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Amplificateur PR tw Tile écoute au casque > Mosaique Oey rm Cs aE TH ae @ Infos/Nouveautés Initiation Internet pratique Savoir compter en binaire Réalisez vous-méme Micro/Robot/Domotique Riceaue 4 écrans pour vidéo-surveillance Veilleuse multicolore Régulateurs de température : refroidisse- _ ment ou chauffage Chenillard musical 40 Interface GPIB/USB Audio Et si on parlait tubes (cours n°28) Amplificateur pour 6coute au casque Fendatew :Jesn Pee VENTLLARD - TRANSOCEANIG SAS a captal de 574600 € 8 bulova No, T2018 Pars Tl 1 4 65 0 60- Fax 0144 656090, bret: pti elcronaueraqve con - Président: Pet VERCHER - Drecteur dela publeaton:Pabick VERCHER -Rédacter en cht: arard DAL ‘Secreta de redaction: Ese SEPLLVEDA - Couverture: OorniqueDUMAS- Mutations: Alan BOUTEVELLE SANDERS Photo: sabes GAFIGOU - Ave a parton de FE. Bat, Cadhot, Gaba. R Ker, Lebrun, P Mein -L Vandoren, 0. Vara Li Pitcton Becroncue rate cine fut esponsabitéquat axons fares desis ares, cal gage! qe us eeu DIFFUSION/VENTES AL CONSEIL PRESSE Tl 01 6468160 -PUBLICIE A rv, oa pubepa@toeanacom SSN. c243 4011-N" GCommlason pare: 0509 1 £5322 -Ditbution : MLP -Impeimé en France/Prnted in France Imprimerie ACTIS MAULDE & RENOU 02420 GAUGHY - DEPOT LEGAL : NOVEMBRE 2008 - Copyright © 2008 - TRANSOCEANIC 124 que a Mare - 75164 Pars Cade 19TH 01 464 8 1-Fax:01 4200 £69, rear sur erloppe » Saves Azores Aen 5 stesso i tires nate cert ore ira fue Sooners baer eee eran os haan yB rnements USA - Cenade : Contac Express Mag "IARI AU NUMERO : Fran Matrooltaine _Bebique 580 € Ena 50 € + Grice 5.6 + LE PRocHAI wuMénOD'€LCTROMUEPRATQUE SERA EN KIOSQUE Le 2 DECEMBRE 2006 Une sélection d’ouvrages DUNOD/ETSF Les antennes @ développement des antonnes stant opéré, au du temps, dans le domaine dal technologie, Roger Charlee Hourd a actualisé son ourage t as atennes dont la & edition du tome 1 = Fondamertaux » vent de paraive aux éditions Dunod. Totalement refondue, cette édition est a jour des progrés ms eal cétiterrt mato de TN technique OFDM, tléphonia mobi, ruméretion des services do recndifison et de reciocomrmunications ratique et pedago- siqve, Pouvrage propose une description technique precise des antonnes de Stscfiston ot dovecleifslon aps un bret expose dee prncipespysiues de base (atuie dele propepation deo ondes EM, ancves du cipble raya Inprésente notamment les notions fondamentle et envronnement fectmigue, es antennes co television etfs antennes pour transmissions en andes courts. Une référence pout ls raoaraters, les technicians et los ingeneure specialises. Roger-Charles Houzé, Les antennes, tome 1 « Fondamentaux », Editions Dunod, coll. EEA, Série Technologie électronique, 3 édition, 2006. 366 pages Tout pour construire soi-méme sa lunette astronomique ui n’a pas révé, en contemplant la sphére céleste, de plonger son constauvisez | Q regard vers 'infiniment grand ? VOVRE LUNEVYE — vetsuesheures ce racage, de decoupage et d'assemblage dans votre tial, vous pourez donner fare & vrs ve en ua pes pas Fou ASTROROMIAVE | race -e Micrel Dumont Constuise votre luneteasronomque et obsor- Ty OBSERVER LE €IFh... | Yez/6iel.. Nonégigeant 8 aucun moment ies appotstnéoriques néces- sales Al fabrication, auteur nous guide par une ogique progressive et étichirrent le constuction application représentée en figure 2 est une division de fréquence. Reprenions l'exemple du paragraphe « Transformer une notation décimale fen notation binaire » appliqué au nombre 817. En observant le tableau utilisé pour la conversion et en atfec- tant les colonnes aux sorties Q1 a @12 du compteur, on note que pour la position particuliere correspondant ‘au nombre décimal 817 (1100110001, fen notation binaire), toutes les cathodes des cing diodes sont simul- tanément en relation avec un état ‘haut ». Ilen résulte un état « haut » sur le point commun des anodes. La bbascule monostable formée par les deux portes NOR est alors active. I fen découle deux conséquences : = Papparition d'un bref état « haut » sur la sortie de la bascule (sept mili secondes dans l'exemple traité) «la remise & zéro du compteur En défintive, on recueile ainsi un état « haut » toutes les 817 impulsions élementaires de comptage. II s'agit done bien d'une division par 817 de | la frequence présentée a Ventrée du compteur {aide de diodes placées en regard des sorties appropriées, ce compteur peut ainsi diviser la fréquence des signaux d'entrée par ‘imports quel nombre compris entre 2 et 2%, soit 4096. Comment obtenir des tempo- risations importantes Dans certaines applications, il peut atre nécessaire de disposer de durées importantes de temporisation. Le recours au seul dispositf tradition nel du type bascule ou oscillateur ont la durée est basée sur la charge ou la décharge d'une capacité dans tune résistance ne résout générale- ‘ment pas le probléme. Il est alors per- tinent de mettre en ceuvre un oscilla fe TO eww. oloctroniquepratique.cex tour générant un nombre trés impor- tant de périodes que l'on peut | décompter pour aboutir & une addi- tion de durées élémentaires et pro- dire ainsi une durée de temporisa- tion sutfisamment grande. Le circuit intégré CD 4060 comporte un oscillatour intégré suivi d'une suite de quatorze bascules bistables mon- | tees en cascade. La figure 3 iluste une maniére simple permettant d'aboutir & une temporisation longue ‘durée, Tant que entrée Reset resto soumise & un état « haut » par linter- médiaie de la résistance de 10 KO, le | compteur est bloqué et toutes ses sortios présentont un état « bas ». En revanche, ds que l'on ferme Iin- terrupteur | le compteur de la tempo- ‘isation prend son départ. Surla roche n® 9, on reléve alors des créneaux de forme carrée caractér- | 865 par une période définie par la relation :T = 2,2 RC. | Pour qu’un état « haut » apparaisse sur la sortie Q14, les sorties du ompteur occuperont une contigure- tion binaire telle que les sorties Qt & 13 sont & état « bas » Le lecteur établira sans peine que le nombre nécessaire de périodes élé- mentaires correspond a la notation binaire 1 suivi de treze z6r0s, soit 2°, soit 8192 en notation décimale. La bascule monostable délvre alors une breve impulsion positive matériaisant | afin dela temporisation. Sila valeur de la résistance R est de 470 kO, celle de la capacité C de 2.2 UF la durée totale de la tempori- sation obtenue est de 2,2 x 47 x 10*x 2,2 x 10% x 8192 18635 secondes soit 5 h 10 min et 35 s. Le systeme BCD lexiste des compteurs binaires com- Portant quatre bascules bistables montées en cascade et munis de quatre sorties Q1 a Q4, mais dont la valeur maximale est volontairement limitée & 9 (1001 en notation binaire). Une fois cette valeur atteinte, le compteur revient sur la position z6r0 pour démarrer un nouveau cycle de comptage. Un tel systéme, assez hhybride & vrai dire, porte le nom de BCD, Binary Coded Decimal, ce qui peut se traduire par « Systéme déci ‘mal codé binaire » Le tableau 5 reprend le fonctionne- ‘ment du compteur BCD. Un tel compteur est utilisé dans les, ‘cas ol le systéme de comptage doit rester décimal. C’est, par exemple, le cas lorsque 'on a recours & un affi- cchage sept segments, La figure 4 fait état d'un tel montage en utilisant un circuit intégré CD 4518 comportant deux compteurs BCD dont les sorties sont reliées aux entrées de deux décodeurs BCD > 7 segments et qui sont des CD 4511. sw ey aye Lyte: chee [EE temporisateur «tongue durée » ym ELECTRONGUE PRATIQUE ] =e er) ||| 19. | Affichage Topo poporo | Fe peter erate | segments i popotrpot | DTT TIT11a + poporiyiys | spor pepo a] v a fotryfotiy 3) Jf]... 7 JJ df fo sport pet ey | | afer tore eww eee see apo to poe cous I cov peers : Tableau 5 ih cE 7" ae) a Ty I Epilogue | Dénombrer des objets, les quantifier, | |S) el melee mesurer, autant de problémes aux- - Sa a | quels I'homme a été confronté ds ae | les premiers temps de "humane, | Ses nets ont oh Os one | etait min a été parcouru entre le boulier et ale la calculatrice scientifique. Des nota- a Sa tions antiques telles que les chiffres _ ciens par exemple. Il est en effet pos- | D'ailleurs, en vous inspirant des prin- romains se prétaient fort mal aux cal- sible d'imaginer un comptage dans cipes développés au début de cet culs et le recours aux chiffres arabes _n’importe quelle base. L'adoption de article, il peut étre tout & fait amusant constitu un progrés marquant, | la base 2 est simplement le résultat | de créer par exemple un systéme de ‘Mais il existait dans le passé d'autres d'une nécessité Imposée par les lols | comptage de base 3. bases comme la base 12 des phéni- | physiques de électronique. R. KNOERR WW ICIBS =| I Distribution Retour sur Paris 12°! OUVERTURE AU PUBLIC D’UN NOUVEAU MAGASIN FIN NOVEMBRE 2006 Composants électroniques Appareils de mesure Connectiques... Une visite s‘impose VENEZ NOMBREUX ! Lundi au Vendredi : 9h00 - 18h00 1.C. DISTRIBUTION etcetera 3, rue Mousset-Robert 75012 Paris aot Tél. :01 41 72.08.50 Métro : Bel Air ou Picpus www. PCB-POOL. com fou toute formation: ncocbotam Avec l’avénement de la TNT, de nouveaux équipe- ments audiovisuels sont amenés a compléter une panoplie d’appareils aux multiples branchements. L’évolution du matériel ou son renouvellement sera progressif pour chacun et ce répartiteur péritélévi sion permettra de raccor- der la sortie d’un adapta- teur TNT ordinaire vers divers appareils péritélévi- sion : magnétoscope, gra- veur de DVD, transmetteur sans fil, ordinateur, etc. © répartiteur_péritélevi- mM sion est équipé, d'une Part, de deux embases péritel prévues pour maintenir la liaison téléviseur/adapta- tour TNT et, d'autre part, de deux séries de trois embases RCA corres- pondant & deux sorties audio/vidéo supplémentaires destinées, par exemple, au raccordement avec un ou deux enregistreurs (magnétosco- pe ou graveur de DVD) ou avec un ‘transmetteur de image et du son our une liaison sans fil de la piéce principale vers des pidces équipées d'un télévisour secondaire, Le schéma de ce répartiteur péritélé- vision (figure 1) repose sur un circuit spécialisé dans le transfert de signaux vidéo, le TEAS114, circuit vidéo populaire de STMicroelectro- nics, d’origine SGS-Thomson. Ce circuit intégré de 16 broches, dont "application typique est la commuta- tion des signaux vidéo RVB, contient trois amplifcateurs vidéo de 6 dB ot lune porte OU logique. La figure 2 présente le brochage et la structure de ce composant. La réparttion des signaux audio est confige & un double amplificateur opérationnel, associé A des étages tampons & tran- sistors. Une alimentation secteur compacte complete le montage. Le signal vidéo composite issu de adaptateur TNT est appliqué a la résistance Ré de 75 Q, laquelle réall- ‘se adaptation dimpédance. amplitude du signal vidéo composi- te est ainsi divisée par deux et sa valeur typique est alors de 1 Voc. Ce signal parvient au travers des condensateurs C1, 02 et C8 d'isole- ment des composantes. continues, aux entrées des trois ampliicateurs Vidéo du TEAS114 dont Iimpédance drentrée est trés supérieure aux 75 2 de Ré, ce qui permet leur mise en paralldle, impédance Interne de sortie des amplificateurs vidéo du TEAS114 est denviron 10 Q, valeur ramenée a environ 75 © grace aux résistances séries Rt, R2 et R3. Trois sources vidéo sont ainsi dispo- niles. Lune permet de maintenir la liaison péritel avec le téléviseur et les deux autres seront dirigées vers des r ES z Fr) } 3 6 a péritélévision reposant sur le TEAS114 | F ra ft jwoma mov M4001 autoa — ‘Tevcew Gu Sori P Rao Rtonoxa ST sons emer area Ty ra 1 ania 3 ; co ae 0 7210 9 co re A700 474, 2 a cr re or Our ‘otagnatzecone ou ‘gaveu DVD) 8 TO. nw olectroniquepratique.com ELEGTRONQUE PRATIQUE Domotique appari auxliires raccordés aux | embases RCA, Ces signaux vidso eames set os ais signaux audio stéréophoniques, dé vrés par l'adaptateur TNT sur les | broches 2 et 6 de embase pri Kt | Les signaux audio | Deux amplfcateurs. opérationnets, | contenus dans un classique LM358, | amplfent de maniére identique les | signaux aucio de gauche et de droite, | lesquels sont ensuite réparts vers les eo | tampons a transistors. Normalemert, ae ona audlo plus fables. Gate di- persion de niveau peut étre génante_ 11 tea coset satan a est a unauve. En Santis cavalrs S01 | et Sw, Tampitcation en tension | sor lors pis ios | | Latigure 8 rappel calcul du gain | tun amplitcateur opéretione! iiss || Sater We ola dieagutian da est || tances. | | L’alimentation du LM358 n’étant pas |} smaecue, seo psnta tt nue doit étre ajoutée au signal audio. Geet le role dt pont de réistances | | Ferme, lequel polarise a § V Ventre | peceinateoutie sialigtattednss | Gpsratonels en aisant par dau a | tension taimentation. Grace 8 la prbecace diedinssenninst Ti | ment C5 et C6 en série avec les résis- tances centre RE et F, seule les verietons des sgnaix audio seront | amples En sortie des amplificateurs opéra- il nest pas nécessaire de corriger amplitude des signaux audio. Une faible amplification en tension est donc établie par défaut avec la pré- ‘sence sur la carte des cavaliers SW1 | ‘et SW2. La résistance de contre réac- tion, dont dépend le gain des ampiii- | ccateurs, résuite de la mise en parallé- | le de deux résistances RS avec R10 ‘et R11 avec R12, La valeur résultante ‘est ainsi plus faible et le gain en ten- sion de ces amplificateurs audio sera | minimal avec la présence des cava- liers SW1 et Swe. Cependant, certains appareils peu- ine TO www ctectroniquepratique.com ELECTRONIQUE PRATIOUE Domotique tionnels, un étage tampon a transis- tor monté en collecteur commun isole chaque sortie audio. Ainsi, la stabilté du niveau audio est garantie a I'en- trée de chaque appareil raccordé au répartiteur et un éventuel court-circuit sur l'une des sorties n’aura aucune conséquence pour les autres. Un transistor utilisé en collecteur com- mun permet d'obtenir un gain en courant important et un gain en ten- | | sion unitaire, d’ou sa fonction de sul- | | veur de tension, La figure 4 présente les trois mon- tages fondamentaux d'un transistor bipolaire. Valimentation Comielealon wedges soranes gu TEASTI4 une aleart| | Conmasinale ge 10¥ ant noosne_| | Cae at club ave in ogc deterion oC, un TIO on ote Toe20 La fond otha at sas || Siryecttienta ose owas || rent soon Att ale ROR SSE coca || reteset Di ot O2 amr in Peres nanaceraca Ca mead oc wert let pate convertor Cr Teen eee tances parle conderate 8 | Réalisation | | Le coftret | | Les dimensions du circuit imprimé correspondent au format d'une cas- sette vidéo. Vous pourrez ainsi éco- omiquement placer le montage & Vintérieur d'un boitier de cassette vidéo. Le circuit imprimé ‘Afin quo le montage prenne place dans un coftret de cassette, la carte est équipée d'un transformateur z extra-platsurmoulé, Le madele utilisé our la maquette présentée, est de Schatiner 3 VA (TES1063} Les embases péritel sont normale- marque Myra de la série 45000, La taille assez importante des pistes | ment normalisées. Par contr, il exis~ d'origine Selectronic. et des pastilles permet d'envisager | te différents modales d’embases Des modéles Schatiner pourraient une fabrication artisanale du circuit | RCA. Le mod@le retenu est au cata- également convenir. imprimé. Une zone délicate est néan- | logue Selectronic sous la référence Letracé des pistes proposé est prévu moins a verifier soigneusement. | 60.9205. Pour d'autres modéles, Pour recevoir indifféremment un | II s‘agit du passage des pistes entre | vous serez amené & modifier le typon modéle Myra 6 VA (45027) ou | les pastilles du LM3S8. proposé en figure 5, in 310 eww electroniqueprntique.com ELEGTRONIQUE PRATIOUS Domotique ee" | Nomenclature Pee baa nmecisracue Résistances, scoooeiecarmin ——oucnecatosteacin oe) RY, R2, RO: 680 (eu, i, no) 4’ 75.0 (volt, vert, no) 5, RB : 4,7 kQ Gaune, volt, rouge) 7-4 RIB : 10 kO (marron, not, orange) 1g a R24 : 2.2 kA (rouge, rouge, rouge) R25 & RAO : 860 0 (ver, bleu, marron) R31, R247 kA aune, violet, orange) Condensateurs G1, 62, C3, C4, C10: 100 nF | | ff 05.c6, cri acre: 470m 7: 220 pF/25 V (C8: 220 nF 69:10 p25 v Semiconductors fer || [EE mee, F || Diiste- ose, acser Gs Teastia Ste: Lesa i: rguatur 10,7010 Divers Ki, K2 : embase péritel 3: borer deux plots | Bf <4: suppor al tus 5 x 20 KS a K10 : embase ROA 1 : fusible 100 mA retardé ‘TRI :transformateur extra-plat Myra 230 V2 x 12-6 VA (et Selactronic 60.9228) 4 TeLeMsEUR AM) implantation des composants La réalisation d'ensemble ne pose pas de probléme particulier. Vous débuterez |'implantation des composants de la figure 6 par les straps. Une réalisation soignée de ces straps sera obtenue avec du fil de cuive argenté ou avec du fil de laiton, préa- lablement étiré & l'aide de deux pinces plates avant leur mise en. forme. Aprés avoir soudé l'ensemble de ces straps, vous poursuivrez la realisation avec implantation des résistances, aera Entrée vidéo composite ou luminance is des diodes et circuits intégrés, Sotelo conte sure ena ie don Se = ems oscromsnes Ente comsater mate || ous teminere par os composanis Masse composnt vidéo rouge Eh abeperap ad ese a les plus épais: connectours, embases, anon wececmess || Vartomaa Masso composarte vio von Enelsorie compasante teu Masse composes vio bleu Sati audo woo gauche Sart audio woe crt Entre commute re Entee ado mice | | Mise en service et tests Cette opération vous permettra & la fois de valder le bon fonctionnement | | général de votre réalsation, mais | | aussi le bon état ou le bon cablage de _____| | vos cordons. Si vous ates amené & ine IO www. siectroniquepratique.com ELECTRONQUE PRATIQUE Domotique réaliser vos propres cordons, vous | 30 et 60 cm de longueur, raccordez | doivent & nouveau étre présents de ourrez vous reporter ala descr Vadaptateur TNT ou autre source | maniére identique. de la prise péritel de la figure 7 éga- | vidéo principale a lentrée péritel du | Effectuez le méme essai avec l'autre lement appelée prise SCART | répartiteur et branchez la sortie 1 | sortie RCA (Syndicat des constructeurs d'appa- | (périte) a l'entrée péritel AVI du télé- | Dés lors, votre répartiteur péritélévi- reils radiorécepteurs et téléviseurs). | viseur. Le comportement de 'appa- | sion est testé dans son ensemble et Les figures 8a et 8b indiquent le | reil vidéo, en l'occurrence l'adapta- | vous pourrez procéder au raccorde- cAblage des cordons péritel et RCA | teur TNT, ne doit pas avoir chang. | ment définitif de l'ensemble de votre nécessaires aux divers raccorde- | Débranchez la sortie péritel du répar- | équipement audiovisuel ments. Avec des cordons péritel croi- | titeur et branchez a la place l'une des és ou cordons SCART universels de | deux sorties RCA. Limage et le son H. CADINOT Plus que seulement P numérique. HM1508 CombiScope® 1GSa/s d’échantillonnage temps réel, 10 GSa/s d’échantillonnage temps équivalent Passez vos commandes i s sur notre site: 1 MPts de mémoire par voie vwrww.arquie.tr avec HAMEG Memory Zoom enact lcls pour GATALOGUE papier FRANCE GRATUIT 28.ser fe 08 | voce PFENOM: www.hameg.com : HANES Mosaique 4 ecrans Cnoir et blanc) Le présent montage permet de visualiser sur un seul écran les images provenant de quatre | sources vidéo. est plus particuliérement prévu pour des applications de | vidéo-surveillance. | © montage est consttué par | la superposition de deux | cartes aux fonctions is- tinctes: la carte vidéo char- 966 de commander le moniteur de sorts et la carte dacquiston qui cftfectue la numérsetion des signaux vidéo provenant des quatre entrées. Chaque carte est sous le contrdle d'un microcontréleur PIC. 16F628, 108 pourra carte d'acquistion et C17 pour la carte vidéo. Comme on peut le voir sures photos, les deux cartes s'assemblent grace @ l'usage de ‘connecteurs HE14. Caractéristiques du montage La résolution est de 256 points sur 512 lignes pour tout I"écran, soit 128, points sur 256 lignes pour chaque pearcelle de la mosaique. C'est sutti- sant pour un téléviseur de 25 35 cm environ. Le taux de rafraichissement est d’un peu plus de quatre images par voie et par seconde en moyenne, La réalisation ne fait appel qu’a des circuits courants d’approvisionne- ment aisé. Principe de fonctionnement En régime normal, les deux cartes fonctionnent de fagon parfaitement indépendante. La carte vidéo génére un signal de type PAL et atfiche sur le moniteur le contenu de sa mémoire écran 114, Pour sa part, la carte d'acquisition chantilonne tour & tour les quatre voies d'entrées et stocke dans sa mémoire de travail IC4 les images qu'elle numérise. és que les quatre voies ont été pas- 30s “en revue", le mode associé au transfert de données entre les deux cartes est activé et le contenu de G4 ‘est entiérement recopié dans IC14, puis les deux cartes retournent a leur activité de routine. Les explications suivantes supposent ue vous ayez quelques bases & pro- pos de la constitution d'un signal vidéo (trames, demi-trames et interti- gnages, signaux de synchronisation). Un article sur ce sujet a 6t8 publis dans le numéro 288 de novembre 2004. fe a1 ww electroniquepretique.com ELECTRONIOUE PRATIQUE Hers Et mT ER PE BREET ETT Pr C18 [TR ine 1D www.ntoctroniquepratique.com ELECTRONQUE PRATIQUE La carte d’acquisition (figure 1) Cette carte est de loin la plus impor- tante (13 circuits intégrés). Elle est ‘sous le contrdle du pic 16F628 (\C8), adeno par une horioge externe construite autour de loscillateur ICI1:D dont le signal de sortie, fort dissymétrique, est remis en forme et voit sa fréquence divisée par deux par le compteur IC9:B. Au final, la fréquence de cette horloge est de ordre de 2,5 MHz, ce qui est plutot lent. Les signaux vidéo issus des quatre entrées sont acheminés jusqu’au commutateur analogique IC13. qui permet de sélectionner la voie qui doit étre échantilonnée. Cette der- nigre est déterminge par le PIC par Vintermédiaire des deux lignes RBO/RB1 dont W'état logique servira tout au long du processus de digital sation & identifier la voie active. On récupére en sortie du commutateur IC13 le signal choisi, distribué sur deux sorties distinctes : la premiére, notée X, est connectée au convertis- sseur analogique/numérique vidéo IC1 (TDA 8708) et la seconde, notée Y, est relige au circuit IC10 extracteur des signaux de synchronisation hori- zontale et verticale. Le PIC analyse ces signaux de la fagon suivante : HW attend le passage a l'état bas de la sortie synchronisation verticale reliée RAG, ce qui lui indique quill est en présence du commencement d'une nouvelle demitrame. A partir de cet instant, il lu faut compter les signaux de synchronisation horizontale (sortie 1 du LM1881) pour déterminer le ‘moment oi il faudra lancer la numé- ‘sation (environ 30 lignes a compter avant le début de la zone image). Cependant, ces signaux sont trop courts (4,7 1's) pour que le PIC puisse les appréhender directement du fat de sa faible fréquence d’horloge, aussi a-t-on placé un petit disposi construit autour de IC3:A entre le M1881 et le PIC afin de compter ces lignes de fagon fable, Pour ce faire, en début de demi- ‘trame, le comptour IG3:A est remis & zér0 par le passage & l'état bas du signal de synchronisation vertical, dont "état logique est inversé par T1 (car le RAZ du L398 est actif a état haut). Dés Ia fin de ce signal, le compteur est incrémenté & chaque impulsion “iigne” présente en sortie de IC10 et C'est alors le nombre de ces impul- sions divisé par quatre que le PIC compte par V'interméciaire de la sor- tie Qt du compteur reliée & RAS. Ce faisant, le PIC examine un toisiéme signal disponible en sortie de IC10 {ui indique sila demi-trame en cours est une demi-trame paire ou impair. Si elle est paire, alors il a rejette et attend le prochain signal de synchro- nisation verticale (qui sera celui d'une ddomi-trame impaire). Si alle est impair, il poursult la pro- cédure qui mene & la numérisation (Remarque : on aurat pu ne lire que les demi-trames paires ot rejetor les impaires, important est qu'elles soient toutes de méme type, car sion ne les diférenciat pas, image aurat des “a coups” verticaux du fait du écalage d'une ligne qui existe entre ‘ces deux dem-trames. Cela est cependant pénalsant pour le rythme de rafreichissement des images. La suite de la procédure Consiste mettre a 2610 les comp- teurs d'adresse mémoire ICS et ICS ‘en mettantbriévement a état bas les lignes RBS et RBS du PIC. Le comptour ICS sert & adresser les points de image numérisée, soit 128 par ligne (Q0 a Q6 sont utilisés). Le compteur ICS sert & adresser les lignes numérisées de image, sot .w 10 wow. electroniquepratique.com 286 lignes. Une trame content en fait 287,5 lignes d'image, 31,5 sont done ignorées. En tout, une image oocupe 32 koctets, soit le quart de la mémoi- re IC4. Les lignes RBO et RB1 reliées également a IC4 permettent d'attri- buer une adresse précise & image numérisée de chaque voie. On remarquera que certains signaux ‘de commande passent par un multi- plexeur (1C7), ceci ayant son impor- tance au moment du transfert de données. Dans le cas présent, la sortie RB2 cu PIC, placée au niveau bas, force toutes les entrées marquées A vers les sorties correspondantes notées ¥. Le rythme de “venue” des lignes de image étant sutfisamment lent, le ‘compteur ICB peut etre directement incrémenté par le PIC. par sa sortie RBS. La commande de IC5 est par contre plus délicate : il est incrémenté par les fronts montants de I'horloge ‘générés par 1C11:D/IC8:8. Cependant, ce comptage ne peut avoir lieu que lorsque la broche “Count Enable" (ockken) est a ['état bas et c’est & aide de celle-ci que le PIC ordonnera le début et la fin du ‘comptage des points de l'image : i faut bien noter que cela n'est pos- sible que parce que le compteur et le PIC sont commandés par le méme signal d'horioge et sont donc parfai- tement synchrones. Ds que le moment de la numérisa- tion est venu et juste aprés un dernier top de synchronisation, la procédure répétée pour chaque ligne numérisée ‘commence. Le PIC met a état haut la ligne RBS ce qui a pour effet de bloquerI'oscil- lateur IC11:0, Le montage est alors & arr jusqu’a avenue du top suivant quitait passer la sortie de IC11:A a l'état haut et débloque l'oscilateur. Le PIC est alors synchronisé avec image a recevoir et fait repasser & Vétat bas sa ligne RB, puis met simultanément RAO a 'état bas (auto- rise le comptage pour ICS), RAI & Vétat haut (autorise lenregistrement par le transfert des signaux o'horloge vers WR par lintermédiaire de 1011:0) et ceci durant 81 ys, a la tré- quence de 2,5 MHz, soit quasiment -CTRONIQUE PRATIQUE 128 échantillons. La. numérisation opérée par le convertisseur IC1, qui | est ui aussi sous le contrBle de hor- loge IC11:D, se déroule de la fagon suivante : le signal vidéo en sortie du commutateur IC13 est acheming jus- Qu’a entrée In2 de 101 oi i est trai- 18 par un amplificateur vidéo de gain variable destin & préparer le signal & Ja conversion en stabilisant son niveau moyen et son amplitude maxi- male. Pour ce faire, deux impulsions. do vent 6tre générées_extérieurement, indiquant & 1C1 le palier bas du top de synchronisation ligne (Gated) et le palier de noir (GateB), ce qui est exé- cuté par le microcontréieur 1G12 qui est un simple PIC 12C508A qui ana- | lyse le signal de synchronisation en sortie de 1010 (LM1881) sur son | Une fois cela accom entrée GP2 et commande les deux | entrées GateA et GateB par GPO et Pt. Une fois mis en forme par ce premier étage, le signal vidéo ressort du TDAS708 pour @tre fitré par Ien- semble R9, L1, R10, 019, C20 qui est un filtre anti-aliasing réduit @ sa plus simple expression et est amené ‘aU convertisseur 8 bits proprement dit par la broche ADC In. Aprés chaque front montant de Ihor- loge en sortie de IC9:8, la valeur binaire correspondant au signal vidéo ‘convert est disponible sur les sorties DO/D7 qui sont reliées au bus DO/D7 de la mémoire IC4 par lintermédiaire de I'étage tampon IC2 dont les sor- ties sont actives dans le mode acqui- sition. La commande d'enregistrement (WR) de la mémoire IC4, active a état bas, regoit un signal dhorloge inversé par crt. Ainsi, es données DO/D7 sont rafrat- chies au début de ce palier bas (qui comespond au front montant d'horlo- {92 pour IC1), on est ainsi certain que durant les demigres 70 ns de ce niveau bas de WR, les données ne cchangeront plus et la mémorisation sera fable. Il faut également pour cela que adresse mémoire pointée par les ‘compteurs IC5 et IC6 ne se modifi pas durant ce niveau bas de WR. Pour IC6, aucun risque car il n'est lnerémenté qu'au début de chaque 10. www slectroniquepratique.com ELECTRONIQUE PRA nouvelle ligne & numériser. Pour IC5, le délai introduit par IC11:C entre "horioge IC9:B et la broche WR est ccompensé par la porte IC11:8 et par le muttiplexeur, ainsi que par le délai interne introduit par les compteurs feux-mémes, aussi adresse restera- trelle pariaitement stable durant la phase crtique. Une fois toute la ligne numérisée, los sorties RAO et RAT repassent respec tivement a l'état haut (comptage de 1C5 inactive) et a 'état bas (enregis- trement inact). Le PIC incrémente le compteur ligne ICB par RBM, remet 1C5 a zéro par RBG et se resynchroni- se sur le signal vidéo grace & RBS. Le cycle recommence ainsi durant 256 lignes de la demi-trame. le PIC Ic8 commence la procédure de numéri- sation d'une demi-trame de la voie suivante en mettant son adresse sur les lignes RBO/RB1 qui commandent le commutateur analogique IC13 et la mémoite ICA et le cycle recommence, On remarquera que chaque voie pos- side son propre condensateur de blocage de la composante continue dientrée, cela afin de gagner du temps. En effet, es signaux vidéo 'entrées comportent toujours une composan- te continue qui difére selon les appa- rails dont is sont issu Les charges et décharges d'un ondensateur unique auralent pour conséquence de perturber I'extrac- tion des signaux de synchronisation par le LM1881 et produiraient de fausses indications au PIC mais per- turberaient également le convertis- seur en faisant apparaitre des zones brilantes ou sombres sur image. La seule parade serait alors de difé- rer étude du signal c'entrée durant un ceriain temps aprés chaque chan- gement de voie, ce qui ferait perdre beaucoup de temps. Malgré cola, il peut ariver partois qu'une voie ait une tres legére influence sur la suivante lorsque Vimage de cette demiére est trés sombre, le plus souvent lorsque leurs tensions continues de repos sont trés différentes. Dans ce cas, intervertr les deux voies peut résoudhre le pro- bleme. Une demi-rame (impaire) est ainsi numérisée sur chaque voie et une fois cela accompli, le PIC IC8 a terminé la procédure d'acquisition et débute la procédure de transfert en faisant pas- ser & l'état haut la sortie RB2 signa- lant quill est prét @ transtérer le contenu de la mémoire IC4 vers la mémoire de la carte vidéo. Nous allons maintenant étudier le fonctionnement de cette seconde carte avant de décrire la procédure de transfert. La carte vidéo (figure 2) En absence de transfer, Ie fonction- nement de cette carte est le suivant Voscillateur & quartz IC20:C et D génare une fréquence fixe de 5 MHz destinge au PIC IC17, au compteur de points IC15 et au convertisseur Numérique/Analogique vidéo C18. Tout comme dans la carte d’acquisi- tion, le compteur de points IC15 est remis zéro au début de chaque ligne & afficher par le PIC (ligne RBS), puis son comptage est autorisé durant 51 us par la ligne RA1 reliée & entrée “CCLKEN” de ce compteur. Ala fréquence de 5 MHz, cela donne 256 points. En méme temps, les sor- ties de la mémoire IC14 sont validées par le passage a l'état bas de la ligne RAO. Ainsi, aprés chaque front montant de Vhorloge, V'adresse mémoire étant stabilisée, un nouvel échantilon stoc- ké en mémoire est disponible sur le bus de sortie DO/D7 de C14 et est pris en compte par le convertisseur seulement lors du retour a l'état bas de ce signal d’horloge, encore pour das raisons de stabilte. Durant la phase d’atfichage, les sor- ties du circuit tampon 1019 sont inac- tivées par I'état haut présent sur la ligne RA du PIC IC17. Durant la phase obscure (les 13 der- niéres microsecondes de a ligne, ou bien durant la phase d’extinction du ‘spot lors du retour écran), les sorties de la mémoire sont invalidées par le passage 8 'état haut de RAO de IC17, alors que celles de IC19 sont validées parle passage a l'état bas de RAB. La valeur présentée alors sur le bus de données, qui est 64, est ue en permanence & chaque cycle d'horlo- 1620 7206 | |, 16208 oyl tome. | log, | [sume 7asco —“rasoo | “ras 2 ta care vidéo {ge par le convertisseur IC18 et cor- | sant aux signaux de synchronisation | alors que son comptage sera remis & respond a la valeur du palier de“noir” | ligne et trame, méme si cette fonc- | zéro pour la demi-trame suivante par lors des phases d'extinction du spot | tionnalité n’est pas exploitée dans ce | 'intermédiaire de la ligne RB7. écran. montage. ‘Afin d’obtenir une résolution maxima Cette valeur est en fait celle qu’attri- | Tout comme dans le cas de la carte | le, les demitrames paires et impaires bbue par defaut le convertisseur IC1 | d'acquisition, le PIC IC17 est chargé sont différenciées par la ligne RB4 de la carte d'acquisition au niveau | d'incrémenter le compteur de lignes _reliée & IC14 et 'on obtient ainsi une minimum correspondant au “noir” de | IC16 a chaque nouvelle ligne affichée résolution verticale de 2 x 256 = 512 image, les valeurs comprises entre | de la demi-trame en cours grace au | lignes par trame. et 64 étant réservées par ce compo- | passage 4 'état haut de la ligne RBS, | Le signal “image” en sortie du fe 310. wns electroniquepranque.camn ELECTEONIQUE PRATIOUE convertisseur numérique/analogique IC18 passe d’abord par un premier fire construit autour de R18, 023, L2, C24 et R19 destiné a lisser les effets de l'échantillonnage, puis aboutit a un étage ampiificateur & base commune bati autour du tran- sistor T2, le réle de cet étage étant principalement de mixer & ce signal image, les signaux de synchronisa- tion “ligne” et “trame” générés par le PIC IC17 et disponibles sur sa sortie IBS. L'ajustable RV2 sert a régler leur amplitude alors que lajustable RVS détermine le niveau du signal “image” en sort Enfin, le signal “composite” ainsi ‘généré passe par un adaptateur dim- pédance formé par T3, R24 et R25 pour étre disponible sur la prise RCA de sortie vidéo permettant de relier le montage & un moniteur de télévision. Le transfert Son principe est le suivant : au moment d'atficher une nouvelle ‘ame (done une suite de deux demi- trames), la carte vidéo va lire et aff- cher le contenu de la mémoireIG4 en lieu et place de colui de IC14 qu'elle litnormalement. Ce falsant, les données de IC4 étant sur le bus, elles seront mémorisées “au vol" par IC14 et une fois la mémoire IC4 entiérement lue_par la carte vidéo, son contenu, en plus diavoir ét6 affiché pour la premiére fois @ lécran, aura été mémorisé dans la mémoire écran 1C14 qui rede- viendra és ors la mémoire de travail de la carte vidéo, les deux cartes reprenant leurs activités séparées. Lors du transfert, les données transi- tent par la jonction Jt et le tampon 163 qui est activé en mame temps ue les sorties de la mémoire IC4 par la sortie RAS du PIC 1017, alors que 12 et IC14 voient leurs sorties inacti- ves par la ligne RA2 ot RAO de IC17. ‘Au démarrage, les résistances Rt, 2, R12, R13 maintiennent un état hhaut durant le reset interme des PICs, Inactivant toutes les sorties des com- posants du bus de données. Comme nous avons vu, "initilisa- tion du transfert est rélisée par le Enfin, le passage & passage a I'état haut de la ligne RB2 du PIC IC8 de la carte d'acquisttion. Cet état haut est aussi retransmis au | sur le bus DO/D7 en provenance de PIC IGt7 de l'autre carte par son | 1C4 parla mémoire C14 de fagon & ceirée BO par le bias de la jonction | atficher continuellement cette nouvel- inter-cartes 13 le mosaique lorsque la carte daca Il sert également de commande au | sition cessera le transfert. ci encore, ‘multiplexeur IG7, sélectionnant tes | la présence de la porte IC20:B sert & voles marquées B pour étre drigées | compenser le retard généré par la vers leurs sorties Y respectives. présence de IC20:A et garantir la far ‘Ansi, le compteur de point ICB voit | bilté de 'enregistrement. ‘son horloge devenir calle de la carte vido 1020:0 et D (par J) et son autorsation de comptage passe sous | Valimentation le contréle du PIC IC17 de cette | (figure 3) méme carte par Vintermédiaie de sa sortie RAS. Par contre, la remise & zéro de 105 reste sous le contrble de IC8, il doit ‘done y avoir communication entre les deux PICs pour synchroniser ces dit | tension positive nécessaire au fonc- cece sone, tionnement des circuits logiques IC1 este but du signal issu da sortie | 4 1G20 et aux ampliicateurs a transis- RAZ de IC17 qui passe 4 'état haut | tors, mais également une tension ‘chaque part afichée d'une ligne (51 | negative destinée au seul commuta- bs). Un second signal issu également | tau iG13 quia réclame afin de linga- de 1017 par RB2 et connecté &'en- | riser sa caractéristique de transfert ot ltée RAS de IC7 passe a état haut | Grapaisser sa résistance interne ‘durant tout le temps du transfert (SUr | assez élevée autrement. Deux jonc- deux demi-trames donc) et son Pas- | tions aménent I'alimentation a la sage a l'état bas indique 4 IC8 qu'il | carte vidéo : J5 pour lalimentation peut reprondre son activité courante | Sos crcutte analogues et J pour d'acquistion dimage. les circuits numériques. Le compteur ligne IG8 reste entiére- ment sous le contréle du PIC IC8, seule sa sortie QO est déconnectée | Le calcul de de 'adressage mémoire et remplacée | fa durée d’un cycle ‘au niveau de IC7 par le signal indica- teur de demi-trame provenant de la | I reste & estimer la durée d'un cycle sortle RBS de 1017 (par J2). complet comprenant I'échantillonna- ‘Ansi, les données correspondant aux | ge des 4 voies vidéo d'entrées et le adresses paires dela mémoire seront | transfert de la mosaique complete mémorisées dans la zone associée & | dans la mémoire “éoran’ IC14. En la demi-trame paire de 'image géné- | fat, les signaux vidéo présents en 16e par la carte vidéo et les adresses | entrées. ne sont pas synchronisés impaires seront pour leur part, asso- | entre eux, ni avec celui de la carte ciées a la demi-trame impaire. On | vidéo. Tout aussi important, cette respecte ainsi Tinterignage propre | désynchronisation Muctue sans cesse ‘aux téléviseurs afin d'obtenir la réso- | du fait des infimes mais signifiantes lution veticale de $12 lignes annon- | différences de leurs bases de temps cée. Le demir signal d'importance, | (méme & quart). lors du transfert, consiste a substituer | Aussi, chaque cycle, ces désyn- ‘aux poids faibles des numéros | chronisations vont étre a lorigine de <'orans (FBO de C8), le signal issu | retards divers, lorsque le programme ‘de RAS de IC17 de facon & changer | attend Ia venue d'une demi-trame Vécran lu en mémoire lorsque l'on | impaire. passe de la partie gauche la partie | Ans la durée du cycle évoluera entre ‘droite de image durant fe transfert. | deux extr8mes, soit environ de trois ‘tat haut de la | images par seconde dans le cas lo Le montage est alimenté par un transformateur de 2 x 9 V de puissan- ce 10 VA minimum. Le redressement est effectué directement sur la carte Tacquisition de fagon a obtenir une | sortie RA2 du PIC IC17 autorise 'en- | plus défavorable & environ sept registrement des données circulant | images par seconde dans le cas le ine 10 wwnvetectroniquepratique,com ELECTRONQUE PRATIQUE Ts 00m | 100m tow Te “sv Fkcw Seen son seco Hace Seon owe | wove Toa | oer aay | Hone Ea ia — en Lalimentation fait Seo en one appel é de nombreux [i ane régulateurs = me plus favorable. La moyenne s'établit | de quatre images par seconde. ralisation et aux différents régiages. done cinq mais en pratique la | Le mois prochain, nous terminerons | A trés bient6t. ‘cadence observée est plutét proche | ce montage en nous attaquant a sa ©. VIACAVA AS ELECTRONIQUE L'UNIVERS ELECTRONIQUE Catalogue Général OSelectronic (| Selectronic ES Cori Coupon 4 retourner &: Selectronic B.P 10050 + 59891 LILLE Cedex 9 UL, je désire recevoir le Catalogue Général 2007 Selectronic [iM & adresse suivante (cijoint 10 timbres-poste au tarif “lettre” en vigueur ou 5,50€ par chéque): Mr. / Mme Code postal “Conformément ao informatique et ibertésn* 78.17 du 6 jonvier 1978, Vous caposer ‘Tun drt sobs et de retention aux données vous concarsan™ Domotique Veilleuse multicolore * Cette réalisation tres simple exploite un nouveau modéle de diode électroluminescente un peu particuliére. Mise sous tension, celle-ci présente automatique- ment une succession de couleurs différentes, sans aucune intervention de | | notre part! ete diode intégre un systéme électronique innovant, permetiant & | la led de parcourir cyoli- quement chaque couleur aprés un délai non réglable et avec un fondu- enchainé du plus bel effet. Le cycle est Immuable : rouge, blanc, bleu, vert, jaune, violet. La tension d'ali- ‘mentation requise est de 3 volts, pour | Un encombrement identique & celui d'une led de § mm environ. Nous allons mettre en ceuvre deux de ces nouvelles leds dans un petit bor tier contenant initialement une veillouse néon, pllotée par une cellule photorésistante. Le fonctionnement de notre maquette sera identique, mais l'éclairage en couleurs chan- geantes sera bien plus agréable a Veil | Pour accentuer encore effet | magique de cette led, nous associe- rons deux circuits de commande indépendants, présentant un petit décalage trés bénéfique a la succes- sion des couleurs. Schéma électronique West donné en figure 1. I! comporte lune section d'alimentation un. peu originale et deux fois le meme sché- HE Pricive de fonctionnement deta veillouse ECTRONAQUE PRAT: ma de commande (aux tolérances prés). En raison de la trés faible ‘consommation de notre disposi, il ne sera pas nécessaire de faire appel un transformateur, toujours lourd, encombrant et codteux. II nous suffit d'exploiter la réactance d'un conden- sateur présentant une tension d'iso- loment suffisante sur le secteur. Un modéle 400 volts minimum est conseillé, voire 630 volts si dispo- nile. Il s'agit de C1 sur le schéma ‘Sous une tension alternative, un &ié- ment diélectrique se laisse traverser Par un courant, ce qui provoque a ses bornes une chute de tension grace (oa cause) de son impédance notée Z.Laperte o'énergie, contrairement & colle d'une résistance chutrice clas- sique, est pratiquement nulle en rai- son du déphasage de 90° que l'on constate entre tension et courant. L’échauftement de C1 est done nul! Son impédance se calcule par la rela- tion suivante Zo=4/2n-1-C (freprésente la fréquence en Hertz ot C la capacité en Farad) LLintensité disponible reste faible et se détermine une fois de plus grace & la loi d'Ohm [2UZe=U-2nt-C et finalement : C = V2 xf U Pour une consommation estimée & 50 milliamperes et avec un secteur de 230 volts & 50 Hz, on prendra 0,050/2 x - 60 - 230 = 692 nF Nous avons choisi un modale 1 pF isolé & 400 volts, Attention ! Nous attirons dés a pré- sent votre attention surle danger li & ce schéma particulier dont une connexion est directement reliée au secteur ! En outre, aprés la mise hors service, il subsiste une charge dange- reuse dans le condensateur C1 que l'on décharge trés rapidement a l'aide de la résistance RI de forte valour. Le redressement est assuré par les diodes D1 et 02, tandis que la zener 3 (valeur 10 volts) assure une stabi- lisation suffisante. Le fitrage de cette tension unidirectionnelle est assuré par les éléments C2 et surtout C3 de forte valeur. Pour la mise sous tension de la led L1 ou L2, un transistor NPN est mis & contribution, La cellule photorésistante LDR2 forme avec la résistance R3 un véri- table pont diviseur. En pleine lumisre, la cellule présente une résistance trés faible, polarisant la baBe du transistor T1 en négatif. Le transistor est donc bloqué, par conséquent la led RVB/L1 reste éteinte. On pourra d'ailleurs monter Un élément ajustable en lieu et place des résistances R2 et RS. Dans 'obscurité, la cellule offre une résistance ohmique trés importante et la base du transistor est reliée au pole positif a travers R3 et RA. La led L1 sillumine et débute son cycle dallumage préprogramme. Les leds et les cellules LOR sont Intérieur du boitier d'origine conte- ‘nant une veilleuse néon et une cellu- Je photorésistante Nomenclature Semi-conducteurs D1, 02: 1N 4007 0 zn 10 volts 11, 12: 2N 2222, boiler TO 92 1! L2: lode le a att VE (Conrad) Résistances (toutes valeurs 1/4 de watt) Ri: 1 Ma 2, RS: 100 ko. 4, AB 1 KO 6, A: 270.0. Condensateurs C1 1 UF, isolement 400 V minimum c2:470nF 63: 470 pF/ 25 Divers Boitier Teko Prise de balisage secteur 2 collles LOR cyrincriques (8 récupéres) Fils soupes Le méme fonctionnement est valable ben entendu sur la led L2. Aucun réglage ne sera nécessaire et vous serez vite fasciné par la succession tres lente des diverses couleurs et le mélange des deux circuits iden- tiques. Réalisation On trouve facilement dans tous les supermarchés, au rayon bricolage ou articles électriques, de minuscules prises lumineuses idéales pour loger notre application (voir photos) nous importe de conserver la prise secteur @ deux broches et le cabo- Domotique Le module est enfermé dans un bot- tier Teko cchon translucide. Avec un peu de soin et de patience, on parvient & dis- socier les deux éléments et a leur adjoindre un petit bottier isolant, Teko our notre prototype. Le circuit impri- mé d'une taille trés rédulte comporte tous les composants du schéma, les deux leds ot les deux cellules LOR étant installées c6té cuivre pour apparaitre juste sous le cabochon translucide (figures 2 et 3). Velez & bien isoler les éléments avant la fermeture du boftier qui pour- ra s'enficher dans une prise 2P stan- dard, pour un fonctionnement immé- iat. G. ISABEL fe 210 ww.electroniquepratique.com ELECTRONIQUE PRATIOUE Micro/Robot Réegulateurs de température Ilexiste de nombreux cas | Schéma cer are aes Nos deux réalistions utilsent un souhaitable de réguler ——_capteur de temperature pour déter- activement la température | miner le point de fonctionnement S i csi de fonctionnement d'un | ous avons sélectionné un captour montage électronique. trés répandu qui est encore distribué Parfois, il est impératif dans un boitier non CMS (boitier = i 7092, dans notre cas). I s'agit du évacuer les calories sore tmasee lissipées par les compo- | (es capteurs LM135 ou LM235 | sants (c’est le cas de la __conviennent également, mais ils sont ae 4 | Sénéralement un peu plus codtoux. majorité des micropro- Le LM335z se caractérise par une | cesseurs de nos PC tension nominale & ses bornes qui est modernes). Au contraire, proportionnelle a la température absolue de son boitier (température exprimée en °4), Il est calibré pour développer une tension de 10 mV/°K, dans une plage d'utilisation alant de -40 °C (233,15 °K) & #100 °C (373,15 °K). Rappelons ue le zéro de la température absolue (exprimée sur une échelle dynamique fu absolue dont |'unité est le degré Kelvin) est décalé de -273,15 degrés ar rapport @ notre échelle usuelle des températures (échelle Celsius) Le passage d'une échelle a autre se fait facilement a l'aide de la relation suivante : T(°0) = T(*K) +273,15. il faut réchautfer artificiel- | EWM controie de température par ventilation lement la température de fonctionnement d'un sys- |, téme pour augmenter la swoon stabilité de certainesde ses caractéristiques (la fréquence d’un oscillateur a quartz, par exemple). ous vous proposons de réaliser deux montages ‘és. simples qui vous | aideront & résoudre effi | cacementles deux problémes de tm | perature que nous venons 'évocuer. | ne BID www.electroniquepratique.com ELECTRONIQUE PRATIQUE Micro/Robot EEA conirate to température par résistance chautfante SSil'on applique cette relation la ten sion de sortie de notre capteur de température, on obtient V)= 2,7315 4(T x 10 mvc) avec V exprimé en volts et Ten Par exemple, lorsque la température ambiante du boitier du capteur est & +25 °C, la tension présente & ses bores est de lordre de 2,98 V. La proportionnalité de la tension de sortie par rapport & la température absolue du boitier rend le capteur M3362 trés simple & utiliser, comme vous pouver le constater par vous- méme sur les schémas reproduits en figures 1 et 2 Le schéma de la figure 1 représente un petit systéme de contréle de tem- pérature par ventilation, tandis que la figure 2 roproduit un petit systéme de controle de température par résis- tances chauffantes. Comme vous powver le constater, les deux sché- mas sont quasiment identiques, & la polarité de détection pres. Dans le cas du schéma de la figure 1, la tension développée par le capteur de température (03) est comparée par le circuit Ut via sa broche positi- ve @) & une tension de référence appliquée & sa broche négative (3) Lorsqu'une tension aux bores du capteur de température dépasse la tension de référence (c'est-a-dire lorsque la température du capteur augments), la sortie du comparateur Ut passe a l'état « haut », ce qui polarise le transistor MOS (T1) dans un mode saturé. Cela déclenche le ventilateur qui est raccordé au ‘connecteur CN2, Notez que le transistor retenu pour ce montage permet de commuter un ‘courant pouvant monter jusqu’a 3, ‘ce qui est largement surdimensionné pour piloter la plupart des ventila- teurs alimentés en 12 V auxquels notre montage est destiné, Notez qu'avec notre schéma, la limi- tation de la puissance du ventilateur est plutot dictée par les possibites de la diode D1 (ne dépassez pas 1A avec cette diode). Ceci dit, revenons, & notre explication principale, Sous |'effet du ventilateur (libre a vous de positionner ventilateur et capteur & proximité du systéme dont vvous souhaitez réguler la températu- re), la température du capteur D3 va baisser, entrainant du méme coup une diminution de la tension dévelop- pée a ses bornes. Si le ventilateur est correctement dimensionné, la température du cap- teur descend en dessous du seuil pour lequel la tension & ses bornes fet inférieure & la tension de référen- ce. Dés lors, la sortie du comparateur Ut retombe a zéro entrainant du méme coup le blocage de Tt et 'ar- rét du ventilateur, Sous effet de la chaleur dissipée par les systémes ‘environnants, la température du cap- teur a vite fait d'augmenter & nou- vveau, entratnant un nouveau cycle de refroidissement. ne HO wanvelectronquepratique.com ELEC aeaa ‘Au final, la température oscille sensi- blement autour du seuil pour lequel le ventilateur est mis en fonctionne- ment, ce qui assure une régulation convenable de la température des systémes placés & proximité du ven- tilateur (sous réserve d'un bon dimensionnement du systéme de ventilation vis-a-vis des calories a évacuer) Le montage est concu pour fonction- ner de 9 V 8 12.V, via une alimentation raccordée & CN1. La tension d'ali- ‘mentation n’a pas besoin d'étre régu- I6e, mais elle doit étre correctement filt’ée. Un petit bloc d'alimentation ‘capable de fournir le courant néces- saire au ventilateur, avec une surchar- ge de 50 mA, sufft argement. La diode D1 protege le montage en cas d’inversion du connecteur d’ali- ‘mentation, tandis que la diode zener D2 permet de maintenir une tension de référence relativement insensible aux variations de I'alimentation (en revanche, ce n'est pas le cas de la vitesse de rotation du ventitateur) La résistance variable P1 permet de fixer le seuil de référence, ce qui détermine la température désirée. Le condensateur C2 filtr les oscillations, parasites du montage, sachant que le comparateur est monté ici sans hys- terésis, Lhystérésis naturel du comparateur suffit& notre application, sachant que la stabllité de notre boucle de réguia- tion dépend essentieliement des pro- RONIQUE PRATIOUS Micro/Robot °o ® pa ° - |e n THT ° foo] an © | 3 | CI du contréle de température par ventilation Ea Insertion des composants cartamclatal ment inversée par rapport au monta- | confinement thermique au strict mini- aS ge de la figure 1. Cette fois, le monta- | mum. Vous serez donc certainement ondensateurs ge ne pilote plus un ventilateur mais | amenés & déportr les résistances et Ch ean te des résistances chautfantes de 33 9 | le capteur. o (RB & RQ) destinges & élever la tem- | Pour vous offrr un peu plus de latitu- ihdeishanste | pérature ambiante du systéme dans | de dans le choix des résistances Ré & RY :1,B KO 14 W 5% lequel ce montage sera placé. RR9 (en fonction du volume quil faut (Marron, Gris, Rouge) La tension de référence et la tension | réchautfer), nous avons changé la F256 KO V4 W5 % du capteur de température ont chan- | diode D1 pour ce montage. (a, Bi, Faun 16 dentrée sur le comparatet Ai 12, k Ce ae ane er 9 parateur, ce | Ainsi, sous 12 V, vous pourrez « pilo- Giaune, Vell, Rouges Qui inverse le sens de asservisse- | ter» des résistances aiant de 33.2 (4 W) RAS. KR 14 W 5 9 ment. Le transistor T1 est maintenant | jusqu’a 22 © (6,5 W), ce qui devrait (Orange, Blanc, Rouge) passant tant que la température du | suffire & bien des applications (au RS 110 ka. 14 WS 96 aptour est inférieure au seuilmposé | total, cela fat tout de méme 4x 6,5 W (Maron, Nov, Orange) par la position de la résistance ajus- | dissipés, sans méme parler des ouside? table P1. Sous leffet de la puissance | pertes dans T1). “T1:IRF890 ou équivalent cissipée par les résistances RE 4 R9, | Nous attirons votre attention sur les, Urs LMat1P la température ambiante va monter | risques de brolure encourus avec ce Di: 1Na001 | jusqu’a ce que la tension développée | deuxiéme montage, si jamais la (Giode de recressement 1 A/100 V) ghar acest yt par le capteur soit suffisante, consigne est régiée en position maxi- a : LMag62 (ou LM95/L M236) Ge mode de régulation de la tempé- | mum. De plus, en cas de défailance rature est couramment employé pour | du montage (par exemple, en cas de Divers garantir une trés grande stabilité sur | court circuit sur T1 ou bien sila résis- Nt, CNB: Bomier avis 2 contacts | des oscilateurs & quartz. Le point de | tance Pt est ouverte), la température Sern fonctionnement se choisit générale- | atteinte par l'ensemble du systéme ment quelques degrés au-dessus de | pourrait entrainer un risque d’incen- priétés du capteur de température et | la température ambiante maximum. | die (selon les dimensions globales du des performances du syst8me de | Quelque 40 °C 850°C peuvent suffi- | systéme, la résistance thermique et la ventilation. | re en région tempérée, mais 60 °C | nature des matériaux employés, 'en- ‘Ajoutons, pourterminerla description | 70 °C sont préférables pour une | vironnement dans lequel le systéme du schéma de la figure 1, que la sor- | meilleure marge de fonctionnement | est utilisé, et). Evitez donc a tout tie du comparateur U1 est une sortie | dans des environnements diffciles, | prix de surdimensionner les résis- A collecteur ouvert, d’oi la présence | tels que derriére le pare brise d'un | tances chauffantes par rapport au de la résistance RS pour polariser | véhiculestationné en plein sole volume que vous devez chauter et correctement le transistor MOS (T1) | Il va de soi que les résistances R6 @ | refusez d'utilser un tel montage dans lorsque le comparateur passe & état | RO et le capteur D3 doivent étre | des locaux non surveillés «haut » confinés avec le systéme dont il faut | Pour estimer les risques d'un surd Passons maintenant au schéma de la | réguler la température. La mise en | mensionnement dangereux du syst figure 2 qui est trés proche du précé- | coffret est généralement un peu plus | me, vous pouvez simuler les effets dent, mais dont la finalité est totale- | délicate et il est fréquent de limiter le | d'une panne d'asservissement sur le ne 310 www olectraniqueprenque.com ELECTRONIOUE PRATIC Micro/Robot Ro Re RT =a Cox = @ fe - | [Gay isertion des composants ° my du contre de température par résistance chauffante En ce qui concerne les borniers & vis, la diode 1N4001 et les transistors MOS, il faut repercer les pastilles systéme final (dans son environne. ment de travail rée!) en retirant la résistance ajustable P1 du montage. ccelui-ci avec les doigts permet de faire évoluer rapidement sa tempéra- ture et de dépasser le seul) En mesurant la température interne du systéme pendant un temps sufti- sant, vous pourrez déterminer asymptote de votre systéme en boucie ouverte et juger s'il existe un risque incendie du systéme (en fonction des matériaux employés) en cas de défallance du montage de ‘commande. Les lecteurs sont encou- ragés @ la plus grande prudence quant aux conditions de mise en ceuvre et au dimensionnement de ce montage qui reste de leur seule res- ponsabilte Réalisation Le dessin du circuit imprimé du contréleur de température par venti- lation est en figure 3. L'implantation est reproduite en figure 4. Le dessin du circuit imprimé du contréleur de température par résistances chauf- fantes est reproduit en figure 5 et implantation en figure 6. Les pastilles des circuits imprimés sont percées a l'aide d'un foret de 0,8 mm de diamdtre pour la plupart. avec un foret de 1 mm de diamétre. Pour la diode MBR7S1, utiliser un foret de 1,5 mm de diamatre. Enfin, n’oubliez pas de percer le trou de passage pour la vis de fixation du transistor MOS (trou de 3,6 mm de diamétre) pour pouvoir plaquer le transistor sur un dissipateur ayant une résistance thermique inférieure & 18 °CWV. Avant de graver le circuit imprimé, il est préférable de se procurer les | ‘composants pour s'assurer qu'ils s‘implantent correctement. Cette remarque conceme particuliérement les borniers a vis et les résistances de puissance. | LLors de la premiere mise en service | des montages, vous pourrez régler la | résistance ajustable P1 pour que la tension de référence appliquée au comparateur soit de 3 V environ, ce qui correspond & une consigne de 26,85 °C (voir la formule indiquée en début d'article). Cela vous permettra de les tester & partir d'une position connue oi il est facile d'agir sur le capteur (le simple fait de toucher P. MORIN Nomenclature Condensateurs G1: 220 uF/25 V 2: 10nF Résistances FI: 1.8kQ 1/45 % (Marron, Gris, Rouge) PO: 58kD 1/4W5.% (Vert, Bleu, Rouge) RO: 47 KO 1/4 W5 9% (Gaune, Violet, Rouge) Ra: 39k 1/4 W596 (range, Blanc, Rouge) RS: 10 ka 1/4 W5 % (Marron, Noi, Orange) 6, R7, RB, AO:33.0 4 WS % Semi-conducteurs TH :IRFB30 ou équivalent ut: Latte 1 : Diode MBRTS! (3 A) 12: Diode Zener 5,6 V (1/4 W) 3 : LMS352 (ou LM135/LM235) Divers CNT : Bomier& vis 2 cont (au pas de 5:08 mm) PI: Ajustable 10 KO Ce chenillard est destiné & commander une rampe de 10 spots. Le nombre important de voies n'est pas le seul atout de ce jeu de lumiére, puisqu'il allie a la fois le principe du chenillard et du gradateur. 1 effet, d'une part la lumi- nosité de la lampe qui défile successivement de voie en voie est réglable paar \interédiaire d'un potentiométre place en fagade de l'appareil, d'autre part la vitesse du défilement est fone- tion de I'intensité sonore captée par lun microphone. De plus, une sélec- tion est prévue pour commander le defilement partir d'un signal a'hor- loge externe. La figure 1 présente le schéma de principe de ce jeu de lumiére. Il se compose des sous-ensembles sui- vants : V'alimentation, le gradatour, le préampiificateur, le convertisseur de niveau sonore, le VCO et le che- nila. Un transformateur de faible puissan- ce abaisse la tension secteur et assu- re un isolement galvanique entre le réseau et I'alimentation basse tension du montage. La tension alternative 50 Hz/12 Veff du secondaire est redressée par un pont de Graétz Constitué des quatre diodes D1 a D4. Dans un premier temps, ce pont est chargé par le diviseur de tension RA/R2. Par ailleurs, la diode DS char- ge le condensateur de lissage C1. La tension continue qui en résulte est ensuite régulée par un classique 7808, stabiisé par le condensateur de découplage C2. Le pont de résistances R1/R2 polari- se le transistor T1 dont le collecteur ‘est chargé par la résistance R3. Ce transistor est ainsi conducteur pen- dant la quasi totalité d'une alternance secteur, bloquant la jonction base- 4metteur de T2 qui ne peut alors cconduire Par contre, & chaque transition d'al- temance secteur, la tension redres- ‘sée passe par ce que l'on appelle ‘couramment le zéro secteur. La base du transistor T1 étant A cet instant a 0V, ce demier est bloqus. La base de T2 est alors libérée et la résistance RS sature le transistor T2. Pendant la durée du zéro secteur, la ‘saturation du transistor T2 entraine la décharge du condensateur C3 dans la résistance 6. La constante de temps RE-C3 étant trés faible par rap- ror eremteet) Teal Bogue Vee Vain va RL Masse | port & une alternance secteur, la | décharge du condensateur C3 est | quasi instantanée, Cette phase cor- respond au front raide, descendant de la dent de scie évoluant aux bores du condensateur C3, Par contre, dés que le transistor T2 est bloqué, le condensateur C3 com- mence & se charger & courant ‘constant car le transistor T3 est pola- fsb en oénrateu de courant. | L’évolution de la tension aux bornes du condensateur C3 est ainsi linéaire. En effet, le potentiel de la base du | i] Aim + étage te srt Cotecteur du LM311 est [Bl] caoncesvove —constitué d'un transistor de puissance & Collecteur ouvert o- vor 2 © BS || vores Halo cares ere Gear —O La réalisation | Bien que la carte soit d'un format | imposant (igure 4), la réalisation de ce jeu de lumigre demeure assez | simple | De plus, la mise au point est sécuri- | 266 par l'utilisation d'optotriacs qui assurent une isolation galvanique parfaite entre le réseau secteur et la fn B10 wwnvelectroniquepratique.com, parte basse tension ogique et ana- logique) Dans un premiar temps, la self L1 rest pas montée sur la carte (figure 5). Ans, "étage de puissance no sera as Sous tension pour les premiers fessais. Cette self est un mode anti parasite pour trac ou thyristor, mais est conseils, pour cette application, de réaliser un bobinage sur un tore Nomenclature Résistances FR, R2, RB, R10, RIG 4,7 KO. {Gaune, violet, rouge) 4 : 470 0 (lune, violet, marron) 5:22 ka (rouge, rouge, rouge) RB: 100 0 (marron, noi, marron) FRY, RB, R17, R22, R23 : 22 KD ((ouge, rouge, orange) 9, R15, F20, R23: 10 ke. (marron, nor, orange) Rit, R14, R16, R18 : 220 KO ((ouge, rouge, jaune) 2, RI: 1 KO (marron, nor, rouge) 21: 100 kA _ou alustable de 220 ka. (marron, jaune, jaune) ad: 47 kG (aun, violet, orange) RDS : 1 MO ou ajustable de 1 22,2 MO (marron, not, vert) 26 : 1,8 kA (marron, gris, rouge) R27 : 100 kA (marron, noir, jaune) 26 a ROT: 15 KO (rmarron, ver, orange) R38 a RAT : 390 02 (orange, blanc, marron) ou 270 9 si M3020 au lieu de MOCS021 R46 a RST : 390 0 (orange, biane, marron) ANN: 4,7 KO. Pt, P2:47 kA ou 100 ka. Condensatours 61: 200 pF/I6V (©2, 05, C12, C15, O16 : 100 nF 63, 08, 611: 470 nF G4: 47 prIBV 65,07 10 yFI6 V (63: 220 nF C10: 1 prABV (C13: 47 pRAOV (614: 100 nF/400 V Semiconducteurs D1 ADS: 1N4OOT .. 4007 DB : Led rouge 03 D7: 1Nataa Tt, 72: 80548, 86297, BCS47 Ta: BCS58, BCS87 T4aT19 : 80398, BC337, BCSAB Qt aio: BT137-F trae 4 48 4/400 & 600 V Ct: 78L08, 7808 12: Lastt is: Laz Cid: NESSS, LM555, TS555, Gis: 4017 Gi6 @ C115 : Moos021, Moos020 Divers IM: microphone & électret Lt: sei antiparasite 5 A pour triac TRI :transformateur 220 Vi12 V -2Va Ft : fusible rapide 1,6 A, 6 x 20 SW! A S11: 11 borniers 2 plots pour Cl 1 support de fusible 5 x20 pour Cl magnétique avec un nombre de | Vous pouvez également obtenir le | sortie. Placez le potentiomatre P1 & spires Important, la section du fil réglage de Alt approximativement en | mi-course et le potentiométre P2 en étant alors adaptée a la charge maxi-_ recherchant la plus grande sensibiité | butée & gauche (volume minimal). ‘male par vole. de la gradation obtenue avec le | Dés la mise sous tension du secteur, Avant la mise sous tension, vous véri- | potentiométre P' la led D6 doit étre allumée et une fierez le bon sens d'implantation des Ensuite, vous procéderez a 'étalon- | lampe doit écairer avec une brilance condensateurs polarisés, des diodes, | nage de R25. En l'absence de micro- | moyenne. Agissez alors sur P1 pour des transistors et surtout des circuits | phone, vous devez relever sur la sor- | régler la luminosité de cette lame. intégrés, tie (1) de Gi8 une tension legerement | Si ce test est satisfaisant, vous Placez le curseur de la résistance | inférieure a colle relevée aux bores | n‘avez plus qu'a augmenter le volu- ajustable Aj1 a mi-course, ainsi que | de la résistance R26, broche (5) de | me a l'aide du potentiométre P2 pour celui des résistances ajustables R21 | Cl4, soit environ 1,9 V. ‘observer le défilement d'un spot dont et R25, si vous avez opté pour des En présence d'un fond sonore, vous | la luminosité est régiée par le poten- modeles alustables (verticaux ou pouvez conclure cette premiére | tiométre Pt miniatures) phase d'essais en observant les | Sinon, débranchez votre montage et Si vous possédez un osciloscope, variations de tension en sortie (1) du | procédez & de nouvelles verifications. ‘observer le signal triangulaire présent LMS24, en fonction de lintensité | Pour des lampes d'une puissance sur la broche (3) du LM311. Réglez sonore et du réglage du potentio- | supérieure a 300 W, les triacs doivent alors Aj1 pour que la dent de scie soit matre P2 @tre équipés d'un radiateur. Une pointue avec une amplitude maximale. Dans un second temps, vous procé- chute de t6le en aluminium de 2 mm ‘Sinon, vous pouver effectuerlerégla-_derer a l'essai de I'étage de puissan- | d'épaisseur,fixée au bottle du trac & ge de Aj1 A l'aide d'un muitimétre ce et ainsi de l'ensemble du monta- | l'aide d'un boulon MS et d'une ron- numérique. Sur le calibre 20 Voc, ge. Pour ce faire, a self L1 prendra delle évental, est une solution. ‘yous devez lire une tension d'environ place sur le circuit imprimé et une 3V aux bornes du condensateur C3. | lampe 220 V sera placée sur chaque H. CADINOT. TRIODES TETRODES Et st vous réalisiez votre ampli a tubes... Une sélection de 9 amplificateurs de puissances 9 Weff a 65 Weff 4 base des tubes triodes, tétrodes ou pentodes Des montages 4 la portée de tous en suivant pas a pas nos explications = = = = = aes fe ef a >g Je désire recevoir le CD-Rom (fichiers PDF) « Et si vous réalisiez votre ampli a tubes. France :30€ Union européenne : 30 € + 2 € frais de port Autres pays : nous consulter Nom Ne Code Postal Ville-Pays Prénom : 4Je vous joins mon réglement par : C.chéque 1 mandat Arretourner accompagné de votre réglement a: TRANSOCEANIC 3, boulevard Ney 75018 Paris Tél. : 01 44 65 80 80 ee Aart Une interface GPIB/USB largement le bus GPIB. II existe on fait deux standards, identiques dans leur fonctionnement, mals différents sure plan de la connectique : Ie stan- dard américain IEEE488 et le stan- dard international IEC 625. Le pre- ‘mier utlise un connecteur de type ‘« Micro Ribbon » & 24 broches, alors que le second utilise un connecteur de type SUB-D a 25 broches. Il exis- te, heureusement, des adaptateurs permettant de passer d'une connec- tique a l'autre. II est A noter que le standard IEC 625, avec son connec- teur SUB-D, comporte un risque de confusion avec par exemple les anciens ports RS232 a 25 broches et qu'une erreur de branchement peut Les appareils de mesure | constructeur notoire «appareils de | entrainer des dommages d'un coté, mesure, qui, vers le milieu des | de lautre, ou des deux ! Notre inter- ce aud corre années 60, a 6té aorigine de ce bus | face utilise la connectique de la Possédent souvent une | instrumentation portant alors le | norme IEEE-488. La liaison entre les option « GPIB », ou ‘nom de HPIB (pour Hewlett-Packard | appareils et le contréleur (qui est y 88 Interface Bus). Cette invention ne | généralement ordinateur) comporte ouocre SEE date donc pas d'hier, mais elle est | 5 fils de contrdle du bus, 3 fils de permettant leur toujours d'actualité et, méme si de | gestion dela communication et 8 fis fonctionnement nouveaux systémes d'instrumenta- | de données, les autres fils étant tion a base a'Ethomet sont apparus | connectés ala masse en mode télécommandé ‘sur le marché, le parc actuel des | Le tableau dela figure 4 liste le bro- ‘appareils de mesure utilise encore | chage du connecteur IEEE-488, les 's peuvent ainsi étre commandés et interogés A distance, ce qui ouvte la possibilté de réaiser | (EJ) Signaux et brochage du connecteur IEEE-488 des bancs de mesure automa- tiques pilotés a aide d'un ordinateur Encore faut-il, pour tirer profit de Nom de signal Sseriiation Numer de roche cette option, disposer d'une interface Diot Dataingt out 1 (0 4 adéquate, d'ou objet de cette réal- es ata ged xt 28 2 ae 103 Data input ouput 3 (bt) 3 Dios ‘eta ingut ouput (3) 4 BIOs Data ingut put 5 (bt) 3 D108 Data 6 (ot) 1 Tour horizon cic | int ata 7 t) ‘ du bus GPIB D108 Data input out 8 ft) 16 E01 End or ier 5 IIn'est peut-étre pas inutile de rappe- AV ota vai 6 ler, tts succinctement, en quoi nee | Wetent dt z consiste le bus GPIB. Ce sigle est le on Not sooo 2 raccourci de “General Purpose ae ae = Instrumentation Bus" et répond a la ai aaa fi rnorme IEEE-488, Cette norme a vu le Rene able jour dans les années 70, mais c’est la Grove société Hewlett-Packard, a 'époque ine TO www.stectroniquepratique.com ELECTRONQUE FRATIQUE Micro/Robot noms des signaux et leur signification | passer dans son mode de comman- | Le protocole de communication du anglo-saxonne. de @ distance. Dans ce mode, en | bus IEEE-488 est au format TTL, en ‘Voyons plus précisément quelle est la | général, une led s’allume surla face | logique négative. Ainsi, un niveau fonction de chacun de ces signaux: | avant de l'appareil et les com- | logique 1 correspond un niveau de =DIO1 @ DIOB : ce sont les huit | _mandes locales deviennent inac- | tension inférieur a +0,8 V, tandis qu'un lignes permettant le transfert des | tives. Dés que cette ligne repasse | niveau logique 0 correspond a un ‘octets du contréleur vers les appa- | au niveau logique 0, l'appareil | niveau de tension supérieur & +2 V. reils connectés sur le bus, ou des | retourne dans son mode de fonc- | Le chronogramme de la figure 2 apparels vers le contrOleur. tionnement local. représente ['évolution des niveaux |i s'agit donc d'une transmission & 8 | Chaque appareil peut étre adressé en | électriques présents sur les lignes bits paralléles, bidirectionnelie parleur ou en écouteur sur le bus | DAV, NRFD et NDAG, lors d'un Pesca cet operas mi | PEEI26, ansansGarakel pe: | dcrage aa meade ries suai fale tive Cap|l eminem eee aud pare, [rel pated arcane Reatioa Fatal rego une sine cont | comme cerae captors cus | Las lgneo DIOS @t DA oi le CRolavarrdoned tee ta | Gaeus, comme be pian | tes parle pate ‘ands Glee seat desiiopaaabirrtar| cu iesmarieon" ao: commuter; | lignes KER et DAC i pectiped alse scaly os tat da | Pldeurwapparas el tur po. | Mecodee: A Meta TOR aca cc ana | [rar nec ocsen esata toa | ae Toa sper Lae ceeaimsbarl ae | ymusinandpantanaan pateisl | Doi aussi pe O50 BRE cate une amvsune aaetonton: | labo ESE part de weer | Yak at tax (Soe 5 at Soprersaaral sa og (a | almaieraalappua eoerata et esata desire variances aun a ea HTN, | maa d's appre dort ove | NEFD Oot Pama For Daa) a at Combi pau ext un poling | ma sous tron, Grew appaut | wal (one @.0 0) A Theta i SUATASs iver ona | pain pareraiine saeae careron | recousucracia iD Asa ena rl ae arceeall cleanin ed | leszae Fearne ena spa ones ta cas a Son Sasa adap [e paeega Tose Pee ppecettees ieee ntet | co rare seracos jeter (acre prea Aas toe DAW MRED ot NDAG : es to | te etl ort tie | DN yoru dour 0 Saree pratt conte de | Settee ae tapas pour ow | Tote pac aur eines BD warn cm ott sno | Tf apart fs spice | et aio, Db oe Pour com- Fon peut traduire par « poigrae de | Part du setup » accessible depuis | mence acquisition de octet. A ins- Ton pi ae p= pote de | an ‘Aoutons aoe | aT, fa tn tacston Go ra Soar esnd te sv eves | et ena (i astra Shntacommonons ete sopares | NOAC (Net Daa ACoeped) & Sat I. te Hae cua le pase | Tent nce 20 mite toa | fax. Le pater meta a Tore aeau eau | a comme in| occur ure aon ene ser | DAY 8 Ft ax pour sgl ue rae bs of provooue retour | Stat no put enced 2 rte. | Voce et pi va. La ee s0 oe | posnncst atarcing cats om | oncneaa ROSA ginroc _ ot seeps aco | soars FOn' Spe 8 couse | Tunis corerponde aun caste coe ee poe eee rs eer oa eee ome quelque chose a dire », par exemple qu'une mesure est dispo- | FI processus dun échange de données ible, ou Bien qu est on eeur, ou soon da aaitits ac | | regue ne fait pas partie de son | ioe ——| [eet iccsnd i 30) Cette erreur survient si une comman- de contient une adresse de valeur supérieure & 30. - Erré (timeout) Le délai maximum a été dépassé. = Err5 (réglage timeout) Ce message survient si vous tentez de définir un timeout inférieur & 1, ou supérieur & 60. - Err6 (r6glage adresse de Vinterface) Ge message est identique l'Err, mais conceme adresse de la carte GPIB, ~ Enr7 (la carte ne peut pas s’adresser elle-méme !) Cette erreur se produit sion envole tune commande (comme OUTPUT ou ENTER) avec comme adresse celle de la carte GPIB. Le fonctionnement de la carte peut {tre testé & l'aide d' Hyperterminal de Windows. 1! faut alors paramétrer la ‘communication en 115 200 bauds, 8 bits de données, 1 bit de stop et pas de contréle de flux. Pour un controle plus confortable et plus approfondi, on peut lancer le logiciel TEST_GPIB.EXE, dont un éoran est présenté en figure 8. Ce | | ER ceompie crécran du togiciel Test gpib atoll Commandos de Mnteriace ot du bus [feos seting. Be 4 [strecogetnintace 0 eter late Lace aPunersia | [stwceresting -vraeaancnera || roar) ‘ - Ee see Ties bine [Reseda [25 macau acetic mye eae hg oe ela cae GA cevtaciecte cen cee Change io Tacit bs tee: oe ‘Device ceo C1 Race Et) cael me el Tosa) | Aww$0C] | San Tae [Cas emene ss SS (Date GF ei coc alba sno IO wane etectroniquimpratique, com ELEGTRONIQUE PRATIOUE Micro/Robot logiciel a ét6 testé sous Windows 2000 et Windows XP. Lorsquiil est lancé, le logiciel détecte automatiquement la carte GPIB et recherche ensuite les adresses occu- ppées par des instruments éventuelle- ment présents sur le bus, avant de rendre la main a lutlsateur. La fenétre de gauche affiche les infor- mations en provenance des appareils ‘commandés, tandis que celle de droi- te conoerne plus particuliérement la carte et les lignes de commande du bus. Il gere les éventuelies erreurs regues de la carte et permet de s'atfranchir des « OUTPUT », « ENTER » et autres caractéres de fin de ligne. Dans le champ « Envoyer vers I'ins- trument », il suffit done de saisir une chaine de caractéres conforme & la syntaxe préconisée par le construc teur de l'appareil sollcité, aprés en avoir renseigné l'adresse dans le champ « Adresse d'instrument », puis de cliquer sur « Valider (Qutput) » FEA veux anparets sont ici rac- cordés 4 l'interface Si la chaine envoyée déclenche une réponse de l'appareil (elle contient alors, en général, un point dinterro- gation), il faut ensuite cliquer sur la touche « Recevoir (Enter) » pour voir s'afficher la réponse de l'appareil Si la ligne SRQ est activée par un appareil, la pseudo-led, en bas & droite, s‘allume en rouge et la touche « Status » s'affiche en ver. | ll faut dans ce cas cliquer sur cette | touche, ce qui a pour effet d'atficher | Foctet d'état émis par l'appareil, de désactiver la ligne SRQ et d’éteindre la pseudo-led. Les messages retournés par un ‘appareil sont présentés dans un for- mat particulier au fabricant de cet appareil exemple présenté affiche une chai- ne de caractéres (fenétre de gauche) regue d'un analyseur audio Sound Technology type 9200. Cette chaine signifie que le niveau audio mesuré vaut 748 mV efficaces ft que la fréquence du signal est de 30,673 kHz Comme on le voit, il sera nécessaire qu'une application bien faite, dans le cadre d'un relevé de tests automa- tique, manipule quelque peu cette chaine de caractéres pour obtenir lune présentation des mesures plus | acceptable ! 8. LEBRUN £t st vous réalisiez votre chaine hi-fi a tubes... 8 amplis de putssances 44120 Weff 4 préamplis haut et bas niveau 1 filtre actif deux votes Des montages a la portée de tous en suivant pas a pas nos explications ‘Je désire recevoir le CD-Rom (fichiers PDF) « Et si vous réalisiez votre chaine hi-fi a tubes. ><) France :30€ Union européenne : 30 € +2 € frais de port Nom Prénom Ne Rue Code Postal Vile-Pays Bon & retourner accompagné de votre réglement Transocéanic - 3, boulevard Ney 75018 Paris Tal. : 01 44 65 80 80 t:« tubes » i} re i] oF ¢ 0 ic) od Ww 28° PARTIE DE LA THEORIE A LA PRATIQUE LA CONTRE-REACTION (SUITE) La contre-réaction est cer- tainement, en audio, cuit le plus difficile a bien utiliser. Dans notre dernier nous vous avons exposé les _principes de base de la réaction et de réaction_négative_(contre- réaction ou CR) en simpli- fiant,_a l'extréme, un_phé- noméne bougrement ci plexe ! Pour aller plus en avant, il_vous faut_bien comprendre ce qui fait que cela fonctionne ou... provo- que _une catastrophe | Et tout d’abord. Ly a contre-réaction lorsque le signal réinjecté & l'entrée est en opposition de phase avec le signal dlentrée, Avec un seul étage ampl- ficateur, aucun probleme (igure 1). Sion couple avec un atténuateur ad hoc la tension de sortie récupérée sur la plaque d'un tube ampiiicateur et qu'on réinjecte une fraction de cette tension sur la grile de ce méme tube, oppost tion de phase est parfaite care tube est Inverseur (ire nos précédents cours). En théorie du moins, car différents facteurs parasites peuvent intervenir ! Tout d'abord, les capacités parasites (cl. cours précédents). Elles se trouvent en paralléle sur ce circu archi simple et ameénent des rotations de phase aux fréquences élevées. Liinversion de phase n’est plus parfaite et le systéme ppeut entrer en oscillation & tres haute {fréquence ! Les condensateurs C et Ck (en série avec le signal) vont, eux, faire tourner la phase aux trés basses fré- ‘quences. Accrochage trés basse fré- quence, trés désagréable. Avec un seul étage contre-réactionné, vous ne risquez pas grand-chose. Mais, plus le nombre d'étages augmente, plus V’effet des capacités parasites et des condensateurs de liaisons et de découplages se fait sentir, Mais cont nuons avec des circuits parfaits (!) hyper simples et abordons le cas de deux étages (figure 2) Inutile de songer la contre-réaction ramenée sur la grille car la tension de sortie se retrouve en phase avec la ten- sion d’entrée (180° + 180° = 360°) Vous avez fabriqué un vrai oscillateur qui se nomme un «muttvibrateur » ! Déphasage de 180" Figure ta : Un tube est inverseur. Figure tb : Application de Ia contre-réaction ZalglH fs =[] sur un simple fy a1 ww cloctroniquepranque.com 50 E -CTRONIGUE PRATIQUE L’AMPLIFICATION OF contre Figure 4 ‘Comment appliquer la contro-réaction (CR) sur un systéme & deux stages. Ft beaucoup plus grand que Ra 'R2 beaucoup plus petit que Rk a Fe 2 Si vous réinjectez une fraction de la ten- sion de C vers &, le systime oscil ‘Vous avez oréé une réaction (enultivibrateur) Ce sera toujours le cas lorsque la bboucle de contre-réaction englobera un nombre pair d’étages. Avec trols étages, le probléme ne se pose pas (figure 3). Le signal de sortie fen D est bien en opposition de phase avec le signal d'entrée en A, Vous pouvez cependant, dans le cas (frequent) de deux étages dans les pré- ‘amplificateurs, oll est important que le signal de sortie soit rigoureusement en phase avec le signal d'entrée (phase absolue), appliquer une contre-réaction ‘sur la cathode du premier tube (figure 4). Appliquer une tension positive sur la cathode revient, en effet, a réduire la tension entre grille et cathode, donc I'équivalent d'une fraction négative de tension sur la grille de commande. Deux autres méthodes sont employées ‘couramment, elles sont extraites de deux célebres fabrications - Ampii de ligne par Ampex. Utilise, sur deux étages, une contre-réaction ite ine 310 waw.electroniqueprotique corn SH ELECTRONIGUE PRATIGUE LA CONTRE-REACTION (SUITE) +50 sav s20Ka. aay Figure 5 : Contre-réaction plaque & plaque (schéma Ampex) Figure 6 : Contre-réaction cathode & cathode (schéma Mc Intosh). ‘Attention : ce montage est inverseur 025 ur aa ‘eauTIEccE ‘ussNT 1310 Tube aaxrrecces 69 Sortie «plaque & plaque » (figure 5). = Ampli de ligne par Mc Intosh (C20 et (©22), Contre-réaction dite « cathode a cathode » (figure 6). Je vous recommande de mettre en pra- tique ces deux schémas, vous serez ‘surpris par le résuttat | Vous remarquerez, sur ces schémas, que les résistances de cathodes ne ‘sont pas découplées par un condensa- tour Ceci améne une contre-réaction supplémentaire dite, selon certains auteurs, « contre-réaction dintensité », ccar ces résistances de cathodes sont pparcourues par le courant traversant le tube. En réalits, d'autres auteurs affirment (ot Je suis tenté de les croire... par expé- rience) quill s'agit d'une contre-réaction de tension, car acissant directement sur la variation de potentiel grile/plaque. Au bout de soixante-dix ans, le débat n'est ‘toujours pas clos ! ‘Toujours est-il que le gain de étage est diminué, mais que son taux de distor- sion peut étra considéré comme nul ! Crest extra et c'est ce qu'l faut faire | ET LES ETAGES DE PUISSANCE ? Nous avons vu que chaque étage fengendre, en théorie, une rotation de phase de 180°. Mais en raison des capacités parasites des condensateurs de liaisons et d'autres facteurs (induc- tances, transformateurs, etc.) il est évi- dent quien réalité chaque étage va introduire une rotation de phase « para- site » en dehors du déphasage normal. Prenons le cas de trois étages. Normalement le déphasage global devrait tre de : 180" x 3 = 540" En fonction de la fréquence, les effets parasites vont se faire sentir, parfois sur tune seule fréquence du signal musical. Si, A une fréquence déterminée, les liai~ ‘sons par condensateurs de grilles intro-

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