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Aux limites de Vindiscrétion e signe se compren int? Vous avez écrit Roberte ce siécle ne ferait rien sur — Ge n'est donc p physionomie 1om, je suscite ume un ¢ style» Joque, ou bie moment oul ce visage concr femme e dit que ce genre de f ce de voir que je la présen type « organisé ites de U'indiscrétion n t-on po un modéle De méme, j'incline a croire qu style soit transmis biologiq par un visage. Voyez expression qu sévére ou complaisant modulant ‘un plissement des lévres p! montre sans mystére, surprise dans elle conserve aspect lui appartient: rsqu’une émotion différente ch: ma Roberte est donc que ant l’écart que produ sa sex de se comporter, ‘aque fois que je un bype de femme qu’on aitre du tout. pas dit un « fype », ma le», mais que répondrez-vous? 78 La Nouvelle Revue Francaise — Qu’on prétend oublier un style de physionomie dont un visage confirme la persistance; ce pour quoi les gens sont touchés, et ce pour quoi — quand le charme d'une figure vient annuler les critéres de la généralité et de la resemblance on obtient de préférence, un dessin, un profil, un style donc On oublie ce qui fait qu’une expression paraitra émouvante confrontées au stéréotype (qui n’est qu'un style émoussé par Pusage), la fermeté du dessin ou la tendresse des lignes suflisent a déclarer l’émotion. Comprenez-moi bien : d'une physionomie qui correspond a un nom, c'est cette corres- pondance qui est touchante. De ce que vous me dites, je n’apercois plus le carac tere contraignant du signe pour V'artiste. Vous me faites comprendre le prestige d’un visage, ce qui ne résout pas V'enigme d'une physionomie, Et puis, Roberte n'est pas un caractére : Cest le sujet du mythe conjugal — Vous le dites justement, Alors, c'est un exhibitionnisme étrange qui révele les des sous du visage . w7si vous Youler, dans le sens oft Yon disait au sitele peé- cédent :« La ferme de Vartiste es le modéle du peintre »; pourtant de maniére intime, la resemblance appartient & un. autre plan, Piste crains d’entretenir une équivoque. Mais au niveau de la ressemblance on ne verra jamais qu'une « autre » épouse = Vous admettrez, quitte souligner ces « nuances », que Vintervention de l'artiste y soit pour beaucoup (puisqu’on y vera le sceau d'une sorte de idelité laquelle je me tens) et cependant, pourvu que lui-méme ait su ré-imposer la donnée encore Incommunicable qu'il propose au regard dautrui, ce choix de prédilection lui commande de réaliser autant de « portraits » d'une méme figure. Cela, jusqu’a ce que le estyle » d'un visage appartienne en propre a l'artiste comme la « propriété légitime » de l'épouse appartient & Vépoux. Mais a l'inverse vis-a-vis du stéréotype = il lui faut redresser alors la tyrannie d'une image résolument différente Liartiste aujourd'hui combat la reproduction mécanisée dans laquelle il s‘inscrit. Songez & tant de déformations, comme celle du ¢ gros plan », qui, grace au cinéma, sont entrées dans la convention — ce n'est point sans apporter un profond Aux limites de V'indiscrétion 73 malaise que la liquidation du ¢ style » a sanctionné. Je pense au jeu dramatique d'un visage, indévoilable dans sa disposi- ion, au volume de sa présence. Je ne sache pas qu’on puisse (sauf exception, et c'est le mérite de Zucca) sonder, par de tels noyens, la singularité plastique que artiste aura jalouse- ment voulu enfermer dans un sign — J'en reviens malgré tout au modéle — Vous avez raison. Roberte n’est pas une entité. Si je lui donne le visage de mon épouse, c'est que celle-ci me fournit le secret du phénoméne. Or, combien Pont compris tous ceux qui ont vu Denise jouer son réle dans le film de Zucca. La perception de ce qui est caché dans un visage ~ fiit-ce a faire arler le silence qui I'enveloppe — requiert de l'identité du signe, cette illusion physionomigue : c'est comme une éclabous- sure de sens. Chacun croit avoir deviné l'apparente sensualité qu'il tahit, parce que, derriére la configuration des traits, se sont superposés divers mouvements d’humeur qui réagissent les uns par rapport aux autres, formant tel vivant contraste & intérieur de cet espace aussi « exposé » que le serait le corps tout entier a l'appréciation d’autrui. Il y a des visages « gothique », d'autres « Belle-époque » : un méme visage peut refléchir autant d’intensités, selon que des critéres sociaux en conditionnent l'appréhension, ou selon qu'impulsivement quelque chose de désarmant lui soit insufllé par le regard qu'on y préte, par l'attribution d’un sens que celui-ci retient ou dissimule conerétement. = Pourtant, Roberte est une création : vous sortez de la vie domestique pour en faire un théatre, confromté au dehors = Oui, mais je la confronte aussi a d'autres figures dans lesquelles je dévoile la persistance du signe. = Quelles autres figures? ~Je pense, par exemple, a Ce qui ne meurt pas, le roman de Barbey que je voudrais mettre en scéne (si cela se pouvait) Crest encore de cette beauté qui ne semble plus a ordre du jour qu'il s'agit— une femme sur le retour, et néanmoins superbe, quoique apparemment sans plus de rayonnement, dont un adolescent s‘éprend. Cette femme est sa tutrice Mais au moins retenez qu'il faut un tempérament propre 4 éprouver ce genre de beauté, d’autant plus qu'un visage signifie une ambiance qu'il incarne ou ré-incamne a lui seul. 74 La Nouvelle Revue Francaise les canons de la beauté la représentent comme un idéal inaccessible pi quiconque n’aura pressenti le retranchement de I ion érotisme présuppose ce regard r ‘eur, par lequel une femme recoit la confirma charmes. Je parle d’ambiance;-je n'ignore pas que ce mot est éminemment « bourgeois »; je sais bien qu'il renvoie on morale du dessin formé par les traits, que it souverains ou possédent une voluptucuse ité—mais cette estompée aujourd'hui dans le contexte génér otique. Un pew comme si larriére-pl bué a dépré Barbey — que ceux-ci avaient effect soubresauts naissants du monde industriel; donc figure sous- 4 ce marché, la femme socialement responsable de son ne veut plus se reconnaitre comme excitante, qui t d’en savourer I re Roberte : Vhitesse que vous nous préseni s poids sa grace et son ignomi fagon? Mais, vivant ces ave le pas plutét, pour vos lecteurs, cet On a souver schématisa Roberte, outre le rappel élément dianesque peut- ée par un bel adolescent dissimulant sa verge sous une rose, ainsi que Marlowe l’évoque en que vers au début de son Richard I. Or, a les cinéas sonnage de Ri tel que Klee de ses plus bel notoire seule figure. ndre les deux aspects issante de. so: idez la me raps us fimes a I Yves 4 I'Ecole alsaci ‘avions prise effect nt d'une grace peu me qui se nommai ous croire, Re ept ans, ipée de la in le 76 La Nouvelle Revue Francaise court? » Toutefois, nous avions devant nous une femme telle que nos réveries de collégiens l'avaient imaginée. Tandis qu'elle se disait dans l'attente d’un nouveau réle, Yves buvait ses paroles; mais ni | autre nous n’osames faire allu- sion a la scéne du jaillissement des seins. Inutile de vous dire quie Gide se facha. Voila pour la petite his Vous conviendrez qu’une femme donnant a croire qu'elle ‘ge viril, quand bien méme elle y trouve de provoquer l'homme, de le troubler par cet aspect équivoque, dans le fond s'insurge contre l'arrogance de son partenaire, — D'accord, mais tout a ’heure, vous parliez d'une physio- nomie proche de M™ Schlesinger, tandis que la ferme. ndrogyne. dire ceci que le regard masculin ne ne projection qui lui est indispen. sable. Je ne cherche pas du tout 4 lexpl rentrerais dans une divagation encore v ter tre que notre discussion prend sa source dans les conflits de la virilité avec elle-méme. Mais j'irai plus loin, est un phantasme spécifiquement masculin qui nous pousse terrain, pour faire tomber le voile, sinon é au débat. De sorte que seule une réinstau- atriarcales — et non pas l'égalité des sexes — empécherait que nous tendions a rationaliser tou- jours dans le méme sens nos projections. Aussi quand je pronon rend tangible cette déno- mination se nes yeux en fonction de cet assei issement de la femme a Pimage que l'homme a construite etsi nent est justement source de volupté, secouant le joug, l'épouse offrira une image réservée de son animalité, qui renforce son époux dans la conviction qu'il doit en éprouver le secret. Roberte, ainsi, assume la conquéte virile de la femme dans son elle demande a ses charmes de plaider la cause que attend de voir plaidée; elle devient rationalité virile. Au fond pour moi, cest Minerve — mais Cest aussi Milady — Quelle Milady? —Celle de Diamant-Berger, metteur en scéne des Tro Aux limites de Vindiscrétion es en 1921, Aujourd’hui encore, je suis resté hanté par ce modéle, ce type de Dumas, qui a gardé une audience trés populaire. J'y retrouve une féminité insolente, sous Pacception d'un méme «style» de ferme — une beauté armée, et déguisée par le réle qu’elle joue au sein d’une société mas: culine ~ et puis, qui parait finalement désarmée. Donnée pro vocante ; derriére la figure sociale de la dame se cache l’aven a ce lien entre intrigue et le coup de re la métamorphose de sa sensualité. Vous savez trateur romantique a reproduit la scéne de | ‘Artagnan et Milady : elle brandit un poignard, d'Artagnan lui saisit le poignet et, dans le méme temps, découvre l'épaule, la marque d’infamie— mais, jusqu’au bout Milady dissimule l'identité animale de lespionne. Je le ici de la Milady de Diamant. Il y a plus de soix = je vis sa version des Trois Mous novembre 1923, avant de regagner Paris. De Max jouai Richelieu, Aimé Simon-Girard d’Artagna Claude Mere! plan — 'épai léges du muet en noir et blanc. Du charme de Milady-Mérelle, Jallais retenir lindice d'une féminité d’autant plus ravageuse our imagination de to ‘une beauté mare. Trente a quarante ans plus tard — marié a D ‘aines que jimputais dés lors au jeun Antoine a Végard de sa t ‘age que 4 T'époque de ces visions : aiguillonné par son oncle — ne soupconne-t-il pas sous Pallure sévére d’ « Inspectrice de la Censure » qu’affecte Roberte, une aventuriére capticuse dans le genre déceler dans son épouse, mais que Roberte en elle-méme réprime — jusqu’au moment oii exaspérée, cédant a sa propr ise enfin a sa maniére cette image calomnieuse d'elle-méme, dans l'épisode des Barres paral- es, — par défi ~ a l'insu du vieux, mais ensuite sous son regard, au point de le faire crever — dans le « tableau » de La Belle Empoisonneuse. Excepté 'idée dune virtuelle « Milady dans la sensualité dissimulée de Roberte, il n'y aurait aucun 28 La Nouvelle Revue Francaise éprouvé en tant que viol. Javouerai ici que plus ou m — au gré de la situation i ne de m dans les empreintes digitales de Roberte | opéré sur elle par Vittorio aprés mut propre personnage ¢ — dont elle retrouve le fac-similé dans son sac a cident des Barres paralléles — oti le la paume de la rs ce sentiment de ainsi qu’elle- partenai méme le note dans son Journal. — Comment dites-vous : le viol pour cl pas cela, convention que son sexe aura rendu excitant pou Je dis que le chatiment de sa féminité est percu le plus conven: tionnellement, le plus vulgairement possible comme un ressort voluptueux ~ et c'est ce pouvoir de la convention que Ie phantasme ressu: Ique maniére le, cette figure stéréorypique n de son sexe, vous la rendez la conventio} ais le caractére voluptueux d'une scene de ce genre suppose aussi que la convention ai (tableau attribué Tonnerre pour lequel Ri avoir posé) ~ ou encore le tableau de La Belle Es Cest en quelque sorte le phantasme qui est i chatiment. Le tableau ou la scéne ne font que simulacre de la se nce meme. Ce qui ressort de la facon dont Zucc la séquence des Barres i le n'est pas une comédienne de miétier, se sachant le modéle de son personage, se Aux limites de Vindiscrétion 19 méme, simulant une gene on currence, qu'elle se trouve ier, lequel, avec une par- igence de son pénible réle de maniaque, pousse Youtrance d’un naturalisme conventionnel, ne l'exige le style grand-guignolesque de la scéne. Ici encore, c'est le non pas le viol méme : on és» de Denise, & sa voix Eteignex donc. Récemment, vous donniez dans Obligues, a l'occasion im de Zucea, le découpage d’un chapitre du livre, le e méme séquence. Ce qui m’étonne, c'est que lam — Simplement, ayant écrit toutes les péripéties de cette capitale, je les raméne en effet 4 une énumération des u des gestes successifs auxquels se livrent les prota- par ses impacts successifs, exagere ple série des moments scé- e, Cest que le fait premier et dernier exposi sorte que quand je récapitule rien que les gestes, la nouveauté tient a ce que les intervé d'un geste a l'autre portent la violence jusqu’a tableau originel. A tel point que si on relisait es différentes situations de Roberte, on revivrait ainsi la charge impulsionnelle qui en compose les scénes. Un te a rebours jusqu’a zéro — soit un signe, valant pour fait abstraction ion aussi concréte que celle telle ou telle situation dont ne chose est concréte, encore une fois « concréte » 80 La Nouvelle Revue Francaise — puis ne 'est plus. Il est trés dif le pour la plupart d’entre experience a ippe de mutité la vérité du lan, ot A un vide : passage souvent ‘couvre en face delle nce on la surprise I'a jetée. Aussi de ce « signe », on ne puisse plus nter; et que, si toute discussion est lige ede syntaxe, la of on ne saurait plus argumen. ter, c'est qu'il y a un vide dans la syntaxe. Alors la pensée est en arrét devant elle-méme, quoiqu ‘autre en effet, et que placée devant u lle ne sache plus coni mais celui-ci n’enfe gage), cha. qui échappent a est vrai, cependant, qu’ occasion, je concrétise par un geste le tel « geste »a se réfere a la je vous parlais ce matin; et dereche! me faut un processus sous-jacent, ce que Autrement dit, je ne puis ressu tant a ’épreuve de la récapi nes, Cest la récapitulation qui nous sauve. = Du vi rait dire, en vous écoutant, que cette femme ujours de la méme facon. signe avec une sorte de fidé du couple. Puisque je cor sur rain, jen ‘étends méme que d' ipe autrement. Je » ce « signe » vaille a une expér le ne serait pas méme com: wun dénominateur pour regardent mes tableaux. Mais, tes, la 1e image concréte, Aux limites de U'indiscrétion mais c je ne peux en parler, qu telle chose par un signe. Qu’on suppose au demeurant caractére incommunicable d'une expérience, je n’exprime que ce qui en est le résidu, par la trace écrite ou le tracé d dessin. Mes tableaux, s'ils partent d'une vision, retournent la poussiere du crayon. Derriére eux, résiste le signe ~ ce quoi, en dessinant ou en écrivant, je ne puis me soustraire, obéissant certaine contrainte indécomposable que je suis seul a éprouver. Si ce signe est « unique », c'est qu'il revient toujours le méme, comme revient le signe de croix. Mais ca n'est qu'un exemple! — Expl = Songez qu’ origine de ce signe je circonscris la sphere cement par ses gestes tion. Elle est donc Seulement le gant — objet extérieur au corps, qui s’ajuste a la main pour en cacher I’épiderme ou le protéger —est 4 son tour un signe. Mais que signifie n dégantée — paume dénudée » — auquel rien non la vision subite d’une dissociation fortui le ces signes, — signalant ici le moment d’une série d’actes ou éricurs et ultérieurs que ce moment a Iui seul en Lobsession qu’il exerce par son insi gne unique valant par son intensité pour langage » des doigts repliés sur la paume, puis redressés, direz-vous que cela méme est abs — Re ez qu'une chose qui n’est pas écrite, bien ore plus abstraite. Aussi dai scéne des Barres paral autre ordre : la main dégai mettre aux mouvements de sa langue, cela est vraiment issible : quelque chose qui réunit la plus grande gene ec la plus grande indécence possibles — que rien d’autre ne parvient & susciter. Tant que je ne lui accorde pas une maté- rialité contrélable par autrui, cette méme chose reste encore ine abstraction pour mc tue la manifesta~ jon concréte du fait qu’en parvenant a rendre la tension dont est le « signe ». 82 La Nouvelle Revue Francaise us saisis mieux. Le signe du viol est un signe qui dit chose que le via nent autre chose? Un signe du langage quotidi le mot « viol », sert de référence a la généralité permet le sens vulgarisé d’un acie, no dexpérience en soi re) cache justen 1 croire que, trop transparei rs une critique du chiffre jue le signe unique rend inopérant le déchi ine des Barres récapitule la série qui inant dont Roberte ne comprend le nage de sa propre discontinuité Sur la route de Montsaucke, nul passage depuis tout Le soleil, déji mourant et ra les yeux le chapeau de paille quelle avait coi pas notre se brisant sur interron ‘at d’enfance, n perception « rhétoriqu tretiens de campagne. Mai qu nppagner nos ée sur la main ne se laisse pas Justement, la te clef. — Enfin, il y'a bien une intimité de la m: — Vous étes soucieux de le dire. Preuve que le « signe » est finalement un mnomun, comme nous disions ste. Peu importe le A sa traduction sc senter tout ;pulsion ¢ ‘ole dans ce dévergondage que le quand soud: in encore une 84 La Nouvelle Revue Francaise ne peut le tran me de démangeaison subite ~ cela, mettre que contradictoirement dans le langage de la non. contradiction, saul, il est vrai, si je demande au tableau, ou stantanée : si je donne a ces deux leur correspond. ultanéisme plus que En effet \chronisation q la faveur dun tel joute que tant que termi parlant ici d’une vision qui vous conviendrez avec moi que c’est ut ur de la té... Je crois qu'il y au compte, si je décompose que, c'est que Ia violence située tienne la place de Vacte. D’oi ommunauté de style ama manie de la main. O1 aliser cette image dans un sens ue le gant est ici la dépouille de I'an a cru que j’avais emprunt Aux limites de Vindiscrétion 85 avec quoi que ce so e y voit un gage do ite a le faire? D'aucui — Je ne comprends pas le sens de votre q vous demande pourquoi ignorez-vous la nembres sont et deux jambes; de méme uatre membres. $ et comme, mal; a qu'un nombre de compor. 1e peut se f » de ce genre. Sinon, cest velle Revue Frang 1 concupiscence apparemment dégodtante, qu'elle abuse d é la décalant. J’avoue e. Dans Le Baph sou je place donnée gul comme dans certa un grossissemé e+ vestige névrotiques, est asservi Entre les doigts du jeune Ogi igne dune ce: ensité ERRE KLOSSOWSKI JEAN-MAURICGE MONNOYER CHRONIQUES JEAN ROUDAUT, UNE LITTERATURE DE L'ERRANCE autrui des événements, des impressions du voire d’un certain monde intérieur, mais une opéra- le d’approfondissement et d’exploration portant 'étre méme de son auteur, en ce que ct ant a soi-méme, hanté par qu absence, par un autre part. D’un livrea tonnant, qui s'avance és ni détours, mais o il assumait sans équivoque cette sorte de recherche fence autour de ait et ain de lire®, On voit que, ttérature est dow bref tout ce qui compose les , comme autre i, mais en quelque sorte sou- ivre lui a été donné & inventer Cest au héros de combler cett ‘Ainsi Le Livre effacé joue, envers Les P

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