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C A HIER D E CHA RG E

N OS PA RTE NA I R E S :
C A H I E R D E C HA RGE
L ' É P I D É M I E DE C O RO N AV IR US

1-DÉF I NI T I ON D U PRO BLÈM E

Selon les statistiques officielles, à ce jour, environ 205.000 personnes ont


été déclarées positives au Covid-19 et 5 864 décès ont été recensés en
Algérie alors que seulement 4 millions de personnes seulement sont
complètement vaccinés. Le mois de juillet, le pays le plus peuplé du
Maghreb avec ses 44 millions d'habitants, a atteint un pic de
contaminations de 31.766 cas, une augmentation alarmante et inédite.

Cette situation a fortement déstabilisé le système de santé algérien à


l'échelle nationale, le manque d’oxygène et de certains médicaux s’est
fortement fait ressentir tandis que les hôpitaux étaient quant à eux
pour la plupart dépassés par la situation actuelle en raison du manque
de places en réanimation. Alors que la pandémie battait son plein, le
nombre de vaccinés restait extrêmement faible .
2-PROBLÈMES LIÉS AUX MÉDICAMENTS :

A- P RO BLÈ M ES L I ÉS À L A C OOR D INATION


E N T R E H Ô P I TAU X :
-Le manque des lits et la pression au niveau des hôpitaux :
Le nombre de décès officiellement déclarés s’élevait à 4 291 au 1er août,
soit une moyenne de 30 décès quotidiens au cours de la dernière se-
maine de juillet. Dès la mi-juillet, la surpopulation des hôpitaux était
telle que les autorités ont réquisitionné de nouvelles structures pour ac-
cueillir les patients, comme l’hôtel Mazafran, dans la banlieue ouest de
la capitale, d’une capacité de 700 lits.
De même, l’augmentation du nombre de patients en réanimation néces-
site plus de lits en oxygène, d'où la nécessité de trouver de nouvelles
structures équipées de ces moyens pour pallier la pénurie dans les hôpi-
taux.

-Le manque de coordination entre les hôpitaux :


Il faut aller vers une plus grande coordination entre les hôpitaux.
Quand, par exemple, un patient se présente à l'hôpital de Thaniya et
qu'on lui dit qu'il n'y a pas de place, alors qu'il y en a à Burj Manayel, à
quelques kilomètres seulement, ce problème ne se posera pas. Pas s'il y
a une coordination entre les hôpitaux. Il faut donc que la direction du
premier hôpital contacte le deuxième hôpital pour une coordination
dans le but de mieux orienter et de prendre en charge rapidement les
patients qui peuvent se présenter .
Avec une meilleure organisation et une meilleure coordination, il n'y
aurait plus de problèmes de ce genre et, en ce sens, il est utile de noter
que les médecins exerçant dans les hôpitaux qui ont reçu un afflux im-
portant de patients ont, à de nombreuses reprises, plaidé pour la correc-
tion du dysfonctionnement. sur la répartition des patients dans les hôpi-
taux. Des appels remontant au moins au pic de l'été dernier lorsque les
hôpitaux se sont retrouvés débordés de patients Covid .
B-P RO BLÈ M ES L I ÉS AU X MÉD IC AM ENTS :
Le manque cruel en oxygène médical constaté dans plusieurs hôpitaux
et structures sanitaires à travers le pays et la hausse inquiétante des
décès ont engendré de larges campagnes d’appels à l’aide en urgence
afin de recueillir le plus grand nombre de fonds et de dons pour l’acqui-
sition de générateurs et de concentrateurs d’oxygène.
Il s’agit également d’appels à la mise en place d’unités de production
au niveau régional pour combler la pénurie et le déficit et pouvoir ainsi

sauver le plus grand nombre de patients, d’autant plus que le majorité


de ceux orientés vers les hôpitaux souffrant de grandes difficultés respi-
ratoires et se retrouvent à un stade avancé de contamination .

Avec l'augmentation du nombre des cas confirmés de Covid-19, le senti-


ment d'angoisse collective et de panique s'est installé au milieu des
citoyens, provoquant une hausse importante de la demande en masques,
bavettes et gels hydro-alcooliques, causant ainsi une pénurie due à la
rupture de stock de ces produits au niveau des officines. Obligés par le
manque en matière de moyens nécessaires de protection, plusieurs mé-
decins libéraux et laboratoires d'analyses médicales ont décidé de sus-
pendre leurs activités .
C-VAC C I N AT I O N C O N TRE LE C OV ID - 1 9 ET S ES EF F ETS DANS
LE MO N D E :
La vaccination est l’une des plus grandes avancées médicales de l’his-
toire, elle a permis d’éradiquer des pandémies ayant fait des centaines
de milliers de morts . En effet, un acte de vaccination permet d’assurer
d’une part la protection de l’individu vacciné par le biais du
déclenchement d’une réaction immunitaire spécifique contre l’agent
infectieux concerné, et d’autre part la protection collective, ceci car elle
freine la multiplication de l’agent pathogène chez la personne vaccinée,
elle sera en conséquence moins susceptible de contaminer son
entourage, une personne vaccinée se protège donc elle même et agit
comme une barrière protectrice contre le virus .

En comparaison des autres pays du monde, l'Algérie accuse un retard


notable dans sa campagne de vaccination ce qui n’arrange pas sa situa-
tion sanitaire. Nous ne sommes donc pas à l'abri d’une nouvelle vague
qui pourrait causer de nombreuses pertes tout comme la précédente
vague qui a enregistré un record de plus de 1900 cas le 28 juillet 2021.

-Les statistiques officielles, rapportent que seulement 9.2% de


personnes seulement ont été vaccinés soit un peu plus de 4 millions de
personnes contre 35.8% dans le monde ce qui représente environ 2.79
milliards de personnes complètement vaccinés et plus de 72% de la
population totalement vaccinée au Canada.
3 - D E S C RI PT I ON F ONCTIO N N ELLE D E LA SOLU T ION

La crise liée à la pandémie du Covid-19 est d’ampleur inédite et af-


fecte tous les aspects de notre vie et de nos activités. En Algérie égale-
ment, de nombreuses questions réglementaires, juridiques, fiscales et so-
ciales se posent :

-Comment contribuer à l’amélioration du système de santé en Algérie?

-Comment résoudre les problèmes de gestion des stocks et de


distribution d'Oxygène d’une façon technique ?

-Est-il possible de trouver de nouvelles structures dotées de ces moyens


pour pallier l’insuffisance dans les hôpitaux ?

-Comment mettre en place le protocole sanitaire?

-Comment peut-on organiser la distribution des médicaments , le


manque d'Oxygène et mettre en œuvre l’amélioration et la stérilisation
des hôpitaux lors de cette pandémie?

-Comment assurer le respect des protocoles sanitaires.

Il est temps de mettre à disposition un plus grand nombre de lits avec


oxygène pour répondre aux besoins qui s’expriment et parer à une éven-
tuelle demande qui pourrait être plus importante .
E N V I RON MEN T
( W I LD FIR ES)

1 - C O N T EX T E ET DÉFIN ITIO N D U PRO BLÈM E :

Un incendie est un feu non maîtrisé, ni dans le temps, ni dans l'espace.


La caractéristique d'un incendie est de pouvoir s'étendre rapidement et
d'occasionner des dégâts généralement importants.On parle d’incendie
de forêt lorsque le feu concerne une surface minimale de 0,5 hectare
d’un seul tenant, et qu’une partie au moins des étages arbustifs et/ou
arborés (parties hautes) est détruite. La dénomination vaut aussi pour
les incendies qui touchent le maquis, la garrigue ou encore les landes.

Un feu peut prendre différentes formes selon les caractéristiques de la


végétation et les conditions climatiques dans lesquelles il se développe.
Les feux de sol : Ils brûlent la matière organique contenue dans la
litière, l’humus ou les tourbières. Alimentés par incandescence avec com-
bustion, ces feux ont une faible vitesse de propagation.
Les feux de surface : Ils consument les strates basses de la végétation
et se propagent en général par rayonnement ou convection. Ils affectent
la garrigue ou les landes.

Les feux de cimes : Ils atteignent la partie supérieure des arbres


(ligneux hauts) et forment une couronne de feu qui libère en général de
grandes quantités d’énergie. Leur vitesse de propagation est très élevée
et ils sont particulièrement intenses et difficiles à contrôler lorsque le
vent est fort et le combustible sec.

étés secs, végétation pyrophile (garrigues), faible teneur en eau des sols
et de la végétation, vents, forte population estivale sont des facteurs fa-
vorisant l'apparition et le développement des incendies.

Deux types de facteurs conditionnent le déclenchement des incendies de


forêt.
A-L E S FAC T EU RS NAT U REL S :

Sont liés:

-Aux conditions du milieu, c'est-à-dire aux conditions météorologiques


auxquelles le site sensible est exposé. Le vent active les feux en
apportant de l’oxygène. La sécheresse entraîne la libération par certains
végétaux d’essences particulièrement inflammables. La foudre, les
éruptions volcaniques (hors territoire métropolitain), peuvent
déclencher un feu ;

- à l'état de la végétation. L’état d’entretien des forêts, leur densité, leur


teneur en eau, la disposition des différentes strates végétales sont des
facteurs prépondérants dans le déclenchement et la propagation des
incendies. De plus, certaines espèces végétales sont particulièrement
sensibles aux feux alors que d’autres, les espèces pyro résistantes y
résistent mieux (chêne vert, châtaignier, etc.)

- à l'existence d'une zone de relief, dont les irrégularités accélèrent la


propagation du feu.

B-LE S FAC T EU RS A NTH RO PIQUES :


Jouent un rôle prépondérant, car ils sont à l'origine du déclenchement
des incendies de forêt dans 80 % à 90 % des cas.

Ils sont regroupés dans Prométhée en cinq catégories : les causes acci-
dentelles, les imprudences, les travaux agricoles et forestiers, la malveil-
lance et les loisirs.
2-FEUX DE FORÊTS EN ALGÉRIE (STATISTIQUES) :

Article: https://journals.openedition.org/mediterranee/6827

Dans le contexte du bassin méditerranéen, l’Algérie est l’un des pays où


le problème des feux de forêts se pose avec acuité par son impact
dévastateur : si en valeur absolue les superficies brûlées restent
relativement modestes au regard d’autres pays du pourtour
méditerranéen, la rareté des forêts et les menaces de désertification
font que ces incendies ont un impact particulièrement désastreux.
L’Algérie ne possède en effet que 4,1 millions d’hectares de forêts, soit
un taux de boisement de 1,76 %. Or la fréquence rapprochée des
incendies qui se suivent avec un intervalle de retour de moins de 10 ans
a un impact catastrophique sur le plan écologique.

L’analyse des feux passés, au niveau des différentes wilayas de l’Algérie


du Nord, la plus boisée, fait en effet ressortir que durant la période 1985
2010, l’Algérie a enregistré 42 555 feux qui ont parcouru une superficie
forestière totale de 910 640 hectares.

L'année dernière seulement, plus de 100 000 acres ont brûlé dans tout
le pays. Mais les incendies de cet été ont été les plus répandus et les
plus dévastateurs que le pays ait connus. Depuis le 9 août, plus de 70
incendies ont été recensés dans toute la région nord Kabylie du pays,
notamment dans les préfectures de Tizi Ouzou, Sétif, Khenchela,
Guelma, Béjaïa, Bordj Bou Arreridj, Boumerdès, Tiaret, Jijel, Médéa,
Tébessa, Blida et Skikda.
ANN UA L EVO L U T I O N O F AR EA S B UR NED BY F IR E IN A LG E RIA
(PER I O D 1 8 7 6- 2 0 1 2 ) :

Au début de la crise, il est devenu évident que les pompiers et les volon-
taires seuls ne seraient pas en mesure d'éteindre les incendies, alors le
gouvernement algérien a déployé l'armée dans la région. 69 personnes,
dont 28 soldats, ont perdu la vie dans les incendies.

Mais alors que l'Algérie essaie de panser ses blessures et de soutenir les
survivants qui tentent de reconstruire leur vie, certaines questions
importantes continuent d'occuper la psyché nationale : Qu'est-ce qui a
causé les incendies ? Pourquoi le pays a-t-il eu du mal à répondre
efficacement à la crise ? Et peut-être plus important encore, que peut-on
faire pour empêcher une répétition de cette tragédie ?

L'État n'a pas été en mesure de répondre aussi efficacement à la crise en


raison du manque de technologies et d'équipements de lutte contre les
incendies à jour qui a jusqu'à présent été présenté comme les
principales raisons.

L'ampleur des coûts physiques et humains des incendies de forêt peut


être réduite si des mesures adéquates de prévention, de préparation,
d'intervention et de rétablissement en cas d'urgence sont mises en œuvre
de manière durable et opportune.
3-DESCRIPTION FONCTIONNELLE DE LA SOLUTION:

Alors que les incendies de forêt conduisent à des urgences


mondiales, AEC veut amener ses participants à travailler sur des
solutions réalistes et réalisables qui répondent aux différents
enjeux de la problématique. Cela en construisant un prototype de
système réaliste et proactif qui peut anticiper les besoins et les
défis pendant les urgences afin qu'ils soient plus susceptibles de
réduire les risques et répondre efficacement en cas de besoin.
L E S S O LU TI O NS DEV RO N T R ÉPOND R E À UN OU PL US IE U RS
DE C E S E N J EU X :

-prévention des incendies.


-aides au populations touchées.
-amélioration de la gestion des incendies.
-détection rapide et efficace des incendies.
-minimiser l'impact des incendies sur la faune et la flore.
-aider les pompiers dans leurs actions.
-amélioration des techniques d'extinction des incendies.
-Gestion des zones post incendies.
Dé ve l o p p eme nt dura ble
( l a p é nur ie d’ e a u)
1 - C O N T EX T E ET DÉFIN ITIO N D U PRO BLÈM E :

L’Algérie est classée parmi les pays les plus déficitaires en eau. De par
son appartenance à la zone géographique du ''Middle-East and North
Africa (MENA)’’ et la quasi-totalité de son territoire (87%) classé en
zone désertique, sa pluviométrie moyenne annuelle varie de 1600 mm
dans l’extrême nord-est à 12 mm à l’extrême sud-ouest. Néanmoins, la
pluviométrie moyenne du territoire, toutes zones confondues n’est que
de l’ordre de 89 mm.

De ce fait, l’Algérie est classée parmi les 13 pays africains qui souffrent
le plus du manque d’eau. En effet, avec moins de 500 m3/habitant/an
d’eau renouvelable qui était de 1500 m3 en 1962 plus que de 720 m3 en
1990, de 630 m3 en 1998.

l’Algérie dispose de moins de 50% du seuil théorique de rareté fixé par


la Banque Mondiale à 1000 m3 par habitant et par an.
Plusieurs wilayas d’algérie connaissent, depuis plusieurs mois, d’impor-
tantes perturbations dans l’alimentation en eau potable, ce qui a suscité
le mécontentement des citoyens qui sont d’autant plus désappointés que
cela coïncide avec la saison estivale.

La pénurie de l’eau potable est un vieux problème contre lequel l'Algérie


se bat depuis des décennies. Néanmoins, la situation s’est aggravée en
ce 2021, ou les citoyens font face à une véritable crise de pénurie qui a
branlé au quotidien les algériennes et les algériens.
2-OBJECTIF DU PROJET:

Afin d’assurer sa sécurité alimentaire à la fin de la prochaine décennie,


il faudra mobiliser entre 15 et 20 milliards de m3/an, tandis que la
mobilisation actuelle n’est que de 5 à 6 milliards de m3/an. Conscients
de l’importance du facteur eau pour une meilleure stabilité politique du
pays et pour tout développement économique et social, et dans un soucis
d’une meilleure maîtrise des différents aspects du manque d’eau, en
général et dans le secteur de l’agriculture en particulier qui consomme
environ 64% des eaux mobilisées annuellement et 2% dans le secteur
industriel et 34% pour l’alimentation.

Une nouvelle stratégie de l’eau en Algérie doit viser en premier lieu à


valoriser plus les expériences rentables et en deuxième lieu à donner
une nouvelle impulsion, un nouveau souffle aux efforts déployés par les
pouvoirs publics en matière d’économie de l’eau, de bonne gestion et de
rentabilité.

Nous essayons de mettre un peu de lumière sur les différents aspects du


Programme d'actions pour une gestion économique et durable de l'eau.

3-STATISTICS:
L’Algérie a un potentiel hydrique global mobilisable ne dépassant pas
les 12,3 milliards de m3 (eaux superficielles), ce qui offre un volume
annuel de 280 m3/habitant/an. Avec la mobilisation pluriannuelle de
cette eau (barrages), des ressources en eau souterraines du Nord et du
Sud, du dessalement de l’eau de mer, nous arrivons actuellement aux
alentours de 18.2 milliards de m3/an, soit de 450 m3/habitant/an.

En 1962, nous avions 1500 m3/habitant/an. L’Algérie est par conséquent


largement touchée par le stress hydrique, soit en dessous du seuil
théorique de rareté fixé par la Banque mondiale à 1000 m3/habitant/an.
En réalité, cette quantité est largement suffisante si elle était bien
répartie géographiquement et bien gérée. Les ressources en eaux souter-
raines du Sahara septentrional sont contenues dans deux immenses
aquifères qui sont le continental intercalaire CI, et le complexe terminal
CT (plus d’un million de km2, dont 70% se trouvent en Algérie, 24% en
Libye et 6% en Tunisie).
L A R É PA RT I T I O N DES EAUX S UPER F IC IEL L ES ET
SOUT E R R A I N ES PA R RÉG ION HYD ROGR A PHIQUE

Nos ressources en eaux souterraines dans le Sud sont estimées de 40


000 à 50 000 milliards de m3, et à raison de 12,3 milliards de m3
(équivalents des eaux mobilisables en Algérie par an), nous avons une
autonomie de 3250 à 4065 ans. Il est vrai que ces ressources sont très
faiblement renouvelables, mais elles peuvent être transférées sur des
centaines de kilomètres. Nous pouvons dire que grâce aux eaux de
dessalement et ces eaux souterraines, l’Algérie est à l’abri dans le futur
si les mesures adéquates sont prises et une stratégie claire bien définie
à l’horizon 2050.

La population algérienne qui est estimée à 44,7 millions d’habitants au


1er janvier 2021, serait de l’ordre de 55 millions en 2050, et si on tient
compte de nos ressources en eaux renouvelables actuellement
(superficielles et souterraines) estimées à 18,2 milliards de m3/an, nous
aurons 330 m3/habitant/an.
B IL AN R E S S O URCE S- DE MAN DE S EN HM 3 C ONS OM M ATI ON DOM ES T I Q U E
( S C É N ARIO TE N DAN CIE L) JOURNA LI ÈRE PA R HA BI TA N T

4-PÉRIMÈTRE:

Plusieurs wilayas souffrent de la pénurie d’eau.l’inspecteur du


ministère des ressources en eau, abdelaziz ardjoun, a indiqué que le
crise actuelle de l’eau ne concerne pas seulement le wilaya d’Alger,
mais touche également neuf autres wilayas, elle touche actuellement
chacune des wilayas de : tipasa – tizi ouzou – boumerdès – m'sila –
médéa – oran – tlemcen – mascara et ain defla.
5-THE CHALLENGES:
:
1-Population growth and rising demands of water for various usages ..

2-Climate change and the silting up of dams.

3-Food security.

4-Leakage of water distributed by the network (waste).

5-Pollution of groundwater.

6-The sharing of transboundary waters (the Albion water table).

6-DESCRIPTION FONCTIONNELLE DES BESOINS:


:

Les solutions existent et sont nombreuses, car l’Algérie a de réelles capac-


ités à surmonter cette crise de l’eau et faire une politique efficace à l’hori-
zon 2030/2050 et surtout pour les générations futures. Nos moyens hu-
mains, nos ressources en eau du nord et du sud nous permettent aisément
de donner de l’eau pour tous les Algériens en quantité et en qualité si nous
arrivons à instaurer une gestion rationnelle tenant compte d’un certain
nombre de propositions. Il faut impérativement réussir à minimiser les
pertes dans les réseaux d’eau potable et passer d’un taux de 50% de pertes
à 10%. L’on doit appliquer un prix juste et équitable pour tous à travers
une nouvelle tarification.

Développer de nouveaux produits, services et usages.


Sources de nouvelles technologies.
Digitaliser le processus.
Valoriser les eaux usées.
Faire un dimensionnement fiable et équitable sur tout le territoire.
L’implication du citoyen est nécessaire.
7- RÉFÉRENCES:

-BOUCHEDJA Abdallah. La politique nationale de l’eau en Algérie. 10ème


Conférence Internationale, Istanbul – Turquie – 17 au 19 Octobre 2012.

-MOUHOUCHE Brahim. Maîtrise de la pratique de l’aridoculture comme


palliatif au manque d’eau en Algérie.

-LAIB Cherif. Crise de l’eau en Algérie : 10 wilayas concernées. Disponible


sur: www.algerie360.com.

-KETTAB Ahmed. La crise de l’eau est due à une planification insuffisante.


Disponible sur: www.liberte-algerie.com.

-MOUHOUCHE Brahim. Les problèmes du manque d'eau en Algérie : Une


réalité qui fait peur. Décembre 2012.

Sheffield, J., Wood, E. F., Pan, M., Beck, H., Coccia, G., Serrat-Capdevila, A.,
& Verbist, K. (2018). Satellite remote sensing for water resources manage-
ment: Potential for supporting sustainable development in data-poor
regions. Water Resources Research, 54, 9724– 9758.

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