etl ate ae fac
fen Lass Po PO
LACAN. - SEMINAIRE DU 20 NOVEMARE 1963
A >
"7 (098) eS
d(A) x A ia
Je n'ai pas l*intention aujourd'hui ds ne livrer & aucun jeu
qui reseenble & un coup ds théatre, Ce séninaize est 1a dernier que je forai
Pour certeina initiés sux choses qui se pesment, cock ne sera-t-it pagline
surprise. Pour les autrss, par dgard pour leur préssncs, jusqu'a la nuit
Serniaze trie tard, una certaine nouvelis a'a 66 annoncée... J'ai pu
croizs que je vous donnerais catte année ca que js voua donnais depuia
dix ans, Je vous donna aujourd'hui ce s4minaire. J'ai annoneé que je vous
parlerais cette année des noma du pase pourquoi ce pluriel concernent
ies noms. Ce qua j'entendais apporter da progxas dans une notion que j'ai
anorche dis la troisiame année da mon séminaire quand j'ai sbordé le cas
SCHRESER: 1a fonction dea noas du pare. Ponctuer dana aon enseignament
pasaé lee repaires of vous avez pu voir se fonder les Linéamenta +
1") 15 Janvier, 22, 29 Janvier et 5 Février 1958, "la métaphore paternelle*,
2°) de
fongtion du nom propse!
sfaineizes du 20 Décembre 1961 et caux qui suivent concernant "Le
4 3°) Law séminaizea de Hi
de man année suz le transfert concernent co qui
eat intercssé du drama du pare dana 1a trilogia claudelienne.
Vous réfécer & ces séminaires pour voir dans quelle direction
@3 avancée dena sa struc
Je voulais poursuivre mon discours, Fagan déja
turation, ca qui nous permettait de faire le pas suivant, IL a'enchaine
avec mon eéminaire sur l'angoisse.-Pourquoi, en quoi ? Avent d'allar plus
join : ca quts apporté man sémin
ze sur L'angoisse.
Qn a pu donnes tout leur poids & des formuies tulledque :Mangoisse uun_affect du suiat. L'ordonnar an fonction quasi de le
structura, cella du aujat défini comme le sujet gui parle : qui sm funca,
30 déterine dens un effet du signifiant. Oy est, a quel temp: (réfécence
eu fivesu de la synchronie) ce aujet esteil affect$ ds l'angoiass (voir
le schéma cernd su tableau). Quelque soit cs temps, ce dont le sujet est
dang angainss affectd, cteat par le désir de LtAutre. [1 on est affects
dtuna fagon innédiste non dialectiaeble ; c'est an ceci que Ll! angoiace
eat, dans Ltaffact du sujet, ca qui ne trospe pas, Dana “ce qui ne tronpe
pas", 2 quel niveau plua radical que tout ce quis Sté dérivé dens Le
ddscoura de FREUD stinscrit eatts fonction da signal. A le poser sinai,
se confirms et reste valabla, coame FREUD lui-afee L'a reseenti assez
pour lo rateniz, qus toute la promidre figuratien qu’il a donnée do
Ltangoiese (tranaformation dizects de la Libido, atc...) reete ene
conpréhenaibla. Mtapposant & la tradition peychelegisante qui distingue
Ltangaiass da la pour qui par sea corsélats, spécielewant des corzélate dz
js change Lea choses on disant de Langaisas qu'elle atest pea
gana obint, Cat objat a dont j'ai desniné auaci bien que j'eL pu ls
xéalits.
forme fondamentale 1 cs qui eat chu du sujet dans Ltangoisas, cot objet
@ qui est le m@ne que 1a cause du déair, A l'angoisas, & l'angoises qui
ne trompa pes,sc substitue pour is sujet ce qui doit s'aptrar au mayen
+ de eat objot a. 11 pout stopézer plus dtune chose, Ceci eet suspend +
ce qui était xéoezvé pour Ltaveniz, (cf. un livee que j'éeria) + suependue
Ja fonction de l'acta at encare quelque chose d’autra. Ltannée dernidre
ot pour Ltingtant co & quoi ja me cuts anu: & la fopction du a dana ie
fantas
» la fonction qu'il prend d'@tre 12 soutien du déeir en teaps que
ce qu'il est donné au aujat d’attsindze de plus intensif dans ea céali-
sation da sujet au niveau de Le co
ionce, clest par cette cheine que
ffizme une fois de plua sa dépendance par rapport au désir de Lthutre,
au désirent. Ai-jo besoin de vous rappelex le caractére radical, tout a
fait restructurant qu'ont cee concaptions tant du sujet ga de l'objet,Bien sQr, nous détachons-nous depuis longtemps de touta conception du
sujet qui an fait un pou corrclatif de i'intelligent a 1'intetligible,
du ous, en signe ae ce qui est Fait foi a Ltintelligence. Ici, 1'angoisne
se montze crucials. Dans. Ariatots, pour la tradition antique; pathos
local, qui a'apaise dans linpassibilité du tout. 11 reste quelque chose
de la concaption antique dans le pensée positiviste, dans iequelle so
fonds et vit maintenant encore la sdisnce di
psychologique. Assurément
queique choses y reste de fondé de cette correspondence da 1'intelligenca
@ Ltintelligible. Ca n'est pas suns fond
nt quelle nous montre que
tintelligence n'est pas autre dans aon fondement que L'intelligence
aninala, Conférer les théories da 1'volution, lea progrés de 1! intelli-
Genes, son adaptation ; nous imaginer que ce procts es reproduit chez
chaque individu... Catte hypothdse, wane pas apergus dans ia penséa posi~
tivists + ca qui fait qu'elle soit intelligible. L'intelligence dans cette
Perspective n'ost rien de plus qu'un affect parni d'autres. D’oi cotta
Peychologia de tireuse de cartes, afne du haut dea chafres universitaires.
Utatract atast ici qutintelligence obscura. [1 n'y # qu'une choss qui
Schappa a celui qui recoit cet sncaignanent : c'est aon effet atobscu-
Fantisna, Cleet uns ontrapriae de technocsates pour sujets en nal d'en
plod, vite courbés sous 1'Stalon des psychologues de la société existante,
Lt
nce de la déucuverte da FREUD & caci fait oppesition
Fadicals, Les proneizs pea de mon enzeignenant cheninent dens la voie dx
la disiectique hégélienoe. Etaps nécacaaire pour faire bréchs dena ce
monda dit da la positivité. Lu dialectique hégélienne s* raméne 4 des
facings logiquas ; au déficit intrinsdque de La logiqu! ve 1a rcédication :
8 sevoiz que L'universal ne sty fonde que de Le ndgation, que Le partaculic
Soul By trouver Ltexistenes y apoacoit comme contingent. La divlecticue
hégélienne est faite pour comble:
cette faills et montre, dans une pres-
tigicuse transmutation, comment L'universel per la voie de la scension +
“thase, antithase, synthase", peut arciver & se particuleriser. Queis
quien soient lew effats 0G, par MARX, eli,
soit entrée dane le monde,
schevant ce que HEGEL Steit la signification, lm subversion d'un ordza-4-
Sacial fondé eur l'eccléeial, 1'€gliea ; quelqua soit sa réussite, la
dfalectique hégéiienne cat fausae ot contredite tant par 1'observation doa
sciences de la nature, que par le progrés historique da la stdence fonda
mentale : les methématiques
t icd qué l'angoiase sat le signe, comme l'a vu tout aus.
tAt un contemporain, KIERKEGAARD, L'angojase est pour nous le témoin a/une
béance ssaentirile of jtspperte ce témoignage que la doctrine freudienna
pet cells qui an donne 1'éclairciseanent. Cetts structure du rapport
da Liangoiaee au désir, cette double béance du aujet & L'abjet chu de
ud oy, su-dela de Ltangoisas, i1 doit trouver son inatrument, La fonc-
tion indtiale de cat objat perdu, sur lequel insists FREUD, na nous per-
wet pas de traiter du désir dans 1'inmanence logicisnne, de la seule
violence & forcer lea inpm
a de le Logique. FREUD nous randne au cocur
da ce quelque chase aur quoi fonder las bases de ce qui Stait pour Lud
Ltillusion qu'il eppelait, selon lx mode de son tenpa, la Religion, que
Jteppalle, quant a noi, LtEglise. Cleat que le chanp mfae que L'église
tdent-intacts contre le révolution hégélianne, avec tout L'éclat que vous
Aud voysz, cteat-1k que FREUD avance avec la ‘raison 1 4! trace le clivage
tun chemin qui va infinienant plus Join strvcturelesent que la bare
autil_s poséo 1 le weurtre du pare. C'ast ur ce terrain nouvant que je
prétendais mfavancer. Da ca qui est leur pare, sux aarvents de L'église,
sur le pare jo ne les ai pes trouvé,suffisanta. Certeina savent queje
Pratique depuis acn ge pubertaira le lecture de Ssint Augustin. Il y =
& peu prée dix ana j'ai prie connaiasance... jo L'ai rouvert cea jours-
cit sur le pare, il dit peu de choses ; {1 parle du
s at combien du
Saint Esprit. Illusion de je ne sais quelle fuite qui se prowuit suns
qu'il la veuille, sous sa plume, quand il stagit du pre. Comment ne pan
s'6tonner, chaz un esprit si lucide, da l'attribution redicale & Oiew
du terme de causal, Absurdité. Panctuée qu'a partir du relief de: quik
nly a da causa qu'apréa L'émargenca du désiz | Ca qui est cause est caus.
du_dé
- Pas équivalent de le cause de soi. Auguatin, contre toute piste
Antellectualle, fléchit sur ca que je vouleis vous articuler avec toute“56
sorte dlaxeaple : "ja suis ca qua jx suia", D6ja un "ja suis colui qui
suit", en frangais, senaunt faux et boiteux, Que Dieu s'effirne identiqua
2 L'Btee. Ce Diou, au moment of Moisa perls, ne serait qulune pure absucdi-
etit 4 dans les formes di-
4, Vaicd donc le sena de catts fancticn au
verses dent ja vous an ai reppaléos 1'annse desniszs ot ceux qui ne
suivent ant pu voir of elle a'arrfteit. Ouns L'engoisse, l'objet choit.
Cette chuts out primitive, La divinité an fourmille. Cet objet de la cnute
set dane unscertaine relation su sede sous lequel s'appréhende pour 1s
Sujet Je désiz de L!Autre, Clast ce qui sxplique Ja fonction ge l'objet
Oral. Elle ne se comprand qua si cet objat, le sein, que le sujet 1che
quand {1 me détucha, cot objet, fondamentales
nt, ent de son appartenancs.
Si, 2 ce momont-18, cet abjat s'introduit dans ls demands da ltAutes, dans
Atappel vers le mize, olle desaine sous un voile quel est le désir de le née
Etonné, le potit renveres le t8te an ss détachent du sein. Cet objet
est apparemment apoartenance & L'Autrs (voir les référances biologiquea),
Une seconds forma, objet ana}. Phénonénologis du cadeau, du don, re-
+ ha demande de l'Autes ¢ es qui chez 1'Autze, encore
Comment les auteurs ntont-ils pes raconnu que clest
achant lea feces
anbigu, Le désigns,
“14 que staccrache Le support da "L'oblativite” 7 Clest par une véritaole
abiguité, par un sscamattage révélateur de fuite devant une angoisas,
qu'on @ pu situer La cenjonction oblative au niveau de ltacte génital.
ption.
@ le béance de is cas.
Crest JA que l'enseignemsnt fraudien nous «
Liannée dazniaze j'aL inaiets aur cect 1 que tout ce qua FREUD
Rous montre, clast que l'orgasma n'est pas seulement ca que ies psycho~
biologistes de scn épaque ant aopulé le nécaniama da la détumescence. IL
faut savoir articular que lorgasme représente exactenent Le mBae fonctian,
quant au aujet, quo L'angoisse. Ltocqasma est on Luivatims sngoisse sour
autant quid jsmaig, oar une feille centrale, lo désir est séoard de le
jovissance. Qu'on ne now objecta pas ce moment de paix, de fusion du
couple aU echacun mmo peut su dire qua l'autre est tien content. Nous,
analystes, ‘allons y regardex plus pzés pour voir ce qu'il y #, cans casmor
nt, d'alibi fondanental : un atibi phallique. La fenme so subline dans
8a fonction de gains ; dans quelque choss qui olus loin reste infiniouent
fu dehora... LA oi se fabule ... Tiréeisas.. Aussi dion, faut-il indiques
€2 qui se voit de traces de cot au-deld inentuné da lu jouiseanca féninine
dana le aythe masculin de son prétendy masochisme. Plus Loin, symétrique,
conse sus uno Ligne redescendante par rapport 8 ce somment de 1s béanca
désiz — joulnsenca ginitels, panctues La fonction du petit « dane la gulaioa
scopique. Son eusance eat zSalisée an ceci que jusqu'alore le sujet eat
captif da 1a fonction du désir ; cleat qutici |'obiet out étronger. Ltobie
actast cot oni} qui, dana ls aytne d'Gedips, sat 1'équivelent & 1'ozgane
a castrer. Ca n'est pourtent pas de cela qu
iL stagit. Dans ia pulaian
Bcopique, oU le sujet rencontre 1s monda comme epectacla... due ce leurre,
par quo ce qui sort de lui, ce qu'il affronta cot non pos ce vrai « nais
son coapléaant i(a), 1'inage spéculsize. Voila co qui persit atrs chu da
dud. U1 eat fier, i1 sty xéjouit, i1 s'esbaudit dans co qua Saint Auguatin
dénonce et désigne coane-concupiacence des yeux. I) croit désizer parce
Sutil se voit conne désirant 5 i1 na veit pas que ce qua l'autre vaut
lui arrucher c'est son regard. La prevve, cleat ca qui arrive dang le
phénonina da 1ttinhotalich : chaque fois que soudain quelaul incident foeenté
par L'hutre, cette inege de lut dens 1tAutre epparuit, au eujat, privé de
aon regard, ied se défait toute 2x trane, 1a chains dont le sujet est
Saptif dane la pulsion scopique d/ok Langoisse, 1'Alet { ) da Langoduae.
Yet eat co A quoi ca ranaenbis, dana‘se structure le plus fondesentale, Le
rapport du sujet au a.
sim n'ai pas dépaces 1x pulsion scopique. Le franchissament : il fa
faut que ja désigne ce qui ety manifests ot ve ay pointer vers Ltianostuze ;
ce fantesae que j'ai
tieuld sous 1 tore de "itagalma*. Sommek da l'obs=
curité ou 1s sujet est plangé dana la relation du désir. Ltagaina 1 cet
objet dont i1 croit que son désir le vise ; porte & l'extreme le aécon~
naiseance ds son cbjet conne cause du déeix ; dlot La frénésie d’ALeibiade
at le renvoi qua lui fait Socrate : “Gecupa toi de ton fine", "sien dtautregue ton image que tu ooursuis*. Cet objet, dens a2 fone!
on ds visée at ce
cause mortalie"."Fais ton deuil ds cet objet,
lors tu connaitrag ies voies
da ton désiz, cer moi, Secruta, ja na sais zien. Clast la seule chose que
4 conn.
0s la fonction dz itEzen", Cotte fonction du a, troisidna tara
paz qued va sa montrer L!éventail, L' Spancuissenent de ca a, dana le
Rapport prégénital 3 la demunds de l'Autse.
En cinquidme terse, nous alione voir le # yanir de l'autre,
sul téscin da ca lieu de l'autre, qui n'est pan sgulement Le Linu au
nixage. Cea Jo ae 1's pas nomsé ; pourtant dans d'autres cizconstencos
Jtaurais pu vous an nontzex un dclaizage singuiier. A savoir : de le voix.
tAutse doit tre considézéa comma un objst assantiol. Sa place,
# incarnations divaraas, tant dana ta champ de la psychose que dens 1a
formation du surmoi. Cauaa du suznoi, ate... Ce rapport da la voix &
i'Autra, nous pouvane en épuiser 1a fonction structurale & porter 1! in-
terrogation sur ce qu'ast 1'dutra comae aujat. Lo voix est l'objet chu
oa _Liorgens 43 le parolg. L'Autre ost le lieu ou g& parla. Det La quea-
Sion 1 Qui, aundsld de calui qui pazle au lisu da L'Autru st qui est ia
sujet, qui y a-t-il ? Dont 1s sujnt chaqua fois aytil pore prend ta voix 7
TL oot claiz qua 21 FREUD, ay cantra da sa doctrins, mot Ie mythe di pire,
cleat en raison de L'indvitabilits de catte question. Tl n'est pas moins
Slate que si touts 1a théaria et la praxis da l'analyae nous apparaissent
sujauzd'hud comma sn penne c'est pour n'avois pas os4 sux cette quastion
silez plus loin que FREUD, C'est bien pourquoi un ds caux que jtai forné
coma j'ai pu, m'a parlé, & propea dtun travail, de la question du pare,
Cotte formula était muuvaise, mine un contrs-sens ; il ne peut Btre ques
fon de la question du pdr sour ta raion qua ncus somes 1) au-deld de
€8 qui peut se formuler comme question.
Comment noun aurions pu aujourd'hui dassiner L'ebord du pro~
introduit. [1 est clair que ifAutrs nz seurait confondu_svac
is suict qui paris su lisu de liautre, ne serait-es que per sa voix.
blame i¢-8-
Ltautrs, atil eat es que je dis, le Liew ot g& parla, il na peut poser
qutuna sorts de problame 1: colui ou aujet diavant 1a question. Or, FREUD,
cela, il l'a adnirablement ressanti.
Puisqua je dois & partir d'avjourd' hui
rentrer dana un certain eiiencs, jz no manquerai pas da vous signeler qua
Conzad STEIN a, dans cm cheap, tracé 1s vois, Reportez-vous & son travail,
eat bien satio®
eant. Ce quiil a fait : comment avigzé l'erreux at
Ja confusion du tampa, FREUD a mia le dedgt ; qufavec toute 1s critique,
sana couts fondés, du spécialists sur la quastion du Totem (cf. LEVI-STRAUSS)
41 ntan xeate pas moins qua colui qui sat au iv
ude la rechazche de Ja
vérité pout dépasser da haut toue lee avia du spécialiate. Quien reaterait~
AL, sinen quiil doit s'agir du aujet d'avant le question : si mythiquenent
le para ne peut atre guiun anjagl ,
Liinceata, avant Liavinement ds la cultura, le pdre est co chef de horde,
@ phre primordial, avant }'interdit de
Mais qu'il l'appelle Totem, #t juatomant & la lumikra des progrés apportés
par la critique ds L'anthzopglogie structurale dw LEVI-STAAUSS qui met en
ralief l'assance claseificatoice du Totes. Ca qu'il faut en second terma,
lest mettre au niveau du pire: la nom. (Cf. ie sdminaira aux la fonction
du‘nom propre + enog, ctast cette marque déid ouverte & Ja Jectuzs, il se
Lit de eae on tout
se Langues ; est inpriad quelque chose qui peut
Strs un sujet qui va parler. Bertrand RUSSELL! e'y treape, atc... Le point
sur le tableau ¢ L'intarroger avac L'eapoir qu'il lui rSponda {.
a
ain auesi marqué, come référence, co qui avoit été
découvart sur des poterica de Haute Egyate, antéricures 3 Le découverte
de lialphabst, pour illuetrer qu'il y a dans le signifient ca cOté qui
attend Je lecturs et que clast & ce piveey gue se situs le nom, Ici, je
vous désigne quelque chose de le diraction & auivre ; vayez qusl apport
noua donne maintenent 1s voie que nous uberdona. Car, co pare, ast-ce que
Rous ns pouvons pas, nous, aller au-dela du mythe pour prendre conaa repire
cs quiimplique le mythe ; dane ce ragistra que denne notre progres. sur ces
trois termes t de la jouiseonce, du désir et de l'objet, Car tout de suite
nous verzons concernant le pire, le pire pour que FREUD trouve ca eingulisr
4quilivre, cette "con-conforsité™ de la lod et du désiz, vraiment conjoints
nécesaités l'un par Ltautre, Dens l'incoata, aur lz supposition qua: leJouiscance pure cu pize come osinordiais, Maia caci, qui ost senaé nous der
Menpreinte ds te formation du désiz chaz 1'anfeni dans son procde ansest,
est-ce que cleat par 14 qu
faut qu'on se pose ie question oe aavoir
pourquoi ga donne dea névroses 7 C'est ici que L'acdent gun j'ai aia eur
3 fonction da ia perv
aign quant 8 aa relation au désiz de ifAutre comm
piso au pind de ta lsstre (CF, SABE, ...)
sen déaiz cone interess4 dans l'ordrs du monda. Cleat 1A la peatigan
tel 1 la mive au pied du mur, Lo
penique t pétrifient dane aon angoisae, le pexvera a'installe comme tel.
Arcature premidz
#49 compous st ae conjugue le désic dit normel et le
ae
‘= parvers. Position d!sbard da catts ezche d'ct, paz la ouite, pour
somprandra un éve tail de phénoinew, depuis 1a advroaw, inséparable A
nos yeux d'una fulte devant la terse du désiz du pdce nuguel on substétue
ieteme dole denends, Oy aysticioma aussi, dans toutes lea treditiona 1
Piongée vara 1a jouissence de Dieu. Ce qui’ fait itentrava dune le aysticisae
duif ot plus encore dans le chrétion, clast 1!incidenca du déaiz de 1'Autze,
vena voux pan vous quitter sane avoir au soins pranoncé lm nom, le pre-
miez nom par Lequel js voulaia intsoduize 1'ineidence apécifique da Ja
Stadition JudSo-chzétisnns dans 2s problime dw 1s jouissance ; un Dieu.
Clest devant ca Dieu que FREUD s'est arr,
+ Ce Diou dont le nom n'est
paa le + Ce nom dens l'Exade (Chapitre VI), 1'€loim qui perie dans
is puiesant erbzs, qu'il faut concevaiz cusne gon coxpa, quion traduit par
je loi ; ce Dieu, partent & Mots, lui dit & cea moment 1 “Wuand ty ixse
Fe eux, tu leur dizes que je mtappsila Ayen™ (Ja suis) "Je cuis ce que
je suder. la propriété de coo termes, désigné dea lettree qui comosent
is nom, certaines lettres cijoisisa parmi les consonnea.. Aucun autre sens
@ sccorder 2 co “to suis" que d'Btre le nom "ie suis". Mais ce ntest pas
Sous ca nom qué js ma suis annoncé 3 vos ancStres ICT. Pascal on t&ts des
"Pensées"), Gutun Dieu, §@ 68 rencontre danx le réel ; comms tout réel,
inaccessible, i1 62 signale per ca qui na trompe pas : Langoisse. Ce view
qui atgst annencé & Abrahan, Leaec ot Jucob per un nom t-El Chabdala. Lea
Gres, ceux qui ont fait 1a traduction, étaient beaucoup plus au courent
ave nous. [1s ntent pee traduit par "ja suis ceiui qui suit", conne Saint
Augustin par "jo suis i'étent*. Ca a un sens. [1s ont panaé comme doa Groce= 10.
que Dieu c'sat "L'étant™ suprame. Mais pas comme de nos joura par: le
“tout Pudesant™, mais par Théos... du!
tece que El Chabdala ? J'entendeis
Antroduize ce que j'eusse pu vous dire par qualqua chose dessentici : le
zendez-vous avec KIERKEGAARD, le sacrifice d'Abrahan. Sous 1s forse, dans
una tradition... Pourquoi de tenps en tenps dana le christinnisaa on a
quelque fidvra & s'en débaraseaz 7 Voir lea images d'Epinal, Michalet, etc.
9 qutan voit sur cee images, tout ce qu'il faut en soame + toutes les
Amages, assez an évontail, depuis is aétaphore patarnalle 1 un fils le
tte bloquée contrs le petit totes de plore, grinaca, souffro ; le
soutaau d'Abraham levé, Ltanga qui est 1a, La présence de celui dont le
hom ntest pas pronongable 5 qulasteca qu'un ange 7 Mon dernisr dialogue
avec le paze Tailherd da Chardin 5 j'ai cru que js le faraia pleurer cet
howae 1 “Est-ce que vrainent vous me parlez séricusswent* 7 "Oud mon
part
» ik atagit dex textea".,. Cet ongs retient le bras d'Abrahan.
Quod qu'il en soit da cst unge, c'est bien au titra d'El Chabdale qu'il
est 1a. Toujours vu traditionnallemant 14. Clest bien ce titee que se
déraule tout le pathétique du drene od nous antimina KIERKEGAARD. Avant
a geste, Abraham est venu 13 pour quelque chose, [1 s eamené gon gargen,
Pour un ayatérieux rendez-vous. 11 luda 16 les pieds, comms & una
brebia, pour le sacrifier. Avant de nous émouveiz nous pourrions nove
souveniz que d'aller ascrifier son petit gargen A 1'Hé15im du coda, &
Ltépeque clétait courant. Ca a continud ai tard qu'il a fallu sans cesae
que Langs arrStat les Inraélit:
sur la vole de reconsencer { Et plua
tein, ce fils, as dirsz-vous, clast son file unique ; ce n'est pes veai;
Tamaal a 4642 quatorze ana. Mais Sarah est reatée inféconde jusqu's
L'fge de quatre-vingt dix ana ; Ismedl eat né d'un couchage du patriarcha
avec une asclave.
Celui qui a ticé Abraham du milieu de ses, frdces et de cee
pares ; il y avait tellement de pdres qui vivaient encore (x... 3 vécu
cing eants ans ; dans toutes Los Lignées ils ont ou das enfants vera
L'fge de trente ane.
Quoiqu'il en soit, cet £1 Chabdala, s'il est
bien quelque chose dans cet enfant du miracle {charcher du c@té du corpsjaune ; la méncpause existeit 4 S*époque |
I1 tenait done a Isaac ; clast
L'enfont de is promesss. Sarah as!
ja tewgs eptés. Essucoup se nonce
gush
¢ trouve 12, Ismail sussi, Apra te moct ds Sexah, Abeaham se wontee ta
qu'il est, un fermidasie géniteur ; il a de x... cing enfants, mais iis
ntont pas regu la-beraka. Catts puissance toucha & la Limite mane du ter—
Fito{ze de son paupls, Un autre Elofa d'& cOté donne le bon truc pour
repcussar ltenvehieseur : celui qui 4lit fait passer per son nom una
cartaine slliance transmissible d'une seule fagon per la baraka pater—
neiis et celui qui fait attendre. (uh fils pour une fenma de quatre-vingt
dix ana, atc...) Un petit livre qui date de la fin du kIeme si8cle Salomon
GUILSAAC (2) 1 d'étrenges commentaires
Ay aun dielogueé d'Abrahan
avec Dieu, quand l'angs dit : n'étend pas, Abrahan dit : "Si c'est oinsi,
Je suis venu ici pour rian, je vais lui faize au moine une Légire bles~
sura pour te feire plaisir Elofm [ atc..." Ca nteat pas tout. Voir l'image
d'€pinal. Le schophar qui lui ost incentestablement erruché : 1a corne
du bélder. Quant a ca quiet ce béliar, cleat la-dasaus que je voudrais
terminex. [1 n'st pas vrai gue }'anizal parainee comms nétaphore du pére
aunivesy de la ghobie. La phobie ntast qutun xetour (cf.freud on pariant
du totem). Lthomme n'a pas telismant 3 atre fier d!Stre le deznier venu
de la création 1 celui qu'on « fait avec da la boue, ca qui ntest dit
dtaucun autre Stre, il se cherche dos anciitres honorables. 1 lui faut un
anc8tre aninal.(cr.
dont i s'agit 18 est le péliar ovingrdial. [1 était 1a, éexil
ies eix jours de la création, Co qui le désigne pour ge quiil est :
a nentance dy pars" ot dane Rabi, otc.) Le.béliex
A, des
un Eloim. Ca ntest pas celui dont is nom ast imprencngacle, mais tous les
Elofm. C:
inld est reconnu comme Ltenc8tre de la race ds Seth. Alors
antte t8ts de célier, aux coz
qulil se rus eur te lieu du sacrifice. De quoi vient-il se
repeltza, quand colud dent le nom est inpronengable Le désigne, iui,
pour le sacrifice 7 Ce qu!€iola désiqns sour sacrifics 2 Abraham clest aon
S enmflées dans la naia : Ip texte mdme
fait sen~12-
ancttre. [1 le présentifio coma déeiz; que ce quaique chose dont il atagit
de provequar la chute : clest lorigina biclogiqua, c'est 18 la claf da ca
mystare ou se lit la version ds In.tredition nétaphysiconsexuslie. AU regard
deco qui unit la communauté dans la f8te eu égerd A la joulesance de Diau,
Quelque chose qui as sanifoats, qui, comma stant ls désiz, met an valeur
Aa béance qui oépaze la jousasance du désir. Dtou 1a circoncisien wigne du
italliance du peel, désiz que celui qui L'a élu danne comme Signe ce petit
ge
Je veil
vous quitter ici. Avant de vous quitter je vous dirai que
si jtinterrompe ce sdminaize, je ne le fais quien atexcusant aupréa da ceux
a :
qui depuis dea ennées ont Sté wes fiddlae auditeurs, Caux qui noursis dos
mots, das termes, dea voies at das chomine appris ici. Duns les débats récenta
st confus, un groups st
t montré véritablowent dana sea fonctions ds groupe +
mene deci, dela, tourbilions aveuglos... Un de mes 4laves « cru devoir
parler... qua ds la vérité , le sans da aon snsaignesant,... Guel incroyable
Gontrasens 1 Quelle inpatience enfanting | 03 a-t-on vu, conee en nathdmathiqud
Que chequa chefitre renvoia au auivant . IL nly a pas que les attribute de
;Ltinfatuation at de le sottiaa; eeprit an fame d'épluchuzes; 2) y « autze
shoes. tei en offat charché & énoncer... una praxis : La paychanelyas
quella sat aa vérité¥.. Si quelous chose s!y avare décevant 1 cette praxis
» doit stavences vers une conutte du vrei pez Le voin de le tramp
is_transfert n'est pas autre chose, Tant qutil nty « gas de nom su lieu de
AfAutrs + incodrant, Si
cee Vous promouvair dans catte voie contre quoi j
pour ca...
marche sat prudente n'aet-ca p.
toujours
Ame prononcer t 1a voia de l'impostura. Depuiz deux ana, ayant confié a d*aute
Aa maniement intérisur d'un groupe pour laisesr la pureté a ce que jtai
A vous dire. Pas de différence entre le oui at le non.