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{fondamentaux sont Partie Chimie A-Structure de la matiére (Higment i NO P az Tales 15 1. Les configurations électroniques des atomes azote, d’oxygéne et du phosphore dans leurs états § A B {e Sb N 0 P is2s3p is2s3p" | 1s2s3p3s4p | 1s282 Isas2d? | 1s'292d3s3p | ssp Is2s2p' | 1s2s2p3s3p | 1282p" 1s2d2p" | 1s'2s2p'3d3p | 2, La représentation de Lewis de lion nitrate NO; est: - I eee SO, Ny ET pT I TT 4. Léquation bilan de la réaction de dosage est : NH; + Hh0* = NHb+ 120 O © NH; + HO" = NHs+ #20 @ O NHy + yO" = NHj + 20 NH + HO" = NH; +120 5. La valeur de la constante d’équilibre K° de cette réaction est : 0,50 107 158107 | 058.10" a ar [La courbe obtenue a: =o (Vs +Vs) en fonction de Va est représentée sur la figure ci-dessous. On trace cette fonction afin d'obtenir des portions de droites et s'affranchir du phénoméne de dilution. ——— gi i? GUBY) 138 ob eg ‘ica cl ;, de l’ammoniae NHs 3, Selon la méthode VSEPR (de Gillespie), les géomeéiries de I'ion nitrate NO; de Jde Ia phosphine PH, sont Oe. 87] ~~ NEB Linéaire ie “oetabdre “Triangle plan Triangle plan “Triangle plan | Linéaire Triangle plan octaédre | Esai [Preah ts ee | oe B- Equilibre acido-basique 1On dose 10 mL dune solution d'ammoniaque de pK. = 9,2 de concentration inconnue par une soluti |d'acide chlorhydrique de concentration égale 4 0,10 mol.L“'. La réaction est suivie par conductimétrie | mesurant la conductance G de la solution au fur et 4 mesure de l'addition d'acide chlorhydrique. |On désigne par = + C.= 0,10 mol-L~ la concentration de I'acide chlorhydrique. + Vp = 10 mL le volume d'ammoniaque utilisé. + Cy = la concentration initiale de la solution d'ammoniaque. + Va (exprimé en mL) le volume d'acide chlorhydrique versé. +, la conductivité molaire de l'on "i", assimilée a la conductivité molaire & dilution infinie duo On rappelle que la conductivité o de la solution a pour expression : «= 1000 C, hwo od Cy est la |concentration de lion i exprimée en mol.L!, Le tableau ci-dessous donne les conductivités molaires & dilution infinie de différents ions & 298 K : 0° 6. Les conductivités corrigées avant I’équivalence Gea et aj données par : A prés equivalence dap, en fonction de Vs sont xn = 1000CxfA( CH) +ha(NH")). Vo . i < - err wish sigtsO")) Vie CN 000 H30")-20(NHF')- B = TO00C GACT) HANH). Ve ‘ a toy =1000qcuanct) 4+4q(140")). Ver CoV (dol HbO")-4NH4*)))- | O}p |es Gen = 1000C (OH) Ho(NHs")). Ve cap ~1000{ Cue OH) +4a( HO"). Var CoVe(Ho( HO" AANA") = T000CGa(Cl) *KNE)). Vi Seay =1000C ool CI) +2030"). Ve CeVo(Ao(HsO")-ANH4))- 7. La concentration initiale Cy, de la solution d'ammoniaque est : 90.107 mol" 9,0.10° mol.L* 0,9 mol. 0,9.107 mol.L* C- Equilibre de complexation rt ee a ori bt ela masse pour les réactions : Cu* + n NH = Cu(NH,)"" . Les tables do: ‘Cu(NH,)” | Cu(NH,);" | CNH.) Jog Br 42 16 a 8. Les expressions de By sont : @ bales 2 é ‘cu(H,):"| ae [wn] “A Cu(NH,) Cu( NH, Ola afer Ae Med oF] O} cla chin) | } ‘Cu(NH,}*] [waa 19. Les expressions des constantes de dissociation successives Ky, j=1..4. (Cu(NH,)}* = Cu(NH,);, + NH, _ fous) [Cunt] CoN CuONH, ?* J[NH,] Ka= ; aie i Ke 10, Les valeurs numériques de pXy =~ log(K) sont données par : PKa=4 i) pKa=3 3 PKy=2 + PKy =I PKy=1 ; pK, =2 ; PK, 7 PK =4 PKy=42 3 pKa =34 3 PKy=3 3 PKu=2 PKy PK,=3 3 PKy=34 ; PKy=4,2 111. Le diagramme de prédominance en fonction de_pN#s= -log (NHb) est donné par : pensar | sit ae oO ee | _ _ 2 ] pat, cm | ular | cu(aen)” | cucantsi | cul ae, T 2 z 4 Pee, O te) aoe oct aslo) oa 42 34 3 2 @ PH, culaHye | cuca) lout) | cuca, | cy — iu e = 42 PNR, Ga conshiere un becher de 50 mL contenant un mélange de 20 mI. dune solution diammoniaque de concentration 1 mol. et de 20 ml. d'une solution de sulfate de cuivre (II), CuSOr, de concentration (0,01 mol.L" 12, Cu(NH, ); est majoritaire parce que (NH, ] =0, 4801.4; OB tna csmerz, [ORI] O)} €| pageossmons; [MN R]=0,08mo1.1 [ou cosmol*; [ew] =63610" mol/L 4.36.10" mol/L O}?} [NH] =0,48morz*; [CuONH,: D- Equilibre d'oxydoréduction [On se propose de déterminer le produit de solubilité de l'hydroxyde de cuivre (II), Cu(OH)s. Pour réalise la pile constituée des deux demi-piles suivantes : |- demi-pile n°l : électrode de cuivre plongeant dans 100 mL. d'une solution de sulfate de cuivre ‘acidifiée de concentration 1,010? mol.L". i pare électrode au calomel saturé plongeant dans une solution dechlorure de potassium & ial ie andard du couple Cu ICu() E°( Cur/Culs)) = 034. V |(RT/F) in(x) = 0,06 g(x), en V it ionique de l'eau : Ke = 1,010" p= Oo (s)) = 0,208V =0,028V 15. Le potentiel de lélectrode au calomel saturé ECS est égal & Ecs = 0,25 V. La polaritt de la pile et force électromotrice e = Vi-V2 de la pile sont : Pole +: lectrode de cuivre; Pole -: ECS Pole +:ECS; Pole -: électrode de cuivre ; Pile +: dlectrode de cuivre ; Pole -: électrode au chlorure d’argent ; ¢ = 0,0003V Péle +: électrode au chlorure d'argent; Pole -: ECS; _e=0,00003V |On introduit de la soude dans la demi-pile n°1, sans variation notable de volume, jusqu’a obtenir un [prend alors la valeur -0,17 V. 17. Le produit de solubilité de I’hydroxyde = sosoeeeg a Fe gE nn TS E- Thermodynamique chimique Fre Seeciela i 29 se 10; Aina {La réaction étudiée se déroule en phase gazeuse et son équation de réaction s’écrit : Naygt3 Hag * 2 NH) [Les enthalpies de formations et entropies molaires standard 4 298 K sont : 18. la variance de ce systéme est : |B [SH™= -1924kimol! ; AS°=-297,91.K\mo [D [IPS 924 uimoF™ 5 AS°==-a9791R mot] Jay ew ge (Partie physique _ ‘A- Mécanique ‘Données : constante de gravitation G = 6,67.10"''m'kg oa rayon de la terre R, =6400 km masse de la terre M, =6,0.10 kg M, =2,0.10° kg Un satellite de masse Ms est en orbite circulaire de centre O, a une altitude h de Il’ ordre de quel |centaines de kilométres (orbite basse). ISoient Ez et Ep l’énergie cinétique du satellite et son énergie potentielle dans le champ de gravitation de la Terre. 122. En considérant les frottements négligeables, et son énergie potentielle Ey s'écrit relation entre l'énergie cinétique E- du satellite satellite est I'intervalle de temps entre son apparition sur I'horizon (point A) et sa disparition sous ’horizon (point B). (Fig!) 4 : Figs! Satelite P, point Q et ligne des horizons AB. Le plan orbital représenté ‘x pole La lee hes pts NSS. Lng ed ance GURY! 13a ood eee rr Saal oe [mone 23, La valeur de la durée de visibilité est : O[a [ts & B [e995 Ole | s=10005 | OLD | e=15008 | Pour des besoins de la téléphonie mobile, on place sur des orbites polaires (c’est-a-dire contenues Jun plan méridien terrestre) un ensemble de satellites, identiques, appelé « train de satellites ». C satellites sont disposés réguliérement sur leur orbite polaire commune, a I’altitude de 800 km. 24. Le nombre minimal de satellites nécessaires pour former un « train » afin que tous les points dans le méme plan méridien que l'orbite, voient au moins un satellite & tout instant est : 25, I"équation différentielle vérifige par h seri: —2aJGMyR, +h) 2a IGM, (R; +h) RQ > -2a.GM,(R, +h) 2a.G.M, (R, +h) ele ale aie ele }|Un satellite placé sur une orbite altitude 800 km subit une diminution d’altitude d'environ im | par révolution "sa vitesse est, en norme, trés peu affectée au bout dune révolution. bout de 10 ans de fonctionnement du satellite est : 30 km d'énergie embarquée. Le principe de cette ‘expliquer pourquoi la Lune présente toujours la méme face vers la Terre, Bie ecco ont conutivas de deux points masériels Mi et Ma de masses identiques reliés par une tige rigide de masse nulle et de longueur 2¢. Le barycentre $ du satellite décrit autour de la Terre une or (Cr). Le référentiel géo- centrique (R) lié au repére (Oxyz) est supposé galiléen. Le plan lorbital est Oxy. Le référentiel (R') défini par le repére (Ox'y'z) lié au satellite tourne autour de la ite circulaire de rayon to = Rr +h 4,0M, =: — a Te coe ne = ob a, eta, on suppoe ula pre tebe du lite dan efron ae ->——_J 127. Dans (R’) les forces d'in {fonction de m, Q, ri et m2 certie d'entrainement qui agissent sur M; et Ma, ont pour expressions en 64-30" sind =0 64-3 cossind = 0 6430? cos =0 8+aRcosOsind =0 [On ne tiendra pas compte des réflexions sur les faces : absorption des lames : on a alors R +T=1, ‘non métallisées de 1 ft: sysime tél, nincene normale, prune nde plane monoctromatiis do RSS TORE dans le vide io et d'amplitude complexe S, , issue d'une source ponctuelle (S) placée au foyer objet dune ientille collimatrice (L’) . Une lentille objectif (L), mince et convergente, de distance focale imagef,, permet de projeter un plan quelconque (P,), situé @ lintérieur de l'interférométre, sur un écran placé & une distance D de(P,) - 32. La distance minimale D., entre le plan (P, )et I’éoran qui permet d’obtenir une image nette de |) (@,)sur Vécran est : }33, Dans ces conditions, le grandissement de I'objectif est ©) [G=-05 G=-0,75 Ge-1 G=-1.25 34. Le déphasage @ entre l'onde transmise par linterférométre aprés k réflexions sur chacune des i erate eerctct ot omdiscaneni par ‘interférométre aprés k +1 réflexions sur el ‘Tondes ayant subi de ‘“mplitude). Léclairement E( “Temsin (p75 135. On désigne par s, l’amplitude de l’onde incidente, les expressions de E, et men fonction de s, et Jde R sont : 36. Les valeurs particuliéres e, de e pour lesquelles I'éclairement E(M) passe par un maximum sont : Il. Propriétés de I'espace situé A l'intérieur du Fabry-Perot apparel est éclairé maintenant par une onde plane monochromatique t (longueur d’onde dans le vide +), sous une incidence oblique i, comme représenté sur a figure ci-dessous : En un point (P) de l'interférométre, situé a une distance x de la 2° lame, se superposent deux: id’ondes : la série (1), (2)..(N)... et la série (1"), (2)..N)-« |On désigne respectivement par 9, et ¢'p les phases des ondes (1) et (1') au point (P), et par n milieu situé entre les lames. | Au point (P), le déphasage entre les ondes (1) et (2) est Ag, le déphasage entre les ondes (1') et (2 Ag’ et le déphasage entre les ondes (1) et (1') est Agp. 137. Ag, Ag’ et App ont pour expressions : DMA) VAD C53 Fog (GF) Gud YIP 1+ *intensité lumineuse en (P) s*écrit :1(P) = 1, rte 1+msin’(A@/2) Les expressions de I,, y et men fonction de s, et R sont : ‘considére un ensemble de n charges ponctuelles qi, situées aux points S, dans un volume fini V, telles 4.=0. On désigne par § = ¥°q,,O5; le moment dipolaire de cette distribution, supposé non nul, at tant un point fixe appartenant a V. bay) 13 ob eu juelles (~ q) en Si et (*q) en} charges ponet 139, Le moment dipolaire d’un doublet formé de deux charges pon est Dans la molécule HF, la distance entre le noyau d’hydrogéne et le noyat de fluor vaut: d= 0 En premiére approximation, on suppose le caractére ionique de lt liaison H-F avee transfert d de Yatome d’hydrogéne sur I’stome de fluor. Cet électron étant associé & ceux du fluor, ils for sphére chargée négativement, centrée sur le noyau du fluor. (Numéro atomique du fluor = 9) {Données : charge élémentaire : ¢ = 1,6 *10"*C debye : 1D= ho*cm 40. La valeur, en debye (D), du moment dipolaire p de la molécule supposée 4 liaison ionique: Of. p=H2 | QB [p=4a2 | OO ) FG=6,39 Y + charges ponctuelles (~) et (+a) d'un doublet sont placéesrespectivement aux points Si (0.0,-5)et M(r, 8.9) int courant de coordonnées lon désigne par p=] le moment dipolaire du doublet ¢t Par Mum point of pphciques 7,89). " ‘sont les vecteurs de base du systeme de coordonnées sphériques. On pose =! =SM, r=lonil,7= en fonction de q, 1 etr2@ 42. Le potenti! électrostatique V(M) créé par le doublet, au point M, 3. Pour un point M éloigné du doublet (r > a), expression du potentielélectrostatique onction der, Fet pest: : oq £(M) crée par le doublet en M est : | 44. L'expression du champ électrostatique II. Le dipéle magnétique Jon cosidere une spire plane circulate, d'axe Oz, de rayon R parcourve par un courant stationnsite dintensité I. On posera : 2= OMs (voir figure). ih de cette spire en fonction de R, Let €, est: 45. L'expression du moment magnétique 47, Le champ magnétique B(O)au centre O de la spire et le champ magnétique 1(z) en un point Ma(z) ie I'axe Oz tel que (z >> R) ont pour expressions : O [Un dipéle magnétique, de moment magnétique Mest placé dans le champ magnétique B, produit par de courant précédente. L"énergie potentelle d'interaction est Ep et Ia force subie parle dipdle B ~grad E,. Aipble de moment magnétique NI = -Mé est placé au point Ma sur axe Or del spire Kune distance OM, = 2. WT rary byl iia deg d pour: expression en fonction de io, M, I, Retz: 49. La force F(z) subie par le dipdle en Maa O fa 2 MIR at A Saar - 4 MLR 2. @!| B 2 [fener marty | Ole C | Fey= 3HaMIR'2, | 2EsR aa: a O] 0 [rae a be a EAR | 2@+Ry ig } ieee fee bis, = 2/28 seco 0 a 0

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