= ECRANS DE SOUTENEMENT Auteur: P.SCHMITT
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ale. 200860 Ree A REACTION Page: 1/2
Concernant les valeurs des coefficients de réaction utilisées vis-a-vis des écrans de souténement, ci-
joint la liste de différentes publications relatives aux résultats de mesures sur ouvrages réels :
-"Btude expérimentale de la sollicitation exercée par le sol sur les ouvrages de souténement
souples”, Revue Francaise de Géotechnique, 1984
~*Méthode empirique d’évaluation du coefficient de réaction du solv
souténement souples”, Revue Francaise de Géotechnique, 1996
-*De I’élasticité linéaire au coefficient de réaction : théories, observations et ordres de grandeur”,
Revue Francaise de Géotechnique, 1998
~“Analyse des mesures de déformations d'une paroi moulée 4 Colombes”, 14*°* ICSMFE,
Hambourg, 1997
-“Analyse des mesures de déformations des parois moulées du métro du Caire”, 15° ICSMFE,
Istanbul, & paraitre
is des ouvrages de
Les principaux résultats qui se dégagent de ces observations sont les suivantes
1-La théorie de I’élasticité linéaire donne trés approximativement, pour une fondation de largeur D
sur un sol de module Es, la relation k = Es / D, od k est le rapport de la contrainte moyenne
exercée sur le sol au déplacement moyen.
2-11 semble que, compte-tenu de la non-linéarité du comportement du sol et des taux de chargements
usuels, un ordre de grandeur représentatif soit Es = 3.44. Ey/o.
3-Dans le cas d’un ouvrage souple assimilable & une poutre sur appuis élastiques, type radier ou
écran, la largeur D dépend directement de la longueur élastique Lo = (4 . EL / k)" et peut étre en
premiére approximation assimilée 4D = 1,5 . Lo.
4-On vérifie que ces ordres de grandeur sont cohérents avec la synthése de mesures faites sur des
écrans de souténement d"inerties variables, qui ont conduit aux formulations empiriques :
1,7. (BL. & / EM"?
2,1 . (EM/a)* / (ED)
-D
5-Comparativement & la formule de Balay, on obtient des résultats comparables pour des éerans
rigides dans des terrains compressibles, et des résultats notablement plus élevés dans le cas contraire
(en moyenne 3 fois plus élevés pour une valeur de D donnée, mais souvent beaucoup plus élevés
dans les étapes de terrassement intermédiaires, puisque Balay assimile D & la fiche géométrique sans
tenir compte de son inertie : c’est uniquement lorsque la longueur élastique est tres élevée que les
deux approches redeviennent comparables).
A noter que, indépendamment du fait qu’elle ne tient pas compte de l’inertie, 1a formule de Balay
est issue de celle de Ménard et Bourdon, qui est erronée dans la mesure oti elle assimile & tort la
fiche d’un écran de souténement & une demi-fondation superficielle (en effet, le déplacement en pied
d'écran est généralement faible vis-a-vis du déplacement en fond de fouille, tandis que le tassement
sous le bord d’une semelle souple vaut encore 60 % du tassement maximal, et correspond done & un
déplacement beaucoup plus uniforme que le long de la fiche d’un écran, ce dont la formulation de
Ménard ne tient pas compte).
6-Comparativement & la méthode de Chadeisson, on obtient des résultats plus faible dans le cas
d’écrans rigides dans des terrains compressibles, tout-a-fait comparables dans le cas de parois
moulées d°épaisseurs courantes dans des terrains compacts, plus élevés dans le cas d’écrans
relativement souples dans des terrains trés raides.
En réalité, la plage des valeurs “habituelles” de & et C conduit A des valeurs “habituelles” de k
comprises dans une fourchette de 10,000 a $0,000 KN/m’, trés étroite comparativement & la
fourchette des valeurs réelles des modules d’élasticité des ‘terrains : or c’est bien Ie module
délasticité qui constitue le parametre représentatif, et il ne faut done pas s’étonner de trouver= ECRANS DE SOUTENEMENT Auteur: P.SCHMITT
SG SUUTINCHEBICHY | ec EXIONS SURLE COEFFICIENT DE fous: 2ssioz
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expérimentalement des valeurs
réputées usuelles.
soit beaucoup plus faibles, soit beaucoup plus fortes que celle
7-Les limites de validité de la formule empirique k = 2,1 . (EM/)*? / (EI)"® sont les suivantes:
= 7.1 ; Domaine de validité de ta théorie du coefficient de réaction, ce qui exclut Ies cas oi les
déformations d’ensemble sont déterminantes, et pour lesquels il faut avoir recours a des calculs aux
6léments finis
- 7.2 : Cas d’une fiche inférieure 42 . Lo, assez rare en pratique, correspondant au cas dun fiche
courte dans un terrain mou : dans ce cas, il faut limiter D aux 2/3 de la fiche géométrique et retenir
k= 35. By/aD
- 7.3 : Cas d’une solicitation uniforme de I’écran, par exemple rabattement de grande hauteur avec
fiche hydraulique importante : dans ce cas, le comportement de ’écran s’écarte de celui d’une
poutre sur appuis élastiques et se rapproche plus de celui d’une semelle souple uniformément
chargée.
est alors la hauteur totale de la fiche, et non plus sa longueur élastique qui intervient : c'est ce qui
explique que les écrans “avancent” parfois plus que prévu lors des essais de pompage dans des
terrains compressibles.
- 7.4 : Cas d'une fouille étroite vis-a-vis de la profondeur de la fiche, oi interaction entre les paris
situées en vis-a-vis peut augmenter le coefficient de réaction dans un rapport pouvant aller de 1 4 3
(Référence : Rouen Trémie Pasteur)Un ordve_ cle
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