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- Dijon-

Slave Valentin
J'ai choisi Dijon parce que j'aime beaucoup
l'architecture de la ville, certaines maisons ont un
design absolument superbe et il y a des palais très
beaux et imposants, ce que j'aime aussi à Dijon c'est sa
situation car il y a beaucoup de paysages
Sursa: https://fr.wikipedia.org/wiki/Dijon
Dijon est une commune française, préfecture du département de la Côte-d'Or et chef-lieu
de la région Bourgogne-Franche-Comté. Elle se situe entre le bassin parisien et le bassin
rhodanien, sur l'axe Paris-Lyon-Méditerranée, à 310 kilomètres au sud-est de Paris et 190
kilomètres au nord de Lyon.

Ses habitants, appelés les Dijonnais, étaient au nombre de 156 920 en 2017. L'unité urbaine,
qui comptabilisait pour sa part 245 875 habitants, est la première agglomération de la région
en nombre d'habitants. La ville est au centre d'une intercommunalité, Dijon Métropole,
comprenant 23 communes et 253 638 habitants et d'une aire urbaine de 387 382 habitants.

Capitale historique du duché de Bourgogne, ville aux cent clochers sous l'Ancien Régime,
héritière d'un riche patrimoine historique et architectural, Dijon est une cité touristique dont
l'attrait est renforcé par la réputation gastronomique de la région. Le centre historique de la
ville est la seconde composante des climats du vignoble de Bourgogne, inscrits depuis le 4 juillet
2015 au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Ville de congrès, la capitale bourguignonne est aussi une ville verte au secteur tertiaire
important, ainsi qu'un centre économique régional au tissu diversifié, avec un pôle
agroalimentaire traditionnel (moutarde de Dijon, crème de cassis de Dijon et kir, pain d'épices,
chocolat Lanvin…) et un secteur pharmaceutique réputé.

Localisation
Dijon est la préfecture de la région de Bourgogne-Franche-Comté, et du département de la
Côte-d'Or. La commune se situe à l'extrémité nord de la Côte des vins de Bourgogne aussi
nommée « Route des Grands Crus » et qui s'étend de Dijon à Beaune pour sa partie côte-
d'orienne.

La capitale bourguignonne se situe au cœur d'une campagne composée de deux rivières


convergentes : le Suzon, qui la traverse du nord au sud, et l'Ouche, au sud de la ville ; au sud
s'étend la « côte » de vignobles qui a donné son nom au département. Elle se situe à 310
kilomètres au sud-est de Paris, 190 au nord-ouest de Genève et 190 au nord de Lyon.

Hydrographie
Dijon est traversée essentiellement par le canal de Bourgogne et deux cours d'eau naturels :
l'Ouche et le Suzon. Le premier court à l'air libre alors que le second emprunte une série de
canaux souterrains durant sa traversée de Dijon. Le ruisseau du Raines qui passe par le jardin
de l'Arquebuse se jette dans l'Ouche. L'agglomération dijonnaise reçoit environ 732 mm de
pluie par an, et ce pendant 164 jours en moyenne.

 L'Ouche venant du nord a un débit moyen de 10 à 20 m3/s pouvant dépasser les 100 m3/s
en période de crue. Il peut alors se produire des inondations, mais elles sont rares et
localisées. Un lac artificiel, le lac Kir, a été aménagé en 1964 sur son cours à l'entrée de
la ville. Deux autres plans d'eau, bien moins conséquents, existent dans l'agglomération :
l'étang royal, situé sur la commune de Longvic, et l'étang de la Leue, à Neuilly-les-Dijon,
tous deux à proximité immédiate du cours de l'Ouche.
 Le Suzon, seconde rivière importante, s'écoule du nord-ouest au sud-est de
l'agglomération. Son cours est totalement canalisé dans sa partie urbaine. Son débit à
l'entrée de Dijon atteint au maximum 20 à 30 m3/s.

La seule voie navigable de Dijon est le canal de Bourgogne qui relie la Saône et l'Yonne et n'est
plus guère utilisé que pour la plaisance.

L'hydrographie générale s'écoule en direction de la plaine alluviale de la Saône à l'est. Elle


comprend 527 kilomètres de canalisations. Les nappes phréatiques sont au nombre de trois : la
nappe alluviale de l'Ouche, la nappe alluviale de la Tille et la nappe de Dijon sud. Ce sont les
principales réserves d'alimentation en eau de Dijon Métropole. Elles sont relayées par quatre
réservoirs principaux d'une capacité totale de près de 95 000 m 3.

Voies de communication et transports

Au XVIIe siècle, au début du règne de Louis XIV, Dijon était relié à Paris par un coche
hebdomadaire, qui mettait entre sept et huit jours, selon la saison, à relier les deux villes. Plus
tard, plus que le canal de Bourgogne, au modeste gabarit, c'est le chemin de fer qui a provoqué
le développement industriel de Dijon. « La deuxième moitié du XIXe siècle va imposer Dijon
comme un carrefour ferroviaire de premier ordre », selon André Gamblin. Pendant la première
moitié du XXe siècle, le rôle de la route a grandi, en particulier celui de la qui s'affirme comme
un itinéraire international dès les années 1930, mais donne davantage d'importance à la ville de
Chalon-sur-Saône. Après la guerre, l'autoroute (l'A6) puis le TGV Paris-Lyon court-circuitent
Dijon et, selon les mots d'André Gamblin, « Dijon devient la ville des bretelles » Depuis les
années 1990, Dijon s'affirme à nouveau comme carrefour de communication. L'A31 passe
désormais par Dijon et l'A39 relie depuis 1994 la ville à Dole. Enfin, le tronçon est du TGV
Rhin-Rhône, connectant Dijon à l'Europe, est en service depuis le 11 décembre 2011

Morphologie urbaine
On distingue à Dijon un centre (ou « hypercentre ») historique, délimité par les boulevards de style «
haussmannien » reliant les six places principales (place Darcy, place Saint-Bernard, place de la République,
place du Trente-Octobre, place Wilson et place du Premier-Mai), et les autres quartiers de la ville. Seul le
centre est secteur sauvegardé.

Une deuxième ceinture de boulevards entoure la ville en reliant les quartiers périphériques, et les deux
ceintures de boulevards sont reliées par de grandes avenues, dont les allées du Parc ou l'avenue Victor-Hugo.

La ville de Dijon est l'une des premières en France à avoir fait de son centre-ville un secteur sauvegardé. La
politique décidée se traduit par une réhabilitation et une mise en valeur du centre-ville, avec le
développement des voies piétonnes, la protection des immeubles anciens, la restauration des monuments
historiques et bâtiments publics.

À partir du XIXe siècle, l'extension de la ville a été assez anarchique, se faisant par adjonction de lotissements
privés, sans coordination. La mairie se contente en 1884 de fixer à 12 mètres la largeur des rues nouvelles.

En définitive, les quartiers bien tracés sont rares, hormis celui des boulevards de la Fontaine des Suisses et de
la Défense, aménagé en 1882-1883 et celui du Parc des Sports bâti en 1932-1933. Un plan d'aménagement
est esquissé en 1890 mais il faut attendre les lois de 1929 et de 1924, relatives aux villes de plus de 10 000
habitants, pour que celui-ci débouche sur la création d'un Office public d'HBM devenu HLM en 1926. La cité-
jardin des Bourroches édifiée en 1935 en est une des réalisations.

Quartiers de la ville
La ville de Dijon est composée de neuf quartiers administratifs eux mêmes composés de quartiers
résidentiels, situés au centre-ville et à proximité du centre, de quartiers plus commerçants et de quartiers
périphériques constitués de lotissements de maisons individuelles et de grands ensembles collectifs (barres
d'immeubles en cours de rénovation). Les ZUP des Grésilles et de Fontaine-d'Ouche, ainsi que celles des
communes avoisinantes Chenôve, Quetigny et Longvic, sont actuellement redessinées. L'éco-quartier Junot,
ancienne base militaire, accueille aujourd'hui six cents nouveaux logements après une longue phase de
remodelage. Une dizaine d'autres écoquartiers, en cours de réalisation, sortiront de terre d'ici 2016.

Les zones d'activité


La plupart des zones économiques datent des années 1960. Depuis quelques années, Dijon Métropole a
décidé de programmer l’agrandissement ou la création de nouvelles « zones d'activité » dans l'agglomération
comme:

 L'Écoparc Dijon-Bourgogne regroupant sur 185 hectares entre Quetigny et Saint-Apollinaire des
entreprises industrielles et tertiaires.
 L'agrandissement de 80 hectares de la ZAE Beauregard destinée aux entreprises industrielles (135
hectares déjà existants) entre Longvic et Ouges, permettant de renouveler l'offre foncière du sud de
l'agglomération déjà composée de 122 hectares à Chenôve et 44 hectares à Marsannay-la-Côte.
 Le technopôle Mazen-Sully sur 8 hectares, destiné aux PME dans le domaine des biotechnologies et
de la santé et situé dans le quartier Université-Montmuzard.
 La ZAE Cap Nord, située dans le quartier des Grésilles

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