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Soins d’hygiene
Prevention d’escarres
Preparation du pation pour une intervention
La surveillance est fondamental e il doit noter tous les element sur la feuille de reanimation
L’aspet du m alade le pouls tension temperature etat des drains
Le service de réanimation est le lieu où l’on prend en charge les malades les plus gravement
atteints, ceux dont le pronostic vital est en jeu parce qu’il y a défaillance d’un ou plusieurs
organes.
Les malades peuvent ainsi être victimes d’un état de choc, d’hémorragies, d’un choc
anaphylactique, d’une intoxication, de brûlures étendues, d’infections sévères, de suites
chirurgicales lourdes… ou être dans le coma.
Dès lors, se met en marche une machine très lourde, de haute technicité. Il s’agit tout à la fois
de faire le diagnostic de la ou des maladies en cause, de maintenir les fonctions vitales,
d’assurer le confort du malade, d’éviter les complications (infections
"Il y avait des tuyaux partout, du bruit, de la lumière", se souvient Sandrine. Cette technicité
se matérialise par des sondes respiratoires, des respirateurs, des perfusions, des cathéters, des
dialyses, des sondes gastriques, etc, dont la surveillance est assurée par des écrans appelés
"moniteurs", munis d’alarmes sonores ou visuelles.
Parallèlement, le confort du malade doit être assuré, car les soins peuvent être douloureux ou
angoissants. Il bénéficie d’une sédation qui provoque un sommeil profond, équivalent à celui
de l’anesthésie, réversible, et que l’on peut maintenir aussi longtemps que nécessaire.
"Ce qui fait la spécificité d’un service de réanimation, explique le Pr Bertrand Guidet,
responsable du pôle de réanimation à l’hôpital Saint-Antoine à Paris, et président de la Société
de réanimation en langue française (SRLF) (www.srlf.org), c’est qu’il fonctionne 24 heures
sur 24 avec un personnel exclusivement dédié à cette activité. Ce service nécessite une équipe
soudée ; plus qu’important, c’est vital."
Les malades peuvent ainsi être victimes d’un état de choc, d’hémorragies, d’un choc
anaphylactique, d’une intoxication, de brûlures étendues, d’infections sévères, de suites
chirurgicales lourdes… ou être dans le coma.
Dès lors, se met en marche une machine très lourde, de haute technicité. Il s’agit tout à la fois
de faire le diagnostic de la ou des maladies en cause, de maintenir les fonctions vitales,
d’assurer le confort du malade, d’éviter les complications (infections nosocomiales…).
"Il y avait des tuyaux partout, du bruit, de la lumière", se souvient Sandrine. Cette technicité
se matérialise par des sondes respiratoires, des respirateurs, des perfusions, des cathéters, des
dialyses, des sondes gastriques, etc, dont la surveillance est assurée par des écrans appelés
"moniteurs", munis d’alarmes sonores ou visuelles.
Parallèlement, le confort du malade doit être assuré, car les soins peuvent être douloureux ou
angoissants. Il bénéficie d’une sédation qui provoque un sommeil profond, équivalent à celui
de l’anesthésie, réversible, et que l’on peut maintenir aussi longtemps que nécessaire.
"Ce qui fait la spécificité d’un service de réanimation, explique le Pr Bertrand Guidet,
responsable du pôle de réanimation à l’hôpital Saint-Antoine à Paris, et président de la Société
de réanimation en langue française (SRLF) (www.srlf.org), c’est qu’il fonctionne 24 heures
sur 24 avec un personnel exclusivement dédié à cette activité. Ce service nécessite une équipe
soudée ; plus qu’important, c’est vital."
Quand le malade arrive en réanimation, la plupart du temps on ne sait rien de son histoire : "Il
faut prendre le temps de recevoir la famille ou son représentant pour l’écouter, de préférence
assis dans un bureau et pas dans la salle d’attente ou entre deux portes."
Sur le fond, il faut pouvoir parler aux plus proches en toute transparence, surtout si l’on doit
prendre des décisions lourdes pour le patient. En fonction de son histoire médicale, de son
âge, de son projet de vie, il faut savoir jusqu’où il est raisonnable de continuer les traitements.
Ensuite, pour faciliter son intégration, une information claire sur le fonctionnement du
service, le nom et le rôle des soignants sera complétée par la remise d’un livret d’accueil
"Spécial réa". La présence des proches peut être organisée au chevet du malade, parfois même
24 heures sur 24, car celui-ci n’est pas toujours inconscient et peut communiquer.
Les services de réanimation réfléchissent de plus en plus à cette information des patients et
des familles. Comme l’hôpital de Dreux, qui tient un carnet de bord où proches et soignants
racontent les événements du séjour.
Le malade est content de savoir ce qui s’est passé lors de son hospitalisation et de combler le
trou noir, dit le "trou-réa", de sa mémoire.