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DEVOIR LIBRE N° 1

on veillera à une présentation et une rédaction claires et soignées des copies. Il convient en particulier de
rappeler avec précision les références abordées.
Si, au cours de l’épreuve, un(e) élève repère ce qui lui semble être une erreur d’énoncé, il(elle) le (la) signale
sur sa copie et poursuit sa composition en indiquant clairement les raisons des initiatives qu’il est amené à
prendre

L’épreuve est constituée de 9 pages. Il est constitué de 4 problèmes indépendants.

Durée : 4 h
Devoir Libre A.HMAIRROU

I Modélisation d’un résonateur à Quartz(Mines 2004)


Le quartz est une forme particulière de cristal de silice . Il présente des propriétés physiques très intéressantes :
la piézo-électricité. Quand on comprime un morceau de quartz dans une direction particulière, une tension apparait
aux bornes du cristal (c(est l’effet piézo-électrique)).Réciproquement, quand on applique une tension aux bornes
d’un quartz, ce dernier se déforme proportionnellement à la tension appliquée (c’est l’effet piézo-électrique inverse).
Ainsi, le quartz est très intéressant pour l’électronique car on parvient à réaliser des circuits oscillants, à base de
résonateur à quartz, très stables dans le temps, Actuellement, le quartz est remplacé par certaines céramiques
piézo-électriques.
1) Modélisation d’un résonateur à quartz : Modèle mécanique et électrique
Un cristal de quartz est taillé sous forme de pastille cylindrique mince. La base circulaire présente un diamètre
d = 1 cm et l’épaisseur de la pastille est e = 0, 2 mm. Des électrodes métalliques (en or généralement) sont dépo-
sées sur chacune des faces circulaires du quartz (on suppose que ces faces sont totalement métallisées ) (figure 1).
On parle d’électrodes de connexion. On a ainsi réalisé un condensateur plan.

−q +q

A• •B

U (t)
F IGURE 1 – Schéma d’un quartz alimenté par une tension U (t).

De point de vue mécanique, lorsque l’on soumet le disque piézo-électrique à une tension U (t) = Um cos(ωt), il va
être, dans le cadre d’une approximation linéaire, le siège d’une vibration mécanique sinusoïdale sous l’effet d’une
force extérieure proportionnelle à cette tension.
Modélisation proposée :
Un élément de masse m du corps piézo-électrique, placé à une distance x de son point de repos, est soumis aux
forces suivantes, toutes orientées selon un axe (Ox) que l’on ne précise pas ici :
• Une force de rappel de type élastique −kx (k > 0) qui a pour origine la rigidité du matériau,
• des frottements supposés proportionnels à la vitesse et de la forme −hẋ (h > 0) ;
• Une force due à l’effet piézo-électrique βU (t) (β > 0) ;
• le poids est négligé.
Q - 1. En appliquant le principe fondamental de la dynamique au petit élément de masse m dans le référentiel du
laboratoire supposé galiléen, établir l’équation différentielle vérifiée par x(t) en supposant que le mouvement
se fasse selon l’axe (Ox).
De point de vue électrique, la charge totale apparaissant sur les électrodes planes a deux origines :
• Les deux faces planes du disque forment un condensateur de capacité Cp , d’où une charge q1 (t) ;
• l’effet piézo-électrique provoque l’apparition d’une charge q2 proportionnelle à x : q2 (t) = γx(t)
ε0 εr S
Q - 2. On montre que la capacité d’un condensateur plan vaut Cp = où S est la surface d’une électrode,
e
e l’épaisseur du condensateur, ε0 la permittivité du vide (sa valeur est ε0 = 8, 85 × 10−12 F.m−1 ) et εr , une
constante valant pour le quartz 2, 3.

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Q - 2.1. Estimer alors la capacité Cp appelée capacité de connexion.


Q - 2.2. Quelle est la relation entre la charge q1 , la capacité Cp et la tension U (t) ?
Q - 3. En reprenant l’équation différentielle obtenue pour x(t), écrire l’équation différentielle vérifiée par la charge
q2 (t).
Q - 4. Considérons le circuit représenté sur la figure 2

R q2 −q2 L

Cs

U (t)

F IGURE 2 – Circuit R, L, Cs série.

Montrer que la charge q2 (t) est équivalente à la charge d’un condensateur de capacité Cs dans le circuit série
R, L, Cs dont la tension aux bornes est U (t). On donnera alors les expressions de R, L, Cs en fonction de m,
h, β, γ et k.

2) Étude de l’impédance équivalente du quartz


Dans cette partie, on néglige la résistance R du quartz. Le schéma électrique simplifié est alors donné sur la figure
3.
Pour les applications numériques, on prendra L = 500 mH, Cs = 0, 08 pF et Cp = 8 pF.

Cp

A• •B
Cs L

F IGURE 3 – Modèle électrique d’un quartz

On se placera toujours en régime sinusoïdal forcé (les grandeurs dépendront de la pulsation ω).
Q - 5. Calculer alors l’impédance complexe du quartz,  vue entre
 les bornes A et B. On l’écrira sous la forme
j 1 − ω 2 /ωr2
Z AB = − (1)
αω 1 − ω 2 /ωa2
où j est le nombre imaginaire pur tel que j 2 = −1. On donnera, en fonction de L, Cp et Cs les expressions de
α, ωa2 et ωr2 . Montrer aussi que ωa2 > ωr2 .
On pourra admettre les résultats de cette question pour poursuivre la résolution du problème.
Q - 6. Donner les valeurs numérique des fréquences fa et fr correspondant respectivement aux pulsations ωa et ωr .
Q - 7. Étudier le comportement inductif ou capacitif du quartz en fonction de la fréquence. On rappelle qu’un dipole
a un comportement inductif (respectivement capacitif) si la partie imaginaire de son impédance est positive
(respectivement négative).
Q - 8. Tracer l’allure de ZAB = |Z AB |

3) Étude expérimentale de la résonance d’un quartz


On veut tracer expérimentalement la courbe donnant l’impédance d’un quartz en fonction de la fréquence d’excitation.
On dispose d’un générateur basses fréquences pouvant délivrer une tension sinusoïdale d’amplitude réglable. Le
GBF possède une résistance interne Rg . On dispose d’une résistance Rv variable, d’un quartz et d’un oscilloscope.
On réalise le montage de la figure 4 suivante

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voie A voie B
A B
• •

Rg
UE Rv Us

GBF

F IGURE 4 – Montage expérimental pour l’étude de la résonance du quartz

Us
Q - 9. Calculer le rapport de la tension de sortie U s , à celle d’entrée U E : H = en fonction de Rv et de Z AB .
UE
Q - 10. On choisit, pour chaque fréquence, la résistance Rv de telle façon que |H| = 1/2. Que vaut alors le module
de l’impédance du quartz en fonction de Rv ?
Q - 11. Dans cette question, on tient compte de la résistance du quartz. Autour du pic de résonance d’intensité
situé vers 796 kHz, on mesure une bande passante de 50 Hz. Quelle est la valeur numérique du facteur de
qualité Q du quartz défini comme le rapport de la largeur de la bande passante à la fréquence de résonance ?
Lω0
Commenter cette valeur. En supposant que le facteur de qualité soit donné par la relation Q = (ω0 étant
R
la pulsation de résonance), estimer la valeur de la résistance R du quartz.

II Aspects communications(CCP 2019 (PSI))


1) Communications radio, modulation d’amplitude
La modulation d’amplitude MA (AM en anglais) est une technique de modulation d’un signal. On considère ici un
signal informatif, sinusoïdal de pulsation ω0 , modulé en amplitude par une onde porteuse de pulsation ωp , avec
ω0  ωp .
Ce signal modulé évolue au cours du temps selon l’expression
u(t) = U [1 + m cos(ω0 t)] cos(ωp t) (2)
où m est le taux de modulation. Son allure est représentée sur la figure 5.

4
signal modulé u(t) en Volt

0.000 0.002 0.004 0.006 0.008 0.010 0.012


Temps en seconde
F IGURE 5 – Allure du signal u(t)

ω0 ω0
Q - 12. Déterminer les valeurs numériques du taux de modulation m et des fréquences f0 = et fp = ,
2π 2π
utilisées pour tracer l’allure du signal u(t) représentée sur la figure 5. (En pratique, le décalage entre ces deux
fréquences est plus important !).
On s’intéresse maintenant à l’opération de démodulation qui permet de retrouver le signal informatif sinf (t).

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a) Démodulation par détection synchrone


On suppose ici qu’on dispose, au niveau du récepteur, de l’onde porteuse qui a pour expression :
ep (t) = Ep cos(ωp t) (3)
On envoie l’onde porteuse et le signal modulé dans un multiplieur, comme indiqué sur la figure 6.

u(t)
sm (t)
Multiplieur
ep (t)

F IGURE 6 – Multiplication de l’onde porteuse et signal modulé

Le multiplieur fournit en sortie la tension : sm (t) = k.u(t).ep (t), où k est une constante dimensionnée.

Q - 13. Préciser l’unité de k et donner simplement la valeur numérique de la constante k pour le multiplieur que vous
avez dû utiliser en Travaux Pratiques.

Q - 14. . Déterminer l’expression du signal sm (t) délivré en sortie du multiplieur et représenter son spectre. On
supposera 0 < m < 1 pour le tracé du spectre.

Q - 15. Indiquer quelle(s) opération(s) de traitement du signal est (sont) encore nécessaire(s) pour retrouver le signal
informatif sinf (t).

2) Communications radio, modulation de fréquence


(C) On peut réaliser une modulation de fréquence MF (FM en anglais) suivant le schéma d’Armstrong (figure 7) qui
utilise un montage intégrateur, un réseau déphaseur, un multiplieur et un soustracteur.

Vint(t)
V1(t) Intégrateur (R,C) Multiplieur Vm(t)

Vs(t)
Soustracteur
V2(t) Déphaseur Vd(t)

F IGURE 7 – Modulateur d’Armstrong

Dans toute la suite, les Amplificateurs Linéaires Intégrés (ALI) sont supposés idéaux de gain infini et fonctionnent en
régime linéaire.
Le multiplieur fournit en sortie la tension : Vm (t) = k.Vint (t).V2 (t).
Le déphaseur est réglé pour provoquer un retard de phase de π/2 de la tension Vd (t) par rapport à la tension V2 (t).
On suppose qu’à t = 0, Vint (0) = 0. On impose par ailleurs, à l’entrée de l’ensemble, les deux tensions : V1 (t) =
V1m cos(ω1 t) et V2 (t) = V2m cos(ω2 t) avec : ω2  ω1 .
a) Étude du soustracteur
On considère le montage de la figure 8.

R2

R1 ∞

ε
R3
+
Vm Vs
Vd R4

F IGURE 8 – Montage du soustracteur

Q - 16. Quelle considération de câblage permet de considérer ce montage comme potentiellement stable ?

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Q - 17. Déterminer l’expression liant les différentes résistances R1 , R2 , R3 , R4 et les tensions Vm (t), Vd (t) et Vs (t).
Donner une condition simple entre R1 , R2 , R3 et R4 pour que Vs = Vd (t) − Vm (t).
On considèrera par la suite cette relation vérifiée.

b) Étude de l’intégrateur
L’intégrateur est réalisé à partir d’un ALI, d’un condensateur de capacité C et d’une résistance R.
Q - 18. Proposer un schéma du montage intégrateur et préciser la relation théorique qui lie V1 (t), Vint (t), R et C.
c) Étude du montage global
Q - 19. Montrer que la tension à la sortie du modulateur
q d’Armstrong peut se mettre sous la forme :
Vs (t) = V2m 1 + ε2 sin2 (ω1 t) sin (ω2 t + ϕ(t)) (4)
Préciser les expressions de ε et de tan(ϕ(t)) en fonction de k, V1m , R, C, ω1 et de t.
Q - 20. Lorsque ε et ϕ(t) sont petits devant 1, la tension de sortie peut se mettre sous la forme
Vs (t) = V2m sin (ω2 t + m sin(ω1 t)) = V2m sin(Ψ(t)) (5)
où ω2 est la pulsation élevée de la porteuse, m le taux de modulation de pulsation modulante ω1 et Ψ(t) la
phase instantanée. Préciser l’expression de m en fonction de k, V1m , R, C et ω1 .
dΨ(t)
Q - 21. On appelle pulsation instantanée du signal Vs (t) la grandeur : Ω(t) = . Établir la relation liant Ω(t), ω2 ,
dt
k, R, C et V1 (t). Justifier le nom de modulation de fréquence associé à ce traitement du signal.

III — Détermination expérimentale de la conductivité électrique du cuivre


(Mines (2020-MP))
Dans cette partie, on cherche à mettre en place un protocole expérimental permettant de déterminer la conductivité
électrique du cuivre et à exploiter un résultat de mesure. Pour ce faire, on dispose d’un fil de cuivre de longueur 10, 0
mètres, de section circulaire de diamètre 2, 0 mm, recouvert d’une résine isolante, que l’on enroule grossièrement
pour réduire l’encombrement (on néglige toute déformation due à l’enroulement). Ce fil est plongé dans un bain
thermostaté, muni d’un agitateur, pour maintenir sa température au voisinage de 20 ◦ C. On commence par connecter
le fil aux bornes d’un ohmmètre dont un extrait de la notice est fourni dans la table de la figure 9. On se place sur le
calibre le mieux adapté. L’ohmmètre affiche 0, 1 Ω.

F IGURE 9 – Tableau extrait de la notice de l’Ohmmètre utilisé.

Q - 22. Quel calibre est le mieux adapté pour cette mesure (on justifiera ce choix) ? Quelle incertitude doit-on asso-
cier ‘a la valeur a !ch´ee ? Commenter.
On cherche à déterminer la résistance électrique du fil à l’aide d’un autre montage, exploitant la loi d’Ohm, un géné-
rateur de courant continu pouvant délivrer quelques ampères sous quelques volts, un voltmètre et un ampèremètre,
dont les notices indiquent :

F IGURE 10 – Tableau extrait de la notice de l’ampèremètre.

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F IGURE 11 – Tableau extrait de la notice du voltmètre.

Pour mesurer une résistance à l’aide d’un voltmètre et d’un ampèremètre, deux montages sont possibles et repré-
sentés sur la figure 12.

U1 U2

V V
I1 I2
A R A R

Montage 1 Montage 2

F IGURE 12 – Mesure d’une résistance

Q - 23. En notant respectivement RA et RV les résistances internes de l’ampèremètre et du voltmètre, évaluer pour
|Ri − R|
chacun de ces montages l’erreur systématique ε =
R

Ui
où Ri =
Ii

représente la résistance mesurée dans chacun des montages i = 1 ou i = 2. Représenter sur un même graphe
les variations de cette erreur relative en fonction de R. Justifier que, dans cette expérience, seul l’un des deux
montages est pertinent.
Avec le montage adapté, pour une intensité lue à l’ampèremètre de 5, 23 A, le voltmètre affiche 287, 5 mV (à
chaque fois, on se place sur le calibre le mieux adapté).

Q - 24. Estimer (avec un chiffre significatif) la résistance électrique du fil. Comparer (de manière chiffrée) la précision
de cette seconde méthode de mesure à celle de la question Q-22. Comment procéder pour améliorer encore
la qualité de cette seconde mesure ?

Q - 25. Déduire de la question précédente une estimation de la conductivité électrique du cuivre.

IV Étude d’un filtre sélectif

1) Étude du filtre
On étudie le montage de la figure 13

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2R1
C1

C1
. ∞

R1 +

R2
e(t) s(t)

F IGURE 13 – Filtre

L’amplificateur est idéal et fonctionne en régime linéaire. On impose à l’entrée une tension sinusoïdale e(t) de pulsa-
tion ω On étudie la fonction de transfert du montage H = s/e

Q - 26. Pourquoi se contente-t-on d’étudier le transfert d’une grandeur sinusoïdale ?.

Q - 27. Faire une étude qualitative, et déterminer la nature du Filtre.

Q - 28. Déterminer l’expression de la fonction de transfert.

Q - 29. Écrire H(ω) sous la forme canonique pour un filtre du second ordre. Donner l’expression du facteur de qualité
Q et de la fréquence propre f0 du filtre en fonction des grandeurs du montage R1 , R2 et C1

Q - 30. Calculer les valeurs à donner à R2 et C1 sachant que R1 = 10, 0 kΩ pour avoir f0 = 3, 0 kHz , le facteur de
qualité étant Q = 20

Q - 31. Montrer que le gain passe par un maximum pour une valeur de fréquence que l’on précisera.

Q - 32. Déterminer l’équation des asymptotes dans le diagramme de Bode en gain et tracer ce diagramme.

Q - 33. Calculer les fréquences de coupure à −3 dB et déterminer la bande passante ( expression littérale puis
valeur numérique ).

2) Utilisation du filtre
On envoie sur le filtre étudié dans la section précédant une tension triangulaire variant entre 0 et E = 10 V , de

période T et de pulsation ω = donné par la figure 14
T

e(t)

F IGURE 14 – signal triangulaire

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Q - 34. Montrer que le signal e(t) peut s’écrire sous la forme suivante
4E X cos [(2p + 1)ω]

E
e(t) = + 2 (6)
2 π p=0 (2p + 1)2

Q - 35. On choisit pour le signal d’entrée une fréquence f = 3 kHz. Déterminer le signal à la sortie du filtre. L’allure
du signal s(t) est donnée par la figure 15.

Représentation temporelle de s(t) Spectre du signal d'entrée


5
4
4
2
3
s(t) (V)

Cs
2
2
1
4
0
0.0 0.5 1.0 1.5 2.0 2.5 3.0 0 5 10 15 20
t(ms) f (kHz)
F IGURE 15 – Allure du signal de sortie dans le cas où f = 3 kHz.

Déterminer l’expression du signal de sortie s(t). Interpréter ?

Q - 36. On fait varier le signal de l’entrée en choisissant f = 30 kHz. En utilisant le comportement intégrateur ou
dérivateur du filtre, interpréter la forme du signal de sortie et calculer son amplitude crête à crête. L’allure du
signal s(t) est donnée par la figure 16.

Représentation temporelle de s(t) Spectre du signal d'entrée


0.04 0.5

0.02 0.4
0.3
s(t) (V)

0.00
Cs

0.2
0.02 0.1
0.04 0.0
0.0 0.2 0.4 0.6 0.8 1.0 0 5 10 15 20
t(ms) f (kHz)
F IGURE 16 – Allure du signal de sortie dans le cas où f = 30 kHz.

Q - 37. La fréquence du signal d’entrée est f = 100 Hz. L’allure du signal s(t) est donnée par la figure 17.

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Représentation temporelle de s(t) Spectre du signal d'entrée


0.02 0.30
0.25
0.01
0.20
s(t) (V)

0.00 0.15

Cs
0.10
0.01
0.05
0.02 0.00
0.0 0.1 0.2 0.3 0.4 0.5 0 5 10 15 20
t(ms) f (kHz)
F IGURE 17 – Allure du signal de sortie dans le cas où f = 100 Hz.

Quel est en théorie le comportement du filtre pour cette fréquence ? Que vaudrait alors le signal de sortie ? En
considérant l’équation différentielle du filtre, interpréter la forme du signal observé.

F F Fin de l’énoncé F F

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