Université Sidi Mohamed Ben Abdellah Faculté des Sciences ~ Dhar Ef Matraz Département de Physique - FES - Résumé du Cours d’Optique Physique SMP/S3 - 2011/2012 I - différents dispositifs interférentiels classiques par division du front d'ondes II ~ Oispositifs interférentiels & deux ondes par division Camplitude IIZ- Diffraction & Vinfini par deux fentes identiques IV - Diffraction & Vinfini par un réseau plan (R) Y— Applications des. interférences: Les interférométres VI - Quelques éléments sur a polarisation de la lumiére ELMoskini A.I- Différents dispositijy interférentiels classiques par division du front d’ondes: 1 Fentes (ou trous) P'Young : T@)-2a'(tteos@) 5 p=CwAs. wD Hoy-2aF(4e08 9) 5 p= OnE 5 D paSS, 2a ;DaIE et x=OM 2D _Md+8 a da 5 aslo Woy2ay'(1+c0s¢) + 9=Cr/i}6. | 8 =F satis) mR DRM ot x= OM | DAR | a Ra Koy2: (@)=2ad'(l-c08 9) 3 T@)-2a'(- cos) 3 @=Ox/S. a-Si; et x= 0M | NB. : Dans tous les cas les franges W'interférences sont rect ignes quidistantes et paralféles, alternativement | { fombres ct brillants. La frange centrale est riflante sauf dans le cas du miroir de Loyd, cette frange est sombre {| Reause de déphasage supplémentaire (x) du 4 ta réflexion sur le miroir. :I1- DISPOSITIFS INTERFERENTIELS ADEUX ONDES PAR DIVISION D'AMPLITUDE A—Lame a faces paralléles > ¥ * Parréflexion: = 2ne cos +i/2. * Par transmission : B= 2ne cosn. - ordre d’inierférence pour une incidence ix: P= S/A= (2ne costs WA 11/2, ~ Vordre d'interférence au centre (i=7=0) : Po=S0/A= (ne A412 ~ La différence : Po Pe=k= (2ne/2)(1- cosn). Ori etn. sont pelts: ensre = L215 204 Tvient que k=Po—Pi = Qnelh)(4/2n?) =e Fyn. Soit: =kuve, et j, = VE. a 4s est Yangle sous lequel on voit le ke anneau, Dans le plan focal image d'une lentille de distance focale f, Je rayon du kée* anneau est doané par: don peal inst vey @ Les franges dinterférences sont de formes circulaires, alternafivement sombrex et hrillantes. (des anmennx enneentrianes) Fig.2 : Franges d'interférences circulaires B-Lame & épaisseur variable (lame pris ‘Comme pour une lame & faces parallales : * Par réflexi B= 2ne cosn. +2. * Par transmission: 5=2ne cost. ~Par transmission Vordre dinterférence pour une incidence in: Pe=B/i= ne cosre JM. Le point I correspond V'épaisseur ¢ de ia lame. La distance: AI=x, et exax. ‘Done la différonce de marche en fonction de a et x 1 devient: Te * Par réflexion : 5=2n ax cosn +2. q * Par transmission : 8 2n a x cost. Equation des franges brillantes : 3 =k. En différentiant les deux membres on a: (2n.a. cosn)adx=A dk. Vinterfrange jest tel que: dk=1, dx =i=2/2nc cos Déou expression de I’interfrange : a 2nacosr, © Fig: Franges dinterfécences rectilignes A égale épaissear i Rq : Bn incidence normale (cosn=1) Vexpression de Vinterfrange devient : 124, 2na Les franges d’interférences sont rectilignes, équidistantes, paralliles entre elles et paralléles & Parrét A dela lame, alternativement sombres et brillantes, localisées sur Ia face =, de la lame, Ce sont des franges d’égale épaisseur.C—Dispositif de NEWTON : observation est par réflexion, ainsi comme pour ume fame A faces paralléles, en incidence normale: de-2me +02. ~Lord:e d’interférence: Pk=5/=2ne/.112, Le point I correspond a ’épaisseur J=e dela fame utile de Yair (n ~1). La distance : HT= x, et OO'= Wore, Soit: 2ew YR, Donc la différence de marche en fonction de R etx devient : + Parréflexion: 5.=x7RV2 (1). Equation des franges sombres:3,= 12402 (2). En comparant (1) et @)ona:7/R=kh, Done le rayon du k*"* anneau est : Lair x. VENRA — (kentier) Les franges d’interférences sent denc en formes circulaires (des anneanx concentriques en 0) localisées au yoisinage du point de contact O, entre fa lentille plan conyexe et la lame A faces paralléles. —— > Fig.6: Franges Winterférences citculaires appelées « Anneaux de Newton », la frange centrale est brillante. IIT - Diffraction par deux fentes identiques et paralleles distantes de d et sous incidence normale Dispositif expérimental : | “=~ Beran! 2°) On peut exprimer la répattition de 'intensité Iumincuse récultante, diffractée par une double fente dans une direction # , et en un point P(x) d’un écran (observation E, en utilisant Vexpression classique de lintensité lumineuse résultante des interférences de deux fentes trés fines et identiques donnée par : (p) = 21e(1+cosp) avec : [a= ag= constante Siles fentes ont une ceriaine largeur a, Le phénoméne de diffraction n’est plus négligeable et dans ce cas le terme Ty~ ay" n'est plus constant, il faut le remplacer par Iy tel que : _ 2m dx ane Zp tt wehsine eS) Oit Ty est Vintensité résultante difftactée par une fente de largeur a. 4 1) =2e(Lteosp), avec: P iga rotxox y lt yp) ke => xo k- €, af mer k hed) On observe sur un écran d’observation des franges d’interférences rectilignes modulées par le phénoméne de diffraction provoqué par les fentes, Figure de difjraction = b®) Les minima de fy sont tels que: In=0 => ¢ Elle observe dans le plan focal image d'us Jentille convergente Lz, plaoée aprés le plan des fetites. A la direction c. correspond Ie point Pielque: xeaf (¢. stant petit) 1La largeur du maximum principale de diffraction est donnée par: L=24ffa 5 Ft aV’intérieur du maximum principal, on observe des franges d'interférences brillantes et sombres. Les franges brillantes correspondent & cos(2nad/N}= 4 => oy= kad Les franges d'intensité maximale sont done ~~ données par: Nmae= KiNG — (keZ) Terme de diffraction rerme d'interférenves IV- DIFFRACTION PAR UN RESEAU PLAN 1°) Definition : Un téscau plan est constitué d'un ensemble de fentes identiques, paralléles et équidistantes, sépares par un intervalle opaque. Ces fentes sont les traits du réseau, la distance entre deux fentes voisines est la période (ou Je pas) du réseau que Fon notera a. Le nombre total de traits édiairés (noté N) est une autre caractéristique imporiante du réseau, La largeur totale du réseau est L telle que: L=Na. La lumiére incidente est diffractée par les différentes fentes, si le réseau fonctionne en transmission, le dispositif observation permet d'étudier la figure d'interférence de toutes les oades himineuses diffractées par les différantes fentes dans une direction 0 donnée. , 7 lke,On observe donc, d la sortie de linterféromatre et cans le plan image de la lentille Ls, des franges rectilignes équidistantes et peraliéies, alternativement sombres et brillantes, localisées sur la lame. Ce. sont des franges dégale épaisseur. Si on intercale, sur le trajet (2) de Vintertérometr figure). incidence en T sur Ja lame est normale (Vin tune lame en verre (n,€) & faces paraliéles L (voir nce i= 0) (Fig.A). A la sortie de linterféronétre, et sur un écran dobservation (E), situ & une distance p' de la lentille convergente L;, on observe le phénomane dinterférence, BD La différence de marche introduite par Le (disposée au feisceau (2)) est : 8,=(n-L)e. On observe done, & la sortie de Vinter férometre et dans le plen focal image de fa lentille Li, des franges circulaires, alternativement sombres et brillantes. Ce sont des franges d'égale inclinalson. Le rayon du k’** anneau est donné par : cunt ent Vie [2% € VI: Quelques éléments sur ta polarisation de la lumiére Introduction: Rappelons que la lumiére est une onde électromagnetique (E, B) composée d’un champ électrique: E()=Ep cos (as) et d’un champ magnétique : B(Q=Bp cos (ax) et dontle comportement, dans le domaine de | la polarisation optique, put tre représenté simplement par Ie vecteur ey champ électrique E() seulement. Plan dtonde (pp ) ‘La plupart des sources usuelles émettent une tumidre dont la polarisation n'est pas stationnaire, on parle alors Pune lumiére naturelle ou lumitre non polarisée, Cependant, on suit transformer (polariser) la lumiére naturelle de telle sorte que son état de polarisation soit parfaitament défini dans temps. I - Les différents états de polarisation ; 1° Polarisation rectiligne : Lord dune vibration, Pextrémité du champ électrique F(0) en un point donné de Pespace décrit un segment de droite 2° Polarisation circuiaire : Lord (’une vibration, Pextrémité du champ électrique £(9 en un point donné de espace décrit un cere3°. Polarisation elliptiqu Lord d'une vibration, Pextrémité da champ électrique BYQ en run point donne de Pespace déerit une ellipse Jt Polariseurs (par transmission) Définition : Un polariseur par tcunsmission P est systéme optique qui permet de sélectionner dans la Jumidre naturelle incidente, une lumiére polarisée rectitignement. Il est caract privilégiée (A) qui déGinit son axe optique. A(A) axe du poloriseur Lumidre non polarisse —-PolarizeerP (4) Lumiere pofarisée A®- Polarisation rectiligne : Si le vecteur champ électrique F(t) de l'onde incidente garde le méme azimut (méme direction), + la lumiére est dite polarisée dans un plan (p) + ou polarisée linéairement + ou polarisée rectilignement. Loi de Matus ; Exe,cose nen polarisée Polariseur(a) Anaiyseur (a3) Lumiere incicente polarize on Analyseur Imensité Te ~o/ Enonc: ‘Si la direction de Vanalyseur fait un angle Oavee la lumibre polarisée incidente, Vintensité transmise par Vanalyseur est égale i: a Intent teanemise 1 B°- Lames biréfringentes : Polarisation elliptique ou circulaire Pour produire de la lumiére polarisée elfiptiquement ou circulairement, on utilise des James biréfringentes, 16a°-Définition: Une lame biréfringente est une lame 4 faces paralléles taillée dans un milieu n'aysnt pas les ‘m@mes propristés optiques selon toutes les directions. Etle est caractérisée par deux axes orthogonamx (Ox, Oy) paralléles aux faces de ln lame. La direction de I’onde incidente E(®) =Evcos ar, polasisée rectilignement par um polariseur P, faisant un .ese selon les axes de fa lame comme suit: i= Ee cas(ot) cos(a) Py= Es cos(of) sin(r) b°-Traversé d'une lame cristalline par une vibration lumineuse polatisée rectilignement Lallame étant placée entre deux polariscuts (P et A). La vibration incidente sur la lame faisant un angle 0. asec axe Ox de Ia lame, Tame cristalline Pour une vibration incifente de pulsation @, les composantes, a Pentrée de fa lame, suivant les axes de celle-ci, sont done = Px=Fo costot) costa) Py= Es cos(ot) sin(a) Ala sortie dela lame, cos composantes, transmises suivant des vitesses di(Truntes, se trouvent déphas’s one par rapport a laut: P’= Bxcos(at) cos(c) P%= Fe coxtot- 9) sina) Qn Ce déphasage est: 9 = at —7, )é, laquantité : ny-ny est la biréfringence de Ia lame et e son Spaisseur. C2 - Lrexpression de Pintensité Inmineuse résultante transmise par une teme cristalline, placée entre deux polariseurs croisés (P & A) Cette figure montre que les vibrations émergentes sont ‘encore paralléles & Ia direction de (A), mais déphasées l'une par rapport a Pautre. Ces composantes s’éerivent: A.=P%sin(a) = - Ea cos(a) cos(at) sina) Ay >HP’y cos(a) =+ Fa sin(a) coa(at- ) cost) D’oii la vibration résultante : A= Act Ay= Escos(a) sin(a)l -costat}+castot-p) ¥scos(a) sin(a)[ -2sin(wt-g/2)) sin(p/2) =~ Eosin(2a) sin(/2) sin(ot-/2) = Ug-/Al Done \'intensité résultante est: L(g) = lb sin*2a) sin"(q/2) ; Avec: p=(x/i)inen,Je =2n8/2d© Lignes neutrey @une lame biréfringente : Les lignes nestres d'une lame biréfringente sont les seules directions suivant lesquelles une vibration rectiligne puisse traverser cette lame sans modification, cest-& - dire ea restant polarisée rectitignement. Remargue : Sila lame est placée entre deex polarisenrs ero lignes neutres. , aneune Lumiere a’ est transmise selon ces e& Cus d'une Lame quart donde ‘Ax cours de la manipulation (de TP), on utilise une lame biréfringente particuliére (lame quart d’onde), qui recoit une vibration rectiligme E(t), La lame décompose cette vibration en deux composantes x ety, dont le déphasaze esi a2. Si la lumiére utilisée a une longuenr d'onde A, le déphasage stécrit : 62." 8/= a2; Dio: 3 = 24. & est la diffrence de marche entre les deux composantes x et y de E(Q), et vaut we quart d’nne lenguenr onde (9). Demme, une lane densi-onde crée un déphasage : =m, et une différence de marche : 8 = 2/2. @&- Polarisation elliptique Une onde est polatisse eMiptiquement, si V extrémité de son vecteur champ électrique (9 décrit, au cours cis temps, une ellipse dans le plan Ponde (p). Lorigine da veeteur H(t) ext am eentze de Vellipse. Ox et Oy sont les axes de !’ellipse dans le plan d’oade, les composantes: du champ électrique E solonx ety s'écrivent: x= acas(at) y= b sin(at) act étant positifs, Si on élimine t erie x et y on obtient I’éqnation ume ollips: Les demi longueurs des axes de Pellipse sont a et b B°- Cas particitier : Polarisation cireulaire: Vestrémité du vecieur champ électrique F(t) décrit, au cours da temps, un cercle dans fe plan donde (p) (a= b). L’origine du vecteur EQ) es! au centre du cercle. Il s'agit done d'une vibration polarisée cirestairement, =a cos(ot) y=asin(ot) En élisinant t entre x et y on oblient P équation dun cercle Si on utilise une lame biréitingente quart d’onde, ef on a, en plus, Pangle a =x/4, (angle que fait la vibration incidente avee Paxe Ox de Ja lame) les amplitudes des deux composantes x et y sont égale (eb) et la polatisaiion devienne circulaice.x0 af b°) Les minima de Fy sont tels que: Ty =0 => GP win = meek (kez) On observe sur un éctan d’observation des franges d’interférences rectilignes modulées par le phénoméne de diffraction provoqué par les fentes, Figure de diffraction : Elle sfobserve dans le plan focal image d'u: lemtille convergente Lo, placée aprés le plan des fentes. A la direction « correspond Ie point Piclque: xeaf (c. étant petit) La largeur du maximum principale de diffraction est donnée par: L=24fa EL a Pintérieur du maximom principal, on observe des franges d'interférences brillantes ct sombres. Les franges brillantes correspondent 4: ecos(2nad/Aj= 2 —> a= KAA « Les franges d'inteasité maximale sont donc ~~ données par: Numae=kENd — (keZ) Terme de diffraction rerme dinterférences TV- DIFFRACTION PAR UN RESEAU PLAN 1) Définition : Un véscau plan est constitué d'un ensemble de fentes identiques, paralldles et équidistantes, séparées par un intervalie opaque. Ces fentes sont les traits dus réseau, la distance entre deux fentes voisines est la période (ou Je pas) du réseau que Ion notera a. Le nombre total de traits Gdlairés (noté-N) est une autre caractéristique imporiante du réseau. La largeur totale du réseau est L telle que: L=Na La lumiére incidente est diffractée par les différentes fentes, si le réseau fonctionne en transmission, le dispositif dobservation permet d’émdicr la figure d'interférence de toutes les ondes himineuses diffractées par ies différantes fentes dans ume direction 0 donnée. Wig. 1 : Unréscau plan de N éléments, de pas a, et de lnrgeur totale L. es | | Fig.2: Cato géométrique de 6 entre (1) et @). La difference de | wile 2 | jantehe entre denx éléments conséculifs | at oo HAS est: 5=PH- Wl asinO-asindy= a(sin0- si | be — smash 2 ind snl)Onnote a Ia période du réseau, N le nombre de traits, 4 : fa longueur donde d’éclairage. Le retard optique catre eax éléments consécutifs (1) et @) sera donc sin@ ~ a siny =a (sin0- sin) =m, Cette condition rend compte que @ sind si La condition dinterférences constructives écrit wx éléments conséeutifs (I) et @), vaut : 2x8/2. (ou bien, mA, avec: me Z, Vordre d'interférence. Je déphasage entre les amplitudes complexes issues des de fagon équivalente, que la différence de marche vaut 0, Je retard optique entre deus éléments consécutifs ‘Remarque : En incidence normale sur (R) : sino’ 1 ? seradonc: S=asinO=mk avec: a => :(Nenm'), 29) Montage de diffraction & Pinfint par transmission dun réseau plan(R) In @®) Ta Fig.3: Schémade montage de diffraction @un réseau (R) par transmission. (R): réseau plan 39) Liexpression de Vintensité résultante, diffractée par un réseau platt (R) Chacune des Nfentes de largeur e, qui sont équidistantes de @ : pas du réseas. La largeur totale dtu réseau étant L. L'intensité résultante en un point P de V'écran &, diffractée par le réseau plan (R) est de la forme : _ sin? 2 Avec : ASIA. 5 8 =11 sin® wa =ax/E I(x) = Iysine? (®)—_2— et: @=2ndelA=Qaxelat in? (2 8: direction de diffraction Les maximums dintensité sont donnés par: sin(g/2)=9 => =2mn=205% avec: S=asind => d=asind=mi (meZ). Si 0 est petit: tg0 6=asin0~a0=axlf =m) => Xem Mia I m=4@=0) - — } Fi.4i Cette figure montre les —— m=3 0-05) | différents ordres de diffraction : (05415 1 m=2 (0=0;) ! 3= i a : > —-m=t{8—0)> { Vordre principal qui comespond au | ——————> I + m=20=0.,) {maximum princival est tel aue ™ 4 M=SO=0.0 m=40=6.)8 4°) Figure de diffraction d'un réseau plan cle pas a ef de largeur {, dans le plan focal d'un objectif (L,) de focal f. 5°) Dispersion angulaire : Considérons dettx ondes planes de longueurs d’ondes voisines A et 2d, qui tombent stir leréseau en faisant ie méme angled incidence Ox L’écart 44, entre les angles que font les ondes diffractées, est obtente & partir de la relation : a sind =a, : En effet, en diffrentian:, on trouve :@ cosO d0= m i, et la dispersion angulaire Ds est donnée pat’ D.=dldd= mla cos0. On constate que plus Vordre m est grand et lepas a est petit plus le réseau est Ciopersif V- Applications : Les interférométres L'interférométre de Michelson Definition : \In intertSrométre de, Michelson est constitué dune séparctrice 5,, inelinge de-AB° par ropport ux deux miroirs plans My ef Me (voir figure), et d'une fame. compensatrice C, paraliéle & Sp (de méme indica et cde méme épaisseur que la séparatrice $7), éclairé par une source étendue S, de limiére paralléles et monochnomatique. . ¢ 1°~ Réglage en contact optique : 5-0, pour ce réglage i @ fo faut que: * A. My et & laméme distance de la séparatrice Sp. * Spet C ont méme inclinaison : 45°, et par conséquent Mt image de My par la séperatrice Sp, csincide avec Mo, Ainsi | que Miz image de Mz par la séporatrice Sp, edincicle avec My. “ *Ladifférence de marche & étant nulle, pas dinterférence.2° Réglage en lame d'air & faces parallétes: Linterférométre est réglé préalablement en contact optique (50). Me étant fixe, on translate le miroir Mt parallélement & son plan dune distance d, de maniére & * former une lame dir & faces paralitles cépaisseur 4, entre Mz et M's 3 image de Mi par Sp. Ladifférence de marche introduite par cette lame est: § =2d. On observe a la sortie ce linterférométre et dans le plan focal image de 1a lentille Lz, des franges clrculaires (des anneotn’). Ce sont des franges d'égale inclinaison 3°~ Réglage en lame d'air & épaisseur variable: Linterférométve est réglé dabord, en contact optique (6 0). M étant fixe, on fait tourner le miroir My d'un angle oc petit par rapport & sa position initiale, de mariére & former un coin dair (une lame d épaisseur variable} centre Mz et Mi: image de My par Sp, La différence de marche introduite por cette lame est :8 =2e =2ax. , Willi, Me (On observe & la sortie de linterférometre et dans le plan image de Ia lentille Ls. des Franges rectilignes équidistantes et poralléles, alternativement sombres et brillantes localisées sur la lame. Ce sont des franges cFégale époisseur. 8 ~ Linterférométre de Mach-Zehnder Linterférométre de Mactt-Zinder est réglé préalablement en contact optique (le retard optique 8, entre les ceux trajets (1) et (2) étart nul, les deux tnircirs plans M; et Ate sont paraliéles ainsi que les deux séparatrices 61 et 62). Linterféroméire est éclairé par im faisceau de lumire parall2le et monockromatique de longueur Conde >. Si on intereale, sur le trajet (2) de linterférometre, un récipient rempli dun liquide dindice N, en forme de Frisme (Pr) darrét A, ot dangle petit « (vair figure). incidence sur le récipient (Pr) en T (qui correspond a la distance AT =x et & Fépaisseur © ) est noxmale sur celui-ci en X (fincidence i= 0) (Fig.3). Sur Taste trajet(l) on intereale un autre récipient identique au premier mais vide, Les parois des récipients sont négligeables devant le volume du liquide, a étant petit, et les deux récipients sont disposés dans le systéme dela méme maniére. A la sortie de linterférométre, et sur vn écran observation (E), situé & une distance p' de la lentille convergente L:, on observe le phénomine dtinterférence. Ab M @