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Paris est une fête

Wuxi

Si vous avez de la chance de vivre à Paris quand vous êtes jeune, alors
n'importe où vous irez après, Paris sera toujours avec vous, car Paris
est un festin mobile.
---Ernest Hemingway

Près de l’Attentats du 13 novembre


2015 en France, une citoyenne, a dit
d’une voix ému : "Il est très important
de donner des fleurs à notre défunts. U
ne autre chose importante est de lire le
livre 《Paris est une fête 》de Heming-
way ”

Dans ce livre d'Hemingway, les jardins,


les cafés, les librairies, les restaurants,
les bars et « les personnes réunissant à
Paris les plus intéressantes du monde» dans les années 1920 sont tous devant
nous. L'amour de Hemingway et de sa première épouse, Hadley dans le livre
ajoute une touche riche à cette ville renommée pour son romantisme .

Mais combien de lecteurs ont remarqué que même pour


Hemingway lui-même, dans les années 1950 quand il
écrivait  « Paris est une fête », Paris n'était pas même Pa-
ris il y a 30 ans.

Le photo de passeport de Hemingway en 1923

En novembre 1956, Ernest Hemingway est venu à Paris la


dernière fois de sa vie.Bien que le prix Nobel de littéra-
ture, a remporté il y a deux ans, a poussé l'écrivain amé-
ricain à l'apogée des honneurs, le voyage en Europe a ag-
gravé sa mauvaise santé, l'hypertension, les dommages du foie et l'artériosclé-
rose le torturant tout le temps . Juste au moment où il s'arrêtait à l'hôtel Ritz
et préparait à s'humecter son gosier , un ancien chasseur l'a reconnu et est
venu sa salle pour lui demander de prendre la boîte --il y a 28 ans, quand il
s’est préparé à déménager de Paris aux Etats-Unis avec sa deuxième épouse,
Hemingway a envoyé la boîte à la salle de bagage de l'hôtel de Ritz. Personne
n'a bougé la boîte depuis.

C'était une boîte remplie de notes et de manus-


crits. Hemingway était excité de revoir le temps
qu'il a passé à Paris presque tous les 1920. À son
retour à Cuba, il s'est mis à écrire son mémoire,
«Paris est une fête »
En 1924,Hemingway était à l'appartement de la RUE Notre-Dame des
Champs
Jusqu'au 2 juillet
1961, quand il s'est suicidé avec son fusil de chasse préféré, il a écrit et édité l
e mémoire pendant cinq ans, ce qui est la chose la plus douloureuse et heu-
reuse pour Hemingway. Malgré la maladie, les deux accidents d'avion, et lés
séquelles d'un incendie qui a continué à le torturer, les années folles , francs,
passionnées de Paris à l'âge de 20 ans le réchauffent, évoquant sa mémoire
complexe du premier mariage, en revanche fait sa vie dans les dernières an-
nées de sa vie encore plus terne .

Ces mémoires ont été officiellement publié jusqu'à la fin de 1964, trois ans
après la mort d’Hemingway.

Comme il a écrit  « Tel était le Paris de notre jeunesse au temps où nous


étions très pauvres et très heureux », cette oeuvre est en souvenir de sa jeu-
nesse et son amour, ces se sont tout
passés à Paris, ces étaient toujours ac-
compagnés avec Hemingway, donc Pa-
ris étais une fête mobile.

l'annonce du rue du Car-


dinal Lemoine 74

Le Paris qui a attaché Hemingway est


parti avec le vent et il n’est plus pos-
sible de revenir. Donc maintenant Paris
n’est pas une fête mobile pour nous?
Oui, le Paris des années de 1900-1930
très glorieuses de la littérature de et
l’art a passé, les années de la génération perdue de Hemingway ont passé, M
árquez, Picasso, Miró, Joyce, Stein, Pound, Hemingway n'étaient pas à Paris,
mais leurs mémoires ont été ajoutés à la histoire de cette ville avec notre story
et souvenir actuel, donc Paris est une fête mobile.

Chaque génération a ses mémoires spé-


ciales et seules, donc on aura raison de
croire quand nos enfants grandirent, leurs
mémoires vont ajouter la beauté de Paris,
donc Paris sera une fête mobile aussi.

Donc, Paris est vraiment une fête mobile et


toujours.
Hemingway avec une amie, écrivaine américaine étaient à Les Deux
Magots
(6 Place Saint-Germain des Prés)

Pour moi, Paris est comme une femme qui est seulement à sa volonté, elle va
franchir le corps de tout le monde, elle va
te faire souvenir d’elle, mais tu ne pour-
ras pas la bloquer.Que vous aimiez ou
que vous détestiez, elle ne s'en souciait
jamais.Elle peut supporter toutes les
louanges et satisfaire toute la
diffamation.

Hemingway avec Sylvia Beach (la


première propriétaire de Shake-
speare & Company)
37 Rue de la Bûcherie

Comme Hemingway a écrit dans la fin de


ce livre « Il n’y a jamais de fin à Paris et
le souvenir qu’en gardent tous ceux qui y ont vécu diffère d’une personne à
l’autre. Nous y sommes toujours revenus, et peu importait qui nous étions,
chaque fois, ou comment il avait
changé, ou avec quelles difficultés –
ou quelles commodités – nous pou-
vions nous y rendre. Paris valait tou-
jours la peine, et vous receviez tou-
jours quelque chose en retour de ce
que vous lui donniez… »

J'étais avant l'annonce de RUE du


Cardinal Lemoine 74

Paris ne finit jamais .Paris est tou-


jours une fête .

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