauteur(sousréserveblefl
cetteparoiFIs'exprrmeeflm K&,
'f rnetun chauffage modulé pièce par sûrde doubler!es montants verticauxetde Ies placerà un entraxe de
R=1/K PjusRestgrand,meilleu-
reestIapedormancethermique pièce. 40cm).
!$
I d'
r..fq.
.
. ;C
W.
k
'.p.,
,
c.
..
.
y .. x
, < j#
.
..
.

LA CLOISON DE DISTRIBUTION GRAND CONFORT EN LA CLOISONDEDISTRIBUTION CONFORTqN 120MM


98MM D'iPAISSEUR MONTéESUROSSAJURE D'éPAISSEUR MONTéE SUR OSSATURE METALLIQUE
MéTALLIQUE DE 48 MM AVEC LAINE MINERALE DE 90MM SANS LAINE MIN/RALE
CONSTRUCTION
CARACT*RISTIQUES tail(/
e48mm... r///yeSomm. Cettecloisones1réalisée
DEs CLOISONS avec des montants et des
épai
sseurenmm l
! 98 .
#y. railsde 90 mm d'épaisseur.
lh,j.js Les montants verticaux
poidsenkg/mz i 42 .
1 yinq . . ntant sontdoubl
és(dosàdos).
.'
L'ossature estparée d'une
Hauteurmaximum y
enm 1 (miMc16 m>i/
Wm.
s ,
& s0mm. piaque de plâtre B.A.15 de
1 chaque côté.
- Montant (
simple
. entraxe 0,60 i 3
.entraxe0,40.n 1 3,3
!
-
Montant. !
double 'l
. entraxe 0,60 I
k 3,6
.entraxe0,40 j 4
ISOLATION '
ACOUSTIQUE /'
/
> ues ,. .

RendB (
A) j
J
2(ju .--

1f.
d1506*1*
V --'--
- sans laine
minéral
e I 42
-
avecIai
ne j
minérat
ede ( raild648mm.
'''' tat'
lde5t
)mm..
-''
45mm (1) f 48
ISOLATION
THERM IQUE PRINCIPAUX AVANTAGES
Kenw/mzK ;
h . Dans unmême I ogementc'estIacloi-
- sansIaine k sOn hautde gamme.Ses performan-
minérale i
I 1,9 ces acoustiques permetteqtde sépa-
- aveciaine ! rerlesactivi tésjour/nui
t.L'
util
isation
minéralede ! deportespl einesàjointisophonpque PRI
NCIPAUX AVANTAGES
45 mm (1) ; 0,7 estfortementrecommandé. Tous Ies avantages descloisons précédentes,
.
. LaIimitedehauleurd'emploiestéle- La fode inertie des montants permetà ce type de cloison des hauteurs
f1)ParlfvatlDCOUStIQVIPfotilé()t; vée. .
seml.l/glile F?= 1.07rn K/'W limitesd'emploitrèsèlevèes.
. La bonne isolatlon lhermique permet . Polds au m'relativementfaible.
decouperle chauffagedansune pièce
sansperturberle confortetIa régula- . Unebonneisol
ationacoustique(voi
rtableauci
-contr
epage67cos
onne
tion de l'autre. degauche).
l'
)
1.
1 .-
l
' tl.

.'. ..
'. . j
.
'(
'
L
'1 .
%..' u%* W '

LACLOISON DEDISTRIBUTION9RANDCONFORT LA CLOISON SéPARATIVE D'APPARTEMENT EN 140 MM


EN 140 MM D'/PAISSEUR MONTEESUR OSSATURE D'#PAISSEURMONTéESURUNEOSSATURE
MITALLIQUEDE90 MM AVEC LAINE MINéRALE METALLIQUEALTERNéEAVEC RAILSDq90MM ET
' MONTANTS DE 70 M M AVEC LAINE M INERALE
CARACT/RISTIQUES DES ??l
alues)
'
;
.
A,
1J
CLOISONS tnildeb0mm.- CARACT/RISTI
QUES 2?lape;b.
A.,
15
Cpai
sseurenmm 7-,20 j 14o ..
DE LA CLOISON rai
l4îx S0.m. '
-Qp .1 ; = -'-
Epaisseuren mm i 140
Poidsen kg/m2 ! 25 j 42 '
1
. :
Poidsenkg/m2 r 46
Hauteurmaximum 1 l
i .. monkzt
de S0mm. H
!
'
t --'- '?
. monknï .
enm ! j auteurmaximum 4 l. dn ygmma :
-
Mo nt antf ' I ! en m !
simple ' '--.-..7
&. 1 ! I
. entraxe 0,60 1
i3 I -
MontantL..-..1 j
!
1 7 I4,
, 4 sim ple 1
.entraxe0,40 1 4,1 ! I 4,9 entraxe0,60 j 2,8
- Montant' 3.O ' ' à/
be ip/
rérd/
e I
ql
àe mfnzre/
e
double - 4 ..,1
é I
I
-
Monhnt t i
.entraxe0.
60 i4,4 !5,
2 double *-.--= j
1 4,8 5,8 entraxe0,60 i l 3,
3
. entraxe 0,40 1
ISOLATION
ISOLATION ACOUSTIQUE ACOUSTIQUE f .,.-
R endB ( A) j 1
j
1FCk'
IUM ' ' R endB (
A) .
/z
/.,,, . '
- s ansiaine ! k 6Z.1J avec laineminérale ' t p/
c'
f
'ves '
minérale 1
f3 j
: - de70 mm (1) t 60 >.
A.15
g !
-
avecIai
ne 1 ? ISOLATION
minéral
ede '
j i
100mm (1) j- ,
; 53 THERMIQUE '
t
wildeS0mm..-' K enW/maK 7 raf
l(8e90 mm.-..-,
ISOLATION THERM IQUE i j zx42.
5
avecIaineminérale 6i .
KenW/mcK l Tl-- de 70mm f1) 0,55 : i
! CONSTRUCTION
-sansIaine 1 E
i 41hPaflrleauacoustgque roule c)u :a!)
minérai
e 1 2,
2 j- La cloison ci-dessusestréalisée semi-rlt
llcje Fè=1.67m'KJW . ,

avec des montants etdes rails de 'à'.


aveclaine
- i @ g'
l
k '
2 ( 90 mm d'épaisseur.
minérale de ! k -.- ..--. 1!x4$!,
!;
L'ossature estparéede deuxfois
100mm (1) i- l
j0,
35 deux plaquesde plâtre de 13 mm. CONSTRUCTION PRINCIPAUX AVANTAGES
(1)Pafnseaklatrtlstlqtlilrtltalé()LJSeml.rlglde
PRINCIPAUX AVANTAGES L'alternance des montantsver-
R=2.65r'l'K/W Lacloisonci-dessus estréaiisée .

. Très grande haut avec un railde 90 mm dans Iequel ticaux faitque 1es parements
eur limite opposés sontmécaniquement
d'emploi. sontvissésdes montants verticaux
de 70 mm de manière aiternative indépendantsI'un de l'autre.
. Très bonnes per formancesd'isofation acoustique etthermique.
(unmontantprendappuisurI
agau- . Le poids,pourune épaisseur
. lmportanlvlde Interne permettantde placerde nombreuxréseauy sa- che de I'aile du railIe suivantprend de cloison de 140 mm,n'est
nitairesetélectriques. appuisurI
adroi
teetainsidesulte). que de 46 kg au mE!
LACLOISON SIPARATIVED'
APPARTEMENTEN200MM AUTRES EXEMPLES DE CLOISONS SéPARATIVES
D'
APPARTEMENT
D'
#PAISSEURMONTEESURUNEDOUBLEOSSATURE
METALLIQUE INDéPENDANTE DE2 X 70MM AVEC *
'

LAINE MIN/RALE 1et2:CLOISONSS/PARATIVES / OSSATUREALTERN/E


3,4et5:CLOISONSS/PARATIVES XOSSATUREDOUBLE
5 : 1 j .
' 2
CARACT/RISTIQUES Pq EXEMPLE S ,
j o-E ii!% E it$ s
v !cj/
: r'' iru
m.
DE LA CLOISON DE 2:9-s 13 G s l.4 n w. E
-
2g E 3= = t jqgw
Cpai
sseurenmm è2o0 coNsTnucTloNs I
iXoxc
l rjyN !o m.7c y. 1*p=
of:.1E R
2* 1 >7 o (oe)zE Iz E * !.O
52o
oI .O
:stc
œ
Poids enkg/mz l 48 ;(
'
i *d
4) q
q i q:a:; a
1i
--
....
-- - : mxw s ?.x11..5 g
1
I
j
ë j
Hauteurmaxmum i & D mq.w 1
- . . j 48 j ; E
enm ; j c. . . ..'
. :.
.?.
...;.'.. .d..k fr n ( 2(5 f
.
Montant l ).
., . .
. . .
. '. . . :'Y : 48 jo.z; u $
.' !
! ' i 0 65
$
si
mple 1 ê(
'
...
, -
'.
i
.j! à :
.

. entraxe 0,60 I 3 2 . L é/x .


412,5 ' 1 l
j '
$
*ent raxe0, 40 l1 36 ,
'
mlncjk 2.1u . Y '-t-
: 70 2 ? :
. :'
. .r , , . : ...- j ;
- Montant'''
r-''
x? ) . (o..
j vz'
j 7 zp
o 4 I
double v
-,
,t
....

, 2-v.$ g!,'à,.4: j.gtj- .. l
tso k o,
ss
.
. entraxe 0,60 3,8 , .
* Ontraxe 0,40 i
: 4,2 k t.
.. -. It.
/'q'
- w ..
l $ '
I j
,
.1.,:
:: 21
5- '
-.,-
.''
:
-
.
!
1
:
.
,1;'
1
M
. 1
. 2àj2,j J -
ISOLATION 1/ . > t * .

ACOUSTIQUE axtzs . !
, j
j !
j
2 '# qlks .

'..g... ...
,

RendB ( A) 4
avec iaine minérale k
hA'
.45
3 u..'k''v'.,
. =.
':.t.
..
'.k.
..
.
.
-..
-''
' .
.
'
..
.y.
'
. s.z!
,j j,
.
' 4: j
k
j
48 )
! ë
(
y ga qo,ss
i j ;
de85mm (1) : 1 65
! -.-.----
. .a
,.. lv!. 1. .
t
) !
j
ISOLATION
2rah de ?omm. . :x/z.
7- I E
THERMIQUE L a,-fzê5i j
' 1
( 90 3 t !.
K enW/m2K V- CONSTRUCTION
! , ... kj.
.. .. .,.. . . ..,.
.,. ..
k J
avec laine fntnérale ' La ciolson ci-dessus estréalisée avec ...:.j ... ,.,. .... g
. .. .
r jj .
de 85 mm (1) 1 0,45 4 4.k.J - !. ,kg 50 . g . (;
6 ! (),4:
I 2 ossaturesparaltèles etindépendantesde .j ,j ,
cu ; r)
o ! g 1
Panneauactlusllqu/ .protjie(3t1
70 mrnd'#paigseurespacées J'1cm. '
e = vm l ) )
serlll.rk(;l:1i?R =2.02:47l(J$V 2 x 2 plaques de B.A,13 viennenten u-.â-.a., i l&-t) é i 4
,4 7 . l
parement. .- -w x
7 j q '-- 1 ---
xd - I . i 1
l
PRINCIPAUX AVANTAGES '
.' f
ë 90 ë
, f
g I
. ; .
. En aménagementdes combles ou en rénovation,la double ossature j, a k t'w..j j4,
permetde s'adapterauxéventuelles differencesde niveau des plan- i do g5 ; à''
' j
chers ou des plafonds.
s . x.
-? '
.... iît; i , , (,
8 ' ()a5
=.. . ... . . . .. .
o4 1 90 i
! . '
. .
Les per-formancesacoustlquesetthernltquessontsenslblemenlamé- . j!
'
,
....'. .. - '
''
. :,. J )r-'ra)'n i4,
. .

llorées parles 80 mm de lame d'air. .


u..k......:..: . .
... . ,
.-
1 1L.-!U,>Il
95 . I
4
'
. L'inerlie des montants autorise une Iimited'emploiélevée. x. ' j à '
LA CLOISON TECHNIQUE . Touslessanitairesétantsuspendus.Ie soles1entièrementdégagé,ce
quiprocure facilité d'entretien ethygiène etune mise en valeurdes
CONSTRUCTION carrelagescerlaine,
La cloison estréaiisée surune double ossature comportarltdes mon-
laqtsspéciaux renforcés de 48 mm etdes supportssanitairesspécifiques. LA BANQUETTE TECHNIQUE
2x2pl aquesde B.A.13hydrofugées(marl ne). CONSTRUCTION
d
*
'

1 Ell
eestidenti queàceledeiacl
oisontechnique(mêmesprofi
l
ésetsup-
Pk s ports)à l
adifférenceprèsqu'
ell
eestaccolléeàunmurotl41unecl oi
son
Plsê: '' sansalerjusqu' àplaf
ond.
'
: N-+.
..?*.k C
. . . . z .
. J Ne$
s
.
#
'
.w Y 4.. s...
Vu
: .,
.-.u. ,. fvaon.
j ..
2 V*
z eVi

. .t' l .
'...'tu.
,,.
. .. ,-
ltzt*tbqt-- -
.
*.
'r
. jà
q.. .
.z
'. '* . :.u.
k;
.
..*.r.<...Ly
..s'.1
. #>
. '' .. .. .nrgg
twn zk
...>
; . .. ï. #
, , (x .. .u. j77. .. '. ''
?
>. k;%? .;
' 'e. .e,
, ' . ...- . r's.
,. . . ; 4* .. .1.' ..e
. . . j
t j .. ie5t . - '
. . .. t)t
. . 1
Ce... ,. x; ..J
8,v(:.'rv
.*
- .. .
.
'
'... .
z D
;c
5j
.j . ' ) J
.t.....22
ët 5. . p' ' . .
ta .
..y *.v
A1 . . '.'
pL
.:
.
+. .. .
,
a 't
.,.. . ...
, . l ..'j)
1.
, . a: r(. '( .
zp t
'- .
&pesa
.clnt.sg
ue.e i; . -. , .
, . . pl,
..
.. u.
'
)k
.v:.S>'4
+ .,
f-
..
..k .
n ''vlj
X.
- nkntsr ' cj
. .
.

ald
er
spa#tzJmm
rep.
/orces .-2,
PRINClPAUX AVANTAG ES
. R utes 1es canalisationssontencastrées.
-
-. . monknts.
j ;au<
-
reoforcest
fe4.
0mm
. La cloison peutrecevoir,quelque soitIe fabricant.des appareils sa-
nitai
ressuspendus(sousréservequ' il
ssoientconformesauxnormes
européennes). PRINCIPAUX AVANTAG ES
. Lacioi sonpeutsupporterdeschargessupéri
euresà400kg(appareils . De grandes possibilitésd'aménagementsurmesure.
sanitaires). . En rénovation elle permetI'encastrementdes canalisationssanitaires.
. Trèsbon isolementaux bruitsd'écoulementdesfluides. . La banquettetechnpquepermetde recevoir,quelquesoltIefabrlcant des
. Grande sécurlté enambiance humldegrâce auxplaqueshydrotugées. appareljssanitairessuspendus(conformesauxnormeseuropéennes).

=.
qr7';'t
t- z(?tttrt''L?bv'êlfyr
lirkr??t7El(1/ tist,é;u
'ir'tsr'?i!h/
:)?.
/63
X --w (.îà
L1' '?ftk.-r<''t/ë)t; &''
. )Lv
'.bî,
'ZJ():è/:i?z'
rtz(?!/'
t.?,
r(/wtr2/i)'L''?l'ù
',E;-
G'ww x
/ee sotl'
s k?t
Ap
''a
.lt
sae u-otC'
JJO'?er..
rplrfke-a-
. uà
. tl?rk.x sotis t/()l''e /. ))1Lit-zu'a e.
. lcc' ...
) îl.c'
.r?z z 'g'b')
%d t7().wr3 se(' )ca./'ak-f ta
. L-îe i/t-'. ît,0 I 'olz-j'l'ïs tgcls/.
1*
;12
'1' b/(4/4I?f?(?s)(
t -'ëtlfiiré;(?u léi:'')(t- J't?L/wkrt ..'i?t' L?.:E/'
L?/Ji
'
':z.'. - ' -b .; JOI 'It
)L/6.CJf ( :l CJSSI?L Or&lot.d r/b(i. 7k'.7D' 6)(f J'/tl.
MANUTENTION DES PLAQUES ' .>'g...
rl.k t. . è
.
w
(7t:f?;L), bf?zi'p;
1/'Lïr)rc-
vr?'()/*t:?'t?/ëi?f);'lélu 'A't&?i?!t. -(;Lp'.
()(?.krc-iï'6?t-'
-1e :g':7t?t)/rlçq?(7c '1r-,çï?'a(4I'1 'i;; 'u''
.';
n
La plaque de piâtre se transporte sur - .. (
chant,c'est-à-direverticalement,sa grande
longueurparallèle au sOl,Paurle Jéplace-
mentàunepersonne,d'une plaque,i!existe A'LA SClE E' 1'NE
un accessoire spécialementconçu,consll- '
tué d'une ffpoignée-manche )'reliée à un ..k.
L
crochet.Le déplacementtt2 personnes $ '
djunepl
aquesefai
ttoujourssurchant. '.. . . @
.. %' y-.y.
lt.
y*;. '-
X'. .
.''
. gtapï ..!'=' .. : Sila pose de Ia plaque doitcom-
STOCKAGE DES PLAQUES .
w'u
/
' . porterdesdécoupesenangies(pas-
Lespl
aquesdoiventtottours*tre sto- sagedepoutresoudecanaf lsations)
ckées àplatàl'abridesintempéries,sur celles-cise ferontbien évidemment
Note
unsolparfaitementhorizontal.Lapiledoit à la scie.
reposersurdescarletsd'au moins 10 cm l-es travaux de cloison-
deI
arge,espacéesaupl
usde40cm (
dans nement ne peuvent ilre
ces conditions,ilestpossible de superpo- entrepris tpe Iorsluu /es DéCOUPEDES BOîTIERS éLECTRIQUES
plafotm ssontposëse!/es
serjusqu'à5pi
lesdepl
aques). doublages de mtzrsexté-
La 4èco(17e se faità la scie clo-
che.Vous uliliserezdes boîtiers à
rieurs lerrrl/hés.
griffes spécialement conçus pouf
Iaplaquedeplâtre lnterrupteurs.prl-
COMM ENT COUPER UNE
PLAQUE ?
Cela peutse faire de 2 m aniè-
res :au cutterouà ia scie égoïne.
*
v *:.J
I -
ses de courantou petites boîtesde
connexionsutlfisentIemémeboîtler

AU CUTTER DISPOSITION DES


JXCOJL1(.tCr'( 3/tJJ)tzù-)SL'ICCOL.,470.S . 7'tis' (.'77LZ) PLAQUES Remarque
t)t/fi)El(li?tif/'él6à:l./Zh()6)/J?C1/'ri(?;TL?(Ir?i? */'Li(?é? LeSpl
aquessonttoujoursdispo- Les plaqves de p/llrc se cou-
o'r')e r'eg/t?/??e?J1//. '()tze.ylvet''Ie . '-'t/$? 'e;'erl SéesdemanlèretlceqUeI esjoints penl J) hauteur sotls plafond
:7
.r?/:)tttt',((j ?t//ti/dl?:2é?''762(2/7kïï' r?/ti/t'?/' c;??(?L.)?/t.:? en correspondance avec Llrlm#me mo/r?s 1cr4?.Lesplaow es da/esl
iïql7!Ji/lJi?zèrrtq'trLï1qr(:1. ,7i?t, /fir-
lI('
îr('ç?t:/(:i?b '2é()(Tï? montantsoientalternésd'un pare- t
ovcherI
e p/
afor
lct/
eiell(1Cr
T?
J
hetge(?elaplaplle. ''I) eslIatsée/:c' a/-l/'ebasse.Lorsde
.zqï!t./t?é,'.1;t;/',.t
;/r
-?(.
7.33t?
-.@rt;/' .'il)f?tc'.?t)/f?. L?1.)/'/)é?i.
i?n?.
' mentà l'autre
menlJrar/o' e.p/ac(?zja p/aque en ! '.
7tJ/'!e- /a pose. // faudra lrrlerca/er tz'rpe
a-fauv.e1)ba/t' ..
/b' .fe latvt? é: ?!'casê. xt.)z ( 1t7/' ca/e (:/'7crp entre le soIetIe tlds
coo.osecJ'2') öe /a piLznt-'e (7t/titîlYer tpr? (7:.//.
,/'
spécialappef
résotllèvep/atpe.
l
i
1

. < %. .
. 7
'. . %- G u
N x

Lors du montage d'une Cloison simple Cloison double LES LIAISONS AVEC LE SOL
cloison àdouble parement, parem ent parem ent
Eq domaine privatif,dans Ies pièces humides ilestforlementrecom-
Iadeuxième plaque estdé-
calée parrapportà la pre- mandé d'utili
serdesplaques hydrofugées(di
tes mari
nes).Ell
es sontin-
contournables pourles parois soumises au ruissellement.
mière.
Lajonction entre2 pla- '
Exenw les dem ontaqes,enpied decloison,pouruneparoi
quessetaittoujourssurun non soumise au ruissellement
montant.
ô'-i?t?)'L).'
lîr:iE)3$113
Les vis sont espacées *2p'r(?r/7irk:lLkbirC/r7 . .- ..r . .. .', ne
entre ellesde 30 cm etsont ; ,.4 x zms
disposéesà 1 cm minimum
r?n/h-,/77i?r)?:)?'')?é7r)! P ;<e @& ..' ';
()''(./r?;)i uî'q??1?çtf)ï # f RMc
&? .''
,. a cb
1
* ,:?
desbords de plaque. é?1'&1t?ttrb/ .p .' ..
' . . . ..;
Lorsque Iesmontantssont 7 c'J:?' *
l. ' '!'
'''
''''''''J%'*''.''*''''
.'4 .
. 1.'..
-&? x . .' . . '
doubles,le vissage se fait ' lnt ! k.'...'....'..' ..,
alternativementsurchaque -
z
'' - .m r#
delf àt
i:itz
e. % .
c ,
'';..,.
.-'
.'
j
c.
-.e,.p4'
..
;.., '
:'.'
,.
..
'
montant. I.: . .t @ .
éqlt//'E)()/yil
r)/
' xî'lt>'i'tï()''?.)l'L?:

I-es/(l/r'
i!.
SL?O'ï( Exem plesdem ontages,enpiedde cloison,pouruneparoi
tarrèe's(.J't,rn
a/ soum iseauruissel?em ent
parem elàta
/'aur/'ept-lt/rIij
.
ln/c
at/tleel
Jéca/ fl'sentre/a
e!Ia,?
clt/c/?e.

VISSAGE DES PLAQUES


Utilsezdesvi
sautoperceusesdetypeT.T.P.C.(TèteTrompettePointe
CIou).
Envissage surprofilé métallique,la Iongueur
de Ia vis doitêtre égale à I'épaisseurde la pla- LES LIAISONS EN T ET EN ANGLE
lt-
is
j s
qa
ueI
on
+g1
uecumrd;
oe
i
tnêt
vr
i
e
ss
daegI
e'ésp
ua
ris
us
nep
urodfi
e
lél
aep
nl
a
bq
ou
ise,
+ 2 cm .

r10D '7
i)'
ft
n0n '
Llaçsonen 'P
LES LIAISONS EN L r LES LIAISONS AVEC UNE HUISSERIE
t..) MET
* ALLIOUE
f-u a
1 Sui
vantfefabricant,certaineshuisseri
esm af
.
-! liques présententun contre-profiIsoudé à j'inté-
rieurdes montants,permettantle vissage direct
d'unmontant(!).
SiI'huissefienepossèdepascecontre-profil,IaIiaisonseferaparI'in-
termédiaired'untasseauen boisencastrédansIacloison(2),elvisséà
l'ossatureoudansl'huisserie(3).
-.-
.- .
mjjsgtspjgs l
/
LES LIAISONS AVEC UN PROFILE
' ME'TALLIQUE OU 0 1 -. .

EN ARRE -T DE CLOISON lT) nf :


.851b9jk
,
j
fn/' il
cire fl3gssqrks
'rontt
nts*
-a1 x prk y//é /buisben@
l w.< sprecial
'
p . tyaunmj rç(/qvecrï/
es k
mtmlt
m'
rJ'ote
mont
ant... .,
i ) n,jutp
k ). .-,
scto's e?'ra>* tfe./egsu.
gesk
Impo
WZ
M )
! 2 hkfissere Jarls/'aliklflearnenttl' e'QIXt.
isorlJikft).*I?SSe:iLt
t-/ti/:ir)r?Lzk
v'qtL?t/r? ;4l(?flieb /'?(jJé?//Jc)t:i) ,Lb,
''l'(bttki?()/t?/é;()r)c
ak,i)(2Lt,
rt/J)r()tïlLqilri er)t)op 's.
'
rt?:1'bî). éî?
Jtv?rr?/'
r?/C7.
r'?. q 3 p'-/twsser/èrle/'peryc/.
'o
'-t,/a/reijIau
-/osona'zectasseab;en
3. o bo:Y.
.. .. co
' -b
-lereé
p..j %bilkae
n'.'nn bol sn Jipt: &&e
LE CINTRAGE DES PLAQUES DE PLA-TRE
& nA tl
.v.' .
. ' ... Pbç/e La plaque de plâtre ne permetpas uniquementde réaliserdes cloi-
'
A
.
.
-,e //t:
..'CD SOl&
' sons rectilignes,elle offre égalementIa possibilité de créerdesarron-
ztli'lf3/ u-
2(c:k'')'
çïtJé;('
),'?(T)éi? ë:
'1'
i/')?'(?tf/ft? tï?r? Arrétde closot)par'tprle balàde c?e disparlaréalisati
ondecloisonscourbes(oudesvoûtescintrées,maisce
lT)($'
/t) Ia/atltki?. n'estpasI'
objetduprésentouvrage).
àI'i
nverse de Ia cloi
son rect'
-
Nole line oqj la longueurde la plaque
LES LIAISONS AVEC UNE HUISSERIE EN BOIS Setp/es 3 Jpasselprs de pla- estgénéralementdisposéevertica-
La solidarisatlon de chaque montanlde l'huisserie à I'Ossature sera as- ques ccmkfeflser?fetpermeflenl lement,en cloison courbe le déve-
suréepar4visdont1enpied. fe cintrage :Iap/acpespéok'?ic/h- Ioppementdu cintrage sera réa-
trage e/n 6 f'nf'n e! 1es p/atwes Iisé avec des plaques mises en
standard en 10 rr?rrle!13 mrr?, œ uvre horizontalement.

Un rayon m inimum de cintrage esttoutefois conseillé,ilestde :


- 0,90m (plaqueàl 'étatsec).0, 65m (àI'
étathumide)et0,40m (à
I
'étathumldeavecpréformage),pouruneB.A.6,
- 1,60m (à l'
étatsec),1,20m (à l '
étathumide)et0,70rrl(.jl'
' état
humi deavecpréformage),pouruneB.A-10
?-ï:.
'Jtr:)f?J'/(? 4)(?''
;ï3()
.r7(;$.
t)ti/t7
.?J'i? ..
3'
1/ê:(7./13.
'' - 2m (àI'étatsec),1,50m (àI 'étathumide)et0,90m (àI'
étathumi-
é;(91.J. deavecpréformage),pouruneB. A.13 etcedansI esensdeIal ongueur
Plus le rayon de cintrage estpetit,plus la mise en œ uvre de Ia pla- Le reportdu pointC au plafond se fera à I'aide du filà plomb.Ce point
queestdéli
cate.hl'
évi
dence,ilestbeaucoupplusai
sédeci
ntrerunepla- marquéaupl
afond,tracezsurcedernier,toujoursavecvotrecompas,l'
ar-
quedeIargeurréduite.La B.A.13 étantfabriquée en Iargeurde 0,60 m . rondihautde Ia cloison.
ilfaudra donc,de préférence,privilégierce choix. Lestraçages bas ethautréalisés,ilvousreste à fixerIes profilésde
soletde plafond quimaintiendrontles montants verticaux.
POz1l'un rayon supérieurâ 2 m,le cintrage de Ia B.A.13 se ré?/! Ces profilés pourrontêtre soit :
sansprécaution particulière.lcluplffos,l'entraxem axim um desmon- - un railquisera cisaillé surune aile etIe fond tous les 8 à 10 cm
tants verticaux /?respectersera de 40 cm. environ(1),
- deuxcornièrespositionnées
P()tk
'
?
'unrayoncomprise
2m et1,50m,IaplaqueB.
ntre
A.13
f
,
-uk
Q .- face à face de manière ttformerun
seraposéesurztréteaux/égêre- ;
.. -
) U,etentailléestous1es8 à 10 cm
mentécarlés.etmouiléeparpro-
on d,eauc
jecti '
l2abrosse( tn
?tkpo.rn/
-
,)'-k 'ï
)
suruneaile comme Ie montrentles
dessins 2 et3.
x'Nx N Le cisaillagevousdonnera au-
J/f/(je Lb/'éponge.L'entraxe entre #.
r,.. xx ' x
montants verticauxse/' a de30 cm x %N xx tomatiquement un cintrage natu-
x Nx N.
au maximum . xx xX N N rel,ilne vous reste plus qu'à fixer
Nx XN . '-' parvi
ssage(1vlsentre2entas
rl
es),
Ptlur un rayon compris entre '
x x% '
1,50et0,90m,toujoursenmouil- I
i xx '%x Ie raiiou Ies cornières en suivant
Ianteten aidantau préformage padaitementIe tracé au soIetau
delaplaque.l'entraxe entre mon- X plafond,précédemmenteffectué,
tants verticaux sera de20 cm au 0 o Les montants verticaux position-
o
maxim um. nèsdans,esprefiésbasethaut(au
1 b0nentraxe),Ievissagedespl
aques
peutcommencer.Pour cela,posi-
MISE EN G UVRE DEL'OSSATURE MéTALLIQUE EN tionnez et maintenez provisoire-
COURBE mentvotre plaque avecdes petits
Letraçage au solde l'arcondide fa cloisonseraeffectué avec Uncompas
serre-jointsetdémarrezl
evlssage
à I'une des extrémités eten pro-
detort
uneréal
iséavecuncl
ou(Ouvis)etunefi
celereli
éeàuncrayon(le gressantmontantaprès montant
cl
ououIavisservantdepoi
ntesèche). àraison de 2vis minimum parmon-
DITERMINATI
ONDUCENTRE DE L'ARC DECERCLEA tantet3 en bout(4).
TRACEB
ProlongezIetracédescloisons,I'intersectiondesIignesA-O etB-O dé-
termi neIe poi
nt0.Prenezcomme rayonIadi stanceO-AouO-B (quidoit
êtrelamême)dansI alimi
temi nimum de0,70m (pouruneB. A.10).
Tfacez un 1. ''arc de cercle A1-
A2,pointe ducompasde fortuneen
A.
Tracez un 2* arc de cercle B1-
82, pointe du compas en B.
L'intersection des 2 arcs de cercle
A1-A2 et B1-B2 vous donne le
centredeI'arcde cerclede votre fu-
tur
ecl
oisoncintrée,I epointC.
Ce centre C trouvé tracez,tou-
B
j
oursavecvotrecompas,l'
arcA-B.
Remarque - -- --
Pour/'tltnre/?r/br? d'une
pa/-fa/le contlnuité Ja/'?s /a
ceurbure, il est recom-
mandé d'assembler /es
bouts dtlplaque er?partie
rec//l
gr?e(1
7.1
'
1estJéccl
r:-
sellé d'effectuer t#? rac-
cord en part/e cirltrée,car
/e méplat ainsi criitj e&l
très J//f/c//e tj rattraper,
rr/lrne e?7 chargeal?t at.k
joi
btoyage. E'
/
1 cl
oisons
cj/plrtjt?s at/ec parement
double (2 p/a4uessuper-
pclséesyl, Ies ytl/rlls verti-
cau'
xsontO/
ii
/kaltl
kfr?
er
p/
décalés d'at./ moins ul?
mtl/-lta/l/.

MIIEEN GUVRED'UNECLOISON EN PLAQUESDE d


'
PLATRE SUR UNE OSSATURE MéTALLIQUE mc7 .. 5 f '-racez a d' caJcfe - r-/t//1?kzeat/Lj .tlt///es o ;. ?.
()s/f, o,'lL', 16,
pTr?ty?/-,!d?/-1/rzdsh?-à/(ï'a./'é;Q' .',,',/t5?. r??t-.'
;'t'j??z' tjp
j:ltï'?
ï'tvz cEpL::.:).?t
c?,
#(:),r?tr/.' ébi
u ' 2 .:.. Jekparrt$/..'rabl/' uu/
'
.;
., (7.l rlkkl,
rç?(?r(-?îi?1z/. //'
û?,mt?r' /ii?élf)âr/(?,'1)Lm ,:7!- t)rq#tzél/z.lt.-kz'f6;c?r.'i ?
:
1
5
ijj
. q
r
j
gg
r
j
.
d
;
j
k
)
,
.
jg
l
Ij
..
.
,:
y
:
t
. Int-ir4 I'
à:)zt'r'6?2-,
a.c'
tL)t?/'
e c?tpfJ/a't
ê73,
-:2f;t?z-q')
nionè,
.tsf?i.
lèra.frv-c/ols()n enttlonj..ve-
Là!(;'?7t'?'î ''
t:'.()/()r?-?1:1w'r/t??'c
'7//' tifilé .kL)1 '
11k-k
.7
.-
''' ,
:-1 .
-
,
r
:'
!
q-
!1r
.'
,. /'-,.4ez?'
7 eJ8 è
ep'' a//aLipê
Bc.st 'tv
'a?/()Gc/
'oll,e,ezerî fqeza 6.')cr'. ''.
'.:7'tlîtenvniie ltao's
'
1
'
-
)
i
;q
'I
)
E
.,
.
'!
. /esrl7t3rlla/4lsvt'
kenvent'ze/-l'cat.f$:
?.'-tlCaLJ.YB(?' ..f?r/4/a/:!tj ''tl'b'sSa/efl!rqlavw' ?z.
''
:
'f'tr?(h.(?
-z@r(.1??(,'t'?'::,11t?,1?(?1/' iz?! -?él?'J?''
7t??'(??E2t?
ts@
.
1'
.
l7k
'
.
,
''
.
t
. - '' 9. w% /aha.u/ektrt 'Jeclo.'sL7n 'aect
ass/lt:
?Lt;'x
.;73(l.
'?ra'arG?,7t.
'-
?:?1'L?r?),6?.rJi1 L?q-/J. f)rzzï,'?(;ë?()r7/'ri?6)J;'().'?q1'(àrô! .fj'j
.'i
' t L?(e /?sse)(.)/'
):v'ssest' /tl.sar- /as Jzyecdestz/s:211,*D?, .-
8)'-
(''J'i? ';)1?.é)Llç?tas''cvzil1- :kk7? /C)/:;.
-'r).lb/ftirtt -tîiilr ë
I1!
.!
'911r
,
-
k
. - .-.
.
ceuses(4t/t
''lz?3(aF.?%'PF J'T'
3!eEkclp
nta'ePointel-t7re/
.7'
f?/-'
.î )()t)Cr..t)(1:1L?1-,àllrlrC.êL?:î/)t.''' :l:)(?r?i?t) l
g
;
#;.
t
.
1
t
''f
,-. - -.

j).
.
' .i: . 1
.:

N
.
!
r:;:-p.
-.
;:
'j '.
j ,
'

',k
!
'! ..
. 1.. .0

' jl
jI
'
-
+' l
I -
k J. '. ..
T.' - !''
. . -
' #K
h.

10 L'e.
'hx
ç)enii.
île
de /'
a s/rucrt//'e
r'
Jlela/rg '/c?tie r' r'se
i?/7 ; q).llà()(?. (;r?tf.
:)6:.
. : Lllkït?ta'i)
?l
1é)u'7tk?ttf1.t:(ï.(v't)
:?/Jif(L),
''ï(u/ ,':$(:)/!?E?
/c/ 'aTLotl?-i('?ë, .(?
tx
vet/r'é?.!(:)t.'ç?'l')é??'/il
rpIa4t).en(;f t' e 'i?(.
y(.,nr.'1.,0/4/')e?. est
eJ?/' ?as t'l'e a/t?f-
t;:)1).s'
E)(/L:;;ti'ëlt/.
t<
lffs(laies'(J'1cr7T
L'
;''
c.'fla/ssaa'r sul.
J/
c 'iloa/orèf/' a o!a-
t'/t/i.
?der'
f5'r'?JJ;lSCakz f
vsssak/e.

14. t '?',
rle 'ols !()tttes
-
J
j
. .w .
#
11 ' vîsseztesptc. ptyesSt//'. % st t-t/chzri'?ak'ec(J't as g)'296217/.?.$*Vltîike'PS.')'f?inlOe? ' '' ' J'$
,
vis at .:'
.or.lea-.t'?oses )-.Fr-tt'.-z%kt.atds /es J'-C.?t. -?7:e. 'C 'J? hz(?/
. 'SO/,.. f?k
'''OLlS I'OS'O (' 7 ..<z&'
/tllp:, s)??JT/r77c$.'))(?'(?F)1)L?;-ç?.
';; * é()t/rlqtpr?()Lprrtl(.1.
1'Lv?(? fg? ''(?()6?
':)'
é?/'k:.?t?
'?()//?!t7)zti(7i? 1ti 11i)l
Jt')t;i?zr t/J)(a r)/'taé77?f?.
?'t?
papp arIuee+ tsLir/epolcora. '''
.sfk't
':
's-!..'''J/nentrr' .k' erttred(?L;,b'p/a .qbiesctlc- (Ert/ioke (7/'el' m'til:#.e )' e/.)ot.'-
secvtiveL?etati'rebou. (7Dt
.J
7 ce st??-/e'' LLîirtî.
l
'
k().69tF.
(?/)c' ?f?.î;t7r'tici.f (rC)J'.
' r'
i?sl.
4
i
??()''?(9aLïlî(é?Q.'.
Y!ti' .J?Fkfïtr:. 'é9

'
J1).J:h:)Lq.
't,r)/:c?é?zz
/6i
. r):.7ci?rr.7(??Jr. 'çj
Llecoç.ipez .J
st-?'
a
ta docl-'e é6's
.UJ'
O .=e<
Y+'
13
C arreler

'

1 .
'

.k;<.'.
t
I
.
j
I
l
l $

1<w%
. >

, ..
ùx
' --
Le C A GE .

'
!

.wh . w. .... . '..% 'y krg


....*m.sxh
= ..

'

L E CA R A E LA G E
ï:
N
AVANT-PROPOS
Quelquesrègles de base
//'Jati1s'atzc'/rh'ue Iesgrands carreaux t?//7!
GrecsetRomains recouvraientdéjà I
eursol
de mosaïques...!C'estdire que le carrelage
é)?-tlsér'' zé?/'(?i'-lx grar?cïes st.rr/aces etablx p/ect?s n'est pas un matériau récent.L'homme a de
a'e grar/des c?'p rflle/ls/tl/Ds Er?effe! ptlses c/aps touttemps utilisé 1es carreaux de céramique
ul,ep/ilce ou t?. q coLijoiî'ex/pu': ou o' ar?s un /:)- ou Ie dallage en pierres naturelles,pour des
cal/?Iî?Lt' ltlol
. e
' srecr//?settfrzh/'tlc/?er?le.r?ls.I
'/seJq- questions d'esthétique ailiées au pratique.
traà'leraler)fc/'e nolnbre:fses.e/stlt/kzerplines-
thétiques coupes. X
Les petitscarreaux stlrlt .çt/arnla euxp/t/rtf)r
tïes//rpd' s aux petitespièces. Pour bien choisir
p'/rpt/!p/'/'//.@g/er,'es carreaux c/ajrs pot-/r?es son carrelage
pièces som bres (-?/1es plus petites,//. S Lfon-
r
.)f?r()?)!Ilillusion G?tu?!eséc//arrcp/elL1e r /esag/'éir')-
q'
hr 11fautsavoirqu'un carrelage ne se cholsitpas
qu'à l'œ ispoursa beauté,mais qu'ildoitaussi
Quelle quantité de carreaux acheter? répondre tt d'autres critères en fonction de
I'endroit:couloir,salle à manger.salon,cui-
l-cr?pt/etFr.4lar'
ge/,
''o'e,'
a prece vollst?or7rpera sine.salle de bains.W .-C.,terrasse.balcon.
ya surface tn'e Ia Jl/t?c().c'est fa base de la
escalier,etc. etdu lieu où ilsera posé :'nté-
commande,?
-
?7
(
a/s'?,
%Li(majorerct
all
e,.
'
7ase. riet/rOu extérieur.
pa/-l'
??'6?ca.&l/()rl.de 5 J 10 %,pourIes rta/scllps
st//'tzét/ll6?
q .s .' En epet,selon leurméthode de fabrication et
- ? totllbreLlses coupes de finitions.Ies carrelages présententdes ca-
- chut es '
:-
/tacoLlpes7/lt?s&,
()/tl.
rla/xe.
s. ractéristiquestrèsdiKérentes de résistance à
- casse, l'usure(trafi
cdespersonnes,encrassement),
- é'ztarlfëke/'
s défauts, aux poinçonnements etchocs,tlI'eau (et
- impossibilité de racheterdes ca/wealz doncaugel )etauxagentschimiques.
(?'tk'
cllïthlne/(a1C)u
'iarrf)lo''
(7r)6)fadlr/ca//tlrl, C'estainsique pourfaciliterIe choixdesparli-
- i?!rfserve de ClLiellue.' ?ca/Teaë/vvpc)&/'t/r? culi
ers,I'
AFNOR (Associati
onfrançaisedenor-
p'elpp/acerpe/ep/fuburde carreaux cassgs malisati
orl
)enconcertati
onavec# esfabri
cants.
()Liprd-'sel?tamldt.
?séclatsslllteé)f ï-
les tl/lt''- adéfi niun cl
assement(appelé UPEC)sel on
teS(/'otllr
(?/s. descritèresde résistaneedu matériau parrap-
portatlx tfagressions'?extérieures.
Le classem ent UPEC
Ce classementestfondé surquatre critères
symbolisés par quatre lettres.Chaque cri-
tère(doncchaquei
ettre)sedécl
ineensuitepar
unchiffre endifférentsniveauxquicorrespon-

t
. ï..
'. L

kk '
se C A I.A G E -
,. .
?'
j
.w.. k . A
.' :.1'
')A
.-
..
x
N .
.
.
.
t.;
. J. !j
.;œ

dent4 la capacité de résistance du produit C :pourI'emploide substanceschimiquesOu


ainsiqu'aux exigencesauxquelles doitsatis- dedétachantsdomestiquespouvantprovoquer
faire la réalisation.Plus le chiflre estgrand, des taches.
plus le produitestperformant. Les chipres afïectés à cette Iettre vontde
Ce classementestie suivant' . 0 tl3.
*C0 correspond à une présence d'agents
U :pourusage du matériau.donc Ie change- chimiquesexceptionqelle.
mentd'aspectdflà l'usure parlefrottementdes *C1 correspond tlune présence d'agents
pieds etI'encrassement.Les chiffres affectés chimiques occasionnelle ou accidentelle.
à cette lettre vontde 1tt4. .C2correspondà une présence ou àIa ma-
*(-12correspondLiunusagernodéré
* U2s* correspond à un usage modéré nipulationd'agentschimiquescourante.
@C3 cgrrespondà ane présence constante
maisdequalité supérieure, de produitsspéciaux.
*173correspondàunusagenormat.voire Fortdecesrenseignementstechniques,som-
impodant. me toute un peu abstraits stlrle classement
*U3s*correspondà urltlsagenormal.koire UPEC,voilàcequ'i!recommandeenoutrepour
important,mais de qualité supérteufe. des piècesbien précises.
* U4 correspond à un usage intense.
-La lettre S qutaccompagne parfoks le tlhlffre
Note Clofrespond à un surclassementqualltatl
tdans
:$: fillt.t.t'lllir1l kj(?!t. lacatégor3e '

tq.,;';'.f!t!t1, .,t('!.1:,dt-..It' P ;pourIe poinçonnementdthgénéralement Endroitsetlieux !


' Classem ent
.,.-t.ryh,'rlts .@t, s.)1 (h).,1 à t'écrasementsousIe poidsdes piedsdumo- Pièoes d'eau @Salledebains, douche, ;
lU2 P2E2C1.
.lt.t',t.c ;.)I.@.
-:!(!Lit%:. ))'k) bilieretauxtalonsaiguilles, ou deservice W.-C. I
:
.ptieltt-s ..lyrtli,ttpt. 'ntt'1 Leschiffresaffectésà.lalettre vontde 1tl4. isal le Je baiqssur .
:
':ntllits ft-)t.plïkx(t@i.,t,It,). @'P1 correspond ,'j des docaux sans pléli- .
supporten bois'ou !1.)2 P2E3 C1.
#
tn.'
rlt
''kIl
yaI
'
.
dï)
,:!I
'
o.:l
ktlt
-:ltl
Fu rl
i)rr
lt)rlt(tlirt
ltl1ë
1ti
t)r'rtl()ti
li
llrli,3. endérivésde bois. !
..,it't.).:t.ll.lrtxt-rhrl.f.4)1:,It,. * 172 correspond à des Iocaux où $es con-
.rt,k..t''1tdtz;)t;L)I1.'i'E'plp ! traintesstatiques ne dépassentpas 20 kg lCulsineetcoi ncuisine,tU2sP2E2C2.
15t'1A.CU';h1
1.'i21(1tLt'
t/(lqtr,t,lt.,
nt)l1hvlE1l' YU Orll2.
* P3 correspond à des locaux soumis à Piècesdi
tessèches 1?en
Satll
e àm ange r
,sa l
on. j
rée.coutoifenrez-de- (
l .
'
t'
. .,. (.::)sst.r'lio;)t ('ht..r!'Atâ2 deScirculations dechaises à roulettesou chaussée.ettoutes
jpiècescomportantune t
7 orte donnantsurS'exté- @
. 't
'rè îtL!,t'
.
httl) kit' I'brlt'ilt411 * P4 Corfespond à des tocaux trés solrici- I
qP
rieur(jarciin'terrasseou E
:u2s:2E1C
l0.
l'.t1 .1..i''1rirtlltc ta'? ;)1t'tct' tés Sans être toutefois Induslriels. .
:balcon).
pp',ta!.1'., tj'','ip r.371Itö,' E :poureau.Cette lettre lndique la présenca /Escatlerdontserevéfe- '
:
L
.
':a(è.
)1
l
cIs t'ar:rlsst pt,t't'à plusou moi nsfréquente d' eau toud'humi
di
lé menlde marchehabille E!
F>
I
..rlrLt 'estt>t('t1Arx
lth
l1!/li
n. Ii
tj()ttt'
(?r)1r(
lti
lrl)6)t
prI
i)ï;()1 jle nezde mafche .
tr(EIkNq3r!eb''kàt.hrltlrpotl:6ht$ti Les chitfreS affectés à Cette lettre Vontde
;lL1r7)tL.f18.1'(.1J1!qlfxt'IL11(il1 ()tl:3 j
1P ièc
l'ex es
tér sa
ieurn
,csacc
ouloè
irsà 1
de i
:')t'tl1.1t2 ' 'lthr.tIhtJyltn iAt @E0 correspond à une présence d'eal.laC- iclrculalionen étage, i
ëL)202 E1C0.
('t.j'kltj:!''ttit*1111tRt1t'tlIt%!. ()i(1()r)t(liiil escalier. ?
')r'tlkè:t@e '4(::'ï<hlLftlts k
-ïtk *E1correspond à une présent;e d'eau OC- Extérieur Terrass'e,tb
('?.)t
gs,.r
1leârI
r t'
.
tztte:(
)rtls; casi onnelle(nettoyr
agehti
mide). ral
éec
.on,I
oggia, j
11-13P3 E3C2.
seuilden I
''l;hlIt'.?'Ih.iïIt;)1.iî1k.rtï *E2correspondà.uneprijsenced'eauré-
hth(t%!Tsehl1: q1.l!)tN!1ltR ,7l(1i@4 (Jtllitlr().
.l t;?kt:;)(' .tr''''-E1lthrtyta't.t4t *E3cofrespondttuneprésenced'eautrès * Quapd unlocalciasseE2reposesul'unplanchirenbelsouSurdespanneauxCie
lt''L.('..'Isn:..il'r''kl.1 fréquente ou constante particules,l'eyigence passea Q3.
Le C A T.A G E '> -
, .
.? .. k.1
'w;:.
?Ltf
..!r .

Réglem entation surles bruits


Le classement UPEC a élé renforcé par Ie Les divers tvpes,caracte'ristiques
Centre Scientitique etTechnique du Bàtiment
(CSTB)parI
'
adjoncti
ondeIa I
ettreA quii
n- et qualite's de carrelage
diquera Ia conformité durevêtementàIa ré-
glementation surles bruitsd'impacts.Cette '

donnée pfend en compte Ies capacjtés du re- La terre cuite >''CT


vêtemenlttabsorberIe bruitdes impacts. C'estI'un des types Ies piusanciensdesrevé-
L.
ebrui
testcalcul
éendéci
beis(dB).Lanorme tements de solen carreaux.
française se base surI'indice delta L etes1ex- Sa relativementfaible température de cuisson
priméeen(JB (A). (envi
ron900*C)nei
uiconfèrepasiacapacit
é
La norme européenne se base sur l'indice de vltrification quila rendraitimperméable.
desta Lw etestexprimée en dB. De ce fait elle présente I'inconvénientd'être
poreuse,ce quiia rend sensible à l'infiltra-
Le classem ent PEI tiond'eau(gareauge1!)etauxtachesdeIi-
Ce classem ent ne s'applique qu'aux grès quides de toute nature.L'autre inconvénient 'N.4
émaillés. est sa relative fragilité quiIa rend sensible t'. tg
11existe une simplification du classement aux chocs.De parsa perméabilité,ilestdonc ..*>X
UPEC,c'estleclassementPElquiintroduitune déconseillédeI'utiliseren extérieuràcause
notion de cjasse.Ainsiles carrelages ontété du gel.
classés parcatégorjes en fonction de l'usage Pourune utilisation en intérieur,11esttoutefois
de la pièce. possible de lui appliquer uo traitement de s;
- La cl asse Icomprend les carrelagesdesti- produits spécifiques quiIa fendra beaucoup
nésaux pièces n'ouvrantpas surI'extérieur moinssensibleauxtaches elà l'encrassement
(éventuell
ement1
essall
esdebains). en général,à condition de renouvelerréguliè-
- La classe 11inclutsensiblementles revête- rementcette opération,Parcontre la rusticité
ments destlnés aux mêmes pièces que Ia I du produit,iesdiversesformes ettaillesdes
mais enplus performant. carreaux commercialisés. les nombreuses
- La classe IIlcomprend les carrelages plus couleursetnuancesdesflammages en font
spécialementprévuspour1eschambres. un outilde décoration offrantde très larges
- La ciasse IV correspond aux matériaux Ies possibilités, surtout dal)s Ies styles campa-
plus résistants et donc ceux soumis aux gnards,
contraintesIesplus fortes.
La terre cuite grésée 'y..
..
%4..
..w v p.C .
. .' .h *
.
El
l
eestaussiappel
éedemi-grès.Satempéra- .. k''k. ''-'*
g -
ture de cuisson estde l' Ordrede1000*C.ce ' k
'
i.$V-'
t
1
(.-
. . .
quine la vitrifie que partiellement.Pourcela, '
elle estessentiellementdestinée à un usage
intérieur.Sa relative mauvaise résistance à
I'abrasion Ia destine àdessolspeufréquentés
Ou à un recouvrementmural,
Toutefois,taillesdescarreaux,nombreusescou-
1 Ieurs,impressiondemotifs.rendus brillants,sa- 'i-okuzcéy..!e$'
u?,)),t)t:,(?
tinés ouflammés luiconfèrentdes intérêlsdé-
coratifs rlon négligeables.

$
i

@
1

!
'
q

. )
- k-
x se cA I.A G E -
*
. !
.'
..
7..... rx,.w ..'......
).v..-.. ..
;.
j
';
ej
.; '
.'j
t)
'..
..
3>

La richesse de sesaspects,de ses formatset


de saréslstance luipermedentde s'intégrerà
tous Ies styles de décoration età toutes 1es
surfaces.

Le grès étiré
Obtenuparunefabficationdifférente(façonné
parétirement)dugrèscérame,i lprésentedes
qualitésde résislance légèrementinférieures
à ce dernier.11fautsakfirque.de parsa fabri-
cation,ilpeut préseoterdes tolérances di-
mentionnell
esetdesformatsirrégul
iers(pas
Jérangeanten pose clans le style rustique,
maisproblématique sil'on désire une pose et
desj
ointsparf
aitementali
gnés).
On feliendra que,malgré sa moins bonne ré-
La faibnce sistance à l'usure etaux agents chimiques,je
Elle estobtentle parune cuisson supérieure à 1000 OC suivie d'un émail- grèscérameestunboncarrelageenextérieur
Iage.C'estl'émall.seul,quila rendimperméable,mais pasà cœ ur,De ce commeenintérieurenposeausol.
faitefte n'estpas adaptée à une pose en extérieurO(1l'humidité infiltrée
feraitécsaterle cafreau en casde ges. Le grès ém aillé
L'émailétantrelativementtendre,ilrésiste m aIaux chocs,ne supporte C'estun grèscérame ou étiré dontIa sudace
parIes chargesjmpodantes etestsensible à l'usure parfrotlement. a été recouvede d'une couche d'émailcuit
La faïence estdoncà poseressentiellementen revêtementmuralen cui- 'jenv
, iron1000LC parunetechniqueappelée
sineouensalledebains.Uni,imprimé peint,enrelief,multicolore.brillant, mono-cuisson.L'émaillage reste une couche
satiné ou mat.i'nultitormat.le carreau en faïence estI'élémentquasiin- relativementfragile rendantcertesIecarreau
contournable de décoren revêtementmural. imperméable,mals ne présentant pas une
très grande résistance à l'usure.Sison em-
Le grès céram e ploiestpossibleenextéfieur,ilvaudraitmieux,
Mélange d'arglle etde silice,ilestobtenu par quand méme privilégierson utifisationen re-
une cuisson à environ 1300 OC quivitrifie Ie vêtementm ural,d'autantplus que I'émaillage
matériau.Ce malériau est réduiten poudre, permetdedéclinerIe produitdansde multlples
coloris etaspects.
moul
ésoushautepressi
on(
environ500kgau
cm'')à la forme etauxdimensionssouhaitées
puisrecuit.
C'estdesafabrication pafticulièrequ'iltireses
très grancles qtlalités :résistance à l'usure
résistance aux chocs etrésistance aux infil-
trations d'eau etagents chim iques.
Ce produitestdonc totltà faitdestiné à une
utilisatiorlen extérieurcomme en intérieur
en revêtementde sol.
11se déclinedans une Iarge gammede coloris
mouchetés,unis.nuancés,avec reliet,ou dé-
coré parimpression,et,dans de nombreuxfor-
mats.
;
.

-- LeCARRELAGE '
kja '
q
j '-
...... .
. jL
. ' .. .
. s '. : . LL
JI.
, .. .

La pâte de verre carreaux.Utilisables aussibien en extérieurqu'en intérieur,i1s permettent


de réaliserde superbes sols unis ou de m agnifiques compositions de
lmperméable ettrès résistante,else estdestinée tlun emploiaussibien mosaïques.Mai
s...l
epri
xes1proport
ionnelàleurbeauté..!
en extérieurclu'en intérieur.Elle estcommercialisée en panneaux coasti-
tuésd'élémentsde petitesdimensions.Sa capacité à réaliserdes mosai'-
ques ou des frises estremarquable.

ï
Les pierres naturelles

F yxl y / g j .
' * .
.
11estimpodantde savoirque Ies pierres naturelles.toutcomme te carre-
Iage.doi
si
ventrépondre, kuncertainnombredecri
'
on),usure(frottements),capi
llari
tères:dureté(compres-
té(gei,tenueauxprodui
tschimi queset
) @ acides,produitsménagers,tachesetsali ssuresménagèresdi verses).
Ainsi.pourune pierre de même nature,suivantsa région de provenance,
elle peutprésenterdesdegrés trèsdifférents de résistance auxagres-
sionsextérieures(c'estsurt
outvraipourlesmarbresetIegrani t).Larési
s-
t
oy tanced'unepierreestfoncti
rés)maisaussidesonépai
ondesaqual
sseur.Lorsde l
conseillerparle spécialiste du magasin.
'
ité (grainsplusoumoinsser-
achat,i lfaudravousfalrebien
.
. Le m arbre

*
'
;
'.,
œ ï@i
M ..*
1 '
* C'estcertainementle revêtement Ie plus connu etI'un des plus nobles.
Suivantsa provenance.ilprésente des degréslrèsdiflérentsde dureté et
de porosité.
Pierre calcaire.Ie marbre estsensible aux acides :cela peutfaire sou-
Les ém aux de Briare rire...Ce ne sontpasdes produitsque I'ontrouve courammentchez Ie par-
Trèsprochesde Ia pàte de verre,ils sontim perméables ettrès durs.lls ticulier,certes...Mais rares ne sontpas Ies régionstouchées parlespluies
se présententégalementsous forme de panneauxconstituéspardespetits acides,d'où la nécessité de ne pas utiliserIe marbre en extérieur.
'

' . . . A
x xh . . x
hu...x
. s.
'..ue,
. h
.
Nq
.;. v:t '' xr
x X' ...... .
e:
.
.'
ek :-c - .*&% <.
'
xz'
..xm'
W'
*1u.s à >.- e .œ -- - ,o
'*.
';. '
.
; .ts;. ...M., .. .
F..r
.... w x My ,'. @
. 1* t ..... . ;'.. ..v.;y q
a # ,
. , ,.
s-
..
t..7.&
---z 1111111
y. '
% zx.
Z.s%.. '.YxY .w.
.m 1
11 : RI.
%
'llI
v l .-- .'
.
.. . ' !.ù.
# '-..zf
.' .
,u.A
y .? x
.
''
-:
#'
.
.
...
v'
, .-#'.
s. . ,w
. 1 8 8 %. . .
'i;<'
. ,
.Q.<b . .v
feJ Y .. j
.
x''Z x ' .#. ' 'e'-
. b t.v..f
I
I Z
.
'
Z.x
Xy'
x.
z'xz
y
'
xs
s. xz
'vz -'x 1 '
.
-
.
.
j . w - .
1> '.l' * * '*-
. .-4,. .J-.
., . '
-..
Wx.'M'.
4'*)
4
*;
'.
j '&.,...x.,..
-
z 'z %x..''N uzx
, '.
'.z''' : .' .. .'. . . ws 4
I
. /
z).z ..
K z . h.
x .R '-' . a'
g-
=Jw.,.q.. 5. k& ' ..'
.j
XZV=..'y.. x.#. . 1 % .'. '. .w
r-.
d .
:; . . - ;':Y: '. :x'
. ''... '
*4?./
..
/'
., .
'( .zu. . K je.
f''. ' .'-.' ' . '. *,. 'sy
xuY..>. .x
'' '
'.. @ : '
' X . . w
.
x .
y

e
@
C A R R E IA G E -

Deparsastructure(mêmepol
ie)présentantdesporesminuscul
es,l
emar-
bre laisse assezfacilements'infiltrerles salissures etI'eau.C'estun ma-
tériaurelativementtendre.
Essentiellementdestinéaux revêtementsde sols intérieurs,iltrouve éga-
lementtoute sa placeen revêtementmural.Ondénombfe pltlsd'une cen-
tainedecol
oris(etdequali
tés)di
fférents.
Malgrésanoloriétéetsalargediffusion,ilresteunmatériaucher(cequiest
beauestcher,c'estbienconnu..,!).
Le marbre.suivarltsonveinage ousa couleur.peuts'harmoniserà tousIes
styles.
L'ardoise
Appelée aussischiste ardoisier,c'estune rocheargileuse imperméabie pré-
sentantune bonne résistance.Lescarreauxc)uladalle sontcommercialisés
avec surfacepoli
eoustructurée(avecreli
ef).Endall
e,iltaudraaccepter
unecerlaine tolérancedimentionnelle pourl'épaisseurde Ia pierre quisera
compensée pafune épaisseurmoindre ouplusimportantede Ia colleou du
mortier.
Elle convientpadaitementen extérieurcomme en intérieur,touten étanl
conscientqu'else estsenslble auxrayures.

Le calcaire
Pierredetailieparexcellence,i!sedéclineencolorisetengrainstrèsdivers.
Résistantà I'usure,i!esttrèssensible au geIetauxagressions environne-
mentales(plui
esaci
des,mousses,Iichens,etc.).h réserverà uneposeen
intéri
eurouàdessurfacescouvertes(terrasse.préau).
Le grès
Pierre sédimentaire présentantdesteintestrès diversesen fonction de sa
régi
ondeprovenance:roseà.rouge.jauneougri
s,àpresquenol
r.
Les grès sontassez résistants aux intempéries età l'usure parfrottement
malgré Ieurtexture sableuse.
Legrèsseposeaussibienenintérleur(couloir,entrée,salleà.mangercam-
pagnarde)qu'
enextéri
eur(gareauxgli
ssadesenpériodedege1..,!).
Lapierredegrèsestcommercialiséesoitendallessciéesparfaitementéquer-
réesetcaiibréesouendallesbrutespolygonalesdetaillestrèsdifférentes
avec desépaisseurspouvantvarierde 0 à 10 mm entre elles.
Le granit
C'estune roche magmatique trèsconnue Offrantune grande résistance aux
iqternpéries.
LateintelaplusconnuedugranilestIegrisclairàbleuâtredeBretagne.Mais
ilseprésente aussisuivantsa provenance sousdesteintesde :vertfoncé.
rougeâtreàbruf
),rougefoncé (rougeroyal).jauneàterredeSi
enne,bi
anc
à beige.
Commerciali
séendalesàsurfacepoll
eoustructurée(I
égerreli
efdûaugrai
n
delapi
erre),I
egranitestgl
i
ssantpartempsdepi ui
e.
ï .,
'-
+ : kja- '
-
PRELIM INAI
A RES !
etC O N T R O L E S . ....--..- ,. ..

A V A N T l.A P IIS E . ' '' 'î


è'
C2''
j
.

IA
?0SE
AU S0L PRXLIMINT RES ET CO N TR O LES
A VA N T I.A PO SE

Lecarrelage se pose surune surface rigoureusementhorizontale etparfai-


tementplane,donc exempte detoutesaspérités etde touscreux.
Fortde cela.le premiercontrôle à effectuerestl'horizontalité de Ia chape,de
ladalleou du plancherengénéral. N
x
'rraçage de la Iigne de
1 l'nètre
Contrôle de I'horizontalité
jt.
r,
.m éthode
plttc0t!C1rl CeContrbleSe réalise 3VQC LIIIO rè@lode maçorl Ibus!esprofessionnelsI'utilisentetyfontréférence.Cette Iigne horizon-
.., , 1h;.yl;.2;.;,;.b;.;tt''(r. en aluminium posée de Chantet Surmontée taleestàtracerà1m au-dessusduniveaudu((soIfini'(c'
est-à-di
re
';)('r':'.f)&' -.wlIr.';)E::q(1)6ï:/:,lt; d'un niveauà bbllie.Sile sOfprésenteUnepente augmenté de l'épaisseurd'une chape éventuelle,du carrelage ou de tout
.r;. ) ..' '!fr1.':'htyi(')'7.h :1;L'i;t etc'estlecaSde notre exem/le ilfaudra Sup- autrerevétementde solfutur).La méthodeIaplussimpl
e estdeIatracer
;3i'7'C'ù primeretrattrapercette pente en comblant avec un niveau à bulle surmontantune règle de m açon en alumjnium.
'j;ar'ltq'r ': n'j;ûJ'y1;)'?2' ie dévers en cotllantun produità base de ci- S'ilfautdécaleretreporterplusieursfoisIa règle ce n'estpas la solution
'2
Ia plus précise,outre Ie faitqu'ilfautétre sûrque Ie niveau tlbulle est
')I mentappeié ragréage.La technique propo-
f'. 'ikèr'> !.) ,7,-,.5'',,'2.u '!.? séeci-aprèskrt-ls permettrade tracere1dtlnc rçJgste '),etc'estloin d'être le cas de tous1es niveatlx...!
.'..'':.!'1L-ï); de matérialiserexactementla hauteurà com-
blerpourarriverà I'horizontale.

L'autremétlnodeproposéeestl'ulilisationduniveauàfiolesdemaçonbien
plusprécisetquipermetdetracerdesrepéragesoudestraitsde nlveau pré-
cissurdegrandesIongueurssousréservequeletuyaurerianlles2fiofessoit
assezIong,

t
r
.
j. '' d'
yt +
v
.
.z p u tzlM lx x lltE s ---
) etC O N T R O L E S
t ., .,-. ,
):)v A V U T lj.
. ,A P O S E

2*m éthode :m aniem ent


du niveau à fioles
Basée sur le principe des vases communi-
quants,son utilisation estsimple.ilfauttoule-
foisètre à 2 personnes.
SiIes fiolesviennentd'être achetées,reliez Ie
tuyautrarlsparenl(permetdevérifi
erqu'
i
ln'
ya
pasdepochesd'airdansle tuyau unefoisrem-
p1id'
eau)auxextrémi
tésdesfioi
esetrempl
is-
sez avecde l'eau.
J:-
.A
*
u
- PRELIM INM
A RES .
jz .
y
etC O N T R O L E S r(
. . . . . ..... . .
,
A V A N T T.A P O S E 7
. '' ''ï'i
y.j,
j

Quelle quesoitla métho-


de utilisée pourtracerIa
Iignehorizontasedes1 m,
vous pourrez,à présent
en mesurant dans les
quatre angles de la piè-
ce, à partir de cette
ligne,calculerIa hauteur
exacte du sol.
t-->:é?'am;:)l.q'
tl'
r7r(?I'?)iL.1.':??n(
.y
Ik)'/;?i?L?L.îrb
D//((//4C?
4.es ,J? ? hsL)l.zu7r b)7o-c?7?
-7?'c
/ '7-
r,
.nii2PLt'lr'
6??r)(?r('?éi /r)3L?Llf
.r'
-. l???Lljiqjt-(1ri?(7 /6??':?r?-('//e?.
allgnedils /.rresJrraceestk/'1es4l'r?ors.A'oafttrdecetten-qrlehorizor3tïll)
zî .'
ztlusç.)o(ïr- Dl9tpl. 'Ji?VIC'L1I2g//i?. '
7't?.
;?':'e:'
t?ve,'ltlézàe.
s'î'
e.
bn/&v?!de(./?'.$'.
r.ie /;'
?c
'#?(7#?&,''p?Gha.t-
?tte'?u:?.
r?fpX ,'??J?.'t;Jk'?:2$./6v7tD
' ,t.?.
';;.
?Jv?J.t; 'OCSI/I'S//0/1& feS I.7)--+SO/
I(z'i1t- ïl(l.r7J '/E;'é.t(1L/
.zrt'Jr)?'()I:)()
'.
Su '.
'1'Xpn6/r7l(' ?Y6?feSJ7)&b''S. 1'L/ub? 1 ./ ?4ézt/l'(2/Jéj('1lif?(' .w(àlx
zj. J/t)
3,m éthode :Ie niveau Iaser ''Jzflu()lqt.
J/()/:e?nea/'zr
- 3' i'),
Accessibie désormais au grand public,certains ni- ''7lt?suTi?1. 'Llrï(?(J' es 1.? 7/->
veaux Iasersontdésormais à moinsde 30 rn. = 7 0Cît7r'rs
C'estl'outilidéalperm ettant de matérialiser des (()(.?é)
.!r' /ffl7è(?éi??.(/-./(f):
repèrespourréaliserdestracésprécis.Placésurun r))(
.7J;tIJ't'?I:'L
-'
)?7C?ô1'
L?tl Sr71 .-->3?'($:'
trépied à téte pfvotante avec système de calaged'ho- 1L'
g-t1(-r?? -?i'?:?L>igzri7r)'ë?'()(?
''Ei
rizontalité etd'aplomb,ilpermetparrotation sur360% a 71r
de balayerles murs d'un fin rayon de couleurrouge.41 Parte.ïr-k?/'epé/'e i/r?e:rt a-
suffitdoncde superposerttcemarquageparrayon un teza?icorlt?at./a /:)tlt/t3'/'ii/es
traitde crayon,pourobtenirde loin en Ioin,autantde <Dê
&. s êàt./rres p'p, rlrs',Cerle .62
points de repères que désirés. gnepc.icf-,e bz'lt/basG/es4;' ?til'
s
c'e /J0p/ece.vous Wst/atse-
rez /r'n'lîeelkale. 'nenfJa nau-
(L?:i;
rt?te
v'(1,
'18?171'Ltl'()J?
.1'/t?/'
éiUI'
J/
r'i?éi-
gtg.1/C)tIS J7Oë.?' /6'Z :?OrI713l %-
;ct'?.
'?1.st./.fkza/'
l!/'t7
'procj.tit?f?rIe
satlreral-,r' rz-tlyt?per)'L.;:
. ?îLILl'a
'?chrx.)çztl/ré?z7Cr.
u ?z) r;rlrltzlt/i?//t?.
me?b?,&&. rL)' e/.7&DtOSzo/' ?es.
.
ï .j . +
M
.
't P R E L IM IN M R E S *t
,
.
'
, etC O N T R O L E S
'
) ,r '-' ptl
t,
t
çtz,
'. .A'V .A IN T TaA P O S E

$ k JD(;.(/rt/r?ë?;?(2I'tLïItLté.2(ïr:é?.'' (a/T()ë?
.4
<.
? -
4'
c/ë/rt:(-yr6?1n
.97L?.//.fL2t/J./?r??J?tlré1ti-
yrly,,
.- kflr?l()r)l (?/)(ït/fV(# ('
/tzl)6),L), f1-
;t.
?-.ky. .
;.-
' :))L);r(?(k. (?L)L?;'(7(;j, o(?,
..
'' w
'. . . )é?.(/ /é.
7c.,(jyJ()
w .' .a 4
x'h J l r ?
x /éiC;?22?'l)e.,t' ?blleLIX C( '3;reliqtge
. (?t//i)Lï/LRtîç?lîï?/' .t;'?/'é;' lily/r(2,(;??
kzra/plancher.Fes Ja.lnes(Je-
b'rolîté'ôréid&t ')rai
x Ysùiese!( -mr-
/'7./'
) le/Tle.
Olkz/sseesa(?. 4'S(X'k' E'S
oLI/ap rntlotk/-des.//fatllrasta-
t'l/lseretl/xe' ''tlxite.z/es /t a.
m espclulzarr!f 'aîrer' essty'';.
J.lf'.versez Ie p'agreage stpr/, n
z' zone i)colnblefLLesClvlttites
/ k rrauto-lissantesz:t7t?prodo' î
Prttparation dtIragrtlage rci/?lqt/'//tza yclcltic/rarel'perll
tcefïïettreer?p/
ace.

Da/ls(::ïprarllseat?propre.
k'(?rsez'Jaqual?tisé (:/'eat/pre-
co/l/see t' larIefatlf' rarll.De- Qlne s//lyl./
e peple epalsarécp?
kf/ft?. ,liel'mterne/'èt/a p(?L;Cl'e Iea eff/eorant/as' ut-faf?e?.aka
(v'(()/?!i?rlt.
/e da/')S Ie t'
94(:2b
'.
1oîîs '/ssetpse en lhox. stkfl/
p rl:i Lb
?'eL?k.
. '. /.()/e/nrepart/r/& ragréage.

Jzil'/ar'?t
..?
(:?rle l()u!at'ec (uke
îigfBG?i:?rrla/tkNage 'rorllée Stlr Ret.a/lesc-fu proczuv! e?ctlm-
tJ?')f?perceutàe Ftlt./vrlt '?zi(?'
v'i pi
Ybtezyt/sc/o'a LîrrtveraL.,
'na/r
1c-'sse/(.)J')r.i?l'usnu'aO,flgrll/r.)r'? Je repe/'age orecéolenlmen:
0'17/961J7J)lt'?f/'s ').
sl:qulL'
leet!r'i)s lrace .
't/o.,
rpa.ge 19).l.a &nt%
/'rJNt')J(7ikzrle Quctp/?grtp/pot gt/ téGk;produltpermetJ' obte-
rlet-.//.1/!Liqlbslster(M.I?L :J/al:')&- rn/-vne swrfacesa.rfaîtenlel):
t().).éqlt.'
/'
z''
t,rl! ,'L/.
L) tr?t?!r' tp'()?jL)r?tî lisse erhoriztm tale. Res-
:j(.'étkt?î' l(7?kJ7t. ?LL.
î/1;t;t'
/zr . :îb'Lt.'7- pectez F? 'Tlpti?'
al/h,
zirne/elê ies
ttlelleiner?t reptlser /a pLk .lta tempsdeséchagea'vqsèlG?e
L'lbteîàblqt?7kal?t(;/( ? proctador' COrïïrrlellù'e! /6'S Ir1.1'/i7.CJ
',$(L'X
azi'ccut/agéiLIIk;rapr'
é0.t)e CéifWe/éityf'
.

G t.
.

'
- ï -.
PREIUIM IN A IR ES 'V t
-- --
et
CO N TR G I-ES ?
A V A N T I.JY P O S E '
, C'
èi'

..,' N'.
,/' m. .h'
1ztts 1'
.
)rlnfbl1:1:tlX gt-
kn1*t.
>S (1f
>.
1'
ltlsf
-ttles carl*eatlNr

gzt 'se J zroitb?. . 'e.


s ca/?' ,aatix
çetvlzerlrvhtt'et/?-?/&ILIL,'t'
,7t?(l(3u
'i-
J(-)tprzï f
w3ffe/et7ras l '.
')J:7(.)s et7
çJL)tle?62.'
. 1(l/?(?çzpvt)r'L

/'
Dc)tli?e,
'ï'
-l
oatlt?rlJJ/'
i?

Vchsf/OYolteab'ec
--JCIL;/ih')CLùLIP6?dfle/lell61
J Ca&OC??O?JS
ï
''
.
x j uaPo sE AU SOL
. .r . ... .
J
:
. . ... -.;
..yjy
.;-:
,
;

t-ame'ler'rlh/ïez Ie . ''i
c/leo L' le Ja ..
t'
Lf(LtL)e 6?, ftrt h.tlez vn axe X-Lo *
/é7:?t;()rv
. r-/f?é./(içî'J:;:;h:4'ç:6r'
ç/Jz
r-l:t/'t7
.I-
'eleav:6.
t ')?u,'' s //tHlF Orerlez
1wA PO SE rtartîibeo'4e celaxe ,4-h e!
J
Jfï?CC?Z11/'t? Qtztkllrrt?()Jc a lu?' (?-
k/'
J & de ,
'naL?L?'.
'iu'.')axe C-D
Oerp'erpc' pct?/fé7/zh'
6?a '*-7.$r/ ,4
..F
.-?
Tf-acezt.''' )sev r'orlc?-?b'e/'-'/.Dt yN
rlerPrè
t .6Vl'
tllCtvi(?f/'Eb('E .
1 1(-Xe Xi'& k.
7 .s .
4
'
e1) ?.)t7J'C7'(
Jf . Czlp'f f
'r
1X'b'Cï.
ï/ez k
l:z
d
()
-/1U$'
-O;?w 'Qr/
.l
J7lUe)' O/.F?
.l
.'
/ rt?(?/(?c/t?lïïâîqlf?r?
tf
.
'
h .
()ù débt
'
tter la pose ? urle recherche du meil-
k z leur positionnement
X possible de carreaux en-
En régle générafe.etsila porte estcentrée, tiers,quitle à décalerIé-
Ia pose se commence à Ia croisée des mé- g#rementJ'un des axes.
dianes d'une pièce,pourque Ies coupes se Nenégligezpasnonplus
réalisenten périphérie1Ià oilellesse verront la possibilité de tricher '
##.
Ie moins.Toutefois sila porte estdécalée ou légèrement 1 à 2 mm 'A
siplusieurs portesdonnentsuria pièce,par- surIataille desjoints. cl -Ti-- D1
6% 8t'
tezducentre duseuilde Ia porte principale,
pourtracerun autre axe '
.L
71i/ri?t;tiçb
.q.?tlt;:)(? L)
'/f).d
. t.7r?(;'' i
!&
t
décalé perpendiculaire à erl(l- JiCé?r7.f. J?e /tïOorte (7t?.r7- $
l'autre médiane. (,
*;LtLïI(?JL)1'(1
'll?I(-)?'Cn.J2r'frtfq17LJ'J;ù?/')). !
I.1,
/,LtxeA,-s, 2 .) &Se.:J(?. ,).
' s.f
asseu c- .. - . %! .
SurIe traçage des axes, +a/.?a S/.
ty.
'
: r7l.JC6'(# CTS. :Off.1. uS.jfiS j5
%
effectuez un calepinagej t Q 1
(TJ7/'/'i?J7(./J( tlthr t2(?Ctïltfl7(i6?- Q jp
'
Nc
R I
-
c'est-à-dire que vous p0- r*Ll'Q?t;î1îL:l' .. ERJI?
GIt?ZT6:l;&'z.'1.
*b?/J2-
serezàbl
anc(enrespec- teralelnentcle par '-leï(7'aa-
.o
t j
Ib
t
oc i
tant la dimension des lre (Jt?./tn.>Je X.S t'
-LL1
J .6I'.
Su;Vre Q.
1
joints)touteuneséri
ede ;''éisf()
.k'.-mt-S O--
Z?îll/(?rèC?k '.'/L: .''
7Dt7r' 1e
carreaux pour effectuer k'-A .!l(?l.r)
a() 'k:lt)t?q.
b. tï);'
' lï .(
t?7; r;/i??';
'à'7i?r- B
Vt' l f20 VOUS /' t?OX' t?CON?; .lê6' m'
,/p ïld/
Jescoocesa a.ri6co'rrz?r b'' el1- L7o.
b'te rpuîr 7
k.?rtj'
p q-ec1 ltttaê''axeC7-u'-t'fsolt
.x-.
/:,c
-i1-3*
121t(?;Q7B. '1!/5).
:).
''
é)//ôl
'ec?tyr1'p'q
'.//' x
. . '.. .. /S.r.
X ,q'';öesc3'? rez-bftez.J '(aafr. - %
Llerlhez/(kl/-/ilrragek'.'es u':/i?r)6?tqlLr 'ît;J.7tx()/!'t;/(?6)(T:)t2/:)E?tq 1 .% .
(17(f?tî:j7t?
't'i'
(Lll;é?.fyJS.'
/9'fè)q-ï)6; (.
f ..,
'
..
- >2
! 4 . J
P
,
-' . '
' -. ' .' N .V
z

't;
? 'l(.'7.e
/t?së:l'ez /e t;tilr')!ve LjIbaé)tsluê
po.
4e .'?
's'-a?a /'
e ':
)ol.
'z4a% (7'6..
p8flU'tJrlL%SJLY6JSLL1eOOSC?,

e e
@ @ -
- LaPOSE A U SOL 'b q
!
..
.
(& .. : . -
y;L
:
:'.;.. .
.'

> ->
1-a pose en diagonale

. 1
.i .: . . . .e.:>wx:
.g
1' î-> ''.'.

N -'
--
-
'Rt/r..
w ''axeprsc'jt
jernr7lefl!!''
a-
Ce', /
J?tlS'?'tM r:6'
2'c
b tl/t'?J'J Llne
srjl'
/e c/'
e carreagx parfaéte-
J??e,'ptolgne's.e?)resoecsant /nk'
l ersez Lï)e ctjre les regles.
'bespacertîentJes?'rl/r7ls.
? pcls/'l/o/nrlez-/es erJ res/a6Jr.7-
tant rgt//cltp/'s 1'thc/tierrlge.
stL/cez Ft :i3 dernF.c//a.gona/e,
'Lïulsfa4 <C.

/)hi?uteb:l'(ES p'ri//let?Gle/'a.Xe. W .
trocez t
'ls palhhl?ivtzfqral)ib
et pl'o/oz Qg6'rTie5f l'zetl XS
C.9rrel?ta.(meJllrerNfrièden?. '-
&/a'gonaltè.sz,' %p/tac'
ka Re'gles
Jemaçol)Ye 2 rrlJi2.5. t?m T ' '*'
eft-rebonnegrarlG/eécperre ' . .
. ..Q '
> .
.' ''
vouspermellrcvl!dernaliser %'%% d?'ë'... . . . .,.c
cfesfracëssrt aos. hN< '''-.4'1-'%:
-3 ''' '7'
'f
'''''

-%4.>. .
rrx.xp'>J.
. '
. t.le ,
. . -...-2kt-ét' .!.
..
'.. . z'.7 xw
'.re' -' :
t
.
;
+e'>*a.
t'
;
w.#Az
)>é.Y'y.
w J'j
2%*
. *...''
x.; .
.
.. . '' ,Y., . ' 1
X $
. .
* x
.,
r ..>-
. n .;
.' !t.'''' . % ' ï$
. .
.. . .
.
..
y .
. . 4
$yû
. .
. .
.
.j . .
. ,V
y ;j >. % .M =J ---
-:z ! . ?.u
p-=.;
h..t
' ..'
! .;,...+z' . a.wx , svrces axes alaslotlternt/s. N
*. .' 'E ' o
.osz tonnez ?otpotzrs tk/ .??'
a??c
..
yN
-
- 1
...
..
..
... 2 ..
xx.
-
tu,f7C-Serle t/iiw'
gectez J'espace O'
uxC)rl.eLRlih''J.CS-
es yo/ll.%
k N ''-x -
'
* N
.Ax- '- -' elnc/r///sar?lJescroslllonsa' e
.
.- rntkpetallle.Laposea ttlanc N A I
(
. t
zsospe(
'
r
?)e!cs
ehl
enWsga/'
. I
j1.
! ser Ie re/lc/t?d.a. la fiose el
.a..) J'al
zo/r/a posslbtkté de (?lé-
- -...
.-...,........-. -. - -w-.- .
-....... .. pos/fro/noez la cjeuxieme rè.
. Câlert/rla,4e c/e pose S//(?S
LfeIe?
'(rN JtJCdrreao.()()t
'ï- COt7IMS C6/V,'
RIVrI'Vtre /$7t?S-
kôlezIfpf/t,fe.
?ragiietYJ@C6'
Z/J2 *hCtICIUeS()/
. 7 Ce JC(7# l'
L3etltes
2 Ue/'
n/.t$ajl()/pa/6'. J&#YS.

e
> bk ! j.a P O SE A U SO L -
'
! .
y ...-.. .'C.
:. '': -
'
. -.t'. -1)
'
1,.

av N.
..' 'uN
.
z
// At
I,t
-t1:4.p-
s'
i.
zdrf)-
1.
tt-
xw ,,
-.

' e

>
'
R
J .
i x'.K -
J
(
',
, .-.. .. ... .. 'u
. ,:w -..' v'
-
--.. .- *' ôt.'
.v - .f*lr,'*
e
.
= .' .
'L .
%. .a ..'(tt
St/rIhxe/?a? -tar?ta'
ur?r,/
.'ea'Q-t(1 . .(
..,:'.'# 42.*.> . .q'z. ..'
seu//. Jeporte Ivoirpage 88 6
t
,>
'
.
y* .
. . .,
. - (J,s
'
.'
k.
'.g:
#4z
'
.
:
&y=
N
j.-.
, >'.'
. ..*
.
'
.
1Q.
v
'
.
cêo/orlnes (je gauc/ne eîc/t a
Q'
iro:te),pss/lrrlnez Llne stir/e 1ki,
z. ''tl'
/eO(lY
..t
JQ-i'ellïlerCarr
fildt/ '
o'
e céirreat7x erlrescleclarnr 0, '71/65'.< 'I'QL?6?Z t?Nf?A' f.
5'pi?r''-hf?O-
Ues lntervalies Je7C)/. '7ês rtj- c/dcup fakede ' :kll'f .etcf'abflreL4xe
gullers.Ut///sezQz'
escrtps///cos /'é7.y;()'r)'r)ln(.'ir?L!Iué;ùi.'L/:rf)Ek/'/1-J
d'Bspacelnentyr/erplFt-/ues. ('é1
'r)jjrf?(5u r'
/tsy(2Ji.'J'é?(ita/':'

JIQJ?Sllolre(?' XeIT(7lL?.7.
:f)(.ïSP
à l?l3I)C rNY(?iJe /mrE' JeU/é?!O- '
r'le/'?!Clu'ir7XD(1C?ei' )ICCe.Q
(jeï.r7JIVf? l'Iqrîlée r46'sfàL/bu'&l b/e',,/6.2--
r)ue flelO,
%'e .
S(lr!re- ..-. . ... . ' ',.
po''(/??J'
i égt?r/'lvt'2/l/ltgt?O'ey'(?L)('- ni/k/:)rplé)rè! (:.L1
?. .êJJ,;f?ft? éi
'(.i .
'riLi/ :.. b: ' '
.
' .'
-
l'eatk/r&.QJlerrDflra.ritd'a'/O,7' arrqr; ue. 7epasab'L/, .r(yeCOLl- ' t
f' .!
.,.,r ... ''.. . - '
*'
..
de.l.
ïCJ. '?'eéit.
l,?'el?tlel's dolJ)t.fïs k3(?:).':<ï(3.t;t.i?uis.tlLLl.://2,:)(.V66?IçztJ7()(ï1t'' .'.% . '
J...,z... .
' .'.Y
)' . t 411
F '
leset///Gfe rlrl'76. !74//J ' . '.
'.?.:.'' . ..
. $.
'
.
: 'r t
-
LaPOSE AU SoL %Y !
i
:
ç. ' :
. . .;.
:
.
è:,3
2
-
..

' S' '' /OUS LïVW Dft/ (v9'expe-


rfl?fpco ell JIOSO,afU6C-IZO/JS
çje crf:??Lq;///1:)?1S.//s lzot/sJ(:)/7-
. %. neronsL/r)écartep rrer?frebklL'l.
( UxJ Iler 6)?7J/-e (l/laqt?e Calrealî.
GtJ/f/ez'-/OI JS Sur /e?; lraits
d' JA'
& malsat/tlbffertr'(:)&é;X-
Llrvrl?St./r'Ll.
rlB/'0,(7J
'$
'E
?La/r'&f.
?-
pe /rtoneree a' /ect/rlmatllet
erRCaL7LIIL?hOIiChzclt/.
iJ?eJ'rNeJ-
'
.r
ta (;/'
e t)/#r)regoier/a ':I1a(t-
let/rd'er?fLmcem ekît;,clëyca/'-
Ret,çrez /6)s L/arteuux (:26 /ê lre(
'J
.tktkplq::)/aCôlle.
pclse.#blancetconïmellcez
/a pose sol 'tildrçfte stl/f( h)
gat/ct?ede/a crcl/se' açj'axe.n
partJ'7otidet/.v, r(
nf7gst'/e(7a/,.
renuxerlr/ers,tcutesr/es ()'é-
tltlupespérphel.îauesse fe.
r(),'?tensemble ez r)fln o'
eptl-
Se srit:lt3//6'z'
r?'estl/'Oarpet/tes
sorfaces Je 4 /?6 clmreattz
('
) spalt//e crantee l /e///ez
à respecterdeshauteurs cfô
Llolle regtk/àtk'es Ivotr cfela//
(j't..
'nencollage clage932.

hX
, Dansct:rtua//7es clmddïbns' .
' peta'!élrefr7reresst a/nlO'
epra-
..
r/c/ue/'t//y k-lLtotlle ellco/
./éd#(:?
(surde Sc/etSwrkecaneau).
ptrlr'sf//-/eleS(?/es$lr(?.SJt
.b.%L)r'
tlarpl.paz'lerripsc/léit/t;/ak'etl
Certatns (7J .'rj
reao'x JrfM p. tl'
reLlx. ak'e(lCerla/ hes COlIeS.
Cela J:G!7?erdem/etz,t'.
réL)(1'
Iel'ie lefpp.'p de pr/se de pa
L?OI,
'e.Déflosi).raïzeci& rrue//e
unJX()9JeCfïlle r'epa. rAssez',
ena,qsez., ?J?c/ozI'excez-lent.

Nelfoyez lm ftîedlateînent
a'zec une èponge 3b'n-?/c/e
ies fraces 4e colle en stpr-
facedecarrelage

z
. h
. '

. 'k sa P o s E A U S O L -
.' ..j .. ... . x;v,
. y J.yj
.gJ
:( ' !
.. . ' ,.!
.:;
. :!(t
ai/;l
.;
..

l'
Drogressez Lta?;?6?rll(? .sst//-/a.cesde c/fly'f.'arlge'esdecarreaqlx verlflezrôgt///t fzremthnl
I'(?L:t)Ej!'r1îj?f/&n27z'r12..
'$I)().ï'.
bJ?)'Lî,b'L/
.(16)
./J/rcn7'2-E?éitltltl/l(?ék1-
)$.àJ?):)2?ta.
rp
'()l?t?.v6?f/J'c7,')lj-
J?I'tç?:i!(?t?/i?:i
'
6.t,
')1'
;(?rl'?()IL?(?I?.
é?' .1
r7( 363/y)()tâ(?.
'

. l '' . %î*'
ï l xw ..- -.Aw ,. .
..%.-..
+'. .ew''
AW . o.
. '
we.
*,
.''
%#. s.vez.
x '. .'t!
w.) . ..', ' %'W.' s
œ> , .
' '. . '
-
. ..
. . 12 ..
' '$& . .'.1, k ..' '.
' Q''
.
k ' . ..x .
- -......i. t.
.. t . 4, â'
O
-
, ... .!i
jk, '%..
'
. ..
l'
j ' . u
...
.. 1
/ $- .>'.:. l ' - y' >',' '..-
%N.'
';ns,, ..w a...y.. .
H ..'k . ' .r...
. k &
.
'
. 1p... . ;L.).. . .ël
k.-<.
* h
''-N .. x-ay'w = ....
r 2 l
' ''
. l li '
. . . ...p.
î' J I '...
Z'
.,. h , q(
. - i 1. ----.--.-.. .''''-..-'î'----
l/ pr 1 . ' ' ' l . .'
;.
.
! I !
1. t ih .
'
' . . J i
- ' - =....... .'l
.- / - ... i .- I ......+-
5 .-.. --1-* *--*-'5''
.
:
'
. 1
;
$
.
,
!
y$
à$ ;
?.
' / ! h j
i
y'
)
l
f
.
1
j
$
4
I 1 $
'
h
t
t . . ; l
'
p '
'
f f I -t!

G .
,)...

-
LaPOSE AU SO L 'V q '
! '
.' .
. . ..,. ...... s,. .k ,
.
;k.-t ...
:..
:iL.
, i,
.

>.

t' Fct'âaki'()rp(?L 'LfeJ'am se.nhe-


. . .
-.-..-.-
- ...--
N st.teg paszcctf l tsc
jlertssjo. ' Y
. œ w-' remel?t/éqkjelmge tmll' e Car-
, -h$
. .
k $k:
.2.. .--.--..-
Jeat/A',&. k(7r7t?2'-'/()t?S SllrtzrR& . . ..
1.*6..j
..
. .w
. z
.
re'g/'g,nsere.zf/tq.scrolhillons
q' ' .
ptloerespecterdeSjo/rlt..
l .

réguliers. C.rOISTZ !eS JO SSOS 'I-ISCIU.f? .i


. '
.(
' t1 .. . ..h
( )
1)l
(2(/.
i)/7/C(2 1/(?
//t?r'tjt;/t7//fj/'
ï?
(
iJC7ISSeL)
TC/i
l fs,
:
?$p
.
'' ' q
Com m entencoller
q
une surface ? ) '''.
( i ...' ..
..a .
'
d
--
;c
a
l- ' ' -''-'
t' $x. i
' * j' $K . ' '<l ..

l(
!.
...' .ï. ...
..: . .
T
'el'
rï3llL?z p0l 'd6' S. OaSSL/S e j.ly
à.
1y:'
f . .
.'
..
:
''
'
i'
'
:':
E 'i';:
;.
l .. /
u
lx?t
zr eapno
i csléeasie
in nncdoens
so se
pr
ava
un
t let ,
l
.
k:
A
.t
,
'
,l. a
' '
$t
4:
'
' '
- .
.
..
y '
j,
'q . y.!'
p$
. . ., . .y
(.
-.
--
.
N.w:'..
.. .
. 'pJj*1 ' *' -'
> .+#**
)x>. .
. -
z...* .. . s*VQSQV XUW f
.8 sges ygy.
*
. . N LIUeSJXCIISO'eCO///
r
.'. ) ..
' <. ,,,-''''
.'
! .. .
y . . N.
. .. '' .
Lléposezc/e//cagrnenrap/ar
lJO f:ouveatî Clalrfat
l.éL1.
L?l1- ' '
sezsaprof o
mdeurtt'enfcl
r 1.Z'
. **
k'
- , / cementdarls/aù'oleef?re.'- -
r<
'*' .ill ,,'
. )
;!.
.t. . .'.
t 4
.. .' . w gulan?pa/'ltperes rrappes
.. sbjf-ycez so/-nma/ieme. r)l aomaillet.
i
l
L'vec J'
& p/&!do l1llrt/il$? p8r
t
; passeslatérales.
' : . '. '. w

vqlk; . .. ' '


55 ... ''
; $-..-':x
,'',;k
' .
' x... '
.'
v ...... .
' ' ' . 1
: 1.
1/ 1
58
$
: K'.A. . . 1
.
-w. .ï...*.'-'' '
.
. L.a ,
vggjesej
,ya /?,aftg:
.ryemsut, s
' Tlrez. par J-
M SSC?S JLljftapo- XJ/S pekisat7SS/Vtfe utlltsee
,
-' ' - seesavec une sparu/ecrar'- comnîe mtw er zt'azle ij /a.
ï y rt
je.'
ac,
a.
'
/
e. oose r
.
A ux
. ua P O S E x u s o ya .
'
!
wx- . . .. :.
.
. :.. : .., -
:.; '
)t'
;k:(-:;--.

zr X Tracer
l-es coupes périphtlriques rapidem entet
ct1es finitions précisém ent
N.. ...
z' une coupe
Les outils de
coupe
1..acarrelette/.
7e/tnetdefaire POUI'IXCC?r OVL?C IIC/C/S/OO
(/t?s coupes preoses par (illeCO&O6'GQOStlr?Carreol .i
rayage dtlcarreau jy/éce i:z prcciidez Comme sL//f '.' ?u.
une rallette ?71&J?Jd/ sur&' r7 p'tshrpr-p-st
s'z parfai/ement le
brasde nkarîœuvre gcd' .'
G?tjpar carreatpa ccoçerss' ?-le(lar-
deux az'es Lle ctltp//sfage,Flr; reau ()'e Ja öernlère I rarityee
f'
r)de course, urle s/mp/e etîtlere
pressfly':(?e la Jià/lar/r?esur/e
cal'reauprokoqse Ia cassure
(;?& carrelage Ie /O/?g de /
'a
réil/t/ct?.
.

--// y
La pjnce d' j grignoterJlec.
î7?ç?$.aprt?s ravLlre ererîza'
ckerner?ld't/r?e st/rtace de-
terrtl/rîee.(
Je Llrlgnotel'erJe Dostionrle.
;ï'
zf.rFca/lelrlo.
r)l
, façonnerJrp///F,r?ptklr6hpar./
-/77///. Gârreaù tr nrre le lnur /S()r)
lnètre de pel/les decoupes erla/sset//'aurêtvoleurde /??r-
rrxssage Lie (uyau.rrerrtkp- get?r dtklcL)lrltplk/p/lér/tpezl.
teur.er(l./. J-
r sezr,:1 t
'Dlat t./f) trolsèl'rle
Lapointeiilracerau car- carreaë/erltlercclmp/èrem6'rlr
gf bure laerrlpelderayerIeca/'- pOt/ss:CfLllllre.
JeI
L?&tn'e<3Llk'er-
/ re/age powf'/e fragllser et (IL?al.
(J''autons'
.v sa cassure
vant/i?lgr?etracée.

'
' La scie circulaire , 'i lame
'
''
' diamantée. Le rre///et. 'r!n-
' 'vz 'zest/ssta?ne/lzpourIa éacf//tii
4*, z' etfapreosfon (Je toutes Ies
. z-.,-....x coupes.' /otks Ia trouverez
z'' ' al -/
lterl'zn-or?sde 60 e'ilne
' - flllltJ7toéql/tlt76)67/1 iD'fibrç/L..'
' Llle fonctioone sorsecteu: '/ne k'
/ cltksresteJli'
tJsL;o'
ù9(ra-
'- sans aucune prclctcror?de cerIa f/grle a'
e ctiupe surfe
poussltres.faJameAaman- Jeux/èrr)e calreat?en stpkzarll
S t
eeé/
anrconst
am'
neî/tp?
Or
1- le ctlizr)!dzicarreatl St/pe-
ï geedanstp
'
nbac.
'
)eau. rieuz

W @: . . . - - -
-
I1: P O- kS- V-z ,A U S O L
.x 'V q '
!

: N: 't..-;22

Exécuter Tracer une +


.D

une coupe coupe en angle '


..'
L..
'
à la carrelette ren1rant Y- a. .x v: AF>%'
e V>U
...'j
.. .. f
'. .'4 #v
..
,
.
C; zw ..
.'
.
... cB êâ

. '' x
-. h, NA. ' x...' .. .
F/rez Ie l'nalqt :slle L'
Dlïlma'?-
::/a?7/.@
. a.leuletïe vers./'Ctvartt.
?r?!r()()'tJ/si?2'latéralemer?t /e
carreau a c()&J1iM aiustez te
rraçageen reakageavec /a Mesurez 1'
a /argt
atlr ne'ceL?-
rouletse. salre

rkt/ssez rpar'c/he vers


p'
ayar7!en aopuyar7lI'
nodé- Placez Ie ca/weaw ctans
rerrlfgpl.,/
a rotAette 78 iaver sensotl11dotétre oose.le-
X k /ecarreaLi co/-
lez/arresczrereievee.
%&...
' ..' ..'vh)y
, . .'y .'
. >d

. @ . T$
N / . '-. v' -'
'
.. ,s,
/, ......
' .
r
.
.

/.-.. ..-.-.*'e- V&. '


=
N--
.
7
,
.-
1
:. .-
---- n--c--.
...
.
1$ y'
k'c
<N
. .
.
./
<..'' ;.N yg
.- .'
X ':
v .- e..-
.,.. t: '
.x. N .ï.
: .
.. .-e-'e.'.
L - *.. 't. ;
.. .
, kt
. '(
à'
...
L)l1.5/477/.:1le api?u,'sorceder- ''
'
' -::;
.
'ippljir6'YIX Ci.ACt1OF?-
I'Ilerc'lty/'l :(..,.
1' ''
J .
M' /76)1'tîî-'t,J:)1321//'16/.t:ptli67(;)t/t9.
/J'7 ' 71--
OrQSSiOr;f:lxrotytJi)fa /éiCaS-
s'tp/'ed(Icarceat.pIe./(lrN Je.@ fh/estlr
/'ez pa Içmcueorrye'ces- ' *. k
.. .
l'L?j'L)r(?. E)é?/r() 4- lk
:
, l<
'
. t
.
- kk sa P O S E A U S O L -
'
,
. .'q
.'. * ., .....(j.g)
;.z .
.r
. ::
.jr...uz..

Ajustement
d'un carreau
à une huisserie
en bois

rR:7s'.''èvjter c/es jécoupes


r??t?/r/J9./i?ê;f?ttkr?jç/ilèt(ï/6)ïyréi.
C.VUX.JXOCO EC' 1?Orl?1T$eS(7/I
Crerlez COO?é'De gtbbal'llt7rp6'
Chllte (% Cor/aeo(). XOOI-YZ
Son epa/ssetlrpdt/s ce//e Lie
Re;)LlXez St/f X CIW'J'I?iRU 7a Colle St7r,1e Jr3(M /,9/7/ O' e
f7Jt?st?.X Ce/0IOIILIUTUL /'hlilsserte.

Dacez ?.
:iyécottpe à e/fec- Soezaulra/l/è basJe)''
.htp'/s-
tLil/r senè.

Prtjserlle.r Ie -
'-arreat? Lians
l
.a car
/-e/el/e exécute.zJapre-
r/:.'qb''L?téi1t'16? 4é2:li)ér/:h/brç?tré?.
r?i?
CtjïrfL/cll)e!pl'L)CX4eZJi12(160-
.Yfer7)6?COk1Ue t' Ar?respectâl?t
./
etracé. Degagezleschutes.

W *.
- LaPOSE AU SoL 'X b -
...... .m
:. .- l ';.
'
:;
.
1;'
.. . ...

b'Ot/s possedt'?' .L't7rp6'StJ'Ie


a carrelaz nle 6'.
/clf?GJe.reb).Y.:r
le JcLJ/U/ ft9te'p'
a/( 9 Ia ''3ïesl-l)'
('
E?
(j'ur:e Ut?t).LD(pj'ni?slcS?
.tg#ecltt(?t
J.ik'aigcez lentem el 'l?.( n. ?7a.u-
teurc/t/lletltlp r?d rïèalpLlage
Posêllottnez /
'i?carreau.mar- a/ré/c?,ir/e Sciaae errez?f-pd ez'r
tpezka CoupeptlLt.. rSa?'
2J
r(7- /e carreau lcls!enreslanfen
fono'etirL aclpw/suryeguoeIatês bra
.r

RCJ-IOSJVOl)lèeZ /6' Carreâci


I i'burçlez /6'Carreè?o et&JJe(7-
J)OtJJ'l!a Iorgelq ? rEréfi?Z /éi rt/ez/edeLlxibmîeSc/a.Llellltlftr'
COL)OeJlotkfSa/(';
7/'f76't#'. dégager/' arlgle.

fDos/roof-lez a
' 'lpb/anc fa. ca, r-
''eau potz''venfte/'?''exa.k-btoae
4 Fz?cezIaJeco:/pea réa//stw'
. o'e/fazoblt7e.

@
t.
'
... )
.
. 's La P O S E A U S O L
'
j 'w

y)..
b.x.:. .... . ...r.;;y
;t ..j
t
..,.. .z..
a,.
..

Découpe d'une
sudace courbe

'
Rèalisez le passage de
tuyauxt?t/l'évidementd'tkr?tl
boîted'encastrementélec-
trique /pr/siadect):2r' a!?r.
terrup?eur).
De?J'ulez ie sc/age (Ja/ls Ekeo -ulez ( )'/il:1traits de S(7a-
z/sal'l!/e r7)/l&t7
anLlie tvr'?t ges JJarol/eles stJ/'orle ? tlre-
cfer?w-cerc/e. J?1I6/r$t()()(1I(1,'ètlïfL/133)ri).

, 4vancezy'tlsc?t.
t'
au ïraçagec' il Procejez de rnérr?e sur Ia
'
. fàrc:26.C'
erûs/e Ject///
6'
zrt7X&J?- Jet-a/èrne port/c?n de chote
lement.
''
e)carpeau'. rfslanle.
*. % *.
e e <>

$$
j -. M .

hfhnez()aru,f)'leaelpassapc.!
.
, 4traqt/ez Ie sc/age nans , % lange/lr/e/Ue/a(XçöupeSt?/'
aJig/t
aetp'eo/glqezfa /;/)(ju Jé7/éïçt)ffqisàrlt' Làl'
L?<
î1l7t?().pyztS)té?3.tT/i?
'-
<.%.' . v *t 'e. lra/+
.desc/eprecedonl. 1i6:ii!(?/??fl,rèr.
l6ï(2tG ?:''eL?c!tc
'/.

G *t -
t,
aPO SE A U SOL '1
'
, y
-. -
!
' '.
;. - r '- (
).
..:. ..;:;t;

:. .<e .+.ai ....- La barre de seuil


W

z) /
2.
# . =-z.. y,
La sc/ta eiq?ctl'i'
Llue Ji Corre-
lage Olfre,' % pclss?'b////é 1.'arrt)r o'
es carriar
ntzx
cklerstlr?pi/afeat/elJcapou- setp//.gepo-esel'eallk'?e ak' ec
k'(:)/r a/'
O& Xallse''(7/S ()Ou- un proble rrerta///qsre en I..
p&s Sur Ctlarl!1u. q?CI(:'a 4,5' er? alvm znium ou e??laibon
(tl/seatkxpernïe3tarltc/esas- éitl/oe/eCoLirammel?tt7J1f'fi)Cle
serNtn/ àgeselîaràp/iasal/arlt/'. Set//l

L.aöarrees?coupeeç 'lyasc/e
l.u)neJ'flckerfe Iatèra?e ptyrnt?r (jrnétavxJ)pa?arget/rjt.'seulj
/eblocage cl' t?p/a/eaf;a./z'
t'-:- 1:/e por!e e!esrî?oyée Gorls
g/esouhaite i'a ca/li?

. 6

' . ) N
k'' . e 't
.
.. .
v. r
'
1
. 'h j

. ;1
'f, p
w .x ., jk
.,
... ; : ,
1
* . f. , . . '' ' ' ' ...
Lejltp./dt':?pL'?Jf7/p//6i#l'
.7C&f('
?(Jlî . ,
Jzll/lta/
'
(
I I
IJ?
S tao.taJ ss?qo'soe La barre de seuilprtn/epe le . -''' .- ..z...xr.y..< .'.
' . ' . .. .' r .'rt .z,
..
preoslol)decou.Detout/1fa't C/7J./7,. $:?ucacreatketoff-e u/r'e '..-..ë.. .z.
. -
.......,..--:..-:
,,..
-.
s.c'
-
..W
b'r-'
.u, .v
.r
.t ,,s.'+7
s,.>, 2.-
sat.'
. Yfafsafète. ''/n/tionrecl'f//gf'?iie!solanée. .''.'-c'...k''%-* Jv3.x, q eesz.z'-.nlrt -w>.K'vw'm-w'f'- :
ë ( k, ,y saPo sE A U SO L -
l. ..'j-'

Le jointoiem ent
11se réalise parfoisavec despàtestoutesprê-
tes.maisleplussouvenlavecdesproduilsen
poudre,à délayerdansde l'eau.L'utilisation
d'un malaxeurmontésurune perceuse,tour-
nantà faible vitesse,assure l'obtentiond'une
pâte homogène.
Blanc etgrissonttesteintes de basedumor-
tierpourj
oint,maisi!existetoutefoisunel
arge
gammedemorti ersdéjàteintésoudecol o-
rants à incorporerau modierblanc.
l/ersez st/r i'e s(9//a ITltir6i.
Préconisati
ons pourIa largeurdes joi
nts Fas
tesb/
e'
r
)ocrl
et
re:.F
.
ez-
l
ro.
enfonctiondeI
atailleoudeI
anaturedes JurJar
lstoos.
/
es/
,
'
,t
erslces
Carreaux : azec ujrle l'
ac/elrt.
?el?JaOt/l-
- Carreauxjusqu'
à10x 10cm = c/
louc.
jointsde2ât3mm.
- Carreauxde 10 x 20 cm et20 x 20 cm =
jointsde3tt5mm.
- Carreaux de 30x 30 cm etsupérieurs =
jointsde5à10mm.
- Carreaux deterre cuite etde grès étiré =
jointsde6 à15mm.

cac/ez darîs Jtpt/s /es Siir7s


.
a'zec /bt,'!//.repassez sllbe-
rlessa/ri?.e!/a/ssez tllver t/r?
oeud'efno/'tf e/:

l'
vlatefellléc6is'so/r'
ef)t)t?'Ie
zoprrpso/6'f
'Nt
a/l!
j . z.*
.
-
LaPO SE A U SO L j.
t-
.--
.
-F'q .
,
,

.. . : .
(: .
: ..
. y.
.

$)

o/
l'lcez souventi/lo
aq wlclrlc?e el
w? 'kil/ttLjkxi);r1'6:)(3)f?C/iprlléi
i
Lït)Lèt)L
.)
f?zTrrt)t?kil/,
rt:?r)(:r7+
.F'ill?ta/. I'
'ttoonge.
< 5.

.Y

N '.'.q$.. .
. ..f. N. ''- <

l/
.?
.

//oourra subs/srergespettts
//7X;''
SI/Cf?S 0t)0 CO, '11bl6/SJ)(3J'
X &?OX/f'?. ?' (30311')z'erfîefiLl
c'/largez' tzol/'eJcl/g'l(f'L;n f
-a'
eu Teèrm?nez''enettoya.(?e parde
a'
temortler. (lassagec/'c?,
qc/7/rY(
7r7sect

... t?tfO. XOZCe (Y6mQlor'h J.Y-


Jlefxr/JOL/,'?'e/N/:l//f'L-
.L)çïîiLh'e-
te/rle/'?fJejoin!.
ï . v
.
.
, ,
j.
-'- q I-aPO SE A U SO L -
.. K . '.
lx '. ' :?.*.'

N'-7J-'- Dèsqu' unsoIdépasseIes


5 x 5 m,i!vous fautprè-
*'Y.;,t'
,
. $ t.
% tu' voirauni veaudesmédia-
' ; w.
- nesunj ointdedilatati
ef
n
'
réalisé avec du silicone.

A'spergi?zrrifat/erij.
rllsr?lke s1.
/J'
c:?''e al/ec t/r?prtlct/?rk'
ca/s-
seb'eck/u'é

M . x
!.
'
d.

1 j.
.
y
' '
. . .-. ''œ''
-
1,:.P O S E A U S O L .'
' ï
q-.-,.------'
-
.9 )

v e'N N
La pose des zA X.
plinthes / '$
(A
,l1rreler un escalier
k ):--
La pose de plinthes se
cornm ence dans Ies an-
gles I /rt')r'
)p'
a/71 ou sclrta/' .'l;
i'
Lncollez a 'a slqlart/e rrar7.
té'tq?/'t??'.
rièl'e(:/e./él/:)//?)1/7t?/:)(r)-
sez.. la ?) s' (7r?emDlaceçnenl.
stir'Jièscrrlps///tarl. ç (poorres-
psglerL)r)yclOr?.exercezt. /rpf
'Ljyele presslon.e.
é 'r?(lcf/eJ'une
l'lrlt/tze//ep/érp/be,separezpar
L:$:crosn'/cll)etlacorst-/nzeze/-. Qlle fe nezde marche s//t
vlz
brlflantcorlsra/rrnerlrl'ali- e?1ilols (:)/.Jeî?C.9r&i?/a(F?.Ia
gnementJ?'arégr/e. pose com m ence par cet
Le p u/rl;entreJ'
e carre/agede élém ent.
st)/etk'2lbln/t?eestr'éa''
?'.
&*éat/
sl/lcone ce/ut' enrre L'.:eLl,j
p/.ylz/pe,'
qaul
''??(?/'
/feri)!O;r7i
#.
- > +

' * 4.
. .
p
-
j
!
L
,
.

y '
. / .'. QF.'''k.p .
... .
Decot7/lp2'Ie tla/Ffat/a .
proforluevl C)6'2'Ui?Inarche
/a // ,.
* y.
a
:
..
B - >Coot re-lna?(1/?e.pr'
bj
-4/0l,6.2'
m j ..
(//?7'
:)/?7t c
at/ltltt
':'C?é? (l/?é7(?(/(:
(2tq.
!'?
<(?é2ti // ..v.
'
'

.: .--?r
à.''-'' '. * ..

F k

/
.t
.
A '
E'chantillonnagede ç 4 .,
plinthes F...
,K ,
4 :p//pl/lesstandaro'
.
8 .'ptntheagorkle. j
( .
87 L)(.iar't-t%?.'
roflL',
lp(7:#' .. e

a?'l(.
.
.
, . #tasarê/alpl. EhlLDllez .
'7?én'C/q6'Lnllrcs ola/'- c j
.,
%
.q.y.
js..
éstî
??.
-l'(yt/ézrt'.tïil./'(),rè(?;?()t//'
r)()/r?rtlf-ll?'
é?/al
Che t?J7LlLmlmel,qïa
nablt.
.l71par/(? /
l r
>x. .
.
..
.

1
?

k
4 .
z.
, ,y, q saposE AU SOL -
.'
. .. q . ;L .
2. ' ' .''....'

Les colles

Lescolles,qu'ellessoienldestinéesà uncar-
relagedesQloumural,sontnombreuses.11faut
que vous adaptiez le choixdelacolle ausup-
portetautypedecarreaux(I
aporositéestlrès
inégal
eenfonctiondutypedecarreaux).Li
sez
1es recommandationsetle mode d'emploides
A' )!ptlle.èri'enfcncementc/arls étiquetagesdesproduilse!respectezimpéra-
/J'2COlle r7'/CLI. rreLI(.7I.)uht'Q7(?' tivementlestemps de repos de la colle après
/7.C)''!L/Li?
'li?h-()'
t?.
!lléi/e
(l/lé?/:,
.17/' brassage,lesdéiaisdeposeaprèsétalement
depel/lscotatpszie /Na///i?! Je la colle,leslempsde séchage.qujpeuvent
varierenfonctiondelatempératureetdeI'hy-
grométrie ambiante.N'hésitez pasà vousfaire
conseillerparunvendeurqualifié...!
La normalisation européenne a décidé d'un
code de classementde performancesde cer-
1KA tains prodttits en pcenanten compte la nature
duprodui
tfnormalouaméli
oré)etsesearacté-
ristiquesd'utilisation.Seuls1esmodiers-colles
etles adilésifs sans cimentsontconcernés
j.> parcette codjfjcation,Le cim entcollecaséiné
nebénéficiepasdececodagedecertification.
;
'
J Xetl' :7yez aossltl')?a/'eponLle
l3tt.'l?iL$
'e Déta/7/J'clt?/'e /'excès ! PremièresIettres avec C
/ '
-
(ltz/e.
.
qtla
.l/t/rest'. /(?
' .ccl//e sur produits '
!
Ieurschiffres q
secondeslettres
/
l k
'
'
le 'ntaz'de ?77t. '?rclîec'ts?s(:rpe.
6? 1 t
i * . carreaàt.
z Modi
ers-col
ies $C1:morli
er-coll
enormal iE:tempsouvertalongé
ï poursol
h mtirs
si
nt
éri
eurset E
t (permetd'encolerdes
1 surfacesplusgrandes).
.
fC2:modier-coileamélioré . t
tF:dufcissemenlrapide
f (plancherchauffantà. 5 (rédt/itletempsd'intlti-
l Ci rcul
aliond' eau). i ) l isati
ond' unepi
èce).
t
1c2S:modi er-coll
eaméli oré l
tT')résistantaugii
ssemenl
l
j
etdéformable l (permetunepose
'
f (SUPROrtedeforts l
j muralesanscalage).
i écartsdelempéra- ëG )fluide(enposeausoi
) tureJpl
anchefs i présenteunpouvol
I r,
1
/ rayonnants,façades), 1
l mOutj
l
antamél
i
oré.).
Adhésifs 1
kD1:aclhésifnormal, JE :lempsouverlallongé.
T
/D2:adhésifamélioré ;T :résistanlauglissemen!
:
1 (résistantàl'eau). p
,
lk
A

- - La P O SE M U M LE / '
n+m.
l :...
r . >.,
vr..
'r
4y
.sm.
.'
a,.-.
-'>
#w
1
''-'N
s
w.
.
'
.Jb ?

- '
z,
, 'w
''
IA ,,
, x.
y
CUM MENT ET
?0sE PM O U
CO M M EN CER ?
MPRX E k /
'votre prernlertrak/aiicorlsistert-ia tracer une ligne rigoureusem ent hori-
zontale,a 1 t7)ftju s()1flnistlries 4 f-ntlrs cli.)ta piece.C'estc(.)tltle les pro-
fessionnels appellentIa ligne des 1 m.
.p
t?tqe tlprlc.itltnetotstrclcée votlsservira de référence pklëlrtous lestracés
etprises de mesures L111é 'r'ieurs.

En I'itzghe g'lenetale.Ia pose se com mence de partetd'autre d'un axe ver-


ticalsitué au centre du m ur,aitnsiIes coupes se ferontdans lesangles,
1/qoLielies se voientle moins.
skacez Llr' laxe $/(?fti(.
'a!
./AISatïcerqtrg dt-fmuqTraccz tïrls()
-ctlrld axe JwD
-N pef-
llenci:ctlla.irecttAE3enbas(Jemut'.1!ssecrolser)teI3C-bi
')
.LlnehatitetlrBQ cltlù
(
'
?.
t
)u'vauté 1une hauteurde carreauplussone -paisseurdejoi nt.
..t
' ai e.n'tj('
.,;1.ceti
'e hak#!el.;J'
sfafnrtan.-
.Jat11.
70intle olj.ls bas '.''
Cet4e !6:c11n:aEje permf atcle poserclt?s t;al'reatl'
a'Clnti(7,''59lL% ni-
veaO C
J:.!c;1.;l !. S'l.
art. ' 2.:)otlveirrec('
)u47.
ar',' 1>': I
:3olr()rnor41'!
n.
1

+ j
-
La P O S E M U R A L E -
..u
r x .v
.<#'
nIn:
.w. =
. . A i
z .' ' i

zst.ktï
?(lt-rrît?;
''
(.î(?7t:>,''lu%tçr?.
/ï'7?
'?ts'li'/v.
'?.
t7?t'?p:
;'Sj
z?àïtz
b'
.:.
t:'h,
'.î?t7',(t
?z:'3r'z

.(ltïl/'c
''?,t'6?tTl/èlti/t?trl
/-/1é?/ràiutcïîJ;'#?/t-)és

#* '- - ' - -
I
S. ; '

7
j
xt
-
l.a P O S E LE .i --.....''--(- y.
L
Y
t /t ''. ' ' .-.-'- ' %>12,''
-.
/ ' I

Ye
(j
..
.
;Y%% ..
..
y
t
.2
tp'ce plos'zc.'a/
.
ek
?r' c.'at./.
l/kz a3/
lrepkzrL.
.J/t'?j''
zpos/norprptazrcLal'
.3ollr('
)/-7/t'
. ?'
a!
J't/f)t7
.'/.
)ar'
e
O?#i?
;
t
/''
ï/fî,'
J/'
f'(?ê
lz'

-F'
Jr'c.c?t
:t?z /a ' v'e.'*
z.
3(ltt?r
'O'
. ($ï$7/t''
(:)t)ëç Jk(2
.',
'3z/?'?9 ('
î'
e
J7(.7t ;l/fY (
'iX6)DOU'rC.007076.0C67'V /3OSLI
La P O SE M U M LE =

#Z*s%ï'k
e:
c.
5.'
. x..-
#
k'

4114'
d
1
'
I
'
1' - -- - --.-
-
I.a P O S E M U M LE

'
#<'-VN
JJ* w.x
.Z:La at-
. -.
<.
=...-I
'M
t5.** '

.,
, ' l'
',
:.'
'
.(
li
*' !
. J
.(
.jpr)jf))/#/' . ('L)( j.
)p)')jp.a(y.à
'' '
L'
j)//?(? .
L.
?1'':
'p(?ë,r(jf'
Lt(GL .L.1- //-G'(il'.
' - '.-
..
''
rcvat/x /e??7)/r)e reco. aunc-.ncez
''
z. . ''-
. ur'pp?tlfkft'
z:
ac'io ?Lèl
. L.
kîl,'teat.) ' ze/t'/.
Au u. . <.+.,
.*%x. t. L ' '
-..I#w 7g'p%!t.,
1ur 'n n
t'.
il
.@r'. 2)?
.sctadenl.

- -
% ..
+. . .' .
# % .' - .... ..z.
. . k.4..'.' D1
. .. ,.

A'.4

l' .- -
- La P O SE M U M LE
- .
! . '.lj'
rx'
.
--
r # .-..-wI*..

'
. . . ..p h)- ,.....-.t;/k .A ..v.
..
evw4j'..wa..'m....Mh*'. '
. t . .ç .. .
. 1:> '
. . *' t
. .. . ' .e
;#*
.'
b.è.e<3
. ..
.,
.f.-* ..+
' '
2.*.z,,pz
w'..
4 x.&
1
><>
.17.. A.'..$.'..
tf ';
w. %m.
.
'..'
.'
.<4
y.
.a. .

. >:>'.%'1,''3. .
. 'k
.' . s:lyo.:< .
x.
. .x,v
.+. <
.<
,.6 q
e î
. .4 .
.. .u
< 4' v* !t'*-
s.''
.

Mxx
N..N

< - -
I,a P O S E M U M LE

z
f r-eNXy
Carreler une fenêtre
kNxx
xx

k '.' .' De(.)():î&z'(iot/'t


.7LlIe1
-4Lp.SL.fJ'X
.e
?>. ..'. . .!..
+'
'
rnste Je /a zoîle ;%a/c?/-. 't3/.
''t
:?.
Lleux tltlé -/r'sls ct atyoki?,il (i(:
/?')i%.r?'?(.
? '. l'''
' ('
)t.
7't.'/J (J'.
' t:?t
.'''
ir'àc/'?e..
N l?.1é?T?!/1.62tré?tèl(1ttïtzïF 't?til?.7)J:)S;'z'
. .çJ
i
. . t' é)(?(TF- ;é'L'.(/i??-àr''f:
../(è'Tt'/t%tI.&t(-t')'.
u..?/
v y(jtj.y

d
'

e
'
l
jl
.l .'
-
.. k
..
,.
.
,.
,2
L....::
. , .,
, ..
;
..

G-

.. tracezt.
7/'?t'ïxetzef/ca/rlassa/'
)/parceIîî'/''
eu.
Jltj/?lcrrt?za : 'patJc!l()ol/a drqyile o't aIhxe er?
./
?aulevlJekihalfl/bollert.' ?.7/loage ;1ptltl'
devrezprr?/' .a/'?c7(.?r'taf?reslcn/ll /(.ï'arIL-?tte;)?e/')1
($/()
.!t:?'/??//)t
ar'Ji?tî'tiélzJ-vt)(a'L1é?Liïifkt'é)(/?'F. ri.
//()/)tEltztl?t?
ïx1

?.- ...-.y LaPO SE M U R A LE -


kr>. ! ,+. .i ' ggg
..
-
-.
:y
.y(
.
- j-;y )
-.
w
.

nz
.
.
.

'
, ,,ê . 1
.

l I I
1
j)' '
I
!- . l .

1 k
, ..

1(.'.'.$.L
.. , k 1 ...
..
x' ..
- V.
. ..F.
ux<.
..
. e . C
zC
.t.
.4
..
.t I
. ;gq.
%
. .
.'.
e.
'' t
xn.
. .,
. A.. t '
'
') .
*j

t
1
r ué.t..z.'.ï u:2
..
. ...u..
zrt
' -.
z.v (..
, /e-,
.b
..

t
!

l *>>, 1
- La P O SE M U M LE A
mu . F>.-.. kxw.t .1
:.*.Ih
. ' .%

DreI
. LI&Tc'Z /t)U40-S XS COllOeS
p'/
atples t'/e /' f)'brasel
rrïerî: er
tl
losevl-les rpyp'c.xelnple
p
PosezI'es àaptkta.
ltes lje ff.q/. y'
a tablettek 36;, Vï/dJTi!W() 'ef?re-
tiot)/?4lt
.l
a'a/es (irts2/'(/('
1f?/i?t/'
l'/:)(2)Li'I
t,'
L3r?fi'
l7é7/t-)

'

i t
f (
' $
' ' l .
y
1 l ': I
l
i I
: l
: 1. . j j
I i j
. .-- . . Wm.
2+%ç.,73su4
ë
.' ' >
) : > qs
'.
x''xkzs.î'
t
5 -Y'--'
--' N
r
.
-
.t
#/
. ..
':
.at
.
b
.
j
à
.
U1 %. l
h
! :
-
1
1
1
1
,
i
.
t
'1
, c-
u;
I/
'
ez La l'nanfêre de réaliserles
l
I
,
''' l
: '/)at.'
.L
?stïe:
3(z
,J.
(?.
jointsseravuepage 116. l !'
-'
--'
A

. f$
-

..
La P O S E M U M LE
. . h<' '
.
<w#
....-.-*.'r '
. . -,,--.
n

'

!
;
1 Carreler une balgnoire

;
i Manièresdecarrelerunebaignoire en fonction
l dupositionnementde Iaporlede lasa//e debains
Qj .x
X .. -. rm )
etc... 6* 5* E
4i 5* 2* A# ?'* :otc,:
..
t
f !
. ) :
..$.
,........v4
'
.
!
'
E ë
) '

. : p
. tl k
$..,.....,'
: '
--
r......,- , j . :
!. : )<rtc.., tg. 5-e:!zr k
. .
I ........
1 6 E :
''
l
PortedelasalledebainsfaîsantfaceaugrandcdtédeIa bai-
gnoire.La /zaopée c?e carreaux au-cïesscs t'/u lyrar n(7'cö/e serra
co/'
?.
sl/rt/ét.
?r-rarPescarreitt.x e' clt/t?rs.L-es ct'
)t//.
?esse ///'
('
.)J?/er)?%1.c)
c'
e r'rlt//'etauhasde/''.:.n
-tl//.
(ag7E?t' /e Iaba/tp/Ro/re.

14
Jq.:
' .
< ' -<...
... t ' Q --Q
-e--'
'
..
.
.r
' qc.
u. 6 7 x
4'. '--
-
.--.
-4
. ;
t
y
.----m..
.
w.-' jv '
e
1 4'
% !c. . F-
.
.z
,. f, ---. , ' p y. ,
.

,
vf'.,L
') <. ./'
. . 1
.
$
. t
. vz j : '
.
. t.,. '-.>.N '' -' . j d.;........rv....v -.. w..wI
!.. .
'
. i. .- y
,
* j ,
. .$?.
:,.;.-
-c-,.--i.6 5 4j) . ! ,
z
., .-.et. ...
.
i,
j
l .
:
,
j
hmm
y
, Aa ,
........j . .m

A
V- 'x . > -
b:

Portedelasalledebainsfaisantfaceaupetftc6té de labap
qnoire./-al' a.'lgee1)/7tlasql'e? 'NL7?'eti'tJhâsdeIihablliaget/(?/abal-
ç7l'1:ll.
rt?.Si?/'
J4(ltDrl&#RJ'()()
.t7é?/'.
-.1eSCJCrSE7?LZ'X f?N!/6'rS.VaC(Y /(?SCIXL/S
carllc'?e , ''
eF'lor?/rre/rtô/es z'lesslns.Dar)s v' os lracages.. ')'
:)t?t)/?6'zpas
f
ziecvi/ct//t ap''/esepa?sseursd(:)/. tl/r)/s.
- t.a P O SE M U M LE

'

'
i 4
.. .. ,-. t
$
..
:)
.. y. '
.# 'q
Les coupes particulie-res gVj--x
k.ç 1:'. $.
é.
kk* k;.+ i
$. .
LesJotlpesdroites se forhterhrè-gle pénérate ? li 1
$a carreiette.i
klais prlviségïez f'achat(j'LI(3i) scfe
ttjectrlat-le à carrelage avec lame au cliamant. 'h . '
PoLirLsne soôxanlallne (j'euros elie k/taus rendra : ..,v - . .'
tes plus grands services.t'l/tarrlrrlerttptltll'rea-
ikserdes cOL1r3eS l 3f)anoies Ou tlourbes. j wn- . . u m.. . .I: . .<
IEt:Iélit/(r)Jïrl(?
.ir/. 6? tléir'
r'iitèti 'pzr??'/f/i?JTl:) , !L-'/- t--=
7,?'f- .(:)?/(hJrJ7rîhtk?tl(2)r'1rrt) /(?('k',
'J
'r)'t,'.
$'
t-.rD:7
slona'el' a ()'(.'
?coup-e.
<
i

Nj
V Ak l
$ (
'
N'
qLï x - .
'
kz - '- -=
'

j
:'
.

u.N. ..
. . !.
':w . ..
De,butez/e sciane (#?ir7.
' ';ulîar-
?t?/6.'en tz/-
c?r)
.rnr./tï!l7')//kt'aL?()6ë/txkiqà
/'
/?f
'-(7(?î'
(?.'(ï ::$
1kzéklA(:(T?C'
f'usL;..'' Fnupa.caaec/taI'al'cè.î?cerc. lo rectz/ez
c/'t?//r
c.!
n!t''
. ly'
?c-p
r'?t;(.
tcarreintz

u &w
'

'''S .y

$
;y
Y
.
.
. .
2.'<e'
t.
.q''''.
' '.'
f ..

..
.,
. .:
'
...;
. :..
'
r:1
!.
12k.-::r...-.. . x-eak2...,. .
-ê'. v =T
i-')ç(?(7(-ltLî.zq'('/(-?51/(' 1ï.'J.C;()/67t?()/ê?C1tl). flç- hçl'lr'é?'J
'J
t?D
-/ïif,'
:?(2!'/t?:ç(:t)t?tl- zb.'
??'i?J9têl '/'7rf?3?.zfl*(î
*'tr;fg;r/JS2''tJ/' 1l' L'l-
t)(?
./'ç-.'1)
.F;f?Lï)t?fî'ré7r?(?(?I-./'L3. '(*./6
:')Il)t$76?t7' C1t. ?/')t'
5)é;t.rr'
/*
E2r'é'rrp6)(.?r)if Llîf?é2F7!ç1/b'L)lî?, '':)r6? 't;:/:.:3lLï?îr1ç'?L/-
Ql()l7'?(1J7rICltglé2
'/'
.''
(?éiLî.
Ah

1 ..
-
La P O S E M U R A L E -
. ,u . <
# t' . v*s..
...e x 4w.l%.
w'
..'k.
r.*1f ..--v*- .= =
* I

/
/
Lejointoiem ent
/
11se realise parfois avec cles ptltes tclutes prê-
tes.r'rlars le pltls sotlventavec des procitlits en
poucire./tdéiayer dans (je i'eau.L'utilisation
d'un malaxeurn'lt -lnté surune percetlse.tour-
nantà faible vitesse,assure I'obtention d'tllne
pâte homogène.
Blanc etgris sont1es teintes de base ctu mor- Recornnèencez I' ooeranc)/'?sinécessatre
t
lerI
aotip
'j(
al
.qt.rnaisIiexi
stetoutefoi
slaaelarg
)e e/?respeclant.f/rpe?.
r?c//rlu
4'/'sco Je la/oche
gamrnecl e mortiersdéjàteintésoLicl ecolo- ?/gfJp('ere.
Note rants à incorporeraLlmodierblanc.
., . ' .'1x.t.
1 1
...'.
r.' t Préconi
sationspourI
aIargeurdesjoi
ntsen
i.nlrt1u ..: ;!I(:1 g.t' .t fonction de la taille ou de Ia nature des car-
!1I!lt 'L. I2.1 ! lt:'I:hlII I'OaUX :
''') I'.'L;r'.!it1. .ï.; I.Ap. -
. Carteapl
xjusqu'
à 10x 10 cm -
::ï:.q..., .1.
L,;)'I )I..''t.
? jointsde2à.3 mm-
.. I.iëlt ;..ë11 1,'
tI ... !; - Carreauxfje 10x 20 cm et20 x 20 ct7l =
... , .;.!
...'r)r
' t..(;...
s'.) jointsde3tt5 mm.
:.. r''.,tt.) :).?:1: .. :r11., - Carreaux(je :$0x:30 cm etsupérieurs =
:.. 1 .tt r )11'I)!r'.1
..
,t. : jointscl
e5t)10mm.
;). 1.1.)I21'
.. ',..
'. t. ''I rr@ - Carreauxcle terl'
e culte etcle grit?s (Airij -
. ,'.' jointsde6tt15mm.

> .
: .'ww.ï ),1r.
,t
j
k,
t'$...f
., Z
'
..v,
. t
'
.1 /khi/!
. '.
#
,k..
j1
G.
C
.....f
, ..
,
1j1
t-.
Texte :M arcelGUEDJ

LES TECHNIQUES DE BASE


PréparerIe mortier
LESMAT/RIAUXDECONSTRUCNON Cimentou chaux:le cholx dt1liaîpt
La terre cuite Quelsabke empioyer?
t-es briques Eeau
Les carrepages Les bonnes proportions
(I
émentsspéci
aux Le Iieu de gâchage
Les briquesde récupération La technique de qâchage
Le béton FabriquerIe béton
t-es parparngs Les composants :ju béton
Hourdis.poutrelies etlinteaux Le gâchage à la bétonlnière
La pierre Le coffrage du béton
Les pierrescalcaires Les coffrages
t-e marbre Le coulage
L.e granit Le décoffrage
Le quaroite Le bétonarmé
Le schlste arcloisier Scellements au motlier
La Iave Les sols en béton
Quel
quesconseil
sausujetclescl
alages Leszones surlesquelles porterson examel?
Les blocs de béton cellulaire Di
pérentsNpes(jesolsenbéton
Le plâtre Coulerune dalle en béton
Les carreauxde plâtre Le hérisson
Les plaquesde plâtre Le coffrage
Les éléments modulaires Préparation du béton
Les plaquettes de parement Ferraillage du béton
Coutage de $a dalle
LES LIANTS :CIMENT,CHAUX 12 Oécoffraoe
12 Dresserune chape
Le ciment 1:3 Lesmursenparpaings
Informations utiles J,'
.q lmkllantation d'urle cloison intérleure
Utiiisations etproporttons ttprévoir 1:$ Lesjoints
La chaux 14 La pose des briques creuses
Utilisatfons 44 Poarcouperur)e brique
Normesetconclitionnement
LES GRANULATS :SABLE ETGRAVILLONS
Le sable
Humidité etfoisonnementdu sable
Les gravillons
o. - -- 1.s
.
'&.I$,)
I-zj.z D .
1,
-w N
, S M A T IE R E S -

Texte :AlainTHIéBAUT

LECARREAU DEPLZTRE 35 MISE EN G UVREDES CARREAUX DEPLXTRE


La protection contre I'incendie 35 Poutillage
L'isolation phonique 35 Matériaux etmatérielcomplémentaires
L'isolation thermique 35 La réalisation des différentstypes de liaisons
La régulation hygrométrique 36 La pose descarreaux
La facilité etIa rapidité de m ise en œuvre 36 Cas particulierde Ia mise en œ uvre d'une gaine technique
Uaspectdes surfaces 36 vedicale
Cas padiculierde Ia mise en œ uvre d'une cloison de grande
LESPRINCIPAUXW PEM ETCARACTéRIW IQUES hauteur
DES CARREAUX DE PLATRE 36 La pose de conduits électriques en encastré
Méthodes de fixation des charges Iégères à Iourdes
Le carreau standard 36
Le carreau hydrofugé 38
Le carreau hautementhydrofugé 89
Le carreau alvéolé 40
Le carreau haute densité appelé aussitrès haute dureté
RH.D.) LA PLAQUE DEPIATRE
Les carreaux Iégers etisolants Caractéristiques de Ia plaque de plâtre
La cloison en plaques de plâtre
DIMENSIONNEMENT DES CLOISONS ET RAIDISSEURS Divers types de cloisons etIeurs pedormances
Poteaux raidisseurs Mise en œuvre des plaques de plâtre surossature métallique

Bibliographie
Doc.umentationstechniques
Caroplatre @ dePl
atresL-
AMBERTetGuide Placopl
atre@ (
GroupeBP2PIaco) ,
. SyndicatNationaldes Industries du Plâtre.

Pource chapitre,rem erciem ents


Uécllteuretl'auteurremercienttoutparticulièrement:
- L a sociélé PLACOPLATRE LAMBERT S.A.pourl'autorisation cie reproductionsCje données techniquesetde textes concernant1escarreaux de pltktre etIes
plaques de plàtre ainsique Ieurs modes de mises erlœuyre,
- L'
entreprise dePl
âtreri
e HUBERe!fil
sdeNeuve-Egli
sepouri
eurpart
ici
pationàI
aréal
i
sati
ondesphot
osdescl
oi
sonsencarr
eauxde ptâtre.
- L'entreprise de Plâtrerie GONZALES de Sundhoffen pourIa réalisation des photos ciescloisons en plaques de plâtre
- La société SPIELMANN Matériaux de Cofmarpourleursprécieux conseils etIe prètde malérielsetde matériaux.
- Le magasin MR BRICOLAGE de Colmarpourle prêtde l'outillage.

Dessins :iIsontété réalisés parBenoîtROTH.


La plupal'tcl'er?tre euxontpoursourcesd'inspiratioo etde modèles Iesdocumentations techniquesCaroplatre etPracoplatrede PLACOPLATRE LAK/IBERTSA.

* '
.
*
CARRELER
* UN SOL
* UN M UR

Texte ;Alain THI/BAUT

Avarnt-propos Préparation du ragréage


Les principaux genres de pose des carreaux
LE CARRELAGE 77
77 LA POSE 88
Pourbien choisirson carrelage
Le crassementUPEC 77 où débuterla pose 88
iRéglementation surIes bruits /9 La pose en diagonale 89
Le classementPE$ 79
79 La pose droite 90
Les divers types,caractéristiques etqualités de carrelage 79 Com mentencollerune surface ? 93
La terre cufte 79 LeScoupes périphériques etIesfinitions 94
La terrecuite grésée 80 Les outilscle coupe 94
La fai'ence Egtl Tracerrapiciementelpréclsémentune coupe 94
Le grès cérame 8: Exécuterune coupe à la carrelette 95
t-egrès étiré 80 Tracerune coupe en angle rentrafnt 95
L.eqrt)s émaillé 81 Ajustementd'
uncarreauàunel
nuisseri
eenboi
s 96
La pâte de verre 8) Découpe d'unesurfacecourbe 98
Les émauxcle Briare 81 La barre de seuil 99
Les pierres naturelles 81 L ejofntoiement 100
Le marbre 82 L.a pose desplinthes 103
Uardoise 82 Carrelerun escalier 103
L-eqranit 82 UOS ClO11eS 104
Le clalcaire
Le près 82
I FOSEMLM LE
I FCSErLSûL COMMENTETPAR00 COMMENCER? 105
PRELIMINAIRESETCONTRCLESAVANTLAPOSE 83 Carrelerune fenêtre 111
Contrôle de I'horizontalité 83 Carrelerune baignoire 114
Traçage de la Iigne de 1 m ètre 83 Les coupes particulières 115
go..myjtjyotje 83 Lejointoiement 116
2r'métinocie 7maniementdu niveau àfioles 84
:3 mèthocie :le niveaulaser 85

Pource chapitre

Crédi
tphotographique:photosSAER/Al
ai
oTVIéBAUT,

- .

V .
C onna-ltre Ies m ate'r'
Iaux de construction,
Ies proportions,Ies techniques de base,
savolrcouler une dalle dresserun m uren parpalngs
ou en briques,m onterune clolson et re'allser
des Ilalsons en carreaux ou en plaques de pla -tre1
@OSOr Un Carrelage au SOIOu au m ur,
SaVOIrOU Com m encer,executer IeS COUPOS,
taire Ie jo1nto1em entjetc*
L'essentlelde ce que vous devez savolr pour
exe'cutercorrectem entun traval 'lde m açonnerle,
de clolsonnem entou de carrelage se trouve
expllque slm plem ent,m als de m anlere preclse,
dans cetouvrage.

''
kt,
'- ..,kr
jv>,.
k. .. #.
:'.
.
$ ...
i'
#:
'
i.
z.
' .
-' ):
T1
I..
' ;
? . .

; (?
'
. . :; .
f
y
:
l.
?
.l
tz '' '. '
1
f
, 4(
9) . '
. -. ....
...
$.t )j.: .
.
'

, .
. ej ;.
..
kj.
t:g k,
' ' '' '
k
. .
. . '

., .. .
. y.!
:
,
jj - . :'.)
.
'. .

. .
5 -' - .
'. ;y
;
.;S.
j. .. ..
.- ...
' .
;.
,
' '.
. l i,- .
--:';;. .qy,: ,--,,. .,. . ., . .:
ti
'
(
t;b
.' :'...
'.
. .
.. ..
.-. . -
)
:
..
:G..x ..
.
. , )yg ..
y. y.,y,: . l-a.j.oo
.
y
j
u....t,.
y , ..
.''
. .
. .
,
''
h
.r. ,s ' .,. .'... .'
jlts
,.,g-)j
''
-
jry'y
-' .
jx
y
j
.u-
.t..
.
i # vg
' C. ' ':'
- '
.t
,r
;!j '.- E :'r
. . ..
-..:u..u,.. . .. . ....
C> . ni
J
pj
;
y
: !
j
' :'
..
,
.'
s :
hz,'kus.w- '--.
.- ki
k
w
'' . ;, .. u,' .- : . '' . .
. -
. ,
-;
'' jè
!jg -=-A-..tyg.qj.!k44t.),,,
:2
(
... . y .
'. ' .
;,
'.
. r:
'
(...' ,. .
44
.
4 .... ..'
.. .
a
S
.
s
;
'
.j
-;
j
t
gj
';
,
.
;
y.
y
;
j;
j;
,j
.
s
.
jj
y
'
.
j
o
y.
.
,y.
yyy'
';
y.
t
j
y
:. xy
, ., ,
.
y., ,. . , . .. .
. .
2r

91111II
-
J
I
q
II
t
I-I
-I
J
t
I
JI
J
t
I CSAr
lr
'
:8040I
nger
shei
r
'
f
l-I
SBN2-
7
372
-
31
83-
/

You might also like