You are on page 1of 52

COURS GESTION DE PRODUCTION

2ème année GI

1
 XVIII ème siècle : Production artisanale
 XIX ème Siécle : Production manufacturing (arms,
tabac)
 XX ème Siècle: Rationalisation des facteurs de
production

Point de départ de la gestion de


production
Rq: La rationalisation cherche à organiser les choses
d'une manière plus efficace en supprimant ce qui
est inutile et en se fondant sur la logique et sur
la science.
2
 Taylor (1911) organisation du travail basée sur:
◦ Distinction radicale entre conception et exécution
◦ Recherche systématique des économies de gestes et
mouvements
◦ Utilisation maximale de la machine
 Ford (1913)
◦ Standardisation de la production et travail à la chaine
◦ Avancée du concept de flexibilité dans les entreprises
 Harris et wilson (1913-1924):
◦ Quantité économique
 Fayol (1916)
◦ Modèle hiérarchique d’organisation de la production
◦ Savoir, prévoir, organiser, commander, contrôler
 Gantt (1917)
◦ Ordonnancement
3
1- Le système entreprise

2- Le système de production

3- La fonction production

4
 L’entreprise à pour rôle de fabriquer des biens ou
fournir des services pour satisfaire les besoins du
marché.
 L’entreprise s’inscrit dans un contexte relationnel
économique CLIENT/FOURNISSEUR (l’entreprise
jouant alternativement, dans ce contexte, l’un et
l’autre rôle).

Rq: Il existe d’autres flux (personnel, communication, Information..)


5
 Le système de production regroupe l’ensemble
des ressources qui conduisent à la création de
biens ou de services. Afin de réaliser ses objectifs.
l’entreprise possède trois types de ressources :
 des ressources physiques ;
 des ressources humaines ;
 des ressources financières.

6
Définition

La fonction production consiste à produire, en

temps voulu, les quantités demandées par les

clients dans des conditions de coût de revient et de

qualité déterminés en optimisant les ressources de

l’entreprise de façon à assurer sa pérennité, sa

compétitivité et son développement.


7
a- Produire
Le but de toute entreprise industrielle est, bien
évidemment, de produire des biens ou des services
qu’elle mettra à disposition des consommateurs.

b- Temps voulu
Ce concept consiste, comme son nom l’indique, à
fabriquer ou approvisionner des produits juste à
temps, c’est-à-dire ni trop tôt (immobilisations
financières), ni trop tard (insatisfaction des clients ou
pénalités pour retard).

C’est la caractéristique de la production JUSTE À TEMPS


(JAT ou JIT : Just In Time) qui est actuellement une des
conditions d’une bonne gestion de production.
8
Tout responsable de production intégrait, pour
avoir l’assurance de satisfaire les commandes, un
taux de rebut dans les quantités de produits à
fabriquer. Il en fabriquait donc plus que nécessaire,
ce qui se traduisait toujours par une augmentation
des coûts et souvent une augmentation des stocks.

Il devient donc nécessaire d’améliorer la qualité de


l’outil de production pour ne fabriquer que les
quantités explicitement demandées.
9
Afin d’acquérir un avantage concurrentiel sur le
marché, la recherche d’un coût de production le plus faible
possible est le souci permanent de tout responsable
d’entreprise.
De plus, lors de la négociation d’un marché,
l’entreprise s’engage, vis-à-vis du client, à fournir une
prestation, ou un produit, pour un prix donné. Elle doit
donc, en permanence, veiller à ce que ses coûts ne soient
pas prohibitifs par rapport à ses engagements financiers si
elle souhaite dégager des bénéfices.

10
 La qualité d’un produit peut être envisagée sous deux aspects :

◦ La qualité liée à la conception du produit. Celle-ci, fixée par le


bureau d’étude, doit être le reflet du vrai besoin de client. Elle
entrera, pour une part non négligeable dans la détermination du
prix du produit.

◦ La qualité liée à l’élaboration du produit. Une démarche « Qualité


» dans une entreprise peut lui faire obtenir des gains substantiels
en évitant de prendre en compte, le taux de rebut.

11
 Comme pour les quantités, les habitudes des responsables
de production sont d’essayer d’atteindre le maximum de
production sur chaque machine. Actuellement, il est très facile
de démontrer que cette démarche est mauvaise.

 Cette optimisation ne signifie donc pas « réaliser le maximum


de pièces sur les différentes ressources de l’entreprise », mais
consiste à réguler le rythme de la production afin de minimiser
les temps improductifs et d’éviter les mauvaises utilisations
des ressources en améliorant la rentabilité.

12
 le principal objectif d’un chef d’entreprise
est, avant tout, d’avoir une entreprise saine
qui dure dans le temps.

 L’autre préoccupation principale du chef d’entreprise


est le développement de son outil de production. Pour
cela, il doit gagner des parts du marché ce qui lui
impose d’être plus performant que ses concurrents.

13
 Pour assurer cette pérennité et ce

développement, l’entreprise doit devenir plus

compétitive, c’est-à-dire proposer, plus

rapidement aux consommateurs, des produits

moins chers répondants à leurs besoins.

14
1- Rappels comptables
Toute entreprise est soumise, par la loi, aux
règles de la comptabilité publique. La comptabilité
générale a pour objet de décrire la situation et
l’évolution du patrimoine de l’entreprise.
Obligatoire dans son principe et dans sa forme, elle
aboutit à la production de résultats globaux annuels
présentés dans deux documents principaux : le «
bilan » et le « compte de résultat

15
 C’est la situation, à une date précise (fin de l’exercice

comptable), des emplois et des ressources de

l’entreprise appelés respectivement l’actif et le passif.

 Le bilan ne représente que la photo instantanée des

différents comptes de l’entreprise qui n’est pas

analysée de la même façon suivant que l’on fait partie

du personnel, que l’on soit juriste, économiste ou

banquier.
16
 Sur le plan juridique, l’actif représente les biens de l’entreprise et

le passif, les dettes.

◦ Du point de vue économique, le passif représente l’origine des

ressources de l’entreprise et l’actif indique comment celles-ci

sont employées.

 Le banquier vérifiera, à la lecture du bilan, l’équilibre financier et

l’équilibre de la trésorerie de l’entreprise avant d’honorer toute

demande de prêts ou d’avance de fonds.

17
 Le fonctionnement de l’entreprise entraîne des achats de
matériels, des dépenses de fonctionnement (salaires, charges) et
réalise des ventes de produits. Le compte de résultat sert à
constater, regrouper et cumuler les consommations et les
productions d’une période qui correspond généralement à
l’exercice comptable.
 Le compte de résultat peut être considéré également comme un
outil de gestion. En effet, il s’avère être un excellent tableau de
bord pour le chef d’entreprise en lui permettant d’analyser
régulièrement les tendances financières de son affaire.

18
Tout chef d’entreprise souhaitant développer son
système de production est amené à agir dans plusieurs
directions. Il cherchera en permanence à :

a) Minimiser les risques de l’entreprise


b) Optimiser les stocks
c) Diminuer le poids des en-cours
d) Diminuer le coût de revient des produits
e) Diminuer les délais

19
a) Minimiser les risques de l’entreprise

Les risques de l’entreprise se traduisent toujours par

des problèmes financiers. Il est courant d’entendre, lors de

la cessation d’activité d’une entreprise : « Il y a eu de

grosses erreurs de gestion ».

20
 En étudiant le bilan comptable, nous pouvons remarquer que

certains postes financiers, que ce soit des postes d’emplois ou

des postes de ressources, évoluent plus rapidement que

d’autres. C’est ainsi que l’on peut remarquer :

◦ une variation relativement lente des postes « Immobilisations

», « Capitaux » et « Dettes à long terme »

◦ une variation rapide des postes « Stock », « Liquidités » et «

Dettes à court terme ».

21
b) Optimiser les stocks
Plusieurs raisons peuvent conduire les responsables

d’entreprise à revoir leur politique de stock. En effet, bon

nombre de personnes (médias, sociétés de conseil…) font

la promotion du « STOCK ZÉRO ». Il est judicieux de

trouver l’optimum du stock à posséder. Pour cela, il est

nécessaire d’analyser les avantages et les inconvénients

relatifs à un stock nul.

22
 Avantages d’un stock nul : une politique de stock nul permet

de dégager l’argent immobilisé


de libérer l’espace utilisé, induisant immédiatement une réduction
des charges
de minimiser le coût des primes d’assurance ;
de diminuer les risques de détérioration lors des manutentions ou
par dépassement de la date de péremption
de diminuer les risques de vol ;
de diminuer les risques d’obsolescence ;
de mettre en évidence les dysfonctionnements de l’entreprise (ceci
est un avantage à condition d’y remédier rapidement sinon cela
devient vite un inconvénient).
23
 Inconvénients d’un stock nul : une politique de stock nul
nécessite par contre

de prévoir les achats

d’avoir des délais de livraison fiables et faibles (ou nuls)

de ne pas pouvoir satisfaire immédiatement une

demande aléatoire

d’augmenter la vulnérabilité de l’entreprise en cas de

problèmes de transport (intempéries, grèves…).


24
 Pour fabriquer un produit, l’entreprise est obligée
d’engager des dépenses correspondant à des
achats matière et des frais de transformation
(salaires, frais de fonctionnement, charges…). Tant
que le produit n’est pas vendu, ou plus exactement
payé par le client, l’entreprise est obligée de faire
une avance de trésorerie.

25
 Nous définirons donc l’EN-COURS de production
comme l’ensemble des dépenses relatives à des
fabrications non encore payées et non
enregistrées en stock :

En-cours = Coûts matière + Salaires + Frais de fonctionnement

26
 Nous pouvons facilement comprendre que plus la
durée de fabrication est longue plus le poids des en-
cours est important pour une entreprise.
 Diminuer les en-cours revient donc à diminuer :
◦ le coût des matières
◦ le poids des salaires. Partant du principe de ne pas baisser les
salaires mensuels des employés, cela revient à diminuer la part
des salaires affectés directement à la fabrication des produits.
Pour se faire, il est nécessaire d’augmenter la productivité
◦ les frais de fonctionnement.

27
 Dans une économie de croissance, ou en position de

monopole, les entreprises se contentent de produire,

sans se soucier particulièrement du coût des

produits, et d’appliquer une marge bénéficiaire qui

leur assure une bonne croissance. Ces entreprises

appliquent, dans ce cas, la formule :

Prix de vente = Coût de revient + Marge

28
 En économie de marché, l’effet de la concurrence change les
données du problème. En effet, le prix de vente n’est plus
déterminé par l’entreprise mais il est fixé par la loi du marché.
Les entreprises doivent alors résoudre l’équation suivante :

Marge = Prix du marché – Coût de revient

 L’entreprise n’a, actuellement, pas d’autre issue que de


chercher à baisser les coûts de revient de ses produits pour :
• soit augmenter sa marge afin de pouvoir réinvestir ou distribuer des
dividendes
• soit faire varier le prix de vente du marché, se donnant du même
coup, un avantage concurrentiel.

29
 Pour les délais, le raisonnement est identique à
celui des prix de revient. En effet, auparavant, les
entreprises fixaient leurs délais commerciaux en
s’accordant un délai de sécurité en plus de leurs
délais de fabrication :

Délai commercial = Délai de fabrication + Marge

 Actuellement, le délai commercial, devenu


paramètre de compétitivité de l’entreprise, est fixé
par la loi du marché. L’entreprise est donc
conduite à raisonner de la manière suivante :
Marge = Délai commercial – Délai de fabrication
30
Conclusion
 La gestion de production sera alors l’outil qui permettra
d’aider l’ensemble du personnel manipulant un grand
nombre d’informations à variation rapide dans son travail
quotidien.
 La gestion de production sera alors un outil d’aide à la
gestion des stocks.
 La gestion de production sera alors un outil de maîtrise et
de pilotage des flux de production.
 La gestion de production sera alors un outil de maîtrise
des coûts.
 La gestion de production sera alors un outil de maîtrise
des temps et d’aide à la diminution des délais. 31
 Quand on parle de gestion de production dans les

entreprises, on fait constamment référence à des

notions de flux : implantation en flux, flux

poussés, flux tirés, flux tendus, flux logistiques...

 La notion de flux est synonyme de mouvement, de

circulation, d’évolution, de rapidité et donc

d’efficacité.
32
En gestion de production, on s’intéresse plus particulièrement aux :

 Flux physiques : approvisionnement, entrée et circulation des


matières premières, des composants, des pièces de rechange,
des sous-ensembles ; circulation, sortie et distribution des
produits finis.

 Flux d’information : suivi des commandes, des ordres de


fabrication, suivi des données techniques, suivi des heures de
main d’ oeuvre, des heures machines, des consommations de
matières, des rebuts...

33
La préoccupation majeure de la gestion de
production étant la satisfaction des clients, celle-ci
se doit de chercher à maîtriser ses flux. Pour cela,
elle doit :

1- Simplifier les flux physiques en supprimant les


opérations non génératrices de valeur vendable au
sens valeur utile pour le client (par réimplantation
des moyens de production).

34
2- Fluidifier et accélérer les flux physiques en évitant:

◦ les pannes machines

◦ en diminuant les temps de changements de série

◦ en améliorant la qualité des pièces

◦ en développant tant la polyvalence des hommes

◦ en développant le partenariat avec les fournisseurs et les

distributeurs

◦ en maîtrisant les flux de transports externes des produits…

35
3- Créer un système d’informations de gestion de
production cohérent et pertinent par un dialogue
et une mise au point pour connaître et répondre
aux besoins et aux attentes de chacun.

 Maîtriser ses flux physiques et informationnels


est, pour une entreprise, l’un des challenges
déterminants des années 2000.

36
En règle générale, chaque société possède des
fournisseurs, des clients et apporte une valeur
ajoutée à son produit. La valeur ajoutée est le
moteur économique de la société, car elle
permet:

 La fourniture de produits utiles aux clients


 la création de richesses économiques

37
 la distribution de ces richesses au personnel
(salaires, intéressement aux résultats), aux
fournisseurs (achats), aux collectivités (locales,
régionales ou État, sous forme d’impôts, de
taxes) et aux actionnaires (dividendes) ;
 le financement du futur de l’entreprise
(investissements, recherches et
développements...) et la possibilité de faire face à
des aléas conjoncturels extérieurs politiques ou
économiques (comme un krach boursier).
38
Quels que soient le système politique et les

opinions de chacun, la quête de la pérennité

condamne l’entreprise à rechercher un niveau de

rentabilité suffisant, compte tenu à la fois de la

compétitivité internationale de plus en plus

agressive et des exigences croissantes du client.

39
 Au lieu de considérer la relation classique :

Coût de revient + marge bénéficiaire = prix de vente

 Il est préférable de s’appuyer sur la relation suivante :

Prix de vente – coût de revient = marge bénéficiaire


 Voire :
Prix de vente – marge souhaitée = coût de revient cible
40
 L’entreprise a une marge de manoeuvre très limitée au
niveau de la fixation de son prix de vente produit, celui-
ci étant quasi imposé par le marché. Par ailleurs, si
l’entreprise veut assurer sa pérennité, elle doit réaliser
une certaine marge sur le produit pour pouvoir assurer
ses investissements futurs, son développement.
 Cela signifie donc que si l’entreprise veut continuer à
exister elle doit supporter un coût de revient au
maximum égal au coût de revient cible. Si ce n’est pas le
cas, elle se doit de réfléchir à toutes les améliorations
qu’elle peut réaliser pour rester dans l’enveloppe définie
par le coût de revient cible.
 Toutes les améliorations, c’est-à-dire tout ce qui est
possible à tous les niveaux : conception,
industrialisation, approvisionnements, distribution,
production, logistique, qualité…
41
 On montre que l’aspect financier est un problème à
deux dimensions. En effet, les moyens financiers
dépendent de :
◦ la quantité des moyens mis en place pour assurer la
production (investissements, fonds de roulement)
◦ la durée du cycle de fabrication et d’utilisation des
moyens (facteur temps).
 Nous schématiserons ainsi le flux financier de
l’entreprise :

42
43
 La gestion de production va agir sur ces deux paramètres par :
◦ la diminution des stocks et en-cours, par différents moyens
(fiabilisation de la demande et des approvisionnements, recherche
d’une meilleure fiabilité des moyens de production,
responsabilisation des personnes...) et différentes méthodes de
gestion (MRP, Kanban...) ;
◦ l’enchaînement des opérations par une meilleure implantation des
moyens de production et un meilleur ordonnancement-
lancement- suivi de production...
◦ la diminution des tailles de lots de fabrication et des temps de
changement de séries ;
◦ l’amélioration de la chaîne logistique qui part des fournisseurs
pour aller jusqu’à la livraison aux clients.
44
 Afin de réduire la surface quantité multipliée
par durée, il est souhaitable de ne
commander les produits nécessaires qu’au
moment où on en a besoin :

45
 En relation avec les diverses fonctions de
l’entreprise, la gestion de production se trouve
fréquemment confrontée à des objectifs
contradictoires.
 Prenons, par exemple, les contraintes liées à
l’interface fonction commerciale-fonction de
production.

46
Contraintes au niveau du temps
 service commercial : les délais doivent
être les plus courts possibles ;
 service fabrication : il faut du temps pour
fabriquer des produits fortement
différenciés, il faut du temps pour
fabriquer des produits de qualité.

47
Contraintes de qualité

 service commercial : un produit est plus facile

à vendre s’il est de bonne qualité ;

 service fabrication : un produit de qualité est

plus difficile à obtenir.

48
Contraintes de prix
 service commercial : un produit est plus facile à vendre si son
prix est faible ;
 service fabrication : les contraintes de coût sont toujours
difficiles à tenir.

Située au carrefour d’objectifs contradictoires, la gestion de


production est une fonction transversale, c’est-à-dire qu’elle est
en relation avec la plupart des autres fonctions et la majeure
partie des systèmes d’information de l’entreprise. Aussi la
gestion de production doit être parfaitement intégrée dans le
système informationnel de l’entreprise.
49
50
 Quel que soit son secteur d’activité (mécanique,
plastique, alimentaire, bois...), l’entreprise a besoin
d’une gestion de production résolument moderne et
efficace qui se traduit tant par la mise en œuvre de
nouveaux principes de gestion de production,
l’implication, la formation des acteurs de l’entreprise
que par la mise en œuvre de technologies. En essayant
de hiérarchiser la démarche d’évolution de la gestion
de production, on peut dire que l’on doit :

1- se fixer une stratégie d’excellence industrielle


2- en déduire les principes de gestion (tension des flux,
qualité totale, planification)
3- définir les méthodes appropriées (MRP2, Kanban...)
4- définir les outils appropriés (SMED, ...).
51
 Ces quatre axes de travail doivent découler les
uns des autres et être cohérents entre eux, ce
qui n’est pas simple à réaliser. Ils doivent par
ailleurs s’intégrer dans la stratégie globale de
l’entreprise qui impose généralement, avant
tout, la satisfaction des clients, clients
intermédiaires et client final. Cela se traduit par :
 de bons produits,
 une bonne organisation de la production,
 un bon système de fabrication,
 une bonne gestion,
 une bonne fonction commerciale.

52

You might also like