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v B dg v fy CT) a) TOUT EN RECITS COMPLETS Tine va pas 22: tarder, il Faut que Jje trouve une astu- 2F BEBDOMADAIRE 25 ANNE: BELGIQUE 24 FB SUISSE 2 FS ITAI1E 209 1 Ne 1236 GNEIN LALLVOLRE VES SSUES VVUNE LE Lhe t Vous Uavex maintenant entre 005 mains, le nouveau “ Dif”. Fuger suc picee. C'est une révolution dans la formule de Villusteé hebdomadaite. Place est faite aux pidtoized en imaged compléteds, Ainsi, chaque semaine, 065 béxes favoris vous meneront jusqu’au beaut d'une de leurs asentured et cela suc plus de pages, puisque dés aujoucd’hui Dif vous offre chaque semaine “le touc du cize et de Vaventuze en 80 pages!” Les meilleuces bandes dedsinées - Leds hérods led plus appréciés, pour tous led gots, pouc tous les ages dans le comique et l'aventuce. Dif, le seul illustcé complet pacaissant chaque semaine innove encore, en vous offcant un joucnal de jeux de 16 paged qui vous padsionnerca et enchanteta vod loisizs - et ceux de 005 parents! - d'un “ Dif”... a Uautce. Gt ee n'est pas tout... Chaque semaine, Dif vous offce son gadget-dsucpride. & 74 histoires tout en complet ef le journal des jeux de 16 pages PIF CHERCHEUR D'OR. Poe i LE CONCOMBRE MASQUE arose son cactus-blockhaus. Page 8. TEDDY TED, ‘e cow- boy aux yeux claits, dans “Deux hommes & abatire”. Page 41 NESTOR, /évedé perpétuel se souvient. Ry PIFOU. Le sympathique rage t et astuceux peut force rage RAHAN, : fe fits des ages forou- GAI-LURON. 2 joie ches, Un récit complet was de vivre, Page 72 de 20 pages: La fan- ae tastetique aventare dos M. LE MAGICIEN. premiers hommes one Page 1 BOUBOULE. Les aventures gastronomiques d'un fin gourmet. Page 7. AILLEURS, sans commentaire. Page 76. sui en dit “long”. Poge iT MUZO, ées deux inséporables. ?, EANNOT.S ET J or. Ss 4L DES J Y ARTHUR LE FANTOME JUSTICIER, dens une gigantesque partic de tartes & la gagner 4 créme. 7 pages écla- magni boussantes de gags & 3 arte par fa fraise. Page 32 “ . q nS " a mi i oulis dest See) ot | mA, Ria! Hemet) oo aa WESTOR [5 vod wre amend y VANT DE | ES a] RET foun aie ( g My JE youpRals | ia REVOIR ee Me We... ce M6 HE | GED) ie MES AVENTURES e puis 3A Sau 5; , Pus DALEAIME | rai cu us méosive Te ME /,S0UVIENS ON mA REMIS quise NoyaiT ew Peison UN JOUR On MA Mis DANS UNE PRISCA NoDeLe cemir Tach tuxveux Je suis RETOURNE BANE HA WiRILE PA1SON) Pour pouvoik MévADER PRIS, f Jai rair BEAvcour DE CHoses @, By PU SPORT .. DU TRavait es: PuNirions a DES! PU Ss bu rtaisia DU Eros Tu WeSsAyES AIS. 265 Pius be. SOUVENIRS » TIEUADER ? FONT. _DARTIE DES EvAsions. ) 10 1239 } eT ° ME SECRET DU » SeLciL |) Cy ; z is r XR Nats FAWAN iGNORAT QUE CET ETRE N'ETAT PAS UN HOM le MAIS UN AN| MAL QUE LON ~ SURNGMME RAITYANGOUROU, DES DIZAINES DE DaNEES PLUS Quit RATTRAPALE MARSUPIAL, CE MATIN-LK. b ‘Seu Pane! uk LE SOLEIL 4 PU conAPPER OU SE Ctowe Pit? ‘ESS cull Eis Bis vat ie | ao. LE C 2d CLAN Du MONT BLEU. ES Hes ONT ETE Devo. ROBUSTE | RAHAN RECOU RAT DEJA SES ESPRITS. TAA-LE-CHIEN, SEUL Baan Fir conibone CAVERNE Du Diy FLAMBOWNT ARAN S) DESSTER LEW SES POURSUIVANTS. ANAIENT DEPUIS. LONSTEMPS PERCU SATRACE ET RAHAN, Come CHAQUE SOR, HARANGUAIT Le SoLelL.. cals esr-ce yew que \ Brie SUNS C8SSE NY ‘AURA PLUS DE NUIT, PLUS DE TENEBRES! ESAS Que TUE DepuiS SON ENFANCE Le Fis DE cand pA POURSUIVAT AINSI LE SOLEIL MAIS Ne DECOWVRATT QUE DES HORIZONS NOUVEAIK DERRIERE LESQUELS LU ECHAPPAIT SANS, CESSE LE DIEU FLAMBOYANT. DANS, SA POURSUITE Dy e ‘SOLEIL LES FLEUVES ETAIENT De REDOUTABLES oe Anan © (COMME TOUS CEUX DE SON jour les cues! al (GNORAIT LA NAGE. iS UN MATH, HW iL SuT DES LORS FRANCHIR LES PLUS IARSES FLEUVES. SA MARCHE VERS Le SOLEIL SACCELERA... WE CHOSE iRRITNIT_ RAHAN. LAFAGON DONT LE Dieu SE ce Wiest cue RUSE POUR Me PURE Fare BY Ape! (00 Tu DORS, PEN ‘DANT'TON SOMME! Mi PEE onurres scons msseneir [= BiLrReSUNeLes, RereonTaNT DES STRES DONT iL_NE SOUBCONNAIT PAS L'EKISTENCE |<" RAHAN TRAVERSA D'AUTRES DESERTS, ssi Gu IT VERS ei RE Seusot (A STUPELR Le Deses- Pole VENVA: HIRENT... BLE DANS. LA PENOMBRE ET RAHAN ENTREVT © Les MONSTRES PAS PARAN... ILS TES PLS CURELK NE SONT PAS DANGE- Guin ET Sarai PEUX POUR LUI! Prive DE SON RAMAN ETAT SERDU | [ GeSTin EULA AUMILIEL DES vaGLES. RENCONTRE Le SoLEL. ‘988 MAINS ET | SES Pes Sms: E Geeent Tout Dk BORD LEAL DUE SA JOiE DE TRIOMPHER DUN a maar Se eee em, 7 1 PUISOU "hk 74 rousouRs Tu TE DSSIMILER DANS Le TE MONTRES DE DESERT D'BAL ET GU LAUTRE COTE CO WETA PAS VU EN RES: JE TAL WU SPA SORTIR, CEST Que 7 ‘RaiRE / EMPRUNTES UNE CET Rive er Eisner Datreas Toone 27 Peuremme Baaees Haw. “ert CONNAITIRE... ivconsrauisir, UESGUIF Pus, ‘SOLIDE QUE Tous CELx QU'LAVAT By L02E QUE DES MONDES INCONNUS EXISTAIENT AU FIN FOND DU DESERT D'EAU LE HANTAIT DescreMals Puy QUE LE DEU-SOLEIL... LSE SURPRT MEWE A NARGLER ‘aRILLE O0 TU YOUDRAS.! DIS LA VENGEANCE, PaRals ET REAPPARAIS Gui. aPPRE- OU TU YOUDPAS.’ RAHAN HENDAIT NE SE “A PERDU TROP DE TEMES ‘PRODUISIT FAS, 4 TE PoURSUIVRE, SOLEL! ET RAMAN SUT PAHAN, FULSDE CPAO. | fp GUE LON Pou ‘SE Mogae cETo! 4 VAT MEUNEMENT DerieR LES Deu, ENS CahGNT ES aun ARRIVE, TERRES INCONNUES ! ARAN VA VOUS REJDINDRE , DEUK jours. DURANT. i FUT CES POisSONS- VOANTS. Gul RE- TOHBNENT PAR FOIS SURLE A: DEAL LIADERENT A VANCRE LAM, Se We ET AuAN GoNwaTr UNE PARTE DE TA 16s “Hommes S De 14 “RIVERE BUX MEMESN CHT JANIS Wu DB TELS POISONS! ET AHAN LES VOIT? RAHN EW SAI PLUS a sair Que Te SURGIS AU FOND DU DESERT D’eAU ET QUE TU TENVOLES Du LEVANT AU “AUDESSUS POUR ALLER COUCHANT Ri TE CACHER DE LAUPER. BAN Foal ENEFFET c8- Seever vor AGE DU SOLEIL. Wis UNE PaRTie pe ce VOICE Lut RESTATINCONWE, ee a | cest & LAwBE Du Fralsiane Jour (QU /APPARUT UNE “TEReRE...UN COU- RANT PoussaiT Le RADEAU DES CRIS LoinTAiNS, SELEVAIENT, OE LAU: TE OR weer SELLS, "CEUX Gui map. ‘PEUVENT ORIER ANSI! bes wormes Worms | mais Bev. 2uC! SE ROUROHS- SENT ILS ProuRGLO VEULENT-1L8 BH. TRETUER ?, 24 QUE LE SigN.DES HOMMES 4 PEAL SOMBRE Se POURELWENT SUR LE DESERT D'EAU. AY 18s FuvaRDs OT DISTANCE Ceux ui LES POURSUIVENT HOHMES ET DES BETES SERAIT DONC SEMBLABLE A CETTE TERE! Mt SERAIT ROND ETLE SOLEL TOUR NEAT AUTO? SANS Lanai SY POSER, WUBE DE UHUMANITE UN ETRE ESquISSAIT UNE (ON, DU MONDE OU viviiT.. RAHMAN, NE POU. GUN REALITE, Le "FRUIT riS 4 EUR fa Tour Des Pour. ‘SUIVANTS? SON COUTELAS D/VOIRE DUNE MAIN, LE "PAPILLON De 805" DANS auTiee, arRive Sur Lb Puce [LMARCHA ieoaren’ Y Ny 5 BAUS FORT OEUIRE ELM, COMME LE ESAT BOS ie "Liv OL Tae IL NEUT PAS Le TENPS oF TE ce Toe “Suen Re AAAH/ SUR Lui PRECIPITAIENT VERS i, iL RELEVA SON it Tents ve se REDRESSER Mais Ses teveres See PETRERENT DANS. VENCHEVETREMENT DE LANES. TA iL LEVI SE LEVER ET SE CoucHER BIEN SOUVENT AVANT D'ASSIVLER IE LINGAGE DES HOMMES NORS. Porc NT SERVI MuRE CHOSE Gu Le wae F\ Whvait trust we aca. CEne REEUTION GONFLAIT DE Joie ISSANT.. UNE Vil Ve LES” EXTRAORDINAL IPE ES EN LISANT LES AVENTURES DI Wee Gulf BRUT ETRE Pati] 3 " POCHES — COMIQUES FANTASTIOQUES Dans chacun d’eux 100 jeux - 100 gags 200 pages de rire Ca VOU ce FAME area Sp es Pais [oetre enorme poRTEeREsSe | ETAT GoUVeRNEE Pag _UN VaesAL Bere er Cae TENTENX| | erisuehc eusract DE GRAUVAI Cesr ie ui iE) De MON BAIN 4 we ‘Ou! out..out. ILE A; Tt alma VEN i MONT#ER £8 TOUTE pPUISSANCE AUX HUMBLES GENG OF SOM FIEF. AFEREUX AFFRONT J ‘SEIGNEUR py OF LA impécit TUNE SAIS BA arraaPez-moi UE Vie Manan Fas olaccort LE REVENANT S Deve mnciens MAR Shans Denciowes) bea Sayverve, Sen: | Gourrrenenr pans) LEB Bounave eT Rents R 1 Saul \ hous sure t. IY BRAVO VRS aatuur Le FAN. TOME JUSTICIER LE SEIGNEUR er SES sBIRES | BOUSSaNT UN PRIGONNIER \ x ] PASSERENT BIEN ViTE LES. is ‘ “LOl BAN: Bo0vES be tn roTERESSE. fis Bren NT EMPARES OF MON VOISIN LE BOUCHER... , POURQUOL M'EMMENEZ-vous > Ry cl west pas mol Quivaus.al tHvoye pe UNE TARTE... JE SUIS LE BOUCHER! Bon! O'AaccoRD... qs Bes uN ~ are $I YE NE ME RI VE VAIS ALLER LES) PQS, 1S SON RER TON VOISIN.., Salta. \| ( osteaes (os eR ma ORE LE BOUCHE! — == EHLvous LA... SToP 4 ON TREP: 987 ON NE DIT PAS LE MOT DE PASSE! ‘Dour! (A-PATE SERAIT re M1 ELLE TROP cUITEl.. LE PETIT FANTOME Avarr | ONE MANIERE DIENTRER WOLTE , QUIN | ouTENcoRE /—~ VOUcuENT.. 2 os ou z <> JE NaVAIS PAS AcaUITTE one eet ; SaBelie has BEN! TU SAIS... JE SUIS RAREMENT VENU \\ PASSER MES WEEK-END ICl...POURTANT IL. YRS MOIS J'AI FRIT UN PETIT STAGE AU CRCHOT... oN - NE SENSU Png. EH! BIEN, TDVOIS...NOUS PYONS OBTEND LE RENS SEIGNEMENT SANS NOUS FACHER eee —!| <= ( NON} PAS CELA..- PAS De ParisseRie GA FAIT GROSSI _ Se : ‘a (SESE DAS LE savor Giavie'a paaros 5 eens acon a | eeeorecgee, ie UR. Seats Hieewe Le BOUCHER Wises W IR coicnor Saans? MATIQUE $f ATTENDS ...PAS TOUT DE SUITE. AH ANAH... VEN'AI YAMAIS TANT Ri | (@rceaaeeal ~ @ ceso um, ce |= FURENT SES DER- NIERES PAROLES, c 05 RATE HEN’. een ‘ aos vA HevaTRIERE OUTE ic TERMINE DISTRIBUTION sw. VOI TON PaMIER! ET St vous EN VOULEZ ae Be ae ee SADHESSE! Ln PATISSEE Ee ILS ONT APPRECIEL SEN FACE [A PonTERESSE.. . VY —_—— Alors ARTHUR. COMMENT (AS-TD RO or ( Yor iy AURA Ded TARTEW D’aucuns prétendent que nous devons le bilboquet a un arti- san nommé Boc- quet, prénommé Bill. Mais comme je suis sir que nous avons af- faire 4 quelques plaisantins et que cette rubrique est sérieuse, débutons tout de suite par la définition du dic- tionnaire. « BILBOQUET : n. m. (anc. Fr. biller, jouer a la bille, et bo- quet, petit bouc). Jouet formé d'une boule percée d'un trou et reliée par une corde- lette 4 un petit baton pointu sur lequel il s’agit d’enfiler cette boule. » Le bilboquet naquit il y a quatre cents ans et fit aussit6t fureur ala cour du roi Henri II! qui lui donna ses lettres de noblesse. Henri III devint, a force d’en- trainement, un joueur imbat- table. Louis XIV, qui était un piétre joueur, décla- ra_un beau matin que le bilboquet était un jeu vulgaire et, aussitét, la vogue du bilbo- quet tomba. Mais, ce n’était que par- tie (de bilboquet) _remise, puisque l'on vit, sous le Direc- toire, les acteurs du Théatre Francais jouer les piéces du répertoire classique avec un bilboquet en main. Au début de ce siécle, ce jeu connut une faveur nouvelle. Il se fonda des clubs, des cham- pionnats. Le bil- boquet eut ses ra- glements, ses. formes, ses poids divers. « Le Bru- tus » était carré, « La Terreur » pesait plus de cing kilos, « Le Costaud », con- trairement a son nom, était un bilboquet — minus- cule, de la grosseur d'une noix, avec un batonnet plus mince qu'un crayon pour le recevoir. Le champion du « Costaud » ne réussis- sait qu'une fois sur mille. Quel jeu de patience! A propos de champion, il en existait un qui jetait son bilboquet en lair et fixait en plein vol la boule sur son support. D’autres, moins spectaculaires, mar- quaient 800 points de suite. Il existait alors des pro- fesseurs de bilboquet comme il existe aujourd'hui des entraineurs de football. C’était lage d'or du bilbo- quet. Il est passé de mode au- jourd’hui. Plus pour long- temps peut-étre, car ré- cemment on I'a vu_res- sortir dans les boutiques de décoration, les grands magasins et méme... chez les marchands de jouets! C'est peut-étre le tout dé- but d'un renouveau de ce jeu aussi ancien que les quilles qui font main- tenant fureur sous le nom de “bowling”. 39 (16 PIS EN. CI OG sO “On ne fait pas d'owelettes... .. sans casser les ceufs. » C'est en tout cas |'avis, de M. Claude Leterrier. Voici quelques jours, un match intercommunes, oppo- sant Réville a Saint-Vaast-laHougue, deux communes de la Manche, se terminait par une victoire des maraichers de Réville. L’épreuve dite de « l'omelette aux fines herbes » qui consiste lancer a I'adversaire des ceufs par-dessus un filet de basket-ball, fut fatale pour les joueurs de Saint-Vaastla-Hougue. Se prépa- rant pour la revanche, les pécheurs de Saint-Vaast reprirent leur entrainement dans la rue. Soudai Mile Brigitte Neel recut en plein visage, un couf! Euf qui se répandit sur ses vétements. Elle porta plainte. M. Claude Leterrier, auteur involontaire de |'incident, a été condamné par le Tribunal de Valognes a 51 F d'amende pour « jet dimmondices ». Higgins contre Higgins... John J. Higgins, juge au Tribunal de Grand Island (Nebraska) recut une convocation afin de répondre de 'accusation d’avoir laissé son chien courir en liberté sur la voie publique. Le prévenu, John J. Hig- gins, s'est présenté devant le juge John J. Higgins ; et le juge John J. Higgins a condamné le prévenu John J. Higgins 4 cing dollars d’amende. On n'est jamais si bien servi que par soi-méme. Qur la mausaise wie... Dans la région de Londres, le conducteur d'une voiture a tourné a gauche a un passage a niveau et a parcouru prés d'un kilometre... sur la voie ferrée! Raison invoquée : un épais brouillard ! « La route me paraissait bien cahoteuse, atil dit, mais je n’ai compris ce qui se passait qu’en voyant les phares d'un train dans mon rétroviseur. » 40 ’ FAUT RIRE Ava Pif! >— Un habitant d’Aberdeen, ayant entendu dire qu'un médecin prenait 6 shillings pour la premiére consultation et 2 shillings seulement pour les suivantes, se présente chez lui et lui dit — Eh bien, docteur, me revoila ! — Mais, répond le médecin, il me semble que je ne: vous al jomais wu. , je suis venu vous voir la semaine der- niere. — Vraiment? Je ne m’en souvenais plus. Alors, comment cela va-til ? — Pas bien, pas bien du tout, docteur, — Voyons un peu... Et, aprés une auscultation, le médecin son client — Parfait, continuez @ suivre mes_ prescriptions de la semaine derniére. C'est 2 shillings, s'il vous plait ! * — Cette nuit, j'ai entendu un voleur... J'aurais voulu que vous me vissiez descendre les escaliers quatre & quatre ! — Pourquoi donc? Il était passé par le toit ? Jovets radiotélécommandés “Exico” Les TROIS cavaLiens 5 INMOBiL UN” INSTANT =T CONTEUs VALE Qui SE SLWOUETTAIT eeisaile Du PeTiT Joue LAleNT DIN ecLaT enmicus, pe ts ‘BI CES HONWES ETAENT FORT DIPFERENTS LEIRS REGARDS A GueLoues NILES CE IA, WALGRE ogy FL a CHEURE MATINALE, ou PériT HOMME VET De NOR Se “Al PRENER GTAGE CE cE SALOON, COW- BOY DORNAIT. PRORONDE Hill NTN ind NL VENAIT DE SE REVEILLER. LS ETIRAIT PARESSEUSEMENT 8), ‘aie ox vere tae Bem sar SHE a TROIS CAVALIers| ia ‘TUER TEDDY TED ET CE TO! Nowe 8 HOLWAYS. JOLD PECOS HesiTAIT GUE~ eS LONGU Mais JE SeRAis INDIENE De CET INSIeNE 5! WE [aiscais MASSACRER DOC ET TEODY GANS \So, FEAGIR. LES TROIS HOMMES VENA PELLAIENT, >) JENT D'ENTRER AU SALOON EF INTER- [LE TENANCIER k i = T/ NOUS _REQUERCHONS HL/ Houways! PEUX-Ty NOUS Dike CU Nous MA FOWONS LE TROUVER? (un! tw oe wus esr OU WN Hone gTir APTALE ouR_ INE TARE, PRES Wa MALADE, JE NE CROIS PAS :) DUNE BOUTEILLE VIDE. ‘Doc’ SOIT EN ETAT DE LE SN GOIENER / HA HAT HAT LE TENANCIER DESicNAIT UN, RECON OBSCUR De LA SALLE Nous Warren - DEONS RIEN DY AD BOUT DY cOULoR, DERRIERE UNE ly TANTURE SeNTROWRIT (_1N Pel De PATIENCE, Lawl er. ARRAGIANT BRUSQUEMENT Se Tevmike & tA praca iL EXTENDIT Les Dectis DES cHieNS SE RELEVANT. L NE LW RESTAIT QU'UNE FRAC- TION DE SECONDE. POUR TENTER iL NE SRVAIT TROP QUO ALERENT AU- \= ViVEMENT, CLAQUA LA Porte, POUSSA Le veReou. Bue S‘ecLirsar ON DEA NOS ge Ne et ce CHENAPAN NE LUI LAissERA MEME PA LE TERS DE SoRtie SoU ARKE, c2uu-c! eT Jagrive! 7 TeDpy, LE ViEUX PECOS TABANDONNERA PAS — Si Ne TE DeciDES mas A SORTIR DE LA, NOUS ALLONS / COKMENCER LE TRAVAIL AVEC LE TouBiB ! i 7 y 'STONGSER ACREDSA IN CLIN D'OEL HN A son COMME LA REACTION DE TEDDY Pur QU ESPERA 1 EERO S rome Sour viotehbet. |. 3 pile 7 4 Ge Cine! ke REAISAMT QUE TEDDY AVAIT Tike 58 DeRNiBRE BALLE, STONGGER RI-ANA BRAVO, COWBOY. \ WES BIEN DEFENDU 2 (Bre Ire. SALOOK, EATENDIT UN ELITE “A CORPS... iL DISTINGUA Te SST meee ae” surcissair DANS REIT SOU ARNE VIDE, STONGGER 7 _DOWNE AO TON POND VERS SON COMPLE. => / REVOWER! Je VAS EN FINE, AVEC Le WMA. IL DOMNAIT LA SALLE a) lp Pecos ETAT Accecur PRES FU COWBOY ETOURD! REAUSANT SEULEMENT QUE SUPD ESTE DeBCUT Gauife Le ue ew KORT, Le ckeowy ARRAGIA CARKE GE LA CREPE, 7 IA Le steer NE POWAIT Aap = cae EIGIOGUE DERCIECE LA UALAN! oepie, On BRST BE ISTADE MAIS IL eTAT «(MOIS ‘TUEUR. LU-WEME UNE OBLE FACILE Ree opp ox ET DUT RECUR. (Race eteceeue: ( (rat BS rowsoer? Me TIRE pas. aT Be (sss, co ! ee Ui “ye NY, fis i Ors Hic, = & Puy Sacer Oe LA mule Por ange VACLLANT AU BALCON “BOE Hohe BeANDis- ‘SORTE SraeeoboR Be CUVEE. \ FT ausag |S OES pie] [A ue Sane DEAT LE Stoneeetospreerat S| |Succa1e SLNce oe AT QAND oD ree av PARADIS DES) SORTIT, POUSEANT STONGGER ei eee. i ' i TIEN DE GRAVE, MES AMliS. QUELQUES GREDING VOULAIENT TROURER LORDRE_ MAIS LS ONT APPRIS_A CONNAITRE QLD Th AY RAbS OU VE GIES NE TOK Pensa DiauTANT MONS QUE TeDeY TED FON seas ‘SAIENT A LER TOUR - es Gaels RAL. RAIS Pie AQ SEs OD, ANAIENT ENTENOU Leb “VEIGEURS” DE. ENPEREUE Tous ces personages qui s'agitent sur la piste de ski prononcent BU LE des phrases placées dans des bulles. Si ces phrases vous semblent bizarres, c’est parce que Gring s'est trompé et que chaque bulle ne comporte pas la phrase que devrait normalement dire son DE auteur Remettez tout en ordre en utilisant les lettres (de a a i) dont NEIGE sont dotés les personnages et les chiffres (de 1 a 9) que portent 4 4 les bulles. Rendez a chacun la phrase qu'il doit logiquement prononcer. par Roger DAL Sotution page 70. Masgie : Un tour surprenant ! Formidable! ... et les amis que vous | agie : aurez invités a cette petite séance de magie ne manqueront J 5 pas de dire : « Quel fluide magnétique il a! » UNE FEUILLE DE JOURNAL prenez une feuille de journal (grand format) et une vieille QUI PESE... régle plate ou une planchette (environ 50 cm de long, 5 cm de large et 3 mm d’épaisseur). en la faisant dépasser de ce bord de 5 cm environ. Recou- vrez la partie qui repose sur la table avec la feuille de jour- nal déployée (voir dessin). Aplatissez bien le journal avec vos deux mains. Aprés ces manipulations, demandez a un volontaire de l'assistance de soulever le journal en donnant un coup de poing sur le bout de planchette qui dépasse de la table. Le résultat est surprenant : neuf fois sur dix, la planchette cassera (si elle est fragile) mais le journal sera a peine souleve. Llexplication est simple :_ la pression atmosphérique est d'environ 1 kg par cm®, Calculez la surface de la grande feuille de journal et vous aurez le poids total & soulever. 59 Chaque semaine, Ludovic, détective privé, Yous présentera une énigme. Attention ! Vérifiex bien chaque dét il pourra vous apporter la clé du mystére. Alors, bonne chance et soyez perspicace ! I: La faute d’Adémar ! 2. Adémar habite une garconniére et ses études laissent fort & désirer REVEILLE EW SURSAUT > \ ee | = NE 4, Le lendemain, la premiere heure, Ludovic vient voir si ses consignes ont été respectées. “VOTRE COUP DE SONNETTE, MAYS LUDOVIC, DETECTIVE PRIVE par Moallic "ET LES COPAINS QU) MATTEN- >) =DEWT POUR UNE SURBOUM/ lth ATIENDRONT / 1. Chargé, par la famille, de surveitler le jeune Adémar, Ludovic retrouve le jeune homme dans son bar habituel et le raméne chez lui. (GD ) HBL vous we EHOORMIRA 3. Ludovic fait coucher Adémar et, satisfait, regagne son propre domicile Saver sATSFAT, A) ) ona COMME OM LOR _) PETIT (WEWTEOR. 5. Un détail permet @ Ludovic de constater qu’Adémar lui ment. Lequel? L’avezvous trouvé? Allez vite véritier page 70. 61 LE PREMIER des gadgets surprises de PIF : LES LUNETTES SIDERALES Ce sont les lunettes des cosmonautes, celles que I'on portera bientét sur la Lune, sur Mars... PIF n'a pas attendu. PIF n'attend jamais pour étre en avance sur son temps. Les lunettes sidérales vous protégeront des poussiéres cosmiques. Dés aujourd'hui, vous pourrez jouer aux cosmonautes, égaler, par votre allure, les grands pionniers de espace. Mais ce n'est pas tout, vous pourrez voir sans étre vu... C'est la une source intarissable de blagues et de gags & faire & vos ami Un premier rayon de soleil épateront tous vos copait .. Hop, les lunettes sidérales... Et voila des lunettes de soleil jamais vues qui clest um gadget "ai bien di ! et JEVOIS Jaibien dit TOUT! COMMENT MONTER VOS LUNETTES SIDERALES : Rien de plus simple ! I? Détachez les deux parties des lunettes en appuyant suivant les poin- filles (schéma ci-contre) ; 2° Mettez la languette A dans la fente B. C'est fait, vos lunettes sidérales sont montées. 62

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