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COMPTE RENDU

DU TP1 DE
MICROBIOLOGIE
4éme année technologie alimentaire
Rachedi kaoutar

Ouramdane
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meriem la date]

Chahinez

2021/2022
Le travail à faire :
Dénombrement des entérobactéries des coliformes totaux et des levures et moisissures dans
un l’ben artisanal.

Introduction :
On dispose d’un l’ben artisanal qu’on suppose la présence d’entérobactéries ou de coliformes ou des levures
et moisissures pour cela on prend un échantillon de l’ben qu’on dilue après plusieurs dilutions a partir d’un
millilitre de l’ben qu’on ajoute à 9ml de l’eau physiologique on obtient alors la dilution de 10 -1 on prépare les
autres dilutions en prélevant toujours 1ml de la solution précédente et l’ajouter a 9ml d’eau.
Pour dénombrer les entérobactéries on utilise le milieu VRBG qui est un milieu sélectif pour les grams négatifs
on ensemence 1ml en profondeur puis on rajoute le milieu de culture en une couche ou 2 a partir de la
dilution 10-1 10-2 10-3 10-4 du l’ben et on mélange puis on incube pendant 24h a une température de ?.
Pour dénombrer les coliformes totaux on utilise le milieu liquide VBL pour chaque dilution on a 3 tubes de
VBL.
Pour dénombrer les moisissures et levures on utilise le milieu OGA avec ensemencement en surface avec un
râteau.
I. Le but du dénombrement :
On fait un dénombrement pour déterminer la concentration des microorganismes (entérobactéries,
coliformes totaux et levure et moisissures) dans un produit alimentaire dans notre TP c’est l’ben
artisanal afin de contrôler la qualité des produits destinés à la consommation, ça nécessite une ou
plusieurs dilutions décimales, peut se réaliser en milieu solide ou liquide.

II. Dénombrement :
1. Levures et moisissures :
Lecture de résultats :
Après ensemencement en surface de trois échantillons de 0,1 ml dilués avec trois dilutions
différentes (10-1, 10-2 , 10-3) en milieu OGA On utilise la boite dont on peut voir clairement les levures
et moisissure au moins 1 mm entre chacune compter puis calculer le nombre de levure exemple : 80
levures obtenu a partir de la dilution de 10-4 on calcule 80*1/10-4*10 8000000 levures dans 1ml.

Résultats obtenus et discussion:


Les moisissures ont un diamètre supérieur à celui des levures et elles sont beaucoup moins
nombreuses Moisissures : 5
Levures : indénombrables (nombre de colonies trop élevé, supérieur à 200)
A partir de la boite de pétri de dilution 10-4 on peut voir clairement les moisissures on a compté 5
moisissures alors que les levures sont certes très nombreuses sont collées les unes avec les autres il
faut alors une plus grande dilution pour déterminer le nombre de levures.
1
Alors le nombre de moisissures : 5 × ×10on trouve 500000 moisissures dans 1ml.
10−4
2. Entérobactéries :
Lecture de résultats :
 Dans le milieu VRBG :
Après avoir effectué trois dilutions avec un échantillon de L’ben et ensemencé en profondeur en
milieu VRBG, on incube à 37°C pendant 24h. Après 24h on voit l’apparition de colonies rouges
violettes d’un diamètre supérieur à 0,5mm. On prend en considération que la boite de pétri avec
des colonies entre 30 et 300 on compte le nombre de colonies puis calculer le nombre de bactéries
dans 1ml
 dans le milieu VBL :

Après avoir ensemencé 12 tubes de différentes dilutions (trois tubes par dilution) et une incubation
de 24 à 48h pendant 37°C en milieu VBL + Cloche de Durham (milieu liquide) + eau peptonnée
exempte d’Indole, on observe l’apparition ou non d’un gaz, signe de la présence de coliformes
totaux. (Les coliformes fécaux, eux, sont incubés à 44°C pendant 48h, c’est la grande différence
entre les coliformes totaux et fécaux) S’il y a dégagement d’un gaz qui occupe au moins 1/10 de la
cloche on dit que le résultat est positif (présence de coliformes totaux)
On compte le nombre de tubes positives par exemple on a 3 tubes positive pour la 1ére dilution 3
tubes pour la deuxième 3 tubes et pour la 3éme dilution on a 2 tubes positives pour la dernière
dilution on a un nombre de 3 3 2 et grâce a la table de NPP le nombre le plus probable on déduit le
nombre de bactéries qui est par exemple pour 332 110 pour 1ml nous on a par exemple 10-2
110×1/10-2 11000 qui est le nombre de bactéries dans 1ml.

Résultats obtenus et discussion:


Pour les entérobactéries dans le milieu VRBG : après qu’on a compté les colonies dans la dilution 10 -2 on
-2
calcule le nombre de bactéries dans 1ml qui est …….×1/10

Pour les coliformes totaux le résultat selon le schéma ci-dessous

En additionnant les chiffres correspondant au nombre de tubes positifs, on obtient un nombre


caractéristique correspondant à trois dilutions successives : ici 332

En se référant à la table de NPP, on trouve qu’à 332


correspond le nombre 110

Pour trouver le nombre total de colonies, il suffit de multiplier


110 par le taux de dilution qui représente l’inverse de la 1ère
dilution qui a donnée 2 chiffres, ainsi :

Nombre de coliformes totaux = 110 x 1/ 10-2

= 11000 de coliformes dans 1ml

Dans ce lben on a trouvé 11000 coliformes totaux après un


autre test on a révélé la présence d’E-coli et on a la présence
d’un nombre important d’entérobactéries

Conclusion :
Au niveau industriel, les entérobactéries servent comme test de qualité hygiénique et sont
considérées comme indicateurs de mauvaises conditions de manipulation ou de fabrication
(Bien entendu le L’Ben qu’on a prélevé ici est artisanal et non pas industriel car sinon on ne
trouverait pas de bactéries étant donné que la pasteurisation et autres traitements thermiques
détruisent les microorganismes)
On a dénombré … colonies d’entérobactéries ce qui élevé par rapport à la norme et rend donc ce
L’Ben impropre à la consommation.
Les coliformes totaux mettent en évidence un défaut de processus ou de mauvaises conditions de
manipulation.
-Le test de Mac Kenzie a révélé la présence de E.Coli (coliformes fécaux). La présence d’E.Coli dans
un aliment est un indice de contamination fécale humaine.
En définitive, au vue des résultats, on peut attester que ce L’Ben est impropre à la consommation.

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