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Ahadiths du Prophète
µIssa
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N°2. c  cc c


c c× i soit celui qui pred garde à sa lague, dot la
maiso suffit à ses besois et qui pleure sur ces p ch s.c c
c
 ccccc ccc
c
N°3. c  c cccc
c cNe parlez pas trop sas predre le temps
de metioer Dieu, sio votre cœur va se durcir. Car le cœur dur est loi de Dieu,
mais vous e savez pas. Ne scrutez pas les p ch s des ges comme si vous tiez des
seigeurs, mais scrutez les plutôt comme si vous tiez des serviteurs. Les hommes sot
de deux sortes : ceux qui sot malades et ceux qui sot e boe sat . Soyez
mis ricordieux avec celui qui est malade, et remerciez Dieu pour la sat .c c
c
 ccccc ccc
c
N°5c c  c! c c  c cc c
c crue la paix soit
sur toi, Esprit de Dieu. ± Et sur toi la paix, Esprit de Dieu. » dit J sus. Alors J sus
demada : « Ô Gabriel, quad l¶Heure viedra-t-elle ? » Les ailes de Gabriel
battiret et il r podit : « Le questio ¶e sait pas plus à ce sujet que le
questioeur. Elle sera lourde das les cieux et sur la terre ; elle e te predra qu¶à
l¶improviste. » Il dit aussi : « Seul Dieu te r vèlera quad le temps sera veu.c c
c
 ccccc ccc
c
N°8. c  c ccc!c
c cDe même que les rois vous ot laiss la

sagesse, laissez leurs le mode.c cc

 ccccc ccc

N°10. c  c c


c c Ô mes disciples, recherchez l¶amour de Dieu par
votre haie des p cheurs. Cherchez à être proches de Lui e faisat ce qui vous
loige d¶eux. Et recherchez sa faveur e tat fâch s avec eux. » Ils diret : « Esprit
de Dieu, e quelle compagie devos ous alors ous teir ? » Il r podit : « Teez
vous e compagie de celui dot la vue vous rappelle Dieu, dot les paroles
augmetet votre coaissace et dot les actes vous fot d sirer l¶au-delà.c c
cccccccccccccccccccccccccccccccccccccccc cccccccccccccccc

c"cc#c ccc
cc  ccccc ccc
c
N°12. c  cc c
c cPour l¶homme patiet, le malheur aboutit vite à
l¶aisace ; pour le p cheur, l¶aisace abouti vite au malheurc c
c
 ccccc ccc

N°18. c$cc%!c! c c   c c


c
cDis moi ce qui rapproche quelqu¶u de la faveur de Dieu et qui loige quelqu¶u
du courroux de Dieu ? »
J sus dit : « C¶est d¶ viter de ressetir la colère »
Jea demada : « ru¶est ce qui fait aître la colère et qu¶est ce qui la fait r apparaître
? » J sus r podit : « L¶orgueil, le faatisme, l¶arrogace et la magificece. »
Jea dit : « Permets moi ue autre questio ! ± Demade ce que tu veux », dit J sus.
« L¶adultère, qu¶est ce qui la cr e et qu¶est ce qui le fait reveir ? ± U coup d¶œil, dit
J sus, qui implate das le cœur quelque chose qui le fait virer excessivemet vers
l¶amusemet et la complaisace vis à vis de soi- même, augmetat aisi l¶isouciace
et le p ch . Ne porte pas to regard sur ce qui e t¶appartiet pas, car ce que tu ¶as
vu e te redra pas plus sage et ce que tu ¶eteds pas e te troublera pas.c c
c
 ccccc ccc
c
N°20. &c!c' cc c  c
c
cDis-ous, quel hommes est le plus fidèle à Dieu ?
± Celui qui travaille pour l¶amour de Dieu sas rechercher la louage des hommes,
r podit J sus.
± ruel homme offre u coseil sicère pour l¶amour de Dieu ? demadèret-ils.
± Celui qui commece par remplir ses devoirs evers Dieu avat so devoir evers les
hommes [et pr fère] les devoirs evers Dieu aux devoirs evers les hommes. ruad il
est face à deux optios, les affaires mat rielles
et les affaires de l¶au-delà, il commece par ce qui cocere l¶au-delà et toure esuite
so attetio vers ce mode.c c
c
 ccccc ccc
c
N°22. c  c( c! ccc
c cl¶amour du paradis et la craite de
l¶efer egedre la patiece das l¶adversit et loiget le serviteur de Dieu du
cofort mat riel.c c
c
 ccccc ccc
c
N°33. c  cc c cPlacez vos tr sors au paradis, car le cœur de l¶homme
est là ou est so tr sorc c
c
 cccc)c cc*++c
c
N°37. ,c(cc c  c
c cÔ J sus, Je t¶ai accord l¶amour pour les
pauvres et la mis ricorde à leur gard. Tu les aimes, et ils t¶aimet et t¶acceptet
comme leur guide spirituel et leur chef, et tu les acceptes comme compagos et
disciples. Ce sot deux traits de caractère. Sache que quicoque Me recotre au Jour
du jugemet avec ces deux traits de caractère M¶a recotr avec la plus pure des
œuvres et avec ceux que J ¶aime le plus.c c
c
 cccc)c cc*++c
c
N°43. c   c  c
c c cIl e sert à rie d¶arriver à savoir ce que vous e
savez pas, aussi logtemps que vous ¶agirez pas coform met à ce que vous savez
d jà. Trop de savoir e fait qu¶augmeter l¶orgueil si vous ¶agissez pas
coform met à ce savoir.c c
c
 cccc)c cc*++c
c
N°46. &c- c  cc c
c cruicoque a tudi , mis e pratique et trasmis
la coaissace, voilà celui qu¶o appelle grad das le royaume des cieux.c c
c
 cccc)c cc*++c
c
71. &c!c c
c cChrist de Dieu, regarde la maiso de Dieu comme elle est
belle ! » Il r podit : « Ame, ame. E v rit je vous le dis, Dieu e laissera aucue
pierre de cette mosqu e (acie Temple de Salomo l¶ue sur l¶autre, mais il la
d truira etièremet à cause des p ch s de so peuple. Dieu ¶a rie à faire de l¶or,
l¶arget i de ces pierres. Celui qui est pur das so cœur est plus cher à Dieu. A
travers eux, Dieu difie la terre, sio Il la d truit lorsque ces cœurs e sot pas
purs. c
c
 cccc)c cc*++c
c
N°80. &c- c  cc'c.c/c.0 c1c. ' c-1c
$c1.c# ccc(2cc- c ccccc c
3cc c
c cƒas-tu r podre avec des paroles de bot chaque fois qu¶ils te diset
des paroles mauvaises ? » Le Christ dit : « Chaque persoes d pese ce qu¶elle
possède.c c
c
 cc 4c cc*5*c
c
N°85. &c- c  cc c
c ccLe sige qui motre combie ce mode est
isigifiat pour Dieu est que c¶est seulemet e ce mode qu¶o Lui d sob it, et c¶est
seulemet e reoat au mode qu¶o peut parveir à sa bot .c c
c
 ccc6 c 4c cc*5*c
c
N°86. c  c ccc!c
c cl¶homme est cr e e ce mode e quatre
tapes : e trois d¶etre elles, il se set e s curit , et das la quatrième il est mal
dispos et crait que Dieu e l¶abadoe.

Das la première tape, il aît das trois obscurit s, l¶obscurit du vetre, l¶obscurit
de la matrice et l¶obscurit du placeta. Dieu subviet à ses besois das l¶obscurit
de la cavit du vetre.
ruad il est sorti de l¶obscurit du vetre, il d couvre le lait vers lequel il e fait pas
u pas, qu¶il e recu eille pas de sa mai et vers lequel il e va pas ergiquemet,
mais il y est oblig et ce lait lui est attribu jusqu¶à ce que sa chair et so sag se
d veloppet.

Sevr du lait, il d couvre la troisième tape, avec la ourriture procur e par ses
parets, qui l¶acquièret licitemet ou illicitemet. ruad ses parets meuret, les
ges ot piti de lui : ue persoe le ourrit, ue autre lui doe à boire, ue autre le
protège et ue autre le vêt.

ruad il d couvre la quatrième tape, qu¶il gradit et se tiet debout, qu¶il deviet u
homme, il crait pour sa subsistace, aussi attaque-t-il les ges, trahit il leur
cofiace, vole-t-il leurs affaires et emporte-t-il leur richesse, craigat que Dieu
Tout-Puissat puisse l¶abadoer.c c
c
 ccc6 c 4c cc*5*cc

N°102. &c! c  cc c


c cƒous e commettrez pas l¶adultère aussi

logtemps que vous d tourerez vos yeux.c c

 cccc" 7c cc**8c

N°107. c  c c


c cIl ¶est pas possible au cœur du croyat de souteir
l¶amour à la fois de ce mode et de l¶autre, de même qu¶u uique r cipiet e peut
coteir à la fois l¶eau et le feu.c c

 ccc9ccc,7c cc*8c


c
N°108. 6c:2ccc!!/ c 2c  cc c
c cJe veut rester
avec toi et être to compago. » Ils se miret e route et arrivèret sur la berge
d¶ue rivière, où ils s¶assiret pour mager. Ils avaiet trois miches de pai. Ils e
magèret deux, et il restait ue troisième. Alors J sus se leva et alla à la rivière pour
boire. ruad il revit, il e trouva plus la troisième miche, aussi demada-t-il à
l¶homme :
« rui a pris la miche ? ± Je e sais pas », r podit l¶homme.

J sus reprit la route avec l¶homme, et il vit ue biche avec deux de ses petits. J sus
appela l¶u deux, qui vit à lui. Alors J sus le tua, le fit rôtir et le magea avec so
compago. Puis il dit au jeue cerf : « Relève-toi, avec la permissio de Dieu. » Le
cerf se leva et partit. J sus se toura alors vers so compago et dit : « Je te le
demade au om de Celui qui t¶a motr ce miracle, qui a prit la miche ? ± Je e sais
pas », r podit l¶homme.

Les deux hommes arrivèret alors à ue tedue d¶eau das ue vall e. J sus prit
l¶homme par la mai et ils marchèret sur l¶eau. ruad ils euret travers , J sus dit :
« Je te le demade au om de Celui qui t¶a motr ce miracle, qui a prit la miche ? ±
Je e sais pas », r podit l¶homme.
Ils arrivèret alors à u d sert sas eau et ils s¶assiret sur le sol. J sus commea à
rassembler u peu de terre et de sable, puis il dit : « Trasforme-toi e or, avec la
permissio de Dieu », et c¶est ce qui se produisit. J sus r partit l¶or e trois parts et
dit : « U tiers pour moi, u tiers pour toi, et u tiers pour qui a pris la miche. »
L¶homme dit : « C¶est moi qui ai pris la miche. » J sus dit : « Tout l¶or est pour toi. »

Puis J sus le quitta. Deux hommes tombèret sur l¶homme par hasard das le d sert
avec l¶or, et ils vouluret
le voler et le tuer. Il leur dit : « Partageos-le e trois parties etre ous, et evoyos
l¶u de vous deux e ville pour ous acheter quelque chose à mager. » L¶u d¶etre
eux fut evoy , et il se dit à lui même : « Pourquoi devrais-je partager l¶or avec ces
deux là ? Je vais plutôt empoisoer la ourriture et j¶aurai tout l¶or pour
moi. » Il partit, et c¶est ce qu¶il fit.

Etre-temps, les deux qui ¶ taiet rest s e arrière se diret l¶u à l¶autre : «
Pourquoi devrios ous doer
u tiers de l¶or ? Tuos le plutôt quad il reviedra et partageos l¶arget etre ous.
»

ruad l¶autre revit, ils le tuèret, magèret la ourriture et moururet. L¶or resta
das le d sert avec les trois hommes à cot de lui. J sus passa par là, les trouva das
cette situatio, et dit à ces compagos : « ƒoici le mode. Gardez vous e.c c
c
 ccc9ccc,7c cc*8c
c
N°159. c  c c
c cCelui qui aime Dieu aime les preuves. » Et o
racote qu¶u jour il recotra u grad groupe d¶adorateurs qui s¶ taiet fl tris à
force d¶adoratio, comme des outres us es.
« rui êtes vous, demada-t-til ?
± Nous sommes des adorateurs, r podiret-ils.
± Pourquoi adorez-vous ?
± Dieu a mis e ous la craite de l¶efer, et ous avos peur.
± Il appartiet à Dieu de vous sauver de ce que vous craigez », dit J sus. Alors J sus
s¶ loiga, et il recotra d¶autres adorateurs ecore meilleurs.
« Pourquoi adorez vous ? demada t-il.
± Dieu ous a do le d sir du paradis et de ce qu¶il y a pr par pour ses amis. C¶est
cela dot ous avos l¶espoir.
± Il appartiet à Dieu de vous doer ce que vous esp rez », dit J sus.

Puis il partit, et il recotra d¶autres adorateurs.


« rui êtes vous ? dit-il.
± Nous sommes ceux qui aimet Dieu. Nous e l¶adoros pas par craite de l¶efer i
par d sir du paradis,
mais par amour pour Lui et pour sa très grade gloire.
± ƒous êtes vraimet les amis de Dieu, et c¶est avec vous qu¶il m¶a t ordo de
vivre. »
Et il s¶istalla parmi eux.
Das ue autre versio, o rapporte qu¶il a dit aux deux premiers groupes : « C¶est
ue chose cr e que vous craigez et ue chose cr e que vous aimez », et au troisième
groupe : « ƒous êtes vraimet les plus proches de Dieu. c
c
 ccc;cc cc5c
c
N°177. c  c c
c cMo Dieu, quel est le plus hoorable des hommes ? »
Dieu r podit : « Celui qui, lorsqu¶il est seul, sait que Je suis avec lui, et respecte
tellemet Ma majest qu¶il e voudrait pas que Je t moige de ses p ch s.c c
c
 cc /c0$c'c'!c
c
N°194. c  cc c
c cGardez-vous de jeter u regard aux femmes de le
faire et de le refaire, car cela sème le d sir das le cœur et suffit pour s duire celui qui
le fait.c c
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 ccc)c<c cc=+*c
c
N°198. c  cc'c.c! 'c0cccc c c,cc
! c ccc
c crui es tu ? ± J ¶ai autrefois t porteur, r podit
l¶homme, je trasportais du bois pour le feu pour u homme et j¶ai arrach ue
bridille pour ettoyer mes dets. Depuis que je suis mort, o m¶a demad des
comptes au sujet de cette bridille. c
c
 cc"cc"7c cc=>c
c
N°203. c  cc c
c cCelui qui acquiert la coaissace mais ¶agit pas
coform met à elle est comme ue femme qui commet l¶adultère e secret et deviet
eceite, et sa hote est coue de tous. Aisi, celui qui ¶agit pas coform met à ce
qu¶il sait sera aussi couvert de hote devat tous les hommes au Jour du Jugemetc c
c
 ccc)c 4c ccc
c
N°225. ?c! c1c c  cc'c.cc1c  c(/2c
#2c 2c7cc#c!@ cc!c c ccc'c&.c c
c c
Louage à Dieu qui m¶a gu ri de ce qu¶Il a iflig à tat de Ses cr atures. »
J sus lui demada : « Toi qui es ici, quelle sorte de tourmet e t¶a pas redu visite ?
» L¶homme r podit :
« Esprit de Dieu je vaux mieux que celui das le cœur duquel Dieu ¶a pas plac la
part de Sa coaissace qu¶Il a plac e das le mie. ± Tu as dit vrai, dit J sus, doe
moi ta mai.c c
&.c  c c 2c  c (c 1c c (/c  c c !c $ c $c  c
( c c c  c c c c  c c c ! 2c !c ,c .( c /c c c
 cAcc 2cc!!/c c c!! c. c(!cc
c
 ccc)c 4c ccc

N°230. &c!c' cc c  c


c cEsprit de Dieu, existe-t-il
actuellemet quelqu¶u sur terre qui soit comme toi ? » J sus r podit : « Oui, celui
dot le discours est u rappel (de Dieu, dot le silece est ue cotemplatio (de
Dieu, et dot chaque regard tire ue leo ; u tel homme est comme moi.c c
c
 ccc)c 4c ccc
c
N°241. c  c c
c cLa vie terrestre se compose de trois jours : u hier
sur lequel tu ¶as aucu cotrôle, u demai dot tu e sais pas si tu l¶atteidras, et
u aujourd¶hui dot tu devrais faire le meilleur usage.c cc
c
 ccc)c 4c ccc

N°248. c!ccc(7/2c c  cc'c.c!Bcc0cc


ccc&c!Bc c
c
cEsprit de Dieu, mo om est ×lawa ib Hafs, roi du Yeme. J¶ai v cu mille as,
j¶ai egedr mille fils, j¶ai d flor mille vierges, j¶ai mis e d route mille arm es, j¶ai
tu mille tyras et j¶ai coquis mille cit s. rue celui qui eted mo r cit e soit pas
tet par le mode, car il µ tait pas autre chose que le rêve d¶u dormeur.c c c
c
c
 cc0cc 1c; c ccC5c
c
N°256. c  c( c! ccc
c cCelui qui prie et jeûe mais
¶abadoe pas le p ch est eregistr comme meteur das le Royaume de Dieu.c c
c
 ccc"ccDcc cc+c
c
N°259. 6cccc c  c
c crui parmi les hommes est le plus
vertueux ? » J sus prit deux poig es de poussière et dit : « Laquelle de ces deux
poig es est la plus vertueuse ? Les hommes sot  s de poussière, et le plus estimable
est celui qui crait le plus Dieu.c c
c
 ccc"ccDc cc+c
c
N°263. ?c  c 1c c    c c  c
c c Mo Dieu, commet puis-je Te
remercier alors que mes remerciemets sot u biefait veat de Toi dot je dois Te
remercier ? » Dieu r podit : « Si tu sais cela, alors tu M¶as d jà remerci .c c
c
 cc0c):::c9<c ccC=c
c
N°271c c  cc c
c cÔ Seigeur, parle-moi de cette atio qui recevra
Ta mis ricorde. » Dieu dit : « C¶est la atio de Muhammad, ue atio de savats,
de ges craigat Dieu, pieux, das la reteue, au cœur pur, et sages comme s¶ils
taiet des prophètes. Ils se satisfot d¶u peu de bot de Ma part, et je suis satisfait
d¶u peu de boes actios de leur part. Je les coduis au paradis parce qu¶ils diset :
« Il ¶y a de Dieu que Dieu. » Ô J sus, ils formet la majorit des habitats du
paradis, car das aucu peuple les lagues ¶ot t aussi humbles que les leurs
quad elles proocet « Il ¶y a de Dieu que Dieu » et das aucu peuple les uques
¶ot t aussi humbles quad elles se prosteret.c c
c
 cc3c,cD6c3<c ccC>8c
c
N°203. c  cc c
c cCelui qui acquiert la coaissace mais ¶agit pas
coform met à elle est comme ue femme qui commet l¶adultère e secret et deviet
eceite, et sa hote est coue de tous. Aisi, celui qui ¶agit pas coform met à ce
qu¶il sait sera aussi couvert de hote devat tous les hommes au Jour du jugemet.c c

 ccc)c 4c ccc


c
N°207. "c c  c1 2ccc( c(c3 c cc c
c c
Les idoles ot aujourd¶hui courb la tête. » Sata dit : « ruelque chose s¶est produit
das votre mode. » Sata vola alors tout autour du mode mais e trouva rie.
Fialemet, il trouva l¶Efat J sus etour d¶ages. Il retoura vers les d mos et
dit :
« U prophète est  hier. Aucue femme ¶a jamais cou i do aissace sas
que je sois pr set, sauf cette fois-ci. Par cos quet, après cette uit, abadoez
tout espoir d¶adoratio des idoles. Dor avat, s duit les hommes e exploitat leur
pr cipitatio et leur superficialit .c c
c
 ccc)c 4c ccc
c
N°211. 0c c! ccc(/c
c cCelui qui prie pour ceux qui l¶ot maltrait est

victorieux de Sata.c cc

 ccc)c 4c ccc

N°284. &c c cc/c!  c1.c.1cc c  c


(( ccccc0 cc012c cc$cc!c  cc
ccc$ccc c0c  c#c.2ccc cEcc  c
cc!c'ccc 2cc c c( c cc/c
 c
c
6c:2c cccc cc (c c'ccc ccc$c cPourquoi
pleures-tu, Ishaq ? »
demada J sus. Il r podit : « Esprit de Dieu, j¶avais ue cousie qui tait ma femme
et que j¶aimais beaucoup. Elle mourut, et voici sa tombe, et je e peux supporter
d¶être s par d¶elle. So tr pas a t ma mort. » J sus lui demada : « ƒoudrais-tu
que je la ressuscite pour toi, avec la permissio de Dieu ? ± Oui, Esprit de Dieu »,
r podit l¶homme.

Alors J sus se tit près de la tombe et dit : « Relève-toi, par la permissio de Dieu, toi
qui es das cette tombe ! » La tombe s¶ouvrit e se fedat, et u esclave oir e
sortit, u feu sortat de ses aries, de ses yeux et des autres orifices de so visages, et
il dit : « Il ¶y a de dieu que Dieu, et j sus est l¶Esprit de Dieu, Sa parole, So
serviteur et So prophète. » Ishaq dit : « Esprit et Parole de Dieu, ce ¶est pas la
tombe de ma femme, mais c¶est plutôt celle-là », et il motra ue autre tombe.

J sus dit à l¶homme oir : « Retoure d¶où tu vies. » L¶homme tomba mort et J sus
l¶eterra das sa tombe. Alors j sus se tit devat l¶autre tombe et dit : « Relève-toi,
par la permissio de Dieu, toi qui es das cette tombe ! » La femme se leva, essuyat
la poussière de so visage. « Est-ce ta femme ? » demada J sus. « Oui, Esprit de Dieu
», r podit-il. « Preds-là par la mai et va », dit J sus.
Aisi, il la prit avec lui et s¶ loiga. Alors le sommeil s¶empara de lui et il dit à sa
femme : « L¶attete près de la tombe m¶a fatigu et je voudrais me reposer u peu. ±
Repose-toi », r podit-elle. Alors, posat sa tête sur sa cuisse, il s¶edormit.

Comme il dormait, le fils du roi passa. Il tait magifique, très imposat et


chevauchait u beau cheval. ruad elle le vit, elle s¶eticha de lui, se leva et courut
vers lui. Lui aussi, quad il la vit, tomba amoureux d¶elle. S¶approchat de lui, elle lui
dit : « Preds-moi ! » Il la fit asseoir derrière lui sur so cheval et s¶ loiga.

ruad so mari se r veilla, il regarda autour de lui mais e la vit pas. Il partit doc à
sa recherche et, suivat les traces du cheval, il les rattrapa. S¶adressat au fils du roi,
il dit : « Reds moi ma femme, ma cousie. » Elle, par cotre, ia qu¶elle le
coaissait, et dit :
« Je suis ue esclave du fils du roi.
± No, dit-il, tu es ma femme et ma cousie.

± Je e te coais pas, dit-elle, je e suis qu¶ue esclave du fils du roi. » Le fils du roi
lui dit : « As-tu l¶itetio de corrompre mo esclave ? »
L¶homme dit : « Je jure par Dieu qu¶elle est ma femme et que J sus, fils de Marie, l¶a
ressuscit e pour moi par la permissio de Dieu après qu¶elle fut morte. »

Pedat qu¶il discutait, J sus passa, aussi Ishaq lui dit-il : « Esprit de Dieu, ¶est-elle
pas ma femme que tu as ressuscit pour moi par la permissio de Dieu ?
± Oui », r podit J sus.
La femme dit : « Esprit de Dieu, il met, je suis l¶esclave du fils du roi. » Le fils du roi
ajouta : « Elle est mo esclave ! »
J sus demada à la femme : « N¶est tu pas la femme que j¶ai ressuscit e par la
permissio de Dieu ? ± No, Esprit de Dieu, et Dieu m¶e est t moi », r podit-elle.
« Alors reds-ous ce que ous t¶avos do », et la femme tomba morte.

J sus dit : « ruicoque souhaite voir u homme que Dieu a fait mourir icroyat,
puis ressusciter et a fait mourir à ouveau musulma, qu¶il regarde l¶homme oir ; et
quicoque souhaite voir ue femme que Dieu a fait mourir croyate, puis ressusciter
et a fait mourir à ouveau icroyate, qu¶il regarde cette femme.c c" cc012c
.0 2cc:c( c,c1.ccc c2c cccc ccc cc
 c
c
 ccFc,c,c cc8=+c
c
285. c  c! c3 c1c! c!1cBc  cc!/c
ccc!c1.  c!c
!/2c c3 c c
c
cUe marchadise pour laquelle je cherche des acheteurs.
± ruelle est cette marchadise, demada J sus.
± La première est l¶oppressio.
± rui l¶achète ?
± Les gouverats. Et la deuxième est l¶orgueil.
± rui l¶achète ?
± Les otables de provice. Et la troisième est l¶evie.
± rui l¶achète ?
± Les savats religieux. Et la quatrième est la malhoêtet .
± rui l¶achète ?
± Les agets des marchads. Et la ciquième est la fourberie (rui dissimule ses
setimets ou ses itetios das u but malveillat.
± rui l¶achète ?
± Les femmes.c c
c
 ccFc,c,c cc8=+c
c
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