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INTERACTION SOL-STRUCTURE ET COMPORTEMENT DES FONDATIONS Alain PECKER 1. INTRODUCTION L’ingénieur, confronté aux problémes du dimensionnement ou de la vérification de la tenue dune structure visa vis des sollicitations sismiques, peut s"orienter vers diverses possibilités concernant la prise en compte de interaction sol- structure : = la négliger. Dans ce eas, il devra bien évidemment justfir le fait que V'interaction solstructure peut étre égligée et que sa prise en compte conduit a une réduction des solicitations. / calo.0 bam anole ) ~ se référer un document réglementaite. C’est I’approche qui sera suivie dans la plupart des cas, en particulier pour ce qui concemne tous les batiments usuels. ~effectuer une analyse dinteraction sol-stracture détallée. Cette analyse est requise lorsque Finteraction sol- Structure joue un réle important dans la réponse de Touvrage, lorsque sa prise en compte sort du domaine réglementaire, ou lorsque la situation réelle de Vouvrage (enfoncement dans le terrain, conditions _Réotechniques locales, etc.) ne permet pas de se référer & des solutions simplifiées. Parmi les méthodes de prise en compte de linteraction sol-structure, Vingénicur aura encore le choix entre des méthodes de sous- structures faisant appel aux notions d'impédance de fondation, et des méthodes de résolution globale (elle que la méthode des éléments finis. 2.0, APPROCHE REGLEMENTAIRE Ne seront abordées dans ce paragraphe que les dispositions églementaires relatives la définition du niveau sismigue sur un site donné et & la prise en compte effective de Tinteraction sol-structure. Pour une présentation détailide des régles générales pour la conception des projets, de la justification des systémes de Fondation et les dispositions constructives afférentes, on pourra sc reporter au document "Fondations, propriétés des sols et impératifssismiques", publié par le CFMS et 'AFPS (novembre 1986) et aux régles S92 (Norme NFP.06-013).. 2.1. Définition du mouvement sismique [L'intensité et le type d”agression & considérer sont conventionnellement spécifiés au moyen d'un mouvement sismique de référence qui ne dépend que de fa zone de sismicité 8 laquelle apparticnt le site et de la classe de risque a laquelle appartient 'ouvrage. Les zones sismiques sont classées (Décret N°91-461) : 0: site de sismicité nulle ou négligeable, TactIb site de faible sismicité, U: site de moyennesismicité, om site de forte sismicité Les ouvrages de la catégoric a risque normal au sens du décret 91-461 sont répartis en quatre classes (arrétt du 29 mai 1997) = ‘elasse A: ouvrages dont la-défaillance ne représente qu'un risque minime pour les personnes ou l'économie classe B : ouvrages ou installations offiant un risque dit normal pour Ia population ‘elasse C : ouvrages représentant un risque élevé du fait de leur fréquentation et de leur importance socio- économique classe D : ouvrages et installations dont la sécurité est primordiale pour les besoins de la protection civile et de fa survie de la région, ‘Le mouvement de référence correspond a un mouvement défini en champ libre a la surface dun site de référence qui est, par convention, un siterocheux stratification sensiblement horizontale. Le moavement de Calcul & considérer en un site détermine résulte de Tadaptation du mouvement de référence aux conditions particulees propres du sie, Son intensité est définie par le paramétre aceéération nominale ay qui stentend Pomme T'aceélération efficace commune des composantes horizontales du mouvement et dont la valeur est finée par voie réglementaire. Les valeurs proposées varient de 1 m/s* (ouvrages.de classe A, zone de sismicité Ia) 44.5 mvs (ouvrages de classe C, zone de sismicité IN). Le contenu fréquentic] du mouvement de référence est défini par Ie spectre SO (figure 1) ‘Le mouvement de surface & prendre en compte en un site donné, est conditionné par : + Jes propriétés géodynamiques des formations géologiques du site, + Ia topographic de ce demier. ‘A cette fin, il est défini, en fonction des propriétés des sols consttutifs, quatre types de site & chacun ‘esquels est attaché un spectre élastique normé A la valeur 1 ms* de ay. Les effets de la topographic locale ‘sont pris en compte au moyen d'un coefficient correcteur dit d'amplification topographique. Toutefois, si la ‘configuration et les propriétés des formations constitutives du site sont connues avec suffisamment de détails et de précision pour en permettre une modélisation réaliste, le projeteur a la faculté de calculer le systéme Sol-structure au moyen d'un calcul dynamique en supposant le mouvement de référence appliqué a la base des formations surmontant le substratum rocheux. La definition des spectres élastiques normelisés repose sur la classification des sols donnée & la figure 2, penmettant de vattacher le sol d'une des tois catégories deéfinies & partir de résultats dessais géo- Precaniques, et Sur la definition des sites donnée & la figure 3.11 importe cependant de noter que, dans le eas de sites comportant des sols du groupe C cn trés grande épaisseur (supérieure & 100 m), il convient de procéder 4 une étude particuligre en vue dela détermination d'un spectre spécifique -3- Les constatations effectuées aprés séisme montrent en général un accroissement sensible des dommages ‘occasionnés aux constructions édifiges sur une pente ou au voisinage dune créte de talus. Pour en tenir compte, les régles PS92 (Norme NEP 06-013) proposent de modifier globalement la valeur duu mouvement sismique par un coefficient mulliplicateur t fonction de la pente locale du site, La définition précise du coefficient + dépasse le cadre de cet exposé I est a noter que les considérations ci-dessus ne sont applicables quiaux ouvrages de la catégorie dite a risque normal. D'autres dispositions existent pour la catégorie des ouvrages a risque spécial (Amété du 10 mai 1993). 2.2. Interaction sol-structure Les régles PS92 précisent que les constructions peuvent en général étre calculées en supposant le ‘mouvement sismique applique & la base de leurs fondations. Les recommandations AFPS90 précisent que les liaisons avec le sol peuvent tre modélisées sous la forme de ressorts en rapport avec la nature et le nombre des degrés de liberté choisis (translation et rotation). Cette approche sur latjuelle on reviendra au paragraphe 3, correspond i une prise en compte simplifige'de Vinteraction sol-structure dans laquelle le mouvement interaction cinématique est négligé et dans laquelle les impédances de sol sont prises constantes, indépendantes dela fréquence. Ces recommandations, ayant scrvi de base & T'laboration des régles PS92, précisent en outre que, lorsquiil dispose d’éléments d'information suffisants en ce qui conceme les sols de fondation, le projeteur a la faculté de procéder au calcul de la réponse de ensemble du systéme sol + fondation + structure en supposant le mouvement sismique de référence appliqué au substratum rocheux ou, si la position du substratum ne peut tre connue, & une formation suffisamment profonde pour jouer de ce point de vue le role de substratum. Tl est également prévisé, que dans ce eas, le modéle doit représenter correctement la propagation vers T'infini des ondes nées de Tnteraction sol-structure et rendre compte du comportement non linéaire des sols. Le calcul doit alors ée effectué a partir daccélérogrammes, de préférence naturels, slectionnés et adaptés ‘pour représenter le mouvement sismique de réference. ds ine Line 4.0. METHODE DE SOUS-STRUCTURES = 4'sc~3I5~, du Sof eb 4. a L, mithodas ds aun ibas puted oe Vobsme Cette méthode est de Toin la plus utilise dans la pratique. L'approche réglementaire exposée au paragraphe 2 pour la prise en compte de I"interaction sol-strcture en consttue une version simplifie. Une méthode de sous-structures 2 pour objectif de scinder le probléme global en plusieurs étapes suecessives, chacune des étapes étant réputée plus facile a résoudre du point de vue de la modélisation ow du traitement que le probléme global. Pour un traitement rigoureux et mathématique de ces méthodes, on se reportera a Wolf (1985 , 1988). On se bomera dans la suite, & énoncer les résultats sur lesquels sont basées les méthodes pratiques de calcul d’interaction sol-structure. (On montre (figure 4), que la réponse globale de la structure soumise & = onde sismique incidente s'obtient par résolution des trois étapes suivantes: @ ¢ ther a | a pow fore appt du niveas 0 Le fond Son 's détermination du mouvement d'une fondation rigide et sans masse soumise & la méme sollicitation sismique que la structure. Cest la détermination du mouvement «interaction cinématiqu ‘= détermination de limpédance de la fondation rigide; + caloul de la réponse de Ia structure lige & cette impédance et soumise a la base des impédances au ‘mouvement interaction cinématique. La demiére étape en particulier dans le cas oi les impédances peuvent étre choisies constantes (Godépendantes de la fréquence), se raméne @ un calcul de structure classique, Ul est important de noter que si jes deux premiéres étapes ont &é tralées corectement, Ia solution de la demiére étape constitue, sous reserve d'hypothises de linéarté, 1 solution cxacte du probléme global, ct cc, bien que la modélisation duu fol de fondation ait été réduite a de simples "ressorts et amortisscurs’. Le caractére exact et rigoureux de la Solution n’a pas toujours été bien pergu ce qui contribue parfois a discréditer ces méthodes par rapport & des ‘maéthodes globales du type éléments finis. ‘Les mémes principes s'appliquent dans le cas de structures sur picux, Timpédance de la fondation étant définie en téte des pieux. Tl convient cependant de noter que le probléme est plus complexe, car la ‘étermination de Vimpédance d’un groupe de pieux est une tache difficile et peu de solutions sont publiées Gans [a littérature, contrairement au cas des fondations supetficielles. Par ailleurs, pour les fondations sur peux, il convient de verifier les efforts induits dans ces derniers. 3.1. Interaction cinématique Ces méthodes par sous-structures peuvent étre trés attractives s'il n'est pas nécessaire de reprendre pour chaque nouveau probléme la solution des deux premitres étapes. En ce qui conceme le calcul de interaction tinématique, Kausel propose une méthode simplifige. En régle générale, ce mouvement d'interaction ‘inématique est purement et simplement négligé. Il convient cependant de noter quil existe des situations oit ‘cette interaction cinématique est effectivement nulle. C'est en particulier le cas de fondations superficielles Tigides lorsque le champ incident est composé, soit d’ondes de cisaillement & propagation verticale, soit Grondes de compression A propagation verticale. Cette situation se rencontre également dans le cas de fondations sur picux lorsque ceux-ci sont suffisamment souples vis-d-vis du terrain cneaissant (Gazelas, 1984). ‘Ces hypothéses apparemment restrictives, correspondent en fait, aux hypotheses ‘couramment admises en genie parasismique. Il est enfin a noter que le réglement néglige également cette interaction cinématique (ef. paragraphe 2). 3.2. Definition de Vimpédance Les nombreux résultats publiés dans la littérature (voir par exemple Gazetas, 1991), tout au moins en ce qui concerne les fondations superficielles, permettent bien souvent déviter le recours aux caleuls précis de TTimpédance de la fondation. De fagon générale, l'impédance d'une fondation peut sécrire K=k (ki +i apes) a) ou Kreprésente la raideur statique dela fondation, ky et ; sont des paramétres adimensionnels variant aves Ia fréquence adimensionnelle ay = © r/VS. rp désigne une dimension carectristique de la fondation (rayon, demi latgeur, ete, Vs tne valeur caractérstique de la vitesse de propagation des ondes de cisaillement, ct Ia pulsation. ob ts we the Une lia. chit, Sue 3.3. Impédance d'un fondation superficielle dy tenor by Considérons le cas dune fondation rigide de rayon proposée a Ia surface d'un demi- espace élastique hhomogene isotrope; si K désigne son impédance définie par 'équation (1), la réaction du sol sous la fondation a pour expression : ‘ QR : < | = aaeateim du 22k . RO=K.20 eee @ we Ke LR jase) code [Notant que pour une sollcitation harmonique, 2(0)= i2(, Véquation 2) peut se transformer en “°~ 7 ve Ladle § yaaa dn agnor 6 o tg eee 2% dn pote fas Ler exteli om RO=kk 2+ KEE g ‘et Héquation d équlibre dynamique de la fondation de masse m s'Gerit alors: . ca duiphera ge correyomk mEQ +key * 20 +k 2) =PO @ Pamorh Semeur adc hoy £ pesepepate Vane olive malehee Ramon ten aw gob Cette équation est l'équation d'un oscillatcur simple a un degré de liberté. Le mouvement de la fondation est celui d'une masse m posée sur un ressort et un amortisseur de caractéristiques K = k ky, © Tole. Ce Tessort et cet amortiseeurreprésentent le demi espace sous-jacent. Ses caractéristiques, qui dpendeat de la fréquence, incluent les effets de masse, raideur et Eventuellement, amortissement matériel du semi espace. equation (4) met en évidence le fait que mEme dans un semi-espace élastique, il existe un terme Gamorissement ¢ réultant de la propagation dondes depuis la fondation vers Tinfini. I! sagit d'un amortissement radiatif qui dépend de la Séquence. A cet amortssement, peut sc superposer un amortissement matériel indépendant de la fréquence si le matériau constitutif du semi-espace a des proprités dissipatives. La partie réelle de Timpédance représente les effets dinertie et de raideur; Ia Aépendance sur la fréquence résulte du terme dinertic, tandis que In partic lige & la raidgur est indépendante dela fréquence ‘Un exemple de détermination de limpédance d'une fondation circulaire sur un semi espace est donné sur la figure 5 ; les courbes donnent pour les quatre degrés de liberté de la fondation la variation avec la fréquence de ky et de ¢; (Equation 1). [A pattir de Vanalogi ci-dessus, il est possible tout au moins dans le eas du semi-espace, de simplifier plus avant Ja détermination du mouvement de la fondation en définissant des coefficients dimpédance indépendants de la fréquence. Ces coefficients sont choisis de fagon & ce que Ta réponse du massif de fondation soit aussi proche que possible de Ia réponse exact. ‘Ainsi, la réponse étant gouvernée aux faibles fréquences par la raideur statique, la partic réelle de 'impédance dynamique est choisie-égale & ky ~ 1. Au voisinage de la ésonance, la réponse étant controlée par lamortissernent du systtme, la partie imaginaire de Timpédance est choisie de fagon a reproduire le mouvement & son voisinage. En suivant cette approche, Lysmer (1965), Hall (1967) ont proposé les valeurs atimpédance données dans le tableau 1. Les expressions de la raideur statique permettant de compléter la définition des ressorts et amortisseurs sont, dans le cas du semi-espace : + pompage vertical : k=4Gre(l-v) eet begeniany Llomort sional kedidif roulis E=36@)8(0-) Gr um phinomins oxbdmenel” torsion © K=16G (0)'/3 er ee mc Preux mom Rowogiry C508 stores ) Les valeurs données dans le tableau 1 conduisent a une trés bonne approximation de la xéponse sur la plage de fréquence définie par 0 < ap < 4. Notons enfin que dans cette approche oli les coefficients dimpédance ‘sont pris indépendants de la fréquence, le sol de fondation est simplement modélisé a Yaide de ressorts et @amortisseurs (un couple de valeurs pour chaque degré de liberté), de caractéristiques constantes. Ces, simplifications sont essentiellement différentes de celles d'un modéle de Winder; elles correspondent & une approximation de Timpédance ot tous les caractéres de raideur, masse, amortissement du sol sont ccorrectement pris en compte. Cest lapproche suggérée dans les recommandations AFPS90. ‘Dans le cas d'une fondation sur un sol stratfié la variation des termes de Vimpédance avec Ia fréquence (partie réelle et partie imaginaire) est tris prononoée et la représentation simplifiée & V'aide de ressorts et amortisseurs constants nest plus possible. Cependant des modéles rhéologiques relativement simples peuvent également éte utlisés pour rendre compte de cette dépendance. Ces modéles peuvent avoir une origine physique (Wolf 1994) ou étre développés en ajustant les paramétres du modéle rhéologique de fagon a reproduire la courbe de variation 'impédance avec Ia fréquence. Dans ce emier cas, il convient Pavoir préalublement déterminé Timpédance de la fondation par une méthode numérique appropri¢e. La figure 6 (Pecker 1995) présente quelques modiles rhéologiques possibles, Avec ces modéles, qui peuvent tre utilisés plus partculiérement pour des analyses temporelles de la réponse de Touvrage, la réaction dynamique du sol sur la fondation (€quation 2) est correctement prise en compte ; méme les termes de ‘yaideur négative” que T'on rencontre fréquemment pour des profils de sol stratifiés peuvent étre pris en. compte A Taide de ces modes, alors que de toute évidence 'approche classique par "ressort constant" se révéle impuissante. Un exemple dillustration de tels modeles est donné sur la figure 7 (Pecker 1995) pour le ‘cas dune fondation de pont de 90 m de diamétre, pour laquelle Timpédance exacte a été déterminée ‘pumériquement & Taide d'un code aux éléments finis ; le modéle rhéologique utilisé pour la simulation est celui de la figure 5a, 3.4, Impédance d'une fondation sur piewx BAI, PuRUISOLE Les résultats les plus récents concernant les impédances d'un piew unique (Gazetas 1991) sont donnés dans le tableau 2, Diun point de vue théorique, Ia plupart des formules données dans ce tableau sont raisonnablement précises puisquielles résultent d'une approximation analytique de résultats numériques. La difficulté réelle application de ces formules résulte, en fait, dans le choix d'une valeur appropriée du module de sol. En effet, méme pour un sol homogéne, le module sécant du matériau varie avec 'amplitude de Ia déformation du fait du comportement non-linéaire du sol. Ces déformations diminuant avec la profondeur, le profil de sol esse, méme dans ce cas, d'etre homogéne. 1a figure 8 présente dans le cas du pieu isolé dans un milicu homogéne, la variation avec Ia fréquence des parties dynamiques ky etc; de Timpédance (équation 1). Cette figure (Blaney et al, 1976) est lanalogue de le figure 5 pour la fondation superficett. 3.4.2. IMPEDANCES D'UN GROUPE DE PIEUX En raison de l'interaction entre pieux, la distribution des charges sur les pieux individuels ne sera pas en général uniforme, et de plus, dépendra de la fréquence de fa sollicitation. Pour déterminer l'nteraction entre le pieu "a" et le picu "b*, distants de S, on recherche Ia déplacement harmonique Wiz & du pieu "b" da (exclusivement) aux ondes émanant depuis le périmétre du piew "a" quand ce demier est mis en vibration forcée par un déplacement en téte ayant pour expression Wis &™ Ce déplacement peut étre calculé trés simplement & partir de Vimpédance du picu unique telle qu'elle a été pe "Bulyoo) @seUd-Ut 19} hrs tsu0122} von dereTUl + LS ty08.p/t+ CoE + LR 4:08 €O/Te Le t02> 2/7 (7 adep 1 A nes yi 51 "A a1auie'g'0 > ™A/pm = 8 10)) is ¥ e 5 e =f t 2 s0198| snisor-tnisen®, (E) a2" | rarsypeentsrnsoortered-%, (g}T S| talsyre-P ralsntson®: | text 20} 2138) uonaeNUT Tanoip ong BUnNbIy 10 esvodsay ou) Bujsrorny 10) Woiseg VoN>eOI atd-Or-Ad AS Ua > 9 10) ere}odewy Aye Wei>y> 4 jodaius Ayeau, 4G b> J > 19} areqodi.U! AeaLt] 7S PHO='D 4313010549 431 P1079 eter ntgitg) =~ VS eclergsng 1-8 ETF ealesneraytaye-9— SF ovoumn cara susyjeoe “ IG 1 <7 104 PLTPUTAG G20 ¥?D UGS 4305 P2702") YSN <4 30) 2TPUM AT OCB AD jedysep vomper jexy . “widap WnierIs ajoym at 10 77 aBesaNe aU) '0'0 = if Budwep jos jeyerew 20) 0% (7% ue Hb7™%p ==) “wonmwrorde way @ 5 "wea HOS 84 Jo auENbo!)LueUOSa! a ule smaue y Se3 EPs 7b = 9% 0) voomiog w eiodmuy | (S0> Yarn = Seo) usamieq uae wemnpz= ( (eit) tga 9 p "7a = A, SeuRN Je JO wiNIENE sRoGUeEOWOY e UI soyd BuEON Jo SEU] [e) Suprise oui Pens oh a DTN serge eigen Jo vejewns9 sodord v.20) ose vo ost 1ng (°3/°3) ssoujjas yee ones -15- ARE 3 > o.ts 0210.30, sy «pe T > 1 16 2 25 Figure 1: Spectres de réponse élastques - PS 92 Pande] SFT Tiss [Daatd| des | Views [Vane do move toes |) ae” | Vee” | “bese ste | Nose reat [onae] ones TYPE DESoL > reson|Con Ter | ee" | scata) Hos tise | oo | wi | tte’ | sn cat | fame | camo at sig Sront (Mpa) (Mpa) | (Mpa) | (Mpa) | (%) ce (erds) | (avs) | (mis) Racers sins ot vio | 2s | >10 > > ociens | Racers x 0 2300 emoures | soegnnis | 45 | 520 | veo | 22 >60 > 1800] > 400 Sa de bome aco |__| Sttstowes Sos chtres sdsistanoe {argiles oumames| >5 225 22 204 <002 +> 1800 tricorn | Sm [— “mee xo = peace Hs0.a too] 2585 | 1a10 a & GROUPED 200 2500 ° | panne va | 50 siisceressanos| moyemnemort” | sap | aso} oazo | 182 wre |e mécanique compacts: 150 | 1800 | a0 ‘moyenne ‘Sle echérente om | ate 1000) moyernoment | 4.545 5a25| osaz |o1a04 a a ‘Sse 10 1000) erource | Sstomusies | og | cay | ce | ct <0 chains freee <1s0 |1500) 0 is presented in figure 2. In the general case, the following equation has been found appropriate to define the bounding surface: @ in which the parameters a .. g and o ... Y have determined numerically: a=0.70, f=0.44, 29, ¢ = 2.14, 4 1 122, @ B=05, ee? Equation (3) is valid under the constraints: O gradp-n lig-m as) i u, eat le déplacement du solide et m est la normale A la paroi. iv) conditions aux limites sur les autres frontiéres. Par exemple sur une surface libre : si l'on tient compte de la gravité P=peuy-n a4 sinon p=0 On peut éliminer une de deux variables p et u, pour obtenit une formulation uniquement en. déplacement ou en pression. Pour les fluides quasi-incompressibles Ia formulation en p=cte La pression est calculée par la loi de comportement (1.1) ce qui donne = p=pe?(uy —u2)/L lous eon ayer te Ferm de rocdn rm d5h 0% K+pe"S/L —pe?S/L =). El ({ a 5 Ferre de —pe2S/L k+pe%S/L}Y2 me } ity |” 10 ey tea tie Comme pour l'effet incrtic! on constate que Veffet d'élasticité n'ajoute pas de nouveau degrés de liberté mais introduit un couplage supplémentaire entre les degrés de libertés de la structure et par conséquent les oscillations libres du systéme sont régies par les équations: 1.4 Bffets combinés de linerti et de Ja compressibilité On considére exemple de la figure 1 avec S} =S7 =S et h=hy +h. Cette fois ci on ne néglige pas la compressibilité du fluide, par conséquent son comportement est régi par équation de acoustique (1.5) munie des conditions aux limites. En régime harmonique établi, pour un mouvement du piston w, = we ona: fee (Jona. tf | Srtle) PO Geto pi) =0 s h La solution nous donne : ar Hh 4 pb 12,0) = oped sn tg eos] 1 EG, pF om tot “ “(Peer La force du fluide sur le piston étant p(0,o)S l'équation des oscillations libres du piston est: (e-em, ag ‘oi m,est la masse totale du fluide, On constate que I'équation (1.14) a une infinité des valeurs propres c.a.d le couplage avec le fluide a introduit de nouveaux degrés de liberté en plus de ‘ceux qui décrivent le mouvement de la structure (w dans notre exemple). Il s'agit du couplage acousto-mécanique, Si oh/¢<<1 léquation précédente est pratiquement identique a Ia (1.11) cad. on retrouve un effet purement inertiel. En revanche on pout démontrer que si @h/e>>1 on retrouve les modes acoustiques du volume fluide. 15 Effet de pesanteur pes pas rion du babe tw u Figure 3 : Effet de pesanteur Considérons le tube rigide de section S de ta figure ci-dessus. Le tube contient un Muide incompressible. Le tube peut avoir un mouvement de corps rigide horizontal u, Si ton tient compte de la pesanteur la condition a Ia surface libre (1.4) revient & mettre un ressort vertical s de raideur pgS. Les déplacements de Ia surface libre étant maintenant des variables de notre probléme, de nouveaux degrés de liberté (w,, w,) sont introduits en plus des degrés de liberté du solide (u). A cause de lincompressibilité le nombre de degrés de liberté est réduit & deux. En offet la continuité du débit impose que la vitesse relative dans une branche verticale sera Vopposé de celle dans l'autre branche verticale: Ww) =-w1 = (1s) Leénergie potentielle s'écrit : 1 zlrestwt +03) +k? (16) et lénergie cinétique est, en négligeant la masse propre du tube : tranches vertcales branche horizomtle Deans yeeales tranche horvont é (1.17), Les équations de Lagrange : (18) permettent q'sboutir aux équations doscillaions libres du systéme. Le probléme de modes propres sécrit : cout ‘Qps OTw] 5 fe (epw|_fo [" elu}? Se chu} *lo a9) = 2h-+é est la longueur totale du tube. ‘On remarque que la condition de pesanteur sur la surface libre introduit un couplage centre les degrés de liberté de la structure et les déplacements verticaux de la surface libre. Si k>>@2pSL on obtient une solution u=0 et @ = g/L . Il stagit du mode de ballottement ot du fluide dans un tube immobile. En revanche si g/@7L <1 la premiére de (1.19) donne £ 1u, En remplagant dans la deuxiéme de (1.19) on trouve k ps(L— ¢?/L) remarque que pour un tube trés haut (£/1: <1) la masse ajoutée est Ia masse totale du fluide pSL. juste la relation entre u et w= L la pulsation propre en tenant compte sculement de leffet inertiel :0? 1.6 Nombres adimensionnels On peut avoir une idée des phénoménes prépondérants qui interviennent lors de interaction fluide-structure & l'aide de certains nombres adimensionnels pertinents. Pour les phénoménes que nous avons étudiés ces nombres sont : a) Vitesse réduite Ce nombre indique si l'on peut négliger l'écoulement permanent du fluide . 7 fe = _ Tsolide at Me veer Tide —— “Ypkites geciods dn nrote pope ood oi Tyg est un temps caractéristique de la dynamique du solide et Tyau, est lordre de randeur que le Muide met pour parcourir le solide. Up <<1 signifie qu'a Véchelle de temps du ‘mouvement du solide Ie luide est quasiment immobile. 2 'b) Nombre de compressibilité ApeatEzo hee a Tl indique e'l fant tenir compte de la compressiblité c.a.d s'il faut tenir compte du deuxiéme terme du premier membre dans Néquation de acoustique (1.5). Si L est une dimension caractéristique du volume fluide Vordre de grandeur de Ap est approché par Ap = p/1? ce TI<1 signifie que leffet de compressibilité est négligeable devant I'effet inertiel, le fluide peut étre traiter comme étant incompressible. ©) Nombre de Froude gga tere gedgen = hs Il indique Timportance de leffet de la pesanteur. En approchant dans Ja condition & la surface libre (1.8) le gradient vertical par gradp-n = p/H, H étant une hauteur caractéristique, on éfinit le nombre adimensionne! : pesetvor Ott 210m hea 10 rp oH fo2seg wy Camp remnbrle” e ole chehs > ined feos > grow 1.7 Rayonnement Nous ne discuterons pas ici Influence du rayonnement sur le comportement dynamique d'une structure en contact avec un domaine fluide infini, Nous voulons juste signaler que les ondes acoustiques ainsi que les ondes de surface libre se propageant & l'infini ‘pent de énergie. Cette dissipation peut ére modéliser comme un amorissement vvisqueux (force proportionnclle a la vitesse) (Axisa (1998), Gibert (1988) be. Lorsque F >> 1 leffet de la pesanteur est négligeable. ¥ 1.8 Calon! de 1a masse effective des structures avec couplage inertial Etudions a titre d'exemple le systime simple de la figure suivante. Figure 4 : Couplage inertiel Tl agit d'une structure & 1 dal de masse m, et de raideur k, soumise a une excitation sismique ‘Tintérieur d'un baquet rempli de fluide. Le baquet extérieur est considéré comme étant rigide ct est animé du mouvement sismique u,. Le fluide étant considéré comme incompressible a ‘uniquement un effet inertiel. Il ajoute a Ia masse du systéme la matrice de masse ajoutée non- diagonale my Me Me= ling mg Dans le jargon on appelle Te terthe diagonale m, masse ajoutée et le terme eroisé m, masse de couplage. Les termes de cette matrice ont les propriétés suivantes : 1m, +2m, + m, = masse totale du fluide rm,-+m, =m, (masse du fuide occupant le méme volume que le solide intérieur ) ‘m,+'m,=masse du fluide occupant tout le volume a Fintérieur du baquet m,>0,m, <0 L’équation d'équilibre dynamique du solide intéieur lors d'une excitation sismique est : (m, +m,)i+k,u=—(m, +m, + me)iig =~ (mg — mig oi uu, -u, est le déplacement relatif. Si pour la pulsation propre du systéme Ks ta pseudo-accélération est PSA(o), la force appliquée sur la structure intérieure est : PSA(@) (m; @? (m, +m) ce qui signific que la masse effective est : Meg = My ~ Mj On voit alors que le fluide adeux effets. Un abaissement de la fréquence propre qui peut étre favorable ou défavorable en fonction du spectre de réponse et une diminution de la masse effective due au couplage avec le baquet et qui ne peut étre que favorable. ‘Diune fagon générale la masse effective dans le cas des plusieurs structures couplées avec du fluide peut étre calculée comme suit : Soit M la matrice masse totale du systéme comprenant tous les termes de couplage, Fy un Yeeteur unitaire suivant une direction (par exemple x) défini sur tous Jes points ob M est fini, et rf un veoteur unitaire suivant une direction défini sur tous les points d'un sous- ‘ensemble i du systéme. ( ¢ yras Ca atineling qui mone darelcome 7 Le coefficient d'excitation du mode n est : Ly =¢aMn ‘od $, este vecteur propre du mode n L’amplitude du mode n (déplacement généralisé) est 1» PSA@s) Ch Ma oi'm, et ©, sont la masse généralisée et la pulsation propre du mode n. Les forces de rappel pour le mode n sont : fi? = Kein bn =n an Mn ct Jour résultante pour le sous-ensemble i est = R L HiT Moy = Dan MH PSAC@n) ce qui donne la définition de la masse effective pour le sous-ensemble i: La yt i bo gti inlg,n = yea ME Ein fonction de Ia direotion des vecteurs ryt r} on définit des masses effectives dans la direction k A cause d'une excitation suivant j (par exemple Magn, Mery Bry 6), Si au Tiew du vecteur rj on utilise le vecteur ry on retrouve Ia définition habituelle de la masse effective dans une direction donnée: ‘Néanmoins, il est 4 signaler que cette définition “aveugle” de la masse effective ne permet que de déterminer Ia résultante des forces sismiques appliquées sur la totalité du systéme et ne donne aucune indication sur les forces sismiques des différents sous-ensembles. 40 2. METHODES NUMERIQUES (On pourrait traiter le fluide comme un cas particulier des solides en définissant des valeurs adéquates du module de Young et du coefficient de Poisson. Comme nous I'avons déja signaler, une application classique de la méthode des éléments finis en déplacements risque de présenter des probléme numériques eneinaplieite 2 cause de Ia quasi-incompressibilité des fluides comme l'eau. Des méthodes comme la B barre (Hughes(1988)) permettent dobtenir des solutions fiables. =” ‘Une autre solution consiste & utiliser les variables de pression pour le fluide et celles de déplacements pour le solide (Gibert (1988) Morand et al (1992), Zienkiewicz et al (1991)). On discrétise les domaines fluide et sotide comme suit : u=Nyll et p=NpP a) ot H et Psont les vecteurs des variables de discrétisation (@habitude valeurs nodales) et N, et N, sont des matrices de fonctions de forme., L'application de la méthode de Galerkin pour les Equations du solide avec la condition & l'interface (1.9) et pour les équations du fluide (1.5) et (1.7) aboutit au systéme d'équations matricielles [mb & bE] an ot K, et M, sont les matrices de raideur et de masse de la structure et [INTON,dZ, My =[VNEVNpdQ¢ (2.3) z a, ‘On remarque que le systtme (2.2) n'est pas symétrique. Ceci pose des difficultés si on ne posstde pas d'algorithme de résolution non-symétrique. Pour l'analyse transitoire on peut résoudre le probléme de fagon itérative séparément dans chaque domaine. A chaque itération 1a pression calculée par le probléme fluide est imposée au solide ct le déplacement calculé par te probléme solide est imposé comme condition aux limites au fluide (“staggered method”, Zienkiewicz.ct al (1981)). Une autre méthode, qui permet en plus le calcul des modes propres avec les méthodes classiques, consiste a introduire une variable supplémentaire x telle que : prt pot done & aipleoner de fluke Si @ est le potentiel des déplacements du fluide : grad) = uy => grad) = ii En outre la relation (1.2) peut s'écrire = gradn =—piip > x= pp “a ce qui montre que m est égal (8 un facteur prés) au potentiel des déplacements du fluide, Crest, dire nous avons introduit en plus des variables de pression des variables de déplacements. Le systéme (2.2) devient : K, 0 ofa] |M, 0 Mg [® 0 Ky ofpf+fo 0 -K, fp 4) 0 0 OLR) fat KT mtgy fH) Le On peut trouver les détails de limplémentation numérique dans (Brochard et al (1986) 1 faut signaler que la deuxiéme ligne de (2.4) ne sert qu’a appliquer Ia relation entre p et x, Par conséquent il ne faut pas Ia modifier. Toute relation & imposer (par exemple pression imposée, frontiére absorbante gradp-n = ~)/c (Zienkiewicz et al (1981), Zienkiewicz et al (1991)), effet de pesanteur su la surface libre) doit sécrire de telle sorte que cette deuxitme ligne ne soit pas modifiée. Par exemple, si on impose les conditions aux limites & Taide des multiplicateurs de Lagrange au lieu de p-0 il faut imposer n=0. De méme, il faut faire attention quand on ajoute des termes d'amortissement pour que la deuxiéme ligne ne soit pas modifiée. ‘On remarque que le syst#me (2.4) a un nombre de modes égal au nombre des ddl en x, ‘une fréquence nulle avec u=0, p= 0 et x40 (il n'y a pas de raideur sur x). Lors du calcul des modes propres ces modes sont éliminés en mettant & zéro les composantes en x des approximations des vecteurs propres dans le processus itératif: Mais, si ces modes ne sont pas prises en compte Ie résultat de la recombinaison modale sur la variable x n'est pas correct. Ceci nécessite un traitement particulier dans le cas de synthése (sous-structuration) modale avec des liaisons fluide (Azxisa et al (1982)). IL n'en est pas de méme pour les variables u et p qui ne sont pas affectées par ces modes car leurs valeurs modales sont nulles. 3. LINEARISATION DE L'OPERATEUR DE RAIDEUR La raideur K, qui apparait dans les équations (2.2) et (2.4) est la raideur linéarisée de la structure pour de petits mouvements autour de sa position d'équilibre statique. Mais, & cette position d'équilibre statique la structure est soumise aux forces de pression du fluide au repos et elle a des contraintes statiques. Ainsi, sa rigidité ne sera pas seulement due a I'élasticité du matériau, mais a la précontrainte statique (rigidité géométrique) et & la rigidité de correction des forces de pression également. Unc discussion plus détaillée sur ces rigidités supplémentaires est présentée en annexe. Dans certains cas leurs effets sur le comportement dynamique de la structure peuvent étre importants, surtout celui de la rigidité géométrique. Dans la figure suivante on peut voir l'influence de la prise en compte de Ia rigidité ‘géométrique sur les fréquences propres d'un réservoir cylindrique. Il s'agit d’un réservoir en acier, avec un toit, de hauteur 8 m, de diamétre 3.5 m , d'épaissour 3.5 mm, rempli d'eau jusqu'a 7.5 m, On constate que pour les modes supérieurs la prise en compte de la rigidité ‘géométrique est primordiale. Par exemple si l'on la néglige on sous-estime d'environ 200% Ia ) de Iharmonique circonférentielle 10. AL srequence 25.00 es 20.00 35.00 10.00 “pou ten comps a wat harmonigue ° 5 10 8 20 rung: tne 4m eae (688, —_ a 8 re (APA germ baie ape ae Qa cage, Un Sn Porters un Xe VX meds & hat falqnene AZ REFERENCES ‘Axisa F. (1998) "Interactions fluides-structures", ENSTA ‘Axisa F., Guilbaud (1982) "Test de validation de la liaison fluide implantée dans le code TRISTANA', Note technique CEA/DEMT/SMTS/VIBR/82/118 Brochard J., Ebersolt L., Combescure A. (1986) "Eléments fluides, de surfaces libres et de couplages fluides-structures en bidimensionnel et tridimensionnel”, Rapport CEA/DEMT/86/457 Gibert R. J. (1988) "Vibrations des structures", Eyrolles ‘Hughes T. J. (1987) "The finite element method", Prentice Hall Langre (de) E. (1999)"Introduction aux interactions fluides-structures”; Beole Polytéchnique Langre (de) E (1993) dans "Vibrations et écoulements", Cours IPSI ‘Morand H., Ohayon R (1992) "Interactions fluides-structures", Masson Zienkiewicz O. C., Taylor R. L.(1991) "The finite element method", McGraw Hill Zienkiewicz O. C., Paul D. K, Hinton E. (1981) "Cavitation in fluid-structure response", Jour. Earthquake Engrg, Struct. Dynam, 11, 463-481 Aq

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