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Ahadiths du Prophète
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Das la première tape, il aît das trois obscurit s, l¶obscurit du vetre, l¶obscurit
de la matrice et l¶obscurit du placeta. Dieu subviet à ses besois das l¶obscurit
de la cavit du vetre.
ruad il est sorti de l¶obscurit du vetre, il d couvre le lait vers lequel il e fait pas
u pas, qu¶il e recu eille pas de sa mai et vers lequel il e va pas ergiquemet,
mais il y est oblig et ce lait lui est attribu jusqu¶à ce que sa chair et so sag se
d veloppet.
Sevr du lait, il d couvre la troisième tape, avec la ourriture procur e par ses
parets, qui l¶acquièret licitemet ou illicitemet. ruad ses parets meuret, les
ges ot piti de lui : ue persoe le ourrit, ue autre lui doe à boire, ue autre le
protège et ue autre le vêt.
ruad il d couvre la quatrième tape, qu¶il gradit et se tiet debout, qu¶il deviet u
homme, il crait pour sa subsistace, aussi attaque-t-il les ges, trahit il leur
cofiace, vole-t-il leurs affaires et emporte-t-il leur richesse, craigat que Dieu
Tout-Puissat puisse l¶abadoer.cc
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J sus reprit la route avec l¶homme, et il vit ue biche avec deux de ses petits. J sus
appela l¶u deux, qui vit à lui. Alors J sus le tua, le fit rôtir et le magea avec so
compago. Puis il dit au jeue cerf : « Relève-toi, avec la permissio de Dieu. » Le
cerf se leva et partit. J sus se toura alors vers so compago et dit : « Je te le
demade au om de Celui qui t¶a motr ce miracle, qui a prit la miche ? ± Je e sais
pas », r podit l¶homme.
Les deux hommes arrivèret alors à ue tedue d¶eau das ue vall e. J sus prit
l¶homme par la mai et ils marchèret sur l¶eau. ruad ils euret travers , J sus dit :
« Je te le demade au om de Celui qui t¶a motr ce miracle, qui a prit la miche ? ±
Je e sais pas », r podit l¶homme.
Ils arrivèret alors à u d sert sas eau et ils s¶assiret sur le sol. J sus commea à
rassembler u peu de terre et de sable, puis il dit : « Trasforme-toi e or, avec la
permissio de Dieu », et c¶est ce qui se produisit. J sus r partit l¶or e trois parts et
dit : « U tiers pour moi, u tiers pour toi, et u tiers pour qui a pris la miche. »
L¶homme dit : « C¶est moi qui ai pris la miche. » J sus dit : « Tout l¶or est pour toi. »
Puis J sus le quitta. Deux hommes tombèret sur l¶homme par hasard das le d sert
avec l¶or, et ils vouluret
le voler et le tuer. Il leur dit : « Partageos-le e trois parties etre ous, et evoyos
l¶u de vous deux e ville pour ous acheter quelque chose à mager. » L¶u d¶etre
eux fut evoy , et il se dit à lui même : « Pourquoi devrais-je partager l¶or avec ces
deux là ? Je vais plutôt empoisoer la ourriture et j¶aurai tout l¶or pour
moi. » Il partit, et c¶est ce qu¶il fit.
Etre-temps, les deux qui ¶ taiet rest s e arrière se diret l¶u à l¶autre : «
Pourquoi devrios ous doer
u tiers de l¶or ? Tuos le plutôt quad il reviedra et partageos l¶arget etre ous.
»
ruad l¶autre revit, ils le tuèret, magèret la ourriture et moururet. L¶or resta
das le d sert avec les trois hommes à cot de lui. J sus passa par là, les trouva das
cette situatio, et dit à ces compagos : « oici le mode. Gardez vous e.cc
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N°159. c c c
ccCelui qui aime Dieu aime les preuves. » Et o
racote qu¶u jour il recotra u grad groupe d¶adorateurs qui s¶ taiet fl tris à
force d¶adoratio, comme des outres us es.
« rui êtes vous, demada-t-til ?
± Nous sommes des adorateurs, r podiret-ils.
± Pourquoi adorez-vous ?
± Dieu a mis e ous la craite de l¶efer, et ous avos peur.
± Il appartiet à Dieu de vous sauver de ce que vous craigez », dit J sus. Alors J sus
s¶ loiga, et il recotra d¶autres adorateurs ecore meilleurs.
« Pourquoi adorez vous ? demada t-il.
± Dieu ous a do le d sir du paradis et de ce qu¶il y a pr par pour ses amis. C¶est
cela dot ous avos l¶espoir.
± Il appartiet à Dieu de vous doer ce que vous esp rez », dit J sus.
victorieux de Sata.ccc
Alors J sus se tit près de la tombe et dit : « Relève-toi, par la permissio de Dieu, toi
qui es das cette tombe ! » La tombe s¶ouvrit e se fedat, et u esclave oir e
sortit, u feu sortat de ses aries, de ses yeux et des autres orifices de so visages, et
il dit : « Il ¶y a de dieu que Dieu, et j sus est l¶Esprit de Dieu, Sa parole, So
serviteur et So prophète. » Ishaq dit : « Esprit et Parole de Dieu, ce ¶est pas la
tombe de ma femme, mais c¶est plutôt celle-là », et il motra ue autre tombe.
J sus dit à l¶homme oir : « Retoure d¶où tu vies. » L¶homme tomba mort et J sus
l¶eterra das sa tombe. Alors j sus se tit devat l¶autre tombe et dit : « Relève-toi,
par la permissio de Dieu, toi qui es das cette tombe ! » La femme se leva, essuyat
la poussière de so visage. « Est-ce ta femme ? » demada J sus. « Oui, Esprit de Dieu
», r podit-il. « Preds-là par la mai et va », dit J sus.
Aisi, il la prit avec lui et s¶ loiga. Alors le sommeil s¶empara de lui et il dit à sa
femme : « L¶attete près de la tombe m¶a fatigu et je voudrais me reposer u peu. ±
Repose-toi », r podit-elle. Alors, posat sa tête sur sa cuisse, il s¶edormit.
ruad so mari se r veilla, il regarda autour de lui mais e la vit pas. Il partit doc à
sa recherche et, suivat les traces du cheval, il les rattrapa. S¶adressat au fils du roi,
il dit : « Reds moi ma femme, ma cousie. » Elle, par cotre, ia qu¶elle le
coaissait, et dit :
« Je suis ue esclave du fils du roi.
± No, dit-il, tu es ma femme et ma cousie.
± Je e te coais pas, dit-elle, je e suis qu¶ue esclave du fils du roi. » Le fils du roi
lui dit : « As-tu l¶itetio de corrompre mo esclave ? »
L¶homme dit : « Je jure par Dieu qu¶elle est ma femme et que J sus, fils de Marie, l¶a
ressuscit e pour moi par la permissio de Dieu après qu¶elle fut morte. »
Pedat qu¶il discutait, J sus passa, aussi Ishaq lui dit-il : « Esprit de Dieu, ¶est-elle
pas ma femme que tu as ressuscit pour moi par la permissio de Dieu ?
± Oui », r podit J sus.
La femme dit : « Esprit de Dieu, il met, je suis l¶esclave du fils du roi. » Le fils du roi
ajouta : « Elle est mo esclave ! »
J sus demada à la femme : « N¶est tu pas la femme que j¶ai ressuscit e par la
permissio de Dieu ? ± No, Esprit de Dieu, et Dieu m¶e est t moi », r podit-elle.
« Alors reds-ous ce que ous t¶avos do », et la femme tomba morte.
J sus dit : « ruicoque souhaite voir u homme que Dieu a fait mourir icroyat,
puis ressusciter et a fait mourir à ouveau musulma, qu¶il regarde l¶homme oir ; et
quicoque souhaite voir ue femme que Dieu a fait mourir croyate, puis ressusciter
et a fait mourir à ouveau icroyate, qu¶il regarde cette femme.cc" cc012c
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cUe marchadise pour laquelle je cherche des acheteurs.
± ruelle est cette marchadise, demada J sus.
± La première est l¶oppressio.
± rui l¶achète ?
± Les gouverats. Et la deuxième est l¶orgueil.
± rui l¶achète ?
± Les otables de provice. Et la troisième est l¶evie.
± rui l¶achète ?
± Les savats religieux. Et la quatrième est la malhoêtet .
± rui l¶achète ?
± Les agets des marchads. Et la ciquième est la fourberie (rui dissimule ses
setimets ou ses itetios das u but malveillat.
± rui l¶achète ?
± Les femmes.cc
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