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N OS PA RTE NA I R E S :
C A H I E R D E C HA RGE
L ' É P I D É M I E DE C O RO N AV IR US
étés secs, végétation pyrophile (garrigues), faible teneur en eau des sols
et de la végétation, vents, forte population estivale sont des facteurs fa-
vorisant l'apparition et le développement des incendies.
Sont liés:
Ils sont regroupés dans Prométhée en cinq catégories : les causes acci-
dentelles, les imprudences, les travaux agricoles et forestiers, la malveil-
lance et les loisirs.
2-FEUX DE FORÊTS EN ALGÉRIE (STATISTIQUES) :
Article: https://journals.openedition.org/mediterranee/6827
L'année dernière seulement, plus de 100 000 acres ont brûlé dans tout
le pays. Mais les incendies de cet été ont été les plus répandus et les
plus dévastateurs que le pays ait connus. Depuis le 9 août, plus de 70
incendies ont été recensés dans toute la région nord Kabylie du pays,
notamment dans les préfectures de Tizi Ouzou, Sétif, Khenchela,
Guelma, Béjaïa, Bordj Bou Arreridj, Boumerdès, Tiaret, Jijel, Médéa,
Tébessa, Blida et Skikda.
ANN UA L EVO L U T I O N O F AR EA S B UR NED BY F IR E IN A LG E RIA
(PER I O D 1 8 7 6- 2 0 1 2 ) :
Au début de la crise, il est devenu évident que les pompiers et les volon-
taires seuls ne seraient pas en mesure d'éteindre les incendies, alors le
gouvernement algérien a déployé l'armée dans la région. 69 personnes,
dont 28 soldats, ont perdu la vie dans les incendies.
Mais alors que l'Algérie essaie de panser ses blessures et de soutenir les
survivants qui tentent de reconstruire leur vie, certaines questions
importantes continuent d'occuper la psyché nationale : Qu'est-ce qui a
causé les incendies ? Pourquoi le pays a-t-il eu du mal à répondre
efficacement à la crise ? Et peut-être plus important encore, que peut-on
faire pour empêcher une répétition de cette tragédie ?
L’Algérie est classée parmi les pays les plus déficitaires en eau. De par
son appartenance à la zone géographique du ''Middle-East and North
Africa (MENA)’’ et la quasi-totalité de son territoire (87%) classé en
zone désertique, sa pluviométrie moyenne annuelle varie de 1600 mm
dans l’extrême nord-est à 12 mm à l’extrême sud-ouest. Néanmoins, la
pluviométrie moyenne du territoire, toutes zones confondues n’est que
de l’ordre de 89 mm.
De ce fait, l’Algérie est classée parmi les 13 pays africains qui souffrent
le plus du manque d’eau. En effet, avec moins de 500 m3/habitant/an
d’eau renouvelable qui était de 1500 m3 en 1962 plus que de 720 m3 en
1990, de 630 m3 en 1998.
3-STATISTICS:
L’Algérie a un potentiel hydrique global mobilisable ne dépassant pas
les 12,3 milliards de m3 (eaux superficielles), ce qui offre un volume
annuel de 280 m3/habitant/an. Avec la mobilisation pluriannuelle de
cette eau (barrages), des ressources en eau souterraines du Nord et du
Sud, du dessalement de l’eau de mer, nous arrivons actuellement aux
alentours de 18.2 milliards de m3/an, soit de 450 m3/habitant/an.
4-PÉRIMÈTRE:
3-Food security.
5-Pollution of groundwater.
Sheffield, J., Wood, E. F., Pan, M., Beck, H., Coccia, G., Serrat-Capdevila, A.,
& Verbist, K. (2018). Satellite remote sensing for water resources manage-
ment: Potential for supporting sustainable development in data-poor
regions. Water Resources Research, 54, 9724– 9758.