Claude OSSUT TAPISSERIE D’?’AMEUBLEMENT EDITIONS H. VIALCHAPITRE VIL LA GARNITURE CLASSIQUE Pour une plus grande compréhension de ce chapitre, nous suivrons Vordre dans lequel s'effectuera la garniture, & savoir choix des matiéres, plancher (ou sanglage), lacet, mise en crin, cemballage, rabattage, piquage, mise en bane. Comment peut-on garnir ? En tout premier lieu faire un choix selon le type de sige et son style. Ce choix peut étre conditionné par le prix de revient. On devra définir a ce moment précis si on traitera avec : ~ des matiéres traditionnelles, ~ ou des matiéres modernes. I est évident que pour un siége de style (on Sorientera de préférence sur la gar niture classique. S'il est d'époque, on cessaiera de lui restituer une garniture comme celle d'origine. Pour le siége moderne, il ne faut pas hesiter utiliser les matériaux contem- porains. Toutefois, pour le maintien du corps et de la colonne vertébrale, on ne rendra pas les siéges trop souples. On se croit trop souvent obligé d'augmenter le confort par des garnitures molles, mais on svapercoit dans ce cas qu'll devient twés difficile de stextirper_du fauteuil aprés un certain temps. Notre choix pour commencer sTorientera vers une gamiture classique en cti ‘Nous débuterons par le travail le plus simple que Ton puisse imaginer : un siége & pelote (On évoluera d'une fagon logique en exa: minant des garnitures de plus en plus compliquées. Notre métier semble trés facile & pratiquer, pourtant lorsqu’on aborde certaines opérations telles que la rise en crin il est nécessaire d'acquérir une grande dextérité, de méme pour le rabattage, On commencera par réaliser un plan- cher sur lequel reposera soit un guinda- se, soit une garniture. Le plancher Quelle que soit sa forme le sibge & garnir doit étre muni dune surface ppermettant de recevoit une garniture. Cette plate-forme peut se présenter sous des aspects divers comme un sanglage (fig. 15), un contreplaqué, des traverses de bois (fg. 16) ou métalliques, un guin dage, etc ~ Hg 18 F - tor - Dans un premier temps, nous allons centreprendre Vétude du ‘sanglage, les cceintures pouvant avoir des formes variées, Le sanglage La largeur de Ia sangle est variable selon sa qualité et sa provenance. On peut considérer que la largeur moyenne est de 80mm. Dans un sanglage, les sangles sont entrecroisées pour augmen- ter la résistance et elles sont de préfé- renee jointves. Sanglage aouré arrive qu’on laisse un jour entre deux sangles surtout quand ill s'agit d'un grand siége dans le but de limiter le prix de revient. Ce procédé se justfie dans T'industrie mais beaucoup moins sur le plan artisanal, surtout si 'on recherche y Sanglage sur lo centre la qualité. Un sanglage bien serré per- ‘met un bon appui soit 4 la garniture, soit aux resorts. D'autre part, chaque fois que ce sera possible, on évitera les échancrures. Le sanglage se fait en partant des axes dans le sens de Ia profondeur. Tl peut ‘malgré tout arriver que V'on soit obligé de commencer par la largeur pour des raisons de commodité, I faut choisir la place du sanglage qui peut se trouver soit au-dessus de la ceinture, soit au- dessous. Cela dépend de plusieurs élé- ‘ments : ~ Le sanglage est posé sur la ceinture lorsqu’on fait une pelote ou une garnitu- re en plein sur un sigge de style (surtout our une reconstitution). Quand on desire reproduire une garniture de style tout en lui donnant de la souplesse par tun guindage a mi-ressort, le sanglage se trouve sur la ceinture mais il ne sera pas tend. = Le sanglage se trouve sous la ceintu: re pour permetire la pose de ressorts qui uront suffsamment de hauteur pour travailler aisément. 37CHAPITRE VIL LA GARNITURE CLASSIQUE Pour une plus grande compréhension de ce chapitre, nous suivrons Vordre dans lequel s'effectuera la_garniture, savoir choix des matiéres, plancher (ou sanglage), lacet, mise en crin, cemballage, rabattage, piquage, mise en ban. Comment peut-on garni ? En tout premier lie faire un choix selon le type de sige et son style. Ce choix peut étre conditionné par le prix de revient. On devra définir a ce moment précis si on traitera avee : ~ des matiéres traditionnelles, ~ ou des matiéres modernes. est évident que pour un siége de style on sorientera de préférence sur la gar niture classique. Sil est d’époque, on cssaiera de lui restituer une garniture comme celle d'origine. Pour le siége moderne, il ne faut pas hesiter utiliser les matériaux contem- porains. Toutefois, pour le maintien du comps et de la colonne vertébrale, on ne rendra pas les siéges trop souples. On se croit trop souvent obligé d'augmenter le confort par des garnitures molles, mais on svapercoit dans ce cas qu'll devient twés difficile de stextirper_du fauteuil aprés un certain temps. Notre choix pour commencer s‘orientera vers une fgamiture classique en cti [Nous débuterons par le travail le plus simple que Ton puisse imaginer : un siége & pelote (On évoluera d'une fagon logique en exa: minant des garnitures de plus en plus compliquées. Notre métier semble trés facile & pratiquer, pourtant lorsqu’on aborde certaines opérations telles que la mise en crin il est nécessaire d'acquérir une grande dextérité, de méme pour le rabattage On commencera par réaliser un plan- cher sur lequel reposera soit un guinda- ae, soit une garniture. Le plancher Quelle que soit sa forme le sibge & garnir doit étre muni d'une surface ppermettant de recevoit une garniture. Cette plate-forme peut se présenter sous des aspects divers comme un sanglage (fig. 15), un contreplaqué, des traverses de bois (fg. 16) ou métalliques, un gui dage, etc Hg. 18 F - to - Dans un premier temps, nous allons centreprendre Vétude du ‘sanglage, les cceintures pouvant avoir des formes variées, Le sanglage La largeur de Ia sangle est variable selon sa qualité et sa provenance. On peut considérer que la largeur moyenne est de 80mm. Dans un sanglage, les sangles sont entrecroisées pour augmen- ter la résistance et elles sont de préfé renee jointives. ‘Sanglage aouré arrive qu’on laisse un jour entre deux sangles surtout quand il sagit d'un grand siége dans le but de limiter le prix de revient. Ce procédé se justfie dans TTindustrie mais beaucoup moins sur le plan artisanal, surtout si 'on recherche y Sanglage sur lo celnture Ja qualité. Un sanglage bien serré per- ‘met un bon appui soit 4 la garniture, soit aux resorts. D'autre part, chaque fois que ce sera possible, on évitera les échancrures. ‘Le sanglage se fait en partant des axes dans le sens de Ia profondeur. Tl peut ‘malgré tout arriver que V'on soit obligé dde commencer par la largeur pour des raisons de commodité, I faut choisir la place du sanglage qui peut se trouver soit au-dessus de la ceinture, soit au- dessous. Cela dépend de plusieurs élé- ‘ments : ~ Le sanglage est posé sur la ceinture lorsqu’on fait une pelote ou une garnitu- re en plein sur un sigge de style (surtout our une reconstitution). Quand on desire reproduire une garniture de style tout en lui donnant de la souplesse par tun guindage a mi-ressort, le sanglage se trouve sur la ceinture mais il ne sera pas tend. = Le sanglage se trouve sous la ceintu: re pour permettre la pose de ressorts qui auront suffisamment de hauteur pour travailler aisément. 37él ds guindage dune manchete De chaque c6té des ressorts on passe une corde nouée & deux emplacements différents sur le pavillon pour lui éviter de tourner On termine par une dent de scie de chaque cbté de la rangée de tes- sorts (fig. 254). Pour maintenir les pavillons des ressorts sur le haut de la manchette on peut remplacer Ia corde par un jone. Ainsi le guindage va jouer sur toute sa hauteur, Ia fixation de tou. 22 9.253 tes les cordes se trouvant sur la traverse ‘ou sont posés les ressorts. La toile forte est placée sur les ressorts et descend jusqu'a la traverse qui se trouve au ras du fond. La toile forte est tendue sur Ia parte verticale de lacco- toir, sous le guindage (fg. 255). Elle est ‘cousue aux ressoris en quatre points novés et sur le pourtour du jone ou de la conde. Sur le dessus de la manchette faire une garniture séparée & pelotetrés grasse en forme de cigare rabattue sur chaque tie. 288 Yuen coupe dota (erstue en forme de igre 9.286 ‘Secondo gemiure Le Emballage dela gariture en forme de eigare. Gariure en forme de cigar, piguée o> \ (Garttare de a manchette en tole dembourne- cté du jone. Sur le devant de la garni ture, la toile dembourrure n'est pas cousue, pour conserver le maximum de souplesse. Afin déviter que la garniture de cette pelote ne se déforme, piquer un grand point partant du milieu de la gar niture pour redescendre au jonc. Ce point n'est pas serré et assure le main tien en place du crin (fig. 255 et 256) ui est exécuté de chaque cété de la gar. niture. Ensuite de chaque cdté de 'accotoir le creux fait par le guindage, la garniture et le bourrelet de Ia fagade est comblé par une mise en erin. Cette garniture estlégerement bombée et doit conserver la forme générale de la manchette. L’en semble est emballé dans une toile dem- bourrure et le point de fond est exécuté sur la partie intérieure (fig. 256). Sur Varriére, la garniture est rabattue sur le bois, ainsi que sur les cdtés des acco- toirs, Sur la fagade, le rabattage est cousu sur le bourrelet & point de surjet. Finir par une mise en blanc. Pour éviter cette opération on peut mettre une gros- se épaisseur douate. Dans ce genre de travail les manchettes sont traitées simultanément afin d'obte- la méme régularité. Guindage suspend et garniture piquée Pour rendre cette opération possible, la facade de la manchette est adaptée a la garniture, le bois formant la crosse tant moins large. Les ressorts sont fixés sur les angles a 445° ot dans tous les eas sur le dessus de ies de ressorts sont disposées& inte rieur de Taccotoir. Chaque ressort est fuindé séparément en” Targeur, par contre ils sont tous reli dans le sens de la profondeur de Taccotir La wile forte est posée sur les ressorts en ména- azant une égére poche entre ls rangées sur la partie arrondie de la manchette alin de'conserver la souplesse. Chaque ressort est cousu & la toile forte par quatre points novés. [Relevé du gabarit pour fire la dewxiome manchete. = ty 258 — La mise en crin couvre ensemble de la ‘manchette. Elle est chargée davantage ‘en fagade pour permetire le piquage des crosses. On fait l'emballage et le point de fond, puis le rabattage et le piquage selon I fnition adoptée. La mise en blanc est Ia méme que celle des garnitu res piquées. Pour obtenir des crosses < tg288 Chdesus: manchete (Chdesous dossier Enuemble tralté en dave. ldentiques, exécuter un calibre utilisé pour les opérations de rabattage et de piquage. Sion doit exécuter une garniture capi tonnée sur ce genre de siege on prépare une cuvette sur la fagade en faisant les crosses. La manchette est capitonnée sur sa partie haute et se termine en par: tie basse intérieure et sur Vextérieur de lacrosse par des tranches (fig. 261). Lampleur de la toile blanche du capi- ton dans les parties arrondies est supé- rieure a celle d'une surface plane pour des capitons de méme dimension. Ces garnitures étaient employées pour les siéges anglais ou en provenance de pays comme I'Allemagne ou la Suisse. Les sigges pullman sont traités de la ‘méme fagon. Les garnitures y sont rem- placées par des enveloppes de coutil calle eloisonnées contenant de la plume ‘ou du duvet (fig. 259).La différence avec le tracé précédent réside dans le développement de Ia tate. Relever a la chainette sur le dessin les longueurs AO et OB pour les reporter sur le tracé en AiO et O'B1. La suite du «développement se poursuit comme dans le cas précédent (ig. 559). Feston a antique boiteux ‘ou point d’emplissage déporté Tracer I'axe vertical du dessin ( égale distance des c6tés AE et BC qui coupe la ligne AB en 0 et la ligne CE en D (fig. 560). Tracer Vhorizontale Ai Bi en plagant Ai et B: pour que 0: A soit égal ala longueur 0 et 0:Bi & la longueur OB, relevées a la chainette sur le dessin, Tracer une horizontale sous A1Bi a une distance h. Llare de cercle de centre Bi et rayon BiAt coupe cette horizontale en a, Du méme centre arc de cercle de rayon B10: coupe la ligne Bia en 0 Feston boites di igne de sentiment dcoupée, —'s 208 59 - De 0” tracer I'axe vertical et porter 0" égal & la hauteur OD du feston plus Fampleur, et tracer Phorizontale en H. En M, situé aux 3/5 de HO’, tracer la paralléle & Bia (ligne de ‘téte). La projection verticale sur cette paralléle de a et Br donne les points M' et M", ‘desquels on trace les horizontals. De H comme centre, tracer 'are de cer- cle ayant pour rayon le grand galbe AD. qui coupe Phorizontale passant par M” au point A” De fagon analogue, construire le point B” Du point A”, décrire un are de cercle de rayon AE et du point H un are de cer- le de rayon OF qui se coupent en E1 De méme, construire le point C1. ‘Tracer la ligne de sentiment, les ailes et Ia ligne d'emplissage. Feston mixte Ce feston a la particularité d’étre pour tune moitié normal et pour Pautre a an- ~ fa. 860 — tique. Le développement est simple, il sufft de prendre la moitié du développe- ‘ment correspondant a chacune d’elles. aston mixte emplosege en un point. Le feston peut étre boiteux, a tée droite fu encreux , dans ces cas on consulte le développement se rapportant 4 chaque partie du dessin (fg. $61). Ce développement peut étre simplifé en prenant comme référence une ligne demplissage commune aux 3/5 pour chaque cdté. Le résultat est toutefois ‘moins satisfaisant, il entraine un désé uilibre aw moment du drapé. Feston écusson Ce feston se trouve généralement au centre d'un décor Comme pour les pré ccédents on établit un dessin a échelle La téte peut dre droite ou reuse. Tracer axe vertical par le point C du dessin (fig. $62) et sur cet axe en Ci, tracer une horizontale sur laquelle seraFeston éeusson & poins emplssage déponés, située la ligne de téte. De chaque obté du point Ci (fig. $63), placer & 4 em les points C” et Cet sur axe, & environ 8 10 cm, le point C™ C°C™ et C"C™ sont les lignes d'emplissage du centre de YPécusson, (les dimensions sont approxi- matives). Bao ~ fg 508 ! Les points Ai et Bi sont distans respeetivement de Cet C de la lon- gueur CA (ou CB) Cette longueur est mesurée & la chainette dans le eas d'une téte en creux. ‘Sur Taxe vertical, porter la hauteur du feston CDi et ajeuter V'ampleur désirge DIM. Tracer les horizontals en Di et H. Relever a la chainette sur le dessin le grand galbe AD que l'on reporte en HA’ pour décrte are de cercle A’A” de centre H, A” dant sur Vhorizonale passant par Di. De méme, construire a Tracer Ia ligne de sentiment passant par les points A HB" et es lignes d'emplis- sage A"Ai et B"BI. Ecusson & points emplissage déportés ‘A la diffrence du feston éeusson précédent, le point 'emplissage central nest pas au méme niveau que ceux des ebtés, Le développement, se commence en plagant les points C1C°C"C™ Ar et Bi Gg: 564), ‘Tracer une distance h une paralléle & ABs que coupe Tare de cercle de centre Cet de rayon CA, égal ACA en 4. Consiruire b de fagon analogue. Sur Taxe a partir de Ci porter la hauteur CD plus Pamplear pour obtenir le point H. Le point M est le milieu de cin. ‘Du point M, tracer Ia parallle & C'a aqui coupe la verticaleen @ au point M de méme construire M” De H comme centre, tracer are de cer- ele ayant pour rayon la longveur do grand gnlbe AD releve sur le dessin & Ta chainette. Cet are coupe Fhorizontale passant par M' en A” De la méme Fagon on obtient B ‘Tracer la ligne de sentiment A” HB” et les lignes emplissage A” a et Bb. Ecusson a I’antique Les festons écussons peuvent s'exécuter également Pantique. Le développe- rent se déroule selon les principes d'un drape a antique, Le repérage des points C:C°C"C™ ‘AIB1 et H se fait comme pour les exem- piles précédents (ig.565). Le point M est placé aux 3/5 de HC. ‘Lrare de cercle de centre H et de rayon ‘al & la longueur du grand galbe AD ‘coupe le parallle passant en M au point A” Liare de cercle de centre A" et de rayon AE coupe I'arc de cercle de centre H et de rayon CE au point Et. On obtient les points B" et Fide Ia méme facon. I reste & tracer la ligne de sentiment, les lignes ¢'emplissage et les ailes. Eeusson & antique 4 points d'emplissage déportés Le développement se fait de fagon analogue a Pécusson & points d’emplis- sage déportés. La difference est que le point M n'est plus situé au milieu de HCi mais aux 3/5 (i. 566). Puis le développement pour tracer les pointes des ailes E1 ct Fi se déroule comme pour Técusson a antique Pour tous les éeussons, commencer par draper les points demplissage au centre du feston. 209TABLE DES MATIERES Préface Avant-propos I-A larecherche du confort Il ~ Les différentes garnitures a pelote ; goutte de suif, en plein , en cuvette , capitonnée Evolution des garnitures a travers les styles TI Loutillage ‘Outils de fixation Outils & couper ‘Outils pointus Outils de tension Outils d'arrachage ou dextraction Matériel mécanique IV ~ Les matiéres premiéres Matiéres végétales «© animales «—minérales Produits de synthése V — Aspect des siéges VI- La composition de la carcasse VII - La garniture classique Le plancher La gamiture & pelote La gamiture piquée Naissance du ressort VIII — Le guindage IX La garniture sur guindage X —Reécapitulation des opérations de garnissage d’un fond XI-~ La garniture des sigges de style Les dossiers Les fonds de siége Les manchettes La bergére La gamiture en tableau La couverture XII - Lesits de style XIII - Les siéges & bois recouvert Les fonds Les dossiers La couverture XIV ~ La garniture capitonnée 1s 15 16 16 16 1" 19 21 23 33 37 40 43 49 sl 35 39 63 9 1 75 16 81 85 86 88 95 99 XV~—Rampe - Enture - Gamiture & tranches XVI-~ Le fauteuil «confortable» Les fonds Les manchettes Les dossiers La couverture XVII — La finition du siége XVIII - La couverture passepoilée XIX — La coupe des étoffes Relevé de mesures Le plan de coupe XX ~ Les matériaux modernes Les garmitures XXI- La literie Le sommier Le matelas XXII La couture ‘Couture mai Couture machine XXIII - La finition en couture XXIV — Les décors de fenétres Rideaux Bandeau ou lambrequin Embrasse XXV - Les décors drapés, Les chutes Les festons La draperie & Vantique Le métrage XXVI-~ Les housses de lit Housse plate bande Dessus de lit XXVII— Les houses pour le mobilier XXVIII - La tringlerie XXIX - La tenture ‘Tenture par panneau Tenture en plein Différents modes de poses Les plafonds XXX - Les sols Lexique 109 13 121 128 125 27 133 137 140 Mas 148 159 160 166 169 169 170 173 7 179 191 198 197 199 201 205 215 2 223 228 243 247 255 258 259 266 269 273 29 287