F 250-1 Nous te cherchions, Seigneur Jésus ia Musiq velamic 1.Nous te cher - chiens. Sei -gne, 2Comme u -ne sour- ceeniail - 3.Ce qui com-men- ce Ie 4.Vers quel joie nous con Je = sus, nous fa = vons long-temps at - ten - du jis = sant rem-pli -rait' 12 nut de son chant sans bruit, To - bla -tion du gran pow le fruit dus-tu, au de- 18 du Fis ap-pa- vu Nous a - vions —soif de ton wi Tu nous fe - ais nom du Qui par = mi nau. ie com - Nut ce = No - el uit de Ralentir seul dé -sir pour no» te foi Re - vé- la -tion de cet A - mour Voi: ci le pain, vol- cle vin Vers 8 ter -nelle Eu - cha-ris - te Letexte IN traite du temps d'aprés le temps de tattente. Temps de grace et de joie of 'homme et la fernme s‘enivrent dans la contemplation du visage de Dieu. Visage du Christ qui nous dit le Pare, Corps offert du Christ qui nous invite aux noces étemelles ot: Phamme et Dieu enfin se connaiteont. La musique Deux versions musicales de-cette hymne sont pro- posées successivement, 8 Celle de Gélineau ne présente aucune difficuté parti culiére, D’une écriture modale, qui colle au texte, elle se déploie simplement tout en suivant le rythme de la phrase. L'absence de barres de mesure indique bien que le rythme musical suit le phrasé du texte. Il ne faut pas trop alourdie la fin des vers marqués par des valeurs plus longues (noires). Celles-ci sont de simples pauses permettant aux chanteurs une légére respira- tion. il convient aussi de respecter le départ en anacrouse qui_marque chaque début de vers (saut pour fe 2°). En bref, Vécriture et l'interprétation de cette Rikee cant acco? srnrhes eine Berita aréancienna gun tong re - gard po -sé sur Toi! quite pos -séde au pre - mier jour! dé. jd fe = mis en - tre nos mans qui chan- teu sein du Dieu de Vie! © Editions musicales Stadio SM Laccompagnement qui peut ne pas étre joué suit de prés la ligne mélodique du chant, Colle de Tamié : Le texte prime et donne le rythme ; 18 encore, nulle barre de mesure. On retrouve ce départ fen anacrouse si caractéristique. comme si la mélocie était déja [2 avant fe chant. Tonalité de la pice en sof majeur Aucune difficulté particule. La ligne mélo dique, simple et épurée, convient bien 3 la simplicité monastique. Nul accompagnement ici, Seulement cos deux voix égales qui suivent le texte. Il faudra respecter le rythme en noire pointée de la voix supérieure & deux moments de la mélodie, afin de bien entendre fe thme régulier des noires de la voix inférieure. On pensera a ne pas trop ralentir 3 la fin de chaque cou- plet pour ne pas alourdir le phrasé et éviter ainsi que les voix s'abaissent. Lusage Ces deux pices conviendraient bien pour le temps de Noél et de fEpiphanie. Deux pidces méditatives qui peuvent atre utilisées comme chant dotirande ow de méditation aprés la communion Frere Renaud Escande