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Carriéres # Catacombes © Cryptes Egouts © Mines « Monastéres « Refuges Sanctuaires « Troglodytes es a! 3 CULDES GALLIMARD Ga A la découverte de la France souterraine Secret ? le trésor des cathares. Mystérieux ? les alignements de Carnac. Le pays de Descartes est aussi celui du charme et de l'émotion, des traditions et du terroir, des contes et des legendes Cette collection de dix livres vous entraine ala découverte d'une France cachée et insolite. j histoire du monde souterrain est émaillée danecdotes bien curicuses : comme cette vache de Monthéliard, qui, tombée au fond un gout e, en est ressortie a la nage par une riviére qui la mena 4 plus de dix kilométres de son licu de chute. Des légendes aussi Ini sont associées : Jules Verne, dans son layage au centre de la Terre, ne dépeignait-il pas une pla- néte en partie creuse avec une mer intérieure. Si, en décrivant les curieuses formations géolo- giques du sous-sol, les premiers explorateurs ont confirmé son aspect insolite, ils ont en revanche mis fin aux légendes. Les souterrains sont pourtant des lies de mystéres. Quel vil- lage ne posséde pas son lot de boyaux obscurs qui attendent un découvreur armé de beau- coup plus d’imagination que de courage ! Ont participe a ce livre 4 Cathédrales de la nature 6 Fxplorateurs de la nuit 8 Paris, ville de carriéres 10 Paris sous Paris 12 Les églises les plus anciennes 14 Une abbaye sous la terre 16 Mines et carriéres A RR Les héritiers de la préhistoire 20 Les troglodytes @aujourd’ hui 22 Des chateaux dans la roche 24 Pour étre pr régés, vivons cachés 26 Mystéres en sous-sol 28 Us vivent sous terre La de souterrain en refuge Cathédrales de la nature amais Thome ne surpassera cn beauté ce que la nature et les temps gcologiques ont sculpté Sous la surface de la terre, le passage des eaux a ered de véritables cathédrales naturelles. Elles rivalisent en proportions avec celles construites par "homme ct dépassent ce que le plus fou des architectes aurait aginer. pu img Résultat du lent travail de I'érosion et de la dissolution des roches caleaires par le ruissellement de l'eau, les growes forment un vaste pavsage souterrain. | Ce phénoméne s‘appelle un « karst». Les cavités résultant de lacti- Vité d'un karst se répartissent en deux categories dis- tinctes: les réseaux fossiles, of Peau a cessé son lent travail sur les roches, et les réseaux actifs ot elle Réseau souterrain_ Les stalactites se forment a partir des voiites et les stalagmites a partir du sol Fontaine Saint-Georges Crest l'une des résurgences (endroit ou une riviére souterraine réapparait 4 la surface) du réseau de Padirac. dans le Lot. _ Aven noir Cet aven de l'Aveyron debute par un puits de 55 m qui débouche sur une salle immense. Gouffre de Granges-Mathieu Un des joyaux du Jura souterrain Salle des Treize Cette salle se trouve dans le gouffre Berger (Vercors), un des plus profonds abimes de France __Cathédrales de la nature poursuit son ceuvre de sculpture. Les réseaux actifs sont alimen- tés par les rividres souter- raines. Les espaces les plus importants des pay- sages Souterrains sont les grottes el cavernes. dont le développement est) majoritairement horizontal. Ces eavités sont décorées de stalac- tites et de stalagmites. ainsi que d'autres formes de conerétions telles que draperies et pendelogues. Lorsque les grotres s'etfondrent, elles donnent nais- sance a des goufires dont le développement est ver- tical ricté des paysages souterrains dépend des caractéristiques gCologiques de chaque région et de Pactivité tectonique quia laissé failles et fissures favoriser action de l'eau. Exp lorateurs. de la nuit D as la fin du XV* siécle, les hommes exploré- rent les cavernes de faible profondeur pour en extraire le salpétre qui entrait dans la composi- tion de la poudre & canon. En 1792, un pas supplémentaire est franchi avee Vernet d’Ongles qui descendit 2 plus de 60 métres de profondeur dans le goufire de Cruis. Au début du XIX* sigele, les hommes s’enhardirent et l'exploration du sous-sol commenga lentement pour donner naissance & une nowvelle disei- pline: Ia spéléologie Fdouard Martel fut le premier & explorer méthodiquement les cavités naturel particulier le goutfre de Padirac. De Péquipe- ment de Martel, composé de chaussures a Edouard Martel (1859-1938) Fondateur de la Société de spéléologie Source de Tournes, __en Ardéche Entrée de la Fosse-Dionne, dans |’Yonne Explorateurs de la nuit clous, d’échelles de corde et = de bougies, la spéléologie moderne n’a rien conserve Pour pallier les nombreux accidents, la technique spéléo- logique fit d’importants progrés, la plon- empruntant a l'alpinisme et 3 ae sous-marine leur matériel sophisti- qué. De nos jours, !’exploration des profondeurs est devenue une activité 3 la fois sportive et scientifique. Les grottes font partie de notre patri- moine naturel et forment un milieu sensible, sou- vent menacé par l’homme. On y trouve de nom- breuses races d’animaux, souvent décolorés et rendus aveugles du fait de leur adaptation depuis des millions d’années 4 la vie souterraine. Entre les explorations de Martel en 1889 au puits 25 m), de Norbert Casteret en 1953 a Rabanel (— la Pierre-Saint-Martin (— 730 m), et les profondeurs atteintes actuellement avoisinant les 2 000 metres, les spéléologues ont appris & se familiariser avec les siphons, les abimes vertigineux ct les plongées de grande portée Paris, ville _ = de carriéres _ Pp aris est né de son sous-sol. Depuis l’Gpoque romaine, les Parisiens ont su tirer profit des richesses minérales, dont la nature a si bien doté le sous-sol de leur ville, pour bitir la capitale Lextraction du gypse (pour le plitre), du caleaire (pic re a batir), de la eraie (pour la chaux) et de lar gile (pour les briques et les tuiles) qui ont servi 4 la construction de Ia ville a laissé des galeries donnant au sous-sol parisien un aspect de «gruyére ». I] évend ses ramifications sur 860 hectare exploitation intensive et sans surveillance a abouti a une situation paradoxale : au XVMIP siécle, les immeubles de Paris se construisaient sur du vide Carriéres de Meudon __ Les vides laissés par les exploitants de ces carriéres sont d'une rare beauté et les galeries offrent de splendides votes creusées en plein cintre. On ne connait pas les raisons qui ont poussé les carriers a exécuter de facon aussi parfaite l'arrondi des voiites. Depuis la fin de l'exploitation de la craie, ces carriéres ont souvent servi de champignonniéres. Troglodytes de Chaillot Seules quelques caves temoignent encore de leur existence sous la rue Raynouard, a Paris. le Paris, y de carriéres entrainant des éboule- ments, ce qui a provoqué la création du service des carriéres chargé de leur t était consolidation. temps : le jour méme de Ventrée en activité de ce service, une maison fut engloutie 8 28 metres de profondeur, exploitation des carridres fut interdite en 1828, mais elles avaient déja trouvé d'autres usages. En effer, pour des raisons de salubrité publique, le cimetiére des Innocents fut fermé et les ossements transférés dans les carriéres situées sous la place Denfert-Rochereau. Il a été donné a cet ossuaire, béni en 1786, le nom de catacombes. Six millions d y admirer également de nombreuses plaques de rue, Parisien sy reposent. Lors des visites, on peut ainsi que de multiples Gléments architecture fontaines, escaliers, puits ou encore sculptures. Sur le linteau de la porte d’entrée sont graves ces mots: « Arréte ! C'est ici empire dela mort. » Paris sous Paris Paris = sous Paris S ous la Ville lumiare s’étendent des millicrs de kilométres d’égouts, de galeries tech- niques ct d’aqueducs, Ils ont tissé sous les 1808, qui relie 'Oureg 4 la Seine. Aujourd’hui, un ensemble d’aquedues souterrains et d’immenses réservoirs permettent d’alimenter la ville. Certains trottoirs de la capitale une toile d’araignée réservoirs ont des fonctions différentes, comme le dont les fils s‘entrelacent avec le réseau E légendaire lac de l'Opéra. Il s’agit en réalité d'une Station de métro des carriéres. citerne prévue pour éteindre d’éventucls incendies. Paris n'a pas toujours été la ville propre Le elapotis que Von remarque sa surface est dd au que nous connaissons aujourd'hui. Certes, passage régulier du métro tout proche. Place de POpéra - Coupe de la station de métro vers 1910 _lisées pour I’Exposition univers les premiers égouts datent de I'cpoque ropolitain ont été réa- lle de 1900. Son réseau actue] s’étend sur Les premieres lignes du me romaine, On peut en visiter des ves- tiges dans les sous-sols de I’hétel de Cluny. Cependant, il faudra attendre 280 kilométres et com- le XIX’ sigcle pour que la eapitale se dote porte 403 stations, & des un systéme moderne d’égouts. Ceuvre du baron profondeurs moyennes Haussmann, il est long de 2 100 kilometres, de +a 12 métres. Celle Le sous-sol parisien Coupe schématique niques, qui s’étendent sur 2 600 kilometres, permet- De bas en haut Souvent paralléles aux égouts, les galeries tech- des Buttes-Chaumont, : g située 4 31 métres, est la édlack “Peau, | ra 5 4 ligne du RER, TAR REO ETR cL. tent d’achemuner l'eau, le gaz et l’électricité. grand collecteur, plus profonde. Le meétro Lcau fut longtemps le principal probleme de Paris. ligne de mécro, constitue l'ensemble sou- . : galerie technique, \ la Revolution, chaque habitant ne disposait que cable télephonique, terrain le plus important d'un litre par jour. Afin d’améliorer cette situation, consuleesieheay de Paris apres les caves et de gaz, Napoléon I fit construire le canal de l'Oureq, en cave et parking dimmeubles Les églises — les s anciennes U n pan entier de histoire de la foi chrévienne et de Pévangélisation s'est déroulé sous terre. En France, comme en Itali 's premiers chrétiens se retrouvaient dans les grottes afin de se protéger des persé/ cutions. Une fois 'Fglise eriize saint-Mar _ de Tours Aménage sur quatre niveaux, ce sanctuaire est l'un des plus anciens et des plus importants de France. catholique reconnuc, cette tradition s'est Le nombre de religieux contem- : wing platifs troglodytiques se ~~ Se multiplie aux premiers temps de I'Eglise. g oe Ainsi, les caves de ‘lours, que l'on peut encore visi- ter, accucillirent au TV" siécle saint Martin et ses sept compagnons. Le monastére de Saint-Emilion est l'un des plus beaux ensembles troglodytiques. Emilion, ce moine Détail et coupe du sanctuaire de Saint-Emilion, en Gironde mendiant otiginaire de Bretagne, arriva dans la ville quiallait porter son nom au VILE siéele. Les bienfaits es églises _les plus anciennes __ du saint homme furent vite connus et de nombreux compagnons sé joignirent & lui, Vivant sous la régle de saint Benoit, ils construisirent le monatére de Saint-Fmilion entre le VIF et le XT siéele. Sur le dessin ci-contre, de droite 4 gauche, on distingue Péglise moderne construite au NII’ sidcle, l'église primitive qui lui est adjacente, les catacombes qui marquent certainement lemplacement originel de la sépulture d’Emilion et, enfin, Vermitage. Ce der- nier est Pun des plus intéressants monuments sou- terrains de France. Bien qwil fit réaménage au cours des siécles, sa configuration actuelle témoigne du mode de vie des premiers moines. Une source intérieure fournissait a la communauté une eau claire et abondante. On peut y voir une alcove qui, dit-on, aurait servi de chambre au saint homme. Face a la compleaité de l’église de Saint-Pmilion, Péglise primitive d’Aubeterre, en Charente, est d'une grande simplicité, Agrandi¢ 8 l’époque médiévale, elle est de vastes pro- portions (25 m de haut) et abrite de fort beaux éléments intérieurs, comme le baptistére et le cénotaphe roman, tombeau vide érigé en souvenir dun mort A Vinverse e’Aubeterre et de Saint-Fmilion, de nombreux sane- luaires n’ont toujours pas livré leurs secrets. Une abbaye sous la terre ui percera jamais les mystéres de l'immense panneau sculpté trouvé dans une salle de l'ab- baye troglodytique de Brantéme, aux environs de ? Méme si sa fondation remonte au la véritable histoire de l'abbaye commence _Eglise de Jonas A Vintérieur de cette église (ci-contre) située non loin d'lssoire, dans le Puy-de-Dome, on peut admirer de trés belles fresques datant du IX siécle. Une abbaye sous la terre Quant aus divers aménagements, ils se sont poursui vis jusqu’au XVII sid ba 3 qui ornent la salle du Jugement dernier sont parmi les plus beaux ensembles sculptés dans un site troglodytique, au méme titre que ceux du temple d’Abu Simbel “pte, ct cous de Pétra, on Jordanie. Mines et carriéres A rinés de pics et de lampes, les mineurs et les carriers ont exploité les richesses minérales de notre pays Lactivité minire, connue depuis le néolithique, a creusé dans toute la France des dizaines de milliers de kilometres de galeries, desquelles furent extraits charbon, argent, cuivre, or, plomb, qui firent la for- tune de régions entiéres, Les veines de minerais ou de charbon ont laissé leur place 4 de nombreux boyaus s’enfoncant parfois a plus de 500 metres de profondeur, ct méme a 1000 metres dans certains puits du Pas-de-Calais, ‘i Mine d’argent_ Mineurs poussant les chariots dans une mine de l'est de la France au XVI siécle Carriéres de Montmartre, a Paris Construction du Val-de-Grace, _ __4 Paris _ Au premier plan, la roue qui servait & monter les pierres extraites de la carriére Mines et carriéres Les mineurs ont installé sous terre plus de § 000 kilometres de voies fer- rées ot circulaient les wagonnets transportant vers la surface la pro- duction quotidienne. De nombreux musées miniers retracent histoire de ces licux. Le plus important dentre eux est le Centre historique minier de Lewarde-Guesnain, dans le Nord. On pourra y effectuer une descente simulée a — 480 metres, ou voir une reconstitution de la vie des mineurs. a 50 m) que les mines, les Moins profondes (jusqu carriéres s’enfoncent dans le relief en suivant les banes de pierre. $’étendant partois sur des centaines hectares, leur espace est déterminé par la géologie ct les techniques (extraction. Dans le Nord, les car- riéres de craie sont composées de grandes salles supportées par de forts piliers, En Champagne, dans la région parisienne, les pays de la Loire et le Bordelais, les car- riéres de pierre calcaire sont trés vastes et en forme de labyrinthe, Lorsqu’elles sont épuisées, on les réutilise partois comme caves 4 vin ou champignonniéres Les héritiers = — de la préhistoire Ve serez peul-Eire surpris, au détour d'im chemin, par la vision d'un habitgat sur le pas desa cureus taison dont seule tagade se détache du recher, esrum troglodvic. Adepre d'aa hab al ance: eral, ia avant tout esprit pratique, Que ce soir dans la craic blanche dela Se ne. dans le tulftaude la sui tirer parti de sa demeure. Les premiers tr dytes ercusaient leur maison dans la roche pour se protéger a la fers des chaleursde Pete et des climauiqucs, mais aussi des guerres, Ces mai dur, dont les plus anciens exemplaires conserves Temontent au VIF siécle, étaient impossibles incen- Beaumont-la-Rence © Ce village, jadis entigrement souter rain, fue durant des Hécles la capitale du calai. Se — __ Les héritiers _ de la préhistoire_ iligr, ne posaient pas de problémes de Loumre et pe vaient s'agrandir, aprés tm dur labcur, @ volonté. Du madeste paysan ay noble seigneur, chacon profiter i ¢ architecture insalite: a rae Bien que la plupart de ces maisons soient aujour- Shui ahandonnées, de nombreux villages ont conserve lous quartier troglodytique, particuliére- enren Touraine et en Anjou. | faut ie Trée, le hameau de Louresse-Rev lage Moven Age’ la fin du XVITIF sigcic. Mianoirs, cldteaue, éulises ou fermes, ces demeures es de milliers, Les troglodytes _ W’aujourd’ | e6 maisons troglodytiqnes connaissent de ness jours un regan d'intérét, En tanuigrent les noihrew s, ol seules depassent du sal © chemineées et antonnes (le rolevision, A la dun habirat sculpture se tendant dans saysage, les nouve we Vune Lempeérs naturel malula Coteau de Vouvray Carte 2ostale de 1915. A lecocus, des milliers de personnes vival {ces maisons reystes cans les falaites qui lengencla Leire __Ferme de coteau Des centaines de hamaaux d Anjou, de Touraine, du Pitoy et du Vensérois sent ainsi formes d'alignemerts de « caves Cemevrantes ». _Carriéres-sur-Seine Ce village. situ a proximice de Paris, 2st cite dans la Guerce des Gauls ce Jules César Merchers-les-Bains Ce village de Charent est ta lié dans une faiaise Sonnant sur lamer. Les treglodyzes peuvent y paches par ia fanérre de Jeur cuisine! = _l.es troglodytes _ — daujourd’bui les ries sans malsoms oil faut caller pour gagnar la cour ereusée en descend laquelle contrebas, autor ha midisans taillécs dans la rache sent diverses dépeadances 1 la eave habitation De nombreu: qujourd’hui periemmenst restources par leurs net Cea propridtaires. Mais que Pon ne s’y wempe Das les hubitasions trogle actuelles wis- comfort poset de tout le moderne. Ils soar plus de 25 000, en Pranee, 4 avoir choisi de vivre dans 7 cer s, tout ala fois insolite et charmenus, Des chateaux — dans la roche Av" siécle} abrite Mportantes zartics souterraincs, La Roche-Guyon _ Coupe de la forteresse vers |e XI siecle. Elle #tatz, a l'origing, déeferdue par des tours et des rempares an bois, ateaux squterraing se 8 fortes mallitair SA pet eeu yur n, S r composes de deus “une sauterraing etl autre ens: Nstrucnon en 867 cusqu’a le fin cle Ta guerre de Cenr Ans, ie chive de La Roche-Cuven adétendu ly 4 Paris par la Seine, Sun onion. « demine la flaise de crate, con nique parunescalicr salle a ve la rocheavee le chdreuu ge sourerrain. De urés grandes | alles aux votites en hercein ontétéere ISCeS any temps ons normandes oper sa fone- tion de refage (Chapelle, salle Je gardes, ue communs, laverrs gius! qne tous les amé- TENS & au importar Chateau des Anglais En Dordogne, les sites gardent le souvenir des envahisseurs, Les chiteaux ces Anglais sent légion La Roque- Saint-Christaphe Le plus vaste complexe de Dordogne. Son systeme defensi* était simple mais efficace. tel un pont basculant qui précipitait jes assaillants au fond de la valle Une ezroite corniche permetiat daccéder av chateau. _._—s«- Des chateaux _dans la roche dans la ¢oche blanche. La conssrnetion des murailles siécles ct des batiments du chateau, any Xt partics roglodvugues an role de depen dances. Crest ay XVINP siecle que le chateau prend ade vaile de I’époque classiq son aspect actuel : sée 4 la falaise. cache La facade clu vicus chateau ta- fale sept aived glodytique. Ce dernic souerrains, # retrow aire en 1944, lorsquril servic de quarter penéral aa a Rom en Normandie vl, commandzns alors les forces allemaniles Aucre place souterraine, La Roque-Cageac défendait ctdominairla Dorde enc. Lensembile tortl est l'un des seus servi de résidence 4 plu- sieurs farnilles nobles. Tlyacn France de nom px amtres exeinples anilitaire souterrainc, crégs le plus ur se prate- souvent pa ger lors des invasior Pour étre protégés, — vivons cachés a] De ité, lew hiormaes qui ntavalunt prsiaveds' la protection cle muraiflgs ai de Forti fi Atens Ont crouse, qui une sumple cache 5 rerraine, qui un veritable gruyeve de le calle l'un vill: A la maindre # families se Pree pIGENt sous eet atten- daicnt que le dani Ce ger suit pa souterrains sant featés détrai ts ceuleir nad large) qui ihesservent des cell térales auayuelle par de ulets taciles @surverller. Les galeres de ua 1 MAL TULLE loge ev de sysrémes deitensife rels que meure uri res Clarchéres tadicieusement

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