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. age en matériaux locaux est constitué dun ma de Ja stabilité de son talus amont son talus aval ; fon ne comprend pas de méthode globale permettant d. euler 18 stabilité d’un tel systéme sans faire Whypothése, Pour arriver 4 un résultat, on contraint de donner la forme de la fio de rupture au contact de laquelle il peut y avoir glissement, ins cas OD prend, une surface cylindrique circulaire 4 axe ‘jorzontal, qui apparait comme un cercle appelé cercle de glissement dnsune coupe verticale de la digue. '| (tite hypothése est conforme a ce qu’on peut observer sur le "7 dissement de talus d’une digue en remblai VILNOTION D’EQUILIBRE LIMITE D’UN TALUS MILLA Cisaillement et équilibre la limite _Anattir de Ja relation de résistance au cisaillement d’un élément \_@ ‘ —_\ \_|__ 3 Contrainte ,o rd Cisaillement T a) élément du sol; b) principe de résistance au cisaillement Figure VII.1 Droite de coulomb a partir d’un essai de cisaillement T=C+0, tg (VIL) avec, 7: contrainte de résistance au cisaillement ot ie contrainte de resistance au cisaillement Grainge | effective g,;contrainte normale he u:pression interstitielle ; g:angle de frottement interne en contraintes effectives. — En pratique toutes les analyses de stabilité des talus rep leconcept d'équilibre limite 4 savoir : Forces motrces de slissement Resistance au C4 ‘cisaillement ypotse sure cele de glissement Figure VII.2 Schéma explicatif de la géométrie du glis ob F:facteur de sécurité pour lé cas Te : contrainte de cis: i a silernpnt lel Essai triaxial et caractéristiques Mécaniqueg réalisation d’un projet de barrage exige la détermi tres mécaniques avec eg sion toute en Malt conditions de drainage des sols pulvérulents et des Sols fing, Conirairement a |’essai de cisaillement direct, essai compression ou communément appelé essai triaxial Offre plug possibilités 4 la détermination des paramétres d’un sol en Contrainies effectives et en contraintes totales. Cest un essai qui peut s’applique pulvérulent (résistance effective) et cohé aussi 4 types de roches (figure VII.3), r a tous types de sols : rents (résistance totale) et af Déplacement vertical, AH Capteur de force Echantillio Va ant in Membrane F a } de sol étanche ~ : a8 axial se divise en deux étapes, Pune ¢9 ‘ons critiques rencontrées dans 1° A i entées par deux | oe es, repres Sp lettres : idation ou non avai sisai ; Consolida! nt le cisaillement Conditions de drainage pendant le cisaillement : qableauV 1-1 Différents types d’essai triaxial et | jntinseques- Aprés Symbole* Type de Avant cisaillement comportement cisaillement Consolidé Drainé a long terme Sa Consolidé Non drainé cu A court terme Non Non drainé consolidé *CD ; consolidated drained, CU ; consolidated undrained JU: 5 nie e L’essai CU permet le calcul de la cohésion non dra} fonction du degré de consolidation avec on sang drai e L’essai UU concerne les sols peu perméables (argilen ES les cadences de travail (vitesse de construction) sont | tapides que la vitesse de consolidation, ce qui explique so, comportement a court terme. Pour un remblai a construire, le calcul doit étre mené une art Acourt terme : caractéristiques du sol cu et uqui sont obtenus A partir de l'essai triaxial UU interprété en contraintes totales, D’autre part, a long terme : caractéristiques c’ et @! obtenues partir de l'essai CD ou de l'essai CU interprété en contraintes effectives. Néanmoins, le choix des paramétres géotechniques de calcul de stabilité d’un Ouvrage reste une question fondamentale pour plus de précision des calculs. VI. 2 Sélection de l’essai triaxial en fonction ei (Abramson er al., 2002) ool Type de type de Construction Sol Court terme (fin de construction, ) Caleul de Ia cohésion ou cohen J sols fins ohésion drainée(cy) avec: Construction par étapes K<10°m/s Long terme Ty <0,01 Court et long terme Sols grossiers avec : Chargement rapide (Séisme, explosion, déjaugeage...ete, elders sjaugeage...ctc) TRANCHES (Méthode g fi ODE DES vil2 METH! Définition tourité «E> ee ition, le coefficient de sécurité “ F aU glissem Par Beaton, moment cumulé des forces resistantes gf rapport entre le Le cercle qui conduit au coefficient mining Ee ie 1 conduit au coefficient de sécurité dy talus ( cercle Cl = VILA). (@) Cercle de glissement découps (0) Décomposition des forces dans en tranches une tranche Figure VII.4 Cercle de Slissement par la méthode des tranches. La méthode des tranches Templace la surface réelle de ruptut complexe par une ligne circulaire. Le principe de la n fondé sur les hypotheses suivantes : ; > Ta rupture lissement Se produit d’un coup sur la sur je mouvement de la surface de tg rotation autour du centre de cerele done : zee Issem Je coefficient de sécurité sera le Tapport des rapport au centre des cercles, des forces fe Sy forces déstabilisatrices. ilisatrices _ les interactions entre les tranches sont & P i verticalemen horizontalement. 4 Au début du 20°" siécle plusieurs méthodes ont été dévelopy pour le calcul de la stabilité d’un talus. En 1921, fut la découvert ja méthode des tranches dite méthode suédoise, confirmé par Fellenius (1927), puis ameliorée en 1936 pour calculer la stab d'un talus pour la détermination du cercle critique. Par la suite, Bishop (1955), Bishop-Morgenstern (196 965), Spencer (1967), Janbu (1968) etdel’ 970) ont donné des méthodes p s de caleuls sur Morgenstern-Price (1 Army Corps of Engineers ( 1 avancées de calcul suivant la nature des hypothése: tranches du massif et sur la pression inertielle. Dans le cas d’un barrage en terre, la vérification de la s doit s’effectuer dans les situations suivantes : © fin de construction (talus Amont et talus aval) © fonctionnement normal (talus Aval) © Vidange rapide (talus amont). VII.2.2 Principe de la méthode de Fellenuis Il faut effectuer le bilan des forces pout, unk e ent ‘le plus critique’, qui ¢ Les pressions interstitielles | ¢ Les forces latérales d’ interaction intertranche X;,, et X; si négligeables (figureVII.5). Figure VILS Principe de découpage des tranches d’un cercle de glissement La résolution anal préférable d efforts intertranches, L; latérales inte a utes des tranches . densité du massif correspondant (en di 1, : phréatique et des fondations), Le poids v olumic du sol d°*humidité naturelle eg ion 'expressi inte : sel Yen =(1-n)y,, (1+ W) 9 : poids volumique spécifique du sol W:teneur en eau en fraction de l’unité Le poids volumique du sol saturé gal : =(1-n\(y,, -Yy) ol, N: porosité du sol en fraction de l’unité yw: poids volumique de |’eau Dans le cas dune vidange rapide on utilise le poids d” poids volumique déjaugé : 1'=(%s—D Le poids "Wi» étant une force qui présente d > Composante normale : Na = Wi cos = b Y524 > Composante tangentielle : Ta = Wi sina=b ur de l’arc délimitant la base de be b 3602 cosa sohésion Fe=C. dl uy centre des tron¢ons de la courbe de glissement sion du sol considéré. ss de frottement feu. dl)tg =(Wi cosa - uidl) tzg wv - TAI) e de frottement interne qui dé de qui dépend de Ja nature ” . . 4 ition de la surface de glissement par ra a 4 7 a ar rapport a Ja ligne e séismique Tn= aWi (VIL) ntre O du cercle d dit : le rupture de R : ZMr/0 stabilisant= , [RETENUE PLEINE dLew, cosa—u; dl t a i iO" Mtg +e dl, séisme: F, == 1 k YW, sine 2 Fadm DLW, c0sa—u, dl igo re dh] yee scisme :F = 1 ——_________~ 55, _ a Y [C7 R)Wa dae Wsina) on du: distance entre centre de gravité de la tranche et le centre de glissement du cercle de glissement. A:accélération sismique variant de 0 4 0,2 g. Tableau VII. 3 Coefficients de stabilité admissibles en fonction de laclasse de I’ ouvrage et des combinaisons de charges Valeurs des coefficients admissibles/classe de Pouvrage Combinaisons de I Ir Tl IN Charges Permanentes 1,30-1,20 12-115 1,15— 1,10- 1,10 1,05 Particuliéres 1,1-1,05 1,10 - 1,05 -VIL3 METHODE GRAPHIQUE DE DETE CERCLES CRITIQUES DE GLISSEMENT Pour un talus ayant un angle de frottement ef Fondéev recommande de disposer les centres de gli | une zone déterminée. Il s’agit de disposer les centres de courbes de glis dans la zone limite définie par MZZiMi (igueviy 6) don construction est fonction des fruits de talus de la digue 4 VIL 4: Valeurs des coefficient os cercles de glissement La méthodologie du trace et de détermination du cen critique est effectuée comme suit : - Tracer le profil en travers suivant une échelle, On peut au tracé du talus seul. ~p Tracer deux lignes au milieu (point B) du talus moyen ou - la premiere ligne est verticale - la seconde ligne avec un angle de 85° par rapport talus, 3- Suivant les valeurs du tableau ci-dessus on déte BM=kiHp et BZ=k2Hb et former une zone ZiM( en prenant comme centre le point B. Disposer dans cette zone les centres de glis que les courbes de glissement se trouvent talus aval, c'est- =a dire entre Laxe longit 6- Composer |’équation des efforts agissant sur la a par rapport au centre de glissement " 0 ", | Vil4 METHODE SIMPLIFIE DE BISHOP (1955) Cette méthode est plus générale que celle de Fellenj considére uniquement |’ interaction inter-tranches Verticale (Zn-1= Zn > AZ=0) . Par contre, on admet que I’interaction latérale Rn-t-Rn¥0, Ce qui permet d’obtenir une formulation implicite guj wn tésolue par des itérations Successives (figure VII.7). Centres ! des ceicles oudre on Suppose que AX =0, mais les n considération. On admet comme valeur de sécurité F=Fo, étant généralement 1a thode de Fellenius . méthode posséde un certain d usage lui confére un statut de re jour son taux d’erreur tres appréciabl ; eS pour nt prises © 4 coefficient tiene par me’ Bien que cette gimperfections son gran dite méthode simplifice f fordre de 1%. VILS METHODE DE JANBU (1968) hode qui admet des hy it @’introduire ue que coefficient de s pothéses identiques & dune correction a écurité obtenue C’est une met! dela méthode Bishop. II une formulation empiriq Bishop. Du fait que cette méthode tient @une surface de rupture au glissem méthode d'équilibre de moment utili nest plus la plus appropriée (en raiso’ Point unique par lequel agissent | Principales). La relation est itérative dont la premiere celle de Bishop et qui s’écrit alors : / t compte de la difficulté ‘nt non circulaire du fait ée pour des surfaces circul n des difficultés de 0 u les composantes 7 cose, #AX)- ui) ]180.)] - cos?ar; (1+ by Witga, a : ite, une correction est portée a la valeur trouvée précédemm par introduction de la valeur de A (figure VII.8) : Feorigt = 4 Feaeae (VIL18) rupture réelle Cerele de rupture us. facteur 4 Q 8 & Pie 2 eae L Figure VIIL8 Représentation du coefficient de correction A selon Janbu

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